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Manière de se récréeravec le jeu de cartes
nommées tarots... / parEtteilla (Alliette)
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France
Alliette (17..-18..? ; cartomancien). Manière de se récréer avec le jeu de cartes nommées tarots... / par Etteilla (Alliette). 1783.
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MANIERE
DE SE RECRÉERDl~ SE RECREER
AVEC LE JEU DE CARTES
1
~O~~ÈE~T~ROT~
Pour fer vif de premier Cahier~
cetOuvrage.
P~R ETTEfLL~ ~r1
~W––
Prix i Uv. ï0 fcisle Cahica'~
–T-~
A AMSTERDAM~
H~n-M~ ~~Rï~,
L'Auteur, rue de iâ Verrerie, HoK~
f deCriIIon.
~MERïGOT,ra!ne,L:bM!re, Be~
1IcvMdS. Martin, vis-a-vis rOpertt
Chez L E G R A S Libraire, Quai Conty wà côté du petit Dunkerque.
ySEGAULT, Libraire Quai d~
S, Genres.`
1783.
L'on trouve chez FA~ear, &: chez les
mcmes Ubukes~ JErr~fH~, oa
~r«(7toM~ ~ft~f Cartes.
Pnx, t Uv. t~~bis.
A MON SIEUR
ME~r~E F~C~~
É C U Y E PL,
~<?~Ë~ C~Co~j&
Af~~ Fo~ C~e
F~on~ ~<3y~~f~
Premier L~ ~r~
de ~o~ F~r~ 6'
MONSIEUR ET AMI,
Si cette r~<'<7~/<? y<c,~Mfrf~
CM* n~MJ ~< tH~/M~~M~ ~7!/C~/<' depuis
~Z/ ~/Z~ /<3MM/f que ~0~ ?<
or~o~nc yoKj f~r~ /h< //z<?~
~&~j,z <ïM'r~ cc/f, PA~OEycjE~
~~re ~K~ /rc/c ~M'~
~t ~o/Mf
yo~~ rendre /o/z/<<: de M~ <r-'
~oc~yMir les <:Mc/~yz~ P~H~y, pr:
~7z~ les Hautes Sciences ~M~-
~M~/Z~y~yoK~/z~ ~K~ Jfo~n~ ~y2<
Cette <ï/<r/2< o~r~ ~r <~j
~.f C~ P~~y~ /?/ ¡
f~VPMe, ~OUStEUR ET AM)
jetté dans ~n~ ~or~e perpléxité
~TitJf~J /no~M pour me rendre le
~4 rmr~r~rs<s/ yM'K/ï
~o~gJï/~rzc~
yK~ ~f
L'Homme qui agit contre mon
~~prit, ne peut que s'en repentir.
~2~<t~.r~T'/2c<, ~pr/!?<M~ ya<'
~~e~~e &On~M yf)K~<ï ~tre ï?n~K.M-
Z!~~<ïMM~Je. y~c<' ~c~ P~
~o/e~ <ty~~ J'c ~/<t~r ~Mr Tra-
<~a~r, 6' /on t~nc ~/7~ yc me /K~~r~ au mo~~c/'n~n~ ~K~ ~n/r<ït/zc'~
~K~K.~S~f&J~M;~ O~fMgf ~~K~ ~~f-
~ryo~rc a~/t~~on, 6'~Aï~c aux yr~~
~J~y' les ~'c~n~~ occ~~f~,
~ï~f<y~/
J~ysM,~vêt ~~ë
~~t'~ y~~ï/~r~~
p~ /M~ 6' ~4f~ ~M~ ~o~/zc/ï~
< <c~ ~MrppH~ r~~n~/ûM~
~0~ Si EU R ET A M 1,
a Votre très humble,très-obëiilant & très-'
aSe~ionné ferviteur,
C~o~rc ~83,E T T E n. i. A.
t. <~
!;J
jijjmmtwmm'tm'wtmmMmM~tm)! i~n.i–
r JE D 1 T E i[/R.
~L~ E TOuvrage
ef~ Pinferprcra~on
pâf:icu!icrement!a def des (oixan: &
dix- huitHiéroglyphes qui ~onc dans !e
Livre deTnoT, !e~eu! qut nous ioitpar-
venu )u~qu'à ce jour desEgypnens.
L'Auteur de cette Traduction, in~u~
depuis 17 ~7, que !'0rig~na! eic établi
fur !a icicnce des Nombres que pi.ad-
quoient les anciens Peuple: a cru de-
voirinterrompre le ~!ence qu'i! a gardé
jusqu'à prefent,pour cuivre la rrace &ap"
puyerle (enument de Co~r~ C~
ce Savant Antiquaire nousayant dit
dans ion huitième Vo!ume du ~p/~e
Primitif, qu'il avoir reconnu que !e Jeu
de Cartes nommées T~rc~ éfoit un
Livre compofé parles
J~~ Egyptiens;
qu'i! e nommoit T~ & enfinqu'il
tenrermoic is Science de l'Univers.
Notre Auteur, pour nous démontrer
A ii
ÏT
ces ventes, commence ( à l'appui des
~cpr premiersNombres qui ~om i'A'pha-
Hec du Livre de TAof, ) par prouver
gcomcrciquement & numériquement, t
que non-feulement ce Livre renterme
la Science de ~Univers entier maisque
tout ce qui e~ dans notre Univers, en-
fin tomes !es Sciences Morales &Phy-
Hques, yfont tracées avec la
&geue ~c
la Science ou l'ordre dont pouvoient être
pénétrés les Aif~ de tous les Pbi!ofb-
phcs~I~otrc Traducteur n'ayant pas, eu !a
vaine prétentionde donner la
copie
d'une Encyclopédie univerfelle, ni mc-
me de former <ii Ouvrage votumineux,
s'e& attaché purement aux hautes Scien-
M dites o~c~~ qu'H proteiÏe depuis
trente ans,/«n~ interruption c'e~ pour-
quoiil porte toutes tes vues fur la
pre-
micre.iapîas haute & &ut i!dire la
feule doctrine desHierogtyphes Egyp-
tiens.
C'e~ une wr~ ~ft doit~<~<r
tous
AtMaow ce Peuple de Sagesne ïra~.
"s*
<~a jamais un feu! Caractère ou Hicro*
glyphe,~ns
yrenfermer !i:rcra!emcnc
pour les Savons /<t /?f/j~/o~ qu'iis pro--
tenoient /« Z3~/z~z qu'ils pra~4
~uoient, & /j ~-</<'c~ ~7~y~r/c~ qu'tis
po~cdoient,toures !es Sciences humai-
ne je dis vulgaires même ce!!e que
nous no!Ti!nO!& rhv~que ne teur pa-
rot~antplus propres qu'au commun du
Peup'c Gu'i!s inn.ruiioient à certains
jours comme ils le témoignent da.ns
le Livre de Thot.
C'en: avec auranc de ~rprif~' que de
iatistaction que l'on découvre dans la
levure du Livre Je r~o~~ ce qu'croicnc
les A~a~ ou J~/cro~z~~ Ôe ce que
font les Sciences que nous nommons ~<~
~7~j, donc nous n'avons aujourd'hui
que des idées bliarres.-
La manière donr cesSages s'expli-
quent Utr les causes &. les eneis qui iur-
pauenc notre entendement, demomre,
ou qu'ils avoienc prévu notreignorance
à cetégard, ou que cette même
igno-rance (t-norant de la fage ~Jatm-e le:
A i:j
eS~cs rares & !eurs cau~s!mpercepttb!e~
pourles donner à de noirs esprits ou à
des êtres chimériques, ) exi~o:t de leuE
tems enhn dirent les premiers Egyp-
Mens 3n'y
& âu-de(îus de !a Kamre
~u'nn D}€U ~niFâ cré~e & it
n'yà
contre la Nature & ~on Moreurque
les
vïces humains.
L'Auteur, pour fe rapprocherde ceux
qui ne ibnt pasinfbuirs, fait presque par<
tout ab~ractton de ta Science des nom-
bres qu'employèrent tesEgyptiens pour
~brmefleur ouvrage néanmoins en
calculant à la manière des Géomètres,
i! nous ïnttratt de !a route qu'il eût pri&
pour cuivre Mctement ~on Original,s'il
n'eûren à parler qu'à des Cabaliftes; mais
craignaM ensore quel'on ne
&upconuc
<on Alphabet ï. 7. d'être
l'effet d'une imagination auni Subtile que
vagabonde il s'appuie (ur l'Ecriture, ~c
les jattes notions du pÏus grand ordre, qui
n'ont p& nous quitter, & ~ur tes débris
purs des, Hicrog!yphcs du Uvce de
2~.
'e"~J
~rrEfZi.~ prouve donc ev~dem<
snent, ayant toujours le compas &tes
nombres pour guides & pour ga.r&nrs f¡/
que ce Livre nous e~ parvenu enner
C. Q. F. D~er, qu'il a ecé & dû effe
compo~ en 7 S fcuillers. Il preuve de
même que tout FOu~rage dévoie ctre
di~ribucen ï. 2.. ~& y. Livres;
Que lu en un feu! Livre, il ne traite d'a~
cuns mje:s renfermes dans la diânbudon
de deux Livres &: pour me faire enfen-
dre, que toutl'Ouvrage change de i~"
)e:s,(u:vant le nombre des Livres 01
des volumes, torique l'inrention en cft
Jo~n~ d'en faire la lecture en un ou plu-
6eucs Livres; vérité qui parole furprenan"
ce mais qui devient parfaitement fenR-
ble dans cette Traduction.
Notre Auteur nous découvre d'une
manière aulu fimple que pa!pab!e que
!a cupidité &sencra!ement l'ignorance
ont eSace p!uûeurs Hiéroglyphes pour
en mettre d'autres, fuivant ietems !es
i'nterêts, & les lieux comme aufu., que
preiquercus lesHicrogiyphes.&nta~ercs~ s
A i.v
~)
en6n que ~ordfe des nombres qa'a<
voient tenu les Egyptiens e~ ab&lumens
troublé démontrer ces cho&s ( !crfque~
saous nous permettons de le dire, l'on eft
wnique ma~re de fa matière) & rejetter
par.toutle mensonge & l'inutile, pour
n'y îaiïïer reipirer que la vérité appar-
tient à la Science & à i'amour du bien.
Les Hiéroglyphes font remis à leur
vrais nombres ils ~ont, au moins en par-
tie, retraces purs à nos yeux, & toutes les
fois que l'occaûon s'en e& pre~enice, les
faux attribues en ont été expu!{cs 6~ les
vrais acceuoires remis tels qu'ils ctoienc
chez les Egyptiens~
L'Auteur, pour ne point s'écarter d.
1~ Nature, ni du Livre de T~, n'em-
prunte de FArt que ce qui îai cft necef-
faire pour ~e faire entendre & nous con.
duire aux vérités phyuques&infeUe~ue!-
les extraites du Livre de Thot vérités
qu'il dcmoMre tnathematiquement, oc
exemple qu'il taiMC aux Savans qui fui.
vront cette carriere dont il a ëcarié toutes
le! épines,
A v
MANIERE
DE SE ~jE'C~
AVEC LE JEU DE CARTES
NOMMÉES TAROTS.
Pour j~~r ~c ~r~/7!/<'?' C~A~r
0~tv<
~EST avec r~ifon que !'on e~ cronne
que !e tems qui dcrrnir tout, &l'igno-
rance qui change tout, ayenc!ai(Ië
pa(-
~er à !a po~criré unOuvrage compo-
se en !'an 1818 de !a Création t~: î
ans après !c Déluge, &: enfin een!: ily
A
aujourd'hui 39~; &ns,
Ce Livre a ctere-lige par dix-ieps
Mages compris !e deuxième des def-
cendansde ~c~c-c~ celui-d
io
pedt-~ts de CA<MM, amsfe-penc ~!s de
~Vo<~ !equet Tr~rc~f~ outroi~me de
ce nom ordonna îe Livre de 7* iui-
vanc ia Science &1s ~ge~ de les Ancê-
n'M.
Cj; L~re ~t écni dans !eTemp!e
d~T ru," "J.il. u. "C'&"V_
la (~~s~, QM d!t Feu T qui e~)C b&M
dans une espèce de (oEcudè, au Levant y
& à envif oc trois itères de Memphis.
Riett n'e~ plan Ëtcile que de prouver
que !@ Mc~MM producteur & Eeda<~euf
de cet Ottyr~e~te au~nénMdescen-
dant de Zoroa{h-c(ï) le quatrième
feuillet du Livre de T~<M!e prouve évi-
demment; cetpït~Mppotte~ce qu'en
C~o~ <4 To~M, & pluGeurs
aUK€S.
Ï! Ëm< c<mMt~ ce Hïcrogtypite de
~rep q~ ces ~é di~r~Rmeat
r 'j. !f. jf!
~) L'EcNtttre te ~ïMM C ~utëbe
Tappefîe que XoroaRre dtfbit Dlea~ Eternei,
CMfe pnmittve ~etatutM~!t,AMeoT & Cféa~
teur de toMc< (~ho(e& Ce gMcd Ec~VM" n'a-
volt pu6Mf <es vues MttcMM que le pte-mier ZoraaHre fils d<' ~o~ que Ï'Ëcnture BMB~
me CAaBï, ccHim~ttous vtBoas ~~e <ÏM€.
~1
diAribués't! n'eu!:
pas indiqueune f~xic.
me Gcnct'ation des trois branches de.Moe', 5
(es Pau'urche
compris ) &:!a Chronc*
logieanieeedence
( de cinqfhm<es
par
!âhgnce
des
Zcra~~ )
aurègne
du
:solûeme Mercure.
LeTernie
~e là ChsîeUt etoK dcule
& !*Ecernë! ,<ous !eHiëfog!yphe
eu rEm~
b!eme du Soleil; &: pour mieux& rappro-
cher de la pcn(ee desEgypnens,
~uus ce"
tui de~M~&iepius pur, répandu~
animant tout !'Univers(i)
(<) II n'y ctolt pas que~ion d'?~er le feu<
AY1J
Il J
On remarque auŒ dans ce Uvrg,
qu*it fut commencé le So!ei! e:&nt au ~t-
gne, ou fi i~on veut au dix des Gé'
metux, la Lune dans i'Ecrevifïe Mer-
cure dans le Ver~au < &c.
Pour nous conduire à des preuves 8i
à l'inteUtgence de tout l'Ouvrage nom-
mé T~M il e~ nécelfaire de mettre ici
l'Alphabet ï. i. 6. 7. qut dé-
yeloppera par!s ~uite toutes nosa(ïerdons.
L'étonnement ou plufieurs perionnes
doivent être en appcrcevant des nom-
bres pour nous. donner t'inteUigenced'un difeours ) n'a rien de furprenanr
mais elles en reviendront !or(qu*on ré-
Cechira que beaucoup d*Hiérog!yphes
Egyptiens étoient proprement des Nom <
~rcs C. <~JF.< Dïte. & qae les Nom-
bres etoient pretque tou~our< chex ce
peupÏe lePrincipe
du discours com.
~e on ne tes prend au contre au~ourd'bu
tenuce en ta a înjuaemtct acçuÏÏ Fun desVMM Zcro~re cett? MelAttie ce peut abfo-
ïument étre~ttnbaee qu'à an fiïex Merccrc cdi~iéiac Soeiverain d'Egyptc.dixième Souverain d'Egypte.
(~
que pour Fattribut &- en~n que t~ipnc
principalde cet Ouvrage (ou~e !es fdeness
rhynq~es qu'it renferme) eA !a A~t~<~ Il
la Z~'y~p~ & la Af~'c~ MM~V~
( qui ~ont abio!ument un ccou!en~cnc des
~epc premiers nombres en ce:te ~e
3 y' 7 étab!i(Tan:!a Religion
~ur 3 etâb!)t!ant!a D~tnanonpârPro~
phétie & par Phitofophienature~e ~r y
2.&~cut~& eniin Ecoute-
ment de t & de &: a!!an!: 7 en
cecce ~orte 1~====~.
1. !-t- -<- 7=~ ï 6, qui ~epMc donne 7
lequel remonte à l'unitépar 7 3 ï
cequi réuni: rouîes !es conditions des
<EavresPhilosophiques, du Phtiofo-
phe, comme )e le dirai, )tc!!es que ce Peu-
'p!e deSages les entendoit &: les prjd-
quoit (e reneknc raison de lapremière
& des deux autres, par les nombres qui
donnoicnt le mouvement à leurs dif-
cours, à. teur croyance &: à leurs ccm.
tudes.
LesEgypnens étant
parvenus au r'o!ncde concevoir qu€ tout Moi! ncmbrer 1)
ï4~
même !e tenK ( ï ) 9 on ï eip~c~~ Qu i e-
tenduc ( n'y ayant qujc6'aï cjpi
ne
&!CtM nombre, aï nomb~, ni notn'
Ï~abÏe, man putemeM nc<nbrant%ou
PrMdped~t&uc nombre,) en ce doit
pà& Mouver eM'ang<eqa'tls nje ~M~-
ijEnc~ed'ap~e~csnQnnbircs~poaf&ies
6gn?e~<~ntmepnnctpesdM~ours,cpnt~Me j~ ïjB &Mdc!i!&rmes (,~)~itn<? ~uc
p~~tnenc qu~ ïe~xpo&f i<~ï$nos y~x.
$i, patcxempÏetnoa~ comstcn~pM, par
i~ pnacïpe e~ ~MqM Jeacons q~c
ft) Sai~ ÀMa~t dît ~perCMM&ae ate
~m~e ce ~&!6 Mms,~ ?1~ R <&~
d~)a!ètde,je nepMtt~MM~ ce~M )JB
~t~ Cette maNteM<kpMMr~ 4e Bea&fe~
4es pl~s~Me ~y ~etit~~ai &
lÊ~ba~aPe `&~i~ga~e uop
-P.9M~e~<M~e~(t) Hat~a~t pu~ à IaS~
;q~ ~?~~0~~
~q~O~~&oaM.Daas te Ï~vre de Tïtef, <ia y lit ~uë Ïe<t
~ô~€< &~ pmtdj~âëë i~es t & par~r
eon<ëqMent des che<e<. JPiatom 3tasibït
nemM.dïtatt~QaeleB~mbr~tgën~Mtemen~
pa~&~ e~~M~W~~ ~M
,~aM&M~t~4' ,r:
tf
ce carac~eice quoiqj'ici phyuque, donne
l'écoulement à une foule de difcours qui
Ce rapportent à !& Divinité &: que nos
di&ours prenant i pour formule cène"
ronc d'être ju~es fi nous nous éloignons
de Ce qui e~ Dieu Dieu n'ayant qu'un
dan& tout ce qui e~ véritablement lui.,
comme & Force, (a ju~ice, fa Bonté &
Puinance, &c. &c. &c toute vertu di-
vine étant de~one(Ïenceimmuab!emens
lui ce qui n*e~ pas de même à l'égard de
t'iiomme, d'une nature foible &agHe Se
presque toujours variable.
S CLOUS~uppouons que pût fe repor*
ter~~homme, nous pécherions contre
(a plus faine Philosophie. Le corps ds
Ï'homme n'eft ab~otument qu'un compo-
6 d~viJ~Mc a t'<~7!<: ion ame en: bien
une Jtîut; mais fIeHe e)t devenue indi-
viHb!é el!e n'en a. pasmoins cie
compp"
(ee de la volonté, de reman~non & du
don du Créateur & la ~eutté con-
nue de la ~Cre&tufe qui l'a reçue, eH:
une preuve qu'e!!e eu composée ài'eeard
de la vie commemoyenum~nt, elle e~
~)
ferment compose qu'elle !evc(eraht
phyuquemcnt & moralement !i~e à
Ï'ame & au corps ) le dernier doute que
ces trois <acu!tés de Ï'bcmme foient Hm-
p!es & unité, chacun oc chacune en foi
car &ns ia vie le corps & l'âme n'au-
roienr aucune exigence; & ennn, !'hom-
me ne pouvant pas être regardecom-
<ne unité, tout ce qui eft lui eft com-
pose de parties matcrteHes & mteHec-
tueMes, & des unes &: des aunes.
Si nous pe&ns le premier nombre
oamteuih&urce des nom~reS)!~ pouf
<~<'M<<rtou <nonter au premier nom-
bre t, nous y orouverons t'hommc où
'&n nombre quï eft mâle & &meMe 3
!epï'em<er comme agent, & le &cond
cbmme patient; Ï'un & l'autre mont.înc
la per~ecHon par le penchant, ie de-
voir & !a necemte d'être inséparables ainu
de tou: ce c~ui peut e~e attribut du pre-
mier nombre i.
Voulonmousmontet a 3, ce nombre
nous indiquera tout ce qui e~ de lui
etab!iubns t n théorème, Il
'~)1
9L.en: !e nombre du mâle & de la ~e"
mette ce qui en e(He plus proche, eft
génération ) fera. donc Fen~t, com-
me j. ieprincipe;
ce qui Ce voit jui~e &: ne
paroit Mmp!e qu'en tant que la véricé
Hous environne de toutes pdïts.
i. eft rapporté à Dieu à l'homme
& à lafemme & a la ~c/ï qui
a pour but un enfant.
En peu de mots, les nombres pro"
duifent la vérité de tout discours ce qui
ef~ bien digne de notre admiration &:
de notre étude (uppo(e que ~on ne
nous en talle point un crime, y ayant
encore des hommes auex bornés pour
croire cette Scienceitiegitime.
Nous remarquons que les nombre!
ayant produite discours celui-ci s'étend
avec ordre ju~qu'~ ce qu'i! rentre dans ~on
principe, & le principe dans l'unirc
fi difons-nous le discours eft toujours
appuyé de &n principe qui font les nom-
bres & ceux-ci de leur pnncipiant quicH: l'unité.
1
Le Créateur forn%a Ad~m mâ!e &:
ï~;
iemeîïc & répara ce nombre i aM
qu'i! pût s'étendre au nombre 3 b gé-
nération, Après Je nombre ) ~iencné-
ceuairement l'Univers, que l'on re-
trouve 4e même dans le nombre t mi-
crocofmique ennn on doit fencir ~ue
ïç dticours qm, comme Con, arncuiation,
eA né avec rhomme n'e~ qu'un ac<
compiitîemenc de !a fage Namre posic
ja per&cMon humaine mais que ces
~ons, ces articulations ne font d'aucanc
plus julles que les nombres font en-
tendus.
App!tquer le di~ours aux nombres
.$u au concraire les nombres au di&ours~
paroît à peu'prÈs !a même cho<e a beau-
coup de per&nnes mais non à tous les
homme*. St je pe& t-t-i~ ~e fens
que tout discours y j[era!oumts; mais
je ne vois pas queiedï~ours ecaHira un
pareil axiome a moins que te discours
ne foit un écoulemenr des nombres ce
qui revient au même ( ï ) c'e~-à dire,
(<) Les Sciences qui approchem leplusde
:9
~e le dlicours {cra une emânadon ~es
nombres & ceux-ci de la vérité qui !eur
donne l'être, & lesdirige généraiemene
dans route la Nature tous discours qus
perd de vue les nombres deviennene
erronés, & ne tbnr plus entendre à !'o.<
!'etUe& âujugemenc que d honteux para-
doxes. Si on .oppo<e que le discours flux
faitopérer, les er~ts qui en rëfukenr (nne
vicieux &: au refusât., l'ignorantne troa-
ve pour rceofnpenfe que la honie & !es
remords de n'avoirpas i:on(ukc !e Prin-
cipe du difcours qui font les nombres.
(i)Je reviens.
I!ya(c'e~unevérité
numenque &
r J
la haute fagef~e, & des fëntimens de la Natu<
fe ne font dï~Ingucr celui qui les pratiquequ'autant que (on intellizerlce & même fe~
fcns (ont attentifs aux nombres.
(1) Que ceuxqdl veultnt écrire lurlaH~u"K-~c~ncc des nombres, entendent bien quechaque nombre a (a propriété comme fa va-
leur que iuppofe,' e~ facré embraffantl'Un!vers Dar l'appui de Funite, & étant pla-ce entre l'Univers & ia perfection 6., &c.
La propriété connue donne tes effets phy~ytes,
gcomctrique ) e 93 3 ans que lé Uvre a~
Thot eft compose; mais 6 au lieu de fou-
mettre fon ëpp!icatioh eh un mot tant
vouloir entendre aucune raifon on re-
cufe les noh~res comme intuS~ans pour
nous donner la defde ce Livre, rien n'e~
plus cerrainque non'-feu!emcn~ oh fera
fur lui comme fur beaucoup d'autres ob-
jets, de ~uHes eo~ec~ures mais U ne
fera jamais encendu encore que l'on
prenne pour une folide rraducHoh, ce
que j'ai vu trop (buven: à regarddes hau-
tes Sciences une <uite de mensonges
au~t mal ajuâcs que mal conduits & mai
amenés.
En employant les <ept premiers nom*
bre Suivant !es~rindpesque)'en donne,
en verra non-ieuîemenf avec queHc nm-
pHcïre !'(Mgina! fe développe mais en
outre de combien il e~ au-deuus de ce
que j'en dis, n'ayant pas voulu dans
1ce premier ~uai paro~rep!us Romancier
que Traducteur.
Ayant cet Ouvrage dans les mains,
je dis le Livre de Thot ou le Jea de
1 t
Cartes nommée 7'~ro~ on cn~ht-
gue, que comme Livre de T~o~~ il eft
principalement compote en i. 7 Livres,
c~eS'à-dire qu'ilRie compote &: écrie
pour ëcre !û en commentant en ï Livre
78 Feuillets entité en 4. Livres i x. s.
& S 6 feuil!ers;&: enfin en croihcmN
qu'il faut l'étudier en~epc Livres iuivanE
la formule que j'en donnerai dans le Ta-.
bleaugénéral des y premieres divihons;
ce précieux Livre étant Hifcepnbte d'une
nlukicude d'autres, je dis de pluheursmi!-
Mons -de billons,fans jamais otRir la m~:ns
te&ure, ou les mêmes iujers. Voyez ce
que j'en dis en partage de TY/~M, de
~~0/7~ f.M/ & de moi-même, dans
le troinéme Cahier page 2.9.
Con~derancque FA~phabcc du Livre
de T~, t. i. 6. y. ne ~e dé-
couvre qu'à mesure que l'on fe rend cer-
tain par l'étude que les premières !ectu-
tes doivent en erre faites en <. 7, li-
yres, viennent de nouvelles lumieres nous
éclairer pour fruit de cène précédentes rc-
flexionsque l'expérience démontrées
n
fauiïës ce qui n~a toujours fait. pen&f
que le Livre de T~ dans les mains pen-
dant dix ans demeure infructueux en-
core que t'en le ~upconne &tennnque, fi
on n*&pas de vr&is renteïgnemens par une
étude primrtive de la Cabale, ou au moins
te~ude&ges levons d'un vrai CabaliC.
M.(t) i
Découvrant pas à pas que l'A!phabet
indique l'ordre des !e~uses du Livre de
T&û~bus-eMend~M qu'it faut avoir
trouvé avant cet Alphabet, on arrive au
point d'entrevoir que ces trois nombre:
t. 4.. 7. ou 7. t. & enfin que les fix
diverfes permutations que produisent ces
trois nombres t. 7.==m.
x i étant le centre & la circonférence
de t. 7. it eft unpQfBMe à un Caba-
h&e de reposer tranquille qu'i! n'aie trou"
(t) ?MSan DMettatmoL Ctf tes Sciences
eccult<'s<qae)*etpere mettre au jour, )e dé-
BMntfe&pMaveqaetes Jaiis modernes ootindmteeetTeMF 'tre~cMc~tons ~M Encydpp~-<f~ t <c Mtrct qm ont Tea~t pMlet de
ve la vérité analoguea ion objec que de
choses à tracer Mais prenons de l'or-
dre, a&n de nous faire au moins enten-
dre dans ce coure abrégé.
Ayant le Livre de T'~ dans les mains,
Ïn~ruit en outre que ce font nos pre-
miers & nos plus grandsMaîtres qui l'ont
compose, quelle doit être notre ambition?
de le lire courammen! & de le com-
prendre, ou qu'il ~-rve de nourriture à
notre corps, s'il ne peut devenir cel!e de
notre e<pnc. Mais eH: ce par une foule
de faux ï&i~oHnemens qu'il doit nous in~'
truire de la route que nous devons te-
Nirpourte dechinrer ~Devons-nous con..
fulter ces miHiers d'EcritsfophifUques fur
lesHiéroglyphes
des Anciens Ce Jeu de
Cartes eft unOuvrage ~cienunque ou
S'ivo!e dans l'unFautre cas les lu-
pernciels Antiquaires ne peuvent poin:nous conduire, ou au moins ne nous indi-
querdans leur
apperçu que fi peu de
'Y-
la Cabale poM en pMlervMÏ, il ~mC&baÏ~e.
°
11
cno~es, que cela ne vaut pas la peine
d'employer un tems beaucoup plus pré-
cieux à les consulter. Si ce Jeu e& fri-
vole ou fait fans autre Idée que d'amu-
&r ks Dc&Euvfcs, ainh que rin&ùtena-
ble Domino je dis pour un homme qui
rai&nne, nous ne devons pas y rencon-
trer autre chofe qu'un moy<n de ~e<r
le tetM machinalemcnf.
Sice Jeu
eu
~endSque t Udoit être
CtaMi fur une bafe qui, une fois connue,
nous développera tout ce que les Sages,
en un mot, les premiers Egyptiens y ont
trace.(~ i
~'interroge mes fens phynqBes ma-
tériels, & je voisphyuquement une quan-
tité de rapports dans les Hiéroglyphes
qui me font natareHemenc tbupconnef
{t ) On v<ct to~oufs & Ë~tfer que te
~ac t'en M ccnpciî pas ip'jtpas
été éta-
bli &V€craIC)BBcment :o~vtnt!MÏ,onJH..ge & on parle mal; fementonsa la Cource de
tout eu nous rçtomberons aant la décadence
de. Sci<:Me~& <k< Am ~cc&ife< x i'Huma~
BMC.
qu*iîs
~)
qu'ils yontétcmis avec ordre; encore,
dis.je, que l'ordre en (oit beaucoup crou-
Me, puisque plufieurs des Hiérog!yphex
ne ~tM~etK plus mais celui qui y e~
encore ne Uic qu'avenir mon i:Ke!!i-*
gence jours nuits n'ont plus pour
Moi d€ diâin~on;je prends ie Livred~
Thot, & je le pa(îe pendanf vingc ans
iom mes yeux en cène mille manieres
di~eMes & edn je parviens à rrou-
ver la verica~c intention des ~erc-~
~<t~]fe vais plus avant, j'y trouve Ls
rems !e !ie~ par la di~cipUne du grand
~f~r<'A te Rhodien, & du julle ~r~
~r~ !e ~amien ennn 17 Mages i'o~c
compoS en quatre années.
Je jette mes regards avides de tous
~ces, je ne dis pas le mouvement
dtt Septénaire car ~H ~euïHiéroglyphe
de ce Livre me ~nifoic pour Sentir ion
ménce, &: démontrer comme je vais
le faire numériquemenr/que cet Ouvra"
~e dévoie êtrecompote en 7~ teuil<
iCK &:C. &C.
i un Livre ~n tout FOuvrage en u~
4
Su! vc!ume tout l'Ouvrage en qaa.<
tfe volumes 7 h6bie ( ians teMem-'
b!er du tout aux autres ) en &pt volumes.
J~addiuonne i -4-t-7– t j'eprou"
pourquoi ce nombre i ~e trouve
)ct ïnontnt~Ugence
d'accord avec mes
~chs, me fait remarquer que le centre
physique e3.tci ~;U mere~e n-7–.S
le coupe ce nombre en deux,8
je mets donc trois fois quatre
ï. ;e trouve que 1'4/ domina~em:
de tomt*0uvrage tci numcnquemenc, J
& dans tesHtero~yphes du Livre phyû-
~uemenc e~ ) ce que je prie le Lec-
teur de te remémoiret.
Ayant dit plus haut que lA étoit te
eectre & la cncon~erence de la; divifion
des levures du Livre de Thot je decds
geométtiqucmeMavec mes tro~
pour Nommée, un triangle équilatéral
( dont les trois côtés font e~ux ) &: x
~n. fe décris avec mes. quatre }. ).
HR quarré dans mon~cercie qui
me redonn* quatre mandes equiiate-
mm ne ~cm-on pM, ne pouvant tout
e 1
~ypum~f parabréviation qu'ii
rau; que
j'mrerrogele cenrre de mes y Livres,qui
eftph~yquement Ne ~nc-on pas que
pour tire un Livre U ~ut L'ouvrit.' e~
deux foit plus (o~ moins n~'s <~ue
Fon ne peu: pas le lire fans rouvrir Les
Sages n'a\'oi€M-i!spas compas
ce'b. t
Out fans do-ure.
Je dis~'Ouvrage quidoit ~re vu pour
epeler en un LivM doit ctre cfudié e
"pour apprendre, en quatre Livres &r s
pourfepetre<tionncr,€n 7 Livres; Com-
mentm'y prendre pour. en faire la lec-
Cure vs·r o,14reture avec ordre en quatre volumes? i'+'
4-t-7-~ ) Sûrementl'Ouvrage vu en
quatre Livres lepremier tome ~en î i
feui!!ets~ cela eff vrai. J'ôte ma que~
tion i! me re~e ï 7 ks deuxpre-
miers Livres, vul'Ouvrage enner eu.
volumes font donc en 7 &ui"€Cs ?ô
Cela eft vrai je mets 4 &: ï 7~:1 ï
les troispremiers Livres (ont donc en
i ï feuillets ? Cela eH: vrai ou! tout ce-
cela eu: véritab!e, & n'a jamais c~ &~
à raveaturc lesHi~ogiypbes nous ie
B
démontreront d'une manière pa!pab!e.Il nous rené à trou'/er le nombre des
<euit!cts du quatrième volume, fi on ne
veut pas s'en tenir à la !ot Mathématique
qui démontre que deux côtes connus, le
troiheme cR trouve.
Les ~ages Egypnens n'en ont pas
~tit myâcre mais ils marchoient avec
!es hombres & ordte de nombres 6ii-
vpns-Ies, nouï y gagnerons beaucoup
~!ut, nous feMouvenant que !cs nom-
bres~ & ~7 du quatrième volume,
~pmme c<eux de C & de du Second, &:
~e~,de j ~e de ~da troiûcme volu-
tne &nt ju&cs dans ï. 7. examen
que nou~ <oumettons au~ Riches dans
!ps ca!cu!s vulgaires.
Ces trots nombres ï. 7. font iné-
pui~e~s j*en appetie à mes Frères
ptais~e ~y~cre qm&appe !e prcmter eit
:jeïe ptace ain6, Y. ;7.&jedis
7 & font ï o. & i font y. ou t Se
& 7 ce qm e~ le même,
J'ai &hs doute pour opérer ainu quel-
ques M~s raUbns oui car on doit
~9)
voirque 3 efc foujou''s
dominant ians
fortir de la même formule puiiqa't!
divife non feu!emenc Fefpnc de ï.
y mais !e ncn même dans !'or-
dre nmp!e nacure! & phy~que.E~-
~ayonsde pénétrer p!us avant, en nous
metfant bien dans l'efprk, que ce qui
nous indique cette levure 7. c~
le nombre 3~ car,comme j'ai fait en-
tendre, !i'nrd!igence de !'A!p!)abet dl
ï. 2. 6. 7. ( &;ion centre eft
ï. 8. ). -ainGiI~urlire
3. ï2. (t-t-3~ dont
la moitié e~ a,&: le quart t ainn de mê.
me~-t-7~dont la moitié eft <?~&e
quarc } & à prefent ï -{-H- 3~6 ,qui
cft la troifiémepartie
de ~-t-6-t-'?~
ï S. &c. &c. Les Egyptiens n'avoienc
pas besoin de parler à nos ~ens. mais
ieuiemenc a. notre entendement~ nous
lescomprenions.
Surprenons agréablement ceuxqui
aiment les hautes (ciences & rendons-
en admirateurs les perfonnes qui, trop
préoccupesc, nepeuvent
en faire de fo~i-
Bitj
]¡
~es ~Mdes r quant à. nos R~scateQ!~
prévue tous mtons &n~ avoir padé, <?-
~e qu*i!s ~ayeM&it d*énonne~ v<
Mes, ceœ: ~Qt Ee&ene, ~s-!e. Boas pe~-
jMKMnt de noos recr~ef à la m&ntefe
des Br~es, des &c~ éonMaoc
Bo~is ne p<~ûn~ îes emp~her<te
~~MJ!p~~h~ ~op~~
Be~n~vent~~Me~aeBt.
~e ~<!y<~s.ce~<q'oe
~.t~~e~en~ giudus~a,; s.
'p~~ ~(
~'i!S~
1 ~`~"``'
'~OBt~N~(~<~M
~'4t~ân~ ~ça~ s.t~lâ~ï~ïi~ïçe*~m~
-°'
~M~T~~&~eNe?,
'Se~S~ -M~t~~ Et~ëas~
;~m~
't~)~v; ~'e ~sus
We ~t~tn~~re cüsq fac~ s I~~cïr~e ~o~n·
~-jt~.p~ ~Enc~ i~cr~s~~e
"$![~ la Na~·
~~të~~ ~'e~tttâ~s ~9°t~, s
~Sï.-y`
ë3~J~~etttf~n clE~ua~ qui~`b''e~.
~u'un ateci~tttdes tr<mtutre$, &c.
il
;a~~e~a(e)ecoicen n &uH!ets, !cS
~ux pfemiers en ï 7 & enfin les trois
~MreaMefs.eh tï ~mUets~ ayant, dis-je,
~mpce au pfe~Mr a<peA de ce Livre
s~~u~et~, ou James n'avons-nous
~.p~ctenc !a derntude qu'il eO: com-
~te~ Nous yerrons que tout cela n'cft
~pas un vi! jeu de l'imagtnatton.
Out, !e U~e de I~c~ eft:encoK au-
.jomd'hu< dans cous les Heux où on le
;jb~que ,en~on entie! on y compte tott-
~&mUet&:aini6 on ~em donc que
~!es~ j~~ptiens ne baMj[Ïoient teurs phis
.j~eaa~ ouyjcages que fur !es nombfe~
i l~n O~rage comme celui que je tra-
~~s,qut~n~me ~Univers ehttec dans
'touteeq~tae~l, eO: & ~e~Macon-
~B~~nee~d&shom~ne~, exige t~ou!' en
rd~ner <euÏMnenc une~gerc e~ttH~e, un
~n~ pa~cut~ je fdis en ~eReshïtïanc
HNc~conde,: co~ien les ~ecs vien~
~epïe~~o~ pt€~eh~e!' &: rpr'-
~e<Hc &a~ donner pour pacÏC)'
~~ïe.de~ ~ete~n'a :non~!e-.
,~eM aucunes nono~sdcs~
B iv
tes des premiers Peuptes~ mats encoce
qui ne veut pas, ~oi-dt~an~ ~e rafigaec
ré~prir pour entendre ce qu'ils etoient,~
ce à quoi pendant ptus de dix uec!es les
hommes s*occupoient -pouf patÏer.atïe
~ietranquUie,beuree~e, & de longtïie
ducée, têt que l'on le jugera par le Ta-
bleau géne&tog~que & chronb~og~qoe qut
}'ai ptacéà la fin du deuxième Cahier.
Oui, t les&je!:§ ~iemMBt avec ptofu-6on<e p!'e&ncec,& }C t'avoue,ce qa~
€&ie p!n$ agreaMC) quoique furchaf-
~geanc de &t!gae, c'e& d~te oblige' de
pre~dM toMste~raiMs ua à an, & ~e
les reporter à Fépt, & entité a cé-
lu!e quittes ren~mtoit Cïn tt &uc aotec
que d<ms !e vrait otigina~ ~iuji.ivre de
7~0~~ je d~te~etoM~inS~e je&tt-hMpe !etcemett!t! eM oFdte, qù'i! n'y
poiht d'Ï~Cstie, cotame dams!que tous
Jes O~vtages qu4 eontp<~<enc nosjBi~tio-
th~atte~ Oa!, !e Bepete, non*eme~t
ÏC JLivce ~Maer, mat~ chacun de ~uil-
!e~s doNne MaM<9~ une ~u~niîËefé ~e
teSexiont qui cnûa<aiem &~ po~e~
(!~ ¡
~at~t p~edd du Tfir~n~ de 1 1 ÏFamé au p~ed du Throne de !a \'erhe
ce qui n'eft certainement pas de mcme
dans la compontion de nos Romans,
auni éloignés de la lage Nature que l'on
veur dcsuiter qu'art<6cieu~emenccon-
duics pour étourdir notre entende-
ment. Ne quittons pas de vue notre <d-
phabec.
1.1. ~7.iS.(i) ce nom-
bre (le fecond parfait des Géomètres ) en:
un des premiers qui a dû nous frapper;
auul nous intéreuer~-t-il, autant que t
qui nous a conduit bien naturellement à
ravoir le nombre de tous les reuil!ets du
LiwEcdeTtc~; & peut-être, oui ~ns
doute en jotgnancces deux nombres
(i) Le teneur Terrt que le L!yre de TAo:
e& de tejtM côtés ~ttb~tittrïe nombre 7. Sept,
~nTaBti'MKmeme de.Ctccro/t, <:&It clef de
to~tetlesScienoes. Sut~Mt~e PfPp~tfJ/ate,tleaie;Mm6re d~S~ciïe ,& d'en~ndemëht
S~tT~n~M ~~Henjf d:mt le ~fyfede T~f i
d~S~geMe~ & de t~tx:! Sciences huhi~het.~a6ncoBMtexS. JM~danstit ~blime Apo-
ca<yp&~ & en genéF:tl tout ceux, qui ont fent!
la rertu &~là propriété des nombre:, & pMt~
<MHcremeatSaMî~Mg<~M.
îH-ta~~a (t),noasaaroM de aott~
reaux ren&tgncnten~ <UE!a
compd5Moh
decëtOavfage
en générât de !à
Saetïce&~Ïst~e~dBËgy~Mem(i).
8 ayanc ptïs fan @CMt des tcpc pré*
BMcR nom~tes an nueo~ da prerMep
par&tc dans h~niEê on, p~enaUB !e cen-
tre quatre, iKe mue en cetce~orce 7 x
:t$(~~nt 7.7.7.
~~t~~aMK~
(~ H y à ?< tcf HSt~g! «nttëMtt
~M '4; ==. t~
~t~~
~& ~$" e~s~eëtm'~
~'iM~ë~S~
M
&nxqûe!s ~dus reviendrons car mfen~=
biementnous perdions !a ttace de no-
tre traduction.
Quoique je ~ache que !e I,ect:eu!'
&perncie!, ait, comme i! ne ce~e
de !e dïfe, une haîne immorte!!e pour
Ïes repetMoïM je ne m"c!o!gnerâi
pas de mon ~y~êmequi eA qu'on ne
peM pas trbp <e répéter les aun es
'ttop Hre &~ême choie kr(que !e pre-
<ntarv<uc Ëncerement in~ruire, & te
<iecd~ ~fd~Mf ennn je travaU!e, je le
dts onvertêment, peur ceux qut afpirenc
a MSct~Se~ &~ !a âgcue des Gymno-
~opn~és Indiens, & de tous ceux
~e~nt ïegittmement le premier
~hg dans nés pen~c~ï. 7. nous ayant donné &: &,
7?~~o~s!!aMdhs couper en deux ce nom-
~jfphèïque douze i. <?.
~ï o. Que ehetchons~nous?
~6~~ ~~re de Thot dans ~s
~0~ i~
~ir.~M~~etËeKt~e nombre des
~is p~n~umës~ comme Uie vo~
pa~$ ~S~)~6 Bo~HMoa~
tï ~n ~~e &Kç t ~~t~t~~
titables c!e& de la Sdenc~~ e~
tement ~!B&~ MuM~<~ p-c-
~er~vM,
~n~6e~0tâ~
$~s~
~<n~t~&es~~
~f~
.~c~~<
'M~
.t':i'ge!.e&~
.Uec~~~i~,5~
~~f~
/.t~a~
moMi~~ta~~a~
)M~]~ .).
-~t~Jt.~ ~v~~y
r ~~i~i!
ï~ ~ac Je~r~Sër
eC; en t i &MMets, ïe
)7
Second ea &uH!ets & le iro~eme en
$ ~Uets~ce qui~ic e~ tout ~ui!"
~~h
Je demande j[tnc;ercmenc qne!s dnf-
ccurspourroientaccorde!' des vérités qui
paroiHcncd opposes au jugemenc vuî<
gaife Suivonsles nombres i!s auront
b~ntot donné !cjn~e mouvetnent a. nos
~~urs~
Primo. Le non~bfe ~7 ne vient ïd
qae poacnous témoigner qu'i! e0: !ié am
tt<~6c<nc Livre ;ce quiétude !a.p!us hâu"
te inteï!igence des Egyptien~ qui onc
~enc~~Jtes CEei~ xo~mes eMt'eux, p
;~$ eMngcomettr~j le prcn)~er Livrer
cçtte &jétio! ïpy0:e<;e fqui ne taï:def~
p~sà~dc~oiî~Cette chaîne ou !iat&n entre !es trois
d.etnteï-smvr~, e(t d*auca.nc pms adm:-
raN~.q~n ~oït ~ypquement en-
c~ejqu~~o~ ne p~i~i~ -d'ire c~u'iytel-
~~ë~e ~~pM~e' qui circule
ea~i~n~re~e~ea .lâ rou't'; occu"
pant indURn~entent a ton choix 6 p!a~
c~ bu nxement~ dixième ( pu, rhom-
ïne aquelquefois i'orgueit de voubu-
~cer, ou Mtcter~r ye~ ), ~e& q~m
"ï~ tss Sages ohtdaRc~~QT~ d'y
Nciettfe ÏaFotte je dts t€î dtit~nïc
p~i~sM~
6e~<e'~vK~~E~Mo~bf~~
,:CM 'm:s 'S~es-~nt'~c~e
~é'tn~v~~o~~
~$~-€S
bien p!Ae~dàï~ !& v~Kté .TM 'x
~c~M~p~MenB
~s.&ï~WaoS~
*t!â~a~~
VBt~t
~s~r
~~N&a~~t
~t~S!SM~C~
wt
.a~~
"î~&~r~?~ 5~~r
r
~4'à1re.
£`~ ` `~~g~t~
~~i~cs
~i ~~r~s k~ x 'idé:
<
(~) l1
.1 1
<ïp nombre a teprivilège d'occ~pererf~
wera! 6~~aces,
&par goûc
ia treizième
h dtx'-huiEîeme,!a vingt deuxièmeoûen;
& domination & entm~8' pt~ce
t).La mort
quîe~ !e
plus approchant
dt: ncaM, a &uSt !e drok depeEmuer
(a
place, ce qu~He&îc en
formant y comn~e
~~àgcsnous fonc rendu, les nombres
ï~. !ï6..& ïy. (cederntero~e!!e
démettreplus veionners qa'&u
nombre
~3 de de&endteoude rétrograder.
N<MisavoBsdé)à fak ~tverjtes~oper~<
ttons ptMïï ~ïaM~eï t~sete nombre de~
êtoh eti ecHBdans !? Livre de'
T~t~nëtt&eïi avo'n~ encûM à ~dre y
tM~Bes~e~ven~etrebîen entendues'
qu'en y ét&M ~ën~ pat les nombres
nou!! aKen&rB~sq~snous
yconduisent
joSMréHétn'ent.r
~oas~ ï R ? ï. S~
~at des ~coaap~~sdes
RmM premiers
Bo~re~Baais Êmt ~ïrë attention
q~ !gs 'G&bs!t&e& ne teconnei~ÏenB
(t? Ces Hecx <Sgnes tre cectre~nfent p~
Moxe~H~&tre~~cdans~cg~Mt.oa.
4.0) 1
~se~~HX nombre 6n~m~n~i~~
~6. 7. ~Meot-
Ms~et~o~det & me:
~t.~mpo~s.a~
Si~& pa~ok,id~~I,c'clt
.B~Bë .n.~tes, ,i.
-ê~
~a~
~~a~te~~
tom-;gx
~g~?~S~8~ ~s~
-5'M~~
'?~M~S~
-M~~E~e~te
~ï~
''i~
~')
;BMon<caita,ui5que ï. !un!te paHe d'ua
nombre & l'autre depuis le p!ns pedc
jufqu'jm plus grand, fe cb~nmuntquanc
imperceptiblement i &: donnant cee
exemple au point ÎMet!e<~ue!&:phy~-
que qui fe cpmmumque de même
pour&Em<~des!igne$,&:en généra! cou-
ces 6gu!'esgeom~tfique&( il n'en exifte
po!nt d'autres dans la nature phynque)
à l'appuî des nombres revenons.
Apres 11, vient i ) qui eft le ~gne
ej~yant de la de~ru~i~ mais avant,
~es~, ~ient 10) qui eû~e Hiéroglyphedu e~de de î~ B't co ï c~
ic ;Blefcgtyphedu cerde~
Entre ces deux cercles cMa ~para~
non&eîice par le Créateur~ ceigne, eft
i, 9U~a. baMie~ e~tr~Dieu les hom-
~Cs~ieujoutuaMd~!e ï o~~ cerc~
;oN~e e~~n& ï ~c. qut
.e~ véntaMetïïépc leCgne.de, ~n e~péran-
<? entre t!. fa ~iMënc, &: 13. fa deC-
~fu~:î6n.'
Q ~'ay~eydit que=; ctoit p!ug rbrc
~~c ~)il&u!: ~pourtanc jfc repottcr j[m-
4~
tes xnj! <iës E~p~eas, iqnt aa~
'1&nëa~~r~ M~ -que
e~ pïËM~ to ~tte t ï
~ue îo~ & èSas iqoe eît p!us
g~hâ~e ~t~~ to&s Ye$noni-
~â~SE~M~t~
~'o~tc~s c~~i~`~~~tïr
--m~M' 'Snc
~Më~eTÏ.
:,o~M'l~s~~n~
Co~tf~M ~ttd otd~, it n'en eà p~s
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~`~'t~~ilér~~ç~~ rt~râ~~rera~
es z
~ïo~' ~°~t~a.
't, e
vie, parce que 11. ne comprend que
nos rbibie~, &r ta ? vérité envers e!!es
mais pour avoir ta vie, il faut donc otgr
le ugne de mort qui eA gravé le long
de cette table d'airatn ,ï.i.).)~
~.7.S.( to. t m car i-bi~.E.:
< 3 ainR tooc du tong.
Comment ôterons nous ce fernbïe'
6gne? Dirai-je en étant vertueux ? out;
mais dans îafcfcnce,c'en:ennousfervanS
delapuï~aaeede!~n!:e,& des deux pre-
miers nombres donc vous admirerez t'ac-
€Oi'd,S vous renecnifîez que" tous les nom-
bres Hmpïe? & compofes fe recherchenc
inarchent avec le ptuy grand ordre, $
avec to. t.avec t !.& ï avec ï 3. maie
*ÎJM &uc pas pauer outrer car 4. s'a dans
ce cas aucune putnance fur qui luS
oppôferoit î'unïté ï athït a. 8, &: 7
~.Faîtes, Je vou~prie, attention a. ce Hux
& renux qui e~ dans les nombres à cet
aÏman, pa mieux à cet amour qui leuc
communTqucîeur gropriéré réciproque
6~$ 6 &:à 7 ,ta. perfccHon du
par~ts.&' la ~agefÏe bumaine.
S*jt! arrive, Fprdre ccant dérange, de$
contradictions, l'agent&bdi~t& <on
pa-
Hent~ 6 l*ageM opère. &run &Jec qui
!tï< ~tMnger, iÏa fecoufs à !*agenc
p)~t;ifdQntite&â~ m~s reve-
nons à~t;es de mort pac ïa kAa-
-S-VK~.3~
I! y a~ u~ )!ettï iSg~ëde tnott, nature!,
qpifie
~epr¥en-
_sïe~erc!e ~~CeKe
~OMJ~ te tu;ec, an
'r~deta~ vé~-
~i};ron'
~s~raad~ ça-.
~naS~u.par~ me*
m~ ~i~~<: ~S a donne la, vie, n'ap-
~e.~Ht ~.juAtce les. ani-
'i~â~t,s-)e,ï&tjMBS~r'' :.1
.N~S~~u~:I.~ :t.~ ~a'{0
.e~~B&~ëtÏn~U~t~Me~ pHyH-
Oh eettx-et btetes
t~jnM~S~
~u'iï n*a pas donne par neceUKe mais
par &boncc.
Si on renechit que la durée de la vie
dp tous les Erres quelconques, au-def-
fous des~ommes, acceinr uniformément,
~ivanc (on e~ece, !e p!us haut cerme de
ja cadudcé, on Sentira dans !e mora! !e
bfas du Seigneur appc{ant~&: dans !e
Phyuque une nonchalance impardonna-
~e envers tes routes occultes de tara-
ge Nature ( ï ) qui ne cènepoint, corn-
ue ou dit 4'etre une bonne mere mais
bjenpJtus vrai d'avoir des enfans dont
l'appauvriH~men~ phyuque &: moral ef!:
manijfe&e. C'eft la Nature a dit !'m-
~nÏe, quL nous porte aux extrêmes
qui nous donne un penchant quecon-
damne !a !oi Non, rçpond le Sage,e*e8; !a rature déj~ ouctée ou que
ï'o~ veut ~b~umenc abandonner, qui
(~) <C'e~Meh M le moment de dire que les
Mtcîens PhUp~ophcs ~'appit~uoicnt à recon-hoître les peite~ let famttes, les mond&Monsite~~ëhereSes~ & en6n les tconbie.tncnts 4eterre qm devoietu aïriver,
(~)
çontmintc de dcïdMer tes ju~e<droitï.
v
On ~o~teï~ N&tare~K taïdem&ti-
de d~ f~ns ceta: ï~~e'~Me mere-
n'c&p~M ~~ë & M~
<XîS~Ue~es a
pr~-
~€ma~ ~nd~nge e~e qu'enar*
~e-t-tïïbepae~e~~ finf~rne,
~(<
eM~M~S~j~ âe~
~e~S&yd~~c~ <M~ ? ~oK
dëtcepd~ tpnJ~m &v~M ht morne
~<a~<r' ~i,
~a 1 file â ne
~inme Mm~bÏc po~ !â ~d~ ~~Bpa-
-gh~d.e.~n~nh~ur,~
~c~~ ~vf~ûc-i1
.i~?,t~n~ ~Sâc~e~nart âa~'t
pe~Mo~
~~vér a~ €otMn<h de j~atNaoce
qu~i!il o~ ~tc~ue~ qu' o;pr~xde f~t
~J~~ ~jl;rn~Apa~t~:
'd~<~q~~e.
~ho()~~ 1~ vi~ a!-
~nt ~e~ âttcr~ b~ëc qm t~CIne
~M~
~7)
ubtes le feroient trpmir de colere ëc
d'horreur.
On vouoroic vivre au moins un ue-
c!e ce terme n'ciott durement pas tou-
te !a durée que Dieu avpit accordée aux
premiers hommes !es plus parfaitsdes
Etres ils dévoient fans doute (urpaMec
a<lCI les autres à regard de !a ducee de
ta vie (t); c'e~ un Tyâême, dirâ-t-on. U~
~ême écrit par les Egyptiens Us en
etoien: incapables. Reprenons Fordrede
h &ge Nature, avant d'avoir ereuie nos
tômbÈaux, ~jecertinc quinze ans de
p!us;jfuf!â vie de chaque homjne; la
routeené&tacitè la pratique ai~ee:
mais <oic &ppo~ë rhomme que ~ai en
vue) ényvre de miUe payions grotHeces~
~Tp~mbiaM à un va<e fc!e; qu'il écou~
te la Nature elle fera anez fbrre a~x
puiuaMe & atîez bonne pour éloigner de
~<es tnnrmiies, & lui aMonger les anss
–t'r~Tt–
(X)ïlj:~vr~quelc P'ophete'Roidécnt (~ton tems la vie ccmmuae des hommes n'ai"
tant qu'à 70 ans mais )i i~m :cmoBter M~tjMMMtettCOM.t.
juiqu~ une r~îpe~aMe ~emeS: ( t ).
.jS~Je~et~eM~hJ
~iE~ce~
d~i~ ~us
.Sm~
.ï~<
'I~i~.Je' r..s
~j~'$~ons.
¡5~ ,~bti
qut~pac~Cf
~n~e ~~ne p~~cha~
~n~3~
.B~br~.a~~ 'Ç~oar~ ~v~,
~connM~: 4~ ~t cs~
<~M~ ~e~s ~nS
~E~MUSk~yo~~
~heaanme p~ 1~ ~NMwe fM !n-
t~genee, b &tM<~ bien &: dS mst!~ la~~dëf~~aer;~e~s'p~
dH~B~~a~x. mM pouvons-m~ t* M~~t-4 '~emcn~~
qa~~M~b,t &ttppow ~ëtre Mtl-
(t) ~~BAe~~m&e~B~ ce ~Maaèredo!t être CMËdet~ eemtBë e€cu~e,~E coaune
VulgaM<t
}oarncUcmeM
49
c
~oNFneHementfous nos
yeux 9 lorsque
nous découvrons le Mgne abfolu de la
s~ort dans un moribond, & i'Eccfne! îus
redonner des ans.
Le Cara~cre ï ~e permue ainn
f< t.~.===~==:t ~==~
entemMe
11ï. qui eH: le total des fix preuves nu-
jmeriques que !'homnM ne meurt point
en (on tout vérité qui nous e~ paï~ai"
tement démontrée dans le 7~ 6suH-
<ec du Livre deThoc & que ~er-
ee~Tr~t<n*apas oublié dans Ton
~~M~rc.
I! y a trois autres ugnes de mcft,
CMais qui ~oni contre la bonté du Créa-
teur, & les fages loix qu'il a impotëes à
touteia Nature ,& patticuliéremenr aux
hommes à qui il a ordonné dans leur
connoi~Ïance du bien & du mat, le de-
voir de le remercier & de le glorifierde leur aai~ance,&de leur mort, pui~
quec'e&parcetce derniere feule qu'ib
peuvent entrer-dans la gloire de Dieu »
&ê:re~uittesdestdbtt!ations de cette
yie humaine. >
$0)
Lor(qu'ti arrive que l'homme me<iK
par Ftin de ces trois Ggnes, U eft on
moralement, ou physiquement malheu*-
reux.
Moralement pat le ~gne de t & de
PhyGauemeni, par le figne de i
de n. Ennn ,di~enc tes Sages U e~ pee-
cabie & pardonnable par le ~gne de 3
de t o ( t ) mais U ~uc expliquer ces
quatre (tgnes.
ï-t-i ~.Ce ngne e& celui de
mort par la ~otomc pure du Créateur
les trois autres étant feulement par à
permiSon.
H-1 ~.=~ ), e& la mort premant-rée par les impies, les brigands, les vo-
leurs, les tueurs de gens, & enfin par
des ~ugemens ~ux elle tient de celle ae
Soccace Pythagore, Archîmède Se-
neque & autres. Les Egyptiens témoi-
gnent que la pennence des a(Ia.mns fera
Nombre de l'EECEMte, c'e~-à-dire un
(<) TcMsces My~em font tirés du Livre deTAct.
Jï
1
s P t.
tcm$~m!r.eiurab!e:~ connnucnc-i~cju.~
o~e en doucer, c~ un montre humah'<.
)-tc~:i~.eit!a mort partes
~bûces~&coufes morralires quine peu-
venc être aiCfibuces a foi ni a ion pro-
chain.
2-t-t i~ i!vaudroir mieux dï-
fent les Sages, ccrere~e dans lenMnf.-ce
i'bnf !es infâmes qui ~e~onrarrac!~ ia-vie
quimoraiemenc &: civilement ne !eur a
jamais appartenue (') mais le ~b'eau
des nombres morre!s, nous inn.ruira.~on"
chancccs morts Naturelles Prcmârurcex
& C.. fe rei-louvellant que les& Crin'tnciies, ~e reiinuvenancque les
Sagesfont porrés à croire qu'au nom-
(t)!le~ défendu d'altérer la monnaie du.
Prince, de la fondre, de lajctter de maniere
q u 'cl!e fe trouve perdue pour la Société Se
on veut fe cacher que Con âme eR moins qu'un)vil mécai Un SutCldc eA donc bien me"
chant & bien ignorant S'il revenoit com-
bien n'en conviendroit il pas ~V. B. Si
une perfonne s'efl jettée à l'eau pour fenoyé!"
fahes-lui boire quelques coups à plu~eurs re-
prises jamais i'a~reufe fantaifie de fcnoyer
ne lui reprendra il faut lui faire perdre is
îr~p/z~ mais agir prudemment.
C'J ij
bre de ces dernières font ce!!es auxqueî"
les nous donnons lieu par notre incan=-
duice, notre ignorance & notre non-
chaï~nce à ne point étudier dans notre
jeunene, toutes ies parties de ia Méde-
cine, de ïaChirurgie,
&c.pour de*
venir !e feul Médecin de nous mê-
mes, n'y ayant rien au deSus de la
~acie & d'une vie longue !or~uet'en eA ju~e.
t) 4 a t
)t tl I 98~~
t t o
7
Add7~t~.{4.! b;.)"
Le premier ngnede motc et~ heureux
6 Dieu appelle l'homme à fa grace; ou au
contre~ c'e~ pour arrête! ïramefourdeou ouverte de tes crimes 1~-).==:
Le deuxième e& phySquemencmaî.
heureux pour- l'innocent, mais morale-
ttneM cerribie pour cetui qui lui a occa"
CotMcbmort, t-t-t-t-2,
f;
Le tfoihemc e~ en abomination aM
yeux de Dieu & des hommes; 2-t- !-i"' f
Le quatrième ugnede moîr v~ent
~ouvenc par le peu de prudence ou de
renexion & enfin par le manque de
Science qu'ont les hommes fok qu'ils
jl'ayenc rien voulu apprendre de vrai".
ment utile àla coniervation de !a iancé~
a !a prévoyance d'une mort prcmamrée
ou ioic que leurs parens, incapable'! de
leur indiquer autre cho(e qu'une route
vulgaire minutieufe & remplie de pré"
jugés, ici ayenc induits en erreur.' ce
~u~triéme ligne e~ donc -+. o ou
3 -i- t + 0. ~=:
Tous les autres ~gnes qui (ont &?
grand nombre nerapporcanE pas <%s
mais t tels on en voitquelques-uns s
font des faux ngncs de mort ceit-à~
dire ou la mort n'a aucun accès, encore
fuppofé que,comme des ~y~ os
deureroit dix fois la mort en un jour..
Je protefte avoir connu des personnes
<~m en me confultant m'avouoient que
Cn)
mep~s ~eng-tems eïhss a~otCM{!es
Nias €hez!e~. S i ~cn €as été te tnâ~rè s
~usvou!uqu*eMes6ïSentngoaKB&~en<
~Cfëes;h~~eMnM~~ ;e
)&e eot;~M<&;s ïïc~eaf Sémen~er t*hoB-
~éatde4c%s~namens ,aux~
~a~vâis ~n!ë !es é~ ,6
<<M Me )6ttoie~t pbmt <~BS~
~rNï~a~cn appât de ~mtëp'&~ à
'~e-cëMmM~
Av~ 4e~ ~ïi~M~idns ïes tR~tet
@<ré i~cënt~ ~~onKe & i'hom-
~i~Sà~G~
f~J.; M ~M~)r~e~ Égft'ti~
~tC~T~re~ë~~
~j~Ë~
~<ë~
~aj~
~t~
~t~i~
-S~
~a~a~
~J~û'S~ ."?'
~nes, ils nous prouvent que -nous av!ons
t~rc, en nous confies moyens d'ar-
tacher la fource de nos chagrins,dè te!'e
nature qu'itis foient même de la mort
d'une cha0:e epoute en verfant abon"
dâmmenc des larmes de contention avec
Bous,ou en !a guenuaht (ur!e champ s'il lui
teÛe un foufle de vie & enfin en nous
donnant de l'or tout autant qu'il nous en
e& neceMaire pour redevemr & demeuL"
tef vertueux. Ces Sages âdoroient Dieu
de toute leur âme, de toutes leurs for.
<ëes; ïîsaimoient autant qu'eux-mêmes
!eur prochain, & ils étoient Devins,
Médecins partaits. Remettons les fix
nombres qu~ nous relent < j. 7.
( 8. ïïnous ~tudroïc ici vingt pa-
ges pour edaitcir toutes nos idées mais
comme )e6iis;dé)a anez ennuyeux pour
ceux qui n'atment volontiers que la !ec-'
tuce des extraits ou mieux des abrèges,on voudrabien lire avecattention.
P~M~. Re~ouvenez-vous que rA!-
phabec ne 'vaque jusqu'à 7 ) &: que nous
avons tiré ï 7~ ( qui étoit le nombre des
Gtv
KalUers des deux premiers volumes)
de t. 7. & en retranchant les nombres
8 -t- p qui font ici de K~crolt &
~onne ï7y il nous re&era le nombre
cherché des trois premiers volumes,t-
S 6 -t- 7 == t. Comme à la manie-
re des Sages reprenant les Mx premiers
nombres que nous avons retranchés
pourtrouver
!avte,i. 2. ). to tï. ïi.
par unité 'm qui e& le nombre des
~eu)!!ets du premier Vofume.
Si t'Art feul domine dans mon ope"
ration, il faut croire qu*U e~ bien ha-
bile; -mais reprenons les cara~eres de
notre formule & comme nous en
voyons deux qui font dans nos qaasc
derniers nombres ( ) 7nous les
retirons ici car il e& tel qu*ii faut de-
détruire totalement la table d'airain dont
nous avons parlé ~.7 étant relevé, quet-
le merveille Hlre&e vrai nombre
des feuillets du quatriéme Livre.
~-t-<t-7===2i &ôtanc
le & le 7, re~e qut avec 12., s
donne y8 nombre des femIlcM de
J7
Cv
tout rOuvMge, fous toutes fes divinons.
RéHéchi~n: fur ce nombre 6 qui
nous a rdté fi natureâement en dernier
pouf nous annoncer !e nombre des feui!-
lets du dernier L~vre~ nous allons Hmp!c-'
ment ie décompofer à la mantere des
jeunes CabaMes.
6~.g
ï 3 ? dans!c~-
queis on trouve trois nombres dont: !es
Sages préviennent de fe gafanur &; i&
preuve en eA démontrée par le nombre
même qui égale i ï & par les
feuillets duquatfiémc
Livre de T~of.
Mais c*eAici le moment enentie! de par-
ler du nombre i dit, par tous les Sa-
ges, & par .y<M/M ~~M~Mmême, k
gne
du
péché.
Augu
e
.¡¡.- r~,illi·
Si i eS leHgne
dupéché, poarquoi
~ë trouve-t-il dans le nombre des douze
feuillets du premier Livre, Se pourquoi
y a-t-il t reunieis lorsqu'il paro~ton-,étant ce premier Livre tout divin ou ne
parlant que des Œuvres de Dieu qu'ilne devrait y avoir que i o feuillets le
nombre i o étant figuré le cercle d;vm
.Le nombre 11 eA le figne humain
du pech~ & il eft le ugne figuré de !a
revente de l'Eternel envers le pécheur.
Lepremier
Uv:e e&
compose~ous
lad:v:5on
volumes en t ~utUets
pour nous témoigner que Dieu e~ en
nous, nous en Dieu, & en6n
grâce, fa bonté fa mtfericorde, c*e~
en un mot, pour m'expliquer ~ulgaire-
ment afin que l'homme fente qu'ï! eO:
mumëment attacha à la chaîne du nom-
bre dix quotqu'U fe meac fur celle de
douze dans te mouvement général; ott
en plus ou en moins dans tes mouve-
ments partkuiters maïs ;amats en au-
cune ~brte dans celui de 10 x to, nt
même par
ou -t- 6~1 y.!é onzteme &m!Iet
om'e ia~oree divine te vingt-deuxïc-
<ne teuîMet, nos 6&Kes enfin le zero~
D;<po& à fuivre pour aHer a ,~c re-
Becht~nt que cela me conduit dans le
qaatneme vô!ume, me vient ia pen-
~edeSxet !e emquantc-nxicme -feuil-
let, étant un &omcteto!etant, oc
~9:
un nombre extrême Enhn a Fentouc de
mille recherches, feuilletant en rétro-
gradant j 6, je dis en partant: du nom-
bre 78, perdant pour rinÛanc de
vue, quelle furprife de voir dans ces
derniers 36 feuillets qui par confcquer.c
~brmenr le quatrième Livre, un cahos c'e
miferes, d'humiliations, de vannes, de
perfidies enfin de vices hum&ins
l'homme même qui s'y trouve en ap-
parence le plus excellent, ~ir du bien à
l'un au moment qu'il écrase l'autre 1
En un mot, le dirai je ~guremenf a
On voit dans ce volume Fetenda! i
de tous les vices arborée & le poignard
par tout levé pour égorger fes {em-
blables je dis même fous les deho's s
trompeurs des plus hautes vertus ia
charité, la difcrétion &c. &c. Mais
avois-je befoin de ce cruel examen qu'navre le eceur des honnêtes
gens ? ne
Tun~foit-i! pas de dire comme ci-de~s
avec Saint Âagu~in que j 6 étoit le
figne de la tribulation, de la défla-
tion, de l'amertume Tous les Sa~es
C\'j
<~o
<e tous les Sçavants ne ï'ont-îÏs pas aï!ex
répète ï LesGymno&phi&e~ les In-
diens, les Chinois les Druides, &: en-
fin les Grecs les Arabes & les fagesEuropéens & ïndMHn~ement tous les
Prophètes les Leginateurs, les Philo-
sophes, telsquePythagore~ Socrate
Platon, Thaïes oui, tous ceux qui ont
parlé des nombres ont con~a le com-
ble du péché pac 8 fois 7, aa'deCat
de 7 fois 7 qui 'revient en rétrogra-
danta ces ternMesnombtet~eptante &
<ept fois fept fois fept qu'on Ktfouve
en ces quatre catacteres 7.7.7.7. qui
doubles à caute du nombre &rpaMant
poor aller à 8,donnent Eann on ne
ve~a~amats aucuns vrais Scavancs pren-
dre un feul des t prenMers Maillets
pour les confondre avec ceux-d, fous
telles dhïSons qu'ils examinent le Li-
vre de TA<M.
A Mgard de Tr~eaM& de pluneurs
autres qui avoieM voulu divi&r ce Li-
vre en volumes, cela eft bien dif-
~rent que de confondre excepté le
<?!
zéro les autres feuillets dans cet o~
vrage. (t) Arrêtant que le quatrième
volume e~ borné en f 6 & en $ 7 Juil-
lets fous les fept divifions annoncées il
faut entendre que ce volume peus
fubdivifer mais en une feule maniere III
quie~ ou ~7 volumes; ce qui
fera des volumes à Hn~ni, fi vous per-
(ï) TrMÂ~Me fut un vrai Sçavant, mais
plus audacieux que Raimend I.M~e Jean-
B~/c: DmAe/hc, Confeiller Médecin o!
dinaire du Roi, Crc~M, ~u~ry & autres p
il eut à s'en repentir. Pour ~nMa, dont j'Mteuvent eccafion de parler de vive voix, c'é-
toit un grand ~opA~c dont toutes les re"
cherches éloignées n'aboutirent à rien pour
lui-même, & ne produifirent à l'égard de la
majeure partie de fes Ledëurs que des aou~teux des incrédules, & de faux opérateurs.
Agrippa veut-il exalter le Septenaire ou le
nombre 7 II s'en va recherchant tau: ce
qui eû par 7. fept jours dans la fern-dne 7
planettes 7 trous à la tête de l'homme on
ne peut point rejetter toute cette idée mais
il falloit dire, que ces chofes phyfiquesavoicnt pris leur origine dans l'efpnt intel-
lectuel du Septenaire pour lt: dire ii
falloit avoir quelques )uâes connsmances de
lapropriété des nombres, ~gr~pa M'en aye~
pOMt.
&2
mutez ces nouveaux volumes, ainfi qu a-
voit voulu faire Tr~Ac~c, comme je
viens de le dire.
Si !equameme
Livre en & 7
feuillets ne peut Ce prêter à aucune des
divitions des livres c'e~ donc dans les
tt i & i~ feuillets qu'i! ~nc îes cher-
cher i; Oui, comme on le verra ci-après.
I! nous a fdte $ 6 il ~ut rapporce!'
les autres nombres de !*àlphabec i 1. 3.
6. 7. & ctaMif la formule t. ~.7.
afin d'avoir tou~oars pTe&nt fous les
~e~x !abjuë abfolue de toutesnosope-
tanons.(<)
Je dis a prêtât, i deux, 3. ~.daq,
< & je j'etr~nche ïe <ept (2) ain6
(t) Obtervez que 6 rettera pour la Mtc
de Mphabet duquel il ne nous reiteplut queces quatre nombres 1. 6. Notez: auS
que poaf lire le Lhrre de Y~of, il ne faut ja-tnais que Palphabet tbK entierement eSfacé,
)e dis qa'ti faut toujours faire revenir les
pTenueM nombres fb~riits lorsque l'on
epece ~tf les derniers qui relent, comme a
)e m'en fuis (etvi, & j'ai promptemestZMiene les autres nombre! la formule.
(i) Si )eB'euspaséteceBtr&mtparlafar-
tnule & par l'alphabet, ?eas &uRraït le& employé le 8. qui eut été après te 7. ~o-
6
pïaceï.===î4.
07. t.===~tJ
w
Mareg!e&
mapreuve y 5 ==;
~bntju~es. y 7 ~~i~.
Jeprends 7 comme
légitimemu!-
np!icateur,& on verra
quei'ame de
ma.pyramide
me conduit- à ne poinc
muhipiter par 7, & àmultiplier
le i forcément.
y XÏ===7.
s7
X3:== 21. 7 X~
E~: ~S.prerniere
addition.
7 2. ï 2 8 ===<?. Il étoit bien
ju~c de m'afrêrer, car le chef de la for-
mule eR toujours ainfi voilà !es ~6
feuillets du quatrieme Livre comme
~T. des trois premiers Livres. Notez
que; intelligence du Livre de T~o~ 9
revient au centre de l'opération.
tez auffi que je n'ai pas dû appeller d'à-
près t. x. 3. ~.7. i. 7, les nombres en
cette forte i. 3. 7 xt 3,+. < ===:
a.8. Non plus quet -{- 6 === 7
==:t~-t- 7-==T.ï -z -t- == ~8. Il me fal-
Joit un moyen umnant entre l'agent & le pa-
nent ain6 que je l'ai pris ce que l'on
conçoit facilement <. deux, 4, cinq y& je n'eus point triché 7 fi l'alpha.bee
eût été œpate fur 8.
A prêtent 7 x = ~2. x d'em-
prunt ( i ) =. 2Je po~e le premier
) & te dans t*a!phâbec, qui étoit
re3:~ W=ûW`û3g V. V .1-te~c
d-deHûs, ~==~-t<
t. 3'~t-o. Ï.3 ~< &}ere"
mets).a.
I! me reAe des ~a je me ~ers
de monmultiplicateur 7 2 =
t~~
& je po~ë mon y àraiphabct, i.
~< < 6. 7<
(t) Si le vrai fentiment ou principe de
i'alphabet do Livre de Thot, m'eût conduit
a mctMe 7 tpre<le 6 ou un autre nombre
.que le maiMpMer < en tCMK pu dire cela
<& <tes-&eiÏe nMm fi jntMdgré ce: routes
CmttureUet,on (uppe&eacere que )*<mz*
pne~ je proteâe que rcn & trompe & jetertiSe qu'avec un peu d'étude, l'on trouve-
Sttre~elMrs les principe! fur te~aels je
~'appuie & qui me conduifent avec au-
tant de beauté que deampHcité en&n je
ne puis pas mieux témoigner que je parlevrai qu'en promettant de donner un jour les
principes raitbnnés de la icience des Nom-
bre~, tcutefbis jusqu'au point permis par lafcience par les Philetophes & par les
hommes vulgaires. Science des Nombres quidévoile le ntentbnge dont on eramt aujour-d'hui d'arracher la racine n'ayant pas les
~ombres pour maures &-pour appui.
A préîent je mecs ici mes 2~9~
te me fers de tous les nombres de mon
alphabet pour le diviser. 2~2 (
ainn par a. 3. -y. & je trouve
qu'il vient 2~2. î2< 8~. ~j. ~0~ t
4:''l'AO.:Ju.
L'âmede ma Pyramide m'avoic
bien prévenu comme on voit, p'
qu'il n'y a que le nombre qui ne
divifë pas fans re~e tes 2~2; & ce
qui e(t auffi admirable c'e~ que ce
entraine à la <Ta<fcion le 2. de la py"
ramide & non tes autres nombres
ï. 30 6. qui n'avoienc nul rapport
avec eux. Quant au y outre qu'il ecoic
de leur côre il avoit pour lui la char~
ge fouveraine de mulcij~ncateur, &
chargé de tout le poids de la Formu!e
4. 7 mais n'oublions pas que j'ai
emprunté 6 & qu'il e~ légitime de !e
rendre.
On voit que toutes mes opérations
om divers mouvements; tn~~ 'age"
néral pour démontrer la divifion des
Livras fous tous leurs nombres, &:
[~) J
compte des feuillets fous ces divers
nombres, on n'en pourra jamais trou-
ver plus de ~epi qui écoutent l'une de
l'autre, comme, par exemple, 2.
3. c. 7. == 28. t. 7 2'
i. a. 3. o. 7. 8. p. 10. t Y.
!~2. 78. 2. 3. 0~.=:±2Ï. 0
7. 8. 9. 'o' ï2.==:~7*i' 2. 3.4'. y. o'. 7' 8. 9. == 4~'7. S. !0.
Il. t2.==:72.8.p.==:
17. y. 6. 7. ==: 22 & autres
qui tiennent des unes ou des autres,
Ctais ne j~urpâMent point ~epr<
On a du remarque!'que j'ai coupéles t~ nombres en deux après les avoir
employés en leur enue! ou en un
cemme~phcnqae; à!n6 une même in-
duction natureMe dit de couper mon
emprunt 6, qui eâ tu&ement!a moitié
de la fphere, en deux, ce que ~e fais en
cetrp fone pour me faire entendre
~2.3.==:6.Je ~tis bien que je dois 6
mais qu'importe à un ercanaer de re-
cevoir & dette en or, ou en argent, (t&n compte eu ju&e Ainû nouvant
~7:
en trois nombres, je vais donc payée
par perfuadé qu'en lui e~ renfermé
& a (i), ba~e qu'il faut première"
ment trouver. A quel proposcet em-
prunt Pour monter à2~2.(~ vient;
84. de 78 refte <?, quiva
prouver que
mes jufles opérations m'ont conduit a
!a Géomerne ipecu!ative &; pratique.
Spécutative, les beautés que j'ai de*~
~couvertes dans les nombres qui fe ~onr
namretlement oSercs Pratique, parces
huitfigures planes & folides. Le point
ou
la fphere i ou y La ligne t. rorcémenc
comme on a vu car elle a deux extré-
mités qui la corfUituent ligne &: re~-
pace entre ~es deux extrêmes qui va
d~ns l'e~pric ducylindre iroit o
auiH a-t~on du voir que 2 avoit été pris
tbrcément,comme je viens de îe dire,
& s'ëcoit prétente au centre de l'âme
de lapyramïde)
& à l'appuidu nombre
parfait 6 qu'il divife Ju~een 3. Le trian-
gle & Jecylindre 3 le cône ratiane
(') Tout ce d!fcours tient à i'e~dt de 1%
Ph~ofbphie MuidpUcauve.
~§
d<MMles folides ce qce fait la ligne dan<
les plans. Le quarré & !a pyramide &
en6n ie Cube ou ioHde parfait 6, qui
approche le plus de b iphere i. a6n quetout& téanMÏcà ion centre en vo!ct
les 6gMc§.
1.V, !ePo!nc; BgM; le
TfiaBgte le qMK~; t la Sphere
le CyBndfe h Pyramide;
& !e Cube, font genefa!ement la ba&de toute la Géometde Praaque;auxqueïs
on pourrctt ajouter le Pentagone, pte"
tnieir des Poligones ce qui feroit &c!t~
dans la Spéculation, en employant te
par iui-meme; niais toutes 6gwes &~
dans la Sphère, comme les nombres
dans Fumtc.
~9
Ve feteve lesquatre
nombres de ?M
Céométfïe (i) plane,a !a ~on
des
Egypnens, 7 x 10 ==70~& les
quatrede mes (o!ides 7
x s~==: p8.
-t- 70. s~: t ~8 je remets moa
atphabec.
i~~M~~iZB~~i~ /LLL
~14 4'0 = 1 4!+ 1 0~4~
;1~ioJ=6~i
96=1~+~if~llll
l,'
7--)~.x ~4=16
:ii~iL.~i.
J~Z/& /~<~
(t) Pertonne n'ignore que nous devons la
Géométrie aux Sages Egyptiens le Livre
de Thot nous confirme cette vérité puifqueFon y trouve une fourmilliere de Théorèmes
qui ne font nullement dans EMrh~c, ni dans
aucun des Ouvrages que ce gavant homme a
fait naître. Une de mes grandes fufpnfes
particulierement e& de trouver dans le H' ·
Trc de Thot la quarantc fept!eme propo<
'-cii
Cettercg!e dernonrre geomctnqtte-
menc que Fatph~bec ne ~ufpatfe pasle
nombre 7 & que les Egyptiens ren-
&rmotentfbu§ leurs cbeorêmes dansées
MusËguces qu'Us redutMent à croisa
comme lerapporte ~crc«re 7'ir~at~~
( nommé trois fois grand, parce qu'il
potÏeddt au ptus haut degré les trois
~tlon de cet YUuRre Géomètre: iefoit ce
les Egyptiens qui en auroient fait préfent à
Pyth~gore, ou fi ce grand Philofophe l'au-
roit trouvé lui-même 1 L'un & l'autre e~ po~6bie. Toutes les fois que je penre à cet hom.
me plus divin que Platon, mes tàngs bouil-
lonnent, & fe glacent tout-à-coup il étoit
& e8 toujours notre maître & nous n'étions
pas à Ces côtés pour détourner le coup que la
cruelle ignarance ota lui faire porter par un
<teKs Enclaves. 0 nMn&Faeu~eMégère, que
d~ Crimes, que de meurtres n'as tu pas occa-
Connés? Puiffe le Ciel à jamais détoumet tes
cruautes de deuus les hommes t..
(a) Les Géomètres ((euls)peuvent oppofer
quelques raifbas dans le Maltipité le Mul-
tipliant & te Diviseur mais )é les prit:, ayant
de )uger légèrement, de remarquer qu'il adans Mutes ces opérations numériques &géo-
métriques un écoulement eu un mouvement
idtellectuel & qu'opposer quelque rai<oane-
m~ent~faus '1~'feritic a ce fecoit s'a~ouer-~3an~rtMnt&as Ic~ntM, ee feEoit~svoaetd&n~
71 I
fciences humaines ) ( ï ),& ~nâ!emenc
comme nousavons die a. un point.
Les nombres nous ayant conduis à la
Géomc:rie, nous allons par celle-ci re-
tourner à (on principe, à la maniere des
Egyptiens, qui e0. peu connue c'e~-a.-
dire en prenant la valeur du dernier nom-
bre, qui à l'égard de l'alphabet eit 'y, &
qui nous a ~ervi de multiplicateur, t
7 x y == ~.p, plus la progreuton nu-
mérique de l'alphabet donnée fur les
figures- geomécriques t. 2. y.
7. == 28 -t- 4.p =: 77. qui eH !e vé-
rit~e nombre des feuiiiers du Livre
de Thot (i) le zéro n'écam ab~biu-
~e fein de tous les Maîtres pour unignorant
n'ayant pour foi que les premières not'on&des
Mathématiques enfin' unabrège de la
routinevulgaire a b -t- c d a d ce qui
6'appelierabed–ad.
~i ) Quelques Ecrivains ont parlé à cetcgardà leur manière mais non à celle des Caba.
li&es.
(t) Une opération audi umple annoncefans doute l'esprit d'un
ouvrage fait avec rai.
ipnnement; }e me répète, t. g. y,
7~)
<Mnr qu'une figure expre~Eve pour dis-
tinguer te vuïde, ie néant, le rien, qui
t)ous accompagnent Ja majeure partie de
Botre vie. Notez que ~ene ~is pas, auË
tnat-â-ptopos que phï6ecrs &uxS~avanM,
qu'il y a du vutde dans Nature -car
je parlerois contre fe~pnt du Mefog!y-
phe la Fûne, ou le Fou qui n'e~cx"
preuëtnent qu'une ngufefeïative aux
a~oM futiles des hommes, telles font.
elles que nous dtKinguonsparcemoc
mvtaï JS~e~r aux ~e~«, ne rien
faire, &€. (!).
,le poutro7is fairë paNer tout le Li-
vre de Thot dans les di~ïnpns en
t. a. 3. ec 7 Livres par une
!mmënute de calculs dont t'atpha*-
SErt8-~7X7 ==:t-t8==77.JcdM, il
y t <ept nem~TM r~lphabet, &~e les mul-
tiptïe par eux mêmes; & comme ces fepteembres denceat :t de quatre 7, plus un
nombre 7 PhyC~MC, plusCx7tateUeaHeIt,
eeqMt&!t t)r &M y ==: 7~,&Mvieat à la
FcnnBle 1~7..
(t) J'aï apprise coac~tfe te~baotes Scïen"
ces & cenaen écrire ~act tn avoir les
tnoJNdcesaiOtMBti,
be~
7~ e
bct trouve m'indiquerai: !â ~ormu!e 9& m'e& donneroic toutes les c!e6niais voici une Table qui meru-a dans
la route ceux qui voudrontincerpréceE
à fondg~néralemenï le Livre de Thot,
0~voîtauprem!er~pe<a: que i,
ï unité, fereporte a !o. 2 à
ï~ a
I~à r~ (*)~ àà 8.<S'àn.7à
rordfe,jFharmon!e~ plus grand
1'faut ~c i~'ce que
1 ouvrage vu en 4 volume. le nombre Spremier doit être en~feuUlet~&~
D
'~]1m J
accord règne dans tous ces nombres
tantôt parce qu'ib font d'accord &:
taatot parce que ragent eâ attentif &
~n panent, tel que 6 fur 11 mais en
genë~ H &M mieux dke, pour s'expri-
mer, qu'i! y a 7 tons; ou 7 degrés dittin<
&m dans les iept chames det'aiphabet &des formules.
centre de la formule (e rapporte
3. J'ai dit, d'après tous les Philofo-
phes, que ce nombre etoït foible qu'ilétoit volontiers moindre que les feptnombres qui le fuivent, quoique i leur
donne !'ccou!emenc, !e mouvement, &
enfin les ordres de l'unité. C'e~ le mi.
nière zélé de t & le fidele ami de },
qui e~ le Souverain des nombres non
compris runitc & enfin ie~
le fecopd
diytieuf dtt nombre, parrait 6 & e&
de coneurrence avecdonne ie'ugpat du Pèche com-
me ~ea co,ntca;pe en un (~s car id
Ïep~cBee~pris comme ~ibte~e en-
6n ~intime de t, tKupporcc te poids da
N<~ r; do~ a~ <:h~g.c ou la
gMdc n~ que ce poids (oit contre
7~:
îage nature mais ieuiemenr penioie 9
car la more eft: une perredion quoi-
qu'elle ioic, comme nous avons dd
dire un des plus grands ngnesde foi-
b!eHe mais c'e~ la per~e~ton qui feule
tend à la rcgéneracion, ain6 que Favoic
purement encendu Pythagore. ( ï )
Je me fuis beaucoup étendu & je
prévois que l'on me reprochera de ne
n/etre point uniquement attaché à mon
<ujec je protège n'avoir rien dit qui
n'en &ue partie, & avant de continuer~
il eâ tems de parler des Sages égyptiens
qui nous ont fourni la matière.
Lespremiers Egyptiens
avoient îa
plus gtande attention de ne point con"
fondre le Sacré avec le Prenne ce quene faifoiem pas les Chaldéens & par~ttite les Babyloniens ( je dis au me-!
ment où la Chaldée fut devenue peu-
p!ee,) aihu que les Arabes, & enfin les
Romains, qui panabiemenc inftruits
permeftoient d'adorer des Ido'es que les
( î ) Combien n'a t'en pa!, de même, penj[~imatd'Epicure~ d'
Dij
)
Eîrangers leur annoncoienc comme des
Dieux (ï).I! e~ vraique parmi
les dir-
férents Peuples qui croient adonnés à
!'id6!âtrie~ il y avoit de vrais Sages qui
cherchoient à !e§ en détourner mais
cb~gés de' parlercontre cette idolâtrie
OUIIO"'Jd`
paiieâlit ne a
& engénéral
contre ces faunes Loix
ejaei'on di~oir &crces parce qu'eUes
étoient reçues & les faux-Dieux crus
vérïtab!es les Prêtres cupides les Sou-
verams !mbcc!I!es, & les Peuples aveu
glés,!es <at(bient mourir par des tour'
(t) Comment e&-H poffible d'accorder au-
cune forte de. raMon des hommes quiMéprirent les vérités éternelles fur une feule
& unique Divinité; & dememcauïïi com-
ment ne pas croire que les Romains n'é-
tbient que de pures machines humainement
erganitees, mais (ansinteHtgeTtce, îcrfque
Kpus apprenons qu'ils couroient en iDuie en.
cenfer des idoles de pierre qu'un ArtiCan
&tn'entih}u~emeHt mépfi(e, venott de fa-
briquer de fes mains ? U i~ut avouer que
~idolâtrie ëtott outrée. Un de ces ouvriers
~yant taillé un jour un Bacchus, & ne vou-
lant pas ayectpuy les autres Sechir Icsge'noux dèvant cette Idole il fut facrifié au
pied du dieu dont il avbitfait le corps les
~ieds, l&s main~, 8& le tonneau,
77~
menrs aufiï recherchés qu en exécra-
tion à toute la Nature entière.
Pour lerapprocher
de la icicnce &
de iaiagetÏe
des premiers Egyptiens 9
il ne faut qu'examiner que Noé leur
perea vécu de leur tems, & qu'il
n'e~ mort que 8 S ans aprèsla natt-
iance de ~rM/'< Tr~ qH~ 9
comme on ~âK < v~voK du tems d'
~<ï~
Par la branche de Zo/'o~r~ Premier;
TnimégiReétoit le feptiéme
descen-
dant du Secondpère humain & Z~/ï"
F/oy a erre en mettant, je
ne ~ais pourquoi une interruption
de 80~ ans entre Mercure ~~c' &:
TnImcgiSe puisqu'il eli contant F
comme je viens de le dire, que celui-ci
vivoit du tems du Patriarche ~r~
La contradiction de du Frefho! e~ cvi-
deme, puifque du Délugeà la nainance
d'<7z, on ne compte que 3~1 1
ans &: de la Sortie de ce Patriarche de
la Chaldéepour venir en Egypte du
tems d'm~c ou deuxieme Pha-
D ii)
fao, ou Pharaon ~17 ans.I! &uc!ro~
donc mettre Tfitmegi~e au tems de
JMc~, & ce ~eroit une erreur auui
&)rteque ce!!e que
nous venons de
MtCtcer. Confiiezî& gcn€&'ogic
des
Mercure. qui eâ à En du deuxieme
Cachier de cec Ouvrage.Au rapport de ~M~ Mercure
TciGnég~e ett plus ancien qu'Abra-
ham, & il vivoit du tems & avant le
premier Pharao. Ces vérités Chronolo-
giques font tirées du Livre de Thot
& fe rapportent plus que Fon a jamais
dit à ja vra!<emb!ance des fegnes des
Mercure que ton fait Mnt&t Souve-
taïns, & tantôt valets de Souverains, ne
tâi&m pas attention que Mercure de-
~ntpar~uite un nom commun qui
~gninoic ~B~rc & qui dégénéra
Jusqu'en ce!u! de ~<osï<~oKn<t~. En
quittant t*H!Koire Pro&ne pour con~u!-
ter la vérité de t'Ecriture Sacrée, nous
Mtbns, AAes des Apôtres chapitre 7
~er~ n, que Afo~ Lé~naceur &
PMphe:e de Dieu iiTU de h !:cnée de
79
S~c, fut élevé nourn Se inRi'Mg
chez tes Egyptiens,fous le
règnede Pha=
raon ce ne pouvoitdonc pas
~re avant
le rems deTrifmégi~e &: par
conie-
quenc des premiers Mercure car rHi~
toire de ceux-ci nous feroit auHi fami-
tiece que celle qui Cuit de celle de FE-
~ypce d'âpres Moyte. Mai: revenons.
Je ~ais que les Egyptiens avoienc
di~erencs Dieux di~rencs Sacrifices
mais outre qu'il ne &u[ pas confondre
les premiers Egyptiensavec les der-
niers, c'e~-à-dire les tems, l'Ecncucs dit
expreuëmenr dans p!uueurs pa~ges que
fous Pharapn~meme au remsque Moy~e
& &n frere Aaron furent en Egypce
pom' délivrée les Hébreux ou lai'gnee
depar Sem, Abraham, I~ac
Jacob qu'il y avoit des Egyptiens
hommes & femmes, craign ant !e Sei-
gneur, encore, difbns-nous qu'ils ne
~unenc pas de lalignée de Sem, mais
de C~ & ennn desZc/'<~r<
On remarque auCi qu'il y avoic des
~ages, & des Enchanteurs, ces reimes
Div
Se
noyant jamais étéSynonymes ;Uut<ne<'
tion ~rmeKe & que l'on peut )aM-
6er ainh que ~'en ai amptement par<
!er dansma Z?~r~<~n~r~.f
.~rM"~F
Oe<:& que j'efpere faire hnpnmer.
C'c~ une vcnfé income~abie que
Ïa p!us grande partie de la Nation
Egyptienne n'étoit pas tdo!âtfc juC-
~u*au -.moment même o& jp~ccr~~
T&<ï/~ ~M~t~oc/c, Platon & autres
furent pour s'induire chez les Mages
d*.Égypte;car s*i! eueété vrai que ceux-
ci eunent été idotacres tous ces grands
J)0mmes n*eù{IeM point manqué de
kujr en faire des reproche:, <e de citer
à ~a poûéntéleuridotâtne au contrai-
K, & ec reveaotent aVec une Meraîe
pure, te! qu*on peutle )UH~ner dans
les, &ges préceptesde Pythagore, &c.
Les premiers Egyptiens adorcient un
Dieu feul & unique &: on ne com-
mence depuis leDéluge
chez !es
Egyptiens., à trouva? des traces d'ido-
lâtrie que fous !erègne
du premier
~/cN~ qui fut comme je
S~
crois l'avoir dit le dixieme Souve.
rain d'Egypte; mais cela n'influa pas
fur les Sages qui vécurent enfembie
jusqu'au tems de l'impie&: de:e~ab!e
Empereur jD~ccA~ qui les difper-
~~6t brûle!' leurs manu(cncs,&r rafa
les Temples où ils vivotent dans une
forte de folitude je dis (brte car ces
Tetrples ccoient non-feulement ouvert,
excepté le centre ) à tout le monde
mais ces Sages aUoien~ aud dans la
Ville 6c par toute l'Egypte guérir tes
malades donner de fages avis, & être
udles toüs ain .ue tirent les in·~utiles à tous, aind qae ncenc les In-
diens, les Grecs, les Arabes, & même
toutes les Nauons, dcjftgnanr ces hom"
mes gu~rUÏant les maladies, ~~«/
Empyriques voyageant par tout rEmpi~
re. Tels furent les Druides qui donner
rent la premiere idée dans l'Europe de
bâtir des Hôtels à Dieu, ou de Dieu, o~
les malades étoient apportés, ainfJ quefirent par fuite d'autres Ibcictes particu"
lieres.
~opinion reçue de la plurale des
P v,
<1
I~etïx généralement chez les ï~ypMen~e~ démontrée 6mHe à l'égard des pre-
miers, par le Livre de Thot & à Fe~
gard des derniers par ce que nous a
ta~e par co'it Jt~r~Mr~ 77~3~ 9
Trois fois grand, parce qu'outre ce
que j'en ai dit il étoit Sacrifica-
<MM, Devin & Médecin parfait. Ces
~MM Dieux n'ecoienc deoe :oot au plus
admÏs qde par les groCiets du peu.
ple; CBeore c~ii bïeaeb~erve pâr~<M~
~M~~M qu'aucun mortel n'a vécu
~aM croire un Dieupar-deMas au''
de~us de tous ceux qui étoient ou jpac-ticHÏïezs a des FamiKes oN~ommuM
des Nations comme aaSt qu'il
n'a écé aucun homme in~Tutt qM att pu
neppinicro~M oon'&aïemenc un Dieu,
maM un !teuï Dieu antqae.
L*Mnbcci!Ie vntgaire chez les Egyp-
dens ( it e& vrat au tems même de TttC.
m~Ae ) Feodoït quelque cu!cc à de
6uMes Divinités mais ii ne les fegar-~
doic,aupiedde la lettre quecom-
me des J!?M«je .P~M~ et.6n comme
e
des7W~<M.î, qui
avoiem lapropne"
te deproduire
Fabo'idancede donner
la &nte mais non pas comme !e Dieu
Moteur, Créateur de l'Univers ce que
Fou peut facilement concevoir en re-
marquant chez les Turcs que les fern""
mes & la lie du peup!~ qui croyent que
~Ac/M~ a étc un grand Prophète un
ami de Dieu,ne vont pas jusqu'au pointde le penfer Dieu Creaceu!e concevant,
~ulement & fans le [avoir, un vrai Ta!
man, qui peut leur faire gagner des ba-
~atUcs empêcher!a
pe~eou Fc!oi<
gner, faire tomber la pluie leur don-
Der la ~Bté allonger leurs jours &:
enfin leur donner de belles femmes, de
Fargenc, tout ce qui peut fans~îre
leurs ~ens ce que l'on fenr auf~t pi-
royaMe qu'impie étant ici que~ion de
l'entremife d'un homme qui par ion
aadace &: {'ignorance de fes contempo-
rains, devint !eur Chefj &: eut aprèsfa mort le deiavantage d'être vu de-
vant Dieu comme la cau~e d'u:ie
idolâtriegénérale fur la quatrième parde
de la terre, D vj
La Soctcte étant raccord que les
Nations une fois étoignées du moment
où elles ont été anéanties ne comptent
p!u$ que psile coté des Grands Hom-
snes qu'eHeson:
e::s chez eMes, pour-
mobt va. "a ,-U"£'"P. pour-
quoi comme Agrippa. ( (ur fon re-
tour) quelques-uns fe ~onti!se6orcés
d'oier aux Egyptiens ( le feul pe~pte
qui eut pendanc plus de deux Gecïes
une vraie conu~ance ) le titre de !jt
premiere & de !a plus noble Nation
connue Pourquoi contre ce qa'H~
ont dit publiquement de leur tems
qu'ils étoient les premiers peuples d<t
~nond&, iespïus anciens les pères de
tous ies autres (t) ïeur préférer tes
(t) On ce peat pas dMconvcMt qu'ils &-
rett les premiers qui établirent par précep-te la StgeNe, les ScïeBce!& tes Arts uti-
les cela ne tH~Efeh-îi pas poùc les pre~Mtà une forte de cohorte telteqae les Chal-
deen~? Les Chinois nMme qsl descendent
dtreae'apmdet Egyptiens attroient te droit
<dc compter avant tes Chaldécas dont la po-
pulation &ttIong-temsË modtqtte; eRËn,
~re~ue Isms Vi8e< & &as police. 2V. B.
8~
Ghaldcens qui efo~c~ pendant plus de
ï ~co ans moindres que nous le (uppo-
ferions aujourd'hui les Su~es, !es Gene-
vois & autres, en raifon de l'Empire
de ta France, de l'Angleterre &c. f
Les Egyptiens en citant plusieurs
peuples qui venoient les vi~:er du tems
de 7'rt-J~~a~, difenc que Ses ChaL-
déens, qui viennent chez eux cher<
cher la (cience & la iageffen'en
remportent qu'une lumiere Combre, 9
qui e~ pire que leur premiere igno-
rance ennn ils venoient eEudier chez
les premiers Egyptiens, & les voyanc
opérer des mer veilles dont ils ne decou"
vroient pas aucz promptement les hauts
my~eres, (le n!ence même en étant un
desplus grands )
ils s'en retournoient,
e.
Que ~e m'en rapporte absolument au Livre
de Thot t & non quelques Auteurs tels
qu'Agrippa ~ans fes 'aradoxes,où il exalte les
Chaldéens,les comparant aJ~z mal-à-propos,
pour les faire valoir, à ceux que nous en-
tendons volontiers aujourd'hui par ce fens
Et~o~M t & enfin Bohêmiens, hommes des-
cendus des vrais Egyptiens, & que le tems S5
les climats ont corrompus.
s~
contfe&i~nt terrs opérations: Ope"
fâtions, di$-;e, qu'ils renvoient 6m~~
~Neut, telles que j'ai vu à Par~ <m
JoMuf de Gobelets, <~idans uneb~ët~
aHez maleon~ruite, faifoit vp~Mtr~-
yers d'un ver louche itjn ~etMde
la hauteur de deux cpïngtes reaai~-
~btc de Ja. cendre ~ax~M ( :),
quotque xetEe opefation €~ ~0$ &~e
que l'ap~t d'un impudcM tpcï~o~e
annonce p<tf ccdc pubïiqacn~M~
tes Egyptiens coo~uk~eM Ciel &
Ïa Terre, enfin t& NatOïc ~a Phtïc~
phes :jes Ch~decœ en v~t~t !<?
capter, €Qn6tkotent'fafEaBge~ent des
A~Ees; amais ne pouvant pes'pa'ef )'tHt-
telligence de cette prédea~e jecritu~,
pc pKtnoncotCM te plus &~vent q~e
des mensonges.
(t) Onavoit. dit que lM Aactens iai-&îeht cette TobMtce op~Mttoa iRilgaïre &
toute PhySqMe,6eh en fut aSezpoM ren<
g~géf i tfMopef les tgttM:mts; mais la So-ciécé e~ telle qu7elle fèrme le.,eux 10rÍ'}uc'ciété e& teUe qu'ette iënne Ie<yeax lorgnehChàrhtMtMme h**atreprec4 pas ouyeTte-taent ?: &nt&ds Cttcyc~.
S71
Les Chaideens étoient ils rec4us dans
ta premiere enceinre du Temple chez
les Egyptiens où ils voyoient occuper
les jeunes Disciples des Mages qui décri-
voient des figures de Géométrie, ils s'en
retournoienc dans leur pays&: for-
moient des -cercles pour conjurer les
esprits infernaux ainu les Egyptiens
ce peuple de Sages avec les m&eures
intentions, firent naître toutes les ior-
ceHenes & les folies de la Chaidée~
Les Egyptiens font accutés eux-mê-
mes d'avoir été des Enchanteurs cela
e& vrai; mais ce ne fut pas avant le re-
gne du faux Mercure qui prit la placedu deuxieme Pharo & cela ne doit pas
même s'entendre des vrais Sagestous le
regne du quatrième ~Pharao; quoiquedans ces moments il n'y avoit plus de
bornes, Pharaon étant lui-même adora.
né à lamagie &: déclaré contre les Sa-
ges parcequ'ils n~ vouloient pas flat-
ter !e goût duSouverain,dont les moeurs
étoientcorrompues. C'eH: dans ces mo-
mens ou regnoit ce quatrieme Souverain,
'§8
tous le titre de Pharon, (titre qui ne re-
môntoït pas alors à plus de o ans) que
Afo~ & {on trere ~ron furent en
Egypte pour en ramener les Hébreux.
On icatt, en i'~c~r, que ce Roi
envoya chercher les Sages & les En-
chanteurs & qu'ils vinrent les uns &
les autresU y avoir donc Fun & l'au-
tre. On voit de même que l'Ecriture
ne dit pas que les Sages opérerent des
merveiUes, mais feulement les Enchan-
teurs &enfin on fit que les Enchaïl-
teurs, ou ,6 ~'on veat, les Magiciens.
comme le poneBtqaelqaesTradacHon$t
o&renthttter & d~efentes~ïs contre les
Prophètes: au contraire) oa appercoïc
que les Sages d~Egypie ayant reconnu à
ia premiere fois les Prophètes du Sei-'
gneur, ils ne revinrent plus, rEcriture
ne parlant d'eux que la première ~eis
ati moment où ik fment requis parPharao pour tutter contre Moy(e &
ton frere ce qu'ils ne voulurent point
&ie.
On ne nniroït pas fi on vouloit re-
Sp
pauertoute l'Hifloire qui prouve qu'i! y
avok des vrais Sagesen Egypte, qui
n'adoroient qu'un feu! & unique Dieu,
en remont<nc, dis-je jusqu'à Sidon ou
Zûro~~III. qui
fit bâcir Af~A~
aujourd'hui. le gr<tH<~K~r<u(qu'au cems
eûtes Sages,commeDemocrite & autres,
furent les vi~ter. Panons à autre cho~e.
Il a fallu être trcs-iavanc pour recon-
no!rre dire publiquement que le
Livre de Thotrenfermoir la ~jencede
l'Univers, &: pourle donner aux Egyp-
tiens, c'e(t-:t-dire compofe par les
Sages d'Egypce.Il a fallu penecrer avec
que! ordre & quelle fagefleil cfoir eer~ ¡
car file Sçavant ~<ï:< qui, con-
tre nos loix (ï) a publiquement pro-
noncé que ce Livre renpgrmoit lesp!us
r.. v
(i) Il ~autentcadre contre le ~ience que
le Livre de Thot impofe fur cet objet à tous
les Cabali~es; & h en cette qualité je l'ai
rompu moi-même, c'eft pour prévenir les
abus qui pouvoleft naitre d'après le difcoursde ce Scavant, comme dans les tems pr?.-mitifs ce!~ eit arrivé à l'éga.rd de l'A~ro-
logie Judiciaire laqueUe on a donné un
moitvement contraire
à
à Ion '~edta.ble elbriternfluvement contraire â ion ~é~itablc efprite
90
hauts mylteres de la cabale des Anciens,
n'avoit été appuyé que fur !es hiéro-
glyphes, Comme dans un Œuf, le
~~o/c des quatre ~ï/o7!j,&c on eût
pu lui repréienier que généfakmenctoutes les Nations aboient fucceffive-
ment copié tes hiéroglyphes Egyptiens
( témoins ies~omattM,) encore qu'Us
<u~ent bien éteignes de les compren-
dre &: en)5n que tous tes peuples,tels que Ïes Grecs, qui les ont induits,
& les Arabes qui ont copié ~eux'ci, @a
ont les uns & Ïes autres compose dans
ïe tnêttte esprit des Ëgyptiens & en un
mot que Ïes peuples modernes jusqu'ànous-mêmes emptoyoient & eni-
ployent autoutd'hut ces hiéfog!yphes,
~ui~sns ïe ~M :eccnna cp adopté, toic
pour déngnér !a pen~ce, on l'intention
<nora!e & pnyu<~u<te!s on en ~oit dans
nos tempîes, dans nos Pa!&is, dans nos
Places pubBques & paincu~ecement
dans nos Armoires,
Pour avoir dit à î'a~rmanve que !e
Thot étoit eïï'ployé à la Dt-
~1'
~inanon, il a fallu ecre protégé d A"
poMoa, (ï) & ravoir au moins Ce ren-
dre intérieurement raifbn du nombre
7 a6n de reconnoirre i'e~prir le mou"
vement de la divination chez les pre-
sniersEgyptiens ce qui eâ à pré~"
mer car il n'eft pas croyable qu'unvraiScavanc puil~e Ce haf~rder au point
de donner aux Sages d'Egyptela Scien-
ce de deviner par les Tarots, parce qu'il
fauroit que depuis quelques ~ec!es on
devine par ces cartes.
Oui ,îu~re & vrai Maître de rand-
que ( tout préjugé à parr pour vous par-
ler comme le premier Cabalifle dama
Nation ) vous avez dit la vérité ce
Livre e~ Egyptien & connu depuis Con
~tabu(ïemenc ~ans une fecende d'in-
(i) Saint Augutlin dit que les Devins
adorent le Créateur fousla figure d'Apol-
lon mais que cette adoration n'a en vne
qu'un Dieu aRique.créateur dcttoutes-chofes.
Les Sages Profanes ont dit que les Devinsadoroient le Créateur de l'Univers fous le
hiéroglyphe de Minerve.
9~
Krnïpnon oui il renferme tour ce
qui eu compris dans l'idée humaine la
plus parfaire fur les trois fciences Mo-
rales & Phy~quesdonnées à rinrei-
Kgence & à ja tRain-d'oeuvre de
t'hëmme.
On y lit tout coutamment la Reli-
gion, !a Divination & !a Médecine Uni-
verfelle que fuivoient & pratiquoient
MP~K~ <~ Sages, & lesPtincipes de
toutes les Sciences & de tous les Ans
connus, & communs à tous les hom-
mes.`
Ce Livre ne fur point ignoré ( t ) & ne
!'e& pas encore des Sages de ïa Chine
il fut <:onnu des Grecs des Arabes, S&
ennn des Indiens Brames, Gymno-
~ephiâe$, DMtdes (t), &: tous autre
r
(ï) tl &ut consulter Pierre Gr~otre, Tou-
!oHZ~n qsl p&'te de la Divinatiot! par les
MàgM ) ~ui n'ëtoîent nen autre que les
3~r<!t.f.Camera!'fMît !$7!t s'expHque plus
cjaïfement en difznt~paf les Cartes, &
rien- n*e& plus polEble~ que ce fut les Cartes
de Tarot.s dont il enten~eit parier.(2) Les Druides përtoknt au cou
l'Image
9~ 3
Sages quiont ccé x tour au cen-
tre du Templedes
E~ypncns.
Z)~<heur de la Violette qui
neparle
des Tarots qu'en palfantdans
un de CesOuvrages imprimes
fuivanc un m~mifcric de ~â m~tndontje
fuispofYe~eur
dcmoncre qu'i! pnc
de la vérité ils en(eignoient la PI~té envers
Dieu l'a'nour du Prochain la JuAIce en-
tre les hommes la valeur la fermeté dans
les revers & un juile mépris de la mort, la
confidérant comme le pacage d'une vie éter-
nelle & bienheureufe pour qui s'étoit hu-
mstnëment & fa~ement condutc. Ils vou-
loient que les hommes ne furent muruits
que de vive voix afin de prévenir leurs faux
Icncimens dans ce qu'ils n'auroienc pas ap*
profondi ils ne vouloient ni levure ni
écriture prévoyant que la premiere fcroit
un moyen de s'égarer & la féconde de per-dre la plupart des autres enfin, ils vouloiertC
que les Loix Divines fuffent gravéet, darts
nps coeurs & les Loix humaittes fur des Ta-
bles d'airain vidbles tout 1~ monde
lues à quiconque les int~rrogeroit. Toutes
les Loix Divines portoiFn;: fur trois Princi-
pes, Dieu les hommes, & foi-même &
les Loix humaines -étoient prifes de ces
trois principes auxquels ils ajon~oia~
quat:~ aUMCs.
94
lecture une partie de & vie de ce pfé"cieux Livre.
Comment 1 dira-t'on avec furpnfe
ce Jeu de Cartes vulgaire qui ne pa-
ïoïc avoir été inventé que par le vice
pour désennuyer la parère 3 e~~nr~
Livre de fcience, & même d'une verm
folide ï oui & les Sages font compose
avec r orcLe non-feulement de &geÛe
& de ~aences dont Dieu a ~avotiC: les
hommes depuis te moment de la créa"
tien mais e~oMte ils ont mis toUMS
ces choses fous un nombre defeuiMets
qui y corre~ond, poucparief comme
hommes de ~univers entier.
San? enthouûa6ne ni prétompdon t
je donne la véricabte clef pour lire ce
précieux Ouvrage de T&<~ dans ta
Chaîne de mes quatres cahiers, oui ~e
te protège, étudiés avec un peu de
&in, mettront aporiéede penfer com-
me tous les S~àvants~ que riea n'eâ au-
jourd'huifans ~vc~f cté à la connoif-
(ance des Sages & premiers Egyptiens.
Je M déjà dit tes Egyptien: re-
tnonîoient a !a cauie & repatTant fur
le point d'où ils 'dotent pards ils dcf-
cendoient aux ecteis ( i )&: ain~fmvanc e
leur admirable Copiée ~~c~, Surnom-
mé le Divin, ils fuivoienc les anneaux
de notre univers s ju~u'à ce qu'ils
eurent découverc les résultats.
Ces Sages ne recherchoient que la
vérité nous l'aimons aufli, parce que
nous en hommes une émanation mais
nous avons trop de condescendance
pour le mensonge, puifque nous 1m
donnons, contre cette vérité qui nous
éc!aire ce qui n'e~ absolument dû qu'àelle.
Les Egyptiens alloient toujours en
cherchant la racine de la Phyuquenous nous amusons à ép!ucher quelquesrofes qu'elle nous donne mais enco-
re qu'elles raient d'une agréable odeur,les Sages ne leur remarquoieni pasauez de vertus pour les aider à péné-
( ï ) Voyez ce que j'en ai dit quatrième pa~&d'un petit .~anf-Pr~oj', en forme de Lettre,
gui a la tête de la Combinailon ~rMM~
9=~ i
j~ ~t~~6 ~à~n)Mtc ~ae ïeat âme
jm~quoï~ye dit ~nsie ~c~-
~qMe&à~
)! ~af~ ~'i"~lls',vowoiel1t
~B~ e €6Mme
~)E~~
~<Enmt~<d@ ~M~~r M~ avant
~~Ï'c~ \¡(qb~p1~~i::e,~è_r..
~M~'1'
~e~et&Me',
E
1
SUPPLEMENT
u
PREMIER CAHIER
De la nianiere, de fe récrée,- avec le
JPe f~ ~ï<2/ï~~ ~cy~~ ~~c/e~M C~r~~ ~c/72/K~~ T~rc~
jL~TfTRJE.I!~ des cas oui! ne
faut poinc appréhender les mille & un
revers auxquels le fbiMe e~ a~ujecti ~ouss
la loi du fbrc mais !orfqu'i! ne s'agic
que d'un peu d'amour de foi-même
il vaut mieux garder le ~ience ou an
mcins parler d'une manière qu'il n'yait que ceux incapables de faire îe ma!,
qui nous entendent le dure e~ &ux.
Un ouvrage eH:dangereux ou i! ne
FeA pas cette prétendue mamgce de
tolérer ceux que t'on met dans !e
dou:e p~r une approbation tacite n'eu
9~
pasbien ancienne & cett peut-être
une o~en& que fait lui-même un
Censeur cdairc.
f~ S'il eft vrai que ïa queHion acie
agitée,an Homme de Leurcs
pouvoitou ne po~vo~ point vendre
ttanquiHemcnt <[es ouvrages tes Jugesonc dû entrevoir qu'un Auteur eA un
Ma~re qui a fouvent des ierviceurs ip&;
déles & des henuers ingrats,
Un .E<~Mf Lifons.
Pa~e ti). Cet OKvr<t~. L'Editeur au-
toit dû dire amplement que c'ctoïc une
première intention de la clef du Livre
de Thoi car pour en poaeder réelle-
iment à ~ond la ïe&ure ( (uppo~, dis-je,
qu*pn le vouMt, ce oui ss taux du
jEccîe ne paro~t pas trop probab!e, ) ne
taudroir pas moins qu'une Sociére
d'Hommes !n8ruhs qm ~e communi-
quercienc!eurs découvertes.
Idem. Page it), !igne 6 )uC.
cu*àce jour des ~~0?~~ Egyptiens.
Page iv. une y~~ qui ~e~
99. ¡
J~<M'p~r /cK~ les ~c/7: Si on c~ per-'
iuade d'après le rapportde cous !c$
Ecnvains que les premiers Roupies
avoienc !e p!us grand refpe~ pour!j,
Religionon e~ forcé de convenk
cu'~sne difoient & ne [rabotent
nen
quilui fût oppo(e s'ils xvoient en ve-
nér&tio~ les Crades, ils ne po~voitMde même rien dire qui
leur fut con-
tratre ain~i de Mcdfdne qu'i!s
pradquoient;ces diver~s branches, <~ns
contredit les p!us difUcites &: les p~us
incereuances pour les hommes e~nc
~hez !es anciensPeuples
hces inJino-
lubiemenc &:regardées
comme U!. ifeu~
devoir pour celui qui etott reçu Pféa'e,
ouMage, ou Choen, ou Hyerophance
termes pris de piuneurs bngues ô~
abfb!umemSynonymes.
H ne (urRcpas devancer que les
Mages nepouvoient ni ne dévoient:
rien écrire contre les premières & les
principes branches de leur Phi!o(ophic;t! faut en outre penser, ainu que !eurs
Hicfog!yphcs nous !e témoignent, qu'tis
Eij
ïoo;
oe tracotent rien de vulgaire ~ns y em-
preindre lescara~cres deleur croyance,
& enfin ceux de t'écrit qui les ani-
moïc, (enriment que nous aurons occa-~
nond'appuyer
enpsrisn: de nous-mêmes
& de cous ies Ecrivains, dansquetqu~
genre qu'ils embradenc c'e~-à-dire,
que dans toucouvrage de Uttéra:ure
quelconque, on y remarque toujours
que l'Auteur ne (atc qu'envtronner tes
principales figures d'accetfoires propre~
~les&ïte valoir.
Les Sages de tous les anciens Peu-
ple< tn-tptKaoteM dans tous leurs ou-
vrages (ce teur etotc un devotr) les
€ara<~re$ de Dieu, de la Nature & des
Hommes,~ ~c~tOK) ~~M~M A<tMM
<B' ~CM PrMMpM de toMes Ïes
Sciences & de tous les Arts <o!tdes
&: non Myoles,unTes & non nuiGMes.
Quets etotcnc &: font ces trois Principes
des Sciences ~u!gaires,poMtique &civtte~
Les nombres, les formes & les pro-'
ùrictes de chaque tu)et, eu ~gard ~m
~otnmes; tnais ces cbp{c$ etoien~
(!0t)haHIement couvertes, que le vu!ga!re
ne
dccouvroir que ces mois FEcude, :e
Trâvai! & la Récompense.Nous pour~
fions dire ici en pa~anr qu'i!eft des
hommesqui croyenique
la récompense
renrermenéceuairement lesdeux autres
vertus put~qu'iis ne s'appliquent qu'~
tecevoir cette troifieme; mais c*e~ une
erreur dont les Premiers de !A Socicté
devroient bien les in~ruirc* eft vra!
qu'il baudroie que ces Premiers fuiÏenc
favans ce que j'éclaircirai c~apfes.
Page v. Ce que font les ~<'<cM«~
M~~j unePhy~quê
d'autant plus
noble que la Nature feplaît à
en déro-
ber la connoiHance aux orgueilleux
~ophi~es & aux taineanis c'ef~ une
Thy~que au de~us d'eUe-meme c'e~
en un mot une Science qui ne permetaux hommes de délaiffer les caufes qu~e s'oHient
pas fubitemenu à leurs fens,?
qu'après avoir examine n elles font
hors de laportée humaine je dis hors
de la portée des hommes mais ce ~en-
Mm~traire à la ~a<?e Caba~ quiA ~.A
Ei.j J
~W
!0t
nepermet pas
depenser qu'il )Eoit dan~
ËOtre Universïie~d'uriponib!e
& d'im~
penctrabie à1lionimei-age
& tcavanr.
La caufëprea~~ere~
Is Moteur de
pouces choses (!) nepeur poinE être
par~Mtcment connu s cela e~ vfat; auM!
ce prenuer principen'eâ-ii
pasborne
~ans noffe Univers mais d'après cette
j(eu!e unt~ue rc~rve, ceux des hommes
qu! parleur Science & leur
Sage~ïe~e
font é!evcs att-de~us de !a N~urePhy-
6que~ n*onc fientgnoré
de ce qut
e~ donné parle Moteur Divto
tt! Dîett ne peut être connu que dans fe~
~ir~res H nepcuty avoir qu'une extrême
tgn~r~~e! ~tt~ngage ~'hommei !m doBner
i~B~maBîcre d'être v aewotr& d'entendre~
n~ j~nt être la tienne; étant ïn6n:men~
aa-deiÏusdc rordrc dans tequet nous fous Ie~
~gurons Dans fagr~deur e~ ia implicite
tt~ts Ce Ae peut être une ~mpîteitë commune,ta r&Moa dcjui ~mm vite que t& mattcre~
JReiîbuv~<!ez''weus toujours qu'un homme
noyé dàas ~on tràch&t un ciron qui n'avoit
pas le ~&tn amour de vouloir favoirs'il étoi~
homme ou montagne peut-étre le eMyo~
il bien grand ma~votîjLMuît
10~ J
tous les hommes. La Phy~'que~ccuke
eïï: puremfnf une eruie profonded~
ta Nature ennes-c &: de cerre éruae
cne connotu~nce de caute en cau(e, j}
& d'effet en e~ec en remo~~i-n,
en dcfcendanc,)ufqu'au premie'-pnnctpe
d'o~ coût vient & eu tout retourne
dt~rence de la Phyfique vulgaire qui
ne cherche pas à pcnecrer plus !oin
que la manere t di~erence de !a Mc~-
phy~qae qm n'opcre pomttnanueHe-
ment c'e~ donc enfin, comme on !e
~ent~une Phyuque qui en opcranc;
tend toutes ies vues vers les chutes
commme laPhynque vu~atre ne les
tend que fur les et?ets, & laMécaphy-
j~que fur degrandes ventes qu'elle em-
brouille.
Page v~. Ne parlons plus des noirs
Efprits. Ils ont trop iong-rems occupéIes hun~ait~s les uns cocnme
'I'yraas,les humains, les uns comme Tyrans.,
&: ies autres comme Vidimes.' i! eft
un DieuSuprcme jufte il récom-
pense les bons, &: punk!e~mcchancs; i
î.~is ceux.ci ou !eMsa6reux contres
Eiv
ÏC~
que l'on nous a o~errs trop fbuvn;
comme blancs en nous !es diîant noies,
font enchaînes dans i'abune & nous
accordons qu'i' peur y avoir de noirs
Ecrits qui pou~enctes hommes an
Ma! ce ne peut tout au p!userre que
des maavais Génies }C dis des hommes
mon&rueux ayantde mauvais
génies,adn de ne pas e~e con:itnc à prouver
<~u'i!peur être des Creamresayai): corps,
vie & âme (uivant les lieux où <is ionr i
je dis Aquanques, Aériens & Igncs~
enfin même de PÏanecatres, qui dans ce
cas croient des êtres de !a ~ub~ance de
la manere mais ÏàtSbns ces idées con-
nues, fecues par!es ans, & ndicu-
I~fecspstr
tes autres, poucnous attachée
à dire avec cous !esPhi!o&phes, que ce
ienumenc de croyance fur tous les tieux
de notre univers peuplé, ne nous fait
~u~entrevoir le Créateur ïnnntmenc
Grand, ce qui nous porte à repérer
M Homme, C~s ~u~e que ron âme rou-
jours tendue vers te Ciei, ne ~bit ponce
y qu.~ ïa bienvetHanse pourtes fem.<
f~) 3q. ) )
u b!ab!es, & a la fenh'jiiiEC pour !c)jfs
peines. Zodiaque ~y~e~o~
0/-<ïc/~ ~jE~~7/ 77 Page 8
J~f/ Page vj. n'eût ~~<ïr/~ ~<M~
desC<t~/2<j ) cela n'amok été unîe
qu'a !eur~ife comprendre que l'Auteur
commencoit à les entendre.
Page vi). C~ ~M~7~i:<?~démontrer.
Om il &oic démontrer quece Livre
avoit dû ëcre compofé en 7~ feui!kts~ a
afin qu'aucun ignorantne pui(Ie
aité-
guer, fans aucune étude que celle du
&oid ~arcafme, ou vouloir démontrer
par de faux rationnements, que ce
Livrepourroit bien n'avoir ecé compose
qu'en 7 y feuillets ou peuc-être en
7p feuillets; ce que l'on jufUne nu-
mériquemenc impoCHble en ne voulant
mêmes'appuyer que fur une bâte Physi-
que, palpable, dérnonftrative à la vues
& faut-il dire au toucher, pui~qu'it ne
s'agir que de mettre fous lesyeux le
,f.f~r~ T~ & de remarquer quedouze de fes feuillets n'ont aucune
M!aHQo ayec les ~oixante-ux autres
Ev
~c<<] ¡or
ayantfait cet examen, & vovanr
en~~e que ce& douze feuillets font in-
conte~àbicmen: les premiers de tour
Fouvrage pu~u'Us Cint Dieo, la Ccea-
ttoh, & les Vertus qui devoieM tce!-
M (SuTres DiviitSy voyaMen6tt
queces douze feuillets ne tormenc
<~u''<n entier & que cet entier
a. 7. 8. to. n. ti.
profit te netnbKL de 78 poMr*
fo~oin ~s-je, & te&~r ce qa'it ne
JStàt abR;!ument q<ae 78 &mUet&? S'i~
€& des mensonges poM !e~u€~s des
yàcat~ques & ~cac 6ut ëceccher, que~
!i<~ .po~rûît ps? Ïd ~rït4 p6M tbrcec
~c:ut ~ût~'me ~e bon tens à reon.
~~re <ans eounr aacoo danger, pui~
~ue même dans le cas- eontKUM om
ne ~eroK taxeque d'oMmé, de ~aiaeaar,
en6n d'ignorant p~n! il e~ vrai,,
~oioBHetS au~ d~geTe~K ~K rhoMnae
aui pen~~ <pK' tes toarm@ntS bmMux
~ut n*~tt~qucitt que earps ~ccrps <;Nt~
~ect~~ ~<Mtc otHfage tes yc~ de:
~m~&~~.j
!07) 1
Si j'eus eu àparler
a d~s hommes
déjà inities infiruics de la ~ibjims
Phiiolophie Occalte ces preuvestou:cs
matérielles n'auroient pointcoulé fous
ma plume mais que dis je je ne me
fuis pas toujours ai~ervi & eeccs dure
loi j'ai laine promenermon e~pri: ~ur
les ailes de mon génie& avec plus
de verirë que M~yo~ j'ai voyage
~.tr coures les P!anectes ne pensez pour-
tant pas que ce foit en corps je vous
dis en etpril, comme la penfée de cha-
cun parcoure les lieux qu'il a vus. a'
& moi ceux dont mongénie
m'a
deniné les Plans. En ceci je vous ra-
tonre Fe~prit de cent mille hifloires,
d~nt très-peu de véritables mais ily
a.
quetque chp~e & c'eH: tout ce que je
puisdire ici ~«f
~tw~-T'OH~~r~<
t77~.
7~77. Page viij. Dont il a écarté
~aï~ <w. Lec~eur~ necroyez pas
<a, j'en ai relevép'uueurs~c'en: une
'vérité comme il e~ aufïi de verue
~u.e ~i ouveEt €n deux le Livre de
JE vj
t~8:
.TA< mais la levure fa~there d'un
Ouvrage qui renferme ~'Univers en-
oer, ne peut être que !e&uit dey
~ec!es & des hommes éctaïres (byex
dn nombre de cem-cl.
NoUSVOtCïAUCOtt.MDEt.'OuVRAGË,
Pour fervir ~~r~jf~ Cahier. Tour
youvrage aarbM pu e!ré compo~ en un;
mais ittautde ~ongs dctoars,non pour
te mieux ~re enceodre,mà!s pour ecftK
tibrément tbat ce qu*Mh€ tonigae narra-
non doit héceH&&'ement embfouH!ef
ÏM~qu~on ne veut !<ré q&e pour
& non p~Mr ctïe utMe~tix autres.
Vous &vM, Lè~eur, qu*~n'e~ pas
tomomrs à propo~ que tes bourdons man-
gent îe 'M~t dânx nos Sciences iîs
D'y gOÔtefoht ~màM.
J<~M)Oumêmepttge. C~c~t~~
~Me/*oa<OMne. Ii e~~Fat que !*on
eft, étonné que~î'tg'ïoMnce agtne tou-
jours à contfe-Ïen'! det~rât~n. Mais
ï~ raiton d'au)ourd'nut anra-t-eHe !a
force de reg~rdet ce yeu de CaHes
:0~
nommées T~c~, comme étant un ve"
ritable Livre des premiers Egyptiens
Pourra-t-elle (e rctoudre a croire que ces
premiers Sages phrcnc, an'~ de marcher
aveccenifude, lesfept premiers
Nom-
brespour établir leur Ouvrage~
il faut en"
corequeiquesftccies pour recevoir cette
vérité il tauc, dis-je, tout !e rems que
fon mettra à reconnoitre que les Nom-
bres, & en gcnerat les Mathématiques,
nous ont été donnés pour parler &S
penser )u(te comme nous (ommes cec-*
tains que, fans elles (ans les Principes
de cette fubiime Science toutes nos
opérations mcehaniqucs (ont rau(îes.
Idem. C<î < ~rc. Ici commence à
s'élever un brouiliari dans lequel l'Au-
teur s'étant placé nous dit à-peu-près~
en ces ter:nes A~rj cro~ ~'2
~o~ ilfautetpcrer que ptutiems
nuits
fembtabks Ce di(Hpcro!~} Oui, dans la
réui'ton totale del'Ouvrage, admettant
quevous unez pour apprendre & non
par une futile curionié.
Page 10, Nous cubons biendcG~
:oo}
que r~urecr nous découvre fes derniers
~e~fgesdu 7~/7?~ la C~r, mais
~âti avanr celui de~&/MM dont il ne
refie aucune rrace on doit- s'enrap-
porrer à ce qu*t! dir ? non mais â
î& LevureA~ronom!que
du Livre de
y%o~ & auxHicrcgtyphes
de ce Livre.
Dans lepremier cas, les 1.3.
e. ~eu}!!€K fur !etqut!s&Rt marquées
la con~irudon da Cie! y îà hauteur du
p6!e, Ïa!ongtnïde&r la hn:ude,)otnte~
àquelques Phcnomcnes Agronomiques~.
peuycM nous indiquer !es cems de-
~gner ~s !ieux &: dans !e Second MS
la Lc&uredes Mêrog!yphesïtbus ap-
prendra queîs furent les hommes em-
p!oycsà cetOuvrage. G'e~-à-dire, que
€e<doyens tres-~mptës tout natureîs;=
MQ~s !n~ru:rdM aùë !&MvrëdéT~o~
~ut commence 6n de ta neuvièmes
aonee de !a 6)ndat!on du~ Temp!e
<ju'i! ~K compose & écrit- en quatre
~as, <se qui fn&mMe ~att Tenace d~
ï ) ans juHe pouf !abâtiE~dtï Temple
~dadt~ d&Lt?re' de y~-
1
~~T~Ï.3.cCC.î\3..
c.y.6.2.4.S.9.lo.eirLvr.nen'ia.
Hiere de nombrer des C~ba'ti~es c'eH:-
?-dire que vulgairement je compte I.
i.{.&:caba!i~iquementi. ®
7 ~c.
P~gei <t la ~)~, Un aurre Auteur
dit que P/<z~~ âvoic tcmoignc que tes
Eornspriminfsexprimoiendespropri~es
des choses, ce qui m'ob!)ge icid'orer
à cePhiio~ophe ce que je lui ai donné 9
quoiqu'il l'avoit fans douce pen(ë,
~aur pourtant que je dife que j'ai non"
ieu~enienc eMendu la forme du tour~
mais encore !cs formes vehtcu!~ires aro-
miques & pamcutes feparees qui
réunies formant uncorps dmirict, nous
te font nommer un entier, encore que
nousfoy<oos
certainsqu'i!
n'en c!~ Rric"
rement qu'un dans tout ~U~tvers;)en"
ornent plus rigoureux chez icsCabai~es
que chez lesPhyuciens, qui adoptenc
voionnern qu'une partie tcpaiLee de ~o~
tour y de-vieuE elle mêmeun &<touE
en..
Eâi~n <i'ei!e ïaais 1s bj~s. d'un ho-mme
[Itl 1
~epeut jamais eue dir, ai vu, ie toue
de fon individu, mais le tout de fon
bras qui au ~cns ~ri~ n'c~ pas un entier,
pui~u'U fait partie du tout dont î! eâ
ôté une machine peut ctte dite feuie,
Mais elle c~ compo~ce de parne! qui
t'ennenide pludeucs toats, &vok le
bois de fa, racine ceUe-ci de !a terre,
la terre de l'eau ;& ain& en eM!dn
fon que peut rendre la machine ou
ï'inârument, (on qm e~ une partie de
t'air &c. &c Bref, M ne peut y avoir
qu'un tout, ou qu'un entier qui com-
prend. tout, & le Cab.tMe ne quitte
point pri(e qu'it n'ait remonté au pré"mier tout; ïe dis ~qu'auprès de la
€au~e premicrt.Si vous quittez le Phyuqae de rinf-
Katnempour rcncehiE
~arFintcHtgence
de t'Arti~e, vuus découvrirez, non- feu-
!ement que le réfultat de <es connoif-
lances font condutt pïustuâe qu'un
autre; mais aum, une reunion de par-
ties intcihgentes qui déco-dent par gra-
~danon tout iibBUtc,& caufë pre-
(m)miere de route mceti'~cn~; !eque!Tout
comprend cour. !) ne &uc erre qu'unvrai Ardfte n'imporre en quel genre,
pour recoiinoître i'eipritdu roue donc
on a recueilli quelques nobles p~rries
ennn pour ~e persuader iuppoie ici
que PinOrument n'eft pasun enuer..
Page ï Et que nos J~/cc~r~ ;Y(?/z~
1 pour laformule ou le prmctpedu
dUcout's. H e~ bien cerram q:!e L'on
ne peut pas discourir )u~e du M~sur
de la cau(e première l'on s'ec~rce
du non'jre i &:?y~o. ZM/ quoi-
que ne s'étant pas expliqued.u~ ~on
grand Arcde !a Mémoire de
Prédication, l'a af~ez donne à encendre.
Ene~ivemenc, commentappuyer
ion
anertionnir l'Unité, fi onemploye
les
nombres i. &c. fi, dis-je on
luiapplique
d'autrex nombresque
qui lui eftpropre ? Dans le calcul vu
gaire, on ne peut pas donner à i ce
qui appartient à t ,ain~ifcciproquemenr:
Chaque nombre a donc phy~quemens
ce qui lui eftpropre &: propre à lui
'~4.)
Kut ceci reconnu on ~e demande
qui rend rahan de ee deve!oppemenH
on apour réponse, ce ne peut être
que le calcul mieiie~ue!, que les Géo-
<ncfres nomment~~r~
ceius ci re-
ccnno<(Ïanc !a partie finie d'on in6ni-
mcnf petit paîpaMe, &Vautre péncrranc
plus avant, enappliquant cette derniere
parne (ïu- unAgent qui
la (ubdiviie in-
~nen~ phis, parce que cetAgent
pc~tre le centre & les extfétnKés de
cctre 6xe pa!p3b~!)te.
Ce ne font po!nt tes hommes qui
erit crée, fes nombres, mais ils ont
cre créés pour que îcs hommes ies
comprennent, encore qu'ils &Senr eux~
tnê<nes enveloppesdans les nombres.
Si rhotnme ne portoit point le nombre-
2. il ne corrprendroit pas celui <ie )
comme il ne peur avoïr d'idée de t'tj-
nité que parce qu'il touche FUnitc. Si
ïemenionge
ef!: proposedans les nom-
bres 3. & dans tout autre nombre,
Fhommequi comprend
les nombres,
&'ë&appercoir fur champ il n*e~
)'
e~ pasde 'ncme des i~or~ncs
a qijt\,¡,lt.
pa--Il. 'Jo">
~J~ ~i"
;.r
onpeur
faire croireque
'onc Si le
Géomètre e~ enraye d'étendre dire qus
2 rois ~onr 8 àplus
Pjrrerai~ cj:n'
bien le C~bai~e n'e~-it pAS cponva:-ne
!ui qui perce les vot!es d'-i cent) borné
dans norre Univers ? Qme do'c cc''e !x
Sage Cabale fi les nombres, ranc ildire
ïncomprehefîf!b!cs, ne {oru: rien e~ raiion
d'eiic < II ~uc te croire, un vrai C~b~ifte
peur tout ce qui e~ à t'ho<n!f!Le, pLsi~~e
par !a~eu!e propriecé P!!yHq~edes no;n-
bres~îe S~vanr vu!g.nre opére gci.ie"
r~!e:n.enc dans routes ks Sciences S&
c~ns tous ies Arcs, des ~ecs n mer-
ve'iteux. Rei~ou venez-vous coujoursQ~ 2
~ns nombre~ point d'ordre, point d'ac-
cord, poirn d'harmonie. E~rin, fans les
rombres point de Geomecrie poine
de Madicrmfiques fans M~chemâ-
tiques, aucune vraie lumière.
Idem, Le<:<?<7~?o/~de rame et!, ici
a~fH mal derini que fa nature & le !iea
qu'elle oc.upe par ceux :n~:ne qut~ms levage champ de L
M.~aphyu~ue'
tl~
te ~onc les moins égarés îes nombre
nous en donnent la raifon t Famé
!à vie Ïe corps un Brame a dit, e
!a cruche, i Feau, t le (b!eth l'idée
fi grande qu'on ne peut s'empêchetde croire que cet Indien entendoit
purement,,que dcbarrafîes del'enveioppe
terre~re nous nous approchions du
Throne de l'EtecneL Un Tableau que
je fais quelque part, cad~e parlement
à ceiui'ci, mon fencimeac écanc de con-
<erver!a vie en lui otantnmpïement:ion penchant vers !a matière.
Nous gazouillonsfur la nature dt<
corps, nous bcgaïonsfur celle de !<t
vie, nous déraisonnons fur celle de
l'ame. Nous en venons de dire le pour-
quoi mais nous le mettons ici numé"
nquemenc t. 3. t. ~i. ). o;
~étt-à-dire qu*avec !'ame & la
vie on ~ë rend compte du corps: avec
!e corps & i'ame un peu moins de la
v!e; & avec !avi<L&ïe corps on ne
peut fe rendre compte de !'ame, celle-
ci leur étant ~upcticMe;& enfin fi vous
( 117
~tez FUnhe,les nombres tom~enc s
2
?ero la conséquence indique donc qu'il
ne peur pas v avoir de nombre ians
Unife non plus que d'e~ers fans caufe.
Page t7. Cc/nv~ ï. le Principe.
Vot!à la prcmtere idée du Quârccn&ire
fi puiiiant& fi
re~pe~e par cous !es
vraisPhilosophes anciens & modernes.
Mais voyezla figure qui fert de ti~e ace
Supplément. A~o~ qu'elle e~ une dst
plus y<j clefs du Livre de T~o~
Idem. ~'M/ que l'on ne vous
y~ pas yn crime. On ne prétend p~s
dire icicivilement, put (qu'au
~ens !e
plus nmp!e, ou fi t'oa aime mieux le
plus compo~, on nepeut point dé-
montrer que vouloir pcnecrer dans ce
que la Nacure de plus voilé eH:
anticiper ~r ce. qui eit impénétrable aux
hommes c'ctoit un crime aux idqtâtre?,
& même une bçtife; de vouloir fe
faire pa{Ïer pour des Dieux mais
c'eft un Sentiment naturel de vouloir ies
tmiter nocez que je ne dis pas de les
eontce~nre~ caE c~ deux termes ne
!l8
&ntpa~ ici ni je croîs ai!!eurs, fyno-
~y~es.En un <r.ot, i! eu
pcdbte de
croire queu un homme vouloir former
un rouveau mcndc, (orgueilà
rare
qui tiendroit ~e~onignorance.)
t! o&n-
~CfoïfmoîMieCfcaceurqu't! ne s'o~en-
~crott !ui'meme il en ~ercit de même
s'i! vouïoit porter une mon~gne. lï
~e faut ~jne !iîe les Sentiments des
'vrais PMo~ophes peur rcco~no~K
qu'ils examinotent la Nature qu*i!s
(herchaient à rimtter, & nepenferent
jamais à lutter contre elle ou centre
ton Moteur cecifoit du pour répondre
avec clarté à tous leurs ennen~ts.
Page18. Appliquer ~t
<<'c~r~ aux
jRc~rM. Si depuis les Ron~air:s, Peup!c,
on peut le dire, auOi &uvcncigno-
tar:t dans !es Sciences que ma! àpropos
Guerrier, on n'eue point déclare la
guerreaux hotrtnes qui s'app!iquoient
la Phyfique Occulte on peut prctu-
coer que, parmiun miMier de yrais
de faux Sca~ânts, il & ~eroitren-
~ontté, comna~ dans toures !es Scien-
ces & les Arts, d~5 Aa~ateuts de
~) J
venté, dans te nomore oc ceux-c! y
des hommes qui auraient rrouve la
vraie Science des nombres que potTe-
dcieni les premiers Egyptiensenhn
qu'avec !e cems~ ccayes, encourages
parleur Nation, ils auroient tenu Ecole
pubUquedes (ub)tmes Sciences Occupes p
c'~â dans de pareilles Ecoles où on eue
fait femir aux hommes que ~on'~c~
Jemenr tous les corps croient ~u)ets aux
nombres, m~is même les penfees enrm
que toutes nos idées, nos actions, &
no':opérations
etoient bien ou mai
nombrces connoi fiancesqui nous au-
roient dans nos vertus morales conduic
auni jude que les Mathématiques en
gênerai qui préviennent & redrdienc
le Pei'ure~ le Poète, .te-Mu~den, y
l'Architecte le Médecin ennn tous
les hommes de Science ians encxemurer1 =__
un feul. S'il eft vrai comme tous içs
Scavanis en conviennent, que !es chofes
les plus déliées, les plus <ubti)es, ont
ieplus
de vertu, fans contredit !epre-
mier~ei qui s'oHte à nous dans ce
que
:2c)
4
Bous ayons en vue, eit !e nombre*
On jfe rend compfe de Ïa propriétéde !a matière (uppo% d'un corps
tel
qu'un coin de terqœ déchire & ouvre
te bois, ne pensons ici qu'au cpin de
&x qaHu4 donne cène propriété d'ou-
vnr îe bois f e'eM & ~nMiere oc ~rme,
<nats !e hotnBre des graiSs de ter
n*e~-i~ pas gen~fatement cbmpic ppuc!a totà!îte du corn. & en~Mce compte
p~ur ïa pattie &pecîe<tEe pouf !a
~aKie tjrancbance on ne viie pas
at npKnbre des paft!e~ïnoo parce
que t'on ne s'attache depuis tong-ietns
qu*à nxef &s yeux ~urit'enJetBMe,cpmme
!es Phy~cieM &r les e~~ mais l*tntel-
Kgence cherche te nombre decesparnes
dans !'en&m$te de~ e~e
~taPegar~dese~
tn~tant p~s habïtue à ce qut~ parpîc
!mpo<Bb!e, s'atcache à n'ouver !'a peu-
près, & vc'it à pranque s*tï a bien ou
ma! &~ ïe coin, eo T<M&n du bois
~ëndte ma Proje~coc ~t e~ Ïe
taïti~~ef~~M~ yo~ &~n
ï2t)
F
â-peu-prèsl'a bien ou ma! conduir,
ainn de tneme un Marin, un Général
d'Àrmce, & c. parce que comme !e
Géomètre, le Poète le CbymKte &
autres, plufieurs ne ~e font pas habitua
a écouter !eSuombces.
10. Encore que ~CTZ~MM~
Lorsque !'&n e~ parvenu je ne dis
pas à la Cabale comme ~o//o/z~
le T~MK~s, & phïHeurs Opérateur:
des tne~veiHes~ )e ne dis pas non plus
à la haute Science des Nombres comme
Py~gw~ à la haute -Apologie
comme ~t~7z, à la Philosophie
Herméctque comme P~y/a/~c~, à la
connoi~a.nce des Génies comme ~o<er~
à ta fabrique' des Talifmans comme
2?~y,à b Science du F~nt comme
C~r~<M à ï~ P~ySonomie entière
coanne de /<t C~r<, à !a Chiroman-cie comme ~Ro~ à !& Géomancie
comme C~r~ de CremoHe, & enfin
à la çanonomanie comme Etteilla:<t i.i <~artonomanie comme J~/M/
)e dis ~ulemenc !or~que par de iuâes
aonoM de t'ttne de nos Sdenccs, $
!ii
en e0: parvenu à reconnottre !a vcncé
de toutes les hautes Sciences, par
ï'HiÛoke,ia Tradidon, le prenen-
riment ia Lyo!onteiïce,!a Sympathie,
cn6n t'h~noont~ i'ea c~ touf Au-'
péfait de voir a~ec qoe! &OMles So"
phiftes accommodent les difcours des Phi-
to~hes àieM raisonnement, & avec
qQe!ie ~b!eSe ceux q~i ne &M pas
da toNt mR~s & tatNeM entraîner.
0~, ea ë~ p!~ <~€ ~ptis d'encendre
en tgnorànr~ €Mcté de fa tnamere ~au(Ic
~e vo!f, (oMentr Mer~«-c~, qu'U vpiE
p!as;0~e "qu'an autre ta&nnc parï'étu<
de, ïeccM~ &&xpc)nehce~ quï a thê~
me ~teaCeX indatgënt peuc dire voyez
&voae~-
Bans toutes ïës anches de ta PInfo~
&phie, Hy a <rM~p)~ndpespny6~ùes t
tr<M& pdndpes ~t@Me~cë~, t~K prin-
cipes ceteKès~éngnespac~ës Phtiotophes
<cus diver&s ngures. L'espritde la Nature
e& dans routes (es p3rnes;inatsattachc~'
vous à un <ït)eE noMe rccohnoîuezde
ce &jet te fel !e &u&e & Ïc~menMre, i
ï~
<5e ceux'< reco~noi~cx- en î'ame!&
vie &; !ccorps
& de ceux ci leur
~rre leur manière d'êcre &: leur ~n s
eu ce qui font comment ils font
& pourquoiils font. Je ne demande pass
a. un homme s'il eft (cuvant il me ~u~M
de lui entendre, prononcer,Dieu, Nature,
& r Homme t< 4..2. pour former j
&
Pagei ï. J~Mparlant de Tn~g~c de
pÏu$ & de moins ~avans que lui, on:'
copie tes Egyptiensmais tous ne tes
~ncendoteat pas. Z,e~ .Fr~oy
qui on ne peut pas fon-t~er du me<
'Eïce t & qui traduifoic, non pas toujoars
AVM p~ete~mais cnnn fo~eMpAna~
~iement, M comptenoic que~oe~ou la iuperncie des discours ~~PM~;
~pbes.
P s, ~T~`rse11
pri.mz~e., '1 1P~ge ~~< ~a<
< ït j~aut'enMndK ~s v~tUcs~~n découlenr.
L~ Caba!e eâ bien dans un fens 9
~imerpr~nott des grandes Ecftcores
mais encore q~'on ne puiffe pas .cai.eux
F ij
t~
ca~nL
expliquer la Cabale, que ce qu ett rame
de i'homme, on ïe lafigure plus ju~e
que ct-dctîus en di&nc, la Cabale cH:
une ~ubtime ïnre!!igence de !a Nature
{ntette~aeHe accordée à !a &ge& ce à
h 6aenëcdet~us ïesh~mmet.
~<aHJ Note ( t ). iLt&z daas ma DiHer-
Mnon fur la Science Divïnacoire, que je
viens de vendre manutcrïre à unEtranger,
a~ourd~at t~ JaïHec tyX~, m*ayanc
pr<Mnis en honnête-homme de !a &!M
MMtMher fans aucuns changement.
Page 2 PA~cK~ ~Mrag~AM ne
~M~~M jp~Mt L'intendoia de t'Autëur
~~<~B&t~cr~es7SHtcc~yphM
d~Ï~r~ !6 ptM ~pprochatis
~f~ ~a'tH~ eût été ~CtMe;
~pM~ ies~ats, b ~ngue,
je go&c!c pÏus généra! dtt 6éc!e)
t~è~ ~P~~c ~n~~
p~ p~eiMt~die ~a!èm@nc 6
!es tpatenaux que j'at tctMMS tombent
~ans têt Rt~as d'uh ~fat A<hro!egue,
ibÏMt abrégeront ~t~eat&'aniïces de
12!'
Idem. ~&r/6 mouvement ~j~f~
Corneille Agrippa a écrit d'une maniere
6 ieduitanie fur les nombres, quoique
contradictoirementaux principesde cette
Science que les plus Scavans vulgaires
s'imaginent que les PhUofbphes qui onc
précédé Agrippa, ne pen~oien: pas autre-
ment que lui ce qui les met dans le cas
de croire que tous nos Maires étoienr
idolâtres en mêlant le facré avec le pro-
fane. Pour erre certain qu'Agrippa &
pris le contrepied de la vraie Science,
il ne faut que lire rApocalipie on verra:
dans ce Difcour* Philosophique que
c'ef~ le cachet qui empreint la cire
& non la cire qui frappe le cacher.
On a dit ce Discours ininrel'igib!~
înexplicable, ou on l'a interprété fur
des Sujets que l'on avoit en vue c'eit
un chef-d'Œuvre de la plus Sage Magie: r
n'en retranchez y eA-i! expre~menc
ordonné, jamais un mot le fubl'ms
Auteur de cet Ouvrage auroic pu ajou-
ter, &: n'en faites que de luites applica"tiens.
Fi~
î2~
Page 2~. ~M oz~ r~oKK~ ~M~
~r~~Ze~ c~c~K~. L'opération Géo-
méfnque en eft vraiment bei!e; ony
retrouvepour eM:
d'un côte &
7 de Fautre dans îa diviMon !a p!u~
haute& !s phïs ~ctendnque comme
~Ut~R./m ~Bït que i'BtMtj&Je p!ace
m3!g[~e~e!&mca'ë àncencpe dtï quarEe-
Baice, de~manieic qu'H ie perd de vue t
e~~à~dice ,~uepoavanc aStrmer qu'en
jtaEranra~ec 'ocdEe-d'un point donnée t
~~yam~ decnc eïtiq Sgurcs, qtt'~ n'en
Kouvep!usqueqoatre,& envcM etnq $
& en voie ux. ( Voyezle TaMeau qui c&
~ia~EedceeSuppMnntent~)
Je.TConvicKssque !<t tupernëie t!ene
na pee âeEes~Emgmës~cdtntûe ~<tn~oa
aotres Eee&eKh€~nu!i!es à t'étM des
defoeuvre? mais au fond, !ss nombres
reportes &r~ne figure Géomctnqae, &
ï'incdHgeHce de~eMe 6gsrey~onE plus ~o-
Bdes p!!os~~presà<oMtecdestotn-
Mes que Je Manchon EnigmaMque pfo<
po~ par ce!ui qnt ngne coac autong
~ott
nom & ~a quaRtc. Que îes hommes io~nt
~ng-a~msen~n&*
'!27
Pa<re t~. ~<!y~ < /~<
fM~r~. L'Auteur eue pu d!re,auhazard;
mais ne (émane pas bien ce que ~gmne
~~r~ expre~ondo:t il a voulu fe
rendre compte il a préféré de mettre
ou de jetrer ici à /'<ï~Kr~.
Page i~. f~A~ ~E'
C'e~-à-dire, fbn génie ~oa
efprit, & ces deux cuccs rrouves ,fonc le
nombre
En addidônnant ~-t-ïi-~
==~ on trouve que r~7~ e~ une
copie du Livre de T"~ la Seconde
preuve eu:; ï-t-n-$-+-t-i.t.&
!a croi~éme ïouievulgaire
e~ les fi-
gni~cations que portent les feutUecs du
jE~ti~tï ~imites (événement du Livre de
y~ amMC que la Science êc lerap-
port de à 7 8 ont pu en rendre maî-
tre IV.uien. Mais ce qui doit davan-
tage appliquer !esAmatjgurs des Scien"
ces occupes n'imporre quelle branche
ils préférent, c'eu: le Livre de 7'~ ou-
vert, & qui donne 18. i 19. 7.
n. &c. &c. En voici !e Tableau :p
F iv
(i.S)
qui, je protefte econ dans le Temple
d~ îa Chaleur mais i! nous reRe à en
avoir une derniere tnceHigence ce qu!
m'a, je Favoue, empêché de le mettre
au jour, comme je !*av ois promis ptïbti-
quement au bas du Tableau de la Car-
tonomancie Fran~oite. Notez que j'ai
ajouté Mi !cgiM<ne<nentles nombres t $
& non forces dans la précédente cpe'-
lânon, mais mdi~sn~Mes à ce Tableau
desOracleschezles(a~esEgypnens; (t)
( ) Ce Tableau ne tient rien des roues de
pTu<!eurs PMtotophes. En voilà une premiere
idée la Conver&tlon le Songe le Projet
~cnts avee ctdre,& adaptant des Nempres à
~9~
& que !e mfrrrai au tout, je découvre
cequi,
comre mcn agence, m'a arrcce
tour court; comme au~ s'il ne Ce rcn-
<ontfe pas de nouveaux obR~ctes, donc
.celui de beaucoup dire en peu de pa-
roles €n eu uncapifa! tu~ccion à t â-
qufUe l'ignorant n'e~ p~; (oumis, d~ns
les inepties qui font reçue?.
Page ;o. &' 7. i. ~u~-
qu'à, nc~J ~rro7!j ~M~ ~û~~ ~/?
w7~M ~f /n<n~o/2. Ayanc jeuc en
jbas Icginmcmcn!: ces deux faux Hiéro-
glyphes l'Empereur & l'Impératrice mis
<n place du &: du ~eme jour de la
Création par quelques vils Caniers,qui
.~ans doute voulurent faire leur cour aL
un Empereur & à une ImperacriceAHe-
cet ordre, comme fuppofe Pierre e~ i! ~uf-t-c ? Pierre t, )u0e 2. Parla maniere de tirer
Jes nombres du Tableau cela répond oui, sou non &
dëH~netes verms ou Ces vices,
eu égard à la que~ien propose :ainH par le
même principe on interprète le Songe Jes
Vivons, les Ditcours entendus, "nSn la fidé-
li:é ou la fer:une de celui fur qui on a fes vues
parteC!.
~Fv.
~0-
:marrds 3~ Chrétiens, ce que !*on ~u~ne
yar -te <oâume une Bou!e ~tr bque!-
4c unepeme Cro~x h~ro~yphes
iïHodecaes~dh la Bouk du Monde -ont
voic~ dis-;)e, en ocarmxsdpnx H~ero-'
~typhes, «M~Tme auËi ïe ~up4ter 'à
~uhop~Ms M tte~te premMr c~(me Ciotï-
4'e & la ~ecûnde d'ent Jardin d~!h&tem{.,
{changement que !'on pourfok p!utoc
jttt~ueE aux R&n~ms, qu'aux Crées
i&aux At~es,c<MïMn&)e ~dis aineûrs,)
~~f!ës ~t premiMS~ii~s &nE m~ë-
~araMes.
Il taMoic 6gwref ïc Bierogtyphe de tU-
iMt<e~ apparoi~tant p.~ cféet !a Na-
~~e ~hyuiqoe il: Moit gM&itite eipfî"
-ni~ jutEÈmSa donnée x. 3< <~ 7.
~!x Jours pour ta &bnque~; t! ~tHoif eo-
~une t ctant ctabite, que <on MoTeur !<t
.~xat,.a~n~pot]t}pT!e t!~MK,q~ con-
<~m~&r~â~ ~5 ë&~es~ee moment
.iu~ aQ~uu~jpu~ de t~D~a ~tatuEe
~hy~que ~c&M~afMfe ejt Bieu, tnats
ct!e citoit ijoaM~ëe ~~6~ ~cut -Se
~ans toutes fes parties & eHe eue
~cen ~Etac inutile à l'hojmme que
i
FEcerne! avoK eu pa!'ncu!~rcmcn4'ca-
vue. Dieu e~: il dit fou~a iur
~n & il eut k v~e i! anima donc
l'Univers en raiiant defcet-idre de lui-
même 10. ï:. t2. h J~ice
Tempérancela Force, & la Prudence
`
car, qu'eût été le Monde ~tns ver~n ?
le conviens que lesEgyptiens
mer-*
tuient toujours la JufUce au nombre S io
h Tempéranceà celui de ï o la Pru-
dence au nombre p & !a Force an
nombre i i. Mais ils nous di(enc dans
le Livre de 7'Ac~ pourquoiils ont en
apparence ~rrompu ce::ce marche
ce ~cM/~Mp~ eft~mpiemenc pour nous
démontrer qu~ayant enapparence com-
posece précieux Livre en 78 ~eui!!e~
& voulantfigurer le Moteur divin;qu'i!s
ont été forcés de mettre te Soleil au
nombre &: ain{! en (uivân~ avancant
tout l'Ouvrage de deux nombres à caufe
du premier fcui}!ctqui représente i'UHt"
té du huitième qui c~ lerepos.
En6njyani reconnu que FAiphabeE
'~o~ les nombres )ju~u'& 7 o:ayan!
F vj,.
1~)
fenti qu'it ~aî!ok ouvrir en deux cet Al-
phabet,t.
2. 7.
on voit d'uncoup
d*<Et! que !j !e<9:ufe
commence par 4 vofumes ensuite que
la lecture e~ en vofume, & en croi-
Céme en 7 volumes. Ayant c~eper~a,-
déque !'A!pha~et etoït !e premier cuce, J
quetaîe~ure t/7. eîoit le fecond
c6cé,2. le troiuéme côcé devoit
nece~irement eue 7~.
Sî, comme )e ne puis me Ïamer de ïe
teperéf ,ï*0uvrage vû en voïutnes,on
névoyoit pas
d'une maniere pa~abfe
que !c premie)? volume e(ïcompose
de
ta reuiïTéts, touc cela pourroit paroître
un vif jeu; mais toutes cespreuves
~onc
irrcfutables. Prenez te Livre de 7%o~,
& ne peniez ab(o!ument Qu'aux Oa-
wages du Créateur, vous verrez que
vous ne pourrez pas a!ïerp!us avant que
ïa &uinets: M votre e~prît veutpaner
outre le tretztcme feuillet vous onnra
lé Hïcrogtyphedu
Mariagemais ce
mariage d'~<&!m & d'Eve n'enpas M
fens Mr<ct, h création d~~m & d'
mais !a~n pour !ac{ucHe ils e~a: ne~
ï~r s -jrnun,
queh !e
M~r~~evient s or"
tfir directementaprès
les t <. fcuitiets~
que ta mort a donc du ëcrc reponce s,
un autre nombre, &r elle ne ponvoic
pas en occuper d'autre que 17,qui avec
t ~oi?t les deux feu!s nombres quetous
iesPhilofophes lui ont connus.
Page Oui,!e Livre de T~eâ
encore, dans tous les Heux ou on le r~-
br!que,en7~y, & c'eft la preuve
la plus confiante que l'ignorancene peut
pas fortir d'e!!e-meme je dis même ea
ne commettant pas le mal pu)(qu'e!te
ne t'a point fait ici par une ~uite de &n
ignorance.
N'en-ce pas une chofe plus admira-
ble que les Sept, dites, Merveilles du
Mon ~e tant chantées par les Poeres ?t
Des Lames d'or trouvent à la m~rct de
i'incon~ance des hommes qui, fous les
~~w~/tc, ordonnent que les Hiero-
phantes, tous leur effets, f"lent tran~-
portésdu Temp!e la C~/c~r dans
ce!u! de ~n. Celui, ci eft pii'é, '*o-
détruit & rebâti a pleurs tois dt~
1~)
fcretn'e?, néanmoins !e précieux Livre
de Thot n'e~ potnt o~en~e ies S.iges
fuient, & !e transportent d~un Poie de
h terres i'aucre <?e n'e~ pMnt pour les
~agesun&ux
Dîenqu'i!~âuvenrd'une
Mabd~t'on d'tînincendie Dieu, !e
Dieu Créateur de !'Univers ne petitêccc
noyé, ni brû! c'eA purement le Livre
de Dieu ,de h Narure & des hommes y
que !eùrs àyeuxontécrtt de !e~s m~ns~
? le auvent mM5 ne s'enrappof~nE1
pasà leur
f~nguie, àleur courage,
à tectr?
v&rcus,s!ecoptenc~uT des me~ux~
~r des pierres,da bois, fur des
ecorces d'arbres, eja6n~ fur duparchemin,
& en font un jeu vulgaire avouons le
dernier tratt quicaractért~e ce che~d'cea-
Tre; te Livre de T'A~ eâ encore en ~bn
entier; i! a cre transporté fur cous tes.
coins de la terre, dépose cent vingt-
huit ans en France, dans lepay;
Char-
train nohuncatïtourd'hùi Province de'
Chartres, & ce metneLivre, ces ~8 L~
~iés ~l'or rracées 'f~ûs -le ~eiïx d; ` t rx:.tnes ït'or tracées Ïous !ëxyeux d~
7"r
~rcej' Ïbi)C en~h S: depuis ton~
5
tem~recournees enEgypre,
o~ c~e~fn~'
Mène en !eur entier avant aujoord'hu!
ans. Nom n'avons rien à répon-
dre auxVoyageurs qu< nous rémoignenc
que l'Egypten~eft ptu~ qu'un dc<.err;pui~-
qu'il fu~c que dans ce dctcrr ilpuide y
être un homme, il en e~ piufieurs.
Page ~2. A~j~ cA~eHTî~ M~
€Û un Livre emier.
Page 3 ~&~r~'e~fm~~ ~on~<,
Il eit des Romans,noR ponn prererabies
à !s écrite, mafs à une inhnitc de men-
songes, que leurs Auteurs enrobe dire
~cntabtes. Une feh~arque qui a fans
dioftâte tfatcbeaucoup
de petne à ph~eurs
perfonnes e*t.(t de voir avec quel front
des hommes o(ent offrir des folies hu.~
maiuespouï' des ra~ns dtvtnes.
Idem. Nore. Q~t cy!7~ la ~~o-
jpr~ë des n~ej. Lorfquc la Science
vulgaire des nombres vous aura mis à
portée de rf<o~Ro!rre leur harntome 9
~o~s. tacherez de lesadapter
a des r!"
~r'es gcca~EftqHes en vous ci(v~n&
~a!- tcuc sa-d~Ëas. de ia Ccotu~ne' \u~-
j j
ga!rC) & dans le mMne tems~vous
vous appliquerez à former, d'après les
Phito~bphes.unpedc Recueil de la pro-
pïic~ïMe!!e~ueHe des nombres; c*e&-
à'-dire, comme je !'ai trace aUteurs dan~
cet Ouvrage, que t i'Ua!te te rappof-te à Dieu; t à {'homme, &e. Vous me
demandetez 6 Ï'bomme a propriétédu nombre t on 6c~ jL;QMt a ïapfd<<
pncté de t'hontme je vous) r~pondfai,
( vous ayam d~t <quc i n*ecant poMCaa
oombre,) que Dieu a~MC prévu avant
de créer ~homme, que l'homme por-
teroit !e nombre t. ~étoitd~M
avant i'homme, qûoique~ua fa~M
<ut de tous les tems dans la pre~cteoce
divtne.
~i heanmoms vou* ~cotcz que !*un
ttott vo!~THters enchame à ~utre~ ceétoit- V,of),I1(lçI:S'el\( ~Une,a,a.u.tre..
pour naître en<cmb!e t vous vous appco-
chez de iaventabie tcienee des nom-
bres, dont il ne vous-re~e plus qu'à
pénétrer ie ceM~g jun ~u! miot vous4
rindtqmeroKce mot eâ &r vot~Ètn\if.ttlu.erOKc'l
~'I1JOt. eUt "uJr',YQJ.
ïcvtes.j
~7)Les Réftitateurs diront peut-être q~e
j'aurois dû dire que l'homme ayant
corpsvie & ame, devoit mieux por-
ter le nombre }. Ce font des Refuia-
teurs, & pnint des Phiiotophes.
La propriété des nombres étant con-*
nue vous prenezà coeur de leur don-
ner le mouvement, c'e~.à-dire Famé
& la vie le corps étanr proprementle
nombre connu & pen<e car fi vou5 ne
connottÏez pas !e véncab!e nombre il
n'ya
pas d'union entre vous, ou entre
vocre corps & le corps du nombre, &c.
Mais -fi vous connoit~ez le vrai nombre
de votre fujet & que vous donniez à
ce nombre !a vie & !me, vous deve-
nez un Opérateur de merveilles mais
comme le Paveur qui ~ait que la pro-
priété de la pince eft de relever tndtfUnc-
temeM de bons & de mauvais pavés 9
ne releve pourtant que ce qui eft àpro-
pos, de même t'homme instruit, & de-
venuCage par dix, vingt, rrenre, & en-
nn (cuventcinquante ans d'ctude,n*em-
p!oie de même la propriété des nombres
(1~)
que iortqu!! a reconnu que ce!~ ne
peutecrecoMradi&oïre a i'Unire qui
e~ dans tous les nombresqu'emptoye
rOpérateur.
Je tnecs ici enp~ftanc & vous en-
gageant à vous en reSouvenir, que Fon
ne peut aller à !a Science TaUGnaatqae,
(vcfite que vous onc cachée .nos Phuo'*
~ophes~ &: que d=légidmesfài&ns me
~nt dévoiler,) non plus qu'a !a ietence
des Gemes, <ans poneder ceMedes nom-
bj'es,& quei*on ne pëuc polder ;cë!!e*
ci, ainn que ta Phtto~ophte Hernneti~
que, &!a haute Divination, fans Ïs
connoinanceduCie! & de ta Terre,
appeMee par, les Ancteas Ph!!o(ophes
~Me A~rotogie Rour tes années, tes
ïnoi$ Ïes Semaines, les }oms, ~cs heti-
res ,& même !es mimucs hearen<e~
oumatheareuie& àchacan H~etfou-
v~ parf~ Tapporc des notables qu! Mt
font a~fachcs; s~t arrive à ~ae~u'a~
<an joNt !ai ~E paru p!us rétharquâblë& di~reMes repNi€&que ks autres;
c'eâ, je le cern6e,patçe que e'c~ iejoMf
(~9)
véritable, ou que cela s'ef!: trouvé ~nf~
Dans ce Second cas, on ne doit paso~î<
biier que tel chagrin,ou ie!ie joie qui
arrive ~uppo~ele vendredi peut
bien
n'être que le rc~uiracdu jcudt ou d'un
aurre jour j'en pourroisciter vingt
traits or c'ctott donc par contequenc
plutôt le jeudi que !e vendredi quin'a
pasété heureux. Cette Science e~: d'une
facile crude on commence par les ans
clim~tériques. Enfin le commencement
des hautes Sciences, e~ toures les fu-
blimes Sciences vu)ga!res,oûvous ren-
contrerez des Profctieurs qui vous te-
ïiloigneront que ce qu'ils ne (avenc pas
n'exige pas, & ne peur pas ex~er mais
'étudiez ce qu'ils vousenseignent,
&
fans les tenir àmépris parce qu'ils ont
fait couler une partie de leur efpric dans
le vôtre commencez par ~ARro!ogie
NacureUc & Ihëz avec attention nos
Phijo~ophe$.
Page 3 De la Science fi de la Sa-
desEgyptiens. H
y aune roue
quî
tourne ccus les huit cent ~ns ,,ii yen
t~O
une- autre qui tourne tous !es douze cent
Soixante ans, & enfin une troincme quifait fa révolution entre ïe 6x & le fep-
tiéme millier d'ans dansceî'e.cieM ï'e-
poque de !a vraie Science mais pen-dant qu'eue fait fon cours, on voit les
fiècles d'or, d'argent de fer & d'aitain
on voit les fiècles tranquilles, les fiècles
po!is, !cs uèe!es]o!is les fiècles humains, 9
les fiècles féroces, les uccies impies, les
Ccc!es gothiques, enfin tout ce que FHiC.
toire nous o8fe. Dans chaque nècle il
y a dix roues qui offrent en petit ce quep!uneurs uccies offrent en moyen &
les milliers en grand. Notez pourtant
quecenefoMpoïnttcs roues qui né-
ceiittenrces événemens, mais l'igno-
rance, parce que la majeure partie des
hommes en montant à la Science & à
la Sageue s'aneyent &avent<ur ~esa~eSt 9
( < ) croyant arriver plusypromptement;
<
( t ) Cette Mégère a donc des aïtes ?Ouïde peau comme les Chauve Sourit ou Cou-
vent d'amadou, après letquelles eUe adapta
toutes forteso de piunm.
~!J
ccde !ace!u! quilè laiffe furprendre.
prend,commenous l'avons vù;in~érieuE
& l'extérieur des depuis de fon ~cc!e,
(ans en garderles verrus. En un mot
ayant l'intelligencedu bien, t! ne s'ap-
plique qu'au mal.
Idem 2~. ~y~~ ~n~yc~ ~y.I!
faut remarquer que t. 3. 7'
~:ï. 8~ devoit indiquer ~o & ~e
premier parla propriétéde + Cur :o dans
l'intelligence 3; & le Second de l'ouver.
ture du Livre en deux &c.
Pag. 2~.Une haine ~/y?or~f.
falloitrépeEer tout ce qui écoit nccetlai-
re, fans cette apo~rophe inutite, &con-
tre laquelle on peut répliquer, quec'e~
une ncce~tte d'être dair, net, &- pré-
cis~ îorfqu'on veut erre lu;& enhn, que
ce n*€(t qu'un aveu qu'on eAininte~igt-
ble. Mais dira l'Auteur i! faut pour-
tant ici Ce répérer, puisque lesHiérogly-
phes ont plulieurs faces comme les mots
Hébreux pluueurs ~ens, &: plus comme
!es nombres (e portent fur tout, âin(t
que je viens de le faire entendre dans le
précèdent article.
ï~;
P. Idem.j~/fër~Kë ~c~ Ajouter
ann de cuivre te Sentiment du nombreafin de CUÍvre le iei~cimeiac du nombre
i§. qui indiquoit 6. premier nombre
partait des Géomètres, ce que j'ai déjà
fait Sentir ci-devant.
Page ~7. 0& la <f~ïMc~.
Les Egyptiens ont ct~btUtur ouvrage de
teMe~bire, que te Fou court dans !e
troificme & ie quatrième Livre, & !a
Mon dans !e fécond & te troi~cme Li-
itre. Notez pourtant que ceci n'dt que
pour le fond de !a k&ure du Li~e de
~r&o~ car autrement !e Feu & !a Mort
ïors de i'opecadon vont & viennent
indistinctement dans le Livre entier, &
i! &mt, avant de 6tife paf!ec ces deux
Hicrog!yphes,d€voir dans !e coup de
que!!c maniere <onc p!aces ceux des
Hicfogtyphes~du premier Livre de 7'Ac~
qui ~t venus dans ïe coup. Je dis~ueUe
pïâce i!s occupent dansées Lames ame-
n<es fur ia taMc, ïor~que c'e~c pour la
Science divinatoires eonnn~ pouvant
pas en jmo!n< de vingt pages~vous
~o&Ber telles précéptesqaiiBM j~t
~))uite du pronoinc de la Mort &: de
i* extrême Fo!ie, pour que vous ne con-
fondiez pas, ne prenez quecctce re~!e
certaine. Lorique la Mort fe présence
dans lepremier coup de vingt: ux
La-
mes, & qu'elle tombe fur une ngure
celle-ci étant fur vocre gauche voyez
s'ttyaapres la figure i Lames fanspor-
ter un desHiéroglyphes
dupremier
Li-
vre dans ce cas la Morr eft pour la n-
gure,à moins qu'en relevant les La-
mes, cette figure nefoit en paralelle avec
un des 11 Hiéroglyphesdu
premier Li-
vre ce que je vous expliquerai par un
Tableau dans le SupptcmeMau troiue-
.me Cahier.
Page 3~.23~r/n~ery~/7~e<?.Dans
ie Jeu de Cartes coures corrigées que
vend l'Auteur ony
voit que le ? t
porteau)Bi celui de & ainu ce!ui
de t~. porre &uni t~ celui dei~ a
auffi celui de i 6; t 6 celui de Jt 7, & 17
celui de t mais il faut juûiner cela
dans,les Cahiers divans, ainuque les
&uii!cts 6 7- &: rcP
ï~)(buvemr que ces nombres font mis afin
de reconnohre les diSerens fens du U*
vre de Thot.
Idem. Note. ~s~ ~M~ /*o~<r<<<
~CK. AjoN:ez, c~R-a-dire lorsque le
<~ucûiohnan~ opére pour !M, ou le Phi-
!o&~he pour le Qucûionnanc.
Page. ~o.jc ~M~o~~<<-
M/~< On ne peut pas (ë cachet que
les hommes non-feu!ement dans les
iciences, dans leur conduite, dans !euBs
<oMEufs,ne font pas auez d*attennon pour
mentet d'être vraiment heureux mais
mcrne qu'ils oubMent que ce ~ont &tt-
ventdes vetiUes d*où dépend pour ;a;-
mais ou au moins pour la majeure par-
tie de leur vie ,1e bten-e:fe ou le mat-
at& qu*ï!s éprouveront. Ce que j'ai à di-
te e& moins contre ceux-d que contre
ïesactres; mais ennn, ceta eft redpro-
~ae, ce trouble !e repos de chacun,
parce que chacun en particuïier a'eit
point accoutumé aux diMncMbM d'C'
tïnc~oh< que nous comprecons mieux
aujourd'hui par~rt ponaque. Un jeune
homme
!~<
GG
homme ~ns tbrcune, pourtemete!-
parmi ceux qui en ont, fe vêcic en Pe-
hr.. Ma~re, de-!à fon entrée chez de
jeunes Seigneurs ou au moins de
plus fortunés que !ut mais les uns
ou les autres n'ayant que l'argent qui
peut répondre à leurs Mies ne leur
font utiles îîcn.
Il faut pourtant que ceux qui ne
6)nt point riches en viennent un
jour à chercher un emploi mais
~eur mi& dont on ne leur parle pas J
!eur ferme tout accès vis-à-vis de ceux
qui pourcoientieur en procurer. Ainn,
pris comme dans un nter, ou bien com-
me lePapiïlpn tournant autour de i~
chandelle, te clinquant des habirs s'é-
vanouit, i!? tombent dans la dernière
di~e)& dans le mépris des uns & desL U%
autres: !es débris des vêcemens dénc~enc
~ep~uvre ouvrier, ou le pauvre fainéant.
Pour fe vêtir à ton choix, à fongoût, il
~auc n'avoir pour !e rette de fa vie aucune
charicé à demander àj~ Socicté, &: ce-
ta ne p~ucen-e que pac une ~brcunepro-
pornoMee à ïa dépend que Fon ~nr
jftttS quoi on doicactendre tousks~ours
le momeMoùta mcdiocn:e,& ~ouvent!~
nu~re~iendroM nouy&rvïf de )ugcs &
debouKeaax,cnn~!S&t&npKiîcu~eni!:
deccttevieo~ap~o<N~Rté,fci~enMMon
ih<:us àccot~râghoïen~ recns <:ommë
chacuc pente & pertenKë ne Ïe cem-
gera ~ibic~e foïte &: mi~rc, vous
@[€S&u<~ proches tt~te~s ris.ho---j.
tSRCC<
On nepeatpas,d~t c~, s*~hKr-
teitcut v~anc on ne doit pas~ttët à
(es pteds uù tn&a~t de p!ai6t:ce~ e~
mais on tic doït jamais o~Beft'~e*
Me car~e'~ont.ear ta *)~t(ctc
adueNe ? HcKt peu~ nons~tfmcn~
Pa~e < 7. Une opéras
Hcn poKa~ic q~eMon~
~&~z' ~K~~nc'r~e'6~~ ~Bïis'
armerez v&i~ê~Bï~e~~et~~ î
-r/<
Ar ~ŸŸ~a $ ~a
~=~.
''X'
'j:)
'? T.T~~1
.r~t ~M,ï~i
7. Yo~ ï. doncPtCtKdctcretdB~HÏc.<
~-7
fond de 1a quenion eu de fervir Die:!
comme Phiiu~ophe.
Si la finale de votre opération avoit
donne,-f.uc. J
y< 6«<.6.7< 1 ?.<'?
ît<<~<
!3. ï~. 4.
8. p. o. le Que~ionnanc n'eût pas
~ce propre à amener les autres à une
vraie âgeue ,mais à des l'dées vulgai-
res. Néanmoins ces forces de Tables
laiuces par Pythagore, ne (onc que des
préparationsà la parfaire intelligence de
!a veriraMe Science des Nombres. Nocez
bien que ces Tables ne font pas les roues
que nous atcanimis 7'tcAc-J?~ pavaneARro!ogue, dans fon Calendrier unt-
ver~ naturel & magique, ï~82, mis
a.u jour par Jean Baptise C/'o~r, &
gravé par Théodore F~y, dont il v a
une nouvelle, énorme & furieufe copie,
augmentée d'une aulne & demie parMuteurdes prétendues C~Mca~ de Sa-
lomon, rapponées reloue part dans ce
Supplemenc.
Gij
~8
Page.Il a r~coKr~ l'agent ~r~-
M~~ Le (avant D~y a bienexprime
ces choses dans l'inverse en difânt que
!'Ecre qui e& en (ouSrance, demande
l'ainAance derAgent qui
lut a donne ta
vie.Voyez ton pêne Ouvrage ïur Av
T<t/~M~j jK~t~~avec
Prtvi!ege du
Ro!, Paris ~71, dédié à M. !e Che.
va!ierJ9~~y, ChanceHef de!a Reine
de b Grande-Bcetagne,Parem& Pro-
teneur dé notre Phi!o(ophe. (t)Lc
Protecteur & !eProtège parient pour
cet Ouvrage !MM néanmoins c*e~
une vérité, qu'it&uc le ravoir hre.
rignore pourquot ~~y ne fait
nuMe menton de C~~qai avott écrit
sm-deuus de tous !es autres fur !a &ien-.
ce & ïa ptopriété toute natureHe des
(t) II e fi propos qUc~e &<ïe reCouvemr !es
hommes intégres qu'nt d'être M~tre U
fa~t pue ~pp~entif; & en6n qa'E/opelePhry-Cten ne dédaigna pas de~oaer avec des en-
faM a<M~à:% Pt.ttpÏûphes pouc te caiehe r
cnt fbuvent cNerc de petites recettes chenues,ibus Icuc eavetoppe de grands Remèdes.
Ta!!fmans :ils étoient àvin~t
ou ~en-D
te ans près l'un de l'autre s'ils ne vé-
curent ensemble &: D~yne pouvoic
ignorer tout le mérite d'un vrai Philofo.
phe.Je veux croire que ce Scavant, tout
livré à l'étude, ne ~ut pas qu'il ~uc tout
près de lui de Grands hommes ce qui
m'e~ arrivép!uneurs
fois.
J~~Note (i) Ufez ne iont plus
J~c<'or~.
/~< Un metat unvégéta!,
& ua
anima), élevés comme ~/z~~ par~r-
cule hors du fein de leur mère, perdent
la vie & l'âme relative a leur maniere
d'être mais aucun corps ne perdcette
vie & cette ame fans en reprendre d'au-
tre, ainu réciproquement l'âme & la
vie luivant leur nouvel être, & c*ett en
,cefens que l'on concoic ~ans peine cette
my~érieu~e Roued'E~cA~ la Nature
infiniment liée, les moindres parties ar-
rachées à leur tout, & une gradation
chacun felon fon genre ou fon cfpéce:
néanmoins jeune Difciple ne perdez
pas la matiere de vue, car vous fubi-
Guj
KO
'tMz le maÏneureux ~orr d*?~<
Page Le Glouton j' foule. La
Narure~urnîf afÏez pour nourrir tous
<es hommes; mais il en eH quKnnr pires
~quc les poarccaux Reureufement qtte
ccFré bonne Mère panic plus ngoureuf6-~n~tt ïe~gëbrmands que tes Ïobrës.
Idem. ~~h~~7~<zfof.
Hommes & ~mmes, vouiez-vous vivre
heureux tfavaHiez économisez &:
~cô!i~!cez Ïjes antmaux ïa ~meiie e~-
'eMe coh~ërte e!!e ne tourmente p!ds
~etnâ!e qui ïabàrffôM plutôt que de
J'approche!* néanmoins observez qu'tt
heceNepasÏesaMennons.
Si d*dnt co~é eerre rcferve e~ nant-
~et!é ~ë faatre n'ayez aucune crainte
peur !e nombre des enfans; un tëu! par-
mi ptuueujr$ &aïc potK h eoaMation y
&: ïbuvenr pour Fai&nce nous, )e le dis,
~roHC en&ës, s*i!sont des pères & me.
tes~d!gnës aie ce nom longez fur-tout
que~coquenetieque vous vous pec-
~ectez pour éax des !eur tendre )eu-
'R€Me,eK: un Breuvage donc vous em~
~t t
poi~onne?le refte de leurs jours & fans
paner dans votre efpr'e pourun fermo-
neur, je vous con(ct!!e de les vccir en
tout tems en raison des renies que
vous pouvez fur le champleur faire.
Rejetez, donc dorénavanc cette crainre
d'avoir plufieurs enfans crainte q.u ne
produit plus à la Société que des avor-
tons, des valétudinaires quitui fbnr à:
charge.Je ne m'étends
pas~ur le Cs!i-
bât un ma!raueur eft moins peccabie
qu'un Célibataire fans caufe chacun
fon Sentiment, celui-ci e~ te n~ien.
Page ~.8.J?~ ~/x~
Oui, les
hommes devroienc vivre au moins r ~o
ans mais il taudroic que tout ce qui
peuc coopérer à unâge que je dis en-
core modique, rue entendu une gé-
ncrationfaine, des ahmenspurs des
paffions naturelles & non arnhcie!!es. ®
Si du tems de David Fâge commun
deshommgsctOc de 70 ans, ce ne
peuc erre tout au plus qu'une preuve qaeîes hommes de ~bn Cccie é:oienc
pre{-
qu'auŒ corrompus quenous le (ommes
G iv
}
à prêtent. Je dis po'an~nc pre~ue,car
ge commun danses citma~tempcrés parla Naturel exiretne par i'.irn6':e,!Teva
pas aujourd hui à p!us de 6 ans.
On voudra peac-c~re nous oSrir des
Sauvages, eu de bonnes gensde la cam-
p3gne:i!svtvencde)àp~as vieux quenous;mats au ifattjes premtefs ne font pas in~-
trutrs; &k$ <e<snds ne ~onc
gueies
momseorrompus queeeuxdes vittes; i
)e veuxi teuïemenc dire caerves. En-
~n un cravai! îegHfme & modère 3c
de vrais atimens, entretiennent !a ~anre,
ïe ~oud, & !& &fchaFge des tf~v~uï,
&c. ra!cère & l'anéantir.
Page <t.~ I.b~ae acz~ ~<M~yfca~
~~e ~e' Qad e& ce!u! qut
n'a pa~vu FuM de tes amis échappe a âne
more certaine mais îes réSextoMs ne
vont guères pïu~ toin que l'ctonnemenc
cc!ui même à qui té~e grâce a <!tc ac-
cordee~ ne quitte pas Ïouvent (e? hon-
teuses habitudes. Le Phib&phe ne dit
pas à ua tel homme devenez cagot, ta-
citurne non, mais il die, agtScz avec
~3~
G y
raifbnnemen: &:~oyëx toujours prec
à
vous dire j'efpereen Dieu 3 & le Rnts
fans crainte.
L'efÏrot de la de~ru~Hon e~ naturel i
!a crainte d'une maladie longue&:
d'une foule de maux douloureux pré-
fens à!'efpric,
font terribles, mais qus
ces eSrayans tableaux diminuent, !or~
qu'on vit en honnête homme lors
que l'on n'e~ pas obligé de mettre
un vernis fur fes crimes déjà trop
éclaires C'ett une furieufe tmbéctMité
de croire que que'ques pitres voilent
nos forfaits la monnoie de tous !es
Souverains de la cerre, n*a pas de cours
dans le Royaumede l'Empereu!. des
Cieux il faut bien faire, & rendre a
C~r même ce qui <t C<?/ar &" à
Dieu cequi en à Dieu rendre à
Pierre ce qui ~H à Pierre mais noa
pas donner à Paul ce qui ne nous a ~<
mais appartenu. Sentiment qui n'em-
pêche point de faire la charité à Pau!
mais non avec !e bien qui eA à Pierre
car c'eit,)e Ieerot9~ augmente!: le mal
!~)
àuftca de le diminuer. Qu*î! e~ beau
de faire !e vrai bien Et qu~tL c~ heu-
teux de n'avoir pas cte dans la pui!Ï&n-
<e de ~ire le mai iLangage
du fbtbte
die un in(en~ Non, dans ma bouche
il ead~enu.
ï~ge ) o. t -t- ~=t Vot!:t le ngnc
hëurcU~delà ~ort; c'e&une enandeUe
~ui~'étdnt e'c&une do~e !~hafg!c,un
~nï<ïlCi!à~s inquiétude. Heu&euxChcm-
~ui~pr~ëtc ftv~e d*nne tefre fet-
~fc ~apr~s a<'o~ ét~ en pMtiea cous le~
~v~nëmehs d'âne mer efageu~ë &
~të~t~ïe mcmnnu Les demieMspa-
fb~d~~h~tBe ~ui a p~ tïne vte
&ns Ïë~&~hë, ~t ks adicox les plus
~ïKi~es~~ ~eCe~antitHe,i aH petic
Ko~bre ~aMs vëHnenx iHear die,
6u pc~1ëu!< dït-e, p~utquûi etcs-vbuy
inMt~ ~e~reïteïicz- vûus t)B 'bonh eur
~~c ~:us pOM~dercn eenântd'ctre in-
~~e ~em m<Mt ~n fah tou~
teîà. N~ i peutq~tot <ion& n'être poim
~T~
~CyÏ.~P~~i~
decine & de la C~f. Les ScTvany
ont beau dire, que Féducanon de 'én-
fance e(t informe que Fon fak per-
dre dix ans à la jeuhene que pendanc
ce laps de tems elle feroit pleurs
cours Ntt!esj:ce!a ne détruit pas les
abus, abus plus dangereux quel'on ne
peut ~e fimagmer à moins de jecco*ks yeux ~tr la fburmi!!iere d'Abbés pim-
pans, igdorans enfin inunles, qui
!ëpIus{ouveM jettent le froc aux ornes.
Un pêne nombre d'hommes d!~)p!ines
âvec~bm pour FEtat EcdcnafUque, ren-.
droit !e premier Corps des Etats Catho-
RquesRontams- auHi re~pe<~ab!e qu'ildo)t l'être <H'on céïtbit de voir le pe-tir Abbé fous l'habit de l'homme tem-
péïe on Me confondroit plusies uns
avec !€S auTres tout ce!a e~: icu ) & on.
en ~it encore bien d'autres mais le
mouvement eA donne &: le pire, c'eH
~u'en tout on croit qu'U faut que ?a*ye~ mouvemeM s'arrête tout (eul. Ici
ec~hea~u~e parle enCitoyen,
eo~c~e~mentCR homme qui a droit
U~Jde dire fa penfee parùc-eUe froide
plagiée, en6n contraire à ceux qui n'onc
en vue qu'un incetêc toujours modiqueen taifcni du boshem de la Société donc
ils fonc partie.
Page.' ~'Aofr~~ ZM~Mt~Mc~.C'eA bien une venté, que qui tente à fa
vie~ e0: un pauvre fu~ec car quel eft
dpne ~Mfoï&ne~&uvent d'un fripon& tou~ou~s d'un idiot, de fe ~OLuner la
More î J~es ~Mtgnns vocace$~e~ enoe~
mis i'nM)M!'te!s !e manque.de toM.Fu(-
~ai-je pef<uade, comme on te .dit (otte-
ment des T~c~ qu~ yau~i& cout~ bau-
~e dans i~Mtte monde ~~e tnecfoicoi~
crpp dc~hopo~c ~~ce!u!<et, .S~abre*
geo~ le tem$peu~te quitter.
D&jnombre des honnêtes gens qui
ont été tourtnentes~ l'ai ectic ai~em-s~
j'ai pne, Mc& vfa~ J&jMaïtre~ que le
Va!et emportât pro~pten~enttHesenne*
mis mais laiCant eetie nptte idce s
j'ai rc&ccht; je me fuis penche: fans m'a*
vtlir; tous tes chagrins qu~n'onc qu'un
terme font ev~a~a~ &~e Sï~~
!?7
vu heureux je dis heureux, au pomct
<peles Etats du Grand Mogoi
ne m'euf-
~nc pas cente: ce n'e~ pointamour-
propre de deuxmoyens
degagner, je
fuis celui de la médiocrité.
Page y $. Les adoroient Dieu.
Li~ez ~To/e~~ rm~orien, ~n~K~. f~e
\3, où il die Afo~/f traite b.Magie
Egyptienne de Naturelle c*e~ à-
dire, yM~~ la Nature. Oui, les
Egyptiens, Se tous les Sagesde
routes les Nations qui les ont imites
etoiencMagiciens
au Cens (tri< Sages
& ~d!fa/2~ & aucun d'eux ne s'avilie
jamais a (aire nahré de ~oxpre~iges:
s'ilsopérdienc pat Ïe moyen
de laPhy-
6qup, its rendoienc fur Ïe champ compce
descaufes qui produifoienc des eiïets na-
tare!s~& i!sn'etoientréfervcs que
(uc
JesMy~éres de la
Rehgïon c'e~ à--
dire qu'annonçant aux peupîes qu'~
n'y avoit qu'un ïeut & unique Dieu,
i!s demdntFoienc aux hommes propres
.s concevoir cëtt'e vente ~ta neçe~Mté qu'il
'n'y eut qu'un DteU) & ain~ du pour-
.qupiles di~cremes Fctesqu'ils
avoieM
Métablies ,&c. &c. Ils dev!noi€ntpardes
tnoyensnaturels maisils ne rcveïoien!:ces tneyens qu'à !eqr$Di~ctp!es i!s
guentfoiëni!e5 tnaïadïes~moïce~s;maiï
ae r~lotenc !a ~e~;ne~~~à !€? Dïk!p~ t !n~Mi&!<cncde
tOHt~s!es ~cîcnpes~!ësArts maisils-
jae s'~n~ecen~~t~!a~o~ de ces:
ce
~tn~~ent ~en ~c~ïts~ jenjSn fa~sÏ'~a~ance ~0; ~~eat~ ~esgrandss
Phi;~pRes a ~xe~!c P!atoR
='â~~
:~M~ ~fl"~yoJ. i,e~lp.
.s~S~~ -u~Hf4, ~t
~y~cc~~ .~nM~ Avis.~age'< us
.~?~~3~~°°~
~~r~~ ce~t
~m~ '111"" ù~ird J(;r')t>-
~.p~
'2~M~ë~JL'eMdcde Phy6oncmiem'<néum
r~
aupoint qu'en
CT:prenant
des!e<;onsfu:r
Tnoi-naême, devant ua miroir, peildanE
deux. ans, que fur huic [~i!:s défec-
tueux qui y étoient peints annonçant
des débuts qui m'avoienr été repro-
ches paf un de nos Maires, )'<n eu
!e bonheur d'en voireSacer cinq qui me
tena'ent tellement à cœur que je cr<d-
gnois ta j[ocie[é des hommes in~ruits~
Oui, les tiaits de !a Phyuonomie Cuivent
~es vices &estefMS;ceI.t e~ n vrai, que,
d'âpres nos M~ores, &:pardcutteremenc
la Chambre, je ne me trompe
p!us, Ne que )'<n empêché plus de vïngs
personnes de cdmmettre des extrêmes;
je disvîhgc, j'en pourrois citer quarante.
Quel Rérutateur peut en o~rir autant, cX
que! Réfutareur ofe me contredire Le
jeune D~fcipte les connolt au langage
;e }es d~Mgue aux traits que porcenc
tous tesM~noraas je !e dis, autii rac!!e"
menr, qu'un Sage vulgaire les di~ingueateutVtÏ acoutremeni.
Pâ~: ~7~. Oh ne doit pas
pour eeta rejettet ta kd-ure de i~ Philo~
~Me M)at~u: <~e de ~es P~adox&s~
t~O
"V~ &p!us qae l'a dit Je
Docte .A~M~, Parinen, n'était pas un
Sorcier, pas même un Magicien
ce rue un grand homme, qui méritoit
plus de bonheur qu*i! n'~s & eu dans ~es
derDieres ~~Dees ~e dis bonheur pour
un Scav~M vulg~rc, cac le p!us grandc~ d'être ~eul tordue l'on tra~aiHe fincé
rentent pour ~e$ ietnH~Mes en parîicu-
lier, & CMgéneraï contre les dctaats de
!â .Spdete. Oui ~r~<t etOK ~vant
je ne dis pas<eu!emeMpoM<on Recle,
maisppurte n&trc, pu itpccuperoit en-
~reï'un despreimtetSiEangs il polfédoit
~Mc ~nguM, non en peffoqaec mais
j~on)m~ prc&nd.
`
P~e 6~. 2?e ~<M?~BH~~RM~e~r 7.
As~eud~~ae-t-piM, mettez celui
de,~xm~!tip!tCE.
~ge ~< t, t. Onfent
nueax ee que ~Auteur veut dire, que ce
q~'il dtt; it~ùt donc entendre qu'il n'y
a pas plus de 7 pnncipes d~ns ïa for-
]mu!e, ~pn ibus la tormuÏe 7 manières
de déployer !es nombres quoi qu'au
fond U n'en repréfente que deux ou trois
:6t
qui(ervent à
prouver par des opérations
aufli fimples que naturelles qu'il ne
devoir y avoir que 78 Feuillets au Livre
de TAo~.
Page 6'y. vais donc payer par
~roi~ & à la note, tient de ~o/o-
multiplicative. Oui, on peut payer
par & il feroit difficile depayer
à la Nature fon !cg!c!me tribut par un
autre nombre que celui de
Page 70. Les G'~o/n~re~~M~. Ouï p
parce que confédérés comme calculs vu!"
gaires, 'encore que la vérité physique
y ~otc on pourroir de~rerquelque cKofe
rn~is qu'eft-ce pour un vraiGéomc~re
( qui n'a qu'un pasà monter pour pé-
nétrer dans laPhydque occulte, ) cette
force de calculpropre à la f ?ncc Mue
qu'i! meture qu'il pe(e (uc l'immen~
~ce des vérités divines, quilui ~bnc
reconno~cre autrement que levulgaire
un Dieu. laSageue & la Science.
VraisM3thématiciens,que faites-vous
quand vous avez fournis toutes les vén<
tés phynques à vos calculs! vous vous
demandez fi ces vérités matérielles
!<~
?0 font pas attachées à des ventes
~piritue!!es cek~es y inre!!e<3:ue!!es
avant de fe tomdre à leur Auceur 1
oui, n*en douter pas & S vous
le <avez, ne craignez ramais de dé<
~airc autnen~onge. en avouant !a nece~-
6[e d'âne c&ame teMe de 3. à ï. & de x.
àî e~ !e premier nombre qui 6s
)ointàl*Unit~,dans!equt:! tte renferme,
en prenant 2 Ïo~~tpfotë~ion..
Ï.e cpfp&é&attachea!a vie ce!Ïe-
cl &i'ame, ~cette première partie de
ÏRomme entier~ eâ Me à D;eï~
Le géomètre qu~ pa~e rapïdemenc
deiaTérKaa C!e!, n'e~pas encore bien
avance: h Lo! Macnematique infp~ de
ne point quitter une Hgne qu*eHe ne <oic
poFtée à ~OHbue, une ngure a & nn
? ennn an Théorie pariaicemencre-
Jfo!u; ce qui ne peuc être, dans !a &ppo-Ëtiondu cercte qu'en ~xaat une des
pointes~n
compas,& fat!ant mouvoif
avec )u~e& circu!airemeni, l'autre
pointe :6gure de î'OperateM pîace
entre ? caate & re~t.
Touce vérité a Ïon centre au mitiez
~3
fi on ne conçoit pascet axiome, on cher*
che & on cène de chercher il faut de
l'ordre afin de -ne point tomber dans les
ténèbres:/b~ c~?r~ ~o~ ~or~
<jK~ ~7 féparales c~ des M~.
Je (ois fâché s'il e~ des personnes qui
tiiWi & ::?gn1_P CIlA'11ÿ ~f: T~erad:~enc, 3~ ccriven!: même qu'ils
(eper-
denr en vou!anc chercher la vérité des
hautes Sciences; je ne puis queie'ir
dire, jeccez toute votre attention ~r les
grands Principes de la R.e!igion,Dieu
les Hommes (ur les grands Primtpes
des hautes Sciences, la Nature !es
Hommes; ~r les Principesde tomes
les Sciences & de tous les Arts la rni-
tiere ~t'encendemenc ca.r voa's ai!~
chercher bien !oin cequi e~M~pToch?,
i!eftimpomb!e que vous trouviez: njtcz
que celane détruit pas ce que j'ai dit aU-
!eurs,que tout dans la Nature a § prin-
cipes :vérire bien connue des Anciens
mais qui mal fende par les Modernes, les
a faic tomber dans des Hutes. imp~rdon-
ttab!es~
Page 7;. Z/br~ /'A~r/Mo/ï~~ ~<
AH.EGORJE. La N~tufe aumamem
de ~a Cféat!on engendradeux Souvë'
rains & une Souveraine pour régir tout
notre bas Univers; mais parce qu'ils na-
quirent en mëme-tems tous tes trois i!
ne fut pas potltb!é de fixer tur run d~eux
!e droic d'àmé lespremiers hommes
qu'engendra b Souveraine, eurent au-
tant de vcneranon pour un Souverain
que pour l'autre & enfin pour rendre
à !'Auieur de leurs jours de légitimes
devoifs~iis~e 6gorefent !eurs parenrs dans
cet ordre ï l'ordre l'harmonie
raccord; & amu rivant ce Tableau:
t
3
&3
3 1
J
) ï Ï t
3 1 ï 3 jt
ï a } ï
) t 23
a t 3 3 <
3 3 i
ye
n~, ,J{Y'oi,q
0 ee
Page 7~. D~ /2~ M'e/rc? ~f
uniquement à ~o~/K/ Cecre Tabi.;
ou mieux ces trois Tables, (on!: un té-
moignage que l'Auteur auroif pus'ecen-
dre plus qu'il n'a ~ic dans ce quine pa"
ro~c pas y ecre analoguemais
pouren-
tendre FAureut~quoique plufieurs auront
l'ineptie decroire qu'ilne s'eniendok pas
lui-même il faut avoir de légèresno-
tions des hautes Sciences, ou attendre;,
avant de juger que la !ed:ure de tout
l'ouvragede i'Aureur nous in~tui~ ce
que je protefie qu'il fera avec une rapi-
ditémccpyâbie on le lit ptuueurs
fois.
Raymon Lu!!e,~ géiaéralement tous les
Philosophes, ontengagé les hommes à
r~fude des hautes 5cienees;mais on âpré-
fcre à les traiter d'enthoufiades, à croire
!es Sciences une folie humaine~plucôt que
de les étudier. On ne voir pas.dira-t-on,
de ces prétendus Initiés dans les Sciences:
mais parle rapport d'un objets un autre,
voyons-nous un homme raisonnable
courir la ville la campagne ayant
.6~
fa t-octfe au bout de (on bâton! Cn aime
la vérité mais il ~audroit qu'e!!e i~nt
trouver eMe-mcme les hjommes au n.o-
gcent eu leur nonchalance les entretient
fur le duvet ~ttendtx.la fous ~'vrme J~ur îe duvet ~< ~oH~ /'er~c,
dit ~n Comique, voust'attendrez tong-
tem~ il faut pa~er quatre ûcuves ~ui
n*onr epK'cux que troisponts.
Idem. De K~c~ ecn/c~r< ~c
~yif<' ~ft~ A ce propos, (u~ii-
aux Piètres idolâtres de dire qu*Hs &i-
voicnt la loi du pays, laReligion crue
véntaMë Peut parier ain~, il faut être
ptu$ perdude patron qu'un homme qui
(e dit A~hée fi on croit un Dieu, com-
ment condescendrequ"ii &it ma! adoré?
Les Romains, cePeuple
fouvent mal-
a-propos vante, avoinct une rourmiiticre
de Dieux ;un etoit nommé !e Père,
un autfe !c Grand Père, un autre la
Metè, un autre te Porteur de Nouvel-
les, unautreappaifoit !ap!uie,un au-
<Ke avoitia charge d'aHer battre le Dieu
des Peuptes EtraHgers oh foibtcs
hennés ~~uàtMi ne tailietcz-vous plus
!d~
~eDieu duCi~& de la Terre <otre
rellembiance ''j!qui
vous a crces a ~oa
ima~.e Que loi~c devenus ~es Idoles &
les IdoUcres de toutes les Nations De
tous les Peup!es inithecules, celui ~ui
adore un Dieu ne tombera jamais.
Hommes inRrtjits ~oyez géncreux~ Il
triompherde vou~mcmes tracez fur
l'airain ia venté, & que ce dec!e iûic
la dernière Ere qui compte !es années juf-
qu'à leurs 6ns ne(oyez plus contraires
à lagioire
de celui qui vous a donné la
vie & qui doit la recevoir, un feu! mo~
tous les hommes le connoif~nc.
Page 77. ~/2/<!n~ M~ïn~r~/f-
~cK Soo ans. L'erreur de du~'rë/y
eiï: ~ans doute la même que celle de tous
lesautres qui remontent !erègne d~~<j-
&: descendent celui de7'~{/
nxant ce!ui-ci dansFinterregne qui iub-
u~ enEgypte, on ne va
pas meine
jusqu'à conrbndre cet homme fi~ss
avec le faux Mercure.
Pour entendre laChronologie prora-'
ne on ne peut pas mie~ faireque
de
!~S'
s'appliquer a !a!c~ure du Livre de T~o~
& aux fragmens qui nous reâent de tous
ïes Ouvragesdu ~wj/o~C~M?~, ou
Mercure 7r~ On ne prétend pas
pat!erici à ceux
quivivent (ans rien
vcir n! vâïok maM a nos itht~res îHf-noir mais II 1-
toriehs, qui prêtent ootceinûfuûïon A
leuiSMMne.
C'eû une venic: 6 tout-à-coup ~es
Hommes inSfûîtS & commaniquoiënc
leturs pe6Sës, comme 1~n~!es hommes
de jSnaMëe, qa'ib tomba~MQ~GÈotd
(ce qui ne ~a mais) de coafner toutes
leurs vues du côté de t'interêc, iis enva-
tSfoien~ tputes ks tottunes, & !a p~u-
p~rt delMS Mch:u'd$ croient a peïnc
pro~e~aiestëtvif~mais les ncheûës
corrompent ~e c<s~f & gâtent Fe~prit
it~tia ~u&e m~dioctitc ppur cpn~eEver
Ïes ~omme~ <ia~s tes ~evoij-~ d'un bon
c~en~
P~gé7$~
1?~~ Jf.ï JE~c~M-
~af~. Nous ne cherchons potnc ici a
donnée aux .Ëccitures aucun ~cns que Ïe
I:itt~ M~de rën~~
raiion
~9J
H
ta~cn de !a va!eurdes mot§. Dans tout'
Jcs Traduc~ons comme dans les Origi
naux, ces trois termes ~onc tr~-d'.
tin&t~, les Sages les Af~e
jEc~<M~~ &c. Par on ne pe~
entendre qu'un homme craignant Dieu
au connaire.pâr ~.r~z~un homm.
.mon~rueuxquant
au ferme~~<
il faut l'entendre Suivant le lieu qu'il
,occupe; ce que je nepuis pas mieux
comparer qu'au mot.<K/~qui
d~ns
un ïens or&e un homme faisant couc le
~tenpombte &: dans l'autre ~Ci's, roue le
mal imaginable. C'e~ donc aux Scavans
à juger de la valedr des mors, (utvanc
les lieux qu'ils occupent&
~!ppo~nc
~u'iis tuïtent malplacés cela nedim:-
nueMic rien de leur première écymolo-
gie,en un mot de ieur vraiiens.
Jedts, cet homme eft unInqui~teur; G
.ente prend pourun méchanr, ce ne peucêtre qu'eu égard à ceux des hommes
qui ont occupé &dignité; car ce terme
~n lui n'a rienqui n'ait en vue le bien
&inR de même du motMagicien je dis,
~70~
Pierre eâ Magicien on fe 6gure fur le
champ qu'i! peucta~e tonner, parce quedes hommes qui (eJonc dits, ou ont été
crus Magiciet s, faifoient accroire ou
~i~oienc, fi fon veut gronder le ron.--u
Kerre. La pen~ëe de chacun ett rotative
au lieu qu'il occupe en France on vou.-
dJ
hlM.droic conno~re cent vérKablesMa~
ciens, & pas un (eut înqui~ceur en
Espagne on aime les Inqut~teur~ & on
brûle !e$ Magiciens pour moi, h l'un &
l'autre étoient tels que te terme l'ordon-
ne je ne voudrois pas d'aurre ~bciecé
mais cela e~ fi rare que je ne denre ni
l'un ni l'autre, & je fuis en cela par-
~kement hbEe:dans madéHcieu~ePatcie.
Page S~. co/R~ que par,le
<~ grands hommes. Il e~ bon de fe
fixer un certain nombre d'années écou'-
lees, & en ~uppo&M que l'on date dtt
Tegned'un Tyran, au ferme p~S on
l'entend auiourd'hui, te n'e~ pas en rai-
fon du méchant, mais du lieu & du
tems. Il n'en e~ pas de mêmelorique }&
dis, de l'B~ de TtMs, de l'&e d'Henri
î7~ ¡
!V car a!orsje me h~ure
desPeuples
heureux. même au milieu d'une guerre
abominable & Sanglante puifqu'eUe
ccoic contre l'humanité la fen~ibi!keY
du Souverain & contre rouie ju~ice.
Idem. Qu'ilsétoient les ~M/
Si dansquelques
fiecles, on vonioic MviE
R hRoya!e
Mai~n de Scnart rimmor"
te!!egloire
d'être une des touches des
plus grands Princes de FEurope, les
derniers de~cend~ns tnéritetoieiic ils
d'être taxés d'amour-propre?
Page Sd~ Les Egyptiens <'o~M~<
le C~ la Terre. Oui~ comme l'homme
vertueux conhdere le Créateur, & i~
Créature, & tous les biens que prodigue
l'un àt'autre,en6n iesremerclemensq~i!
en eâ dû par la dernière c'etoit donc
J'harmoniequi e~ entre le Ciel & !s
Terre, Dieu & les Hommes, àtaquelte
étoient toutoccupés les Egyptiens.
Ilsregardoient le Ciel & la Terre y
envoyant avec quel ordre admirable le
premier inSuoit(urtafeconde,&: tes errets
qui en nsinoienc & c'eA dans ces ~bli-
Hi~
t7ï
mes recherchesqu'ils decoa~nrenr îa
përbe copie du don qu'avec eu
de nonnner ce qu'il n'avoit Jamais vu
parion nom de vivre fans !nErmtrcs y
afin de connoHre !a grandeur t'~nn-c
ïa puinanee du Créateur ma;s, ~e le
répète, routes !curs recherches tiecen-
tôienrqu'àune
copte;comme îcpctnff.s
qui ne porie Ces ~ues qu'à in~ier la Na-
ture. Au contraire les Chaidcens, !e~
Phéniciens & autres Ï~uptes~ atnn que
~jnt les faux Maeteiens, regArdotent
!e Cte! pour prono~tqucr!es cvencmens
de la Terre e*e<t-à dire, que <ans con-~
cevoir par ~~<'~ûg~,tetque
poucdcit ~f. ( t), qu'ii ne
ft) r~becïHe Pithoy:, Profefreur de Phl-
lôfophie en i'Académu: de &edxn '64~
accufe Nt~ra~an.Md~trc ïb'cier y a-t-il
ineptie: ftmb!ab!cs ? H dit de même fans
entrer pour rien dans l'ignorance des terns~
au Code Tit De JM~~c;tt ~fAemanf~
C'eft chofe dangereufc d'apprendre & d'exer-
cer publiquetnentFart d~ Lt iEenmfuie; &
l~zt de Mathématique ~& dsc~abic~ & ..bief
lument d~cadM,x r
ï7~
~m:p~s quitter !ede! tans aecnre ou m~
vre !a chaîne, la cordelette qui nendtés
ensemble le Ciel & la Terre &: tous
te: Gtobes; car tout e~ faic !'nn pour
ï'~cre, & Dieu pourtour.
Pa~e 8~. Ils s'en retournoient ~/z~0
ieur pays.11 me Semble voir une Cui-
finiere parefÏeufe, m'ayantvu tirer !es
Cartes à fa MaicreUe, &:hifpnie
de voie
qu~e me donna livres pour prix
de mon travail, avoir des idées portées
tu!' mon état, fans con~derer que ma
<oib!e Science eO. le bénéfice de trente
ans d'Aude ~& de cinquante mille !ivw
de dépende. Voyez ce que je dis dans
le Soti!oque qui e& à !a tê:c de la
Edidon' du EtceiUa, ~7~1 mêmes
LtbrAires~
Page 88. J?7zyoyd! c~r~
/M J?7ze~<ïn~Mrj. Ily avoit donc t'un
Om, la fbrceHene e~ généralement dé-fendue, nms non pas les Mathémanquesni ia h~utc P~y~que ni en6n une fage Pm-
tofbpMe ce qu'il fallolt diilinguer, commeMK iait tous ie: v~ AHfologues.
H~
ï7~
&r Fautre ? Cm ~ans doute, !e :cxfey
c~ formel mais j'en ai ~fHfammenc
parle dans maZ?~rM~a~<f ~e/zM
Z~M~~o~re.0
Page 89. 7/<t//& tfr~ ~y~f~
Si tes Sciences que nous nonttuo:'s ~y-
~K~Oc~j ~ou ~ub~ance de !a
Phv-
~que, n'avo'fnc point cce combattues
& cncote tom nésy~x" t*d!cub{e<s ps?
des Ecdvaias ~Utfn'oftr de taMon que
de ne tes avo!)~poinc ccu~iées, par
conséquent de nepouvoir les compren-
dre les hoïnmes vraiment in~ruijcs ne
cï.a!ndco!e~c ~as de par!er ouvertement
& ia (om~te'~ot~te de'; !unneres <? notre
~ec!c, nous Eeporreroir bientôt à re-
tfou~et te& rôtKesphy~ques qui condui-
sent aux hautts Sciences. & en6n dans
ceMes~ct~sdé pénètres dans
les d~rniets (entieis de !a Marùfe.
Pour te jrépecen~c fois; cepu~
diccce que t*o~ n'a pas approfondituivanc
les v~ais ponc pes~ ~aut ttpacce que
de
~x Phjt~~pti~s ont donne tëce b~Cee~
d.~s des baiet.EdRcs~ GEeMC que tom c~
!~) O
qui~orferc~onm:fJXf-o'K ~S quî
a été reconnu par des hotu:s qui m
croyoie~t queles verbes, te''s ~reK
5oe/-<t~, P~<?ff,T7~ &: miHe .m-
tres, croire dis-je quela Phy'!qns
Occupe, la chaîne qui lie la Terre au
Ciet, e(t une rêverie M~is que peut oa
dire de p!us~brt~& que peutun
Sophie.D'- `
t~cW v.r~(,' ~P~th j-an Refu:3~ur,
oppofër à
ee~e râi(or'y
approchez &:encendezf Daitteurs, quel
péril pourroitcourir la Société., quand
cent Sc&vants )etteroienc de ce côté
toutes kurs vues T~'avons nous pa~
aiÏe-.d'ouvrages (ur les Sciences & !e§
Arts communs a tous les hommes? Oui~
fans doute puifque l'on ne Me p!us que
plagier,fe
redire &: (e di~pufec, non
~ur tefbnd~mais ~r !a fofmc, non ~u~
!es;Sc!ences & les Ârc~, ma!s futr k tour-
RuM des phrases qui !&senfeign.enc
oui, on fedt(put~ fur !a manière de
paT!er~ manicre qmi doit de.Cec!c e~i 2~
heç{e .deventf .gothique;~ ou ce autmême, p~rpici-e te~ë à nos ~eJSen-~
d~
H~
!7<~
1
Un homme qui a rencontre !a ve~
~e, en ne cherchant qu~cïie, je dis br
vérité, n'importe dans que! genre ;s'if
<n veut eecïre, i! eâ oblige pour fûn
tepM, ann, dis-~e, de n'ecre pas en butff
aux nonfCM propos dé t'ignorant, de fc
~virde~Dter&ge d'en parter commer
~jC &~bM; ennh, de ïe raire un
A~aDet~m~ts qmmettent nece<ïai.
temeM ~!a ~rtttrC re~rtt des hommc~
J~s pÏos ~dtewx. ïuppp&ntict que ïes
Naaites Sciences ~oïept ab~oment &u~.
~1~m~ns;~ta nbened-e~~tt' t r ?~i..r~?''i..?' 'A tf/
~re; cfe ~eh occuper,co~nMe-
ïoit comme ~tdK de nous conduire àut
j~ grandes découvertes; carU eR de
"~e, Mtet~outes ce!~ oc au moins !a',nc~ *'at'tû4~.i ?! r.
~ateurepMue de ceues auttont utnes
4s.~ ~).'?~i-Mft,2~ S?"V~T. :I.atK nommes, Qn~ ecë trouvées par !es
~o&pttes, Ï~evins & Hermetidens,
~e~e~ar ceux qut~ont CYceMe
~0~!)it'Etf?'~&t~ 3 L. < –t<~<bns ïes Mathemanqaes, dans ta Pnyh-
t'H'S i'~a' ?9 -S~ ~T~<!ue aan< M ,Chymïe, ~ansia M~gê-
'%n~j-b'~a'si~tm,
<
Ctne & auerespfenaeres Saetices.M a
<ee &jet jicembten d~ommes, depuï~'vr :T.
un hecle'&demt, quine voulant poinpg 9
rapportà leur familte & à leurs de~cen~-
dans, ~aHer pûar Devins, oupour
A!-
chym)ûe~,cachent te fond de la Science
cùi!s ont pa<(e ceHes qui nou!: redre~nc
ncus condtutenc, & enfin qui prévien-
nent !a fource dts maux ou nous ~ue~om"
berions il
€roit-oh que !a Pb~dque a~ue!!e
gcneratementks Sciences
vu!gaires,
6)ient en état de remédier à toutes nos
infirmités i il faut une Médecine univers
ie!!e ceux ~ui ont la fdence du bien
~nt !e bienpoor eux &
par amoufpour
ie Ciel & pourles" hommes.
Page 9!. Parce ~M~7~~o~~M<
~MJ ~K~~j~M, CM devine par c~j!
~4r~j. EMtpo~b!e en fixant ce Jeu, J
& en le rcBechinant attentivement, d@
ie ~rmer une idée p!ut Vrai<enlb!ab!e g
qu*i!aduccre primitivetnenf un Livre
cnfuite pauan~ plus avant, un Livre de
PMto(opnie &: ettnn renfermant !<?
~lu<hautes fciences hutnaines t
S! on t~Mve que lesplus hau,res
fe!ëM~
-!7! ¡i
ces dotent su nombre de ) ainh
~ue je t'ai dit, peut-on douter qu'un
JLtyre de phi!o(ophiefait
parceux qui
~uwoK'nt ces trois Pences,!a Reiigton~
toutes tes branches de i.tPhyttque
oc"
eukc & rctprit ces tcicnces vulgaires,
B*y&ient ab(o!ument traces ï Ce que
)*&n ai dit,& les trois autres vo!umes~ nous
<Mg~gefoMa!ccro!r~, & tans doute à
aider routeur dans un travail où!agïoi<-
Mptasq~e taforcune attend ceux qui
t'en oec~peronc.
~8~ «~<& P&tf~~
<~M~f~ye ne ~u~ pas encore
plus in&rott Jfuf k ~cFede cec Ouvrage
m (uEfa~nnee qu')iiut)!mp~tB€; ma~sit
~Sc~e ~~f~ unq y~tc pou~ qu'e!te
~c~n~ ~)!)qM~e~ de ~e~ee.,
pjMti~~f~~nt ~ons~de~ns qu~
6~ïes~A~~iens. Auteurs;~ ceux de~
d~rn~ o& yi~oM: Z~A~
~~deJaf~io~tEe~nt~tnuÏe,
propren;e~er ~M~S~~
~a. ~N%Bm~
('7p)1 A 1
AV
y
ayantîui-men'e trouve un remède ex-
eeUenc pour preve'nr div~ies m~iadies~
B y s, /Kf~ ~&ela ~A'
Page 04.. ~4/tt'7<:r,cu/<
~7' <r en-à-dire pour
~ecendte raison, en s'appuyjncfur u:ï
Bpmbretju! correipondotta ttur te~ s:
te! ~ur,pa~ex:mp)ecelui de ~<$o ~'ouf
tadiviGondu Çerc!e,aJntts ch.z tous
tespcup!esd€ !arerre~ parce quece notn-'
bre eft celui qui trouve laplus grande
~uanthé d~ Di<'tkuts;amh 78 fur te
npmbfe de <.hotx par tes Sages Ë~ypnens,
parce qu'iLo~foK ibus ~s itens une plus
grande quanme de n'oyens deporter de
l'Univers enner &r cnën parce cp'e "8
c8u.nnon)bre qui corretpondacouces
les Subdivisons des Scitnces daines &:
bun~ines :ceci fo!t pourm'r fntenduen
cgar-dau non'tbte de~ t-cui)it. rs car !e ras
nombrem~neriauet.~ 7-' & tur cecre
di~itict on ~t~e je prore~e (.jue t'on
jrc~ uh ecnre u~ vo!ume de dttcuurs
&M! ne v~u'o!E c~n pAUer ~us htence r
€~n j~~i fû~peimis j~a~ieuce d@.
Ï~
tracer ce qu*eHe iadtque ti. y 7.
&~&'e.&c.
Page~ ~<to~~B~<M~: Oni~
naus atmoas {a ,v~é; ~âi~ cbmme Ïc~
rayons j~nc.a~jmaat~ & ~a~ AtttKnc
tsujosis SMeeMïëyce qa~B~~as pour
!mJ& moniongë, qui, comm~ un bri"
gaad, a t!~ Mes .pôwt &s rettattes
tMt~ peuL~ ~h6~<:€"héus Eut ~cc6:
t@j t~ naMe' !€~v~@S~l6s pÏ&<6rs dan-
gëteuï~onr' vane~ m~M~Sës. Nôas
aa~ans tâ~e~Ee ~€~înEa~ ~oos aimons
potages ~té~~e<npeiQt les autres
iot~e moas ~~m<S! à t'àM~r ce rap-
port qui n*e& paS~s~ws~ppEy; Efen e~
pa& mcips vrai, paro~ tct ïor!qu*OŒ
regarde lé cété ~oêMateur voit p!u<N:tï~
huâtes ~e'e&nv€f~ d~ eMën d~
Bergcr.f.
~agë ~6. ~t~ <&CM& ~o~
Pt~r6ttWeà!a pt&e dnrPb*&e, H
~natteeaeiUtr tous &&Ouvrage:, & ie~
Ere avec attention ~am6 ea e&-tl de
tous ecttx de& Eert~aMS qui ont traita
de$ AMematï~ae~ de ??0~ de
ï~! 1
P~que,de h Mcdecme, &fe. ~e.
A~ennon que n'unr pas ces EcrivaŒers
quine vivenC) je ne dis pas
de brigan"
ehge, comms !es Phtgnires,n~!isde
~~cr j~ec outrance, & de medtre <'ms
Science s'â{Tujen:i~nr a!goûc
du heds
qu'ils onc atdé à garer,
Ces chiens A~ degoAre'i!:les
jeunes Ec~va;ns: par les ~nrômes cju'i!~
leur o~ënf t &porcenr
!es hon)ine~
j~ir-à déch~4c~rs nnnL!fcr!)'s,ne vou-
Ïanc p~ pa'r-'r p~r!<i!)gue enventmee
décès niepriubtes A~ui~rcurs de lArc
du menfon~e & du fauxgouf
U Elue
ctre ~~ourd'hu! cr.'s(j~? ou rrcs Fou t
pour o~er ~ireimprimée !es penfees.
Que !'on ~t~e des Porcrairsg*ticraux
~air nm<s que t'OM s'acharn: A un hom-
me de Lèpres quelque ~bi'e qu'il
~))r, quand même~es tenDmsns~eroienî:
erronés, s't! n'e~coupable que d'igno-
f~nce ceia e~ o lieux. Il ~r parler
eoncre !~s vices, &; non contre les hom-
~nes à mohis qu'ils ne ~ermcm les;
ïSt
,~eux "JI.1]' ~a~~r~é. ~c~a~t ât~ea:x &h îutMSM ~e Jh v~fKe. QcaBt
M) 0~, apprends, vtifËttyn~ue qu'u~
l3evin n~â pas mo~daMe par!e de me&
cettvfës, j'y con&nj!, dis que m ne ks
e~en~ ~s~jme~nte~a~s
mieux ~i~e.n~ ~~ene~
totechMetës~c~~ j~g~s, <:hé"
ïM toas'~s,~omme~
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