Autoportrait (1837) Photo par Félix Nadar (1858)

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Autoportrait (1837) Photo par Félix Nadar (1858)

La Liberté guidant le peuple

La justice de Trajan

Cléopâtre et le paysan

L’assassinat de l’évêque de Liège

La chasse aux lions

Combat de chevalier

Combat du giaour contre le pacha

Les deux Foscani

Diane surprise par Acteon

L’entrée des croisés à Constantinople

Aspasie

La bataille de Taillebourg

Chevaux arabes se battant dans l’écurie

Le Christ dormant pendant la tempête

Le Christ au jardin des Oliviers

Combat du giaour contre le pacha

Dante et Virgile aux enfers

Les fanatiques à Tanger

Jeune femme aux bas blancs

Femmes d’Alger

La Grèce expirant sur les ruines de Missolonghi

Jeune tigre avec sa mère

La lutte de Jacob avec l’ange

Le Christ sur la croix

Marie-Madeleine au pied de la Croix

La mort de Sardanapale

La mort de Sardanapale (détail)

Un couple de Natchez

Le nègre au turban

l’odalisque

Une orpheline au cimetière

La Piéta

Portrait de Frédéric Chopin

Portrait de George Sand

Le massacre de Scio

Selim et Zuleka

Vase de fleurs sur une console

Exécution du Dodge Marin Faliero

La fantasia marocaine

Hamlet et Dante au cimetière

La barque de Dante

La mort de Lara

L’agonie dans le jardin

Le cheval effrayé par la foudre

Le marocain et son cheval

Le prisonnier de Chillon

L’enlèvement de Rébecca

Marocain sellant son cheval

Médée furieuse

Miltona dicté à ses filles le paradise lost

Noce juive au Maroc

Nu assis

Ovide et les Scythes

Tigre attaquant un cheval

Une femme à Alger

Le printemps

L’été

L’automne

L’hiver

Éloge à Eugène Delacroix

« M. Delacroix est décidément le peintre le plus original des temps anciens et des temps modernes. Cela est ainsi, qu'y faire ? Aucun des amis de M. Delacroix, et des plus enthousiastes, n'a osé le dire simplement, crûment, impudemment, comme nous. Grâce à la justice tardive des heures qui amortissent les rancunes, les étonnements et les mauvais vouloirs, et emportent lentement chaque obstacle dans la tombe, nous ne sommes plus au temps où le nom de M. Delacroix était un motif à signe de croix pour les arriéristes, et un symbole de ralliement pour toutes les oppositions, intelligentes ou non ; ces beaux temps sont passés. M. Delacroix restera toujours un peu contesté, juste autant qu'il faut pour ajouter quelques éclairs à son auréole. Et tant mieux ! Il a le droit d'être toujours jeune, car il ne nous a pas trompés, lui, il ne nous a pas menti comme quelques idoles ingrates que nous avons portées dans nos panthéons. Dès longtemps il a tout dit, il ne lui reste plus – prodigieux tour de force d'un génie sans cesse en quête du neuf – qu'à progresser dans la voie du bien – où il a toujours marché. »

Charles Baudelaire

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