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Une jeune femme trouve la paix grâce à un exorcisme très spécial effectué par un prêtre consciencieux.
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Exorcisme Très Spécial
Il n’y a pas très longtemps j’ai fait une profonde remise en question sur moi-même. J’ai cherché à
comprendre d’où venaient mes appétits sexuels, ma perversité. Pourquoi n’étais-je pas comme la
plupart des filles de mon âge ? Pourquoi n’arrivais-je pas à me contenter d’un amour simple et sans
débordement ?
J’ai longtemps cherché, et j’ai finalement trouvé les réponses et le salut dans la religion.
Je n’avais pas mis les pieds dans une église depuis des années. Ce fut un moment solennel pour
moi, j’étais seule face à Dieu dans cet endroit spirituel et je priais de toute mes forces pour qu’il me
vienne en aide.
Je sortis de ma torpeur en voyant un homme à l’autre bout de l’église. C’était lui que j’étais venu
voir, le père Thierry.
Je savais que confesser tous mes péchés me prendrait une bonne partie de la journée alors je ne
lui confia qu’un résumé de quelques-unes de mes frasques, lui expliquant le plaisir que j’avais pris en
traitant certains hommes avec cruauté, ou au contraire comment j’avais jouis en me faisant
maltraiter par d’autres, en devenant leur garage à bite, leur trainée.
J’essayais de ne pas rentrer dans les détails ni d’utiliser de mots grossiers mais j’avais du mal à me
retenir, d’autant que confier ça à un homme d’église me faisait déjà mouiller.
J’en arrivais finalement au point que je voulais aborder en venant le voir. Je lui expliquais qu’après
avoir fait beaucoup de recherches sur le sujet, j’avais acquis la certitude d’être possédée, que le mal
était ancré au fond de moi et que je n’avais pas la force de le faire partir par moi-même.
Le père Thierry écouta cette théorie et ne me contredit pas. Il me dit même qu’il en avait eu le
pressentiment en me voyant arriver dans l’église mais qu’il allait faire tout son possible pour me
sauver.
Je fus tellement soulagée de me sentir entendue que j’aurais pu lui sauter dessus. Surtout qu’il
était plutôt bien fait de sa personne, c’était un homme svelte de taille moyenne, 35 ans, des cheveux
très noirs coiffés impeccablement et un regard perçant qui me déshabillait pour voir jusqu’à mon
âme. J’avais envie qu’il me prenne dans ses bras pour me sentir rassurée.
Je lui expliquais ensuite que je savais où se cachait le démon et qu’il fallait que je le lui montre
pour qu’il puisse l’affronter. Le père Thierry me regarda attentivement baisser ma petite culotte,
remonter ma jupe, écarter les jambes et me pencher en avant puis il me demanda ce qui me prenait.
Je lui répondis ainsi : Je ne vous mens pas mon père, j’ai un démon dans le cul, il est là et il me
tourmente à l’instant même. Regardez et vous verrez.
Le père Thierry se mit à genoux et approcha son visage de ma raie humide. Je sentais le démon
dilater mon anus au contact du souffle chaud du curé contre ma peau.
« Vous avez raison ma fille, je vois le démon en vous, je peux sentir sa férocité. C’est la première
fois que je vois ça.
– Alors vous me croyez vraiment mon père ? Demandais-je avec des sanglots dans la voix. Vous
ne pensez pas que je suis folle, j’ai vraiment un démon dans le cul ?
– Oui mon enfant, il est juste là ça ne fait aucun doute.
– Vous allez pouvoir le faire partir ?
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– Ce genre de possession réclame un exorcisme particulier qui peut être très douloureux mais
c’est nécessaire mon enfant.
– Je suis prête à souffrir mon père, je suis prête à tout subir. C’est pour ça que je suis là.
– Dans ce cas... »
Il baissa délicatement ma culotte le long de mes jambes et la retira, puis il m’amena à côté de
l’autel et me demanda de me prosterner pour prier.
J’essayais de chasser mes pensées impures mais j’étais envahie de désirs et de fantasmes. Le
démon recommençait à me rendre salope et c’était difficile de me contrôler.
Le père Thierry posa la main sur mon chignon en psalmodiant des mots en latin. Il appuya sur ma
tête, me faisant ressentir sa force virile, ce qui m’obligea à me mettre à 4 pattes.
Ma jupe était encore relevée et mon cul cambré était en l’air. Je priais de toutes mes forces quand
je sentis de l’eau fraiche couler sur mes fesses. C’était de l’eau bénite que le père répandait sur moi
de ses mains.
Puis il entra un doigt dans mon anus, commençant ainsi notre combat contre le démon.
Ce simple doigt mouillé fut déjà une libération en soi. Je me sentais en partie purifiée par lui et
j’en désirais encore plus.
Le prêtre le retira plusieurs fois pour retremper sa main dans l’eau bénite et ensuite réintroduire
plusieurs doigts en moi.
Après quelques minutes ses doigts disparurent et je sentis sa bouche qui se plaqua contre mon
petit trou. Le père Thierry ne psalmodiait plus, il avait rempli sa bouche d’eau bénite et maintenant il
l’expulsait très fort dans mon cul.
Cette eau fraiche qui me lavait profondément était un pur délice qui me mit presque en transe.
Mais le choc fut brutal car à cet instant je sentis de grosses brulures me cuire les fesses. C’était le
père Thierry qui s’était désormais saisi d’un gros cierge et faisait couler de la cire chaude sur ma peau.
La souffrance et le plaisir se mêlaient dans mon corps, je les endurais en serrant les dents pour ne
pas hurler. Ce fut d’autant plus difficile quand le père Thierry se mit à introduire l’énorme cierge dans
mon cul.
Un bref instant il cessa de parler latin pour me demander d’être forte. Je lui étais tellement
reconnaissante que ses mots me donnèrent le courage nécessaire pour faire face à cette épreuve.
J’attrapais mes fesses avec mes deux mains et les écartais au maximum avec ferveur, montrant au
père que je n’avais plus peur du tout et qu’il pouvait continuer.
Pendant près d’une demi-heure, le père Thierry pourchassa le démon dans mon cul. Le traquant
dans les moindre recoins à l’aide du cierge qu’il utilisait en faisant des vas et vient intenses.
Quand il retira le cierge, j’étais si ouverte qu’il put sans mal introduire sa main entière enduite
d’eau bénite dans mon anus défoncé.
Le démon n’avait plus nulle part où se cacher de la main de Dieu, je le sentais se débattre dans
mon ventre. Ce salaud me faisait jouir comme une chienne encore une fois. Heureusement le père
Thierry était là pour m’aider et m’arrosait de cire brulante pour me ramener du bon côté.
Il retira sa main et me laissa quelques instants pour me remettre de toutes ces épreuves.
Essoufflée je me remis à genoux et levai les yeux vers le père Thierry qui se préparait pour le rituel
final.
Il se concentrait intensément comme seul un homme de Dieu en est capable. Il remonta sa
soutane et je vis son saint pénis dressé vers le ciel, raide comme un pieu. Il le mouilla d’eau bénite,
décalottant bien le gland pour que chaque parcelle de son sexe soit bénie.
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C’est alors que le démon s’empara de moi encore une fois et me poussa à me jeter sur cette
grosse queue. Elle était imberbe et paraissait encore plus grosse sur le corps fin est ciselé du prêtre.
Je m’en régalais comme un chien suçant la moelle d’un os juteux. Aucune bite n’avait jamais eu
un gout si délicieux.
Ma voracité démoniaque n’ébranlait pas le père Thierry qui restait admirablement stoïque. Il
priait, les yeux clos, sans bouger pendant que je me déchainais en lui dévorant le sexe.
J’avais conscience d’être impardonnable et j’en pleurais d’effroi mais je continuais à le sucer, à
faire glisser ce magnifique membre dans ma gorge, à l’en ressortir pour le lécher de haut en bas et le
remettre dans ma bouche. C’était trop bon, irrésistible.
Le père Thierry posa sa main sur ma tête en implorant Dieu de pardonner la salope que j’étais.
Puis il se sentit prêt à en finir avec le démon qui palpitait encore au fond de mon cul.
Il me déshabilla, me mit à 4 pattes sur l’autel sacré et retira sa robe pour se retrouver nu lui aussi.
Il se plaça derrière moi et introduisit sa divine bite dans mon anus qui avait eu le temps de bien se
resserrer.
Chaque centimètre de sa bite arracha des larmes de bonheur dans mes yeux.
Je repensais à tous les hommes qui m’avaient enculée jusque-là. J’avais largement dépassé la
centaine. Toutes ces queues de jeunes puceaux, d’hommes mariés, de vieux pervers, de clients,
d’anonymes dont je n’ai même pas vu le visage, de membres de mon entourage et de ma famille, il y
avait même eu des chiens. Toutes ces queues qui m’avaient inlassablement défoncé le cul pour gicler
au fond de lui des litres de sperme chaud dont se nourrissait le démon.
Toutes ces queues qui m’avaient souillée, et cette souillure dont j’avais joui...
Mais cette queue-là était différente, elle me purifiait, elle me libérait. Je levais un regard
implorant et reconnaissant vers la grande croix, j’avais l’impression que c’était la bite de Dieu lui-
même qui m’enculait profondément et me faisait tout ce bien.
Le père Thierry se sacrifiait en y mettant tout son cœur. Chacun de ses coups de rein était plus
puissant que le précédent, assénant au démon des coups qui le tuaient à petit feu.
Jamais auparavant ma chatte n’avait tant mouillé. Telle une fontaine sacrée la cyprine s’écoulait
sur mes jambes jusque sur l’autel. Ma chatte versait des larmes que mon corps aurait voulu pleurer
durant toutes ces années ou je l’avais meurtri en l’offrant au vice.
Quand le père Thierry libera sa sainte semence au fond de moi nous hurlâmes en cœur et l’écho
emplit l’église d’une façon presque surnaturelle.
Il me serra fort contre lui et m’assena un ultime coup de queue qui mit fin à l’existence du démon.
Mais étais-je réellement libérée après toutes ces années ? Le doute m’habitait encore, le père
Thierry le comprit instantanément et s’employa à le dissiper.
« Vous avez encore peur, ma fille. Je le sens dans l’étreinte de votre anus. Vous craignez qu’il ne
revienne.
– Pardon mon père si je manque de foi. J’ai peur en effet. Vos coups de queue étaient ce dont
j’avais besoin pour chasser ce démon, mais il reste un vide dans mon anus désormais. Un autre
démon pourrait en profiter pour venir l’habiter et cette pensée me terrifie.
– Je serai toujours là mon enfant. Vous devez laisser Dieu remplir ce vide, vous devez sentir sa
chaleur vous envahir jusqu’au plus profond de vous. »
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En entendant ces mots, je sentis effectivement la chaleur de Dieu se rependre en moi. Le père
Thierry dont la grosse bite encore à demi bandée était toujours logée au fond de mes fesses, s’était
mis à uriner.
Je tournai la tête au mieux pour le fixer et je fus conquise par la gentillesse de son sourire. Il
m’embrassa tendrement pendant que de sa bite, des flots de pisse bénites jaillissaient et me
gonflaient le ventre.
Cette sensation magique faillit me faire tourner de l’œil.
Nous nous étalâmes sur l’autel, épuisés mais comblés d’avoir vaincu le mal et je m’endormis
contre lui.
Deux fois depuis, le démon est revenu m’habiter. Et deux fois, le père Thierry l’a à nouveau chassé.
Je suis une salope, je le sais bien. Mais j’ai la foi et j’ai compris que Dieu est amour et qu’il aura
toujours de l’amour à donner à une salope telle que moi pour la sauver.
Amen.
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