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Ministère de l'emploi,de la cohésion sociale
et du logement
D OCUMENT D’ÉTUDES
DARESDirection de l’animation de la recherche,des études et des statistiques
Les documents d'études sont des documents de travail ;à ce titre, ils n'engagent que leurs auteurs
et ne représentent pas la position de la DARES.
INTERIM
Comparaison des sources
Par
Basma SAADAOUI
en collaboration avecNicolas de RICCARDIS
N° 122Mars 2007
1
Intérim : comparaison des sources Synthèse Cette étude présente les résultats de comparaison entre deux sources sur l’intérim :
1. La source de référence = relevés de missions de travail temporaire adressés par les entreprises de travail temporaire à l’Unédic, chaque mois ;
2. Les enquêtes Activité Condition d’Emploi de la Main d’Oeuvre (ACEMO) de la Dares auprès des entreprises utilisatrices.
Tout d’abord, il s’agit d’évaluer la qualité des données issues d’ACEMO relatives à l’intérim en calculant le pourcentage de données manquantes. Ensuite, les deux sources seront comparées relativement aux indicateurs (volume de journées d’intérim et taux de recours à l’intérim). Méthodologie de l’enquête ACEMO :
Enquête ACEMO annuelle Enquête ACEMO trimestrielle Relevés de missions d'intérim
Source Enquête auprès des établissements des entreprises de moins de 10 salariés Enquête auprès des établissements des entreprises d'au moins 10 salariés
Relevés des missions déclarées par les ETT*, envoyés à l'Unédic et traités par la Dares et l'Unédic
Méthode de sondage Sondage aléatoire simple, stratifié par taille et secteur d'activité
- Sondage aléatoire simple, stratifié par taille et secteur d'activité - Les établissements de plus de 100 salariés sont selectionnés exhaustivement - Les unités sélectionnées par sondage restent pour une durée de 4 ans dans l'échantillon
Source administrative, exhaustive de l'ensemble des ETT, comprenant entre autres le SIRET de l'établissement utilisateur
Concept- Les établissements renseignent le nombre de journées d'intérim effectué au mois de juin - Aucun redressement n'est effectué pour les valeurs manquantes ou erronées - Aucune relance des établissements
Les établissements de travail temporaire renseignent le nombre de journées d'intérim effectué au cours du trimestre
On calcule le nombre d'Equivalents Temps Plein**
* ETT = entreprise de travail temporaire. ** Equivalents temps plein (ou volume de travail temporaire): rapport du nombre total de semaines de travail réalisées par les intérimaires sur le nombre total de semaines ouvrées d'une année, c’est-à-dire 52 semaines.
I) Au niveau individuel
• Les périodes étudiées sont les deuxième et troisième trimestres de 2004;
• La comparaison se heurte à une difficulté majeure : le SIRET de l’établissement utilisateur n’est pas renseigné dans plus de 50 % des cas dans la source de référence;
• Sur les établissements utilisateurs pouvant être repérés :
1. Sous-déclaration des établissements utilisateurs.
- Les établissements des entreprises de moins de 10 salariés renseignent mieux : 32 % déclarent ne pas avoir eu recours à l’intérim (enquête annuelle 2004) alors que les ETT déclarent des missions dans ces établissements. Cette proportion s’élève à 42 % et 44 % pour les enquêtes du deuxième et troisième trimestres 2004 dans les établissements d’au moins 10 salariés;
2
- Parmi les établissements des entreprises d’au moins 10 salariés ne renseignant pas le champ, un grand nombre concerne des entreprises qui ont choisi de grouper leur réponses au sein d’un seul établissement. Ces établissements ont eu un recours non négligeable à l’intérim, d’après la source de référence.
Confusion éventuelle entre les non-réponses et les réponses réellement nulles.
2. Surestimation des établissements utilisateurs, quand ils répondent.
Quand les établissements utilisateurs déclarent un volume d’intérim, ils ont tendance à surestimer ce volume. Il s’agit d’un phénomène d’arrondi (graphique 1). Graphique 1 : Fréquence des réponses observées dans l’enquête du deuxième trimestre 2004.
Ce phénomène est également observé au troisième trimestre 2004. II) Au niveau agrégé, appréhendé par le taux de recours Dans l’enquête ACEMO auprès des établissements des entreprises d’au moins 10 salariés, le taux de recours à l’intérim suit une évolution plus erratique que celle indiquée par la source de référence (graphique 2). En particulier l’évolution à la baisse de 2001 est nettement plus marquée.
0 10 20 30 40 50 60
0 30 60 90 120Volume de journées d'intérim déclaré dans ACEMO au 2ème trimestre 2004
3
Graphique 2 : Evolution en glissement annuel du taux de recours à l’intérim.
-50%
-40%
-30%
-20%
-10%
0%
10%
20%
30%
40%
2000
T2
2000
T3
2000
T4
2001
T1
2001
T2
2001
T3
2001
T4
2002
T1
2002
T2
2002
T3
2002
T4
2003
T1
2003
T2
2003
T3
2003
T4
2004
T1
2004
T2
2004
T3
GA Unédic GA ACEM O
Ce constat est valable pour les trois grands secteurs d’activité (graphique 3).
Graphique 3 : Evolution en glissement annuel du taux de recours à l’intérim par secteur d’activité
-60%
-40%
-20%
0%
20%
40%
60%
1999
T4
2000
T1
2000
T2
2000
T3
2000
T4
2001
T1
2001
T2
2001
T3
2001
T4
2002
T1
2002
T2
2002
T3
2002
T4
2003
T1
2003
T2
2003
T3
2003
T4
2004
T1
2004
T2
2004
T3
GA_IND_ACEM O GA_CONS_ACEM O GA_TERT_ACEM OGA_IND_Dares_Unédic GA_CONS_Dares_Unédic GA_TERT_Dares_Unédic
Même si ces graphiques présentent des évolutions en glissement annuel, il importe de souligner que les données d’ACEMO ne sont pas corrigées des variations saisonnières comme le sont celles de la source de référence. En niveau, le taux de recours à l’intérim d’après ACEMO est de l’ordre de 3,5 % dans l’industrie contre 6,5 % d’après la source de référence. Dans la construction et le tertiaire, les écarts sont encore plus prononcés (tableau 1).
4
Tableau 1 : Comparaison du taux de recours à l’intérim selon plusieurs sources.
ACEMO ACEMO Dares-Unédic Dares-Unédic EMMO-DMMO* EMMO-DMMO
T2 - 2004 T3 - 2004 T2 - 2004 T3- 2004 T2- 2004 T2- 2004
(brutes) (brutes) (CVS) (CVS) (brutes) (CVS)
Industrie 3,4 3,5 6,5 6,8 6,6 6,0
Construction 3,3 3,2 8,2 8,2 8,4 7,4
Tertiaire 0,5 0,6 1,5 1,5 1,6 1,8 * EMMO : Enquête statistique sur les mouvements de main-d’œuvre.
DMMO : Déclaration sur les mouvements de main-d’œuvre. Le faible niveau du taux de recours à l’intérim obtenu à partir d’ACEMO s’explique par le nombre important d’établissements utilisateurs déclarant 0 journée d’intérim. Il s’avère que ces établissements ont eu un recours relativement important à l’intérim. On constate que la non-réponse n’est pas « centralisée » sur un seul secteur néanmoins elle est plus fréquente chez les établissements de grande taille. A titre de comparaison, on dispose également du taux de recours à l’intérim d’après un autre dispositif de collecte auprès d’établissements utilisateurs, la fusion EMMO-DMMO. Les réponses à ce dispositif donnent des résultats très proches des statistiques de référence. La bonne qualité des réponses au dispositif EMMO-DMMO est certainement liée à la nature de la question :
« Nombre d’intérimaires en fin de trimestre » dans le dispositif EMMO-DMMO « Nombre de journées d’intérim » dans l’enquête ACEMO annuelle et trimestrielle
La plus grande facilité à répondre à la question portant sur l’intérim dans le dispositif EMMO-DMMO expliquerait les meilleurs résultats obtenus. Il n’a pas été possible de poursuivre l’étude en analysant, non plus les niveaux (ou les taux de recours) mais les évolutions annuelles du volume de travail intérimaire.
5
PLAN I. L’INTERIM DANS LES ENQUETES ACEMO (ACTIVITE CONDITION D’EMPLOI ET DE LA MAIN D’OEUVRE).............................................................................................................................................. 6
A. PRESENTATION DES ENQUETES ACEMO................................................................................................... 6 B. VOLUME D’INTERIM DECLARE AU DEUXIEME ET TROISIEME TRIMESTRE 2004........................................... 6
1. Enquête de juin 2004 auprès des très petites entreprises (TPE).......................................................... 6 2. Enquête trimestrielle auprès des entreprises de plus de 10 salariés.................................................... 6
II. L’INTERIM DANS LA SOURCE UNEDIC............................................................................................. 8 A. DESCRIPTION ET METHODOLOGIE .............................................................................................................. 8 B. VOLUME D’INTERIM AU DEUXIEME ET TROISIEME TRIMESTRE 2004......................................................... 8 C. LIMITE....................................................................................................................................................... 9
III. APPARIEMENT DES BASES ACEMO AVEC LA BASE UNEDIC ............................................. 10 A. APPARIEMENT DES BASES UNEDIC ET ACEMO DE JUIN 2004 (TPE)....................................................... 10 B. APPARIEMENT DES BASES UNEDIC ET ACEMO DU DEUXIEME TRIMESTRE 2004..................................... 13 C. APPARIEMENT DES BASES UNEDIC ET ACEMO DU TROISIEME TRIMESTRE 2004 .................................... 18
IV. QUALITE DE LA VARIABLE JOURINTE DANS L’ENQUETE ACEMO TRIMESTRIELLE. 23
V. ESTIMATION DU TAUX DE RECOURS A L’INTERIM................................................................... 26 A. METHODOLOGIES APPLIQUEES ................................................................................................................ 26
1. Méthode appliquée par ACEMO (Indicateur pondéré)...................................................................... 26 2. Méthode appliquée à partir des informations fournies par ACEMO................................................. 26 3. Méthode appliquée par la Dares-Unédic........................................................................................... 26 4. Méthode appliquée dans le dispositif EMMO-DMMO ...................................................................... 27
B. COMPARAISON DES TAUX DE RECOURS D’ACEMO ET DE L’UNEDIC....................................................... 27 C. COMPARAISON DES TAUX DE RECOURS D’EMMO-DMMO ET DE L’UNEDIC. ......................................... 30 D. COMPARAISON DES INDICATEURS PAR SECTEUR D’ACTIVITE EN NES 36 (ACEMO, UNEDIC, EMMO-DMMO)............................................................................................................................................................ 32
VI. CONCLUSION ..................................................................................................................................... 35
ANNEXES ........................................................................................................................................................... 36 Questionnaires ACEMO ; Relevé mensuel des contrats de travail temporaire (Cerfa) ; Questionnaire EMMO ; L’emploi intérimaire au deuxième trimestre 2004, publication Dares n°45.1 de novembre 2004 ; L’emploi intérimaire au troisième trimestre 2004, publication Dares n° 05.2 de février 2005.
6
I. L’intérim dans les enquêtes ACEMO (Activité Condition d’Emploi et de la Main d’Oeuvre)
A. Présentation des enquêtes ACEMO Deux types d’enquêtes sont effectuées depuis fin 1998 sur un échantillon d’entreprises :
- enquête trimestrielle ( effectif d’au moins 10 salariés ); - enquête annuelle ( effectif < 10 salariés ) effectuée au mois de juin.
Ces deux enquêtes comportent une question portant sur l’intérim qui ne fait pas l’objet d’une vérification de la qualité des réponses. Les établissements sondés remplissent le champ : “journées effectuées par le personnel intérimaire” pour les enquêtes trimestrielles . Pour les enquêtes annuelles, ils renseignent le nombre de journées d’intérim auxquelles ils ont eu recours au mois de juin. A noter que certaines entreprises ont choisi de grouper les réponses de leurs établissements dans une seule déclaration. Dans ce cas, un seul établissement concentre l’effectif de toute l’entreprise.
B. Volume d’intérim déclaré au deuxième et troisième trimestre 2004
1. Enquête de juin 2004 auprès des très petites entreprises (TPE). Le fichier compte 23 628 lignes représentant l’ensemble des établissements sondés. La variable se rapportant au volume de journées intérimaires effectuées est INTERIM.
2. Enquête trimestrielle auprès des entreprises de plus de 10 salariés. Les fichiers du deuxième et troisième trimestre 2004 comptent respectivement 27 523 et 26 789 lignes représentant l’ensemble des établissements sondés, ayant répondu au questionnaire (code-retour=3). La variable se rapportant au volume de journées intérimaires est JOURINTE.
Oui Non Non renseigné
23 628 2,0% 93,0% 5,0%
27 523 33,0% 66,0% 0,9%
26 789 33,0% 67,0% 0,4%
Recours à l'intérim
TPE
Etablissements de plus de 10 salariés ( T2 2004)
Etablissements de plus de 10 salariés ( T3 2004)
Champ Nombre d'établissements
Certaines entreprises ont choisi de regrouper leurs réponses au sein d’un seul de leur établissement. Le raisonnement se fera dans ce cadre au niveau de l’entreprise (SIREN).
7
Recours à l’interim selon la taille de l’entreprise
Recours à l'intérim Taille de l'entreprise
Nombre d'établissements Oui Non Non renseigné
10 à 19 salariés 4 137 7,5% 91,0% 1,4% 20 à 49 salariés 3 177 16,5% 82,3% 1,3% 50 à 99 salariés 2 881 28,2% 70,8% 1,1% 100 à 249 salariés 8 268 37,5% 61,9% 0,6% 250 à 499 salariés 3 550 44,7% 54,5% 0,8%
T2 -
2004
500 salariés et plus 5 510 48,4% 50,9% 0,8% 10 à 19 salariés 4 059 7,5% 92,0% 0,5%
20 à 49 salariés 3 104 17,5% 81,9% 0,6%
50 à 99 salariés 2 762 27,8% 72,1% 0,1%
100 à 249 salariés 7 996 37,8% 61,8% 0,4%
250 à 499 salariés 3 464 44,6% 54,8% 0,6%
T3 -
2004
500 salariés et plus 5 404 48,6% 50,9% 0,5%
Recours à l’interim selon la taille de l’établissement
Recours à l'intérim
Taille de l'établissement
Nombre
d'établissements Oui Non Non renseigné 10 à 19 salariés 5 635 8,3% 90,5% 1,3% 20 à 49 salariés 4 915 18,9% 79,8% 1,3% 50 à 99 salariés 4 910 33,2% 66,0% 0,9% 100 à 249 salariés 8 091 46,3% 53,2% 0,5% 250 à 499 salariés 2 613 56,2% 43,2% 0,6%
T2 -
2004
500 salariés et plus 1 177 60,4% 38,9% 0,7% 10 à 19 salariés 5 511 8,6% 91,0% 0,5%
20 à 49 salariés 4 803 20,1% 79,5% 0,4%
50 à 99 salariés 4 743 32,7% 66,9% 0,5%
100 à 249 salariés 7 831 46,3% 53,4% 0,3%
250 à 499 salariés 2 560 56,5% 42,9% 0,6%
T3 -
2004
500 salariés et plus 1 152 61,1% 38,5% 0,4%
On constate que ce sont les établissements de grande taille qui ont davantage recours à l’intérim.
Source : ACEMO
Source : ACEMO
8
II. L’intérim dans la source Unédic
A. Description et méthodologie • Aspects juridiques Depuis le 3 janvier 1972, l’emploi intérimaire fait l’objet d’un encadrement juridique. Un ensemble de dispositions législatives s’est développé. Les principaux cas de recours à l’intérim sont l’accroissement temporaire de l’activité de l’entreprise, l’exécution de travaux saisonniers et le remplacement d’un salarié absent. Les durées maximales des contrats sont fixées suivant les cas. Le nombre de renouvellements possible des missions se trouve limité. Un élargissement du recours à l’intérim a été autorisé récemment. L’accord signé le 7 septembre 2005 a ouvert deux nouveaux cas de recours à l’intérim, en lien non plus avec l’activité de l’entreprise mais avec la situation de l’intérimaire embauché. L’objectif de la mission de travail temporaire est dans ce cas de faciliter l’accès à l’emploi de personnes rencontrant des difficultés sociales et professionnelles particulières. La seconde disposition vise à accompagner les personnes qui pourraient profiter d’une mission d’intérim pour compléter leurs qualifications. Afin de contrôler l’application des réglementations qui régissent l’utilisation du travail temporaire, les ETT ont l’obligation de remplir et d’envoyer à l’Unédic un relevé mensuel des contrats de travail temporaire. • Système d’information Les ETT fournissent mensuellement un relevé des contrats de travail temporaire à l’Unédic. Ces relevés alimentent chaque mois une base de donnée nationale. Ils donnent des détails sur l’entreprise utilisatrice (numéro de SIREN-SIRET, raison sociale, adresse et code NAF), l’intérimaire (nom, prénom, NIR, département du salarié), les missions (type, lieu, poste de travail occupé, code d’emploi, raison sociale de l’ETT etc.). Ces informations sont également exploitées à des fins statistiques ; elles permettent à la Dares de produire des indicateurs mensuels, trimestriels et annuels sur l’intérim.
B. Volume d’Intérim au deuxième et troisième trimestre 2004 A partir des informations recueillies par les relevés mensuels, la Dares calcule un certain nombre d’indicateurs. • Indicateurs fournis par la Dares - Les équivalents-emplois à temps plein : rapport du nombre total de semaines de travail
réalisées par les intérimaires sur le nombre total de semaines ouvrées d'une année, c’est-à-dire 52 semaines. On parle de « volume de travail temporaire » par analogie aux équivalents temps plein.
- Les contrats conclus au cours du trimestre : missions dont la date de début appartient au
trimestre.
9
- Les intérimaires en fin de trimestre : nombre de personnes intérimaires, calculé à partir
du nombre d’intérimaires du recensement exhaustif de la population de 1999, que l’on fait évoluer comme la moyenne des contrats en cours les cinq derniers jours ouvrés du trimestre.
- Le taux de recours : rapport des intérimaires à l’emploi salarié en fin de trimestre.
L’emploi salarié retenu est l’estimation trimestrielle Dares-Insee-Unédic.
Avril Mai Juin Juillet Août Septembre
Nombre d'établissements en 2004 dont le SIREN-SIRET est renseigné 73 132 71 959 77 126 78 817 74 413 78 104
• Statistiques du deuxième et troisième trimestre 2004.
Niveau (en milliers) T2 - 2004 T3 - 2004
Equivalents-emploi à temps plein 562,0 568,0
Contrats conclu 3 667,1 3 654,6
Intérimaires en fin de trimestre 668,4 624,4
Taux de recours (%) 3,2 3,3
C. Limite Une limite importante concerne l’identification de l’établissement utilisateur (SIRUTI), ce champ est dans près de 60 % des cas, non renseigné ou erroné. • Renseignement du SIRUTI dans les bases Unédic d’avril à septembre 2004 pour
l’ensemble des missions.
R e n s e ig n e - m e n t d u S IR U T I
M o is
7 0 6 2 1 74 3 %
4 6 6 0 73 %
8 8 9 5 4 2 5 4 % 1 6 4 2 3 6 6
6 5 2 4 8 94 2 %
4 6 0 8 63 %
8 5 4 9 7 1 5 5 % 1 5 5 3 5 4 6
7 6 6 4 0 04 2 %
5 6 6 6 53 %
1 0 0 1 6 9 7 5 5 % 1 8 2 4 7 6 2
8 0 8 5 4 34 5 %
5 3 7 6 53 %
9 1 9 3 5 8 5 2 % 1 7 8 1 6 6 6
7 3 4 5 4 64 4 %
5 0 1 2 93 %
8 7 2 3 9 1 5 3 % 1 6 5 7 0 6 6
7 7 4 5 2 24 5 %
4 8 7 2 93 %
8 9 0 2 1 6 5 2 % 1 7 1 3 4 6 7
M a i 2 0 0 4
J u i n 2 0 0 4
J u i l le t 2 0 0 4
A o û t 2 0 0 4
S I R E N u n iq u e m e n t N o n re n s e i g n é T o t a l
A v r i l 2 0 0 4
O U I
S e p t e m b re 2 0 0 4
10
Quantile Estimation
100% 252
99% 149
95% 99
90% 38
75% Q3 19
50% Median 9
25% Q1 4
10% 2
5% 1
1% 1
0% 1
n 114
III. Appariement des Bases ACEMO avec la base Unédic
A. Appariement des bases Unédic et ACEMO de juin 2004 (TPE) L’appariement par le SIREN-SIRET compte 359 établissements et 1 148 missions. L’appariement par le SIREN permet de récupérer 420 SIREN et 1 383 missions. Sur les 359 établissements, 38 (10 %) n’ont pas renseigné le nombre de journées d’intérim pour l’année 2004 tout en étant présents dans les fichiers de l’Unédic. Cela représente un total de 1 451 journées d’intérim (Cas A). 114 établissements (32 %) ont déclaré ne pas avoir eu recours à l’intérim tout en étant présents dans les fichiers Unédic, ce différentiel représente un total de 2 196 journées d’intérim (Cas B). Pour les 207 établissements (46 %) restants, ils ont déclaré un total de 4 106 journées contre 5 008 journées d’intérim pour l’Unédic (cas C) soit un différentiel de 902 journées d’intérim (18 % d’erreur). Parmi les 23 628 établissements présents dans le fichier ACEMO, 545 déclarent avoir eu recours à l’intérim au cours du mois de juin 2004 mais n’ont pu être identifiés à partir du SIRET de l’établissement utilisateur dans les fichiers de Unédic (≈ 60 % sont non renseignés ou erronés). Ces 545 établissements déclarent un total de 8 582 journées d’intérim.
Distribution du volume de journées d’intérim Cas A INTERIM =. Cas B INTERIM=0 Cas C INTERIM > 0
NR 0 >0
O UI 10%(38)
32%(114)
58%(207)
NO N ID ENTIFIE 545
V olum e de journée d 'in térim AC EM O Unéd ic
Quantile Estimation 100% 207 99% 207 95% 184 90% 116 75% Q3 41 50% Median 22 25% Q1 13 10% 8 5% 4 1% 3 0% 3
38 n
Quantile Estimation 100% 91
99% 84
95% 55
90% 42
75% Q3 22
50% Median 18
25% Q1 9
10% 4
5% 2
1% 1
0% 1
n 207
11
Les établissements n’ayant pas renseigné le nombre de journées d’intérim ont eu un recours à l’intérim relativement plus important.
Distribution de la variable DIFF(Vol) et du ratio Vol ACEMO / Vol Unédic
- DIFF(Vol) = différence en valeur absolue entre le volume de journées d’intérim Unédic et ACEMO
- Ratio = Vol ACEMO /Vol Unédic.
DIFF(Vol) INTERIM >0 Ratio
- L’écart entre le volume Unédic et ACEMO est inférieur à quatre journées d’intérim pour la moitié des établissements.
- 50 % des établissements surestime le nombre de journées d’intérim.
Quantile Estimation
75% 22
65% 22
55% 19
45% 16
35% 13
25% 9
Quantile Estimation
75% 19
65% 15
55% 10
45% 8
35% 5
25% 4
QuantileDIFF(Vol)
Estimation
100% 156
99% 104
95% 36
90% 25
75% Q3 12
50% Median 4
25% Q1 1
10% 0
5% 0
1% 0
0% 0
n 207
Quantile Ratio Estimation
100% 85,0
99% 8,6
95% 3,1
90% 1,7
75% Q3 1,1
50% Median 1,0
25% Q1 0,6
10% 0,4
5% 0,2
1% 0,1
0% 0,1
n 207
Quantile Estimation 75% 41 65% 31 55% 24 45% 22 35% 18 25% 13
12
Différence de volume de journées d’intérim en moyenne selon le nombre de missions:
• 67 % des établissements ayant déclaré avoir eu recours à l’intérim ont eu 1 ou 2 missions
d’intérim (Source Unédic). • Plus le nombre de missions par établissements est important, plus l’écart constaté entre le
volume Unédic et ACEMO a tendance à s’accroître.
Nombre de missions Fréquence MOY(DIFF_VOL)
1 163 72 78 83 28 114 33 105 12 266 6 97 8 348 7 269 2 56
10 1 611 6 3212 2 9813 2 8814 2 13715 1 317 2 15618 3 13419 1 .20 1 6121 1 108
Nombre de missions Fréquence MOY(DIFF_VOL)
1 89 62 50 73 16 84 18 85 8 166 1 57 6 358 6 149 1 34
10 1 611 4 2012 1 9813 1 8814 1 2215 1 317 1 15620 1 10449 1 61
Base=359 Ensemble des établissements
Base=207 Etablissements ayant eu recours à l’intérim
Base=207
R é p a r t i t io n d e s é t a b l i s s e m e n t s e n f o n c t io n d e l 'é c a r t d e v o lu m e d e jo u r n é e s U n é d ic e t A C E M O
d i f f v o l C u m . C u m . M i d p o i n t F r e q F r e q P e r c e n t P e r c e n t ‚ - 5 ‚ * * * * * * * * * * * * * * * * * * 3 6 3 6 1 7 . 3 9 1 7 . 3 9 ‚ - 4 ‚ * 2 3 8 0 . 9 7 1 8 . 3 6 ‚ - 3 ‚ * * * 6 4 4 2 . 9 0 2 1 . 2 6 ‚ - 2 ‚ * * * 5 4 9 2 . 4 2 2 3 . 6 7 ‚
- 1 ‚ * * * 6 5 5 2 . 9 0 2 6 . 5 7 ‚
0 ‚ * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * 4 4 9 9 2 1 . 2 6 4 7 . 8 3 ‚
1 ‚ * * * * * * * 1 4 1 1 3 6 . 7 6 5 4 . 5 9 ‚ 2 ‚ * * * * * * * 1 4 1 2 7 6 . 7 6 6 1 . 3 5 ‚
3 ‚ * * * * * * * 1 4 1 4 1 6 . 7 6 6 8 . 1 2 ‚
4 ‚ * * 4 1 4 5 1 . 9 3 7 0 . 0 5 ‚ 5 ‚ * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * 6 2 2 0 7 2 9 . 9 5 1 0 0 . 0 0 ‚ Š ƒ ƒ ƒ ƒ ˆ ƒ ƒ ƒ ƒ ˆ ƒ ƒ ƒ ƒ ˆ ƒ ƒ ƒ ƒ ˆ ƒ ƒ ƒ ƒ ˆ ƒ ƒ ƒ ƒ ˆ ƒ
13
B. Appariement des bases Unédic et ACEMO du deuxième trimestre 2004
Appariement par établissements (SIREN-SIRET) Les bases Unédic du mois d’avril, mai et juin 2004 ont été agrégées. Pour le mois d’avril, mai et juin respectivement 8 467, 7 861 et 8 657 établissements ont eu recours à l’intérim selon les sources de l’Unédic et sont présents dans la base ACEMO. L’ensemble de la base appariée compte 9 902 établissements. Sur les 9 902 établissements, 80 soit 0,8 % n’ont pas renseigné le nombre de journées d’intérim pour le deuxième trimestre 2004 tout en étant dans les fichiers de l’Unédic. 4 148, soit 41,9 % ont déclaré ne pas avoir eu recours à l’intérim tout en étant présents dans les fichiers de l’Unédic, cela représente un total de 2 633 542 journées d’intérim. Pour les 5 674 établissements restants, soit 66,3 %, ils ont déclaré un total de 7 657 675 journées (ACEMO) contre 6 351 891 (Unédic). Ce différentiel représente un volume total de 1 305 784 journées d’intérim, soit une surestimation de 21 %. Parmi les 27 523 établissements présents dans le fichier ACEMO, 2 313 établissements déclarent avoir eu recours à l’intérim au cours du deuxième trimestre 2004 mais ne sont pas identifiés dans les fichiers de l’Unédic pour la période concernée. Le volume total de journées d’intérim pour le deuxième trimestre 2004 est de 11 072 044.
Représentation graphique des réponses des établissements
0
10
20
30
40
50
60
0 30 60 90 120
Volume de journées d'intérim déclaré dans ACEMO
Nom
bre
d'ét
ablis
sem
ents
NR 0 >0
OUI 0,8%(80)
41,9%(4148)
66,3% (5674)
NON IDENTIFIEE 2313
ACEMO Unédic Volume de journées d'intérim
14
La présence de pics en 30, 60, 90 et 120 dans les déclarations des établissements indique une forte tendance à arrondir.
Distribution du volume de journées intérimaires
Cas A JOURINTE = . Cas B JOURINTE = 0 Cas C JOURINTE > 0 Les établissements ayant déclaré aucune journée d’intérim, ont eu selon les sources de l’Unédic un recours relativement important à l’intérim. Ces établissements représentent 15 % de la base totale ACEMO du deuxième trimestre 2004. Distribution de la variable DIFF (différence entre le volume de journées d’intérim calculé
à partir des bases Unédic et celui déclaré dans l’enquête ACEMO) en valeur absolue.
75% 27265% 15755% 9445% 6135% 4025% 22
75% 38865% 21855% 11245% 8935% 5325% 32
75% 59765% 38355% 25445% 15935% 9925% 62
Quantile Estimation75% 77270% 59565% 47760% 36855% 28950% Median 22045% 16740% 12735% 9630% 6725% 48
Quantiles
Base: 80 Base : 4 148 Base : 5 674
Quantile Estimation100% Max 3170.099% 3170.095% 1505.590% 1094.075% Q3 388.550% Median 94.025% Q1 32.010% 7.55% 1.51% 1.00% Min 1.0
QuantilesQuantile Estimate100% Max 46269.099% 3277.095% 1368.090% 760.075% Q3 272.050% Median 73.525% Q1 22.010% 7.05% 3.01% 1.00% Min 1.0
Quantiles Quantile Estimation100% Max 5040899% 650895% 249990% 145075% Q3 59750% Median 20225% Q1 6210% 185% 91% 20% Min 1
Quantiles
Quantile Estimation100% Max 107759.099% 9964.095% 3475.090% 1969.075% Q3 772.050% Median 220.525% Q1 48.010% 11.05% 3.01% 0.00% Min 0.0
Quantiles
Base : 5674
15
Pour seulement 25 % de la base, la différence entre le volume ACEMO et Unédic est inférieur ou égale à 48 journées.
Distribution du ratio Vol ACEMO / Vol Unédic 75 % des établissements surestime le volume de journées d’intérim. Moyenne et médiane du ratio par taille d’établissement (JOURINTE>0)
Les petits établissements renseignent mieux. Moyenne et médiane du ratio par secteur d’activité (JOURINTE>0)
L’industrie est le secteur qui concentre la moitié du volume de l’intérim. Dans notre base, il représente 54 % des établissements, la moitié d’entre eux déclare un volume de
Quantile Estimation100% Max 5000,0
99% 223,0
95% 31,2
90% 13,0
75% Q3 4,1
50% Median 1,7
25% Q1 1,0
10% 0,6
5% 0,3
1% 0,1
0% Min 0,0
QuantilesQuantile Estimation75% 4,1
70% 3,2
65% 2,7
60% 2,3
55% 2,0
50% Median 1,7
45% 1,5
40% 1,3
35% 1,2
30% 1,1
25% 1,0
Quantiles
10 à 19 salariés 180 1,0 3,4
20 à 49 salariés 323 1,1 4,7
50 à 99 salariés 520 1,4 5,0
100 à 249 salariés 2 057 1,6 9,1
250 à 439 salariés 1 014 1,9 12,1
500 salariés et plus 1 580 2,3 27,6
Nombre d'observations Médiane Moyenne
Industrie 3 079 2,0 19,7
Construction 729 1,9 8,8
Tertiaire 1 866 1,4 6,6
Nombre d'observations Médiane MoyenneSecteur d'activité
Taille de l'établissement
16
journées d’intérim au moins deux fois supérieur à celui calculé à partir des bases Unédic.
Appariement par entreprise (SIREN)
Les bases Unédic du mois d’avril, mai et juin 2004 ont été agrégées. Pour le mois d’avril, mai et juin respectivement 1 073, 1 044 et 1 052 entreprises ont eu recours à l’intérim selon les sources de l’Unédic et sont présentes dans la base ACEMO. L’ensemble de la base appariée compte 1 117 entreprises. Sur les 1 117 entreprises, 2 entreprises n’ont pas renseigné le nombre de journées d’intérim pour le deuxième trimestre 2004 tout en étant dans les fichiers de l’Unédic. 584, soit 52,2 % ont déclaré ne pas avoir eu recours à l’intérim tout en étant présentes dans les fichiers de l’Unédic, cela représente un total de 795 098 journées d’intérim. Pour les 1 116 entreprises restantes, soit 47,6 %, elles ont déclaré un total de 1 538 073 journées (ACEMO) contre 1 283 392 (Unédic). Ce différentiel représente un total de 254 681 journées d’intérim, soit une surestimation de 20%. Parmi les 27 523 entreprises présentes dans le fichier ACEMO, 2 313 entreprises déclarent avoir eu recours à l’intérim au cours du deuxième trimestre 2004 mais ne sont pas identifiées dans les fichiers de l’Unédic pour la période concernée. Distribution du volume de journées intérimaires
Cas B JOURINTE = 0 Cas C JOURINTE > 0
Quantile Estimation75% 1917,065% 862,055% 470,045% 270,035% 172,025% 98,0
QuantilesQuantile Estimation75% 2582,065% 1588,055% 1059,045% 650,035% 384,025% 240,0
Quantiles
n=5 84 n=1 116
Quantile Estimate100% Max 101265.099% 51972.095% 15247.090% 7291.075% Q3 1917.0
50% Median 349.525% Q1 98.010% 36.05% 21.01% 8.00% Min 3.0
Quantiles
Quantile Estimate100% Max 100688
99% 28820
95% 10800
90% 6863
75% Q3 2582
50% Median 836
25% Q1 240
10% 62
5% 30
1% 6
0% Min 1
Quantiles
17
Distribution de la variable DIFF (vol) en valeur absolue
Pour seulement 25 % de la base, la différence entre le volume ACEMO et Unédic est inférieur ou égale à 115 journées.
Distribution du ratio Vol ACEMO / Vol Unédic On note, pour 65 % des entreprises, une tendance à surestimer le nombre de journées d’intérim.
Quantile Estimate100% Max 3191
99% 83
95% 18,7
90% 5,8
75% Q3 2,1
50% Median 1,12
25% Q1 0,59
10% 0,27
5% 0,11
1% 0,013
0% Min 0,001
Quantiles
Quantile Estimate100% Max 6337099% 2477695% 746490% 432675% Q3 152150% Median 44925% Q1 11510% 365% 111% 20% Min 0
Quantiles Quantile Estimation75% 152170% 120265% 91360% 72755% 54050% Median 44945% 35440% 27035% 22430% 16125% 115
Quantiles
Quantile Estimation75% 2,1
70% 1,9
65% 1,7
60% 1,5
55% 1,3
50% Median 1,1
45% 1,0
40% 0,9
35% 0,8
30% 0,7
25% 0,6
Quantiles
18
Moyenne du ratio par taille d’entreprise (JOURINTE>0)
Taille de l'entreprise Nombre d'observations Médiane Moyenne
20 à 49 salariés 6 0,6 0,7 50 à 99 salariés 16 1,0 6,5 100 à 249 salariés 112 1,0 3,5 250 à 439 salariés 143 1,1 29,6 500 salariés et plus 264 1,3 4,0
Moyenne du ratio par secteur d’activité (JOURINTE>0)
Les établissements ayant choisi un groupage de leurs réponses appartiennent à 60 % au secteur du tertiaire.
C. Appariement des bases Unédic et ACEMO du troisième trimestre 2004
Appariement par établissement Les bases Unédic du mois de juillet, août, septembre ont été agrégées. Pour le mois de juillet, août et septembre, respectivement 8 546, 8 210 et 8 273 établissements sont présents dans les fichiers de l’Unédic et dans la base ACEMO. L’ensemble de la base appariée compte un total de 6 611 établissements. Parmi ces 6 611 établissements, 28, soit 0,4 % n’ont pas renseigné le champ relatif à l’intérim. 2 903, soit 44 % des établissements ont déclaré ne pas avoir eu recours à l’intérim mais sont présents dans les fichiers de l’Unédic. Les 3 680 établissements restants déclarent un total de 8 166 483 contre 6 766 104 dans la base Unédic, soit un différentiel de 1 400 379. Ce qui représente une surestimation de 21 %. Le volume total de journées d’intérim pour le deuxième trimestre 2004 est de 12 075 141.
Industrie 156 1.2 26.3
Construction 60 1.0 1.3
Tertiaire 323 1.1 5.6
Secteur d'activitéNombre d'observation Médiane Moyenne
NR 0 >0 Oui 0,4%
(28)44%
( 2903)55,6%(3680)
Non identifiee 1694
ACEMO Unédic
Volume de journées d'intérim
19
Représentation graphique des réponses des établissements
On constate également dans les déclarations du troisième trimestre 2004 des pics assez élevés pour les multiples de 30. Distribution du volume de journées d’intérim
Cas A JOURINTE=. Cas B JOURINTE=0 Cas C JOURINTE>0 On note un recours important à l’intérim chez les établissements ayant déclaré 0 journée d’intérim dans ACEMO.
0
10
20
30
40
50
60
70
80
0 3 0 6 0 9 0 12 0
Volume de journées d'intérim déclaré dans ACEMO
Nom
bre
d'ét
ablis
sem
ents
Quantile Estimation100% Max 3429.099% 3429.095% 1347.090% 1065.075% Q3 399.550% Median 124.025% Q1 57.510% 27.05% 17.01% 14.00% Min 14.0
QuantilesQuantile Estimation100% Max 4982799% 861695% 300290% 171075% Q3 58650% Median 15525% Q1 5410% 215% 151% 50% Min 1
Quantiles
Quantile Estimation100% Max 7365999% 1219995% 519890% 323675% Q3 1261
50% Median 38625% Q1 11510% 435% 211% 90% Min 1
Quantiles
Quantile Estimation75% 399.565% 18555% 13145% 11635% 7525% 57.5
QuantilesQuantile Estimation75% 126165% 76155% 48445% 30835% 19325% 115
QuantilesQuantile Estimation75% 58665% 33455% 20045% 12735% 8325% 54
Quantiles
n=28 n=2 903 n=3 680
20
Distribution de la variable DIFF (vol) en valeur absolue
Pour seulement 25 % de la base, la différence entre le volume ACEMO et Unédic est inférieure ou égale à 89 journées. Distribution du ratio Vol ACEMO / Vol Unédic
La moitié des établissements surestime le recours à l’intérim. Moyenne et médiane du ratio par taille d’établissement (JOURINTE>0)
Quantile Estimation75% 98670% 79165% 62760% 50655% 407
50% Median 32245% 25840% 20035% 15630% 12325% 89
Quantiles
Quantile Estimation75% 2,4
70% 1,965% 1,6
60% 1,355% 1,1
50% Median 1,045% 0,8
40% 0,835% 0,7
30% 0,625% 0,5
Quantiles
Secteur d'activité Nombre d'observations Médiane MoyenneIndustrie 1953 1,1 6,3Construction 516 1,0 2,9Tertiaire 1211 0,7 3,0
Quantile Estimation100% Max 793,4
99% 81,4
95% 14,5
90% 7,0
75% Q3 2,4
50% Median 1,0
25% Q1 0,5
10% 0,2
5% 0,1
1% 0,0
0% Min 0,0
Quantiles
Quantile Estimation100% Max 9016399% 1209895% 402790% 238875% Q3 986
50% Median 32225% Q1 8910% 265% 121% 20% Min 0
Quantiles
21
On note de nouveau une surestimation plus importante dans le secteur de l’industrie qui représente 53 % de la base.
Appariement par entreprise On obtient après appariement 1 161 entreprises (établissements ayant choisi un groupage). Sur ces 1 161 entreprises, 10 entreprises, soit 0,6 % n’ont pas renseigné le champ relatif à l’intérim. 613, soit 52,8 % ont déclaré ne pas avoir eu recours à l’intérim. 538, soit 46,3 % ont bien déclaré avoir eu recours à l’intérim. Celles-ci déclarent un total de 1 837 787 journées d’intérim dans l’enquête ACEMO contre 1 470 506 pour l’Unédic. Le différentiel représente un total de 367 281 journées d’intérim, soit une surestimation de 25 %. Cas A JOURINTE=. Cas B JOURINTE=0 Cas C JOURINTE>0 On a un recours particulièrement élevé pour les entreprises ayant déclaré 0 journée d’intérim dans ACEMO.
Quantile Estimation100% Max 5585.099% 5585.095% 5585.090% 4541.075% Q3 1164.050% Median 697.525% Q1 102.010% 74.05% 69.01% 69.00% Min 69.0
QuantilesQuantile Estimation100% Max 10981999% 4563295% 1432190% 770675% Q3 203450% Median 40925% Q1 9110% 335% 201% 50% Min 1
Quantiles Quantile Estimation100% Max 123491.099% 33300.095% 12612.090% 7451.075% Q3 2441.050% Median 672.525% Q1 165.010% 65.05% 40.01% 12.00% Min 4.0
Quantiles
Quantile Estimation75% 116465% 108455% 72645% 66935% 14125% 102
Quantiles Quantile Estimation75% 203465% 93555% 55145% 33235% 16325% 91
QuantilesQuantile Estimation75% 244165% 147455% 85545% 51535% 27425% 165
Quantiles
n=10 n=613 n=538
22
Distribution de la variable DIFF (vol) en valeur absolue
Distribution du ratio Vol ACEMO / Vol Unédic (JOURINTE>0)
50 % des entreprises surestime le recours à l’intérim.
Moyenne et médiane du ratio par taille d’entreprise (JOURINTE>0)
Taille de l'entreprise Nombre d'observations Médiane Moyenne 20 à 49 salariés 4 0,4 0,6 50 à 99 salariés 16 1,0 1,6 100 à 249 salariés 117 1,0 2,1 250 à 499 salariés 138 1,1 4,6 500 salariés et plus 263 1,3 12,1
Quantile Estimation100% Max 8715599% 3487595% 803790% 471475% Q3 189050% Median 46325% Q1 12310% 385% 191% 50% Min 1
QuantilesQuantile Estimation75% 1890,070% 1436,065% 977,060% 751,055% 560,050% Median 462,545% 374,040% 291,035% 244,030% 161,025% 123,0
Quantiles
Quantile Estimate100% Max 1400,499% 87,895% 13,590% 5,975% Q3 2,350% Median 1,225% Q1 0,610% 0,35% 0,11% 0,00% Min 0,0
Quantiles Quantile Estimate75% 2,3
70% 1,965% 1,6
60% 1,5
55% 1,350% Median 1,2
45% 1,0
40% 0,935% 0,8
30% 0,7
25% 0,6
Quantiles
23
Moyenne et médiane du ratio par secteur d’activité (JOURINTE>0)
Les établissements ayant choisi un groupage de leurs réponses appartiennent à 59 % au secteur du tertiaire.
IV. Qualité de la variable JOURINTE dans l’enquête ACEMO trimestrielle. Une forte proportion des établissements déclare ne pas avoir eu recours à l’intérim alors qu’ils sont présents dans les fichiers de l’Unédic. Cela a pour conséquence de créer une marge d’erreur importante lors du calcul du taux de recours à l’intérim. Il est difficile de déterminer si l’établissement n’est effectivement pas concerné ou si celui-ci ne souhaite pas renseigner le champ. • Proportion de valeurs fausses (valeurs 0 et non renseignées) Etablissement déclarant 0 journée d’intérim En nombre, les valeurs non renseignées sont très faibles et ne sont pas prises en compte lors du calcul du taux de recours. En ce qui concerne les établissements ayant déclaré ne pas avoir eu recours à l’intérim, 20 % à 23 % de leur déclarations sont fausses pour le deuxième et troisième trimestre 2004. • Proportion de valeurs fausses (valeurs 0)
Etablissements non groupés
Etablissements groupés
T2-2004 4 148 1 117
T3-2004 2 903 1 161
Présents T2-T3-2004
1 976 484
Secteur d'activité Nombre d'observations Médiane MoyenneIndustrie 158 1,4 17,9Construction 63 1,0 1,4Tertiaire 317 1,2 3,7
Période % de valeurs fausses dans la base totale
T2 - 2004 15,0%T3 - 2004 13,3%
T2 - 2004 T3 - 20040 journée intérimaire 22,7% 19,7%Non renseignées 32,4% 32,2%
Valeurs fausses Période
24
• Les 20 premiers établissements groupés par taille d’effectif. • Les 20 premiers établissements non groupés par taille d’effectif.
25
Etablissements ayant recours à l’intérim au deuxième trimestre 2004 et déclarant 0 journées d’intérim en T3-2004.
Nombre de
journées d'intérim en T2-2004
Nombre d'établissements
[0;100] 481 ]100;200] 86 ]200;300] 36 ]300;500] 54 ]500;1000] 47 ]1000;5000] 57 > 5000 9 Total 770
Valeurs fausses (0 journée d’intérim) selon la taille d’entreprise.
Taille de l'entreprise T2 - 2004 T3 - 2004 10 à 19 salariés 7,0% 7,6% 20 à 49 salariés 9,6% 10,7% 50 à 99 salariés 10,6% 10,0% 100 à 249 salariés 34,3% 33,6% 250 à 499 salariés 15,3% 15,4% 500 salariés et plus 23,2% 22,7%
On constate une plus forte proportion de grandes entreprises et plus particulièrement d’entreprises dont l’effectif est supérieur à 100 salariés.
Valeurs fausses (0 journée d’intérim) selon le secteur d’activité.
Secteur d'activité T2 - 2004 T3 - 2004
Industrie 29,8% 31,2%
Construction 11,0% 10,4%
Tertiaire 59,2% 58,4%
Il s’agit en grande majorité d’établissements appartenant au secteur tertiaire, en second vient le secteur de l’industrie. Une analyse plus fine par activité pour les deux trimestres étudiés montre une proportion plus élevée d’établissements dans le secteur de la construction, des services aux entreprises et du commerce. Parmi les établissements ayant déclaré ne pas avoir eu recours à l’intérim 2 460 sont interrogés aux deux trimestres.
26
V. Estimation du taux de recours a l’intérim
A. Méthodologies appliquées Le taux de recours à l’intérim publié par la Dares est le rapport des intérimaires à l’emploi salarié en fin de trimestre. L’idée est de pouvoir avoir une approximation du taux de recours à partir des informations recueillies dans ACEMO. Un indicateur brut est également calculé mais non vérifié et exploité à partir de l’enquête ACEMO.
1. Méthode appliquée par ACEMO (Indicateur pondéré) (1) JOURINTE représente le nombre de journées d’intérim durant le trimestre (arrondi) (2) EFFTOT représente l’effectif total de l’entreprise hors intérimaires et stagiaires
2. Méthode appliquée à partir des informations fournies par ACEMO On suppose que les salariés travaillent tout le trimestre. On dispose de l’effectif salarié pour chaque établissement, à partir du calcul du nombre de jours ouvrés dans le mois, on peut évaluer le taux de recours par le rapport entre le volume de journées d’intérim au volume de journées travaillées (salariés + intérimaires).
3. Méthode appliquée par la Dares-Unédic
TEFFINTE = JOURINTE (1) X 100 70 X EFFTOT (2)
TX DE RECOURS = Intérimaires ( en fin de trimestre ) X 100 Emploi salarié
TXREC = JOURINTE X 100 (70 X EFFTOT) + JOURINTE
27
4. Méthode appliquée dans le dispositif EMMO-DMMO L’enquête trimestrielle sur les mouvements de main d’œuvre pour les établissements de 10 à 49 salariés vient compléter la déclaration des mouvements de main d’œuvre (DMMO) auprès de l’ensemble des établissements de 50 salariés ou plus. Les deux enquêtes concernent près de 100 000 établissements.
B. Comparaison des taux de recours d’ACEMO et de l’Unédic.
Evolution global du taux de recours à l’intérim (TEFFINTE ACEMO) du premier trimestre 1999 au troisième trimestre 2004.
Evolution comparée du taux de recours à l'intérim
1,0 1,5 2,0 2,5 3,0 3,5 4,0
1999T1 1999T2 1999T3 1999T4 2000T12000T2 2000T3 2000T4 2001T1 2001T22001T32001T42002T12002T22002T32002T42003T12003T22003T32003T4 2004T1 2004T2 2004T3
Taux de recours ACEMO (NON CVS) Taux de recours Unédic (CVS)
TX DE RECOURS = Nombre d’intérimaires en fin de trimestre X 100 (Nombre d’intérimaires en fin de trimestre + nombre de salariés en fin de trimestre)
28
Evolution par secteur d’activité du taux de recours à l’intérim (TEFFINTE ACEMO) du premier trimestre 1999 au troisième trimestre 2004.
En pointillées courbes ACEMO
Evolution global du taux de recours à l’intérim en glissement annuel de 2002 à 2004.
Evolution en glissement annuel du taux de recours à l’intérim
-50%
-40%
-30%
-20%
-10%
0%
10%
20%
30%
40%
2000
T2
2000
T3
2000
T4
2001
T1
2001
T2
2001
T3
2001
T4
2002
T1
2002
T2
2002
T3
2002
T4
2003
T1
2003
T2
2003
T3
2003
T4
2004
T1
2004
T2
2004
T3
GA Unédic GA ACEM O
Evolution comparée par secteur d'activité
0,0 1,0 2,0 3,0 4,0 5,0 6,0 7,0 8,0 9,0
1999T1 1999T3 2000T1 2000T3 2001T1 2001T3 2002T1 2002T3 2003T1 2003T3 2004T1 2004T3 2005T1
Industrie Construction Tertiaire
29
Evolution en glissement annuel du taux de recours à l’intérim par secteur d’activité
-60%
-40%
-20%
0%
20%
40%
60%
1999
T4
2000
T1
2000
T2
2000
T3
2000
T4
2001
T1
2001
T2
2001
T3
2001
T4
2002
T1
2002
T2
2002
T3
2002
T4
2003
T1
2003
T2
2003
T3
2003
T4
2004
T1
2004
T2
2004
T3
GA_IND_ACEM O GA_CONS_ACEM O GA_TERT_ACEM OGA_IND_Dares_Unédic GA_CONS_Dares_Unédic GA_TERT_Dares_Unédic
Comparaison des deux indicateurs (Unédic et ACEMO) au niveau global pour le deuxième et troisième trimestre 2004.
ACEMO (brutes) Dares-Unédic (CVS) Deuxième trimestre 2004 1,6 % 3,2 % Troisième trimestre 2004 1,6 % 3,3 %
Comparaison des deux indicateurs (Unédic et ACEMO) par secteur d’activité (NES4).
ACEMO T2 - 2004 (brutes)
ACEMO T3 - 2004 (brutes)
Dares-Unédic T2 - 2004
(CVS)
Dares-Unédic T3- 2004
(CVS)
Industrie 3,4 3,5 6,5 6,8 Construction 3,3 3,2 8,2 8,2 Tertiaire 0,5 0,6 1,5 1,5
NB : Les données ACEMO sont non corrigées des variations saisonnières
30
C. Comparaison des taux de recours d’EMMO-DMMO et de l’Unédic.
Evolution global du taux de recours à l’intérim (EMMO-DMMO) du premier trimestre 1999 au premier trimestre 2005.
Evolution global du taux de recours à l’intérim (EMMO-DMMO)du premier trimestre 1999 au premier trimestre 2005.
En pointillées courbes EMMO-DMMO
Evolution comparée du taux de recours à l'intérim
2,5 2,7 2,9 3,1 3,3 3,5 3,7 3,9
1999T1 1999T2 1999T3 1999T4 2000T1 2000T2 2000T3 2000T4 2001T1 2001T22001T32001T42002T12002T22002T32002T42003T12003T22003T32003T42004T1 2004T2 2004T3 2004T4 2005T1
Taux de recours (EMMO -DMO)(CVS)
Taux de recours Unédic (CVS)
Evolution comparée par secteur d'activité
1 2 3 4 5 6 7 8 9
10
1999T1 1999T3 2000T1 2000T3 2001T1 2001T3 2002T1 2002T3 2003T1 2003T3 2004T1 2004T3 2005T1
Industrie Construction Tertiaire
31
Evolution global du taux de recours à l’intérim (CVS) en glissement annuel de 2002 à 2004.
Comparaison des deux indicateurs (Unédic-Dares et EMMO-DMMO) au niveau global pour le deuxième et troisième trimestre 2004.
EMMO-DMMO (CVS) Dares-Unédic (CVS) Deuxième trimestre 2004 3,4 % 3,2 % Troisième trimestre 2004 3,5 % 3,3 %
Comparaison des indicateurs (ACEMO, Unédic-Dares et EMMO-DMMO) par secteur d’activité (NES4)
ACEMO T2 - 2004 (brutes)
ACEMO T3 - 2004 (brutes)
Dares-Unédic T2 - 2004
(CVS)
Dares-Unédic T3- 2004
(CVS)
EMMO-DMMO T2- 2004 (brutes)
EMMO-DMMO T2- 2004
(CVS)
Industrie 3,4 3,5 6,5 6,8 6,6 6,0 Construction 3,3 3,2 8,2 8,2 8,4 7,4 Tertiaire 0,5 0,6 1,5 1,5 1,6 1,8
EMMO-DMMOT2- 2004
(CVS)
EMMO-DMMOT3- 2004
(CVS)
EMMO-DMMOT2- 2005
(CVS)
Dares-UnédicT2 - 2004
(CVS)
Dares-UnédicT3- 2004
(CVS)
Dares-UnédicT2- 2005
(CVS)
GA Dares-Unédic(T2 2005 / T2 2004)
GA EMMO-DMMO(T2 2005 / T2 2004)
Industrie 6,0 6,1 5,7 6,5 6,8 6,6 1,5 -5,0
Construction 7,4 7,2 8,6 8,2 8,2 8,8 7,3 16,2
Tertiaire 1,8 1,8 1,8 1,5 1,5 1,6 6,7 0,0
global 3,4 3,5 3,5 3,2 3,3 3,3 3,1 2,9
Période GA UNEDIC GA EMMO-DMO2000T2 19,1% 19,1%2000T3 11,9% 11,9%2000T4 11,5% 11,5%2001T1 4,3% 4,3%2001T2 -4,5% -4,5%2001T3 -7,2% -7,2%2001T4 -9,8% -9,8%2002T1 -9,4% -9,4%2002T2 -6,3% -6,3%2002T3 -6,3% -6,3%2002T4 -2,3% -2,3%2003T1 -4,2% -4,1%2003T2 -4,7% -4,7%2003T3 -2,6% -2,5%2003T4 1,1% 1,1%2004T1 1,5% 1,5%2004T2 3,6% 3,6%2004T3 5,3% 5,3%
Evolution en glissement annuel du taux de recours à l'intérim
-15%-10%-5%0%5%
10%15%20%25%
GA UNEDIC GA EM M O-DM O
32
D. Comparaison des indicateurs par secteur d’activité en NES 36 (ACEMO, Unédic, EMMO-DMMO)
Taux de recours obtenu à partir des différentes sources
NES36 ACEMO
T2 - 2004(brutes)
ACEMO T3 - 2004(brutes)
Dares-UnédicT2 - 2004
(CVS)
Dares-Unédic T3- 2004
(CVS)
EMMO-DMMOT2- 2004 (brutes)
Industrie 3,4 3,5 6,5 6,8 6,6
Industries agricoles et alimentaires 3,4 3,8 6,3 6,5 6,5
Industries des biens de consommation 2,2 2,2 4,7 5,1 5,1
Habillement, cuir 0,4 0,6 1,8 2,2 2,4
Edition, imprimerie, reproduction 1,0 1,2 2,7 2,6 3,0
Pharmacie, parfumerie et entretien 3,8 2,9 6,5 6,9 5,4
Industries des équipements d'un foyer 3,3 3,7 6,8 7,4 8,2
Industrie automobile 7,7 7,6 10,2 11,0 11,3
Industrie des biens d'équipement 3,3 3,5 6,2 6,3 7,3
Construction navale, aéronautique et ferroviaire 3,6 4,5 4,9 5,3 8,3
Equipements mécaniques 3,6 3,9 7,0 7,2 7,7
Equipements électriques et électroniques 2,6 2,2 5,3 5,3 5,9
Industrie des biens intermédiaires 3,7 3,9 7,5 7,8 7,8
Produits minéraux 3,2 3,6 6,7 7,1 6,4
Textile 2,1 2,1 4,3 4,6 5,4
Bois et papier 4,1 4,3 6,4 6,7 6,6
Chimie, caoutchouc, plastiques 4,3 4,2 8,7 9,2 8,1
Métallurgie et transformations des métaux 3,6 4,0 7,6 7,9 8,0
Composants électriques et électroniques 3,7 4,1 8,1 8,3 8,7
Energie 0,5 0,6 2,3 2,5 1,2
Production de combustibles et de carburants 2,0 2,1 2,8 2,9 2,5
Eau, gaz, électricité 0,3 0,4 2,3 2,4 1,0
Construction 3,3 3,2 8,2 8,2 8,4
Tertiare 0,5 0,6 1,5 1,5 1,6
Commerce 0,6 0,7 1,7 1,7 2,1
Commerce et réparation automobile 0,5 0,6 0,9 1,0 1,9
Commerce de gros 1,0 1,1 2,8 2,9 2,8
Commerce de détail, réparations 0,3 0,4 1,2 1,2 1,7
Transports 0,7 0,9 3,6 3,7 4,0
Activités financières 0,5 0,5 0,9 0,9 1,0
Activités immobilières 0,7 0,7 1,0 1,0 1,0
Services aux entreprises 0,5 0,6 1,7 1,8 1,8
Postes et télécommunications 0,2 0,2 0,8 0,8 1,6
Conseils et assistance 0,6 0,5 1,9 2,1 1,7
Services opérationnels 0,6 0,8 1,9 1,9 2,1
Recherche et développement 1,0 0,9 1,0 1,0 1,9
Services aux particuliers 0,3 0,3 0,5 0,5 1,4
Hôtels et restaurants 0,3 0,3 0,8 0,8 1,3
Activités récréatives, culturelles et sportives 0,3 0,3 0,4 0,3 1,5
Services personnels et domestiques 0,3 0,4 0,1 0,1 2,3
Ensemble des secteurs 1,6 1,6 3,2 3,3 3,5
33
Taux de recours obtenu sur l’ensemble de la base ACEMO après application des
pondérations.
GA Unédic GA ACEMOT2 - 2004 T3 - 2004 T2 - 2005 T2 - 2004 T3 - 2004 T2 - 2005 T2- 2005/ T2-2004 T2- 2005/ T2-2004
Industrie 4,4 4,8 4,7 6,5 6,8 6,6 1,5 6,8Industries agricoles et alimentaires 5,0 5,4 5,4 6,3 6,5 6,7 6,3 7,8Industries des biens de consommation 3,3 3,5 3,6 4,7 5,1 4,9 4,3 10,3Habillement, cuir 0,7 1,1 0,6 1,8 2,2 1,9 5,6 -14,9Edition, imprimerie, reproduction 1,7 1,8 1,7 2,7 2,6 2,6 -3,7 1,8Pharmacie, parfumerie, entretien 3,6 3,6 3,9 6,5 6,9 7,3 12,3 7,1Industrie des équipements du foyer 5,6 5,8 6,4 6,8 7,4 6,7 -1,5 13,6Industrie automobile 8,8 8,6 8,1 10,2 11,0 9,5 -6,9 -8,0Industrie des biens d'équipement 4,2 4,5 4,6 6,2 6,3 6,4 3,2 8,5Construction navale, aéronautique et ferroviaire 4,0 4,1 4,8 4,9 5,3 5,9 20,4 20,5Equipement mécanique 4,9 5,1 5,3 7,0 7,2 7,2 2,9 8,2Equipements electriques et électroniques 3,7 4,0 3,5 5,3 5,3 5,2 -1,9 -4,6Industries des biens intermédiaires 4,8 5,5 5,1 7,5 7,8 7,5 0,0 3,4Industrie des produits minéraux 4,1 5,7 4,4 6,7 7,1 7,0 4,5 7,5Industrie textile 2,7 2,8 3,2 4,3 4,6 4,4 2,3 15,7Industrie du bois et papier 4,9 5,9 4,9 6,4 6,7 6,6 3,1 -0,6Chimie, caoutchouc, plastiques 5,0 5,5 5,0 8,7 9,2 8,4 -3,4 -0,6Métallurgie et transformation des métaux 5,1 5,7 5,8 7,6 7,9 7,7 1,3 14,4Industrie des composants éléctriques et électroniques 5,0 5,8 5,0 8,1 8,3 7,8 -3,7 -0,4Energie 0,4 0,5 0,3 2,3 2,5 2,5 8,7 -26,2Production de combustibles et carburants 2,0 2,1 1,6 2,8 2,9 3,0 7,1 -21,4Eau, gaz électricité 0,3 0,3 0,1 2,3 2,4 2,4 4,3 -57,0Construction 6,1 6,6 7,1 8,2 8,2 8,8 7,3 16,9Tertiaire 0,6 0,7 0,6 1,5 1,5 1,6 6,7 0,0Commerce 0,7 0,9 0,7 1,7 1,7 1,8 5,9 1,5Commerce et réparation automobile 1,1 1,3 1,1 0,9 1,0 1,0 11,1 -5,3Commerce de gros 1,4 1,7 1,2 2,8 2,9 3,0 7,1 -11,4Commerce de détail, réparations 0,4 0,5 0,5 1,2 1,2 1,2 0,0 23,1Transports 0,8 1,0 0,9 3,6 3,7 3,9 8,3 16,3Activités financières 0,4 0,4 0,4 0,9 0,9 1,0 11,1 -9,3Activités immobilères 0,9 0,9 1,1 1,0 1,0 1,0 0,0 25,6Services aux entreprises 0,5 0,6 0,7 1,7 1,8 1,8 5,9 22,6Postes et télécommunications 0,2 0,1 0,3 0,8 0,8 1,1 37,5 78,8Conseil et assistance 0,7 0,8 0,8 1,9 2,1 2,1 10,5 13,0Services opérationnels 0,8 1,0 0,8 1,9 1,9 2,0 5,3 9,1Recherche et développement 1,1 1,0 1,5 1,0 1,0 1,0 0,0 38,9Services aux particuliers 0,4 0,5 0,5 0,5 0,5 0,5 0,0 4,5Hôtels et restaurants 0,5 0,5 0,4 0,8 0,8 1,0 25,0 -12,2Activités récréatives, culturelles et sportives 0,4 0,5 0,5 0,4 0,3 0,4 0,0 29,3Services personnels et domestiques 0,1 0,3 0,1 0,1 0,1 0,1 0,0 -17,8Industrie 4,4 4,8 4,7 6,5 6,8 6,6 1,5 6,8Construction 6,1 6,7 7,1 8,2 8,2 8,8 7,3 16,4Tertiaire 0,6 0,7 0,6 1,5 1,5 1,6 6,7 6,7Ensemble des secteurs 2,4 2,6 2,6 3,2 3,3 3,3 3,1 8,4
Secteur d'activité ACEMO Unédic (CVS)
Taux de recours obtenu après suppression des établissements ayant déclaré 0 journée
d’intérim et application des pondérations. L’estimation du taux de recours ne peut pas se faire en considérant uniquement les établissements répondant à la question, comme le montre les résultats suivants. Le taux de recours à l’intérim est en effet trop élevé au regard des statistiques Unédic-Dares.
34
T2 - 2004 T3 - 2004 T2 - 2005 T2 - 2004 T3 - 2004 T2 - 2005 T2 - 2004 T3 - 2004 T2 - 2005 UNEDIC ACEMOIndustrie 7,2 7,7 7,4 6,5 6,8 6,6 7,5 8,0 7,8 1,5% 2,8%Industries agricoles et alimentaires 7,7 8,4 8,4 6,3 6,5 6,7 8,0 8,7 8,7 6,3% 9,1%Industries des biens de consommation 6,3 6,6 6,5 4,7 5,1 4,9 7,0 7,4 7,5 4,3% 3,2%Habillement, cuir 2,8 3,6 2,3 1,8 2,2 1,9 2,9 3,3 2,7 5,6% -17,9%Edition, imprimerie, reproduction 4,0 4,0 3,8 2,7 2,6 2,6 5,2 5,1 5,2 -3,7% -5,0%Pharmacie, parfumerie, entretien 6,1 6,4 6,3 6,5 6,9 7,3 6,9 7,6 7,2 12,3% 3,3%Industrie des équipements du foyer 8,6 8,7 9,1 6,8 7,4 6,7 8,9 9,0 9,7 -1,5% 5,8%Industrie automobile 10,1 10,1 9,4 10,2 11,0 9,5 10,0 9,9 9,0 -6,9% -6,9%Industrie des biens d'équipement 6,3 6,5 6,7 6,2 6,3 6,4 6,4 6,8 7,1 3,2% 6,2%Construction navale, aéronautique et ferroviaire 5,0 4,7 6,1 4,9 5,3 5,9 5,6 5,2 6,8 20,4% 22,0%Equipement mécanique 7,1 7,4 7,4 7,0 7,2 7,2 7,4 7,8 7,7 2,9% 4,2%Equipements electriques et électroniques 6,4 7,0 6,0 5,3 5,3 5,2 5,8 6,9 6,3 -1,9% -6,3%Industries des biens intermédiaires 6,7 7,7 6,8 7,5 7,8 7,5 7,0 8,0 7,5 0,0% 0,4%Industrie des produits minéraux 6,0 8,2 6,1 6,7 7,1 7,0 7,4 9,0 7,5 4,5% 1,7%Industrie textile 5,2 4,8 6,0 4,3 4,6 4,4 5,4 4,8 6,3 2,3% 15,4%Industrie du bois et papier 6,6 8,0 6,7 6,4 6,7 6,6 6,5 7,8 6,6 3,1% 1,5%Chimie, caoutchouc, plastiques 6,5 7,4 6,8 8,7 9,2 8,4 7,2 8,8 7,6 -3,4% 4,6%Métallurgie et transformation des métaux 6,7 7,3 7,4 7,6 7,9 7,7 6,6 7,3 7,5 1,3% 10,4%Industrie des composants éléctriques et électroniques 8,1 9,3 8,4 8,1 8,3 7,8 7,7 8,3 8,4 -3,7% 3,7%Energie 3,6 4,1 2,7 2,3 2,5 2,5 4,0 4,6 3,1 8,7% -25,0%Production de combustibles et carburants 3,1 3,7 2,7 2,8 2,9 3,0 4,8 5,5 3,3 7,1% -12,9%Eau, gaz électricité 4,2 4,6 2,7 2,3 2,4 2,4 3,4 3,8 2,9 4,3% -35,7%Construction 10,0 11,2 11,5 8,2 8,2 8,8 10,2 11,2 11,2 7,3% 15,0%Tertiaire 2,4 2,7 2,6 1,5 1,5 1,6 2,7 3,1 2,8 6,7% 9,2%Commerce 1,4 3,0 1,5 1,7 1,7 1,8 2,9 3,2 2,7 5,9% 6,9%Commerce et réparation automobile 3,3 4,5 3,1 0,9 1,0 1,0 3,1 3,6 2,8 11,1% -6,1%Commerce de gros 3,6 4,4 3,5 2,8 2,9 3,0 4,2 5,0 4,0 7,1% -2,8%Commerce de détail, réparations 1,8 1,9 1,7 1,2 1,2 1,2 1,8 1,6 1,8 0,0% -5,6%Transports 4,2 5,7 5,0 3,6 3,7 3,9 4,6 5,2 4,7 8,3% 19,0%Activités financières 1,1 1,2 1,1 0,9 0,9 1,0 2,3 2,8 2,5 11,1% 0,0%Activités immobilères 1,8 2,0 2,5 1,0 1,0 1,0 1,9 2,2 2,7 0,0% 38,9%Services aux entreprises 2,8 3,3 3,7 1,7 1,8 1,8 3,0 3,6 3,6 5,9% 33,6%Postes et télécommunications 4,9 5,7 7,6 0,8 0,8 1,1 1,7 1,7 2,0 37,5% 55,1%Conseil et assistance 2,3 2,5 2,6 1,9 2,1 2,1 2,1 2,7 2,7 10,5% 13,0%Services opérationnels 3,4 4,4 5,2 1,9 1,9 2,0 4,4 5,5 5,9 5,3% 52,9%Recherche et développement 1,6 1,5 2,2 1,0 1,0 1,0 2,3 2,6 2,1 0,0% 37,5%Services aux particuliers 1,9 1,7 2,2 0,5 0,5 0,5 2,0 2,4 2,4 0,0% 18,3%Hôtels et restaurants 3,2 1,9 1,4 0,8 0,8 1,0 3,3 3,6 3,6 25,0% -56,3%Activités récréatives, culturelles et sportives 1,0 2,3 1,1 0,4 0,3 0,4 1,0 1,5 1,6 0,0% 12,2%Services personnels et domestiques 1,6 3,5 1,7 0,1 0,1 0,1 1,7 3,6 1,1 0,0% 7,2%
ACEMO Unédic ACEMO (établissements non groupés)
Glissement annuel
Moyenne pondérée du volume de journées d’intérim déclaré dans ACEMO.
T2-2004 T3-2004 T2-2005 Evolution trimestrielle( T3 2004 -T2 2004)
GA (T2 2005 / T2 2004)
Industrie 3954 4092 4209 3,5% 6,4%Construction 971 1117 1628 15,0% 67,7%Tertiaire 397 552 601 39,0% 51,4%Ensemble des secteurs 470 544 537 15,7% 14,3%
Moyenne pondérée du volume de journées d'intérim
35
VI. CONCLUSION - Des précautions sont à prendre dans l’interprétation des résultats: une partie des missions
d’intérim effectuées par les établissements n’ont pu être identifié en raison d’un SIRUTI souvent non renseigné. On ne peut donc pas forcément conclure à une surestimation dans les enquêtes ACEMO même si l’on constate chez les établissements de plus de 10 salariés non groupés une tendance à arrondir le volume de journées d’intérim.
- Dans le cas des TPE, à la différence des établissements de plus de 10 salariés, le champ
intérim est mieux renseigné. - On peut noter que l’écart constaté entre la déclaration Unédic et ACEMO est une fonction
croissante du nombre de missions effectuées, de la taille de l’entreprise et de son secteur d’activité.
- Les établissements non groupés de plus de 10 salariés renseignent mieux. - Les établissements ayant choisi le groupage appartiennent en grande partie au secteur
tertiaire ou le recours à l’intérim est le plus faible. - Certaines grandes entreprises, dont le poids est conséquent dans un secteur d’activité, ne
renseignent pas le volume de journées d’intérim malgré un recours important. Cela conduit à avoir des taux de recours dans ces secteurs d’activité beaucoup moins élevés en comparaison aux sources Unédic. Cela est le cas notamment pour les secteurs de l’énergie, des transports et de l’industrie automobile.
36
Annexes
Madame, Monsieur,
L’enquête trimestrielle Acemopermet notamment à la Statis-tique publique de calculer lesévolutions des salaires, de l’em-ploi et de la durée du travail.
Ses résultats sont disponiblessur le site www.travail.gouv.fr.
Je vous remercie par avance devotre participation.
Pour le Directeur de la Dares,Le Chef de service
Pierre Sardou
Vu l’avis favorable du Conseil Natio-nal de l’Information Statistique,cette enquête, reconnue d’intérêtgénéral et de qualité statistique,est obligatoire.Visa n° 2006T028TV du ministre del’emploi, de la cohésion sociale etdu logement et du ministre del’économie, des finances et de l’in-dustrie, valable pour l’année 2006.Aux termes de l’article 6 de la loin° 51-711 du 7 juin 1951 modifiéesur l’obligation, la coordination et lesecret en matière de statistique,les renseignements transmis enréponse au présent questionnairene sauraient en aucun cas être utili-sés à des fins de contrôle fiscal oude répression économique.L’article 7 de la loi précitée stipuled’autre part que tout défaut deréponse ou une réponse sciemmentinexacte peut entraîner l’applicationd’une amende administrative.Questionnaire confidentiel destiné àla DARES.La loi n° 78-17 du 6 janvier 1978modifiée, relative à l’informatique,aux fichiers et aux libertés, s’ap-plique aux réponses faites à la pré-sente enquête par les entreprisesindividuelles. Elle leur garantit undroit d’accès et de rectification pourles données les concernant. Cedroit peut être exercé auprès de laDARES.
– Une garantie de qualité pourla collecte et l’exploitation desdonnées économiques etsociales.– Une restitution d’informationsvers les entreprises partenaires.– Dares, Insee, Sessi, Ses etScees s’engagent au service dela collectivité et des entreprises.
Tél. :
Fax :
Numéro SIRET : Code APE :
Ce questionnaire concerne
ENQUÊTE TRIMESTRIELLE SUR LEMerci de nous renvoyer ce questionnaire (rempli en noir)au moyen de l’enveloppe T jointe, avant le
Merci d’éventuellement compléter ou corriger ci-après l’identification de votre établissement (raison sociale, adresse) ou celle de votre correspondant (nom, adresse, téléphone, fax) ou de nous signaler toute restructuration.
IM
PR
IM
ER
IE
NA
TION
ALE
5 01
0341
1◗
S1
Voir suite au verso �
(somme des trois montants mensuels déclarés à l’URSSAF)
Nombre total d’heures supplémentaires(pour les salariés à temps complet)
Effectifs concernés par les heures supplémentaires(ayant effectué au moins une heure supplémentaire aucours du trimestre. Un salarié n’est compté qu’une fois.)
Nombre total d’heures complémentaires(pour les salariés à temps partiel)
Nombre de journées effectuées (arrondir)
Les informations demandées ci-dessous portentIndiquez la valeur zéro pour les questions qui sont sans objet pour votre établissement.
Salariés à temps partiel
CNE (Contrats« nouvelles embauches »)
Parmi ceux-ci, distinguez :
Effectif total
1. Nombre de salariés ayant un contrat de travail avec l’établissement (hors intérimaires et stagiaires) au
2. Rémunérations brutes versées sur le trimestre
3. Heures supplémentaires et complémentaires
4. Personnel intérimaire
I – I N F O R M AT I O N S C O N C E R N A N T V O T R E É TA B L I S S E M E N T
CDD (Contratsà durée déterminée)
Ministère de l’emploi,
de la cohésion sociale
et du logement
DARES Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques
Département salaires et conventions salariales – 39-43 quai André Citroën – 75902 Paris cedex 15
ACTIVITÉ ET CONDITIONS D’EMPLOI DE LA MAIN-D’ŒUVRE (ACEMO)
I I – D U R É E D U T R AVA I L D E S S A L A R I É S À T E M P S C O M P L E T
agent de nettoyage - ONQ
1
Ouvriers 2
3
1
Employés 2
3
1
Professions2intermédiaires
3
1
Cadres 2
3
Catégoriede salariés
(Nomenclature PCS)
NIVEAU
Description du poste occupé
Libellé d’emploi et niveau hiérarchiqueCoef.
ou niveauhiérarch.
(1) Si forfait jours, porter conventionnellement 152 (h/mois).
Merci de votre collaboration.
Horaire mensuelde base (1)
(arrondir en heures)
en
Salaire mensuelbrut de base
en
Quelle est la durée collective hebdomadaire habituelle detravail de vos salariés à temps complet (en moyenne surl’année en cas d’annualisation ou de jours de RTT) ?
Exemples :* durée collective de 38 h par semaine avec 17 jours de RTT :
➝ inscrivez 35 h.* durée collective de 38 h par semaine sans jour de RTT :
➝ inscrivez 38 h.
Remplissez autant de lignes qu’il existe de durées différentes.Des horaires distincts correspondant à une même durée doivent êtreregroupés sur une seule ligne.
Effectifs à temps completconcernés
,
,
,
,
Durée hebdomadaire(en heures et centièmes)
I V – D I F F I C U LT É S D E R E C R U T E M E N T, E M P L O I S VA C A N T S
I I I – S U I V I D E S R É M U N É R AT I O N S D E S P O S T E S D E T R AVA I L L E S P L U S R E P R É S E N TAT I F S D E V O S S A L A R I É S
1. Durée(s) collective(s) hebdomadaire(s) habituelle(s)
2. Durée des salariés au forfait en nombre de jours
Veuillez indiquer pour chacun des postes que vous avez prédéfinis à l’aide de la grille de correspondance avec votre convention collective, le salaire brut debase (hors primes, sauf les primes ou indemnités complémentaires liées à la RTT) et l’horaire de base.GARDER UN SEUL ET MÊME SALARIÉ TOUT AU LONG DES TRIMESTRES. NE PAS FAIRE DE MOYENNE. Au cas où un de ces postes de travail deviendraitvacant ou en cas de changement de coefficient du salarié, il conviendrait d’en choisir un autre de même coefficient.
Nombre de jourspar an
Effectifsconcernés
▲▲
au
3. Au cours du trimestre, avez-vous eu recours à : (vous pouvez cocher plusieurs cases)
Niv.
Niv.
Niv.
Niv.
Niv.
Niv.
Niv.
Niv.
Niv.
Niv.
Niv.
Niv.
Éprouvez-vous actuellement des difficultés de recrutement ? Oui Non
Avez-vous des emplois vacants ? Oui Non
Un emploi vacant est un poste nouvellement créé, inoccupé ou sur le point d’être vacant pour lequel vous entreprenez des démarches très actives pour trouver, àl’extérieur de votre établissement, le candidat convenable et qui doit être pourvu soit immédiatement soit dans un avenir proche.
Si oui, indiquez le nombre d'emplois vacants
du chômage partiel effectivement indemnisé Une période hautede modulation ou d'annualisation
Une période bassede modulation ou d'annualisation
Numéro du mois et millésime de l'année du relevé Mois Année
IDENTIFICATION DE L'ÉTABLISSEMENT DE TRAVAIL TEMPORAIRE
Numéro SIRET(à défaut, donner le n° SIREN)
Nom ou dénomination de l'établissement (tel qu'il figure au registre du commerce)
Adresse
Numéro Rue ou lieu-dit
Code postal Commune
Date du 1er emploi Si l’établissement a cessé sond’intérimaires activité, date de cette cessation
Unité de paiement des intérimaires
Direction départementaledu travail, de l'emploi
et de la formationprofessionnelle
N° 10871*01
RELEVÉ MENSUEL DES CONTRATS DE TRAVAIL TEMPORAIRE(articles L 124-11 et R 124-4 du Code du travail)
1. Etablissement de travail temporaire
ICI
coller l'étiquette (code barre)du mois du relevé
fournie par le centre serveur
E TT 04
PRINCIPAUX RÉSULTATSNombre total de contrats de travail temporaire conclus uniquement au cours du mois considéré (à l'exclusion des contrats conclus au cours des mois précédents) :
On indiquera le nombre des contrats et non celui des salariés. Un contrat qui a été prolongé (poursuite de la relation contractuelle au-delà de la durée minimale initialement fixée, renouvellementau sens de l'article L 124-2-2, aménagement du terme au sens de l'article L 124-2-4 ou report de terme au sens de l'article L 124-2-6) est compté une seule fois, dans le relevé du mois de sa conclusion. En effet, la prolongation n'est pas un nouveau contrat.
Nombre total de contrats de travail temporaire en cours d'exécution au dernier jour ouvré du mois considéré, quelle que soit la date de signature du contrat :
Nombre total d'établissements utilisateurs ayant bénéficié de la mise à disposition d'au moins un salarié temporaire au cours du mois considéré(les différents établissements d'une même entreprise doivent être comptabilisés séparément) :
Références de la personne qualifiée pour fournir des précisions concernant ce relevé :
Nom Téléphone La loi n° 87 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés s'applique aux donnéesnominatives portées dans ce formulaire. Elle garantit un droit d'accès et de rectification pour ces données
auprès de la Direction départementale du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle.
(FRF ou EUR)
Nom Nationalité
Prénom N° Sécurité sociale
Code postal duCode emploi (PCS) Qualification professionnelle
domicile du salarié
LIEU D’EXÉCUTION DE LA MISSION (à ne compléter que si différent de l’adresse ci-dessus)
Nom ou dénomination de l'établissement
Adresse Numéro Rue ou lieu-dit
Code postal Commune
Code pays Pays
Numéro du mois et millésime de l'année du relevé Mois Année
ÉTABLISSEMENT UTILISATEUR Numéro SIRET Code APE(à défaut, donner le n° SIREN)
Nom ou dénomination de l'établissement
Adresse Numéro Rue ou lieu-dit
Code postal Commune
Code pays Pays
TT 05Direction départementale
du travail, de l'emploiet de la formationprofessionnelle
N° 10872*01
RELEVÉ MENSUEL DES CONTRATS DE TRAVAIL TEMPORAIREayant pris fin ou en cours d’exécution dans le mois
2. Liste des contrats par établissement utilisateur L
Date effective de début de la mission Date effective de fin de la mission
Se re
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MIS
SION
Rémunération brute figurantsur le bulletin de paie
Rappel+ ou –
(seulement si elle s’est achevée dans le mois)(même si elle est antérieure au mois)
Clé
Nom Nationalité
Prénom N° Sécurité sociale
Code postal duCode emploi (PCS) Qualification professionnelle
domicile du salarié
Date effective de début de la mission Date effective de fin de la missionMIS
SION
Rémunération brute figurantsur le bulletin de paie
Rappel+ ou –
(seulement si elle s’est achevée dans le mois)(même si elle est antérieure au mois)
Clé
Nom Nationalité
Prénom N° Sécurité sociale
Code postal duCode emploi (PCS) Qualification professionnelle
domicile du salarié
Date effective de début de la mission Date effective de fin de la missionMIS
SION
Rémunération brute figurantsur le bulletin de paie
Rappel+ ou –
(seulement si elle s’est achevée dans le mois)(même si elle est antérieure au mois)
Clé
Si le cadre ci-dessus est inexact, veuillez en indiquer ci-dessous le bon intitulé
N° Siret :
Raison sociale :
Adresse :
Code postal : Ville :
Si vous souhaitez que le questionnaire soit adressé à uneautre adresse, veuillez en indiquer ci-dessous le nouvel intitulé(en cas de modification identique des deux adresses, ne modifierque celle de l’établissement enquêté, dans le cadre de gauche)
Raison sociale :
Adresse :
Code postal : Ville :
Les renseignements demandés au verso portent sur les mou-vements de personnel (entrées et sorties du trimestre) del’établissement identifié dans le cadre de gauche ci-dessus.
Ne pas faire de regroupement d’établissements.
S’il n’y a pas eu de mouvements au cours du trimestre,
veuillez néanmoins renseigner le cadre 1 au verso.
Pour toutes précisions concernant ce questionnaire, vous pouvez contacter :
Vu l’avis favorable du Conseil National de l’Information Statistique, cette enquête, reconnue d’intérêt général et de qualité statistique, est obligatoire.Visa n° 2006 T 023 TV du Ministre de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement et du Ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, valable pour l’année 2006.
Aux termes de l’article 6 de la loi n° 51-711 du 7 juin 1951 modifiée sur l’obligation, la coordination et le secret en matière de statistique, les renseignements transmis enréponse au présent questionnaire ne sauraient en aucun cas être utilisés à des fins de contrôle fiscal ou de répression économique. L’article 7 de la loi précitée stipule d’autrepart que tout défaut de réponse ou une réponse sciemment inexacte peut entraîner l’application d’une amende administrative.Questionnaire confidentiel destiné à la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques.La loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, s’applique aux réponses faites à la présente enquête par les entreprisesindividuelles. Elle leur garantit un droit d’accès et de rectification pour les données les concernant. Ce droit peut être exercé auprès du Ministère de l’emploi, de lacohésion sociale et du logement, direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques : 39-43, quai André-Citroën - 75902 PARIS Cedex 15.
Nom de la personne de l’établissement à joindre pour précisions éventuelles :
M Téléphone Poste
Adresse Mél IM
PR
IM
ER
IE
NA
TION
ALE
5 01
2979
1◗
Identification de l'établissement enquêté Adresse d’envoi du questionnaire
Ministère de l'emploi, de la cohésion sociale
et du logement
DARESDépartement emploi
ENQUÊTE STATISTIQUE SUR LES MOUVEMENTS DE MAIN-D'ŒUVREau premier t r imest re 2006
À RETOURNER AVANT LE (utiliser l’enveloppe jointe)
50129791_001_002 23/12/05 11:41 Page 1
Né(e) Numéro de rubrique Entrées Sorties
en de la nomenclature nature motifNom 19.. Emploi (en clair) des PCS-ESE (1) jour mois année du contrat jour mois année de sortie
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
(1) Utiliser la nomenclature des professions et catégories socioprofessionnelles version 2003 (PCS-ESE 2003) jointe au premier envoi de l’année et à conserver
II.Mouvements du 1er janvier au 31 mars 2006 correspondant aux entrées et aux sorties indiquées ci-dessus (hors intérimaires)Informations à renseigner pour tous les mouvements (même la partie « Entrées » pour une sortie) À renseigner en cas de sortie
Nat
iona
lité
Sexe
Personnes ayant un contrat avec l’établissement et rémunérées directement par lui, non compris : les travailleurs intérimaires - les stagiaires (formation professionnelle, etc., voir notice)
y compris : les saisonniers - les apprentis - les VRP - les salariés travaillant sur un chantier - les travailleurs à domicile - les contrats aidés(initiative-emploi, d'accompagnement dans l'emploi, de professionnalisation...)
+ - = ➪ soit et
effectif entrées sorties effectif hommes femmesau 31 décembre du 1er trimestre du 1er trimestre au 31 mars2005 2006 2006 2006
Travailleurs intérimaires (salariés rémunérés par des entreprises de travail temporaire et mis à la disposition de l’établissement)nombre au 31 mars 2006
L’établissement remplit-il les conditions pour recruter sous contrat “nouvelles embauches” au 1er janvier 2006 ? oui non
I.Effectifs de l'Établissement
Pour compléter le tableau II ci-dessus, utiliser les codifications suivantes :Colonne “Nationalité” Colonne “Sexe”
F : Français C : Ressortissant de la CEE H : HommeA : Autre nationalité F : Femme
Colonne “Entrées : nature du contrat”
TE : Transfert d’un salarié d’un autre établissementde votre entreprise, qu’il y ait ou non changement de contrat
RI : Recrutement avec un contrat à durée indéterminée (y compriscontrats initiative-emploi à durée indéterminée)
RD : Recrutement avec un contrat à durée déterminée (y compris l’apprentissage et autres contrats aidés)
RN : Recrutement avec un contrat “nouvelles embauches”
Colonne “Sorties : motif de sortie”TS : Transfert d’un salarié de votre établissement à un autre établissement
de votre entreprise avec changement de contrat ou nonFD : Fin de contrat à durée déterminéeLE : Licenciement économique (hors fin de contrat “nouvelles embauches”) LA : Licenciement pour une cause autre qu’économique (hors fin de contrat
“nouvelles embauches”)FE : Fin de contrat “nouvelles embauches” à l’initiative de l’employeurFN : Fin de contrat “nouvelles embauches” à l’initiative du salariéDM : Démission ou autre départ à l’initiative du salarié (hors fin de contrat
“nouvelles embauches”)RT : Départ en retraite, préretraiteES : Fin de période d’essai (hors fin de contrat “nouvelles embauches”)AU : Autre cas (décès, accident, etc.)
50129791_001_002 23/12/05 11:41 Page 2
Ministèredu l'emploi, du travail
et de la cohésion sociale
250
300350
400450
500550
600650
700
1997
T1 T3
1998
T1 T3
1999
T1 T3
2000
T1 T3
2001
T1 T3
2002
T1 T3
2003
T1 T3
2004
T1 T3
Graphique 1Volume du travail temporaire en équivalents-emplois à temps plein
Stabilisation
Source : Dares, exploitation des fichiers Unédic des déclarations mensuelles des agences d'intérim.
En milliers Données CVS
Novembre 2004 - N° 45.1
Avec 562 000 équivalents-emplois à temps plein au deuxième trimestre 2004,l'intérim crée 5 000 postes, et compense ainsi la baisse du trimestre dernier(-4 000 postes). Cette amélioration est imputable aux secteurs de l'industrie et dutertiaire qui recourent davantage à l'intérim qu'au cours du premier trimestre(+0,4 % et +0,6 %). Dans la construction, le volume d'intérim continued'augmenter, mais moins vite qu'au premier trimestre (+2,2 % contre +3,7 %).Tous secteurs confondus, les missions d'intérim durent en moyenne deuxsemaines.
L’EMPLOI INTÉRIMAIREAU DEUXIÈME TRIMESTRE 2004Une légère reprise
Tableau 1562 000 équivalents-emplois à temps plein au deuxième trimestre 2004
Données CVS
Évolution trimestrielle Niveau Évolution(en %) (en milliers) annuelle (en %)
2003 2004 2004 T2-2004/T2 T3 T4 T1 T2 T2 T2-2003
Equivalents-emplois à temps plein ................... -2,5 3,1 0,2 -0,6 0,8 562,0 3,6Contrats conclus ............................................... 0,0 0,8 1,3 -1,0 2,4 3 667,1 3,5Intérimaires en fin de trimestre (1) ................... -1,2 0,6 4,6 -3,4 0,9 566,5 2,6
(1) - Estimations Insee-Dares.Source : Dares, exploitation des fichiers Unédic des déclarations mensuelles des agences d'intérim.
PREMIÈRES INFORMATIONS 2 Novembre 2004 - N° 45.1
Tableau 2Volume du travail intérimaire en équivalents-emplois à temps plein
par secteur d'activité utilisateur
Évolution trimestrielle Niveau ÉvolutionSecteur d'activité (en %) (en annuelle
en nomenclature NAF milliers) (en %)2003 2004 2004 T2-2004/
T2 T3 T4 T1 T2 T2 T2-2003
Agriculture, sylviculture, pêche ........ -1,1 1,2 0,9 3,0 1,2 3,7 6,5
Industries agricoles et alimentaires .. -2,1 1,2 -1,4 -3,1 -1,9 39,0 -5,2
Ind. des biens de consommation ....... -3,1 1,5 -2,2 -1,2 0,1 31,9 -1,8Habillement, cuir ............................... -4,6 -3,4 -4,9 1,2 2,9 1,9 -4,3Édition, imprimerie, reproduction..... -3,1 0,9 -0,9 5,1 3,6 5,6 8,8Pharmacie, parfumerie, entretien ...... -2,1 2,0 -1,3 -2,0 -2,9 10,9 -4,3Industrie des équipements du foyer .. -3,5 2,0 -3,0 -3,1 0,8 13,6 -3,3
Industrie automobile.......................... -3,8 -0 -3,4 -8,8 0,6 31,6 -11,4
Industries des biens d'équipement ... -4,4 2,0 1,1 1,5 2,4 49,6 7,1Construction navale,aéronautique et ferroviaire ................ -6,5 -7,3 4,4 0,0 2,4 6,9 -0,8Équipement mécanique ..................... -6,8 2,1 -0,1 1,3 3,4 30,9 6,9Équipements électriques et électron.. 4,5 7,8 2,1 2,8 -0,2 11,8 13,0
Industries des biens intermédiaires .. -3,9 1,9 1,4 0,1 0,3 109,1 3,7Industrie des produits minéraux ........ -0,5 4,6 5,0 -2,2 1,2 11,6 8,8Industrie textile.................................. -6,4 0,7 -4,5 -1,6 -1,4 3,9 -6,7Industrie du bois et papier................. -6,4 3,5 0,8 -0,1 -3,9 11,8 0,2Chimie, caoutchouc, plastiques......... -3,5 0,8 1,9 0,2 -1,4 31,4 1,5Métallurgie et transf. des métaux ...... -4,5 1,5 -1,2 -0,8 1,2 33,9 0,7Industrie des composants électriqueset électroniques.................................. -2,6 2,2 5,7 4,1 5,3 16,5 18,4
Énergie................................................. -2,6 8,0 -0,2 -4,6 1,2 5,7 4,2Prod. de combustibles et carburants.. -3,4 4,8 0,8 -5,4 -10,1 0,9 -10,2Eau, gaz, électricité ........................... -2,4 8,8 -0,4 -4,4 3,7 4,8 7,4
Construction ....................................... 0,8 2,5 3,3 3,7 2,2 110,8 12,2
Commerce ........................................... -4,2 6,1 -1,6 -2,5 0,8 51,6 2,6Commerce et réparation automobile . -5,3 14,2 -7,4 2,6 0,4 4,2 8,9Commerce de gros............................. -4,6 4,9 -3,3 -0,6 -1,6 28,6 -0,7Commerce de détail, réparations....... -3,2 6,3 2,7 -6,5 4,6 18,8 6,7
Transports ........................................... -0,9 9,0 -5,2 0,6 -0,4 40,7 3,6
Activités financières ........................... 1,6 11,6 -8,8 -9,8 2,0 6,5 -6,3
Activités immobilières........................ 5,2 2,2 4,5 -4,8 1,0 2,6 2,7Services aux entreprises .................... -3,3 3,8 2,5 -0,4 -0,2 57,7 5,7Postes et télécommunications............ 0,0 -4,0 8,9 -2,3 0,8 4,5 3,1Conseil et assistance.......................... -6,1 7,3 7,7 -1,5 -1,2 24,5 12,5Services opérationnels ...................... -1,4 2,4 -2,8 0,9 0,3 27,2 0,7Recherche et développement............. -5,8 -1,4 0,8 0,0 3,5 1,5 2,9
Services aux particuliers.................... -2,8 6,8 0,0 -1,9 3,6 9,5 8,5Hôtels et restaurants .......................... -3,6 8,5 -1,7 0,4 5,8 7,1 13,3Activités récréatives, culturelleset sportives......................................... 0,3 -1,9 3,6 -9,7 0,1 1,4 -8,2Services personnels et domestiques .. -2,2 9,5 5,9 -4,8 -5,5 1,0 4,2
Éducation, santé, action sociale ........ 0,7 -0,5 5,4 -6,8 4,5 9,6 2,2Éducation........................................... -4,5 -13,6 15,4 2,4 6,2 2,6 8,5Santé et action sociale ....................... 2,6 4,0 2,6 -9,7 3,9 7,0 0,1
Administration.................................... -9,1 1,0 0,6 -1,4 2,8 2,5 3,0Administration publique.................... -11,3 3,4 0,2 -0,2 -1,7 1,0 1,6Act. associatives et extra-territoriales -7,5 -0,6 0,9 -2,3 6,0 1,5 3,9
Agriculture .......................................... -1,1 1,2 0,9 3,0 1,2 3,7 6,5Industrie .............................................. -3,6 1,6 -0,2 -1,5 0,4 266,9 0,3Construction ....................................... 0,8 2,5 3,3 3,7 2,2 110,8 12,2Tertiaire ............................................... -2,7 5,8 -0,9 -1,6 0,6 180,7 3,7Ensemble des secteurs........................ -2,5 3,1 0,2 -0,6 0,8 562,0 3,6
Source : Dares, exploitation des fichiers Unédic des déclarations mensuelles des agences d'intérim.
Au deuxième trimestre 2004,l'intérim crée 5 000 équivalents-emplois à temps plein, soit+0,8 %, après en avoir supprimé4 000 (-0,6 %) au cours du trimes-tre précédent. Cette légère amélio-ration du volume de l'intérim surle trimestre s’accompagne d’uneforte hausse du nombre decontrats conclus sur le trimestre(cf. Pour comprendre ces résul-tats). Ces derniers progressent de90 000 (+2,4 %), soit la plus fortehausse depuis deux ans. Le nom-bre d'intérimaires en fin de trimes-tre augmente de 0,9 %, pouratteindre 567 000. Sur un an, levolume du travail temporaire pro-gresse de 3,6 % (tableau 1).
Dans la construction, le recoursà l'intérim progresse, mais moinsvite qu'au trimestre précédent(+2,2 % contre +3,7 %). Cettetendance est encore plus marquéedans l’emploi salarié où laconstruction marque une pause(+ 0,4 %) après avoir progressé de5,1 % au premier trimestre [1].
L'industrie, qui concentre prèsde la moitié du volume de travailtemporaire, enregistre une haussedu travail intérimaire (+0,4 %)pour la première fois depuis sixmois. Seul le secteur des « indus-tries agroalimentaires » embauchemoins d'intérimaires (-1 000).L'emploi intérimaire dans l'auto-mobile progresse pour la premièrefois depuis dix huit mois(+0,6 %), et se stabilise autour de31 000 équivalents-emplois àtemps plein. L'automobile demeu-re le secteur ayant le plus recoursà l'intérim : dix salariés sur cent ysont intérimaires contre trois pourl'ensemble des secteurs. Dans les« industries des biens de consom-mation » et les « industries desbiens intermédiaires », l'intérimreste stable ce trimestre (+0,1 %et +0,3 %). La plus forte hausse(+2,4 %) provient du secteur des« industries des biens d'équipe-ments », notamment grâce au
Données CVS
PREMIÈRES INFORMATIONS 3 Novembre 2004 - N° 45.1
sous-secteur de « l'équipementmécanique » (+3,4 %).
Le tertiaire crée 1 000 postesd'intérimaires ce trimestre(+0,6 %) après en avoir supprimé3 000 au trimestre précédent(-1,6 %). À lui seul, le sous-sec-teur du « commerce de détails etréparation » crée 800 postes(+4,6 %). L'intérim progressedans tous les secteurs, sauf dansles « transports » et les « servicesaux entreprises » (respectivement-0,4 % et -0,2 %). Dans le secteurde « l'éducation santé et actionsociale » l'intérim continue defluctuer : +4,5 %, après -6,8 % letrimestre dernier. Dans le tertiaire,les missions étant de plus courtesdurées [2], le volume de l'emploiintérimaire y est plus variable d'untrimestre à l'autre. Ceci répondsouvent à des surplus momenta-nés d'activité non liés à des activi-tés saisonnières ou à des rempla-cements de salariés absents.
Nicolas de Riccardis(Dares).
Tableau 3Le travail intérimaire par secteur d'activité utilisateur au 2ème trimestre 2004
Données CVS
Contrats Intérimaires TauxSecteur d'activité conclus en fin de recours
en nomenclature NAF de trimestre
Niveau Évol. Niveau Évol. Niveau Évol.trim. trim. trim.
(en (en %) (en (en %) (en %) (enmilliers) milliers) points)
Agriculture, sylviculture, pêche................. 27,8 0,3 3,9 5,8 1,2 0,1
Industries agricoles et alimentaires .......... 388,4 -0,6 38,5 -3,6 6,3 -0,2
Industries des biens de consommation ..... 196,8 1,2 31,8 -1,5 4,7 0,0Habillement, cuir ...................................... 9,6 -0,3 1,9 -8,2 1,8 -0,1Édition, imprimerie, reproduction ............ 58,0 3,2 5,4 -2,4 2,7 0,0Pharmacie, parfumerie, entretien ............. 64,5 1,0 10,5 -4,1 6,5 -0,3Industrie des équipements du foyer.......... 64,7 -0,2 14,1 1,9 6,8 0,2
Industrie automobile ................................. 99,4 11,3 33,0 5,3 10,2 0,4
Industries des biens d'équipement ............ 186,9 5,4 51,5 4,9 6,2 0,3Construction navale, aéronautiqueet ferroviaire ............................................. 15,4 6,8 7,1 3,1 4,9 0,2Équipement mécanique ............................ 130,2 5,3 32,1 6,5 7,0 0,4Équipements électriques et électronique .. 41,3 4,9 12,3 2,0 5,3 0,1
Industries des biens intermédiaires .......... 591,3 1,9 111,6 1,5 7,5 0,2Industrie des produits minéraux ............... 76,9 6,6 11,6 0,8 6,7 0,1Industrie textile......................................... 20,5 -2,6 4,2 0,0 4,3 0,1Industrie du bois et papier ........................ 78,9 -2,8 11,8 -5,6 6,4 -0,3Chimie, caoutchouc, plastiques ................ 176,7 1,5 32,4 2,5 8,7 0,2Métallurgie et transformation des métaux 172,7 2,2 35,0 2,2 7,6 0,2Industrie des composants électriqueset électroniques......................................... 65,7 4,8 16,6 4,5 8,1 0,4
Énergie ......................................................... 13,9 2,9 5,7 4,2 2,3 0,1Production de combustibles et carburants 2,8 -4,5 0,9 -6,3 2,8 -0,1Eau, gaz, électricité .................................. 11,0 5,0 4,8 6,4 2,3 0,1
Construction................................................ 502,8 2,1 114,5 3,0 8,2 0,2
Commerce.................................................... 451,6 6,2 51,3 -0,5 1,7 0,0Commerce et réparation automobile ........ 21,7 5,3 4,1 -2,4 0,9 0,0Commerce de gros.................................... 191,0 -0,3 28,4 -1,8 2,8 0,0Commerce de détail, réparations.............. 238,8 12,2 18,8 1,9 1,2 0,0
Transports.................................................... 389,0 0,5 40,5 -0,7 3,6 0,0
Activités financières.................................... 21,4 4,9 6,6 -0,4 0,9 0,0
Activités immobilières ................................ 14,8 1,5 2,6 0,3 1,0 0,0
Services aux entreprises ............................. 445,2 -0,5 55,4 -3,2 1,7 -0,1Postes et télécommunications................... 19,9 -3,3 4,4 -4,2 0,8 0,0Conseil et assistance................................. 124,5 -3,4 24,2 -4,1 1,9 -0,1Services opérationnels .............................. 296,7 1,0 25,3 -2,7 1,9 -0,1Recherche et développement.................... 4,2 0,4 1,5 5,4 1,0 0,0
Services aux particuliers ............................ 167,0 4,2 8,9 0,6 0,5 0,0Hôtels et restaurants ................................. 127,9 4,8 6,7 0,5 0,8 0,0Act. récréatives, culturelles et sportives... 29,1 3,6 1,3 8,8 0,4 0,0Services personnels et domestiques ......... 9,9 -1,9 1,0 -8,1 0,1 0,0
Éducation, santé, action sociale................. 154,4 5,4 8,4 -1,9 0,6 0,0Éducation ............................................... 21,4 1,8 2,6 -3,8 1,0 -0,1Santé et action sociale .............................. 132,9 6,0 5,8 -0,9 0,5 0,0
Administration ............................................ 16,5 9,0 2,3 -4,5 0,5 0,0Administration publique........................... 5,7 20,3 0,9 -8,5 0,4 0,0Act. associatives et extra-territoriales ...... 10,7 3,8 1,4 -1,9 0,5 0,0
Agriculture .................................................. 27,8 0,3 3,9 5,8 1,2 0,1Industrie....................................................... 1 476,7 2,2 272,1 1,5 6,5 0,1Construction................................................ 502,8 2,1 114,5 3,0 8,2 0,2Tertiaire ....................................................... 1 659,9 2,7 176,0 -1,5 1,5 0,0Ensemble des secteurs ................................ 3 667,1 2,4 566,5 0,9 3,2 0,0
Source : Dares, exploitation des fichiers Unédic des déclarations mensuelles des agences d'intérim.
Bibliographie
[1] Fabre E. (2004), « Évolution del'emploi salarié au deuxième trimes-tre 2004 : une légère amélioration del'emploi », Premières Informations,Dares, n° 39.3, septembre.
[2] Fréchou H. (2004), « La baisse del'intérim se prolonge en 2003 »,Premières Informations, Dares,n° 22.2, mai.
[3] Insee (2002), « Enquête sur l'em-ploi, Résultats détaillés », InseeRésultats, Société n° 3, mars.
PREMIÈRES INFORMATIONS 4 Novembre 2004 - N° 45.1
LA DURÉE DES MISSIONS D'INTÉRIMRESTE STABLE
Au deuxième trimestre 2004, la durée moyenne d'une mis-sion d'intérim achevée dans le trimestre est de deux semaines ;elle est constante depuis 1995. Toutefois, il existe de fortesdisparités intersectorielles. En effet, les missions sont plus lon-gues dans les secteurs de la « construction » et de « l'industrie »que dans les autres secteurs (graphique A). En particulier, lesecteur de « l'automobile » continue de faire fortement appel àl'intérim, avec un taux de recours de l'ordre de 10 %, et propo-se des missions deux fois plus longues que la moyenne(4 semaines contre 2 semaines). Sur un an, la durée moyennedes missions dans l'industrie automobile progresse de 3 %.
Dans « l'énergie », secteur riche en emplois qualifiés [3],les missions d'intérim sont encore plus longues (5 semaines).À l'opposé, les missions dans les secteurs des « services auxparticuliers » ne durent, en moyenne, que trois jours et demi.
Graphique ADes missions plus longues dans la construction
Source : Dares, exploitation des fichiers Unédic des déclarations men-suelles des agences d'intérim.
Encadré Tableau ADes missions d'intérim plus longues dans les secteurs
de l'énergie, de l'automobile et des activités financièresDonnées CVS
Évolution trimestrielle Niveau ÉvolutionEn semaines (en %) (en annuelle
milliers) (en %)2003 2004 2004 T2-2004/
T2 T3 T4 T1 T2 T2 T2-2003
Agriculture ......... 4,9 -11,7 14,5 -0,2 -0,3 1,7 0,5
Industrie ............. -1,7 0,3 0,5 1,3 -0,4 2,2 1,9Ind. agricoleset alimentaires...... -3,7 1,3 -1,8 1,1 -1,2 1,2 -0,7Ind. des biensde consommation. -3,4 0,6 0,8 0,5 0,7 2,0 2,6Ind. automobile.... 3,1 6,2 0,1 6,7 -9,2 4,0 3,0Ind. des biensd'équipement ....... -2,0 -0,4 0,4 0,7 -1,0 3,3 -0,3Ind. des biensintermédiaires ...... -2,2 -0,6 1,8 1,9 -0,4 2,3 2,8Énergie ................. 1,1 -2,0 9,7 -0,5 -3,1 5,0 3,6
Construction....... -1,3 0,0 1,0 -0,3 0,1 2,8 -0,1
Tertiaire .............. -2,5 -1,7 0,1 1,8 -0,2 1,3 -0,1Commerce............ -3,4 -1,8 -2,5 9,3 -1,7 1,4 -0,2Transports ............ -3,8 0,9 -1,7 0,8 -0,7 1,3 -0,1Act. financières.... 1,6 -0,7 -1,1 -0,8 0,2 3,8 0,1Act. immobilières -3,3 4,2 -4,3 3,0 -0,6 2,2 -0,1Serv. aux entrepr. . -2,3 -4,2 3,2 0,1 1,7 1,6 0,0Serv. aux particul. -1,4 -1,3 -0,6 -2,1 -1,5 0,7 0,0Éducation ............. -2,8 0,5 -4,9 1,5 0,6 0,8 -0,1Administration ..... -1,4 2,2 -4,1 0,6 -1,2 1,9 -0,2
Ensemble............. -1,8 -0,8 0,6 1,1 -0,2 1,9 0,5Lecture : au deuxième trimestre 2004, la durée moyenne d'unemission d'intérim est de 1,9 semaines. Entre le premier et le deuxiè-me trimestre 2004, la durée moyenne des missions d'intérim ache-vées dans le trimestre varie de -0,2 % pour l'ensemble des secteurs.Sur un an, entre les deuxièmes trimestres 2003 et 2004, la duréemoyenne progresse de 0,5 %.
Source : Dares, exploitation des fichiers Unédic des déclarationsmensuelles des agences d'intérim.
Données CVSÉquivalents-emplois à temps plein (en milliers)
1,20
1,40
1,60
1,80
2,00
2,20
2,40
2,60
2,80
3,00
2001
T1 T2 T3 T4
2002
T1 T2 T3 T4
2003
T1 T2 T3 T4
2003
T1 T2 T3 T4
Construction
Industrie
Agriculture
Tertiaire
Pour comprendre ces résultats
La source L'Unédic recense les missions d'intérim déclarées par les agences de travail temporaire. À partir de cette information mensuelle, la Dares élabore divers
indicateurs mensuels, trimestriels et annuels. Les statistiques relatives au mois M sont basées sur les missions adressées par les établissements de travail tem-poraire avant la fin du mois M+2. Les séries des principaux indicateurs figurent sur le site du ministère (www.travail.gouv.fr).
Quelques définitionsÉquivalents-emplois à temps plein sur le trimestre : rapport du volume de travail effectué par les intérimaires à celui effectué par une personne à temps
plein. Sur l'année, 45 semaines de travail sont retenues pour le calcul de cet indicateur. On parle de « volume de travail temporaire » ou de « postes » paranalogie aux équivalents-emplois à temps plein.
Contrats conclus au cours du trimestre : missions dont la date de début appartient au trimestre.Intérimaires en fin de trimestre : nombre de personnes intérimaires, calculé en collaboration avec l'Insee, à partir du nombre d'intérimaires du recense-
ment de la population que l'on fait évoluer comme la moyenne des contrats en cours les cinq derniers jours ouvrés du trimestre. Les intérimaires sont ven-tilés par secteur d'activité utilisateur alors que dans les estimations trimestrielles de l'emploi salarié réalisées par l'Insee et la Dares ils sont tous classés dansle secteur tertiaire [1].
Taux de recours : rapport des intérimaires à l'emploi salarié en fin de trimestre. L'emploi salarié retenu est l'estimation trimestrielle Dares-Insee-Uné-dic, hormis pour les secteurs de l'agriculture, l'administration, l'éducation et la santé et action sociale. Pour ces secteurs, les estimations d'emploi trimes-trielles de l'Unédic sont retenues, sauf pour l'agriculture qui fait l'objet d'une évaluation particulière.
Les trois indicateurs peuvent évoluer de manière divergente selon la répartition des missions sur le trimestre. Celui des équivalents-emplois à temps pleinest privilégié car il mesure un volume de travail en intérim. Les autres indicateurs complètent l'analyse en flux ou en stock en fin de trimestre.
PREMIÈRES INFORMATIONS et PREMIÈRES SYNTHÈSES sont éditées par le Ministère de l’emploi, du travail et de la cohésion sociale, Direction de l’animation de la recherche desétudes et des statistiques (DARES) 39-43, quai André Citroën, 75902 Paris Cedex 15. www.travail.gouv.fr (Rubrique Études et Statistiques) - Directeur de la publication : Annie Fouquet. Téléphone Publications : 01.44.38.22.(60 ou 61) - Documentation : 01.44.38.23.(12 ou 14) - Télécopie : 01.44.38.24.43Réponse à la demande : 01.44.38.23.89 / e-mail : dares.communication@dares.travail.gouv.frRédacteur en chef : Gilles Rotman. Secrétariat de rédaction : Evelyn Ferreira et Francine Tabaton. Maquettistes : Daniel Lepesant, Guy Barbut, Thierry Duret. Conception graphique : Ministère dede l’emploi, du travail et de la cohésion sociale. Reprographie : DAGEMO.Abonnements : La Documentation française, 124, rue Henri Barbusse 93308 Aubervilliers Cedex. Tél. : 01.40.15.70.00. Télécopie : 01.40.15.68.00 - www.ladocumentationfrancaise.frPREMIÈRES INFORMATIONS et PREMIÈRES SYNTHÈSES - Abonnement 1 an (52 n°) : France (TTC) 116 € , CEE (TTC) 122,20 €, hors CEE (TTC) 124,30 €. Publicité : Ministère de l’emploi, du travail et de la cohésion sociale. Dépôt légal : à parution. Numéro de commission paritaire : 3124 AD. ISSN 1253 - 1545.
Ministèredu l'emploi, du travail
et de la cohésion sociale
Graphique 1Volume du travail temporaire en équivalents-emplois à temps plein
Source : Dares, exploitation des fichiers Unédic des déclarations mensuelles des agences d'intérim.
Février 2005 - N° 05.2
Avec 568 000 équivalents-emplois à temps plein au troisième trimestre 2004, l'intérim crée 5 000 postes (+0,8 %), poursuivant ainsi la hausse entamée au trimestre dernier (+6 000 postes, soit +1 %). Cette amélioration est due à la progression de l'emploi intérimaire dans l'industrie et le tertiaire : respective-ment +1,8 % et +0,5 %. Dans la construction, les équivalents-emplois à tempsplein reculent ce trimestre (-1 %), pour la première fois depuis deux ans. Les étrangers hors Union européenne bénéficient plus particulièrement de la croissance de l'intérim.
L’EMPLOI INTÉRIMAIREAU TROISIÈME TRIMESTRE 2004Regain dans l’industrie
Tableau 1568 000 équivalents-emplois à temps plein au troisième trimestre 2004
Données CVS
Évolution trimestrielle Niveau Évolution(en %) (en milliers) annuelle (en %)
2003 2004 2004 T3-2004/T3 T4 T1 T2 T3 T3 T3-2003
Équivalents-emplois à temps plein ................... 2,7 0,5 -0,5 1,0 0,8 568,0 1,8Contrats conclus ............................................... 0,5 1,5 -1,0 2,4 -0,4 3 654,6 2,5Intérimaires en fin de trimestre (1) ................... 0,6 4,6 -3,4 0,9 3,2 584,8 5,2
(1) - Estimations Insee-Dares.Source : Dares, exploitation des fichiers Unédic des déclarations mensuelles des agences d'intérim.
Données CVSEn milliers
250
300
350
400
450
500
550
600
650
700
1998
T1
T
3
1999
T1
T
3
2000
T1
T
3
2001
T1
T
3
2002
T1
T
3
2003
T1
T
3
2004
T1
T
3
PREMIÈRES INFORMATIONS 2 Février 2005 - N° 05.2
Tableau 2Volume du travail intérimaire en équivalents-emplois à temps plein
par secteur d'activité utilisateur
Évolution trimestrielle Niveau ÉvolutionSecteur d'activité (en %) (en annuelle
en nomenclature NAF milliers) (en %)2003 2004 2004 T3-2004/
T3 T4 T1 T2 T3 T3 T3-2003
Agriculture, sylviculture, pêche ........ 2,0 0,3 2,9 1,1 -1,7 3,6 2,6
Industries agricoles et alimentaires .. 1,0 -1,2 -3,1 -2,0 0,3 39,1 -5,9
Industries des biens de consommation 1,1 -1,9 -1,2 0,3 0,5 32,2 -2,4Habillement, cuir ............................... -4,1 -4,4 1,3 3,1 0,8 1,9 0,6Edition, imprimerie, reproduction..... 1,4 -1,4 4,9 3,7 -2,7 5,4 4,5Pharmacie, parfumerie, entretien ...... 2,0 -1,3 -2,1 -2,8 -1,1 10,8 -7,2Industrie des équipements du foyer .. 1,0 -2,2 -3,0 1,1 3,0 14,0 -1,3
Industrie automobile ......................... -1,7 -2,2 -8,6 0,9 5,1 33,4 -5,1
Industries des biens d'équipement ... 1,2 1,4 1,4 3,0 2,6 51,1 8,6Construction navale, aéronautique et ferroviaire ...................................... -8,5 5,3 -0,4 3,5 6,8 7,4 15,9Equipement mécanique ..................... 1,4 0,1 1,3 4,0 2,1 31,7 7,7Equipements électriques et électron.. 7,4 2,4 2,8 0,0 1,6 12,0 6,9
Industries des biens intermédiaires .. 1,5 1,7 0,1 0,4 1,1 110,5 3,3Industrie des produits minéraux ........ 3,9 5,3 -2,2 1,7 3,1 12,0 8,0Industrie textile.................................. -0,9 -3,4 -1,5 -0,9 2,8 4,1 -3,1Industrie du bois et papier................. 4,6 0,6 0,0 -4,8 -1,9 11,5 -6,0Chimie, caoutchouc, plastiques......... 0,2 2,3 0,2 -1,1 2,3 32,2 3,6Métallurgie et transf. des métaux ...... 1,0 -0,8 -0,8 1,2 0,3 34,1 0,0Industrie des composants électriqueset électroniques.................................. 1,9 5,7 4,3 5,5 0,5 16,6 17,0
Energie................................................. 5,8 0,8 -4,5 2,4 9,9 6,3 8,3Prod. de combustibles et carburants.. 4,3 1,5 -5,4 -10,4 1,3 0,9 -12,9Eau, gaz, électricité ........................... 6,1 0,7 -4,3 5,2 11,5 5,4 13,0
Construction ....................................... 3,1 2,8 3,5 2,2 -1,0 109,5 7,7
Commerce ........................................... 5,1 -1,0 -2,2 0,9 0,6 52,1 -1,8Commerce et réparation automobile . 8,1 -2,0 3,3 -0,4 2,6 4,4 3,5Commerce de gros ......................... 3,8 -2,6 -0,5 -1,2 1,5 29,2 -2,9Commerce de détail, réparations....... 6,7 1,7 -5,8 4,4 -1,4 18,6 -1,3
Transports ........................................... 7,6 -4,8 0,7 0,5 2,1 41,9 -1,6
Activités financières ........................... 5,8 -4,8 -8,8 2,6 2,4 6,8 -8,7
Activités immobilières........................ 1,2 5,1 -4,7 1,3 1,8 2,7 3,3
Services aux entreprises..................... 3,7 2,6 -0,4 -0,3 -0,3 57,5 1,6Postes et télécommunications............ -3,4 8,6 -2,3 0,3 -2,6 4,4 3,8Conseil et assistance.......................... 6,7 8,2 -1,5 -1,0 1,2 24,9 6,8Services opérationnels....................... 2,7 -3,0 1,0 0,0 -1,6 26,7 -3,5Recherche et développement............. -2,8 1,7 0,0 4,1 4,8 1,6 11,0
Services aux particuliers.................... 6,4 0,1 -1,7 3,6 -0,2 9,5 1,8Hôtels et restaurants .......................... 7,6 -1,3 0,7 6,0 0,2 7,1 5,5Activités récréatives, culturelles et sportives......................................... -1,9 3,2 -9,3 0,0 1,4 1,4 -5,2Services personnels et domestiques .. 11,7 4,9 -4,8 -6,8 -5,1 1,0 -11,6
Éducation, santé, action sociale ........ -0,1 5,0 -6,7 4,5 -0,3 9,5 2,0Éducation........................................... -10,7 11,8 2,5 6,1 -4,1 2,5 16,5Santé et action sociale ....................... 3,5 3,0 -9,7 3,9 1,1 7,1 -2,3
Administration.................................... 2,2 0,0 -1,5 2,2 -5,2 2,4 -4,5Administration publique.................... 5,4 -0,7 -0,1 -2,8 -8,9 0,9 -12,2Act. associatives et extra-territoriales 0,1 0,5 -2,4 5,8 -2,7 1,5 1,1
Agriculture .......................................... 2,0 0,3 2,9 1,1 -1,7 3,6 2,6Industrie .............................................. 1,0 0,2 -1,5 0,6 1,8 272,6 1,1Construction ....................................... 3,1 2,8 3,5 2,2 -1,0 109,5 7,7Tertiaire ............................................... 4,9 -0,5 -1,5 0,8 0,5 182,4 -0,6
Ensemble des secteurs........................ 2,7 0,5 -0,5 1,0 0,8 568,0 1,8Source : Dares, exploitation des fichiers Unédic des déclarations mensuelles des agences d'intérim.
Au troisième trimestre 2004, l'inté-rim crée 5000 équivalents-emplois àtemps plein (+0,8 %), et poursuit lahausse entamée au deuxième trimes-tre (+6 000 équivalents-emplois àtemps plein, soit +1 %). Sur un an, lenombre d'équivalents-emplois àtemps plein progresse de 1,8 %(tableau 1). Cette amélioration del'intérim se traduit par une augmenta-tion du nombre d'intérimaires en finde trimestre (cf. Pour comprendre cesrésultats). Après l'embellie amorcéeau deuxième trimestre (+5000), lenombre d'intérimaires progresse de18000 (soit +3,2 %) pour atteindre589 000. Toutefois, le nombre decontrats conclus au cours du troi-sième trimestre 2004 recule de 16000contrats (soit -0,4 %) par rapport autrimestre précédent.
La construction a plus recours àl'intérim ce trimestre : 1000 intéri-maires en plus, soit une hausse de1 % par rapport au trimestre précé-dent. Cette évolution suit ce que l'onobserve dans l'emploi salarié, où laconstruction redémarre (+5,5 %)après avoir marqué une pause(+0,4 %) au deuxième trimestre [1].Toutefois, en équivalent-emplois àtemps plein, on constate un repli de1 % (soit 1000 équivalent-emplois àtemps plein en moins par rapport audeuxième trimestre 2004). Le taux derecours à l'intérim reste élevé dans laconstruction, et se stabilise à 8,2 % cetrimestre. Sur un an, le secteur de laconstruction augmente de 8000 équi-valents-emplois à temps plein, soitune hausse de 7,7 % (tableau 2).
Dans l'industrie, qui concentreprès de la moitié du volume de travailtemporaire, le travail intérimaire aug-mente (+1,8 %), après avoir pro-gressé de 0,6 % au trimestre précé-dent. Cette tendance est cohérenteavec l'amélioration, observée depuisfin 2003, des soldes d'opinions deschefs d'entreprises sur leurs effectifs[2]. Sur un an, l'évolution reste posi-tive avec une création de 3000 équi-valents-emplois à temps plein, soitune hausse de 1,1 %. Dans l'industrie,près de sept salariés sur cent sontintérimaires, contre trois pour l'en-semble des secteurs. La plus fortehausse dans l'industrie provient dusecteur de « l'industrie l'automobile »(+5,1 %, après +0,9 % au trimestre
Données CVS
PREMIÈRES INFORMATIONS 3 Février 2005 - N° 05.2
précédent). Ce secteur est celui quifait le plus appel à l'intérim, avec untaux de recours de 11,0 % au troi-sième trimestre 2004. Dans les sec-teurs des « industries agricoles et ali-mentaires » et des « industries desbiens de consommation », l'intérimreste stable ce trimestre (+0,3 % et+0,5 %). Le secteur des « industriesdes biens d'équipement » continue deprogresser (+2,6 %), mais moins vitequ'au trimestre précédent (+3,0 %).Quant au secteur des « industries desbiens intermédiaires », l'emploi inté-rimaire en équivalents-emplois àtemps plein y augmente de 1,1 % cetrimestre, contre +0,4 % au deuxièmetrimestre 2004.
Le tertiaire poursuit sa progressionce trimestre, en créant 1000 équiva-lents-emplois à temps plein (+0,5 %),après la hausse de +0,8 % du trimes-tre précédent. Toutefois, sur un an, lesecteur détruit 1 000 équivalents-emplois à temps plein (-0,6 %). Avecun taux de recours de 1,5 %, le sec-teur tertiaire fait peu appel à l'intérim.Freiné par le sous secteur de « com-merce de détail et réparation », lecommerce ne crée que 300 équiva-lents-emplois à temps plein (+0,6 %).Au troisième trimestre 2004, l'intérimrecule dans tous les autres secteurs,sauf ceux des « transports », des« activités financières » et des « acti-vités immobilières » qui progressent,respectivement, de 2,1 %, 2,4 % et1,8 %. L'emploi intérimaire dans lessecteurs de « l'éducation santé etaction sociale » et « l'administration »continue de fluctuer, et chute à -0,3 %(respectivement -5,2 %), après avoirprogressé de 4,5 % (respectivement2,2 %) au deuxième trimestre 2004.
Nicolas de Riccardis,(Dares).
Tableau 3Le travail intérimaire par secteur d'activité utilisateur au 3ème trimestre 2004
Données CVS
Contrats Intérimaires TauxSecteur d'activité conclus en fin de recours
en nomenclature NAF de trimestre
Niveau Évol. Niveau Évol. Niveau Évol.trim. trim. trim.
(en (en %) (en (en %) (en %) (enmilliers) milliers) points)
Agriculture, sylviculture, pêche................. 27,0 -2,7 4,1 5,4 1,3 0,1
Industries agricoles et alimentaires .......... 390,9 0,6 39,9 3,9 6,5 0,3
Industries des biens de consommation ..... 200,7 1,6 33,8 6,1 5,1 0,3Habillement, cuir ...................................... 9,8 1,5 2,1 13,6 2,2 0,3Edition, imprimerie, reproduction ............ 58,8 1,2 5,2 -1,4 2,6 0,0Pharmacie, parfumerie, entretien ............. 64,0 -1,0 11,1 6,2 6,9 0,4Industrie des équipements du foyer.......... 68,1 4,7 15,3 7,9 7,4 0,6
Industrie automobile ................................. 97,7 -1,3 36,4 9,5 11,0 0,8
Industries des biens d'équipement ............ 186,8 -0,3 52,7 2,5 6,3 0,2Construction navale, aéronautique et ferroviaire ............................................. 14,9 -3,3 7,6 6,4 5,3 0,4Equipement mécanique ............................ 130,4 0,0 32,8 2,0 7,2 0,2Equipements électriques et électroniques 41,5 -0,1 12,4 1,3 5,3 0,1
Industries des biens intermédiaires .......... 588,2 -0,7 116,4 4,1 7,8 0,3Industrie des produits minéraux ............... 74,5 -3,2 12,4 6,5 7,1 0,5Industrie textile ........................................ 20,9 1,3 4,4 3,1 4,6 0,2Industrie du bois et papier ........................ 79,3 0,4 12,2 4,0 6,7 0,3Chimie, caoutchouc, plastiques ................ 178,1 0,6 34,4 5,7 9,2 0,5Métallurgie et transformation des métaux 169,7 -1,7 36,2 3,1 7,9 0,3Industrie des composants électriques et électroniques......................................... 65,8 -0,3 16,9 2,0 8,3 0,2
Energie ......................................................... 15,0 6,8 6,0 5,3 2,5 0,1Production de combustibles et carburants 3,0 5,4 0,9 2,7 2,9 0,1Eau, gaz, électricité .................................. 12,0 7,2 5,1 5,8 2,4 0,1
Construction................................................ 491,2 -2,1 115,3 1,0 8,2 0,0
Commerce.................................................... 441,8 -2,2 52,5 2,4 1,7 0,0Commerce et réparation automobile ........ 21,4 -2,0 4,2 2,5 1,0 0,0Commerce de gros.................................... 191,4 0,0 29,4 3,4 2,9 0,1Commerce de détail, réparations.............. 229,0 -4,0 18,9 0,7 1,2 0,0
Transports.................................................... 388,8 -0,2 40,7 0,6 3,7 0,0
Activités financières.................................... 21,2 -1,0 6,7 0,8 0,9 0,0
Activités immobilières ................................ 14,6 -1,6 2,7 4,3 1,0 0,0
Services aux entreprises ............................. 451,5 0,9 57,8 4,1 1,8 0,1Postes et télécommunications................... 18,7 -5,2 4,4 -0,2 0,8 0,0Conseil et assistance................................. 134,8 6,0 26,3 7,9 2,1 0,2Services opérationnels .............................. 293,4 -1,0 25,5 1,0 1,9 0,0Recherche et développement.................... 4,6 8,0 1,6 7,0 1,0 0,1
Services aux particuliers ............................ 170,4 1,8 8,8 -1,1 0,5 0,0Hôtels et restaurants ................................. 131,6 2,4 6,7 0,8 0,8 0,0Act. récréatives, culturelles et sportives... 30,0 3,0 1,1 -12,6 0,3 -0,1Services personnels et domestiques ......... 8,8 -10,4 1,0 1,1 0,1 0,0
Education, santé, action sociale................. 153,0 -0,7 8,6 3,1 0,6 0,0Education.................................................. 20,8 -2,7 2,7 2,7 1,0 0,0Santé et action sociale .............................. 132,3 -0,3 6,0 3,3 0,5 0,0
Administration ............................................ 15,9 -3,5 2,5 4,9 0,5 0,0Administration publique........................... 5,3 -7,2 0,9 -0,6 0,4 0,0Act. associatives et extra-territoriales ..... 10,6 -1,6 1,6 8,3 0,5 0,0
Agriculture .................................................. 27,0 -2,7 4,1 5,4 1,3 0,1Industrie....................................................... 1479,2 0,0 285,2 4,7 6,8 0,3Construction................................................ 491,2 -2,1 115,3 1,0 8,2 0,0Tertiaire ....................................................... 1657,1 -0,4 180,2 2,4 1,5 0,0Ensemble des secteurs ................................ 3654,6 -0,4 584,8 3,2 3,3 0,1
Source : Dares, exploitation des fichiers Unédic des déclarations mensuelles des agences d'intérim.
Bibliographie[1] Dares, « Évolution de l'emploisalarié au troisième trimestre 2004.Légère hausse de l'emploi total »,Premières Informations, n° 52.3,décembre 2004.[2] Insee, « Enquête trimestrielledans l'industrie octobre 2004 », Infor-mations Rapides, n° 321.[3] Insee, Enquête sur l'emploi enContinue, moyenne annuelle, conceptBIT, 2003.
PREMIÈRES INFORMATIONS 4 Février 2005 - N° 05.2
L'INTÉRIM AUGMENTEPOUR LES ÉTRANGERS
HORS UNION EUROPÉENNEAu troisième trimestre 2004, le
volume du travail temporaire réalisé parles intérimaires étrangers, hors Unioneuropéenne, augmente plus rapidementque le volume global (respectivement+7,8 % contre +0,8 %). La part desétrangers ressortissants de l'Union euro-péenne poursuit sa progression (+2,0 %après +1,9 % au deuxième trimestre).Les postes occupés par des salariés denationalité étrangère, ressortissants ounon de l'Union européenne, sont plusfréquents dans l'intérim que dans l'en-semble des autres formes d'emploi (res-pectivement 11 % et 5 %, [3]). L'inté-rim est moins dynamique pour lesintérimaires français : il ne progresseque de +0,1 % ce trimestre. Depuis lepremier trimestre 2000, la part des inté-rimaires français dans le total de l'em-ploi intérimaire est passée de 90 % à88 %.
Lorsqu'un salarié est de nationalitéétrangère, l'employeur doit vérifieravant l'embauche que l'intéressé pos-sède une autorisation de travail en coursde validité. Toutefois, les ressortissantsde l'Union européenne d'avant l'élargis-sement, ne sont pas tenus d'obtenir uneautorisation de travail et reçoivent unecarte de séjour dont la validité est de dixans. Toute activité salariée sur l'ensem-ble du territoire leur est donc possible.Cette mesure reste applicable pour lesquinze pays de l'Union européenneavant son élargissement ; les nouveauxpays peuvent mettre en place un mora-toire.
Graphique AHausse de la part des étrangers
non ressortissants de l'Union européenne
Source : Dares, exploitation des fichiers Unédic des déclarations mensuelles des agences d'intérim.
Encadré
Données CVSPart dans l’ensemble des intérimaires
0,00%
2,00%
4,00%
6,00%
8,00%
10,00%
2000
T1
T
2
T
3
T
4
2001
T1
T
2
T
3
T
4
2002
T1
T
2
T
3
T
4
2003
T1
T
2
T
3
T
4
2004
T1
T
2
T
3
T
4
Union européenne (hors France)
Autres nationalités
Pour comprendre ces résultats
La source L'Unédic recense les missions d'intérim déclarées par les agences de travail temporaire. À partir de cette information mensuelle, la Dares élabore divers
indicateurs mensuels, trimestriels et annuels. Les statistiques relatives au mois M sont basées sur les missions adressées par les établissements de travail tem-poraire avant la fin du mois M+2. Les séries des principaux indicateurs figurent sur le site du ministère (www.travail.gouv.fr).
Quelques définitionsÉquivalents-emplois à temps plein sur le trimestre : rapport du volume de travail effectué par les intérimaires à celui effectué par une personne à temps
plein. Sur l'année, 45 semaines de travail sont retenues pour le calcul de cet indicateur. On parle de « volume de travail temporaire » ou de « postes » paranalogie aux équivalents-emplois à temps plein.
Contrats conclus au cours du trimestre : missions dont la date de début appartient au trimestre.Intérimaires en fin de trimestre : nombre de personnes intérimaires, calculé en collaboration avec l'Insee, à partir du nombre d'intérimaires du recense-
ment de la population que l'on fait évoluer comme la moyenne des contrats en cours les cinq derniers jours ouvrés du trimestre. Les intérimaires sont ven-tilés par secteur d'activité utilisateur alors que dans les estimations trimestrielles de l'emploi salarié réalisées par l'Insee et la Dares ils sont tous classés dansle secteur tertiaire [1].
Taux de recours : rapport des intérimaires à l'emploi salarié en fin de trimestre. L'emploi salarié retenu est l'estimation trimestrielle Dares-Insee-Uné-dic, hormis pour les secteurs de l'agriculture, l'administration, l'éducation et la santé et action sociale. Pour ces secteurs, les estimations d'emploi trimes-trielles de l'Unédic sont retenues, sauf pour l'agriculture qui fait l'objet d'une évaluation particulière.
Les trois indicateurs peuvent évoluer de manière divergente selon la répartition des missions sur le trimestre. Celui des équivalents-emplois à temps pleinest privilégié car il mesure un volume de travail en intérim. Les autres indicateurs complètent l'analyse en flux ou en stock en fin de trimestre.
PREMIÈRES INFORMATIONS et PREMIÈRES SYNTHÈSES sont éditées par le Ministère de l’emploi, du travail et de la cohésion sociale, Direction de l’animation de la recherche desétudes et des statistiques (DARES) 39-43, quai André Citroën, 75902 Paris Cedex 15. www.travail.gouv.fr (Rubrique Études et Statistiques) - Directeur de la publication : Annie Fouquet. Téléphone Publications : 01.44.38.22.(60 ou 61) - Documentation : 01.44.38.23.(12 ou 14) - Télécopie : 01.44.38.24.43Réponse à la demande : 01.44.38.23.89 / e-mail : dares.communication@dares.travail.gouv.frRédacteur en chef : Gilles Rotman. Secrétariat de rédaction : Evelyn Ferreira et Francine Tabaton. Maquettistes : Daniel Lepesant, Guy Barbut, Thierry Duret. Conception graphique : Ministère dede l’emploi, du travail et de la cohésion sociale. Reprographie : DAGEMO.Abonnements : La Documentation française, 124, rue Henri Barbusse 93308 Aubervilliers Cedex. Tél. : 01.40.15.70.00. Télécopie : 01.40.15.68.00 - www.ladocumentationfrancaise.frPREMIÈRES INFORMATIONS et PREMIÈRES SYNTHÈSES - Abonnement 1 an (52 n°) : France (TTC) 116 € , CEE (TTC) 122,20 €, hors CEE (TTC) 124,30 €. Publicité : Ministère de l’emploi, du travail et de la cohésion sociale. Dépôt légal : à parution. Numéro de commission paritaire : 3124 AD. ISSN 1253 - 1545.
Évolution trimestrielle Niveau Évolutionannuelle
(en %) (en milliers) (en %)2003 2004 2004 T3.2004/
T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T3 T3.2003Français ................ -2,5 -2,6 2,6 0,4 -0,6 1,0 0,1 502,2 0,9Union européenne (hors France) ........ -2,5 -1,4 3,8 1,7 1,0 1,9 2,0 9,4 6,8Autres nationalités -0,6 0,1 3,0 1,0 0,0 0,7 7,8 56,5 9,7Ensemble .............. -2,3 -2,3 2,7 0,5 -0,5 1,0 0,8 568,0 1,8
Tableau ADynamisme pour les intérimaires hors Union européenne
Source : Dares, exploitation des fichiers Unédic des déclarations mensuelles des agences d'intérim.
N° 1 La négociation salariale de branche entre 1985 et 1993, par Olivier BARRAT (DARES), septembre 1994.N° 2 Créations et suppressions d'emplois en France. Une étude sur la période 1984-1992, par S. LAGARDE (INSEE), E. MAURIN (DARES), C. TORELLI (INSEE),
octobre 1994.N° 3 L'impact du coût sur la substitution capital-travail, par Ferhat MIHOUBI (DARES), novembre 1994.N° 4 Éducation, expérience et salaire. Tendances et évolutions de long terme, par D. GOUX (INSEE) et Eric MAURIN (DARES), novembre 1994.N° 5 Origine sociale et destinée scolaire. L'inégalité des chances devant l'enseignement à travers les enquêtes FQP 1970, 1977, 1985 et 1993, par D. GOUX (INSEE) et Eric
MAURIN (DARES), décembre 1994.N° 6 Perception et vécu des professions en relation avec la clientèle, par Sabine GUYOT et Valérie PEZET (Institut pour l'amélioration des conditions de travail), déc. 1994.N° 7 Collectifs, conflits et coopération dans l'entreprise, par Thomas COUTROT (DARES), février 1995.N° 8 Comparaison entre les établissements des PME des grandes entreprises à partir de l'enquête RÉPONSE, par Anna MALAN (DARES) et Patrick ZOUARY (ISMA),
septembre 1996.N° 9 Le passage à une assiette valeur ajoutée pour les cotisations sociales : une approche sur données d'entreprises, par Gilbert CETTE et Élisabeth KREMP (Banque de
France), novembre 1996.N° 10 Les rythmes de travail, par Michel CÉZARD et Lydie VINK (DARES), décembre 1996.N° 11 Le programme d'entretien auprès des 900 000 chômeurs de longue durée - Bilan d'évaluation, par Marie RUAULT et René-Paul ARLANDIS (DARES), mars 1997.N° 12 Créations et suppressions d'emplois et flux de main-d'oeuvre dans les établissements de 50 salariés et plus, par Marianne CHAMBAIN et Ferhat MIHOUBI (DARES),
avril 1997.N° 13 Quel est l'impact du commerce extérieur sur la productivité et l'emploi ? Une analyse comparée des cas de la France, de l'Allemagne et des États-Unis, par Olivier
CORTES et Sébastien JEAN (CEPII), mai 1997.N° 14 Bilan statistique de la formation professionnelle en 1995-1996 - DARES, mai 1997.N° 15 Les bas salaires en France 1983-1997, par Pierre CONCIALDI (IRES) et Sophie PONTHIEUX (DARES), octobre 1997.N° 16 Les jeunes en difficulté à travers le réseau des missions locales et des PAIO entre 1994 et 1996 - Résultats du panel TERSUD de 1997, DARES et DIIJ, janvier 1998.N° 17 L'impact macro-économique d'une politique de RTT : l'approche par les modèles macro-économiques, DARES (Mission analyse économique), SEMEF-BDF, OFCE,
janvier 1998.N° 18 L'opinion des Français face au chômage dans les années 80-90, par Jacques CAPDEVIELLE et Arlette FAUGERES (CEVIPOF), janv. 1998.N° 19 Intéressement et salaires : Complémentarité ou substitution ? par Sylvie MABILE, DARES, mars 1998.N° 20 L'impact économique de l'immigration sur les pays et régions d'accueil : modèles et méthodes d'analyse, par Hubert JAYET, Université des sciences et technologies de
Lille I, avril 1998.N° 21 Analyse structurelle des processus de création et de suppression d'emplois, par Frédéric KARAMÉ et Ferhat MIHOUBI, DARES, juin 1998.N° 22 Quelles place pour les femmes dans les dispositifs de la politique de l'emploi entre 1992 et 1996 ?, par Franck PIOT, DARES, août 1998.N° 23 Deux années d'application du dispositif d'incitation à la réduction collective du temps de travail, par Lionel DOISNEAU, DARES, sept. 1998.N° 24 Le programme « Nouveaux services-Emplois jeunes », d'octobre 1997 à octobre 1998, par Françoise BOUYGARD, Marie-Christine COMBES, Didier GÉLOT, Carole
KISSOUN, DARES, novembre 1998.N° 25 Une croissance plus riche en emplois depuis le début de la décennie ? Une analyse en comparaison internationale, par Sandrine DUCHÊNE et Alain JACQUOT, DARES
et INSEE, mars 1999.N° 26 Stratégies concurrentielles et comportements d'emploi dans les PME - Un état de la littérature, par Philippe TROUVÉ, avril 1999.N° 27 Effets sur les trajectoires des chômeurs d'un passage dans deux dispositifs de politique d'emploi (CES-SIFE), Rapport final pour la convention du 15/06/98 (n° 98020)
passée entre le Gréquam et la Dares, Christelle BARAILLER, mai 1999.N° 28 Les inégalités salariales entre hommes et femmes dans les années 90, par Dominique MEURS et Sophie PONTHIEUX, ERMES- Paris II et DARES, juin 1999.N° 29 Les allocataires du RMI et l'emploi, par Dominique ARNOUT (Rapport de stage), juin 1999.N° 30 Les stratégies des entreprises face à la réduction du temps de travail, par Anne-Lise AUCOUTURIER, Thomas COUTROT (DARES) et Étienne DEBAUCHE (Université
Paris X-Nanterre), septembre 1999.N° 31 Le mandatement dans le cadre de la loi du 13 juin 1998, par Christian DUFOUR, Adelheid HEGE, Catherine VINCENT et Mouna VIPREY (IRES), octobre 1999.N° 32 L'effort financier des collectivités locales dans la lutte contre le chômage et pour l'aide à l'emploi, par Jacques ABEN, Paul ALLIES, Mohammad-Saïd DARVICHE,
Mohammed DJOULDEM, Muriel FROEHLICH, Luis DE LA TORRE, octobre 1999.N° 33 La dynamique asymétrique des flux de création et de suppression d’emplois : une analyse pour la France et les États-Unis, par Frédéric KARAMÉ (DARES), nov. 1999.N° 34 Évaluation d’une mesure de politique pour l’emploi : la convention de conversion, par Marc WEIBEL (rapport de stage), janvier 2000.N° 35 Premières évaluations quantitatives des réductions collectives du temps de travail, par Murielle FIOLE, Vladimir PASSERON et Muriel ROGER, janvier 2000.N° 36 La durée annuelle et l’aménagement du temps de travail en 1994, par Annie DELORT et Valérie LE CORRE, février 2000.N° 37 Analyse des premiers accords conventionnés de passage à 35 heures - Étude monographique de 12 accords, par Pierre BOISARD et Jérôme PELISSE, février 2000.N° 38 Syndrome, miracle, modèle polder et autres spécificités néerlandaises : quels enseignements pour l’emploi en France ?, par Sébastien JEAN (CEPII), août 2000.N° 39 La mise en œuvre de la formation dans les contrats de qualification - Rapport final, par Marie-Christine COMBES (GPI-MIS), octobre 2000.N° 40 L’impact du développement des services sur les formes du travail et de l’emploi - Rapport final pour la Dares -, par Christian du TERTRE et Pascal UGHETTO
(IRIS-Université Paris-IX-Dauphine), novembre 2000.N° 41 Le suivi du plan social par l’employeur au service de l’amélioration du processus décisionnel : l’apport de trois études de cas, par Christophe CORNOLT, Yves MOULIN
et Géraldine SCHMIDT (Université Nancy II), février 2001.N° 42 L’impact des marchés financiers sur la gestion des ressources humaines : une enquête exporatoire auprès des grandes entreprises françaises, par Sabine MONTAGNE et
Catherine SAUVIAT (IRES), mars 2001.N° 43 L’impact du traitement des activités occasionnelles sur les dynamiques d’emploi et de chômage (Convention d’étude Dares-Ires), par Hervé HUYGHUES DESPOINTES,
Florence LEFRESNE et Carole TUCHSZIRER, mars 2001.N° 44 L’adaptation des marchés du travail à l’évolution des systèmes de retraite, par Antoine BOMMIER, Thierry MAGNAC et Muriel ROGER, avril 2001.N° 45 Étude de la démographie des organismes de formation continue, par Isabelle BAUDEQUIN, Annie CHANUT, Alexandre MELIVA (DARES et CEREQ), juin 2001.N° 46 L’évolution des sorties d’emploi vers la retraite et la préretraite. Une approche par métiers, par Agnès TOPIOL (DARES), juillet 2001.N° 47 Prospective des métiers à l’horizon 2010 : une approche par familles d’activité professionnelles, par Agnès TOPIOL (DARES), juin 2001.N° 48 L’évolution des sorties d’emploi vers la retraite et la préretraite, juillet 2001.N° 49 L’information statistique sur la participation des entreprises à la formation continue : état des lieux et évolutions possibles, août 2001.N° 50 Base de données des comptes sociaux des entreprises commerciales (fichiers DIANE). Panel DIANE/UNEDIC, période 1991-1999, par Anne SAINT-MARTIN (DARES),
janvier 2002.N° 51 Dynamique des métiers et usage de l’informatique : une approche descriptive, par Thomas COUTROT (DARES) et Jennifer SIROTEAU, février 2002.N° 52 Licenciements et marchés financiers : les illégimités de la convention financière, par Tristan BOYER (FORUM), avril 2002.N° 53 Mécanique du plan de licenciement : déconstruction d’argumentaires économiques de projets de licenciements, par Tristan BOYER (FORUM), avril 2002.N° 54 À la recherche du temps gagné : des salariés face aux 35 heures, par Jérôme PELISSE (CEE), mai 2002.N° 55 La réduction du temps de travail en Lorraine : enjeux, négociations et pratiques des entreprises, par Lionel JACQUOT (LASTES) et Nora SETTI (GREE), avril 2002.N° 56 Principaux résultats de l’enquête RTT et modes de vie, par Marc-Antoine ESTRADE et Dominique MEDA (DARES), mai 2002.N° 57 Enquête passages : projets, attitudes, stratégies et accords liés à la généralisation des 35 heures - Guide méthodologique et analyse préliminaires, par Mathieu BUNEL,
juillet 2002.N° 58 Cohésion sociale, emploi et compétitivité : éléments pour un débat, par Rachel BEAUJOLIN-BELLET, Marc-Antoine ESTRADE, Jean-Yves KERBOUC’H, Tristan
KLEIN, Frédéric LERAIS, Dominique MEDA, Anne SAINT-MARTIN, Frédéric TRIMOUILLE (DARES), août 2002.N° 59 La politique de l’emploi au prisme des territoires, par Thierry BERTHET, Philippe CUNTIGH (CERVL-CEREQ) et Christophe GUITTON (DARES), septembre 2002.N° 60 Comparaison internationales de durée et de productivité, par Odile CHAGNY et Mireille BRUYERE (Observatoire Français des Conjonctures Économiques), sept. 2002.N° 61 L’effet des 35 heures sur la durée du travail des salariés à temps partiel, par Aline OLIVEIRA (ENSAE) et Valérie ULRICH (DARES), sept. 2002.N° 62 Les effets du dispositif d’intéressement sur l’insertion au marché du travail des bénéficiaires de l’allocation chômage, par Nadia ALIBAY et Arnaud LEFRANC (Univer-
sité de Cergy-Pontoise), octobre 2002.N° 63 Normes d’emploi et marché du travail dans les métiers liés aux technologies de l’information, par Yannick FONDEUR et Catherine SAUVIAT (DARES), nov. 2002.N° 64 Enquête « REPONSE » 1998 - Questionnaire « Représentants du personnel » - De la participation au conflit, par Daniel FURJOT (DARES), déc. 2002.N° 65 Développement et dialogue social - Les TPE face aux 35 heures, par Pascal CHARPENTIER (CNAM) et Benoît LEPLEY (GIP-MIS), janvier 2003.N° 66 La mobilité professionnelle et salariale des salariés âgés analysée à travers les DADS, par Frédéric LAINÉ, mars 2003.N° 67 Un indicateur régional d’évolution mensuelle d’emploi dans les établissements de 50 salariés ou plus, par Magda TOMASINI, avril 2003.N° 68 La réorganisation du travail et son impact sur les performances des entreprises industrielles : une analyse sur données françaises 1995-1999, par Véronique JANOD et
Anne Saint-Martin, avril 2003.N° 69 Discrimination et emploi : revue de la littérature, par Hélène GARNER-MOYER, mai 2003.N° 70 Impact du traitement des activités occasionnelles sur les dynamiques d’emploi et de chômage - 2ème partie Espagne - Italie, par Florence LEFRESNE (IRES) et Carole
TUCHSZIRER (IRES), mai 2003. N° 71 Souplesse et sécurité de l’emploi : Orientations d’études et de recherches à moyen terme, coordination par Carole Yerochewski, juin 2003.N° 72 Séries de données sur les mouvements de main-d’oeuvre 1996-2001, par Lucile Richet-Mastain, juillet 2003.N° 73 35 heures et mise en oeuvre des dispositifs de modulation/annualisation dans les enquêtes REPONSE et PASSAGES, par Matthieu Bunel, août 2003N° 74 Le licenciement pour motif personnel : une catégorie juridique aux contours flous et difficiles à cerner par les statistiques administratives, par Maria-Teresa Pignoni et
Patrick Zouary (Si2S), octobre 2003N° 75 Plan national d’action pour l’emploi 2003. Annexe statistique. Indicateurs de suivi et d’évaluation, coordination Christine Charpail et Norbert Holcblat, octobre 2003.N° 76 Les estimations mensuelles d’emploi salarié dans le secteur concurrentiel, par Raphaël Cancé, octobre 2003.
OCUMENT D’ÉTUDESD
N° 77 Les déterminants du jugement des salariés sur la RTT, par Gilbert CETTE (CEDERS), Nicolas DROMEL (GREQAM) et Dominique Méda (DARES), novembre 2003.N° 78 Trajectoires passées par un emploi à bas salaire. Une étude à partir du panel européen des ménages, par Bertrand LHOMMEAU (DARES), novembre 2003.N° 79 Evaluation des statistiques administratives sur les conflits du travail, par Delphine BROCHARD (MATISSE-CNRS), novembre 2003.N° 80 Les disparités de rémunération entre hommes et femmes : la situation de quatre branches professionnelles, par Fathi FAKHFAKH (Université Paris II - ERMES), Séve-
rine LEMIERE (Université du Littoral - MATISSE), Marie-Pierre MERLATEAU (Université Paris II - ERMES) et Dominique MEURS (Université Paris II - ERMES), janvier 2004.
N° 81 Arbitrage entre flexibilité interne et flexibilité externe : une analyse empirique, par Matthieu BUNEL (IREGE - Université de Savoie), mai 2004.N° 82 Dossier Âge et emploi : synthèse des principales données sur l’emploi des seniors, coordination Frédéric LERAIS et Pierre MARIONI, mai 2004.N° 83 La contribution des femmes à la performance : une revue de la littérature, par Sophie LANDRIEUX-KARTOCHIAN (Université Paris I - Panthéon Sorbonne, CERGORS,
octobre 2004N° 84 En 2002, l’insertion des jeunes dans l’emploi se fait plus ou moins lentement selon les pays européens, par François BRUNET, octobre 2004.N° 85 Etude de qualité sur le questionnement relatif au temps de travail dans les enquêtes Acemo, par l’ENSAE Junior Etudes, octobre 2004.N° 86 Les processus de mise en oeuvre de l’offre de formation Unédic dans le cadre du PARE (plan d’aide au retour à l’emploi), par Florence LEFRESNE et Carole TUCHSZI
RER (IRES), avec la collaboration statistique de Hervé Huyghues Despointes, octobre 2004.N° 87 Quels effets de la négociation salariale d’entreprise sur l’évolution des salaires entre 1999 et 2001 ?, par Abdenor BRAHAMI et Catherine DANIEL, novembre 2004.N° 88 Plan national d’action pour l’emploi 2004. Annexe statistique. Indicateurs de suivi et d’évaluation, coordination Christine Charpail, novembre 2004.N° 89 Les expositions aux risques professionnels par secteur d’activités - Résultats SUMER 2003, par Dr R. ARNAUDO, Dr I. MAGAUD-CAMUS, Dr N. SANDRET (DRT -
Inspection médicale du travail et de la main-d’oeuvre), M.-C. FLOURY, N. GUIGNON, S. HAMON-CHOLET, D. WALTISPERGER (Dares) et E. YILMAZ (stagiaire du DESS «Techniques statistiques et informatiques» Université Panthéon Assas Paris 2), décembre 2004.
N° 90 Les pouvoirs du temps. La transformation des régulations dans les organisations du travail après la RTT, par Michel PEPIN, en collaboration avec Bernard DOERFLINGER,Yves JORAND, Myriame MAUFROY (ESSOR Consultants), janvier 2005.
N° 91 Mixité professionnelle et performance des entreprises, le levier de l’égalité, par Catherine ACHIN, Dominique MEDA, Marie WIERINK, janvier 2005.N° 92 La place du travail dans l’identité, par Hélène GARNER, Dominique MEDA (Dares), et Claudia SENIK (Delta, Paris IV), janvier 2005.N° 93 Audit de l’enquête sur les mouvements de main-d’oeuvre (EMMO), par Heidi WECHTLER, janvier 2005.N° 94 Modalités de passage à 35 heures des TPE, par Victor DE OLIVEIRA, février 2005N° 95 Evaluation des politiques d’emploi : la deuxième génération des panels des bénéficiaires, par Christine CHARPAIL, Tristan KLEI, Serge ZILBERMAN, février 2005.N° 96 Contribution Delalande : quels dispositifs similaires ou alternatifs en Europe du Nord, par Violaine DELTEIL et Dominique REDOR (GIPMIS), février 2005.N° 97 L’impact des conditions de travail sur la santé : une expérience méthodologique, par Thomas COUTROT (Dares) et Loup Wolff (Centre d’étude de l’emploi), février
2005.N° 97bis L’impact des conditions de travail sur la santé : une expérience méthodologique. Annexes, par Thomas COUTROT (Dares) et Loup WOLFF (Centre d’étude de
l’emploi), février 2005.N° 98 La mixité professionnelle : les conditions d’un développement durable, par Mcihèle FORTE, Myriam NISS, Marie-Claude REBEUH, Emmanuel TRIBY (BETA, Cereq,
Université Louis Pasteur de Strasbourg), février 2005.N° 99 Bilan d’activité 2003 des missions locales et des PAIO, par Camille BONAÏTI (Dares) et Amaria SEKOURI (DGEFP), avril 2005.N° 100 RTT et organisation du travail : l’incidence des lois Aubry II, par P. CHARPENTIER (GRIOT-LISE, CNAM-CNRS), H. HUYGHUES DESPOINTES,
M. LALLEMENT (GRIOT-LISE, CNAM-CNRS), F. LEFRESNE (IRES et GRIOT-LISE, CNAM-CNRS), J. LOOS-BAROIN (BETA/LATTS-CNRS, CNAM-CNRS), N. TURPIN-HYARD (GRIOT-LISE, CNAM-CNRS), mai 2005.
N° 101 Éléments de bilan sur les travaux évaluant l’efficacté des allégements de cotisations sociales employeurs, par Véronique REMY, juillet 2005.N° 102 Les réticences à entrer dans le cadre légal des 35 heures, par Y. JORAND et J.-M. GELIN (Selarl ESSOR), D. TONNEAU et F. FORT (CG.S), B. DOERFLINGER,
M. PEPIN et M. MAUFROY (Essor Consultants), juillet 2005.N° 103 Allégements généraux de cotisations sociales et emploi peu qualifié : de l’impact sectoriel à l’effet macro-économique, par Stéphanie JAMET (Dares lors de la
réalisation de l’étude), août 2005.N° 104 La négociation de branche sur la formation professionnelle : les apports de la négociation de branche suite à la réforme de la formation professionnelle tout au
long de la vie, par Caroline RIVIER et Carine SEILER, sous la direction de Jean-Marie LUTTRINGER (Circé), septembre 2005.N° 105 Après un contrat aidé : les conditions de vie s’améliorent, par Emmanuel BERGER et Tristan KLEIN, septembre 2005.N° 106 Difficultés d’emploi, santé et insertion sociale, par François BRUN, Colette LEYMARIE, Emma MBIA, Patrick NIVOLLE (Centre d’études de l’emploi),
collaboration extérieure : Marie MARIN, octobre 2005.N° 107 La sécurisation des trajectoires professionnelles, par Dominique MEDA et Bertrand MINAULT, octobre 2005.N° 108 Le licenciement des salariés protégés. Processus et enjeux, par Mario CORREIA (Institut du travail d’Aix-en-Provence, LEST) et Nicole MAGGI-GERMAIN
(Institut des sciences sociales du travail, Université Paris I, Panthéon-Sorbonne, DCS), février 2006.N° 109 Les expositions aux risques professionnels par secteur d’activité (nomenclature 2003 niveau 31) - Résultats SUMER 2003, par Dr R. ARNAUDO, Dr I. MAGAUD-
CAMUS, Dr N. SANDRET (DRT- Inspection médicale du travail et de la main-d’oeuvre), M.-C. FLOURY, N. GUIGNON, S. HAMON-CHOLET, D. WALTISPERGER (Dares), mars 2006.
N° 110 Les relations professionnelles dans les pays d’Europe centrale et orientale au tournant de l’entrée dans l’Union européenne. Survey de littérature, par M. WIERINK, mars 2006.
N° 111 Renégocier la RTT. Les enseignements de 16 démarches d’entreprise, par M. PEPIN, B. DOERFLINGER, Y. JORAND, P. NICOLAS (Essor Consultants) et D. TONNEAU (Ecole des Mines de Paris), avril 2006.
N° 112 La mesure d’un effet global du projet d’action personnalisé, par Etienne DEBAUCHE et Stéphane JUGNOT, avril 2006.N° 113 La politique spécifique de l’emploi et de la formation professionnelle : un profit à moyen terme pour les participants ? Les exemples du CIE, du CES et du SIFE,
par Karl EVEN et Tristan KLEIN, avril 2006.N° 114 Stratégie européenne pour l’emploi. Évaluation des politiques de l’emploi et du marché du travail en France (2000-2004), coordination Christine CHARPAIL et
Frédéric LERAIS, avril 2006.N° 115 Les expositions aux risques professionnels - Les ambiances et contraintes physiques - Résultats SUMER 2003, par Dr R. ARNAUDO, Dr I. MAGAUD-
CAMUS, Dr N. SANDRET (DRT- Inspection médicale du travail et de la main-d’oeuvre), M.-C. FLOURY, N. GUIGNON, L. VINCK, D. WALTISPERGER (Dares), juillet 2006.
N° 116 Pourquoi les moins qualifiés se forment-ils moins ?, par CamilleBONAÏTI, Aurore FLEURET, Patrick POMMIER, Philippe ZAMORA, juillet 2006.N° 117 Le CDD : un tremplin vers le CDI dans deux tiers des cas... mais pas pour tous, par Bérengère JUNOD, juillet 2006.N° 118 Les expositions aux risques professionnels - Les produits chimiques - Résultats SUMER 2003, par Dr R. ARNAUDO, Dr I. MAGAUD-CAMUS, Dr N. SANDRET
(DRT- Inspection médicale du travail et de la main-d’oeuvre), M.-C. FLOURY, N. GUIGNON, L. VINCK, D. WALTISPERGER (Dares), juillet 2006.N° 119 Anticipation et accompagnement des restructurations d’entreprises : dispositifs, pratiques, évaluation, par R. BEAUJOLIN-BELLET (coordination),
Ch. CORNOLTI, J-Y KERBOUC’H, A. KUHN, Y. MOULIN (Reims Management School), et la collaboration de J-M BERGERE, F. BRUGGEMAN, B. GAZIER, D. PAUCARD, C-E TRIOMPHE, octobre 2006.
N° 120 Les expositions aux risques professionnels - Les contraintes organisationnelles et relationnelles - Résultats SUMER 2003, par Dr R. ARNAUDO, Dr I. MAGAUD-CAMUS, Dr N. SANDRET (DRT- Inspection médicale du travail et de la main-d’oeuvre), M.-C. FLOURY, N. GUIGNON, L. VINCK, D. WALTISPERGER (Dares), octobre 2006.
N° 121 Les expositions aux risques professionnels par famille professionnelle - Résultats SUMER 2003, par Dr R. ARNAUDO, Dr I. MAGAUD-CAMUS, Dr N. SANDRET (DRT- Inspection médicale du travail et de la main-d’oeuvre), M.-C. FLOURY, N. GUIGNON, L. VINCK, D. WALTISPERGER (Dares), décembre 2006.
N° 122 Intérim : comparaison de sources, par Basma SAADAOUI, en collaboration avec Nicolas de RICCARDIS, mars 2007.
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