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La Gazette des Collettes
Les Années « Yéyés »
Numéro 10 Juin 2016
LA GAZETTE DES COLLETTES
2
L’EDITO
Romain Urphéant,
Directeur
Chères résidentes, chers résidents, chères familles,
Juin 2016 – Numéro 10
SOMMAIRE
Nous sommes heureux de vous présenter ce numéro de La Gazette des
Collettes et vous souhaitons une bonne lecture
P 3. Bienvenue
P 3. Rubrique pratique
P 4. Interview
P 6. Actualités et animations
P 10. L’expert
P 12. Art et littérature
P13. Le portrait d’un résident
P 14. L’atelier d’écriture
P 16. Actualité – Réflexion
P 18. Poèmes
P 19. Un résident nous raconte
P 20. Souvenirs
P 23. Chansons d’Antan
P 24. Nature
P 26. Trucs et astuces
P 26. Rubrique beauté
P 28. Drôles d’histoires
P 29. Info santé
P 30. L’agenda
P 31. Les temps forts du mois
Nous sommes heureux de vous
retrouver pour cette édition
festive !
La gazette à venir sera une
édition estivale et regroupera les
mois de juillet et d’août (période
de vacances obliges, notre comité
de rédaction ne déroge pas à la
règle).
Les grandes températures étant
déjà présentes, toutes les équipes
sont mobilisées pour que cette
période, difficile pour nos aînés,
soit la moins éprouvante possible.
Dernier rappel,
nous espérons vous voir
nombreuses et nombreux à notre
fête des familles de l’été qui se
déroulera le vendredi 01/07 à
partir de 18h.
Excellent été à toutes et à tous.
Bien sincèrement.
LA GAZETTE DES COLLETTES
3
Mme Georgette Dum
Unité Jade
Mme Herminie Gar
Unité Jade
Mme Jacqueline Mor
Unité Nacre
Mme Josiane Elb
Unité Corail
Mme Nieves Gar
Unité Nacre
Mme Joséphine Pag
Unité Rubis
BIENVENUE
Juin 2016 – Numéro 10
RUBRIQUE PRATIQUE – LE SALON DES FAMILLES
Le salon des familles est un lieu propice à recevoir les futurs résidents
et les familles. Lors des demandes d’hébergement, la responsable
communication les y accueille afin de mener les entretiens et conduire
des visites de l’établissement. Par la suite, la coordination médicale
propose des entretiens en comité restreint avec le futur résident et ses
proches dans le cadre de visites de pré admission ou à des moments
clés de leur séjour au sein de la résidence.
Cet espace est également à
disposition pour offrir des
moments de rencontre plus
intimes entre familles et
résidents.
Marie Pascale Delgrange
Responsable Communication3
LA GAZETTE DES COLLETTES
4
L’INTERVIEW – Le clan des secrétaires
Interview de NicoleRéalisée par M. Alu, Mme Arn,
M. Gal et Mme Tab
Juin 2016 – Numéro 10
M. Gal : Pouvez-vous vous présenter ?
Je m’appelle Nicole, je suis née en Meurthe et Moselle. Je suis
arrivée dans la région il y a deux ans.
M. Gal : Où avez-vous fait vos études ?
Nicole : J’ai fait des études de secrétariat à Nancy, j’ai démarré une
année en faculté administrative et d’économie sociale, puis j’ai
travaillé dans la police nationale. En parallèle j’ai fait des études au
conservatoire national pour jouer de la flûte traversière, j’ai également
appris le violon et le piano. Oui, je faisais également partie d’un club
d’art faisant du modelage, de la sculpture sur pierre et sur bois
Mme Tab : C’est difficile le violon.
M. Gal : Vous allez pouvoir nous jouer de la flûte ! Quand êtes-
vous arrivée ? Comment avez-vous connu la Villa des Collettes ?
Nicole : j’ai visité le sud il y a 4 ans, j’ai parlé du projet à ma fille et on
est venue sur Cagnes. Quand je suis arrivée je me suis occupée de
ma fille qui est en fauteuil roulant, j’ai occupé des emplois
temporaires. Par hasard j’ai entendu qu’on cherchait quelqu’un pour
un poste de secrétaire d’accueil à la Villa des Collettes.
M. Gal : Pouvez-vous nous décrire une de vos journées ?
Nicole : j’arrive à 8h30 le matin, je fais le point sur les absences des
résidents pour connaître le nombre de repas à transmettre au chef. Je
fais en suite le point sur les présences du personnel. Parallèlement je
gère l’accueil, les demandes des familles, des résidents et salariés,
ainsi que le téléphone. Muriel et moi nous partageons les tâches de
secrétariat.
LA GAZETTE DES COLLETTES
5Juin 2016 – Numéro 10
Nicole : Je souhaitais réellement avoir un poste d’accueil, il faut être à
l’écoute, donner une image représentative de la maison.
M. Gal : Ce poste vous l’avez trouvé ?
Nicole : Oui, au-delà de mes attentes
M. Gal : Vous aimez les animaux ?
Nicole : oui, on a toujours eu des chiens, à l’heure actuelle nous avons
un chat.
Mme Tab : Est-ce que vous aimez les voyages ?
Nicole : Oui, je suis beaucoup partie en Corse, j’ai aussi vu la Tunisie, la
Turquie, je rêvais de découvrir l’Egypte. En France j’ai visité la
Bretagne, Bordeaux, l’Alsace, Le Bassin d’Arcachon, etc.
M. Gal : Que voulez-vous faire par la suite ?
Nicole : Je souhaite rester à l’accueil parce que j’aime ça, j’estime que
c’est un rôle important, il y a une réelle interface avec les résidents et
leur famille.
M. Gal : Combien d’enfants avez-vous ?
Nicole : j’ai trois enfants, deux filles et un garçon.
M. Gal : Avez-vous des regrets d’avoir quitté votre région ?
Nicole : au début c’était compliqué, l’intégration s’est faite petit à petit
mais je n’ai plus envie de repartir. J’ai des nouvelles régulières de mes
proches.
Et maintenant je profite
de visiter la région.
Mme Arn : vous êtes
une personne très
polyvalente.
L’INTERVIEW (Suite)
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LA GAZETTE DES COLLETTES
L’ACTU
Juin 2016 – Numéro 10
Repas à thème: la Provence
Contes
provençaux
Atelier bricolage – Mur tactile deuxième commande !
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LA GAZETTE DES COLLETTES
Juin 2016 – Numéro 10
Cuisine thérapeutique
Atelier floral
Echange intergénérationnel avec le Lycée Escoffier
Les préparatifs
Les résidents ont préparé un ensemble de sablés de différents parfums
à offrir aux lycéens ainsi qu’une composition florale pour décorer le
buffet.
L’ACTU
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LA GAZETTE DES COLLETTES
L’ACTU
Juin 2016 – Numéro 10
Echange
intergénérationnel
avec le Lycée Escoffier
Anniversaires du mois à Corail
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LA GAZETTE DES COLLETTES
L’ACTU
Juin 2016 – Numéro 10
Sortie au restaurant asiatique
Dégustation pour le trophée culinaire LNA
Diaporama sur l’Unité Légère
d’Intervention et de Secours
Atelier floral
Euro Foot 2016
P. Villardry
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LA GAZETTE DES COLLETTES
L’EXPERT – Un nouveau métier !
Interview réalisée par M. Alunno, Mme Coutire,
M. Galvez, Mme Gilli, Mme Tabesse, Mme Zahar
Juin 2016 – Numéro 10
Céline, Coordinatrice de Projets d’Animation
M. Gal : Pouvez-vous vous présenter ?
Je m’appelle Céline, j’ai 38 ans et j’ai un petit garçon que vous
connaissez, Corentin. J’ai grandi en Normandie à Cherbourg et Je suis
arrivée à Nice à l’âge de 11 ans.
M. Gal : Où avez-vous fait vos études ?
Céline : J’ai passé un BTS de tourisme spécialisé dans l’accueil et
l’animation. J’ai travaillé dans le tourisme et l’évènementiel quelques
années avant de réaliser ma formation d’Aide-Soignante en 2009 à
l’école du CHU de Nice.
M. Gal : Quand êtes-vous arrivée à la Villa des Collettes ?
Céline : Je suis arrivée à la Villa des Collettes en décembre 2014 et j’ai
géré l’ouverture de l’unité Rubis en tant que Maîtresse de Maison. J’ai
quitté cette fonction en novembre 2015 pour occuper le poste de
Coordinatrice de Projet d’Animation.
Mme Zah : Il y a un grand écart entre ces orientations, pourquoi ce
changement ?
Céline : Être au service des autres est une vocation pour moi. Après
avoir pris soin des « corps » pendant de nombreuses années au sein de
différentes maison de retraite, ce poste de Coordination dans l’animation
me permet d’utiliser mes compétences pour prendre soin de la qualité de
vie des résidents, de leur bien être au quotidien en étant en lien avec
l’ensemble des services de l’établissement et les familles.
M. Gal : Vous êtes un porte-parole…
Mme Zah : vous écoutez les confidences de chacun, je pense que
vous êtes le lien entre les résidents, les familles et le directeur ;
votre bonne humeur est inébranlable.
Céline : C’est l’essence même de mon travail…être à l’écoute de vos
besoins et créer des projets en adéquation. Avec le sourire toujours car
c’est le premier soin qu’on puisse donner.
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LA GAZETTE DES COLLETTES
L’EXPERT (Suite)
Juin 2016 – Numéro 10
M. Gal : Pouvez-vous nous décrire une journée de travail type ?
Céline : Le matin, je passe dans les unités pour prendre de vos
nouvelles. Je prends connaissance des transmissions et des mails. je
travaille sur les projets en cours . Le midi je passe au restaurant vous
Vos journées en tant que résidents ne se
limitent pas aux soins et aux repas. vous
avez tous des idées, connaissances,
attentes différentes...Mon but est de
répondre au mieux à chacun . Ca c’est un
défi de taille car vous serez bientôt 130 !
En 2016, il y a aussi tout un travail
d’intégration des nouveaux résidents et
d’importants domaines à développer tels
que la communication, les sorties, les
faire un rappel du programme du jour et recueillir
vos demandes. Les après-midi sont consacrées
aux sorties avec le minibus, animations ou
évènementiel plus important et aux temps de
réunion.
Mme Tab : Est-ce que vous vous éclatez dans
votre nouveau métier ?
Céline : Oui beaucoup! J’ai toujours des idées un
peu folles dans lesquelles j’entraîne mes
collègues. Mais chaque projet a un sens et des
objectifs précis.
M. Gal : Le travail de la Gazette vous convient ?
Céline : Oui totalement. Je suis heureuse de travailler avec vous tous.
échanges intergénérationnels, l’utilisation des outils comme la cuisine
thérapeutique, la balnéothérapie, le mini bus, l’espace Snoezelen, le
logiciel HappyNeuronPro sur tablette tactile etc… Mon guide de travail
est le Projet de Vie Social et Culturel du groupe Noble Age. Je suis en
train de finaliser la rédaction du Projet de la résidence qui sera diffusé à
tous d’ici la rentrée.
Souvenir de l’interview
LA GAZETTE DES COLLETTES
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ART ET LITTERATURE
Juin 2016 – Numéro 10
Souvenirs de l’exposition Charlotte Salomon
« Vie ? ou théâtre ? » au Musée Masséna à Nice
Par Madame Suzanne ZAH
Alors, alors…
Recommençons comme je vous l’avais
conseillé en avril 2015, je souhaiterai
tellement que vous lisiez le livre de
Charlotte SALOMON.
C’est un livre qui touche énormément, apporte des émotions et de la joie
lorsque l’on peut voir ses toiles. Mais surtout une immense tristesse de
cette époque que l’on a vécu, l’holocauste.
Alors parlons un peu de ces toiles vues au Musée Masséna… Avant tout
ce qui frappe c’est sa similitude avec la peinture de Marc Chagall. Et
puis pour les intérieurs bourgeois de cette époque, Bonnard, peintre
qu’elle aimait particulièrement.
13
LA GAZETTE DES COLLETTES
LE PORTRAIT
Juin 2016 – Numéro 10
Je m’appelle Régine Tab, je viens d’un petit
patelin de Normandie à Bacqueville en Caux
(20 habitants à l’époque). Je suis née le 30
avril 1953 dans le lit de mes parents.
Mes parents se sont séparés quand j’avais
17 ans et je suis partie vivre à Paris. Je
n’avais pas un sou mais j’ai vite trouvé un
travail de secrétaire dans le 16ème chez
Lenôtre. J’étais l’assistante du mari de
Denise Fabre.
« Ne rêve pas ta vie mais vis tes rêves »
Je suis ensuite partie en Afrique avec un ami. J’ai vécu dans le nord
de la Côte d’Ivoire. Je connais aussi le Mali et le Burkina Faso.
J’allais à la piscine tous les jours avec mon singe Boubou que j’ai
sauvé de la mort. C’était un « grivet », singe vert en argot. J’adore les
singes.
Je suis rentrée en France au bout de 4 ans et en 1985 je me suis
installée sur la Côte d’Azur. Difficile de retourner en Normandie après
le climat africain…
Et puis je suis repartie, cette fois au Congo Belge où je me souviens
qu’il y avait beaucoup d’orages.
De retour en France en 1990 j’ai trouvé un emploi pour le journal
Paru Vendu, mais suite à une séparation je suis allée m’installer en
Martinique à 40 ans, où j’ai rencontré le père de ma fille. Elle est née
dans une clinique prés de Fort de France sous plus de 40 degrés.
De retour en France en 1998 j’ai retrouvé un travail dans une société
de publicité qui s’est malheureusement soldé par un licenciement
économique.
J’ai élevé ma fille seule et je suis une vraie autodidacte !
Ma vie est comme j’ai eu envie qu’elle soit. J’ai un esprit
d’aventurière !
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LA GAZETTE DES COLLETTES
L’ATELIER D’ECRITURE
Juin 2016 – Numéro 10
J’ai rencontré mon mari à Fréjus sur un trottoir. Nous nous
promenions avec ma sœur et des amis. Nous avions un appareil
photo et il est venu au-devant de nous pour nous demander de le
prendre en photo. Ce qui fût chose faite. Ensuite nous avons été
dans un bar pour boire un café.
Nous avons échangé nos adresses et quelques jours plus tard il
est venu me voir chez mes parents à Juan les Pins. Nous avons
beaucoup discuté et échangé des photos. Il nous a parlé de son
pays : le Nord car c’était un chti.
Il était militaire, pour lui c’était le plus beau métier du monde. Il a
bouleversé ma vie et j’ai vécu une période très heureuse.
Un an après c’était le mariage et ensuite notre départ pour le
Maroc où nous avons vécu 4 ans et eu 3 enfants.
Puis ce fût le retour en France et peu de temps après un nouveau
départ pour l’Allemagne où nous avons vécu 4 ans en forêt Noire
et j’en garde encore un souvenir ému. Nos enfants ont été pour
nous une source quelques fois de soucis mais ils nous ont
apportés beaucoup de bonheur et encore aujourd’hui ils
m’entourent de beaucoup de tendresse.
Lorsque mon mari nous a quittés ce fût un moment très
douloureux que je n’oublie pas et il restera toujours dans mes
pensées.
Mme Victoria Cou
Mardi 31 Mai
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LA GAZETTE DES COLLETTES
L’ATELIER D’ECRITURE
Juin 2016 – Numéro 10
Mme Suzanne Zah
Mercredi 8 Juin
Votre plus grande frayeur
Nous habitions un village en montagne à 850 m d’altitude. Chaque fête
des mères je voulais que maman ait le plus joli bouquet de fête des
mères. Il n’y avait aucun commerce. La veille pour que les fleurs soient
fraiches, je partais dans le champ cueillir des marguerites, des boutons
d’or et des vipérines et très téméraire je me lançais un défis aller
cueillir des fleurs blanches qui poussaient à flanc de rocher le saxifrage
où en patois trou pierres. J’étais contente il y en avait beaucoup. Je me
tenais à une branche de buis lorsque celle-ci lâcha et me voilà tombée
de touffe en touffe. J’allais ne pas pouvoir m’agripper et me fracasser
sur la route tout en bas, le cœur battant pour toi maman. Le bouquet
avait de l’allure mais moi pas du tout je refroidissais de touffe en touffe
sans pouvoir me tenir à quelques plantes : quelle frayeur, je tombais
sur le dos à plat sur un coussin de mousse, toute douce, mais le vide
était là et si je dégringolais plus encore quelle leçon. Trop
d’imprudence, ce lieu était un roc où les hospitaliers de St Jean avaient
créé leur habitat. Quelle vue et que de beauté, il y avait aussi sous les
pierres des campanules improbables à cueillir. Je décidais de remonter
cette galère. Mon cœur battait la chamade. En arrivant au sommet je
m’effondrais puis me dirigeais vers ma maison où une cave bien
fraiche attendait le bouquet. J’étais fière et heureuse à la fois. Quand
arrivant à la maison, je reçu une paire de claques magistrale de ma
mère, avertie par une voisine qui m’avait vue tomber. Elle était
furieuse, moi aussi pour cette injustice. « Maman tu verras demain ».
Le lendemain jour de fête des mères,
elle comprit tout. Mon bouquet était si
joli avec en prime une frayeur
magistrale …
16
LA GAZETTE DES COLLETTES
ACTUALITE - REFLEXION
Discipline et maîtrise de soi
Par Monsieur Gérard FRI
Juin 2016 – Numéro 10
Nous vivons à l’heure de « l’Euro 2016 » de football et des millions de
spectateurs seront rivés sur le petit écran comme d’ailleurs les J.O., la
coupe du monde de football et d’autres compétitions nationales
(tennis, rugby etc.) et internationales. Sans être « fans » ou
« supporters » nous accordons beaucoup d’intérêt à ces
manifestations dont le prix est la médaille d’or ou un titre de
championnat. Nous regardons ces compétitions pour voir les efforts
intenses des athlètes récompensés.
Il en est de même au niveau personnel.
Nous aimons constater que notre entrainement, notre travail et les
efforts que nous avons fournis portent leur fruit dans notre vie
personnelle. Avez-vous songé aux efforts et à la discipline que cela a
exigé aux athlètes pour arriver à la victoire.
Je pense que :
- Le travail assidu
- L’entraînement
- L’investissement de temps et d’énergie
- L’implication
Sont les composantes d’une seule et même notion → « la discipline ».
Une vie de discipline est une « vie puissante ».
Evidemment cela suppose des efforts, mais la récompense en vaut la
peine. Pour discipliner notre vie : → Il nous faut d’abord discipliner
notre pensée en étant capable de se conditionner durablement au
service : de nos désirs, de nos objectifs.
La discipline est :
- Le prix à payer pour parvenir à la liberté
- Le sésame de notre libération
LA GAZETTE DES COLLETTES
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ACTUALITE - REFLEXION
Juin 2016 – Numéro 10
Sans, nous devenons esclaves et nous tombons sous le joug de choses
qui ne devraient pas nous contrôler.
Par exemple :
- Faute de discipline alimentaire nous devenons dépendants aux
graisses, aux sucres et autres substances mauvaises pour notre
organisme.
- Dans le domaine de nos finances, tout manque de maîtrise peut
générer l’endettement.
- Oppressés par l’endettement, s’en suivent des problèmes de santé
et de couple.
- Ne pas se discipliner à dormir assez, entraîne l’esclavage de notre
fatigue qui nous rend grincheux, étourdis, amorphes.
- L’épuisement est un des grands voleurs de notre créativité.
Nourrissez-vous de la pensée → « je me discipline et je me maîtrise »
car notre manière de penser affecte directement nos émotions.
Nombreux sont ceux qui se débattent avec cette incapacité à se
« concentrer et à trancher ».
Dites-vous que la maîtrise de soi est intimement liée à la discipline.
- La discipline et la maîtrise de soi → sont des alliés qui nous aident à
faire ce dont nous n’avons nulle envie, afin que nous puissions
obtenir ce que nous affirmons « vouloir »
- Vivre dans la maîtrise de soi implique de se retenir, ce qui n’est pas
toujours drôle
- Je vous rappelle que notre monde est au plus mal de l’histoire, et ce
en dépit d’une soi-disant « plus grande liberté qu’avant »
Mais de s’imaginer que la « liberté » signifie : « faire ce que l’on
veut »invite au désastre.
- Accroissez donc la discipline dans votre quotidien
- Réfléchissez à des domaines de votre vie que vous souhaitez
améliorer : finance, santé, organisation, communication avec autrui
- Affirmez hautement : « Je suis une personne douée de « discipline et
de maîtrise pour mettre ma vie en ordre »
LA GAZETTE DES COLLETTES
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Nice : La baie des anges
Courbe harmonieuse
Des anges sont nés dans la baie
Vagues langoureuses
Se meurent sur les chauds galets
Poudre d’or radieuse
Tombe du soleil par poignée
Lune amoureuse
Se mire dans l’eau en été
Houle capricieuse
Se lève en fin de journée
Mer coléreuse
Se drosse contre la jetée
Promenade moqueuse *
Passants imprudents aspergés
C’est elle la baie… des anges
Nous lui devons ces… louanges
*Promenade des Anglais
POEMES
Madame Jeannine Gil
Juin 2016 – Numéro 10
L’été l’idéal c’est la plage
Marcher dans le sable
C’est le rêve absolu
Après une journée ardue
Voir de loin les bateaux
Voguer au fil de l’eau
Ca fait penser à des voyages
Sous un ciel bleu sans nuage
Le rêve c’est aussi l’évasion
Vers de nouveaux horizons
Partir vers les iles lointains
Pour voir nager les baleines
Dormir sous les cocotiers
C’est ça le farniente de l’été
Madame Victoria Cou
LA GAZETTE DES COLLETTES
19
MME DUVAL NOUS RACONTE
Juin 2016 – Numéro 10
Rencontre avec un extra-terrestre
Par Madame Paule Duv
Le phénomène s’est produit dans le Var sur la commune de Fayence
83440 à la hauteur du 3085, une ancienne voie ferrée. Ce terrain
existe toujours.
Evidemment le fait est ancien mais pas oublié. Il y a 50 ans, en juillet
1966, ma fille avait 9 ans et campait avec mes parents sous de
grands arbres près d’un ruisseau. Un matin tôt prise d’une envie
pressante, elle descend de la caravane quand près d’elle se trouve
un engin qui flotte à 1 mètre du sol. Les descriptions qu’elle a
données correspondent exactement à une soucoupe volante. Ce qui
l’a étonné, c’est la rapidité avec laquelle cet ovni s’est envolé et dans
un silence total. Le matin, mes parents sont allés signaler cette visite
à la gendarmerie où d’autres personnes étaient déjà passées dont
un groupe de musiciens rentrant du travail ayant croisé la même
forme volante. A cette époque beaucoup d’ovnis ont été observés
dans la région.
LA GAZETTE DES COLLETTES
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SOUVENIRS par Monsieur SAV
Juin 2016 – Numéro 10
L’équipement ménager
Dans les campagnes, la grande cheminée de la pièce commune a été
longtemps le seul point chaud de la maison, assurant chauffage et
cuisine. En ville, la cuisinière à charbon occupait la place d’honneur
servant à cuisiner et chauffer la maison. Le gaz de ville et le réchaud sont
venus compléter l’équipement.
Il n’y avait pas de frigidaire. Un marchand de glace passait avec sa
voiture à cheval et débitait ses gros pains de glace à la demande…
Quelques dates…
1935 : Vulgarisation de l’aspirateur, début des machines à laver, de rares
réfrigérateurs…
1948 : La cocotte minute, premiers robots électriques à des prix plus
abordables.
1950 : Machines à laver et réfrigérateurs entrent peu à peu dans les
foyers; Nous avons apprécié dans le midi, le petit frigo de 45 Litres. Un
luxe !
Mes parents on acheté un pavillon où ils ont fait installer le chauffage
central en 1935 ou 36. Cela leur a permis d’avoir une cuisinière électrique
avec four. Ils ont également fait installer une salle de bain. Considérée
comme un luxe à cette époque.
Certaines valeurs se sont inversées. Longtemps le poulet a été le plat de
luxe des grandes occasions. Il était beaucoup plus cher que le gigot ! Le
poisson était très bon marché. On ne trouvait sur les étals que les
produits de saison. Pas de tomate à Noël. Pas contre, elles avaient du
goût quand il y en avait. Ceci était valable pour tous les fruits et légumes.
L’orange était le fruit de Noël, les noix pour la Saint Nicolas.
Pas de lait longue conservation ! Tous les matins il fallait
aller à la crèmerie avec votre pot à lait pour acheter son
lait, que la crémière prélevait dans une grande bassine
avec la mesure voulue. Pas de beurre en plaquettes, il
était en motte de plusieurs kilos débitée à la demande.
LA GAZETTE DES COLLETTES
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SOUVENIRS …
Juin 2016 – Numéro 10
C’était le 28 mai 1944, comme beaucoup d’enfants nous étions à l’école.
Ce matin-là, nous avons entendu la sirène, qui nous avertissait de nous
mettre dans un abri, au cas où il y aurait un bombardement. C’est ce qui
est arrivé ! Il y eut de nombreuses personnes tuées et beaucoup de
dégâts.
Mais un soir, il y a eu des messages plus importants et on entendait au
lointain des coups sourds de canon. Mon papa qui était de repos ce jour-
là, rencontra deux employés qui lui ont dit : on rentre au dépôt car ça
tonne dans le Var de tous les bords !
C’est comme ça que nous avons appris que le débarquement avait
commencé …
« Flotte petit drapeau
Flotte bien haut
Image de la France
Symbole d’espérance
Tu réunis dans ta
simplicité
La famille et le sol
La liberté »
Les jours suivants, il y eu d’autres
attaques aériennes, par exemple sur le
fort du Mont Alban car c’est là que les
allemands avaient pris possession pour
abattre les avions alliés.
Le temps s’écoulait lentement, nos
parents, tous les soirs, écoutaient la radio.
On était au courant des mouvements de
troupes avec la radio anglaise qui émettait
(la BBC), nous disait « les français parlent
aux français ».
Le débarquement en Provence
Par Mme Yvette Fab
LA GAZETTE DES COLLETTES
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MME FAB. NOUS RACONTE
Juin 2016 – Numéro 10
« C’est le 15 août, le canon tonne, les alliés
Ont débarqué, dans le midi, près
D’une plage, leurs grands planeurs se sont posés.
Nous avions les soldats de Valmy, puis les FFI*,
Voyez s’ils cranent debout pour vaincre l’ennemi
Soyons tous réunis. »
*FFI Forces Françaises de l’Intérieur
Mais le gros de la troupe débarquait à Fréjus plage. Nous avons pu voir
les gros bateaux (le « Liberty-Ship ») qui ouvraient leurs grosses coques
et de là s’échappaient les camions, les jeeps et les hommes de troupe.
Pour assurer leur protection, les navires avaient au-dessus d’eux des
ballons électrifiés. C’est ainsi et grâce au courage de ces hommes que la
Provence a été libérée le 15 août et un monument a été érigé au Dramont
à la mémoire de ces courageux hommes qui ont donné leur vie pour
libérer la patrie.
Plus tard, nous avons pu nous rendre sur
les lieux du débarquement où des fusillés
marins ont payé de leur vie sur la plage du
Dramont.
L’ÉCHO
23
LA GAZETTE DES COLLETTES
CHANSONS D’ANTAN
Juin 2016 – Numéro 10
La chanson des blés d’Or
Mignonne, quand la lune éclaire
La plaine aux bruits mélodieux,
Lorsque l’étoile du mystère
Revient sourire aux amoureux,
As-tu parfois sur la colline,
Parmi les souffles caressants,
Entendu la chanson divine
Que chantent les blés frémissants?
Mignonnes, quand le soir descendra sur la terre ,
Et que le rossignol viendra chanter encore,
Quand le vent soufflera sur la verte bruyère,
Nous irons écouter la chanson des blés d’or !
Nous irons écouter la chanson des blés d’or !
As-tu parfois sous la ramure,
A l’heure où chantent les épis,
Ecouté leur joyeux murmure
Au bord des vallons assoupis?
Connais-tu cette voix profonde,
Qui revient, au déclin du jour,
Chanter parmi la moisson blonde
Des refrains palpitants d’amour?
Mignonne, quand le soir descendra sur la terre,
Et que le rossignol viendra chanter encore,
Quand le vent soufflera sur la verte bruyère,
Nous irons écouter la chanson des blés d’or !
Nus irons écouter la chanson des blés d’or !
Par Armand Mestral
Paroles : Camille Soubise et L. Le Maître
Musique : Frédéric Doria
LA GAZETTE DES COLLETTES
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NATURE – LES POULES
Par Madame Pauline ARN
Juin 2016 – Numéro 10
On se posera toujours la même question: de l’œuf ou de la
poule, qui est arrivé en premier sur Terre ?
Et personne n’aura la réponse …
Les poules sont douées d’une intelligence assez décuplée. Par
exemple elles peuvent se reconnaître individuellement au sein du
poulailler.
Elles sont même capables d’une certaine empathie. Elles sont
sensibles, leur rythme cardiaque augmente en cas d’émotions fortes.
Les poules étaient précieuses pendant la guerre. Elles fournissaient
des œufs, de la viande et des poussins qui en devenant adultes
seraient des poules ou des poulets.
Elles mangent des graines, du maïs, du Sarrazin suivant les régions,
ou alors une pâtée pour faire grossir rapidement le volatile dans
certaines exploitations.
Elles se nourrissent aussi seules en trouvant des vers de terre, des
limaces, des hannetons etc…Il existe des poules différentes dans
chaque pays, il existe même des poules naines.
Quand elles sont malades, la crête devient pâle et tombe d’un côté.
Ses jours sont alors comptés. Aucun médicament, aucun « sauve
poule » ne pourra éviter sa mort ni celle de ses compagnes. Quand
cela arrive c’est une véritable catastrophe pour les finances du
fermier.
LA GAZETTE DES COLLETTES
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NATURE – LES POULES
Juin 2016 – Numéro 10
Voici d’ailleurs l’histoire
de Coralie et Zao…
Suite à une épidémie dans le poulailler, le joli coq au plumage
mordoré, Zao , est si triste qu’il n’ose plus chanter et c’est le moral
de tous qui est atteint.
Heureusement la « reine » de la basse cour n’a pas été atteinte par
la maladie.
Elle est si belle et fait l’admiration de tout le monde... Elle est noire
avec la poitrine et le bout des ailes blanc, avec une crête très rouge
et les pattes très blanches.
La fermière l’a tout de suite enlevée.
Elle l’a mise dans son boudoir et là, Coralie passe des heures à se
regarder dans la glace.
Il faut maintenant désinfecter le poulailler et renouveler le cheptel.
Heureusement Coralie, et Zao le Phoenix de la basse cour, en ont
réchappé .
Un mariage avec les deux vedettes pourrait transformer le visage de
ce poulailler.
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TRUCS ET ASTUCES DE NOS GRANDS-MERES
Comment conserver les fleurs coupées ? Par Madame Joséphine Pag
Juin 2016 – Numéro 10
RUBRIQUE BEAUTE
Idée cadeau : Les produits Fragonard
Les jolis bouquets de fleurs apportent de la
gaieté dans la maison. Pour les conserver plus
longtemps, il existe une astuce :
- Enlever les feuilles du bas pour éviter
qu’elles moisissent au fond du vase
- Couper les tiges en biseau sur environ 2
centimètres, avec un couteau de
préférence
- Verser 1 cl de vinaigre blanc et 1 cuillère à
café de sucre en poudre dans un vase
propre
- Remplir le vase d’eau à température
ambiante
- Recouper les tiges tous les deux jours
Par Mme Régine Tab
Fragonard
L’histoire du parfum de l’Antiquité au Moyen-âge
(Une industrie aussi vieille que l’humanité)
L’Egypte, centre antique du parfum
La Grêce, les débuts de l’hygiène et le culte du corps
Le Moyen-âge et ses influences barbares: « Romanité contre barbares:
le choc des odeurs ».
LA GAZETTE DES COLLETTES
27
La parfumerie Fragonard est une des plus anciennes de Grasse, fondée
en 1926 par un ancien notaire parisien Eugène FUCHS et installée depuis
cette époque dans une des plus anciennes fabriques de la ville, bâtie par
le parfumeur Claude Mottet » en 1841.
Elle est ainsi nommée en hommage au grand peintre Jean Honoré
Fragonard, lui-même fils d’un maître gantier parfumeur à la cour.
Fragonard ouvre sa première boutique en 1936 après avoir lancé deux
parfums qui connaissent le succés.
Son musée gratuit présente des objets rares
sur l’histoire de la parfumerie depuis plus de
5000 ans.
Les parfums à succés:
« Billet doux » 1930, « Moment volé » 1930,
« Belle de nuit » 1946, « Soleil » 1995.
Mais Fragonard c’est aussi la cosmétique, le
savon et le gel douche, les senteurs de la
maison pour l’homme et la femme.
Une vitrine est à votre
disposition à l’accueil
pour découvrir ces
produits ou trouver des
idées cadeaux.
Testez les !
La boutique de la
Villa des Collettes
Juin 2016 – Numéro 10
L’ÉCHO
28
LA GAZETTE DES COLLETTES
DROLES D’HISTOIRES
Par Monsieur Ernest Gal
Juin 2016 – Numéro 10
Dieu, faites que
ce lion ait une pensée
chrétienne.
Dieu, bénissez
ce repas.
A la ferme, le cheval est
malade. Le vétérinaire dit au
paysan : « J’injecte un remède,
si dans trois jours il n’est pas
remis, il faudra l’abattre. »
Le cochon qui a tout entendu,
dit au cheval : « lève-toi »
Mais le cheval est trop fatigué.
RESULTATS DU VOTE
Parmi les quatre possibilités de titre à donner
au mur tactile de l’espace Snoezelen, « La
cascade enchantée » a remporté le vote avec
18 voix sur 40 votants.
Le deuxième jour, le cochon dit
: « Lève-toi vite ».
Le cheval est toujours aussi
fatigué.
Le troisième jour le cochon dit
« lève-toi, sinon ils vont
t’abattre! »
Alors dans un dernier effort, le
cheval se lève.
Heureux, le paysan dit « il faut
fêter ça : on tue le cochon ! »
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29Juin 2016 – Numéro 10
POINT SANTE
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L’AGENDA
Jour Horaire Activité proposée Intervenant
LundiAprès
midiSéances d’art-thérapie Brigitte, Art-
thérapeute
Mardi
10h30
16h00
Atelier d’écriture
Atelier bricolage
Chloé, Psychologue
Chloé, Céline,
Marguerite
Mercredi 17h00 Réunion gazetteEquipe
rédactionnelle
Jeudi
10h30
15h00
17h00
Atelier dessin
Atelier floral
Une semaine sur deux
Atelier de
psychomotricité
Agnès,
Psychomotricienne
Céline, CPA
Agnès,
psychomotricienne
Vendredi15h00
16h30
Cuisine thérapeutique
Atelier tricot
Chloé, Psychologue
Marguerite,
Ergothérapeute,
Claudine, Maîtresse
de Maison
Agnès,
Psychomotricienne
Samedi 14h00Atelier pâtisserie
Une semaine sur deux
Nadia, Auxiliaire de
vie
Dimanche 14h00 Gouter « crêpes »Maître(sse) de
maison
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LES TEMPS FORTS DU MOIS DE JUILLET
Vendredi 01 Juillet: Fête des familles (cocktail dinatoire à partir de 18h,
diaporama inauguration, musicien)
Lundi 04 juillet: Sortie « Loto » à 15h00 au Casino Terrazur
Jeudi 07 Juillet: Messe au salon du rez-de-chaussée
Vendredi 08 juillet: Séance cinéma « La 7ème compagnie au clair de
lune » à 15h au salon du rez de chaussée
Mercredi 13 Juillet: Atelier Floral à 15h
Vendredi 15 Juillet: Séance cinéma « Odette tout le monde » à 15h au
salon du rez de chaussée
Soirée Barbecue en musique de 18h à 22h
Lundi 18 Juillet: Sortie « Loto » à 15h00 au Casino Terrazur
Mercredi 20 Juillet: Sortie à l’hippodrome (visite guidée) à 18h
Vendredi 22 Juillet: Séance cinéma « Don Camillo » à 15h au salon du
rez de chaussée
Mercredi 27 Juillet: Zoothérapie de 14h à 16h
Vendredi 29 Juillet: Séance cinéma « La moutarde me monte au nez »
à 15h au salon du rez de chaussée
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Merci à l’équipe rédactionnelle :
M. Gal, Reporter Photos, Mme Mor, Correctrice, Mme Tab
Idée’Flash, Céline responsable de projet, Chloé, Marguerite mise
en page, Monsieur Urphéant validation.
Nos Chroniqueurs : Mme Cou et Mme Gil (Poésie), Mme Duv
(Un résident nous raconte), M. Sav et Mme Fab (Souvenirs) Mme
Arn (Les animaux), Céline (L’Actu, Agenda), Mme Cou, Mme Zah
et Chloé (Atelier d’écriture), M. Gal (Drôles d’histoires, Trucs et
astuces, Chansons d’antan), M. Fri (Actualités et réflexion), Mme
Tab (rubrique beauté), Mme Pag (Trucs et astuces)
Les témoignages de : Nicole (L’Interview), Céline (L’expert),
Mme Tab (Le portrait)
Les œuvres de : M. Alu,
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