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La voleuse de destinée
PABLOEMMA
La voleuse de destinée (Roman)
Tome 1
Du même auteur
2013-Paroles intimes (poésie)
2013-En finir avec le passé (poésie)
2013-la vie sépare ceux qui s’aiment (poésie)
2014- Demain sera l’aurore (poésie)
2014-si tu m’aimes comme je t’aime (poésie)
2014-Ce qui plait chez les femmes (poésie)
2015-un enfant est amour (poésie)
2015-j’ai fait un rêve (poésie)
2015-Comment rencontrer l’âme sœur(Essai)
2015- je trompe ma femme et elle aime ça (roman)
L’instant de bonheur de
Jérôme Partie 1
Ces événements se déroulent entre mille neuf cent
soixante dix et mille neuf cent quatre vingt quinze.
Jérôme qui n’était qu’un jeune fonctionnaire à cette
époque était propriétaire d’une société de mine.il venait
de se marier avec Diana qui mourut quatre années plus
tôt mais ayant déjà mit au monde leur premier fils au
nom de franklin. Plus tard, à cause des contraintes de
travail, ne pouvant être là auprès de lui, Jérôme décida
d’aller laisser celui-ci aux états unis afin que ses frères
qui s’y trouvent puissent prendre soin de lui en
attendant qu’il soit plus grand. Jérôme était un homme
aimable et serviable. Il aimait bien après le boulot aller
s’amuser entre collègue de service, occasion donc qui lui
donna chance de faire la rencontre d’une seconde et
belle dulcinée qui viendrait alléger ses temps essuyés de
solitude. En la voyant, il n’était presque pas convaincu
par son instinct. Même si s’était le cas, es ce que
l’assurance viendrait t-elle abolir les douleurs du passé ?
C’est la question qu’il se posait intérieurement dans son
cœur. C’était vraiment difficile pour lui mais il fallait bien
se décider afin de se sentir mieux dans sa peau. Cette
femme sur qui Jérôme avait « flaché » à ce moment là
avait tout ce qu’un homme peut envier : un corps de
rêve, un visage luisant, un sourire radieux. Elle était pour
un admirateur un trésor découvert et ses amis lui
disaient : qu’attends-tu cher ami ? Vas-y c’est surement
le destin qui te la donne. Ne permet à un notre individu
de prendre ce bonheur qui s’offre à toi comme dans un
plat. Veux-tu encore rester célibataire pour longtemps ?
demandèrent ceux-ci à Jérôme. Mais comme il était
quelqu’un d’humble, et qu’il aimait écouter les autres, à
force d’être acculé par eux, il céda en faisant appel à
cette demoiselle qui se trouvait non loin d’eux mais qui
ne voulut être à leur table. Alors Jérôme se leva puis alla
promptement vers elle et dit : bonsoir ma chérie !
Oui Bonsoir répondit t-elle. Habites-tu dans le coin ?
demanda Jérôme. De quoi te mêles-tu répliquas la jolie
demoiselle au front crispé. Elle s’appelait Bernadette et
était serveuse dans un restaurant chinois. C’était à
l’heure du repos que vint le prince charmant à la
rencontre de celle-ci. Bizarrement, elle recevrait très
peu ce que lui disait le triste célibataire qui essaya à
nouveau de lui faire un jeu de mots mais cette fois là, ce
fut un autre jour dans un snack bar où finalement le
poison mordit à la méson elle se donna à cœur ouvert.
S’était alors le début d’une autre histoire d’amour qui
devait prendre un nouveau départ pour Jérôme. D’où
s’en suivie une annonce à sa famille qui avait déjà
souffert de le voir si seul Car leur fils selon elle, méritait
lui aussi le bonheur. Bernadette était une femme
divorcée qui vint en mariage avec une fillette qui était
âgée de cinq ans à cette époque. Son mari l’avait
répudié pour mauvaise conduite conjugale. C’était alors
à ce moment là pour le destin l’occasion de lui donner
une seconde chance qu’elle afin qu’elle soit heureuse.
Les concertations familiales durèrent sept bon jours
pour que le mariage de Jérôme soit mit en œuvre.une
famille solidaire qui aimait sa futur épouse aux lèvres
toujours souriantes. A nouveau chez Jérôme après le
mariage, la vie devait reprendre son court.il y avait
désormais un bonheur de vivre qui y planait et petit à
petit il fallait s’y habituer. La fille de Bernadette avait
déjà un nouveau papa à qui elle devait totalement se
confier. Un homme doué d’une générosité extrême près
à venir en aide à quiconque. La confiance elle aussi
devait être au rendez-vous. Les époux devaient bâtir
quelque chose de solide dans un amour qui les
conduirait à chaque fois aux lueurs du bonheur.
Bernadette allait tous les matins accompagner sa fille à
l’établissement scolaire qu’elle fréquentait et celle-ci à la
fin des cours, pouvait revenir d’elle-même à la maison.
S’était vraiment formidable cette vie commune.
Souvent les frères et sœurs de Jérôme venaient à
rendre visite à lui et à sa femme. Parfois, cela se faisait
même quand celui-ci était absent et Bernadette toute
joyeuse, les recevait à bras ouvert. Tout allait comme sur
des roulettes ce que avait souhaité Jérôme son mari. Il
était encouragé par les actes positifs que posait sa
compagne et cela lui donnait plus d’ardeur à son lieu de
service.
Le scandale Partie 2
A un moment donné, il sollicita que sa femme délaisse le
restaurant chinois qu’elle fréquentait afin de se former
dans une autre entreprise qui consisterait à l’aider à
enregistrer les nouvelles personnes désireux de
travailler dans les secteurs des mines. Alors Jérôme créa
un cabinet de réception rattaché à « l’entreprise mère »
qui permettra à Bernadette de recenser ces travailleurs
et de les envoyer au lieu indiqué. Une expertise que
celle-ci était heureuse d’avoir pour tache après sa
formation qui durera six mois. Un temps arriva que
Jérôme fût contraint d’aller en mission vers une autre
ville loin de paris pour une durée de deux mois. Ainsi,
Bernadette avait donc pour rôle secondaire d’assurer la
bonne marche de l’entreprise à l’absence de son
compagnon y compris celle de la femme au foyer.
Comme elle se sentait seule, éprise de solitude le
weekend, elle ira trouver distraction dans une cantine
intime de son mari qu’il avait conservé dans un coin
secret de leur chambre à couchée mais puisqu’un trésor
caché là ou il y a deux personne est toujours à
découvert, c’est comme cela qu’elle fut tenté de l’ouvrir
dans laquelle elle vit de multiples documents parmi
lesquelles l’acte de naissance du fils de Jérôme, un
testament léguant sa fortune à celui-ci, un acte de
mariage et de décès de sa défunte et première épouse.
Jérôme tourmenté après la mort de celle-ci, avait décidé
garder le secret pour lui au lieu de le dire à sa belle
famille et à sa nouvelle épouse Bernadette avant le
mariage. Il avait peur que celle-ci en l’apprenant, soit
mécontente et aille voir ailleurs Disait t-il : Bernadette
est si belle que je ne pourrais l’abandonner. Je préférerai
mieux périr que de ne pas faire chemin avec elle. Alors
Bernadette furieuse d’avoir découvert le contenu de
cette cantine, elle le referma soigneusement telle qu’elle
l’avait ouverte et la rangea au même endroit où elle
l’avait prise puis attendit que son époux soit de retour.
Cependant elle ne laissa rien paraître sur son visage. Ni
le voisinage, ni sa fille n’avait rien remarqué dans son
attitude. Elle allait continuellement à son cabinet à la
rencontre de ceux qui souhaitaient trouver un emploi et
les affichait toujours un large sourire. Jérôme n’avait
entre-temps oublié son devoir de mari. Il envoyait des
par moment des courriers postales question de rassurer
sa famille conjugale, ce que trouvait désormais son
épouse peut utile car chaque jour qui passait façonnait
dans sa mémoire d’autres désirs. Elle ne voyait plus une
vie commune comme l’avait souhaité profondément
Jérôme car trahit par ce que ses yeux avaient vu Et lu
prête à accomplir ce que devait lui ordonner sa chair.
Elle perdait peu à peu sa belle mine qui se fit remarquer
alors par sa fille qui l’a regardait avec beaucoup de
remords. Entre Bernadette et les frères de Jérôme, il n’y
avait rien à dire. Ils ne trouvaient aucun inconvénient à
venir en visite de courtoisie chez leur belle fille. Mais
cela ne durera pas lorsque soudain, ils commencèrent à
se poser des questions : Que t’arrives-tu ? Que se passe
t-il ? Tu as l’air de plus en plus bizarre et cela nous
inquiète terriblement. Es-tu frustré par le fait que
Jérôme ne soit pas là ? Ou alors es ce nous ta belle
famille qui serait dit t-on un fardeau pour toi en venant
ici tout le temps ? Bernadette trouva quelques mots
pour sa défense en disant : non ! Rassurez-vous c’est
juste que je suis trop pensive et cela me donne de plus
en plus des maux de tête. Nous ferons mieux de
dialoguer sur d’autres choses car se mettre à se disputer
ne servira à rien. La maison prenait petit à petit « un
feu scandaleux» mais à quand devait revenir Jérôme ?
Avant que le cœur des uns et des autres ne se consume.
Bernadette ne voulu plus s’occuper de ceux -ci lorsqu’ils
débarquaient chez elle. Il arrivait que lorsqu’elle sorte le
matin, qu’elle ne revienne que dans la nuit question
d’éviter un bon nombre d’ennuis. Elle était devenue « la
reine mère » celle à qui on ne devait s’adresser d’une
façon vulgaire. Celle pour qui les frères de Jérôme
devaient user de beaucoup de crainte. Bernadette faisait
presque peur. Ses exigences gagnaient plus encore du
terrain. Elle était devenu « le seul maitre » fasse à ceux
qui l’avait longtemps considéré au début comme étant
celle qui ferait le bonheur de leur fils partit pour
quelques jours. Dommage qu’il n’était pas là pour le
constater.ses frères attendaient avec les pieds fermes
son retour pour lui raconter ces instants horribles. Mais
il fallait encore attendre sept précieux jours. Entre
temps, la fille de Bernadette allait en cours comme
d’accoutumé. Elle était remorquée par l’un des véhicules
de la société. Sa mère ne l’accompagnait plus comme
autre fois car elle devait devenir mature. Un autre
paradis était tous les jours le bienvenue à la maison. On
ne pouvait plus percevoir l’un des frères de Jérôme à
l’horizon, seul ceux de Bernadette étaient désormais
invités. Dieu seul savait ce qui se passerait si Jérôme
venait à rentrer d’aussitôt. A chaque fois que celui-ci
envoyait des courriers postales, pour la saluer elle et sa
fille, elle à son tour lui rassurait d’une bonne forme
corporelle. Et comme Jérôme était comme obsédé par
un amour aveugle envers sa femme, rien d’en normale
ne pouvait traverser sa mémoire. Lorsqu’elle vit qu’il
était à deux jours de revenir, la femme vertueuse et
soumise qu’elle était au départ devait elle aussi faire son
réapparition pour redonner sens à une vie qui avait
foutus le camp. Le chat bientôt présent, les souries
devait s’éclipser.les rapports d’entreprises devaient
rapidement être fait pour ne pas laisser planer une
magouille.
Le retour de Jérôme Partie 3
Voila que le moment c'est-à-dire l’heure du silence
arriva. On sentait à nouveau les pas d’un homme
responsable se faire répéter dans la maison, celui qui
portait l’avenir et le devenir d’une famille. Salut ma
chérie ! Comme je suis heureux de vous revoir ! Cela
faisait beaucoup de temps que je pensais à vous sans
pouvoir vous toucher du doigt parla Jérôme avec plein
de sincérité et d’enthousiasme avant même qu’il eut le
temps de s’assoir. Bienvenue mon amour répondit
Bernadette avec un air innocent. Comment était t-il ton
voyage ? J’espère dans tous les cas que tu n’es pas trop
épuisé ? Mais non ! Ma chérie reprit jérome.je suis un
combattant et qui dit cela ne se laisse jamais abattre
Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Un éclat de rire à large gorge qui
s’harmonisa au sourire de l’épouse. J’espère que tu as
pu bien gérer les affaires à mon absence dit l’époux. Je
devrais avoir les rapports dès demain à mon bureau. Sa
femme ayant entendu ces paroles, dites par son mari,
se mit à songer sur son sort car elle avait viré une partie
des bénéfices de l’entreprise dans un compte bancaire
privé au nom de sa fille. Comme Jérôme était quelqu’un
d’expérimenté dans ce domaine, il détecta un problème
dès la prise du premier rapport. Que se passe t-il ? Où
sont partis les vingt pourcents de ce rapport ? demanda
le mari. Aucune idée ! Répondit Bernadette. Tu devrais
plutôt faire appel au comptable c’est à lui de le savoir au
lieu de me poser des questions stupides.
Jérôme à l’instant là eut « un cœur rouge » car c’était
pour la toute première fois qu’il venait à être confronté
à ce genre de situation. Ainsi, pour que ceci soit mit au
claire, il ordonna qu’on fasse appel au comptable qui
était chargé de l’affaire afin que celui-ci explique la
disparition de la forte somme de peur de se voir
licencier de son poste d’ici à cinq jours ouvrables.
Jérôme tremblait de rage, il transpirait de nervosité. Il
était devenu comme quelqu’un à qui on eut ôté le cœur
mais dont la tête bouge encore. Il n’avait que le mot
« argent » aux bout des lèvres et ne pouvait en aucun
cas mette en soupçon sa femme qui pour lui faisait
l’objet d’un exemple dans l’entreprise. Ah oui ! Une
confiance aveugle dira t-on à nouveau, oubliant qu’il
peut arriver un jour que le serpent se renverse.
Comment pouvait t-il alors le savoir ? Rien jusque là ne
sautait à ses yeux qui soit d’en normal que sa femme
puisse faire. Il n’avait que les regards fichés vers le
gestionnaire chargé de la comptabilité financière de
l’entreprise. Les cinq jours passés, l’accusé n’avait pas
toujours fournie les informations à propos de la
disparition des de vingt pourcents des frais qui lui avait
été reversé. Fou de rage une seconde fois, « le boss» le
fut mettre à la porte sans aucune forme de procès.
Bernadette avait ordonné à ce dernier bien avant de lui
versé ces sous avec une réduction de cinq pourcents
qu’il garderait pour lui comme récompense. il n’y avait
pas du tout le choix c’était elle l’épouse du patron qui
l’avait obligé et ne pouvait que l’exécuter c'est-à-dire
mettre son avenir et son gagne pain en danger.il parti
sans plus avoir l’occasion de la regarder en face car son
cœur et son âme était désespéré. Le ciel lui était tombé
sur la tête puis, lui avait dépourvu de tout avantage de
pouvoir combattre. Quelques temps après, Jérôme fut
convoqué par ces frères qui ne lui avaient pas encore
revu depuis son retour. Ceux –ci organisèrent une
concertation qui devait avoir lieu le weekend, l’occasion
pour eux de lui faire part de tout ce qui s’était passé à
son absence pendant qu’il était en voyage. Jérôme avait
été agressé par un aspect négatif lorsqu’il était rentré du
voyage mais comme il trouva une affaire de
malversation financière au sain de son entreprise, il ne
pouvait faire autrement. Il n’y eut pas moyen d’en parler
avec sa femme. Car il avait constaté que ses frères ne
venaient plus lui rendre visite. L’homme d’affaire était
désormais à la merci de tout le monde. Il fallait que lui
aussi rende compte aux siens qui le chérissaient
beaucoup. Ce soir là parmi eux il y avait un vacarme mais
lorsque soudain Jérôme entra, ce fut un silence de
cimetière. Tout le monde voyait à travers lui sa
méchante femme qui les avait repoussés de chez elle.
C’était comme à la Bart lorsque le juge fait appel à
l’accusé. C’était là le début d’une longue sentence.
Bonsoir Jérôme nous somme très heureux de te revoir
parmi nous. S’adressa ainsi son frère ainé avec beaucoup
d’estime. Si nous t’avons fait venir, c’est parce que nous
avons été écœuré de l’attitude de ton épouse vis-à-vis
de nous lors de ton absence la fois dernière. Notre mère
que voici, avait pris soin d’apporter à ta femme un
merveilleux paquet que celle-ci voulu lui offrir afin
d’apprécier la quintessence de ce qui s’y trouvait. Elle
préférera le prendre, le conserver quelque part dans un
coin de la maison et plus tard le jeter au chien comme
une vulgaire boîte précisa bien son frangin qui parlait
avec un air abattu.après avoir longtemps écouté les
redevances des uns et des autres, ce fut à Jérôme de
prendre la parole. Je ne fus aucunement pas au courant
de cet histoire débuta t-il. Madame Bernadette qui est
mon épouse que vous connaissez presque tous ne
pourrait aller jusqu’au niveau de jeter ce que lui avait
offert notre maman au bénéfice d’un animal. Ayant
entendu ces propos que venait de donner Jérôme par
ceux qui étaient présent, tout à coup, un bruit immense
survenu, les gens commencèrent à se mettre en colère
étonnés que Jérôme puisse nier le contenu de leur
propos en croyant plutôt que ses frères ont l’intention
de vouloir détruire son couple. Ils insistèrent voulant le
faire voir plus clair la situation mais cette heure n’était
plus la bienvenue. Jérôme ne voulait plus rien entendre
ni même à prouver les reproches qui accablaient sa
chère et aimable épouse. Vous avez tort répliqua t-il et
je vous interdis de dire quoi que ce soit en plus qui va à
l’endroit de mon épouse. Tout le monde fut ému
d’entendre les propos de cet homme près à commettre
l’irréparable si l’accusation venait à persister. Je vous
demanderais de ne plus mettre vos pieds dans mon
domicile car il serait mieux pour moi que je sois seul au
lieu d’être tiraillé par une mauvaise compagnie. Après
avoir dis cela, il se leva et sans dire au revoir, s’en alla.
Laissant les chuchotements continuer d’alimenter la
salle. ils venaient tous de comprendre que les portes les
étaient désormais fermés chez Jérôme. Que Chacun
d’eux devait s’occuper de sa « paire de fesse ».Rentré
chez lui, l’homme qui venait de vivre des moments
terribles avec les siens ne voulu en parler avec sa femme
ce soir là de peur de fragiliser leur relation amoureuse
qui l’amènerait une fois de plus à se voir à nouveau
célibataire. Il aimait sa femme si bien qu’il ne voulait rien
lui dire qui puisse la déplaire. Pourtant, il était déjà
victime de ne lui avoir jamais révélé l’existence d’un fils
héritier et de la mère de celui-ci décédé et dont les
documents sont dans un coin bien caché de sa chambre
à couchée.
Bernadette sachant que son mari avait un faire pour elle,
profitait de cela pour lui rendre la vie presque
impossible car selon elle, ce dernier lui avait plutôt
épousé pour satisfaire ses désirs charnels, une chose
qu’elle ne pouvait tolérer pour une fois qu’elle avait
décidé ne plus se laisser malmener par quelqu’un. Cela
devait donc être une guerre sans merci entre les deux
tourtereaux.
Le numéro fantôme Partie 4
Le lendemain matin, elle se réveilla avec une question
qui l’a tenait à cœur pour la poser à son homme.
Bonjour mon chérie je voudrais savoir si tu m’aimes d’un
amour sincère demanda t-elle ? Mais bien sûr que je
t’aime et je t’aimerais toujours. Ayant entendu son mari
lui dire cela, elle ne fut pas vraiment convaincu .Elle
voyait dans ses yeux une certaine crainte mais laquelle
alors ? Puisqu’elle n’était donc pas « le messie », rien ne
se laissaient entrevoir à travers le cœur de Jérôme que
celle-ci pouvait découvrir. Il n’avait pas compris le
pourquoi sa femme lui avait posé cette question. Selon
lui, s’était pour une simple envie mais elle seul savait
bien le pourquoi. Une, deux, trois fois elle posa encore la
même question et cela devenu un agacement pour son
époux qui répondait brutalement : bien sûr que je t’aime
puisque je suis là. Tu seras la première à le savoir
lorsque ce ne sera plus le cas. Au lieu de passé le temps
à me poser la même question, on verrait mieux de parler
d’autres sujets beaucoup plus importants. Bernadette
lui avait touché là où il ne fallait pas. Son âme et
conscience avaient prit un coup qui devait l’amener à se
juger lui-même. Mais puisque l’homme est de nature
orgueilleux, cela passa outre et la journée continua. Plus
tard dans la soirée qui suivait après que les deux
amoureux soient rentrés de leurs occupations
respectives, voila qu’un numéro inconnu sur le
téléphone fixe de leur domicile sonna. Ça sonnait et
résonnait avec insistance. C’est alors que Bernadette se
précipita dessus car son mari était sous la douche. Allô,
Allô, s’exclama t-elle mais personne ne répondait et elle
raccrocha. Après une demi heure, voila que le même
numéro de téléphone reprit son « jeu » cette fois là, ce
ne fut plus Bernadette mais Jérôme à venir prendre
attache avec celui qui était au bout du fil. Sa femme
ayant vu cela, couru vers l’autre téléphone fixe qui se
trouvait vers le couloir du coté gauche de la maison pour
prendre écoute de la conversation de Jérôme. Qui donc
tentait d’appeler depuis environ une heure ? C’était son
humble et adorable fils chéri qui voulait avoir les
nouvelles de son papa avec qui il c’était séparé cela
remonte déjà à plusieurs années. Heureux d’entendre la
voix de celui-ci, il n’avait voulu prononcé un mot lors du
précédant appel car souhaitait que ce soit son père qui
viennent le répondre disait t-il à celui-ci. Il était très
attaché à son géniteur depuis sa tendre enfance malgré
qu’il ne se souvenait presque plus de tout. Sauf le fait
qu’ils se baladaient souvent ensemble de gauche à
droite signe d’une affection incommensurable. Jérôme
entendant ainsi son fils lui causer, les larmes se mitant à
couler.il éprouvait beaucoup de remord car cela faisait
bien longtemps qu’il l’avait quitté pour revenir en France
son pays d’origine. Jérôme souhaitait le revoir prêt de lui
mais avant, il y avait des choses à refaire entre lui et son
épouse. Pendant ce temps, celle-ci était soigneusement
accroché au téléphone comme une sourie écoutant
attentivement leurs conversations. Quand veux-tu
revenir au pays ? demanda Jérôme à son fils. Dès que
possible mais après que j’aurai terminé mon examen à
l’université répondit t-il tout étant joyeux. Dans tous les
cas, fiston, je te souhaite une bonne chance pour ton
examen et le reste de temps qu’il te faudra passé là-bas
dit son père. Chose curieuse, depuis la mort de sa
première compagne, Jérôme n’avait rien dit à son fils du
décès de sa mère car accusé de légèreté sur la santé de
celle-ci, il se réservait alors le droit de révélé quoi que se
soit à son fils de peur que celui-ci puisse l’en vouloir
pour le reste de ses jours. Avant de raccrocher, le fils
unique demanda à son père à vouloir parler à sa maman
donc il ne se souvenait pas de la voix ni même de la
physionomie. N’ayant donc jamais rien dit à sa nouvelle
épouse sur l’enfant qu’il avait eut bien avant qu’il ne se
soit rencontrer, Jérôme ne pouvait pas faire appel à
Bernadette pour qu’elle dialogue avec ce garçon
inconnu. Maman est en voyage répondit Jérôme à son
fils. Elle ne reviendra pas de si tôt insista t-il. Tu pourras
dialoguer avec elle un autre jour t’inquiète Rassura ainsi
le père au fiston qui profita de lui donner un numéro par
lequel ses parents devait désormais le joindre plus
facilement. Abattu parce que ne pouvant pas dire un
mot à sa maman, il resta quelque moment silencieux et
ensuite ils se dirent un « A bientôt » sans être redevable
l’un l’autre. Bernadette après avoir elle aussi raccroché
le téléphone et ensuite s’être enfuit, comprit que même
le gamin de son mari n’était même pas au parfum du
décès de sa mère et que son père avait en sa possession
une nouvelle femme. Ce qui permis donc à Bernadette
de bien élaborer son plan pour les nuire d’avantage
.une manigance qui serait celle de détruire
systématiquement leur vie au profit d’elle et sa fille
puisque n’étant pas convaincu de l’amour que lui porte
son marie. Désormais, elle qui souvent avait l’habitude
de déjeuner en famille, ne voulait plus être de la partie
car il fallait accomplir une mission.
Le mauvais tour Partie 5
C’est ainsi qu’un beau matin, « la bonne dame » servit à
table un déjeuner copieux mêlé de la salade et alla
s’apprêter pour aller à son boulot laissant son mari et sa
fille savourer tous les deux le précieux repas. Jérôme
trouvait cette attitude pas très saine mais sa femme
avait trouvé une excuse pour s’échapper. Trente
minutes passés, commença en suite un drame. La jeune
fille ressenti dans son abdomen un coup violent qui
laissait croire qu’on était entrain de lui couper les
intestins et soudain elle tomba par terre. Le père surprit,
se jeta à la rescousse de sa fillette mais
malheureusement, là à cette instant, elle trouva la
mort. Nathalie entendant les hurlements de son mari,
sorti de la chambre à son heure voulu pour savoir ce qui
se passe mais trouva également l’homme lui aussi
entrain de s’en aller. Deux corps désormais étaient
allongés à même le sol, c’est alors qu’elle se mit à hurler
elle aussi : Au secours ! Au secours ! Venez me sauver.
Mais personne ne répondait à la demande au sain du
voisinage car elle était déjà réputé d’être une femme au
« mauvais cœur ». Ayant eut la conviction que les deux
était parti, elle prit le téléphone et fit appel aux sapeurs
pompiers qui arrivèrent rapidement au lieu dit de
l’incident. Elle avait prit soin d’empoisonner ce que
devait consommer son mari mais seulement, elle n’avait
pas eut l’idée que celui-ci en donnerait également cela à
sa fille désireuse d’en consommer elle aussi. Pourtant,
par le passé, ce que mangeait Jérôme, n’avait jamais fait
l’objet d’une convoitise pour la fille de Bernadette. Que
lui était t-elle donc arrivée ? Personne ne le sait dira t-on
peut-être un mauvais sort ou alors une coïncidence.
Bernadette pleurait se roulant par terre, appelant à
haute voix le non de sa fille plus que celui de son mari
ce que les voisins sur leur balcon trouvaient vraiment
bizarre même si cet enfant était innocent dans cette
affaire. Ils la regardaient baigné de larme sans avoir le
moindre remords pour elle. Les pleurs de crocodile
disaient t-ils. Désormais, tu ne nous lorgneras plus d’un
mauvais œil. Disaient t-ils chacun intérieurement
pendant que les autorités compétant faisaient leurs
enquêtes après avoir emballé les morts pour une seule
destination la sale d’autopsie avant de les placer dans
une morgue. Ce jour là, les nouvelles allèrent de bouche
à oreille comme à la vitesse de la lumière jusqu'à
atteindre le lieu ou se trouvait l’entreprise de Jérôme
ou tous les membres furent terriblement consternés.
Leur patron venait de s’éteindre n’ayant jamais été
malade entre temps. Bernadette maligne, sachant que la
vérité devait être tôt ou tard mit au grand jour, elle prit
le soi de se munir des plus grands avocats du pays, ceux
qui pouvaient défendre sa cause. Les frères de Jérôme
s’étaient mobilisés eux aussi pour savoir exactement ce
qui s’était passé vu qu’ils savaient déjà de quoi pouvait
être capable celle qui pour eux été considéré comme
étant une sorcière et voleuse de destinée. Le temps de
lever la sentence se pointa à la porte et comme
toujours, les frères et amis de Jérôme puisqu’ils étaient
déjà mit au courant de se qui s’était passé attendait que
justice soit faite. Chose dite mais pas faites puisque
l’accusé avait monnayé ses avocats et le reste du
tribunal pour couvrir l’affaire. Fou de rage, ceux qui
étaient du coté du défunt après avoir entendu le verdit,
voulu en découdre avec Bernadette ensuite pour aller
par la suite incendier son domicile mais tout était sur la
surveillance de ses « soldats ». La dame fut acquittée de
toutes les charges qui étaient retenues contre elle et
avait donc le droit d’être protégé contre toutes formes
de violence y compris à l’encontre de son domicile et
entreprise qui désormais lui appartenait entièrement,
avec une fortune personnelle de son homme que celui-
ci eut laissé estimé à plus de deux cents cinquante
millions d’euros. La triste veuve qui avait pleuré à
chaude larmes devait alors désormais revêtir la tunique
de celle joyeuse pour pouvoir jouir de tous les biens
offert au prix du sang versé.
(A suivre…)
Résumé de l’ouvrage
Jérôme dans cette histoire est un homme très heureux.il
est propriétaire d’une entreprise fondé par lui-même
depuis quelques années et après avoir épousé une
femme avec qui il avec qui il croyait faire une vie, elle
mourut de maladie plutôt. C’est de là que le triste sort
tomba sur sa tête où il fut dans l’obligation d’avoir une
autre compagne. Vous vous poserez peut être la
question à savoir pour quoi n’avait t-il pas prit le soin
d’attendre afin de voir plus clair sa situation. C’est
justement parce qu’il en n’avait assez de mener une vie
de solitude ou il rentrerait et ne verrait personne venir à
son encontre lui souhaitant la bienvenue.il voulait donc
avoir une vie aisé ou le bonheur tout les jours se
pointerait à l’horizon pour lui procurer une satisfaction.
Celle qui l’amènera alors dans un aveuglement total
jusqu’au jour où il perdit sa vie.
Table des matières La voleuse de destinée ............................................................. 1
La voleuse de destinée ............................................................. 2
Du même auteur ...................................................................... 3
L’instant de bonheur de Jérôme .............................................. 4
Le scandale ............................................................................... 8
Le retour de Jérôme ............................................................... 13
Le numéro fantôme ................................................................ 20
Le mauvais tour ...................................................................... 25
Résumé de l’ouvrage .............................................................. 29
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