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Ce livret reprend différents témoignages de jeunes ayant effectué une mobilité à l'international grâce à l'association. Stage Léonardo, SVE court et long, Permis Vacances Travail... Ces expériences vous tentent aussi? Lisez leurs témoignages, et contactez nous..!Livret réalisé par le pôle Ile de France.
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Itinéraires de jeunes
partis avec notre
Association
ITINERAIRE INTERNATIONAL
Itinéraire International est une association qui vise à
démocratiser l’accès à la mobilité internationale des jeunes
de 18 à 30 ans, de tout niveau de qualification ou de langue.
Elle cherche également à promouvoir auprès des professionnels et des pouvoirs publics la mobilité internationale en tant qu'outil d'insertion sociale et professionnelle.
Itinéraires de jeunes partis à l’international
avec notre association
1
Les Gallois boivent beaucoup ! Les pubs sont
pleins dès 17h en semaine. Il est très rare de
trouver des personnes sobres le week-end et
en soirée.
Ce qui m'a surprise aussi, ce sont les
horaires: l'école se termine très tôt (vers
15h) et la plupart des gens terminent le
travail assez tôt. Les gens dînent tôt, rentrent
de soirées tôt, les boutiques et restaurants
ferment tôt, c’est assez bizarre comme mode
de vie ! Mais on s’y habitue.
« Ce séjour a été une expérience incroyable. Je suis très heureuse d'avoir eu la
chance de vivre dans un pays étranger et de découvrir une autre culture. » Camille, partie 3 mois en Stage Leonardo au Pays de Galles
Suite à l’obtention de mon BTS tourisme,
j’ai voulu partir à l’étranger pour
découvrir un nouveau pays, une nouvelle
culture et pratiquer une autre langue.
Je travaillais au sein d'un organisme qui
regroupait plusieurs associations en lien
avec l'environnement. Je m'occupais
principalement du coin café et boutique de
l'organisme ainsi que de la mise en place
des salles de réunion. Je m'occupais
également du site Internet de l'association.
Ce que j’ai le plus apprécié ?
J'ai beaucoup aimé la vie au quotidien car
l’on remarque les différences et
ressemblances dans la culture des pays. A
mon arrivée dans le pays, il m'a fallu un
temps d'adaptation notamment pour les
horaires
J'appréciais passer du temps avec mes
amis puis avec ma famille d'accueil. J'ai
aimé la communication avec les autres.
Dans mon stage, j’appréciais beaucoup
l’ambiance, et le fait qu'il n'y avait aucune
rivalité. Mes collègues n'hésitaient pas à
me demander si j’avais besoin d'aide et
inversement.
Des anecdotes particulières ?
Les Gallois ont un accent assez prononcé et des
expressions bien à eux ! Mais ils sont très
accueillants et amicaux donc il est facile de se
faire des contacts. L'école est également un bon
moyen de se faire des connaissances. Parfois, le
fait de parler français entre nous attisait la
curiosité et permettait d'engager la conversation
avec les autres.
Marina de Swansea
Plage de Rhossili
Qu’est-ce que le stage
Leonardo ?
Ce programme a été créé par
l’Union européenne afin de
permettre aux jeunes d’effectuer
un stage professionnel dans une
entreprise européenne d’une
durée moyenne de 2 mois.
L’objectif principal de ce
programme est d’acquérir ou
perfectionner des compétences
professionnelles et personnelles,
d’échanger et de découvrir des
nouvelles méthodes de travail et
ce, afin de faciliter l’insertion
professionnelle des jeunes au
retour.
Pour qui ?
Selon les conditions d'Itinéraire
International, ce stage s’adresse
à des jeunes demandeurs
d’emploi, âgés de 18 à 30 ans, et
dont le niveau de qualification
est inférieur ou égal à Bac +2.
Les conditions
pratiques ?
Les billets aller et retour, les
transports locaux sur place,
l’hébergement, la nourriture,
l’assurance, les cours de langue
et le placement sont pris en
charge !
2
Ce que je conseillerais aux
autres ?
De préparer son projet à l'avance : mettre
de l'argent de côté et prévoir ses dépenses,
réfléchir au contenu de sa valise, ne
prendre que l'essentiel car il y a beaucoup
de tentations pour le shopping. N'hésitez
pas à poser des questions et surtout n'ayez
pas peur d'essayer de nouvelles choses !
Ce séjour m'a permis d'avoir
plus confiance en moi, d’être
plus autonome et d’aller vers
les autres.
Et maintenant ?
Maintenant que je suis rentrée, je
ressens une certaine nostalgie.
J'aimerais beaucoup retourner au
Pays de Galles pour les vacances et
tenter l'expérience dans un autre
pays.
Quelques personnes de l’école (City School of Languages)
Si votre expérience était :
Une couleur
Vert comme les paysages.
Un son /un bruit / une
musique
La musique que l'on entendait
pendant que l'on dansait la
salsa.
Un paysage
La plage de Rhossili.
Un goût / une odeur/ un
ingrédient / un plat
Les "Baked potatoes" au
Stilton que l'on mangeait au
restaurant The Georges.
Un mot / une expression
"Easy peasy lemon squeezy" !
Voyager, pour vous, c’est :
Se découvrir, apprendre, faire des expériences, faire des rencontres, mûrir, devenir plus autonome.
.
Quel a été l’accompagnement
d’Itinéraire International ?
Itinéraire International est l'organisme avec
qui nous avons préparé notre séjour grâce à
des cours de langues, différents ateliers, des
entretiens téléphoniques, etc.
3
« Cette expérience m’a permis de relativiser les choses et m’a donné envie de
travailler avec les enfants. Aujourd’hui, je prépare un CAP Petite enfance » Siradou, partie 1 mois en SVE (court terme) en Turquie
Alors que je travaillais à l’aéroport de
Roissy en tant qu’agent de nettoyage
d’aéronef depuis presque 2 ans, j’ai
voulu changer d’horizon, améliorer
mon anglais et changer de secteur ! Une
expérience à l’étranger représente pour
moi un énorme bonus sur mon CV et
peut m’ouvrir des portes !
En Turquie, je travaillais avec des
enfants orphelins dans des villages.
Certains d’entre eux étaient atteints de
cancer. Je m’occupais de l’animation, je
préparais des ateliers de jeux, de
mosaïque, d’éveil, de découpage, etc.
Les enfants parlaient en turc et les
autres animateurs étaient là pour les
aider. J’avais un peu de mal à me faire
comprendre, surtout au début, mais
avec le langage des mains nous avons
réussi à trouver un terrain d’entente !
Ce que j’ai préféré ?
La découverte du village, le contact avec
les enfants. J’ai partagé cette expérience
avec 18 autres volontaires de toutes
nationalités, une grande richesse ! Je ne
parle pas très bien anglais,
heureusement qu’une volontaire
française m’a aidée, sinon je me
débrouillais pour me faire comprendre
avec le langage des signes même avec
les animateurs ! Mon niveau s’est quand
même un peu amélioré, mais c’est vrai
qu’1 mois c’est un peu court !
Je vivais en colocation avec 4 autres volontaires
et cela s’est très bien passé. Deux cuisinières
venaient tous les matins. Le vendredi, chaque
volontaire devait faire une spécialité de son
pays.
Des anecdotes particulières ?
Je n’oublierai jamais mon dernier jour. Au
moment de dire au revoir aux enfants, une
sœur et son petit frère ont commencé à pleurer
et tous les autres enfants du village se sont mis
à pleurer aussi. Je n’ai pas pu retenir mes
larmes, c’était très émouvant.
Les différences culinaires m’ont aussi marquée,
notamment les couleurs de leurs épices que je
trouve magnifique. Et par exemple, ils disent
bon appétit (hafiyet olsun) au début et à la fin
du repas !
Qu’est-ce que le SVE ?
Le Service volontaire européen a
pour objectif de favoriser la
participation des jeunes à
diverses formes d'activités de
volontariat, tant au sein qu'à
l'extérieur de l'Union européenne,
dans les domaines suivants : l'art
et la culture, le social,
l'environnement et protection du
patrimoine, les médias et
l'information des jeunes contre
les exclusions, le racisme et la
xénophobie, la santé, l'économie
solidaire, le sport, la diversité
culturelle, l'avenir de l'Europe.
Le volontaire européen participe,
individuellement ou collective-
ment, à une activité d'intérêt
général, non rémunérée.
Ce programme fait partie du
programme "Jeunesse en action"
élaboré par la Commission
européenne, le Parlement
européen et les Etats membres de
l'Union européenne.
D’une durée maximale de 12
mois, le SVE ne requiert aucune
participation financière du
volontaire : les billets aller et
retour, les transports locaux sur
place, l’assurance, l’hébergement,
la nourriture, les cours de langue
et l’argent de poche sont pris en
charge !
4
Ce que je retiendrai de mon
séjour ?
Ce projet de SVE m’a permis de relativiser
sur la maladie et de faire face à la pauvreté.
Je me rappelle d’un soir où j’ai diné chez une
dame qui travaille à l’association avec sa
mère et ses 2 sœurs.
Ce que je conseillerais aux
autres ?
Je leur conseillerais d’être ouvert d’esprit,
très sociable et de ne pas avoir peur de
dire ce qu’ils pensent ou ce qu’ils veulent.
Et pour combattre sa peur de l’inconnu, il
faut se renseigner le plus possible et
contacter des gens qui sont déjà allés dans
le pays. Il faut aussi avoir le goût de
l’aventure.
On revient vraiment avec la tête sur les
épaules et plus mature. Je le suis devenue
grâce à ma rencontre avec les enfants.
Et maintenant ?
Depuis que je suis rentrée, je suis toujours
nostalgique des enfants, on s’y attache très
vite, ils me manquent. En ce moment, je
cherche du travail dans le secteur des enfants,
de la formation ou du travail.
En plus de m’avoir aidée à définir un projet
professionnel, cette expérience m’a donné le
goût de l’international. J’aimerais vraiment
repartir mais pas tout de suite, j’ai d’abord
envie de trouver une stabilité.
Si votre expérience était :
Une couleur
Un arc en ciel (sentiments
des enfants, projets…)
Un son /un bruit / une
musique
La musique turque
Un paysage
Un village
Un goût / une odeur/ un
ingrédient / un plat
Le Yaourt
un mot / une expression
Mheraba (bienvenue)
.
Voyager, pour vous, c’est :
Découvrir d’autres cultures,
s’ouvrir à autre chose,
découvrir un autre univers,
partir loin, profiter.
Quel a été l’accompagnement
d’Itinéraire International ?
J’ai tout d’abord participé à une réunion
d’information sur le SVE dans les locaux de
l’association. Cette forme de volontariat m’a
tout de suite intéressée, j’ai donc pris
rendez-vous avec une conseillère en mobilité
internationale qui m’a parlé de ce projet en
Turquie opéré par Itinéraire International.
J’ai foncé, et je ne le regrette pas ! J’ai
bénéficié d’un accompagnement tout au long
de la préparation de mon départ, on m’a bien
expliqué comment tout allait se passer et,
même sur place, je gardais toujours le
contact avec la conseillère qui me suivait.
5
« Il est toujours bénéfique de découvrir de nouveaux endroits et de nouvelles
cultures, tout d’abord pour voir qu’il existe d’autres manières de vivre et penser.
Aussi, pour mieux prendre conscience de sa propre situation. » Ouafia et Stéphane, partis 1 an en PVT en Australie
Après avoir fini nos études, nous voulions
nous enrichir d’une expérience à l’étranger
dans un pays anglophone. L’Angleterre
étant trop près, les USA étant trop
compliqués au niveau des visas et le Canada
étant trop froid, nous avons donc décidé
d’aller en Australie !
Le but de notre projet est une immersion
totale dans un pays anglophone. Le défi est
de réussir à apprivoiser l’Australie qui est
un pays différent de la France, notamment
au niveau de la langue et de la culture, et de
pouvoir y vivre comme n’importe quel
citoyen australien. Le défi est donc de
trouver où se loger puis un travail et mener
une vie sociale, aller à la rencontre des
Australiens.
Ce que nous avons préféré ?
Ce qui nous a le plus plu c’est
particulièrement l’ambiance de Melbourne
qui est une ville très jeune, très étudiante.
C’est une ville chaleureuse où l’on ne
s’ennuie jamais. Il y a à la fois beaucoup
d’ambiance avec ses nombreux cafés,
restaurants, bars, boutiques, cinémas… mais
également le calme avec ses nombreux
jardins, ses barbecues publics…
Puisqu’on a trouvé un appartement près du
centre, on a beaucoup apprécié au quotidien
la proximité du centre, de pouvoir tout faire
à pied, c’était très agréable.
Ce que nous avons le moins
aimé ?
Ce qui nous a le moins plu c’est le fait de
n’avoir à ce jour pas pu décrocher un job dans
nos domaines respectifs. Car notre visa limite
nos expériences professionnelles à 6 mois, il
est donc difficile de trouver des entreprises
recherchant ce genre de contrat.
Des anecdotes particulières ?
Pint on punt est l’auberge de jeunesse où nous
avons vécu pendant une semaine à notre
arrivée. Nous avons choisi cette auberge car
elle était très bon marché mais on a très vite
compris pourquoi ; c’était très sale et austère.
Le point positif est que nous ne nous sommes
jamais autant "activés" pour trouver un autre
endroit pour vivre.
Qu’est-ce que le PVT ?
Le Permis Vacances Travail (ou
Working Holiday Visa), s’inscrit
dans le cadre d’accords
bilatéraux de mobilité des
jeunes, signés entre la France et
les 6 pays suivants : l’Argentine,
l’Australie, le Canada, la Corée du
Sud, le Japon, la Nouvelle-
Zélande et Singapour.
Ce programme s’adressant à des
jeunes Français âgés de 18 à 30
ans (35 ans pour le Canada)
permet de découvrir une
nouvelle culture, "booster" ses
compétences ou tout simplement
voyager en ayant la possibilité de
travailler pour subvenir à ses
besoins.
Le visa délivré est valable un an
et à entrées multiples.
Les conditions
pratiques ?
Dans le cadre du dispositif Mobil’
Access, Itinéraire international
peut allouer aux jeunes
"PVTistes" une bourse du Conseil
Régional d’Île-de-France, d’un
montant de 500€ par personne.
6
Il est toujours bénéfique de découvrir de
nouveaux endroits et de nouvelles cultures
tout d’abord pour voir qu’il existe d’autres
manières de vivre et penser.
Aussi, pour mieux prendre conscience de sa
propre situation. Nous voulons dire par là
que souvent nous nous imaginons des tas de
choses lorsqu’on ne connait pas.
Par exemple, avant d’aller en Australie, nous
idéalisions beaucoup ce pays en pensant que
la vie serait plus simple. Mais à vrai dire, nous
nous sommes très vite rendu compte que
comme ailleurs, il faut se battre pour se faire
une place.
Ici, nous avons ressenti que les valeurs telles
que le respect mutuel et le respect vis-à-vis
des lois semblent bien établies. Cela est très
agréable pour la vie en communauté.
Le début n’a pas été facile car les Australiens
parlent très vite et avec un très fort accent, du
coup le moindre mot peut se révéler totalement
incompréhensible. Mais on s’est très vite intégré.
Les premières rencontres se sont faites au
travail.
Le nombre d’Asiatiques : l’Australie possède une
immigration asiatique impressionnante.
Melbourne en particulier est une ville très
multiculturelle, en effet tout le monde possède
un accent ici.
Ce que nous retiendrons de notre
séjour ?
A l’heure où nous vous parlons, nous n’avons
effectué que 6 mois d’aventures et, étant de
nature plutôt optimiste, nous avons tendance à
penser que les 6 meilleurs mois restent encore à
venir. Cependant, nous avons pu voir à quel point
l’Australie se porte bien économiquement
parlant. Nous n’avons pas des situations
professionnelles importantes mais pourtant nous
avons l’impression de mieux vivre qu’en France,
de pouvoir se permettre plus de choses.
Ce que nous conseillerions
aux autres ?
De partir avec pas mal d’argent de
côté car la vie est très chère.
Et maintenant ?
Nous ne sommes pas encore rentrés
et nous ne sommes pas pressés !
Si votre expérience était : Une couleur On ne peut pas se décider, car au niveau vestimentaire les Australiens sont un festival de couleurs. Un son /un bruit / une musique Le bruit de la pluie, car contrairement à ce que l’on peut penser, à Melbourne, il pleut beaucoup. Un paysage Harbour Bay, c’est la baie à
Sydney avec, de part et
d’autre, l’ « Opera House » et
le « Harbour Bridge ».
Un goût / une odeur/ un Le « healthy burger » de Grill’d (chaîne de restaurants australienne). Un mot / une expression (en français ou dans la langue du pays) How is it going mate?
7
« Je ne pourrais jamais assez décrire l’expérience extraordinaire qu’a été ce mois de solidarité
internationale, les différents moments vécus aves les jeunes et les plus vieux et ce sentiment si
plaisant de se sentir perdue, d’avoir tout à apprendre et à découvrir »
Alexandra, partie 1 mois en volontariat en Bolivie
J’ai toujours voulu partir à l’étranger, sans raison précise. C’est sans doute, ma curiosité qui m’a poussé à partir.
Je suis partie avec un groupe d’ami en
collaboration étroite avec l’association COLA,
située à Paris.
Notre mission était double : rénover un internat,
celui de Palomar, avec l’aide des habitants du
village et d’une communauté religieuse active
dans la région de Potosi et de proposer diverses
animations et jeux aux enfants de l’école. A cette
occasion nous avons mené des activités photo,
marionnettes et sur le thème des droits des
enfants et des adolescents. Nous avons été
hébergés durant notre mission dans l’internat
avec les étudiants les plus âgés et les week-ends à
Azangaro, par les sœurs. Nous avons, de plus,
visités les villes de Sucre, Santa-Cruz et d’autres
villages.
Ce que j’ai préféré ?
La gente ! Les gens m’ont énormément plu, leur contact est très chaleureux. Bien
qu’étant le 2ième pays le plus pauvre d’Amérique latine, les boliviens donnent tout ce
qu’ils ont. Ils ont de plus de très beaux ancrages culturels et nous n’avons pas cessé
d’apprendre et de partager tout au long de notre séjour. Vivre traditionnellement
m’a énormément plu, sans avoir d’exemples concrets en tête. Nos cultures sont
tellement différentes qu’on découvrait un autre quotidien, une autre manière de
cuisiner, de manger, de vivre et c’est plutôt sympa.
Ce que j’ai le moins aimé ?
Ce qui m’a le moins plu a été le retour ! Ce voyage a été extraordinaire et c’est avec
beaucoup d’émotion de tristesse que nous sommes repartis.
Ce qui a été difficile également c’est le manque d’accès à l’eau chaude ! Il fait très sec
à plus de 4 000 mètres d’altitude, alors une douche tous les 3 ou 4 jours, ce n’est pas
bien grave mais, quand il y a de l’eau chaude, on ne a du mal à réguler son intensité,
elle est ou froide, ou bouillante !
Des anecdotes ?
Le premier jour d’investissement à Palomar, les jeunes étaient en vacances, les
internes étaient dans leurs villages respectifs mais quelques enfants viennent à
notre rencontre, nous jouons et à la fin de la matinée, tous nous disent qu’il y a un
mariage et qu’il faut qu’on y aille. A ce moment nous hésitons car on ne se pointe pas
comme ça à un mariage, en tout cas pas en Occident ! Les enfants nous prennent par
la main et nous y amènent malgré tout. Lorsqu’on arrive, tout le monde nous
regarde, on est alors très gênés et finalement, tout le monde vient vers nous, nous
invite à manger, à boire, à danser et finalement, nous avons passé une des meilleures
journées de notre séjour, malgré nos appréhensions certaines !
Qu’est-ce que ce projet ?
C’est un projet de solidarité qui
consiste à partir pendant un mois,
à 4000 mètres d’altitude, dans
l’altiplano bolivien, à la rencontre
des habitants de quelques villages
quechuas pour y vivre un temps
d’amitié, de découverte,
d’échange. C’est aussi l’occasion
d’y faire des activités avec les
enfants, et de donner un coup de
main aux écoles des petits villages
qui accueillent les bénévoles.
Qui participe ?
7 ou 8 jeunes adultes de 20 à 30
ans
Où ? En Bolivie, région de Potosi
Quand ? Juillet 2012
Avec qui ?
L’association COLA (Coopération
–Ouverture – Lien – Avenir) est
partenaire et support légal du
projet , elle a plusieurs années
d’expérience en Amérique Latine
et en Afrique.
8
Tout comme pour la vie quotidienne, je ne
saurais vous dire ce qu’il m’a le plus marqué,
tout est différent ! Tout ! Les paysages, les
vêtements, la nourriture, la langue, les
transports en commun, le climat, le rythme de
vie, les marchés etc.
La différence culturelle qui m’a le plus surpris et
qui m’a surtout le plus touché est l’ensemble de
cultes voués à la Pachamama, la terre-mère.
Tous les boliviens remercient, à travers des fêtes
mais aussi au quotidien, la terre-mère car c’est
elle qui nous donne et nous nous devons de lui
donner en retour. C’est pourquoi, en août, il y a
une grande fête au pied du Cerro-Rico, en son
honneur. A chaque fois que l’on boit ou que l’on
mange, on se doit de partager avec la
Pachamama, en versant un peu de boisson ou de
nourriture sur la terre. A ce moment, on dit « A
la Pachamama ! »
Ce que je retiendrai de mon
séjour ?
J’ai appris que la Bolivie abrite un peuple riche
et fort de sa culture, de son histoire politique.
C’est un pays très touchant et les rencontres
faites sur place sont toutes plus authentiques les
unes que les autres. J’ai vu aussi les
inconvénients culturels à la mondialisation et
compris l’importance de s’éloigner des grandes
villes pour mieux apprendre d’un pays et de ce
qu’il a offrir.
Le sentiment d’avoir tout à apprendre, à
comprendre va me manquer. Le bien-être
ressenti devant ces montages de plus de 4 000
mètres d’altitude, la puissance de la nature
sauvage.
Cette expérience m’a permis
d’apprendre sur moi comme aucune
autre. Je pense désormais être plus forte
pour affronter mes projets avenirs.
Je suis absolument satisfaite de cette
expérience, et, effectivement, je
recommande à toutes personnes dont un
projet de voyage, de solidarité
internationale trotte en tête de se
renseigner, d’oser passer le cap et de
partir. Pour ça, Itinéraire International
est très bonne pour aiguiller les
premiers projets solidaires et
l’association COLA est très pertinente
dans ses conseils de par son expérience
en Bolivie, au Sénégal et au Cameroun.
Ce que je conseillerai aux
autres ?
Bien se renseigner et s’écouter. D’une part,
bien se renseigner car il me semble
important de savoir où l’on part, au niveau
culturel, politique, traditionnel, religieux
etc. De plus, c’est un bon moyen d’être
serein avant son départ. D’autre part,
s’écouter dans ses envies et ses besoins car,
si on ne le fait pas, on se retrouvera dans
des situations inconfortables voire pas
supportables. Par exemple, il ne me semble
pas conseillé de voyager seule si on se sent
mal lorsque l’on se retrouve isolé. Bien que
ça paraisse logique, il me semble important
de ne pas oublier ses volontés tout au long
de la préparation du projet, du stage.
Propos tirées du rapport d’Alexandra Aime
Si votre expérience était…
une couleur… le bleu. Pour les tissus, le ciel dégagé, les nuits noires étoilées.
un son /un bruit / une musique … le silence. Pour ces moments où l’on s’est retrouvé seuls face aux éléments naturels.
un paysage… L’altiplano Cette chaine montagneuse de plus de 4 000 mètres d’altitude qui traverse la Bolivie et d’autres pays d’Amérique latine.
un goût / une odeur/ un ingrédient / un plat … le chirimoya un fruit d’Amérique Latine, doux et parfait au petit déjeuner !
un mot / une expression La vida no es difícil. La vida es dura.
Voyager pour vous c’est: Une des plus belles sensations qu’il m’ait été donné de vivre.
Quel a été l’accompagnement d’Itinéraire International ? Itinéraire International nous a aidés
financièrement, à travers la bourse
Mobil Access. Ils ont été très
accessibles, par téléphone, mail ou sur
RDV pour m’aider à rendre ce projet
viable. C’est le premier organisme que
j’ai rencontré et mon interlocutrice m’a
aidée à visualiser l’organisation du
projet sur le long terme et a, par la
suite, été plus que disponible.
Et maintenant? J’ai tout d’abord été nostalgique des moments vécus en Bolivie, du pays. J’ai trouvé la France fade, sans couleurs et sans gout. Je crois que c’est normal ! A la suite de quoi, j’ai décidé de renouveler cette expérience ! C’est pourquoi, je suis en train de monter mon association, nommée Par Leurs Yeux, qui a pour objet de comprendre le monde, la cohabitation de si nombreuses cultures, aux échelles nationales et internationales. Nous travaillerons notamment avec les enfants en mettant en avant la photographie du point de vue du jeune. Nous tavaillons d’ors et déjà sur un projet similaire à celui monté en Bolivie mais en Inde cet été. Parallèlement, je travaille sur une exposition photo nommée Nada Seguro, Todo Posible, dans laquelle je raconterai l’expérience extraordinaire qu’a été ce voyage en Bolivie.
9
« C'était une année merveilleuse, pleine de tout, pas idéale, pas parfaite, (la perfection ne
peut durer 10 mois !), et pas forcément facile, mais tellement riche. Riche de ces nouvelles
relations, nouvelles rencontres, de ces gens que j'ai commencé à voir autrement, de cette
vision de la vie, de cette ouverture au monde ... De tout » Marie, partie 10 mois en SVE (long terme) en Angleterre
Après avoir terminé ma classe préparatoire,
j’ai eu envie de découvrir autre chose, et de
me rendre compte qu’il n’y avait pas que les
études dans la vie.
Et comme je souhaite à l’avenir travailler à
l’international, effectuer ce SVE était pour
moi une excellente opportunité. Je n’avais
jamais travaillé avec des handicapés, je
n’avais eu que des expériences avec des
enfants, mais j’avais envie de m’investir
dans ce domaine !
J’ai travaillé au sein d’une association
religieuse du nom de « Time for God », je
logeais au sein d’une maison de soins pour
adultes en situation de handicap.
Avec 2 autres SVE (allemande et
hongroise), nous devions nous occuper
d’eux, ce qui impliquait les repas,
l’assistance dans les tâches quotidiennes,
les activités comme par exemple les sorties,
les week-ends).
Au début c’était assez difficile, je manquais
de pratique mais nous étions encadrées et
formées par le staff de l’association et petit
à petit j’ai gagné en confiance.
Ce que j’ai le plus apprécié ?
Le sentiment d’apporter quelque chose, de
me sentir utile et de les voir progresser. Et
puis j’aime beaucoup cuisiner donc j’ai
passé pas mal de temps à leur faire des
cours de cuisine, ils ont apprécié !
Nous faisions aussi pas mal de randonnées,
nous jouions au bowling, allions au cinéma,
réalisions des travaux manuels. Bref, pas le
temps de s’ennuyer !
Qu’est-ce que le SVE ?
Le Service volontaire européen a
pour objectif de favoriser la
participation des jeunes à
diverses formes d'activités de
volontariat, tant au sein qu'à
l'extérieur de l'Union européenne,
dans les domaines suivants : l'art
et la culture, le social,
l'environnement et protection du
patrimoine, les médias et
l'information des jeunes contre
les exclusions, le racisme et la
xénophobie, la santé, l'économie
solidaire, le sport, la diversité
culturelle, l'avenir de l'Europe.
Le volontaire européen participe,
individuellement ou collective-
ment, à une activité d'intérêt
général, non rémunérée.
Ce programme fait partie du
programme "Jeunesse en action"
élaboré par la Commission
européenne, le Parlement
européen et les Etats membres de
l'Union européenne.
D’une durée maximale de 12
mois, le SVE ne requiert aucune
participation financière du
volontaire : les billets aller et
retour, les transports locaux sur
place, l’assurance, l’hébergement,
la nourriture, les cours de langue
et l’argent de poche sont pris en
charge !
10
Des anecdotes particulières ? Au mois de novembre dernier, j’ai pris une
semaine de vacances et à mon retour j’ai été
très surprise de voir qu’un des malades m’a
demandé pourquoi j’étais partie. Il s’est
souvenu de moi, de mon prénom alors
qu’en théorie, ils ont peu de mémoire, ça
m’a vraiment touché. Le départ a été assez
difficile car après 10 mois de SVE, je me suis
vraiment attachée à eux, tout comme aux
autres volontaires. D’ailleurs je retourne les
voir bientôt et je garde toujours contact
avec mes 2 autres collègues.
Ce que je retiendrai de mon
séjour ?
Je retiendrai l’apprentissage de la vie en
communauté et d’un métier, certes difficile
mais tellement beau. En étant
complétement immergée dans un
environnement anglophone, j’ai aussi
nettement amélioré ma maitrise de
l’anglais. J’ai pris aussi du recul sur
beaucoup de choses, j’ai appris à être plus
patiente.
Ce que je conseillerai aux
autres ? Je leur conseillerai de foncer ! Je trouve que
le SVE n’est pas assez répandu et connu, il
faudrait davantage le valoriser et faire des
campagnes d’information. Faire ce genre de
mobilité, c‘est très enrichissant à beaucoup
de niveau. En 1 an, on grandit comme
certaines personnes ont grandi en 10 ans,
on a pas mal de responsabilités !
Et maintenant ?
Ces 10 mois m'ont permis aujourd'hui
d'intégrer la formation que je voulais, de
réaliser d'autres rêves, et sans doute
également des milliards de choses que je ne
réalise pas encore aujourd'hui mais qui me
seront bénéfiques tout au long de ma vie.
Quel a été l’accompagnement
d’Itinéraire International ? J’ai été suivie par des conseillères en
mobilité pour définir mon projet, elles
m’ont aussi aidé à rédiger mon CV et ma
lettre de motivation en anglais.
Voyager pour vous, c’est :
S’ouvrir à de nouvelles personnes, expériences et sensations.
Si votre expérience était : Une couleur Bleue ( il faisait nuit à 15h30 en hiver) il faisait donc froid et nuit dès l’après-midi, un peu déstabilisant quand même ! Un son /un bruit / une musique La voix d’une des résidentes qui était tellement bavarde qu’elle parlait 24h sur 24 !
Un paysage Celui du Yorkshire.
Un goût / une odeur/ un Le fish n chips tous les vendredis !
Un mot / une expression (en français ou dans la langue du pays) Tous les habitants s’appellent entre eux “Love”.
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« J’ai appris à être ouvert d’esprit et à aller vers les autres, sans vouloir les juger ni les changer. Au niveau professionnel, j’ai pu observer différentes façons de faire, cela me sera très utile lors de mes futures expériences.» David, parti 7 mois en PVT au Canada
J’ai déjà étudié et effectué des stages à
l’étranger qui m’ont apporté énormément
tant au niveau personnel que professionnel.
J’ai voulu revivre une expérience
enrichissante.
Avant de rentrer dans le monde de travail,
j’ai souhaité partir à l’étranger afin
d’améliorer mon anglais mais surtout afin
de découvrir des processus et des
techniques d’éducation différentes de celles
que j’ai pues observer en France. Ce séjour
formateur a ainsi eu pour but de renforcer
mes compétences dans le domaine de
l’éducation, permettant ainsi par la suite
une entrée plus facile dans le monde du
travail.
Je savais dès le départ que je ne pouvais
partir que 7 mois car j’avais une offre
d’emploi en septembre 2012. J’ai donc
voulu découper les 7 mois en deux périodes
de temps.
La première à Vancouver (4 mois)
travaillant premièrement en tant que
serveur dans un café le temps de trouver un
poste d’animateur dans un centre de jeunes
(enfants de 10 à 14 ans). Durant ces mois
passés au sein du centre de jeunes, j’ai pu
découvrir des méthodes différentes de
celles que j’avais étudiées en France. Cela a
été très enrichissant et formateur.
Durant la deuxième période (3 mois), j’ai
voyagé dans différentes provinces de
l’ouest canadien afin de rencontrer
différentes cultures et modes de vie.
A mon arrivée ? Je me suis bien intégré dès le départ quand je
suis arrivé à Vancouver.
Je suis habitué à rapidement prendre le
rythme du pays dans lequel je me rends.
J’ai rencontré beaucoup de personnes :
- Au sein de ma colocation
(colocataires et amis de colocataires)
- Au sein du milieu professionnel dans
lequel je travaillais
- A travers la pratique d’activités
sportives
- A travers le site Couch Surfing qui
permet de faciliter la rencontre entre
les personnes.
- A travers des rencontres avec des
anglophones pour améliorer mon
anglais (English partner)
Ce que j’ai le plus apprécié ?
Les échanges avec les anglophones et avec
mes colocataires est ce qui me plaisait le
plus.
J’ai effectué ce voyage avec ma copine.
Cela était très intéressant de voir
comment l’on a fait pour s’intégrer à deux
dans un environnement inconnu. C’est une
expérience que je recommande fortement.
L’inconnu.
Le fait de ne pas savoir ce que l’on fera
demain.
Des anecdotes particulières ? Ne connaissant personne au départ, je
passais mes premiers week-ends plus ou
moins seuls.
Après deux mois, ayant rencontré
tellement de personnes (colocataires,
amis, collègues, etc.), je passais tous mes
week-ends accompagné de mes amis
allant à la plage, la montagne, regardant
des films ensemble, etc.
Comme je l’ai dit, au départ je ne
connaissais personne. Après quelques
semaines j’ai rencontré beaucoup de
personnes et un bon ami en particulier
(Jonathan). A la fin de mes 4 mois à
Vancouver, je suis parti faire une
randonnée d’une semaine (7jours,
24h/24) avec mon ami Jonathan, inconnu
quatre mois auparavant.
Qu’est-ce que le PVT ?
Le Permis Vacances Travail (ou
Working Holiday Visa), s’inscrit
dans le cadre d’accords
bilatéraux de mobilité des
jeunes, signés entre la France et
les 6 pays suivants : l’Argentine,
l’Australie, le Canada, la Corée du
Sud, le Japon, la Nouvelle-
Zélande et Singapour.
Ce programme s’adressant à des
jeunes Français âgés de 18 à 30
ans (35 ans pour le Canada)
permet de découvrir une
nouvelle culture, "booster" ses
compétences ou tout simplement
voyager en ayant la possibilité de
travailler pour subvenir à ses
besoins.
Le visa délivré est valable un an
et à entrées multiples.
Les conditions
pratiques ?
Dans le cadre du dispositif Mobil’
Access, Itinéraire international
peut allouer aux jeunes
"PVTistes" une bourse du Conseil
Régional d’Île-de-France, d’un
montant de 500€ par personne.
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Ce que je retiendrai de mon séjour ? J’ai appris à être ouvert d’esprit et à aller vers
les autres, sans vouloir les juger ni les changer.
Ce que je retiendrai : Prendre les gens comme
ils sont et s’enrichir à travers les rencontres.
Rester simple…
Au niveau professionnel, j’ai pu observer
différentes façons de faire, cela me sera très
utile lors de mes futures expériences.
Séjour très bénéfique autant pour moi que
pour mon couple.
Cela m’a permis de renforcer mon anglais, de
rencontrer beaucoup de personnes de cultures
différentes et de m’ouvrir à d’autres façons de
faire, façons de vivre, différentes méthodes
d’éducation et d’animation.
Au niveau de mon couple, cela a renforcé notre
relation. Nous savons que nous pouvons
surmonter les épreuves ensemble. Nous avons
appris sur nous-même mais aussi sur la
manière dont réagi l’autre. Très bénéfique!
Ce que je conseillerais aux autres ? Je lui conseillerai de s’ouvrir le plus possible aux autres, de ne pas arriver avec des
préjugés.
Je lui conseillerai d’éviter les gens ayant la même nationalité que lui afin de pratiquer
en permanence la langue du pays. Essayer de trouver une colocation style « L’auberge
Espagnole » … Ça aide beaucoup pour démarrer l’aventure !
Quel a été l’accompagnement d’Itinéraire International ?
J’ai été en contact plusieurs fois (5 ou 6) avec Itinéraire International tout au long de
mon voyage.
J’ai échangé des emails afin de détailler mes différentes situations et de donner des
conseils aux personnes suivantes qui effectueraient un voyage similaire au mien.
Itinéraire International a toujours été très réactif et je l’en remercie.
Par ailleurs, grâce à l’organisation Itinéraire International, j’ai pu bénéficier de la
bourse Mobil Access d’un montant de 500 Euros, ce qui m’a beaucoup aidé lors de mon
séjour au Canada. Merci beaucoup!
Et maintenant ? Des attentes … Le prochain départ c’est pour quand ?
Vivement l’Australie, la Nouvelle Zélande, le Chili, l’Argentine..
Vivement qu’on reparte ensemble …
Si votre expérience était : Une couleur Couleur Arc en Ciel ! Un son /un bruit / une musique La musique que j’écoutais tout le temps avec ma copine quand nous nous sommes installés. Un paysage La nature pure du Yukon à l’état sauvage Les glaciers vus lors de la randonnée au Mont Robson, dans les montagnes rocheuses. Splendides ! Un goût / une odeur/ un Le goût des sushis dans les buffets illimités ! L’odeur de la mer de la côte ouest La sensation du vent et de l’air pur du grand nord Un mot / une expression (en français ou dans la langue du pays) Be Happy, don’t worry! Bumming around! Happiness
Voyager pour vous c’est,
Voyager c’est devenir un peu moins bête ! Voyager c’est s’ouvrir aux autres, apprendre, partager, s’améliorer Voyager c’est essentiel ! …et ça devrait être obligatoire !
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« J'ai eu la chance de rencontrer des personnes formidables avec qui j'ai lié de réelles
amitiés et avec qui j'ai partagé de très bons moments.»
Wassila, partie 3 semaines en Irlande dans le cadre d’un projet de mobilité coordonné par
Itinéraire International
David, parti en PVT au Canada
« Ce séjour m’a permis de découvrir un pays
magnifique de rencontrer des gens
extraordinaires, de découvrir une autre
culture et de voir comment les gens y vivent.
Cela m’a permis aussi de perfectionner mon
anglais et m’a donné le goût de voyager, de
bouger et de découvrir plein d’autres pays.
C’est vraiment une très bonne expérience, à
refaire sans problème. Merci Itinéraire
International ! »
Tiffany
« Mon expérience en Irlande m’a permis d’améliorer mon anglais,
de faire de belles rencontres et de découvrir un environnement
‘beautiful’. L’Irlande est un mélange de nature et de modernité, la
population n’a rien à voir avec Paris. J’ai d’ailleurs pleuré à mon
retour, je m’y étais très bien adaptée !! Merci Itinéraire ‘so much ’ »
Mylène
Qu’est-ce que ce projet ?
Du 25 août au 15 septembre 2012,
une quinzaine de jeunes est partie
dans le cadre d'un projet collectif
de découverte des métiers du
tourisme à Bandon (Irlande).
Les objectifs d’apprentissage liés
au processus de formation sont que
les participants du projet
développent :
l’anglais des affaires,
l’interaction à l’oral, la
correspondance à caractère
commercial
des connaissances sur le
secteur du tourisme au sens
large (métiers, vocabulaire)
le sentiment d’être un citoyen
européen immergé dans un
environnement mondial
des compétences sociales et
transversales :cette première
expérience dans un pays
d'accueil en dehors d’un
cadre touristique pourra
aider les jeunes à mûrir leur
"personnalité" en termes de
confiance en soi, de relations
avec les autres, de prise de
responsabilité et d’initiative,
de capital social et culturel.
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« Mon expérience de mobilité en Irlande a été
très enrichissante. En effet j'ai eu la chance de rencontrer
des personnes de différents pays (Allemagne, Italie,
Espagne...) et donc d'échanger avec eux sur
nos différentes expériences et projets professionnels.
Cette expérience m'a également permis de perfectionner
mon anglais, pas considérablement mais j'ai fait de
réels progrès.
Le fait d'être en immersion dans un pays étranger m'a
forcée à aller vers les autres, à m'ouvrir à une autre
culture et à une autre vision des choses.
Pour finir j'ai découvert un pays magnifique avec une
population très accueillante et sympathique. »
Wassila
« Ce fut une expérience très riche pour moi, surtout
pour la langue, la culture irlandaise que je ne
connaissais vraiment pas et surtout parler avec des
jeunes venant de toute l’Europe seulement en anglais!
C'est une bonne initiative je trouve, de faire connaitre
un secteur de métier en organisant un voyage à
l'étranger. Cela permet de voir les choses
différemment. »
Maoudé
« J'ai découvert de merveilleux paysages, des
endroits magnifiques. »
Wassila
Au programme ? Les participants ont suivi des
ateliers en anglais chaque jour du
lundi au vendredi (20 heures par
semaine). Des ateliers de
préparation aux procédures de
recrutement (CV, lettre de
motivation, entretien d’embauche)
ont également été organisés. Enfin
des visites d’entreprises ont eu lieu
afin de permettre aux jeunes
d’échanger directement avec des
professionnels et d’écouter des
témoignages sur différents métiers.
Les participants ont été en
majorité en famille d’accueil afin
pour se familiariser de l’intérieur
avec la culture irlandaise ce qui a
permis une progression
importante en anglais des
participants au regard de la durée
du séjour.
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