Présenté par Julien Morat pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L’INPG

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Vision stéréoscopique par ordinateur pour la détection et le suivi de cibles pour une application automobile. Présenté par Julien Morat pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L’INPG. Président du jury : J. Crowley Rapporteurs : D. Aubert J-M. Lavest Examinateurs : F. Devernay - PowerPoint PPT Presentation

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Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA1er Juillet 2008 INRIA / Renault

Vision stéréoscopique par ordinateur pour la détection et le suivi de cibles pour une application automobile

Présenté par Julien Moratpour obtenir le grade de DOCTEUR DE L’INPG

Président du jury : J. CrowleyRapporteurs : D. Aubert

J-M. LavestExaminateurs : F. Devernay

S. Cornou R. Horaud

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 2

LE CONTEXTE

Centre de recherche et développement Renault : ~12 000 personnes

Direction de la recherche : ~ 120 personnes

Electronique pour l’aide à la conduite : ~ 20 personnes

LE CENTRE DE RECHERCHE ET DÉVELOPPEMENT DE RENAULT

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 3

LA PROBLÉMATIQUELES DIFFÉRENTES PRESTATIONS D’AIDE À LA CONDUITE

http

://w

ww

.gav

rila.

net/M

edia

_Cov

erag

e/m

edia

_cov

erag

e.ht

ml

http

://w

ww

.mob

ileye

.com

/upl

oade

d/A

WS

clip

s/2C

ritic

alS

econ

ds.2

2MB

.mpg

[GBS05] Gavrila et al

Des prestations intelligentes pour améliorer la sécurité et le confort Régulateur de distance (ACC)

Détection de franchissement de marquage routier (Lane Keeping Assist)

Détection anticipée de collision (Collision Warning ou Precrash)

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 4

LA PROBLÉMATIQUE

Connaître l’état du véhicule Vitesse des roues, GPS, centrale inertielle …

Percevoir l’environnement du véhicule RADAR, LIDAR, Sonar

LES BESOINS

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 5

LA PROBLÉMATIQUE

Connaître l’état du véhicule Vitesse des roues, GPS, centrale inertielle …

Percevoir l’environnement du véhicule RADAR, LIDAR, Sonar Caméra

LES BESOINS

Caméra• Semble avoir des performances similaires• Coût attractif• Peut remplacer plusieurs capteurs

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 6

LA PROBLÉMATIQUE

L’utilisation de caméras pour percevoir le monde est un domaine largement couvert, mais l’emport du système dans un véhicule de série soulève de nouvelles problématiques.

Identifier ces problèmes et les solutions possibles Application exemple : régulateur de distance (ACC)

Trois fonctions primordiales : Le calibrage La détection d’obstacles La mesure de vitesse relative

LES OBJECTIFS DE LA THÈSE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

PLAN DE LA PRÉSENTATION

Modèles mathématiquesI. CalibrageII. Détection d’obstaclesIII. Mesure de vitesse 3-D Conclusions

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 8

caméra

MODÈLES MATHÉMATIQUESMODÉLISATION D’UNE CAMÉRA

Centre optique

Plan image

Un objet 3-D

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 9

MODÈLES MATHÉMATIQUESMODÉLISATION D’UNE CAMÉRA

Objet projeté

Ligne

de vu

e

rayon

optiq

ue

Plan image

Un objet 3-D

Centre optique

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 10

MODÈLES MATHÉMATIQUESMODÉLISATION D’UNE CAMÉRA

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MODÈLES MATHÉMATIQUESMODÉLISATION D’UNE CAMÉRA

connuinconnu

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 12

inconnuconnu

MODÈLES MATHÉMATIQUESRECONSTRUCTION 3-D

?

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MODÈLES MATHÉMATIQUESRECONSTRUCTION 3-D

inconnuconnus

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

I. CALIBRAGE1. Objectif et principe2. Définition de la qualité du calibrage3. Les sources d’imprécision4. Quantifier la qualité du système embarqué

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

CALIBRAGE

Pour qu’un système stéréoscopique puisse donner une mesure de distance, toutes ses caractéristiques doivent être connues.

OBJECTIF

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

I. CALIBRAGE1. OBJECTIF ET PRINCIPE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 17

connu

I. CALIBRAGE1. OBJECTIF ET PRINCIPE

Connaître la fonction de projection P

• Distance focale• Taille des pixels• Nombre de pixels• Distorsions• …

inconnu

connu

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 18

connu

I. CALIBRAGE

Points 3-D connus : une mire

1. OBJECTIF ET PRINCIPE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 19

I. CALIBRAGE

Acquisition d’images de la mire avec le système

1. OBJECTIF ET PRINCIPE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 20

I. CALIBRAGE

Extraction des marques fiduciaires

1. OBJECTIF ET PRINCIPE

connuconnu

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 21

inconnu

connu

I. CALIBRAGE1. OBJECTIF ET PRINCIPE

Estimation par optimisation des paramètres p

connuconnu

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 22

I. CALIBRAGE

1. Objectif et principe2. Définition de la qualité du calibrage3. Les sources d’imprécision4. Quantifier la qualité du système embarqué

2. DÉFINITION DE LA QUALITÉ DU CALIBRAGE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 23

I. CALIBRAGE

Les applications visées (ex : ACC) requièrent : 15 cm de précision à 3 m de distance 1.5 m à 30 m de distance

(soit 5% de la distance)

Le système doit être conçu pour atteindre ces performances.

La qualité du calibrage a des conséquences directes sur la qualité du système : nous étudions la relation entre les deux.

2. DÉFINITION DE LA QUALITÉ DU CALIBRAGE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 24

I. CALIBRAGE

Exemple d’un mauvais calibrage

2. DÉFINITION DE LA QUALITÉ DU CALIBRAGE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 25

I. CALIBRAGE2. DÉFINITION DE LA QUALITÉ DU CALIBRAGE

Exemple d’un mauvais calibrage

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 26

I. CALIBRAGE

Différence entre le point 3-D réel et estimé : Dénommée « erreur de reconstruction » Se mesure en mètres Du point du vue du constructeur,

c’est le critère essentiel de qualitédu système

2. DÉFINITION DE LA QUALITÉ DU CALIBRAGE

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I. CALIBRAGE

Différence entre les points 2-D observés et les projections du point reconstruit Dénommée « erreur de reprojection » Se mesure en pixels Minimiser cette différence est

important pour les algorithmes

2. DÉFINITION DE LA QUALITÉ DU CALIBRAGE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 28

I. CALIBRAGE

1. Objectif et principe2. Définition de la qualité du calibrage3. Les sources d’imprécision

A. Respect du modèleB. Qualité du calibrageC. Variation de la géométrie du capteur au cours du temps

4. Quantifier la qualité du système embarqué

3. LES SOURCES D’IMPRÉCISION

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3.A. LES SOURCES D’IMPRÉCISION : LE RESPECT DU MODÈLEI. CALIBRAGE

Caméra

Centre optique

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Caméra

3.A. LES SOURCES D’IMPRÉCISION : LE RESPECT DU MODÈLEI. CALIBRAGE

Pare-brise

?Respect du modèle1

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I. CALIBRAGE3.B. LES SOURCES D’IMPRÉCISION : QUALITÉ DU CALIBRAGE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 32

I. CALIBRAGE3.B. LES SOURCES D’IMPRÉCISION : QUALITÉ DU CALIBRAGE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 33

I. CALIBRAGE3.B. LES SOURCES D’IMPRÉCISION : QUALITÉ DU CALIBRAGE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 34

I. CALIBRAGE3.C. LES SOURCES D’IMPRÉCISION : AU COURS DU TEMPS

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 35

I. CALIBRAGE3.C. LES SOURCES D’IMPRÉCISION : AU COURS DU TEMPS

Variation des paramètres5

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I. CALIBRAGE

1. Objectif et principe2. Définition de la qualité du calibrage3. Les sources d’imprécision4. Quantifier la qualité du système embarqué

A. Respect du modèleB. Le calibrageC. Au cours du temps

4. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ

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I. CALIBRAGE

Les applications visées (ex : ACC) requièrent : 15 cm de précision à 3 m de distance 1.5 m à 30 m de distance (soit 5% de la distance)

L’objectif est de savoir si la qualité requise est atteignable par le système stéréoscopique embarqué, et ce, en fonction des 5 sources d’imprécision.

4. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 38

I. CALIBRAGE

Validation du modèle de projection centrale par calibrage avec un modèle générique (en collaboration avec Srikumar Ramalingam et Peter Sturm)

Constat : le modèle à projection centrale est respecté. Les caméras peuvent donc être placées derrière le pare-brise.

4.A. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : RESPECT DU MODÈLE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 39

I. CALIBRAGE

1. Objectif et principe2. Définition de la qualité du calibrage3. Les sources d’imprécisions4. Quantifier la qualité du système embarqué

A. Respect du modèleB. Le calibrageC. Au cours du temps

4.B. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : LE CALIBRAGE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 40

I. CALIBRAGE

La qualité du système dépend de : La configuration du système La mire Les algorithmes de calibrage Les erreurs de détection de la mire Les imperfections de construction de la mire …

Simuler le processus de calibrage pour tester et évaluer l’influence de tous ces facteurs : Système complexe rendant la modélisation analytique difficile, Permet de tester de nombreuses configurations.

4.B. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : LE CALIBRAGE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 41

I. CALIBRAGE4.B. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : LE

CALIBRAGEsimulation

1. Mire

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 42

I. CALIBRAGE4.B. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : LE

CALIBRAGEsimulation

1. Mire2. Erreurs de

fabrication

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 43

I. CALIBRAGE4.B. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : LE

CALIBRAGEsimulation

1. Mire2. Erreurs de

fabrication3. Projection

Paramètresréels

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 44

I. CALIBRAGE4.B. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : LE

CALIBRAGEsimulation

1. Mire2. Erreurs de

fabrication3. Projection4. Erreurs de

détection

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 45

I. CALIBRAGE4.B. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : LE

CALIBRAGEsimulation

1. Mire2. Erreurs de

fabrication3. Projection4. Erreurs de

détection5. Calibragecalibrage

Paramètres calibrés

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 46

I. CALIBRAGE4.B. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : LE

CALIBRAGEsimulation

1. Mire2. Erreurs de

fabrication3. Projection4. Erreurs de

détection5. Calibrage6. Echantillonnage

de la scène + Projection

calibrage

Paramètresréels

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 47

I. CALIBRAGE4.B. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : LE

CALIBRAGEsimulation

1. Mire2. Erreurs de

fabrication3. Projection4. Erreurs de

détection5. Calibrage6. Echantillonnage

de la scène + Projection

7. Reconstruction

calibrage

Paramètres calibrés

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 48

I. CALIBRAGE4.B. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : LE

CALIBRAGEsimulation

1. Mire2. Erreurs de

fabrication3. Projection4. Erreurs de

détection5. Calibrage6. Echantillonnage

de la scène + Projection

7. Reconstruction8. Evaluation des

erreurs de : reconstructionreprojection

calibrage

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 49

I. CALIBRAGE4.B. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : LE

CALIBRAGE Cette méthode par simulation

permet de tester : les différents algorithmes, les différentes configurations de système et les différentes mires

Outil d’aide à la conception

simulation1. Mire2. Erreurs de

fabrication3. Projection4. Erreurs de

détection5. Calibrage6. Echantillonnage

de la scène + Projection

7. Reconstruction8. Evaluation des

erreurs de : reconstructionreprojection

calibrage

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 50

6 mm de focale, capteur 1/3’’,ligne de base 40 cm

I. CALIBRAGE4.B. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : LE

CALIBRAGE

4.5 m 7 m Erreur* de reconstruction en cm

4.5 m 30 m

9.38 Z 0.38

* Erreur RMS

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 51

I. CALIBRAGE

1. Objectif et principe2. Définition de la qualité du calibrage3. Les sources d’imprécisions4. Quantifier la qualité du système embarqué

A. Respect du modèleB. Le calibrageC. Au cours du temps

4.C. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : AU COURS DU TEMPS

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 52

I. CALIBRAGE

Validation de la rigidité de la caisse

Même sous conditions extrêmes, le système reste calibré.

4.C. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : AU COURS DU TEMPS

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 53

I. CALIBRAGE

Extension de l’outil de simulation pour tester les conséquences d’une perte de calibrage

Résultats Sur un échantillonnage de points à 31.5 m

4.C. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : AU COURS DU TEMPS

Tangage +0.5° Lacet +0.5°

Erreur* de reconstruction (cm) 20.8 1480

Erreur* de reprojection (pixel) 3.49 0.02

Estimation des distances faussée

Erreur de reprojection >1 pixel met en échec les algorithmes

* Erreur RMS

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 54

I. CALIBRAGE

Le calibrage en ligne : permet de corriger un calibrage existant utilise des images « naturelles » pour calibrer en cours d’utilisation

Méthodes testées : adaptation d’un « ajustement de faisceaux » qui minimise l’erreur de reprojection

Notre contribution : extension de l’outil de simulation de calibrage pour tester les performances du calibrage en ligne

4.C. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : AU COURS DU TEMPS

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I. CALIBRAGE

Résultats (Même configuration que précédemment) Fonctionne pour les variations de tangage Ne fonctionne pas pour une variation de l’angle de lacet

4.C. QUANTIFIER LA QUALITÉ DU SYSTÈME EMBARQUÉ : AU COURS DU TEMPS

Tangage +0.5° Lacet +0.5°

Avant Après Avant Après

Erreur* de reconstruction (cm) 20.8 10-3 1480 898

* Erreur RMS

Erreur de reprojection >1 pixelErreur de reconstruction ~8 m.

OK

Bien fixer les caméras en lacet

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I. CALIBRAGE

Contributions : Apporter une réponse ou un élément de réponse aux problèmes de précision de calibrage

Des expérimentations sur bancs Validation du système optique + pare-brise Validation de la rigidité de la caisse

Un outil d’aide à la conception et au dimensionnement Simulation du processus de calibrage Simulation de décalibrage Simulation de calibrage en ligne Evaluation quantitative des performances au cours de la vie du véhicule.

CONCLUSION

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

II. DÉTECTION D’OBSTACLES1. Objectifs et approches2. Mise en correspondance stéréoscopique3. Segmentation des obstacles

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

II. DÉTECTION D’OBSTACLES

Objectifs : Extraire l’information pertinente de la densité

d’information fournie par le capteur.

Approches : Identification du mouvement

Heinrich et al. [Hei02], Franke et al. [FH02],Rabe et al. [RFG07]

Identification de certains typesd’obstacles (piétons, cycles, …)

[BHD97, SMBD02, HKT+98, YC06,BBFL02,BBB05, LWLW06,…]

Identification de la route Maraninchi et al. [MR01], Nedevschi et al. [NDM+07],

Labayrade et al. [LAT02], Soquet et al. [SAH07], Nakai et al. [NTH+07], Lemonde et al. [Lem05], …

1. OBJECTIFS ET APPROCHES

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 59

obstacle ?

II. DÉTECTION D’OBSTACLES1. OBJECTIFS ET APPROCHES

1. Mise en correspondance stéréoscopique

2. Segmentation des obstacles

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

II. DÉTECTION D’OBSTACLES

1. Objectifs et approches2. Mise en correspondance stéréoscopique

A. La problématiqueB. Etape préliminaire de simplification : la rectificationC. Mise en correspondance par corrélationD. Choix d’une rectification

3. Segmentation des obstacles

PLAN

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.A. MISE EN CORRESPONDANCE : LA PROBLÉMATIQUE

61

Caméra gauche Caméra droite

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II. DÉTECTION D’OBSTACLES

Restriction de l’espace de recherche

2.A. MISE EN CORRESPONDANCE : LA PROBLÉMATIQUE

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Une étape préliminaire simplificatrice : la rectification

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.B. MISE EN CORRESPONDANCE : RECTIFICATION

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 64

Une étape préliminaire simplificatrice : la rectification Déformation des images pour une recherche horizontale

Il existe une infinité de rectifications valides [Dev97], [Zhang99]

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.B. MISE EN CORRESPONDANCE : RECTIFICATION

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II. DÉTECTION D’OBSTACLES

Pour un point de l’image gauche, il faut estimer la position de son correspondant sur l’image droite : disparité.

2.B. MISE EN CORRESPONDANCE : RECTIFICATION

0

+-

Disparité : -20Distance : 1 m

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Approche pour trouver la disparité :P. Fua 1993

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.C. MISE EN CORRESPONDANCE : CORRÉLATION

Image gauche Image droite

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II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.C. MISE EN CORRESPONDANCE : CORRÉLATION

Image de différenceImage gauche Image droite

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 68

disparité

diffé

renc

e

Approche pour trouver la disparité :P. Fua 1993

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.C. MISE EN CORRESPONDANCE : CORRÉLATION

Image gauche Image droite Carte de disparité

Eloigné ProcheEchec

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 69

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.D. MISE EN CORRESPONDANCE : CHOIX D’UNE RECTIFICATION

Image de différenceImage gauche Image droite

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 70

II. DÉTECTION D’OBSTACLES

Pour avoir une apparence identique dans les deux images, la surface examinée doit être de disparité constante.

2.D. MISE EN CORRESPONDANCE : CHOIX D’UNE RECTIFICATION

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 71

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.D. MISE EN CORRESPONDANCE : CHOIX D’UNE RECTIFICATION

Image de différenceImage gauche Image droite

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 72

Les 9 paramètres de rectification permettent de choisir le faisceau de plans

Les surfaces de disparité constante forment : Dans le cas général des surfaces de section conique [MMB+98 ,PS04]

Dans le cas d’images rectifiées un faisceau de plans d’équation :

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.D. MISE EN CORRESPONDANCE : CHOIX D’UNE RECTIFICATION

La disparité dx

sélectionne un plan du faisceau

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 73

Choix des 9 paramètres de rectification de manière à répartir ces plans face aux caméras

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.D. MISE EN CORRESPONDANCE : CHOIX D’UNE RECTIFICATION

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 74

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.D. MISE EN CORRESPONDANCE : CHOIX D’UNE RECTIFICATION

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 76

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.D. MISE EN CORRESPONDANCE : CHOIX D’UNE RECTIFICATION

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 77

Choix des 9 paramètres de rectification de manière à aligner le plan de disparité nulle avec la route

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.D. MISE EN CORRESPONDANCE : CHOIX D’UNE RECTIFICATION

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 78

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.D. MISE EN CORRESPONDANCE : CHOIX D’UNE RECTIFICATION

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 79

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.D. MISE EN CORRESPONDANCE : CHOIX D’UNE RECTIFICATION

Image de différenceImage gauche Image droite

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 80

II. DÉTECTION D’OBSTACLES2.D. MISE EN CORRESPONDANCE : CHOIX D’UNE RECTIFICATION

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

II. DÉTECTION D’OBSTACLES

Dans la carte de disparité, il faut différencier les points appartenant à la route et les autres.

Maraninchi et al. [MR01], Nedevschi et al. [NDM+07], Labayrade et al. [LAT02], Soquet et al. [SAH07], Nakai et al. [NTH+07], Lemonde et al. [Lem05],

1. Objectifs et approches2. Mise en correspondance stéréoscopique3. Segmentation des obstacles

A. Cumul des rectificationsB. RésultatsC. Agrégation

PLAN

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 82

II. DÉTECTION D’OBSTACLES3.A. SEGMENTATION DES OBSTACLES : CUMUL DES RECTIFICATIONS

Fron

tale

Pla

n de

la ro

ute

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 83

II. DÉTECTION D’OBSTACLES3.A. SEGMENTATION DES OBSTACLES : CUMUL DES RECTIFICATIONS

disparité

différence

85

69

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 84

II. DÉTECTION D’OBSTACLES3.A. SEGMENTATION DES OBSTACLES : CUMUL DES RECTIFICATIONS

Fron

tale

Pla

n de

la ro

ute

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 85

II. DÉTECTION D’OBSTACLES3.B. SEGMENTATION DES OBSTACLES : RÉSULTATS

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 86

II. DÉTECTION D’OBSTACLES

Qualité de la carte de disparité ~93% des disparités correctement évaluées avec la double

rectification contre ~89% sans.

Qualité de la carte de segmentation 97% des pixels étiquetés (route/obstacle) le sont correctement.

Séquences réelles Ces résultats sont très bons car ce sont des images de synthèse. Pour évaluer sur des séquences réelles, il reste à gérer les

imperfections de calibrage.

3.B. SEGMENTATION DES OBSTACLES : RÉSULTATS

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 87

Etat de l’artMulti-rectification : Utilisation de 3 caméras (et rectifications)

pour estimer l’orientation locale de la surface et ainsi détecter la présence d’obstacles routiers Williamson [Wil98].

Caractérisation des surfaces d’iso-disparité:

Mandelbaum et al. [MMB+98],Pollefeys et al. [PS04]

Contributions

Estimer la disparité plus finement par fusion des deux cartes de disparité

Lien entre le choix de la rectification et le faisceau de plans d’iso-disparité

II. DÉTECTION D’OBSTACLES3.B. SEGMENTATION DES OBSTACLES : RÉSULTATS

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 88

II. DÉTECTION D’OBSTACLES3.C. L’AGRÉGATION

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

III. LA MESURE DE VITESSE 3-D1. La problématique2. Présentation de l’algorithme de Lucas & Kanade3. Extension à la stéréoscopie4. Gestion des variations de taille apparente5. Résultats

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

III. LA MESURE DE VITESSE 3-D

Certaines applications (comme l’ACC) réclament une mesure de vitesse relative précise.

Alors que le RADAR et LIDAR fournissent directement une mesure de vitesse relative (par effet doppler), un système basé vision requiert un traitement des données

1. LA PROBLÉMATIQUE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 91

III. MESURE DE VITESSE 3-D

Image d’un point 3-D

1. LA PROBLÉMATIQUE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 92

III. MESURE DE VITESSE 3-D1. LA PROBLÉMATIQUE

Déplacement 3-D :Flux de scène

[VBR+99]

Déplacement 2-D : Flux optique

Déplacement 2-D : Flux optique

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

Recherche d’un mouvement dans une série de reconstructions successives

[BBFN00, SZB99, MSKI06, NDF+04, FH02, RFG07, LCCG07, AKI05].

Recherche de flux optiques puis reconstruction 3-D

[ISK92, DHS02, RFG07, UF02].

III. MESURE DE VITESSE 3-D1. LA PROBLÉMATIQUE

93

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 94

III. MESURE DE VITESSE 3-D

1. La problématique2. Présentation de l’algorithme de Lucas & Kanade [BFSB92]

3. Extension à la stéréoscopie4. Gestion des variations de taille apparente5. Résultats

PLAN

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 95

III. MESURE DE VITESSE 3-D

Algorithme de suivi 2-D[BFSB92]

1. PRÉSENTATION DE L’ALGORITHME DE LUCAS & KANADE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 96

III. MESURE DE VITESSE 3-D

Algorithme de suivi 2-D[BFSB92]

1. PRÉSENTATION DE L’ALGORITHME DE LUCAS & KANADE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 97

III. MESURE DE VITESSE 3-D

Algorithme de suivi 2-D[BFSB92]

1. PRÉSENTATION DE L’ALGORITHME DE LUCAS & KANADE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 98

III. MESURE DE VITESSE 3-D1. PRÉSENTATION DE L’ALGORITHME DE LUCAS & KANADE

Algorithme de suivi 2-D Résolution itérative par

méthode de Gauss-Newton

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 99

III. MESURE DE VITESSE 3-D1. PRÉSENTATION DE L’ALGORITHME DE LUCAS & KANADE

Algorithme de suivi 2-D Résolution itérative par

méthode de Gauss-Newton

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 100

III. MESURE DE VITESSE 3-D2. EXTENSION À LA STÉRÉOSCOPIE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 101

III. MESURE DE VITESSE 3-D2. EXTENSION À LA STÉRÉOSCOPIE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 102

III. MESURE DE VITESSE 3-D2. EXTENSION À LA STÉRÉOSCOPIE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 103

III. MESURE DE VITESSE 3-D

Adaptation au cas stéréoscopique de la formulation du problème de mesure de flux optique proposée par Lucas & Kanade [BFSB92]

2. EXTENSION À LA STÉRÉOSCOPIE

n vaut l pour « left » et r pour « right »

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 104

III. MESURE DE VITESSE 3-D2. EXTENSION À LA STÉRÉOSCOPIE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 105

III. MESURE DE VITESSE 3-D2. EXTENSION À LA STÉRÉOSCOPIE

Le vecteur de paramètres P peut être représenté parUne paire de points 2-D :

4 paramètres pour 3 D.L.Cela revient à mesurer le flux optique eteffectuer la reconstruction séparément

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 106

III. MESURE DE VITESSE 3-D

Le vecteur de paramètres P peut être représenté parUn point 3-D dans l’espace Euclidien :

3 paramètres pour 3 D.L.Calculs complexes

2. EXTENSION À LA STÉRÉOSCOPIE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 107

III. MESURE DE VITESSE 3-D2. EXTENSION À LA STÉRÉOSCOPIE

Le vecteur de paramètres P peut être représenté parUn point 2-D associé à la disparité : p = [x, y, d]T

3 paramètres pour 3 D.L.Simplifie les calculs

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 108

III. MESURE DE VITESSE 3-D3. GESTION DES VARIATIONS DE TAILLE APPARENTE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 109

III. MESURE DE VITESSE 3-D3. GESTION DES VARIATIONS DE TAILLE APPARENTE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 110

III. MESURE DE VITESSE 3-D3. GESTION DES VARIATIONS DE TAILLE APPARENTE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 111

III. MESURE DE VITESSE 3-D

Ajout d’un paramètre w pour l’échelleP = (x, y, d, w)

La taille apparente est liée à la distance Z : La disparité d est liée à la distance Z : La variation de taille apparente est égale à la variation

de disparité :

Possible de gérer la variation de taille sans ajouter de paramètre supplémentaire

P = (x, y, d)

3. GESTION DES VARIATIONS DE TAILLE APPARENTE

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 112

III. MESURE DE VITESSE 3-D4. RÉSULTATS

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 113

III. MESURE DE VITESSE 3-D4. RÉSULTATS

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

III. MESURE DE VITESSE 3-D4. RÉSULTATS

114

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

III. MESURE DE VITESSE 3-D4. RÉSULTATS

115

d

x

y

0

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

III. MESURE DE VITESSE 3-D

L’erreur pour la méthode utilisant l’espace 3-D basé image et intégrant les variationsde taille

4. RÉSULTATS

116

Mesure parfaite

Mesure erronée

Erreur d’estimation

d

x

y

0

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

III. MESURE DE VITESSE 3-D

Quantifier les performances Bruit de mesure % d’échecs

Utilisation d’un modèle de mélange de Gaussiennes 1ère Gaussienne étroite

pour le bruit 2ème Gaussienne large

pour les échecs

4. RÉSULTATS

117

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 118

III. MESURE DE VITESSE 3-D

Sans contrainte(2 trackers 2-D) Sigma 5 pixels 50% d’échecs

Avec des points 3-D(espace image) Sigma 5 pixels 40% d’échecs

Avec des points 3-D et variation de taille Sigma 0.1 pixel 10% d’échecs

4. RÉSULTATS

Séquence d’évaluation spécialement conçue pour mettre en avant l’apport de l’algorithme.

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA

CONCLUSIONS

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 120

Extension de l’algorithme Lucas-Kanade

multiples rectifications + agrégation

Conception d’un outil d’évaluation

CONCLUSIONS

Etude de toute la chaine algorithmique

BILAN

Caméras

Vitesses relatives aux obstacles

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 121

CONCLUSIONS

Reste à valider sur des données réelles : Valider les simulations de calibrage. Gérer finement le calibrage pour appliquer les multiples

rectifications sur des séquences réelles. Comparer la mesure 3-D par flux optique avec une mesure réelle

métrée.

PERSPECTIVES

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 122

CONCLUSIONS

L’avenir de la stéréoscopie pour les applications automobiles A court ou moyen terme

Technologie assez mature pour des prestations non critiques (simple information au conducteur) ou en complément d’un autre capteur (ex : Radar).

A plus long terme A performances égales, la polyvalence du capteur le rend plus attractif que ses

concurrents. Les problèmes de sureté de fonctionnement (fausses détections, ou détections

manquées) ne sont pas insolubles. Tout comme pour le RADAR et le LIDAR, la prise en compte d’hypothèses sur la scène permet de réduire les erreurs.

Les limites infranchissables de ce capteur (brouillard, obscurité, obstacles masqués …) ne sont pas un réel problème dans la mesure où le conducteur souffre des mêmes limitations.

PERSPECTIVES

Julien Morat 1er Juillet 2008 Renault / INRIA 123

QUESTIONS

Merci de votre attention

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