Profil clinique et étiologique des PID : à propos de 73 patients

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96 16e Congrès de pneumologie de la

Service de pathologies infectieuses et pneumologie, hôpitalrincipal Dakar, Dakar, SénégalService de médecine interne, hôpital principal Dakar, Dakar,énégalService de radiologie, hôpital principal Dakar, Dakar, SénégalService anatomie pathologie, hôpital principal Dakar, Dakar,énégal

ots clés : Pneumopathie infiltrante ; Fibrose ; Dakar

ntroduction.— Les PID sont des affections, graves par leur poten-iel évolutif vers la fibrose. Au Sénégal peu de travaux ontté consacrés à ces PID. Notre but était de décrire les aspectspidémio-cliniques, paracliniques, étiologiques et évolutifs des PIDhroniques à l’hôpital principal de Dakar.alades et méthodes.— Étude rétrospective entre janvier 2007 etécembre 2010 incluant les patients avec un diagnostic retenu deID chronique. Étaient exclus les cancers et infections.ésultats.— Ont été inclus 32 patients (15H, 17F) d’âge moyen6,6 ans (38—93), tous VIH, tabac (trois cas) avec comme comor-idités : HTA (cinq), diabète (trois), asthme (quatre). Les signesévélateurs étaient toux sèche et dyspnée d’effort (25cas), tableau’insuffisance cardiaque droite (quatre cas), signes extrathora-iques (trois cas). La TDM thoracique montrait des micronodules,pacités linéaires et aspect en verre dépoli d’allure évolutive (19),t un aspect de fibrose évoluée en « nid d’abeille » et des bron-hectasies (13). La bronchoscopie avec LBA et biopsies ; les EFR et’échographie cardiaque ont été faites ; aucune biopsie chirurgicale.es étiologies étaient : sarcoïdose (sept) ; sclérodermie systémiquedeux) ; dermatomyosite (deux) ; PR (un) ; lupus systémique (un) ;rofessionnel (deux) ; fibrose pulmonaire idiopathique avec critèreshuit) et pas d’étiologie chez 28 %. Une corticothérapie (22 cas) etes immunosuppresseurs (deux cas) étaient démarrés ; cinq cas debrose évoluée étaient décédés avant un an de suivi.onclusion.— Nos résultats confirment les difficultés diagnostiquest thérapeutiques liées aux étiologies multiples. Seul un diagnosticrécis et précoce améliore le pronostic.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.310

49rofil clinique et étiologique des PID : à propos de3 patients. Berri , N. Jahnaoui , S. Hami , L. Harrak , H. Ouazzani ,. Achachi , M. Elftouh , M.T. El Fassy Fihri

Rabat, Maroc

es pneumopathies infiltrantes diffuses rassemblent près de00 entités différentes. Le diagnostic repose sur l’analyse de don-ées épidémiologiques, cliniquo-biologiques, histopathologiques,onctionnelles et surtout de la TDM thoracique haute résolution.ous rapportons une étude rétrospective portant sur 73 cas de PID,olligée au service de pneumologie du CHU Ibn Sina de Rabat.l s’agit de 39 hommes et 34 femmes, d’âge moyen de 58,5 ans.’interrogatoire retrouve un contage tuberculeux dans trois cas,n tabagisme chronique dans 15 cas, une exposition professionnelleans six cas et une connectivité connue dans six cas.es signes cliniques sont dominés par la dyspnée et la toux chro-ique chez tous les cas, la douleur thoracique dans 27,40 %, la fièvre0,54 % et l’altération de l’état général dans cinq cas. L’examenhysique note surtout des râles crépitants, la radiographie montren syndrome interstitiel dans70 cas, la TDM thoracique réaliséehez 62 patients confirme l’atteinte interstitielle dans 33 cas et unebrose pulmonaire dans 29 cas. La fibroscopie bronchique est réa-

isée dans 60 cas, les biopsies bronchiques étagées montrent unenflammation non spécifique dans 45 cas, une granulomatose sansécrose caséeuse dans 15 cas, le lavage broncho-alvéolaire réaliséans 40 cas.

fuoa

francaise, Lyon, vendredi 27 au dimanche 29 janvier 2012

’exploration fonctionnelle respiratoire objective un trouble venti-atoire restrictif dans 42 cas.ne fibrose pulmonaire idiopathique est retenue dans 29 cas, unearcoïdose dans 15 cas, une miliaire tuberculeuse dans 11 cas, uneneumoconiose dans six cas, une atteinte pulmonaire dans le cadre’une sclérodermie dans six cas, une lymphangite carcinomateuseans huit cas.es PID représentent un domaine vaste de la pathologie respiratoire,eur approche diagnostique doit être méthodique.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.311

50es pneumopathies infiltrantes diffuses chroniques. El Khattabi , H. Jabri , H. Afif , A. Aichane , Z. Bouayad

Service de pneumologie, hôpital de Casablanca, Casablanca,aroc

es pneumopathies infiltrantes diffuses chroniques (PIDC) consti-uent un ensemble hétérogène de pneumopathies. Notre étudeoncerne 149 cas de PIDC. Nous avons noté une prédominanceéminine (61 %), la moyenne d’âge était de 57 ans. Une expositionnvironnementale ou professionnelle a été retrouvée dans 51 % desas et une prise médicamenteuse dans 5 % des cas. Les signes révé-ateurs étaient dominés par la toux dans tous les cas et la dyspnéeans 85 % des cas. À l’examen, les râles crépitants étaient présentsans 69 %, les adénopathies périphériques dans 8 % et des signese connectivite dans 9,5 % des cas. Le scanner thoracique a mon-ré des signes de fibrose dans 40 %. La bronchoscopie a montré desranulations dans 3 % des cas, le lavage broncho-alvéolaire était enaveur d’une alvéolite (13 cas) et d’une hémosidérose (trois cas).es biopsies bronchiques ont montré une granulomatose tubercu-oïde non nécrosante (7 %) et une lymphangite dans 1 % des cas. Laiopsie pulmonaire chirurgicale était en faveur d’une PIL (un cas) et’une PINS (un cas). Un granulome tuberculoïde non nécrosant a éténdividualisé sur la biopsie labiale (deux cas), cutanée (deux cas),asale et ganglionnaire (un cas chacun). Une cause a été identifiéeans 25 % des cas, il s’agissait de sarcoïdose et de connectivite sur-out, les PID idiopathique représentaient 22 % des cas. L’évolutionété marquée par une stabilisation dans la plupart des cas (72 %)

t une amélioration dans 14 % des cas. Au terme de cette analyse,e diagnostic positif des PIDC est aisé mais le diagnostic étiologiquest plus difficile et reste dominé dans notre étude et dans la litté-ature par la sarcoïdose, les connectivites et la fibrose pulmonairediopathique.

oi:10.1016/j.rmr.2011.10.312

51tude par spectroscopie RMN du métabolismealivaire dans la sarcoïdose. Duchemann a, M. Triba a, D. Guez b, H. Nunes c, D. Valeyre c,.-F. Bernaudin d, L. Le Moyec e

Laboratoire CSPBAT, UMR 7244, université Paris-13, Bobigny,ranceFaculté dentaire, université Paris-5, Paris, FrancePneumologie Avicenne, Bobigny, FranceER2 UPMC Paris-6, Paris, FranceUBIAE Inserm U902, université d’Evry-val-d’Essonne, Evry, France

ntroduction.— La sarcoïdose est une granulomatose dont la phy-iopathologie est toujours imparfaitement comprise. Il n’existe pase moyen simple de suivi de l’activité de la maladie qui affecte

réquemment les glandes salivaires. La métabolomique par RMN estne méthode multiparamétrique d’analyse des métabolites. Notrebjectif a été d’établir une signature métabolique de la sarcoïdosective en analysant la salive.

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