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Un commerçant punit une jeune fille à sa demande.
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Punition au Bazar
Je tiens une petite boutique (certains disent droguerie, d’autre bazar où encore solderie) dans une
petite ville de France. Les clients ne se bousculent pas mais je ne me plaint pas et gagne assez bien
ma vie.
Un mercredi après-midi où j’étais seul dans ma boutique, je sortis du livre que je lisais en attendant
le client en entendant entrer une petite brune d’une dizaine d’année vêtue d’une chemisette blanche,
d’une jupette à carreaux avec des socquettes blanches dans ses souliers vernis noirs. Elle tourne dans
les rayons un moment puis sélectionne plusieurs objets qu’elle observe puis les garde ou les repose.
Moi je continue de lire mon bouquin sans faire plus attention à cette fillette.
Elle vient vers moi à la caisse et pose pêle-mêle ses achats que j’encaisse d’abord négligemment. Il y
a une pelote de grosse ficelle en chanvre, une paire de ciseaux, une brosse à cheveux en bois et une
spatule souple en plastique puis un objet attire mon attention, il s’agit d’un martinet classique avec
son manche en bois et ses lanières de cuir.
Je regarde la petite fille qui me sourit en rougissant légèrement.
- C’est pour toi tout ça ? demandais-je en souriant à mon tour, c’est parce que tu n’as pas été sage ?
- Oui Monsieur, me répondit-elle en rougissant encore plus, j’ai été vilaine et je dois être punie.
Cette réponse spontanée et pleine d’innocence me surprend d’abord puis très vite je sens
l’excitation monter en moi et je décide de jouer la carte à fond.
- Et c’est ton papa ou ta maman qui te punit quand tu es vilaine ? questionnais-je soudain plein
d’intérêt.
- Ni l’un ni l’autre, mes parents ne m’ont jamais tapé même quand je fais de grosses bêtises, ils ne
me disent jamais rien, m’avoua-t-elle dans un soupir, mais moi je sais que je mérite d’être punie alors
je le fais moi-même puisque personne ne le fait.
Décidément, cette petite était surprenante et je continuai de tenter le tout pour le tout.
- Et si moi je te proposais de le faire ?
- C’est vrai, vous feriez ça pour moi Monsieur, s’exclama-t-elle, ce serais génial !
- T’emballe pas si vite, si j’accepte de te punir, je veux que tu sois bien consciente de ce qui va se
passer, lui expliquais-je, je vais te mettre une grosse et même une très grosse fessée qui va te faire
très mal et te faire pleurer mais c’est moi qui commande et qui décide quand la punition doit
s’arrêter et avec quelle force je dois te corriger. Es-tu prêtes pour cela ?
- Oui Monsieur, je sais que je vais avoir mal et que je vais pleurer et même crier mais, s’il vous plaît
Monsieur, punissez moi comme si j’étais votre fille.
Cette petite me plaisait de plus en plus. Je fermis la boutique et invita ma jeune cliente à me suivre
dans la réserve. Il y avait plusieurs cartons entreposés, des articles en réserve et dans un coin, un
petit bureau. Je plaçai le siège de bureau au milieu de la pièce et m’adressa à la fillette.
- Alors comme ça tu as été une vilaine fille ?
- Oui Monsieur, j’ai fait une grosse bêtise et je dois être punie.
- Et je peux savoir ce que tu as fait que je puisse te punir en conséquence de tes actes ?
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- D’abord, j’ai très mal travaillé à l’école et j’ai eu 04/20 en histoire et comme Papa et Maman ne
m’ont pas punie, j’ai pris de l’argent dans le porte-monnaie de Maman pour acheter tout ça, me
raconta-t-elle en désignant les articles qu’elle avait posé sur le bureau.
- Je vois, conclus-je, en fait tu n’as pas fait une bêtise mais deux : non seulement tu ne travailles pas
en classe mais en plus tu es une voleuse. Je pense en effet que tu mérites une sévère punition
Mademoiselle.
Je tapotai mes genoux d’une main en lui faisant signe d’approcher de l’autre. Elle baissa les yeux et
viens toute seule se placer en travers de mes cuisses. Je la bloquai tout contre moi avec mon bras
gauche et lui caressa le derrière de ma main droite. Je lissai et plaquai sa jupette sur ses jolies
rondeurs fessières puis sans prévenir, je mis la première claque sur la fesse droite aussitôt suivie
d’une deuxième sur la gauche. La petite gémit doucement mais ne bougea pas, elle se détendit et
j’en profitai pour lui administrer sa première fessée. Ma main rebondit en cadence sur ses fesses
mais la petite resta stoïque. Je variai la vitesse et la force des coups. Je tapai au hasard sur ses deux
hémisphères tendus si bien que la petite ne sut jamais où la prochaine claque allait atterrir.
Les gémissements de la gamines se firent plus sonores et c’est le moment que je choisis pour lui
trousser sa jupe sur les reins. Je relevai les bords de sa culotte de coton pour découvrir la peau rosie
de ses fesses. Je caressai ce postérieur un moment, il commençait à peine à chauffer. Je replaçai sa
culotte de façon convenable et repris la fessée, plus rapide et plus forte encore. La petite poussa ses
premiers cris de douleurs et de plaisir. Ses jambes commencèrent également à bouger en cadence.
Mes doigts se glissèrent sous l’élastique de sa petite culotte que je descendis au niveau des genoux
de la fillette. Elle n’émit aucune objection et la fessée reprit de plus belle sur son joli petit cul nu qui à
en voir la rougeur, devait commencer à la chauffer fortement.
Ma main s’abattit sans répit et je pu voir la marque blanche de mes doigts apparaître à chaque
impact avant de s’estomper contrastant avec le rouge carmin qui recouvrait à présent toute la
surface du derrière offert de ma petite punie. Le bruit des claques mêlé aux cris de la fillette
résonnèrent dans l’arrière-boutique. Les battements désordonnés de ses jambes firent tomber sa
petite culotte à terre et je pu voir sa petite motte imberbe s’ouvrir quand elle les écartait. Son petit
anus fermé se révéla également au milieu de ses demi-lunes brûlantes.
Je maintins la gamine en place en me saisissant de la brosse à cheveux. Je lui caressai les fesses avec
les poils drus de la brosse, faisant apparaître de petites lignes blanches éphémères puis c’est du dos
de la brosse que je recommençai à lui claquer les fesses.
Des marques bleutées vinrent s’ajoutées au rouge ambiant et la petite hurla littéralement de
douleur sous le bois de la brosse.
- Fin de la première partie de la punition, annonçais-je, tu vas te mettre au coin pendant que je
m’occupe de ma caisse.
- Parce que ce n’est pas finis, demanda-t-elle inquiète et malicieuse à la fois.
- Oh non ! Tu n’as reçu que la fessée pour ta mauvaise note mais il te reste encore la spatule et le
martinet pour avoir volé de l’argent à tes parents.
- Mais j’ai déjà le derrière en feu, s’il vous plaît, on peut finir demain, implora-t-elle, je vous promets
de revenir.
- Hors de question, tu dois être punie pour ce que tu as fait et je ne diffère jamais une punition
commencée, lui expliquais-je, alors au coin, les mains sur la tête, interdiction formelle de bouger et à
plus forte raison de te toucher les fesses.
La fillette ronchonna un petit peu, plus par principe qu’autre chose, puis obéit sagement.
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Je l’observai tout en faisant mes comptes. Au bout d’une vingtaine de minutes, je vis que ses bras
commençaient à se raidir, ils devaient commencer à lui faire mal. Ses jambes aussi se crispaient et
commençaient à avoir du mal à la porter. Dix minutes de plus et je la vis se dandiner d’un pied sur
l’autre.
- On ne bouge pas !
- Mais j’ai envie de faire pipi.
- Tant pis pour toi, tu te retiens
Elle geint un peu mais ne bougea pas du coin, ses mains toujours sur sa tête, seules ses fines
jambettes trahissaient son envie de pisser par leur mouvements incontrôlés.
La gamine n’en pu plus et me redemanda si elle pouvait aller aux toilettes. Je refusai mais lui dis que
si elle avait vraiment envie, elle peut le faire ici, devant moi.
- Beurk ! Mais c’est sale ! s’exclama la fillette
- C’est comme tu veux mais c’est à prendre ou à laisser, tu as envie ou pas ?
La petite hésita encore un instant puis finalement s’avoua vaincue.
- Alors mets-toi là, devant le bureau et écarte bien tes belles cuisses, écarte tes lèvres vaginales avec
tes doigts que je vois bien l’intérieur de ton petit minou.
Elle s’exécuta lentement, rouge de honte mais rien ne sort.
- Alors, je croyais que t’avais envie, m’impatientais-je
- Oui mais j’ose pas, j’y arrive pas, c’est trop dégueulasse.
- Laisse toi aller de toute façon maintenant c’est trop tard pour reculer.
Après encore quelques minutes d’hésitations, la fillette se laissa enfin aller et je pu voir le chaud
liquide jaunâtre jaillir d’entre ses jambes pour se répandre par terre en lui éclaboussant les pieds et
le bas des jambes.
Je me levai et pris la spatule en main
- Bien, suite et fin de ta punition, enlève ta robe, penche toi en avant sur le bureau et cambre bien
tes reins pour faire ressortir tes petites fesses.
Je posai la spatule en travers de ses rondeurs puis je levai le bras pour le rabattre
fortement. La spatule laissa une belle marque violacée en travers de son petit cul meurtrit. Une
averse de coups de spatules suit la première cinglée.
La fillette bondissait sous chaque coup mais se remettait en position aussitôt.
Elle avait gardé les jambes écartées autour de la flaque d’urine en dessous d’elle mais au bout du
neuvième coup de spatule, elle ne put s’empêcher de danser d’un pied sur l’autre et ne tarda pas à
s’éclabousser les jambes à nouveau.
Vingt larges traces violettes ornaient son petit cul lorsque je posai la spatule.
La gamine était en larmes.
Je lui ordonnai de se pencher au-dessus du dossier de la chaise, un pied de chaque côté de celle-ci
et je me servis des cordelettes pour lui lier les poignets et les chevilles aux quatre pieds de la chaise.
Ainsi ligotée, elle m’offrait une vue imprenable sur ses orifices ouverts. Je passai ma main sur sa
motte en laissant trainer le majeur à l’intérieur puis je remontai dans sa raie et mon majeur distendit
sa petite corolle serrée.
- Tu aimes ce que je te fais ?
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- Oui Monsieur, ça me fait des choses bizarres à l’intérieur mais c’est bien.
- Et si je te le faisais avec mon sexe, tu serais d’accord ?
- Oh oui Monsieur !
- Ok alors on verra ça après.
Et le premier coup de martinet lui arrache un cri. J’abats les lanières à la volée une cinquantaine de
fois prenant soin de bien couvrir toute la surface entre ses reins et le haut de ses cuisses sur lesquels
je déborde.
Je sors mon sexe dressé de mon pantalon et de mon caleçon et le présente devant sa bouche, elle
sort sa langue et commence à le lécher avant de le prendre en bouche. Cette petite n’a pas fini de
me surprendre, malgré son âge, elle suce divinement bien. Je lui saisis la tête des deux côtés et me
sers de sa bouche comme d’un vagin, je la baise à grand coups de boutoir et la petite manque de
s’étouffer a plusieurs reprises en ayant des hauts de cœur.
Je me replace derrière elle pour la prendre en levrette, mon pieu gorgé de sang pénètre lentement
dans son antre sacré, je vois ses petites lèvres s’écarter pour ouvrir le passage. J’en ai à peine
entré un tiers que je butte sur sa membrane de pucelle. Je commence mes va-et-vient sans forcer
pour ne pas la dépuceler, la petite semble apprécier. Sa respiration s’accélère et se saccade. Elle
gémit de plaisir les yeux fermés, la bouche entre-ouverte à la recherche d’oxygène.
Je me dégage de sa petite chatte serrée et ma queue force l’entrée de sa grotte secrète.
Son anus résiste et tente de rester fermé mais je pousse de toute mes forces et d’un coup de reins
violent, je me loge au plus profond d’elle en lui arrachant un cri de bête blessée et ses jolies yeux de
biche laissent s’échapper des larmes de douleur. Je reste immobile un instant, le temps pour ma
petite chérie de se remettre de ce coït bestial et je lui défonce le cul à grands coups de boutoir.
La petite hurle de douleur sous mes assauts, et sa voix me rend fou. Je ressors de son cul explosé et
c’est avec la même fougue que je lui envahis de nouveau sa petite motte toute lisse. Je ne pense plus
du tout à sauvegarder son pucelage et la petite fille devient femme dans un nouveau hurlement où
se mêle douleur et plaisir intense.
Je me sens prêt à jouir et je lui présente une nouvelle fois ma queue, maculée de sang, de cyprine
et même de reste de matière fécale, devant la bouche.
La petite me regarde l’air dégoutée et garde ses lèvres fermés en remuant la tête de gauche à droite.
Je lui bloque la tête de mes deux mains et je force sa petite bouche qui cède et ma bite érigée
s’enfonce dans sa cavité buccale que je pistonne jusqu’à ce qu’à lui tapisser le fond de la gorge de
longs jets de ma semence épaisse et blanche. La fillette en avale le plus possible mais quelques
gouttes suintent de la commissure de ses lèvres pour glisser sur son menton et finir de couler sur sa
poitrine juvénile composée de deux petits œufs sur le plat.
Je lui ordonne de bien me nettoyer la queue avec sa langue puis je la prends dans mes bras pour un
très long baiser sur la bouche.
Nous nous rhabillons et la petite rentre chez elle en me promettant de revenir me voir quand elle
pensera mériter une nouvelle bonne punition.
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