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5/12/2018 R SISTANCE BACT RIENNE - slidepdf.com
http://slidepdf.com/reader/full/resistance-bacterienne 1/8
PROBLÉMATIQUE DE LA RÉSISTANCE BACTÉRIENNE EN
AFRIQUE (2009)
Pr Dosso Mireille
INTRODUCTION
Les maladies infectieuses: 17 millions de
victimes chaque année et l’Afrique est de loinle continent qui paie le plus fort tribut avec lesdeux tiers (2/3) de charge de mortalité
La découverte de la pénicilline par Sir
Alexander Fleming (1881-1955) a ouvert dansle domaine de la médecine, singulièrementdans celui du traitement des infections, uneère nouvelle, celle des antibiotiques
INTRODUCTION Résistance des bactéries : Phénomène préoccupant +++
Cause de Maladie Émergentes: Infections nosocomiales
Problème de la Multi-résistance
Coûts des traitement anti-infectieux
’ opu a on ma n orm s es angers e an o rap eintempestive
Anti-Infectieux : très prescrit en Afrique
Pression de sélection
FACTEURS FAVORISANTS LESRÉSISTANCES
Surconsommation
Automédication
Surprescription
Traitement trop court
Mal adaptés
Pas nécessaire à la pathologie du malade
Problème des contrefaçons : médicaments de rue
Les bactéries ne cessent de s’adapter et
« d'imaginer » des parades :
elles ont la capacité d’acquérir de nouvelles,
soit par modification de leur génome
(chromosome)
soit par gain d'information génétique
nouvelle (plasmide).
Situation en Europe (L Bernard / 2005)
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Pays Auteurs Population Origine Isolats Espéces Résistances
Afrique SudkwaZuluNatal
Shittu(2006)
HopitalEchantillons
cliniquesS aureus (227)
26,9 % MRSA / 10,8% MLSbinductible/ 0% Vanco R
Afrique SudCape town
Cotton(2008)
EnfantVIH+
Naso pharynx ,Sang
Entérobactéries (32) 50% Entérobact BLSE+
S aureus (44) 77% MRSA
Mulu(2006) Hopital infections plaies
S aureus (51) 55% MRSA
E coli (7) 87%Ampicilline R
Togo Prince David(2001)
CHU Malade Ext /Hospital
S aureusE coliKlebsiella
4% MRSA15% Cipro R 14% Netilmycine R
RCA Bercion(2007)
HopitalInfection Site
OpératoireS aureus (278) Peu MRSA et 1 BLSE+
Madagascar Rakoto Alson(2001)
IP Madag.Selles,
VomissementsV cholerae (704)
1 multi R (1 plasmide dugroupe Inc 6-C).
EPIDEMIOLOGIE DES RESISTANCES BACTERIENNES EN TUNISIE (BEN REDJEB S, et coll.) .
1999 - 2000 1 110 K pneumoniae : 23.6% : R céphalosporines
de 3ème génération (C3G). Ces souches R aux C3G proviennent des services de pédiatrie où
elles évoluent par bouffées épidémiques sur un fond d’endémie
151 souches de Salmonella non typhoïdiques: amoxicilline R 36,4%,
8346 E coli : 7;8% Cipro R
2 292 S aureus: 15,7% MRSA
ETUDE DE LA GÉNÉTIQUE DES RÉSISTANCES
Très peu d’études publiées
Rakoto Alson (2001/ Madagascar )
1 V cholerae multi R : plasmide du groupe Inc 6-C.
Soge (2006/Nigeria)
Ex: K pneumoniae CTX-M plasmide (320 kd) (souche urine) Aac 6’Ib cr : Aminosides et Fluoroquinolones R
aa : am nos e
erm B : MLS R ,
bla-TEM : Ampicilline R
Tet A: tétracyclines R
sul1(sulphonamide R
dfr: trimetoprime R
intI1: intégrase avec intégron de classe I
Gassama (2006/ Sénégal): 43 Shigella sonnei : intégron de classe 2
Kinana (2006/ Sénégal): C jejuni (volailles) : mutations géne gyrA
Staphylocoques
S. aureus Méti R (MRSA ): 1998-99: Palm Project : 8 pays africains)
CI : 16,8%Kenya : 27.7%Cameroun:21.3%Maroc : 14.4%Sénégal: 12.5%Tunisie : 8.1%
GRSA (S. aureus Résistant aux Glycopeptides) : 0% GISA (S. aureus ayant une résistance Intermédiaire
Glycopeptides) : 0%
INFECTIONS À S AUREUS
ET RÉSISTANCEAUX ANTIBIOTIQUES (AKRÉ S)
CI : 284 souches testées \ 1997-2000
17.7% MRSA
Isolats des patients : Chirurgie sont R +++
. +
9.35% Méti R + KTG R+ MLSb R
Méti R + Vanco I = 0%
Vancomycine R = 0%
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PORTAGE NASAL DE S AUREUS (MRSA)(DJÉ KOUAKOU)
CHU Cocody \ 2000-2001 N = 52 personnes médicales et paramédicales Résultats :
S aureus seul : 65.38%- .
Double portage : 13.46%
Pas de portage : 5.76% 23.07% MRSA: Taux ++ Plus de porteur MRSA en Réanimation 83.3% MRSA sont KTG R
PORTAGE NASAL S AUREUS
2004 (Akoua Koffi C.) : Etude de 269 patients
592 souches Portage nasal / CHU Abidjan
38,7 % MRSA soit 17,8% de portage de MRSA Serv chirurgicaux: 36,7%
Serv médicaux: 31,4%
Soins intensifs (réanimation): 12,4%
Souches MRSA sont résistantes à d’autres AB: 27% aminosides : 13,5% KTG
58,7% MLSb
37,5% fluoroqunolones 14,4% cyclines
40% cotrimoxazole
2004 (Akoua Koffi C.) :
Hôpital / CHU(pus, sang)/ Serv néonatalogie , chirurgie,soins intensifs : 25%MRSA
Streptococcus pneumoniae
Travaux réalisés
Surveillance épidémio des souches invasives : CHU Cocody / CHU Yopougon / IPCI
Études multicentriques 96 et 97) : Palm project /8 pays africain/ Smith-Kline Beecham
Enquêtes de portage
1997 : Enfants sains:NDouba A. et al.
1998 : Enfants VIH: Mobio H.
2001 : Enfants VIH sous chimioprophylaxie :Hounto A.
EVOLUTION DE LA RÉSISTANCE DES SOUCHESINVASIVES DE S. PNEUMONIAE
VIS À VIS DE LA PÉNICILLINE G
Etude multicentrique
(CI) / 96-97
N=138
Souches Hospitalières
98-02
N=177
Valeur de p
n ,5 , . NPéni G (I) 22% 0,8% <10-6 (S)
NIVEAU DE RÉSISTANCE DE S. PNEUMONIAE VIÀ VIS DE LA PÉNICILLINE GENQUÊTES DE PORTAGE
Enfants sains
1997
=
Enfants VIH+
1998
=
Enfants
VIH/cotri
=
PéniG® 2,2% 0,9% 0
Péni G (I) 6,5% 19,8% 23,5%
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RÉSISTANCE (%) DES SOUCHESISOLÉES D’INFECTION RESPIRATOIRES:
Projet BASKETT 1-2
Baskett 1
2001
Baskett 2
2003
Péni R 0 28n -
Télithromycine 0 0levofloxacine 0 4
NIVEAU DE RÉSISTANCE DE S. PNEUMONIAE VIS À VIS
DES AUTRES ANTIBIOTIQUES : ENQUÊTES DE PORTAGE
Enfants sains
1997
N=138
Enfants VIH+
1998
N=116
Enfants
VIH/cotri
2001
N=153
ceftriaxone - 0% 0%
erythromycine 11,6% 10,3% 7,8%
cotrimoxazole 52,2% 28,4% 84,3%
S. PNEUMONIAE
VIS À VIS DE LA PÉNICILLINE GETUDE MULTICENTRIQUE PALM-PROJECT
Côte d’Ivoire Sénégal Tunisie
Péni G® 4,3% 8,6% 6,9%
Péni G (I) 18,1% 53,1% 25,6%
NIVEAU DE RÉSISTANCE DES SOUCHES INVASIVES DE
S. PNEUMONIAE VIS À VIS DES AUTRES ANTIBIOTIQUES
Etudemulticentrique
(CI) / 96-97
N=138
SouchesHospitalières
98-02 N=177Valeur de p
ceftriaxone 8,8% 0% 0.00006 (S)
erythromycine 52,6% 60,45% 0.17 (NS)
cotrimoxazole 60,5% 73,9% 0.008 (S)
Entérobactéries
85,4 85,4
70,9 72,9
77
89,6
77
50
60
70
80
90
%de r ésistance
Fig 15: % de résistance de 48 Shigella de 2004 à 2005 à
Abidjan
6,2
33,3
2,1
27,1
4,210,4
0
10
20
30
AN Amox AMC CF CTX FOX C CIP SXT G SSS TE TI
Antibiotiques
%R
CNR Salmonella Shigella, Institut Pasteur de Côte d’Ivoire
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Fig 16: Pourcentage de résistance de 208 Salmonella
isolés à Abidjan de 2004 à 2005
85,4 85,4
70,9 72,977
89,6
77
50
60
70
80
90
100
%R
6,2
33,3
2,1
27,1
4,2
10,4
0
10
20
30
40
AN Amox AMC CF CTX FOX C CIP SXT G SSS TE TI
Antibioti ques
CNR Salmonella Shigella, Institut Pasteur de Côte d’Ivoire
Souches de Salmonella Typhimurium multirésistantes (ACCSSUTe) :
19 / 208= 9,13%
Fig 17: Niveau de résistance de 202 souches de Ecoli isolées
d'infection urinaires communautaires
53
9184,6
64
19,9
38,1
80,2
21,3 26,238,6
84,6
20
40
60
80
100
% d
e I + R
I+R(%)
0
NA AM AMC CF CTX CIP SXT Fos G Ni Nor Ticantibiotiques
ASSURMI, Institut Pasteur de Côte d’Ivoire
Les souches résistantes à la fois au céfotaxime et à la ciprofloxacine : 23/202=11.38
PROFILS DE RÉSISTANCE DES SOUCHES DE S.
TYPHIMURIUM (2007)/ BAKAYOKO ET COLL.
Profils de résistance C.I (78) Sénégal (13) Mali (26) CMI cipro
ASSpNalOflCSulTmpCo 1 - - 0,75-1
ASSpNalOflCiproTeCSulTempCo 1 1 - 0,75-1
ASSpCSulTmpCoNal 1 1 20 0,25
A l - -
ASSpTeCSulTmpCo 2 2 1
ASSpTeCSul +++ (DT104) 2 - -
ASC+++ 1 - -
Dans cette étude, les premiers cas de souches de Salmonella multi-résistantesafricaines,
• DT 104 ont été retrouvées ainsi que les premiers cas d’isolement de Salmonella Hadar
à partir d’échantillons humains en Côte d’Ivoire.• lysotype 56 était le plus fréquent dans les 3 pays participants• 25 différents pulsotypes ont été mis en évidence avec le pulsotype X1 prédominant.
PSEUDOMONAS AERUGINOSA ETRÉSISTANCE
N = 91
Sérotypes dominants: O:4, O:11, O:3; O:6
Pus +++
13.5% roduisent Cé halos orinase dé rimée
15% R à tous aminosides
19.4% R Fluoroquinolones
Sérotype O: 4 : souvent multi résistant
ÉVALUATION DU RISQUE INFECTIEUX
CHEZ LES MALADES SOUS VENTILATION ARTIFICIELLE EN RÉANIMATION AU CHU
COCODY ( KOUAMÉ S \ N’DRI D) 2001-2002
N= 85 malades
Bactéries isolées:⇒ 22.7% S aureus
⇒ 25.7% P aeruginosa
⇒ 14.4% S coagulase (-)
13.6% S aureus Méti R (MRSA ou SARM)
21.4% S coagulase (-) Méti R
Aucune souche de MRSA n’a été isolées lorsque la durée
d’hospitalisation était inférieure à 5 jours
ÉVALUATION DU RISQUE INFECTIEUX CHEZ LES
MALADES SOUS VENTILATION ARTIFICIELLE ENRÉANIMATION AU CHU COCODY (2)
Bactéries Décès
n (%)
Vivants
n (%)
Valeur P
Pseudomonas Multi R 16 (64%%) 9 (36%) 0.23 NS
aureus . . .
E coli BLSE + 2 (100%) 0 (0%) 0.38 NS
Pseudomonas + MRSA 2 (100%) 0 (0%) -
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EXEMPLE DU SERVICE DENÉONATALOGIE,
CHU DE YOPOUGON
Surveillance des bactéries isolées
des hémocultures
RÉPARTITION DES ENTÉROBACTÉRIESFRÉQUEMMENT ISOLÉES
8
10
12
14
16
0
2
4
6
E c o l i
K p n e u
m o n i a
e
E c l o a
c a e
E n t e r
o b a c t
e r s p
A u t r e
s
Effectif
PROFIL DE R AUX ANTIBIOTIQUES
Fréquenced’isolement
BLSE Méti R
K pneumoniae 20,8% 100% -
E cloacae 14,7% 100% -
S aureus 33,3% - 10%
SCN 7,5% - ?
Surveillance des Écosystèmes (Hôpital):Cas CHU Cocody (2004)
3 services pilotes : PPH, Néonatalogie, Réanimation Passage mensuel Sites fixés Personnels prévenus des prélèvements mais pas
des dates et des horaires Horaire : Début d’après midi
ÉVOLUTION % DES BG NÉGDANS LE SERVICE DE RÉANIMATION CHUC
Avril 2004
Mai 2004
Juillet 2004
Août 20004
7%
16%
55% (Dont Serratia BLSE+)
35,7% (Levinea et E cloacae
Septembre 2004
Novembre 2004
BLSE+, S Typhimurium, Shigella)
57%(pas de BLSE)
50% dont 41% sont P aeruginosa et A baumanii
EVALUATION DE LA COLONISATION DES SITES SELON
LES PASSAGES (RÉANIMATION CHUC)
Avril Mai Juillet Août
Chariot Bacillus
Staph
non aureus
Bacillus
Staph non aureus
Bacillus S nonaureus , Serratia
BLSE+
A baumaniii
Bacillus
S non aureus
Colonistransit
Risque
Couloir del’entrée
Staph
non aureus
Staph non aureus S non aureus SalmonellaTyphimurium
Colonistransit
Risque
Lavabo
office
Staph non aureus
Acinetobacter sp.
Staph non aureusAcinetobacter Sp.
Acinetobacter Shigella,
E clocaeBLSE+
P aeruginosa
Contamifécale, Rtransminosocom
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INTÉRÊT DES PRÉLÈVEMENTS DE L’ENVIRONNEMENTAU COURS D’UNE INVESTIGATION DE CAS
D’INFECTIONS NOSOCOMIALES EN NÉONATALOGIE,CHU DE YOPOUGON, ABIDJAN
S Méité1, C Boni-Cissé1, Dick-Amon Tanoh F2, , A Gobey1,E Lasme2 H Faye-Ketté1 M Dosso1
INTRODUCTION 3 sources de contamination ( le personnel soignant,
malade et l’environnement)
=> infections nosocomiales,
rôle de l’environnement hospitalier reste maldocumentées.
nouveau-nés :population fragile dont hospitalisationdoit se faire en zone à environnement maîtrisé.
Taux élevé hémoculture positive: février et mai 2006= > investigation
But => identification source de contamination
MÉTHODES Choix des sites = organisation du service 4 zones:
coté sain: Absence de pathologie infectieusecoté pathologique: pathologie infectieusesalle du personnel: Bureau du personnelvestiaires:
Sélection des 18 sites fixes constitués de:- Surfaces manipulés fréquentes : poignées de porte, lavabos,- Surfaces d’utilisation fréquentes: Couveuses, Table de réanimation
Prélèvements :écouvillon humide stérile
Cultures et zones40%
25%
30%
35%
40%
0%
5%
10%
15%
20%
coté sain Coté path Vestiare salle pers
culture (+)
PROFIL DE RÉSISTANCEDES BACTÉRIES ISOLÉS
50% des Enterobacteries BLSE
Toutes K pneumoniae BLSE+
BG- aérobie stricts ( Acinetobacter et alcaligenes): 100% de résistance à la Cefsulodine
ma s sens e m penem
50% Cipro R .
100% bact BLSE d’origine humaine
100% bact BLSE isolés la salle du personnel
COMPARAISON BACTÉRIES D’ORIGINE HUMAINEISOLÉES DANS L’ENVIRONNEMENT ET BACTÉRIES
ISOLÉS D’ HÉMOCULTURES DE MALADESHOSPITALISÉS
Souches isolées deSouches isolées del’environnementl’environnement
Souches isolées dansSouches isolées dansl’hémoculture del’hémoculture de
maladesmalades
K pneumoniae BLSEBLSEGentamycine R Gentamycine R Ac nalidixique R Ac nalidixique R
BLSEBLSEGentamycine R Gentamycine R Ac nalidixique R Ac nalidixique R
Phénotype identique visPhénotype identique vis--àà--vis des antibiotiques vis des antibiotiques
Biologie moléculaire => confirmationBiologie moléculaire => confirmation
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POURQUOI CES SITUATIONSRÉCURRENTES?
RH +++ déficit de renforcement des capacités , manque d’évaluation des
pratiques , ignorance des risques, mauvaise gestion des risques…
Cadres : Pratiques médicales: gestes, SOP, algorithmes des TT..
Familles et visiteurs
Malades
Méthodes de nettoyage et de désinfection : pas normalisé et prestations pas contrôlées
Grave déficit :Hygiène et biosécurité +++ Équipements, Climatisation : pas de contrôles sanitaires Défaut de surveillance des écosystèmes : laboratoire Infrastructures: Biofilms, circulation des personnes , revêtements,
peinture , niches et réservoirs de germes…
CONCLUSION
Urgent : Prise de conscience de la réalité des IN dansnos hôpitaux : personnel de santé , malades et leur famille…
Développer les mesures de prévention
Infections liées aux soins : Nouvelles maladies
émergentes en Afrique sub saharienne
CONCLUSION
Grande diversité des profils de R des isolats Niveau souvent très élevé de % de résistance Émergence de clone multirésistant Accroissement des résistances au fil des années ugmen a on rap e es pour es nouve es mo cues Nécessité de création de sites sentinelles Standardisation des techniques pour comparer les
données Conférence de consensus Rôle ORMI-CI : Observatoire de la Résistance des
Microorganismes aux Anti-Infectieuxen Côte d’Ivoire
CONCLUSION (2): ORMI-CI
Améliorer et Diffuser les connaissancesscientifiques sur les microorganismes en CI etsur l’émergence des résistances
Or aniser la Mémoire institutionnelle et laConservation du patrimoine biologique
Renforcer les capacités d’Interventions pour larésolution des problèmes liés aux résistances
vis à vis des anti-microbiens
Merci de votre attention
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