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R e v u e d e p R e s s ed u 1 5 / 0 9 / 2 0 1 7 a u 2 1 / 1 2 / 2 0 1 7
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S o m m a i r e
Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan 25/09/2017 Afriki Presse p.3
Confidentiel Le LAB 25/09/2017 La Lettre de l’Expansion p.5
La Côte d’Ivoire abrite la 3ème édition du LAB les 1er, 2 et 3 décembre 2017 sous le thème “Bancarisation : du cash a la banque” 26/10/2017 Vivafrik.com p.6
Annonce du LAB dans l’agenda 31/10/2017 Africa-salons.com p.7
Eric Bazin (Land of African Business): « Un think tank dédié aux Afriques et à la jeunesse entrepreneuriale » 31/10/2017 Africa-salons.com p.8
Les start-up africaines à l’honneur 02/11/2017 Le Figaro p.10
L’Afrique de demain se rencontre à Abidjan ! 21/11/2017 FemmesEntrepreneures.ci p.11
Jean-Jacques Seymour reçoit Eric Bazin pour parler du LAB et de l’entrepreneuriat Africain (16:19 minutes) 27/11/2017 Tropiques FM p.13
African Rethink Awards, le LAB à Abidjan 27/11/2017 African Business p.14
L’Afrique des talents existe, “Mondafrique” l’a rencontré 29/11/2017 Mondafrique p.16
L’Algérie sera représentée par un projet sur la lutte contre la désertification 01/12/2017 Liberte-Algerie.com p.18
3ème édition de Land of African Business & African Rethink Awards. 04/12/2017 Abidjan.net p.20
Think thank en Afrique: Land of African Business – LAB 05/12/2017 Afrique 21 p.21
Blockchain, machine à confiance ou chimère pour l’Afrique ? 07/12/2017 Les Echos .fr p.23
Numérique - Éric Bazin : « Start-up africaines : croyez en vous ! » 15/12/2017 Le Point Afrique .fr p.25
Eric Bazin revient sur le LAB 2017, en direct dans le 64 Minutes 17/12/2017 TV5 Monde p.32
Comment encourager la jeunesse au service de l’Afrique de demain ? Eric Bazin témoigne, de retour d’Abidjan (1h) 18/12/2017 Radio Notre Dame p.33
Les startups sont-elles l’avenir de l’Afrique? 19/12/2017 Géopolis Afrique p.34
Eric Bazin : « De nouveaux modes de financement émergent pour les start-up africaines » 21/12/2017 L’Opinion p.36
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ANNEXES
Land of African Business - 1er, 2 et 3 décembre 2017 - Abidjan L’Afrique de demain se rencontre ici 16/10/2017 Communiqué de presse p.38
African Rethink Awards : Dénicheurs de success stories - Abidjan du 1er au 3 décembre 2017 13/11/2017 Communiqué de presse p.40
«Start-up in the Airport» : Royal Air Maroc coache les jeunes entrepreneurs africains 14/11/2017 Communiqué de presse p.42
L’innovation de 5 start-up africaines récompensée par les African Rethink Awards 2017 04/12/2017 Communiqué de presse p.43
Dossier de presse p.45
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Du 1er au 3 décembre 2017, se tiendra à Abidjan une réunion de réflexion autour du thème : « Bancarisation : du cash à la banque », avec plus de 100 startups africaines. Une initiative de Land of African Business (LAB).
Les 100 startups défendront durant 3 jours leurs projets devant un parterre de d’investisseurs en marge du sommet uA-ue. Ce sera aussi l’occasion pour les jeunes entrepreneurs africains de montrer le savoir-faire d’un continent où le taux de chômage est des plus élevés au monde. surtout qu’à ce sommet, seront présents presque tout ce que les deux continents (Afrique et europe) compte d’investisseur et d’experts.
Cette foire à la promotion de l’entreprenariat jeune est placée sous le patronage du Bruno Nabagne KONe, Ministre de la Com-munication, de l’economie Numérique et de la poste, porte-parole du gouvernement Ivoirien. et est organisée par Land of African Business (LAB). Avec pour objectif d’intéresser les jeunes entrepreneurs africain à la banque. d’où le thème « bancarisation : du cash à la banque ». Il faut préciser que le taux de bancarisation en Afrique se situe en dessous des 15%.
Né il y a 3 ans, le Land of african business (LAB) propose des expertises de haut niveau, inspirant des solutions novatrices dans une démarche sociétale inclusive. Il promeut le partage des meilleures pratiques environnementales, économiques, sociales, éducatives et culturelles développées sur le continent.
Support : Afriki Presse .frType : WebDiffusion : 100000 visites (source : editeur)Par : Chris MonsékélaDiffusé le : 25/09/2017Disponible sur : http://www.afrikipresse.fr/economie/entreprenariat-en-afrique-plus-100-startups-en-decembre-a-abidjan
Entreprenariat en Afrique : plus 100 startups en décembre à Abidjan
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La Lettre de L’ExpansionLa Lettre est réalisée chaque semaine sous la responsabilité dePhilippe Reiller, RÉDACTEUR EN CHEF (41.63),
preiller@lexpansion.com,
Thierry Mestayer, RÉDACTEUR EN CHEF ADJOINT (42.06),
tmestayer@lexpansion.com,Marie-Caroline Lopez, CHEF DE RUBRIQUE MACROÉCONOMIE ET ENTREPRISES (40.44),mclopez@lexpansion.com
DIRECTEUR DE LA PUBLICATION : Guillaume Dubois.DIRECTEURS GÉNÉRAUX DÉLÉGUÉS :François Dieulesaint, Guillaume Dubois.RELATIONS CLIENTÈLE :Nadia Boufassa (42.99).RÉVISION : Catherine Schram.SECRÉTARIAT DE RÉDACTION :Dorothée Coelho, Stéphane Lay.
Prix du numéro : 32 € TTC.Abonnement premium : 1495 € TTC.Société éditrice : Groupe L’ExpressSA au capital de 47150 040C€. RCS Paris : 552018681.Siège social :29, rue de Châteaudun, 75009 Paris.PRÉSIDENT-DIRECTEUR GÉNÉRAL : Alain Weill.
Principal actionnaire : SFR Presse.Imprimée par Impro,98, rue Alexis-Pesnon, 93100 Montreuil.Commission paritaire n° 1117 I 82343.Toute reproduction non autoriséemême par photocopie est interdite.Copyright 2017.
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La Lettre de L’Expansion ❚ Lundi 25 septembre 2017 ❚ n° 2339
Mogherini :son plan pourla défense
L a coopération structurée
en matière de défense se
met en place. Plus d’une ving-
taine de capitales ont déjà
affirmé qu’elles étaient inté-
ressées. Federica Mogherini
est en passe de réussir son
pari, alors que son projet ren-
contrait beaucoup de scepti-
cisme il y a un an, avec seule-
ment Paris, Berlin et Rome
pour le porter.
La chef de la diplomatie
européenne a donc décidé
d’accélérer le processus et a
donné jusqu’à la mi-octobre
à chaque capitale pour noti-
fier officiellement sa partici-
pation. Le bonus de 10 %, pro-
mis par la Commission
européenne, dans le cadre du
Fonds pour la défense, fait son
effet. Même les plus scep-
tiques, comme la Lituanie et
la Pologne, ont fini par se ral-
lier au projet. On compte plus
d’une trentaine de proposi-
tions, de la surveillance des
frontières, défendue par les
pays d’Europe centrale, aux
drones, portés par la France
et l’Allemagne, en passant par
la cyberdéfense soutenue par
les pays Baltes et nordiques.
Il faudra donc opérer une
sélection. Ce devrait être fait
d’ici à la mi-novembre, ce qui
permettrait au Conseil euro-
péen d’enclencher dès décem-
bre le processus, qui devra
combiner un noyau dur com-
munautaire, voulu par Paris,
et une approche à la carte, pré-
féré par d’autres capitales. ❚
■ LA FRANCE s’oppose à la
Commission européenne sur la
traçabilité des produits du tabac.
Le 4 septembre, Bruxelles a sou-
mis à consultation un projet de
texte pour lutter contre le com-
merce parallèle. Lors d’une réu-
nion interministérielle à Matignon,
le 9 septembre, le gouvernement
a décidé de rejeter ce texte au
motif qu’il ne respecte pas le pro-
tocole de l’OMS qui exige une tra-
çabilité indépendante des ciga-
rettiers, soupçonnés d’organiser
eux-mêmes le trafic.
■ LE RÉSEAU WIL (European
Network for Women in Leader-
ship), dirigé par Thaima Samman,
organise cet automne deux ren-
contres au Parlement européen
pour les 300 membres du réseau,
l’un avec Michel Barnier fin sep-
tembre, et l’autre avec la com-
missaire à la Concurrence Mar-
grethe Vestager, début décembre.
■ GOOGLE a pris le leadership
du lobbying visant à contrer la
proposition française de taxation
des géants du numérique selon
leur chiffre d’affaires réalisé dans
chacun des pays de l’UE. La firme
de Mountain View mise sur les
divisions au sein de l’UE pour
retarder le plus possible une déci-
sion européenne.
■ SAMSUNG est en train de
s’accorder avec des chaînes hôte-
lières pour leur fournir une solu-
tion plus évoluée de son système
Hospitality TV, qui permettra aux
clients d’accéder à leur chambre,
faire leur réservation et check-
out depuis leur smartphone,
tablette et smartwatch.
■ KASPERSKY LAB finalise
avec le ministère brésilien de la
Défense un contrat de plus de
12 millions de dollars portant sur
la protection informatique.
■ LE LAB (Land of African Busi-
ness) porté par Eric Bazin et Sonia
Henry, dont la troisième édition
aura lieu en décembre à Abidjan,
planchera sur le thème : « Ban-
carisation : du cash à la banque ».
Des prix seront décernés parmi
plus d’une centaine de start-up
venues de tout le continent défen-
dre leur business model.
■ BRUXELLES estime qu’il
reste des points à éclaircir sur
les droits des citoyens euro-
péens installés au Royaume-Uni
après le Brexit, même si c’est le
sujet sur lequel les négociations
ont le plus avancé. Londres pro-
pose de simplement transposer
les droits européens, mais
Bruxelles réclame des garanties
sur leur évolution à long terme,
ainsi que la compétence de la
Cour de justice de l’UE plutôt
que celle de la justice britan-
nique pour trancher les litiges.
CORÉE DU NORD : POURQUOI PÉKIN A PERDU LA MAIN■ La crise entre les Etats-Unis et la Corée du Nord révèle aussi la perte d’influence de Pékin à
Pyongyang. Au cours du mois d’août, le ministère des Affaires étrangères chinois a mis à la
retraite le diplomate Wu Dawei, chargé depuis plus de dix ans des relations avec le pays
ermite. Wu Dawei était favorable à la poursuite de négociations sur les tests de missiles balis-
tiques nord-coréens mais n’avait plus été reçu à Pyongyang depuis février 2016. Son remplaçant,
le diplomate Kong Xuanyou, serait chargé de rétablir des relations diplomatiques entre les
deux pays. Une mission d’autant plus difficile que Kim Jong-un a écarté certains cadres du
régime, faisant notamment exécuter, en décembre 2013, Jang Song-taek, l’une des personnalités
les plus influentes du régime et proche de hauts dirigeants chinois. ❚
ILIAD-FREE : COMMENT IL PRÉPARE SON LANCEMENT EN ITALIE■ L’opérateur de Xavier Niel va recruter un jeune PDG italien pour incarner la marque Free
dans la Péninsule, où il compte lancer son offre mobile à la fin de l’année. Le choix devrait
être finalisé cet automne. Le siège devrait se trouver à Milan, avec une antenne à Rome pour
gérer les relations institutionnelles. Si la stratégie et les choix techniques sont pilotés depuis
la maison mère française, le futur opérateur italien devrait disposer d’équipes spécifiques
concernant la réglementation, les relations abonnés et le déploiement du réseau transalpin.
Iliad prévoit d’externaliser la fonction de gestion des relations avec les abonnés, au moins
pour le lancement. Avec un double objectif : dupliquer son modèle français, où les charges
fixes sont réduites au minimum, et bénéficier de la capacité d’un prestataire à gérer les
importantes charges de travail propres au lancement d’une offre. Mais Iliad ne s’interdit pas
d’acquérir en propre, par la suite, un site de relation client. ❚
29, rue de Châteaudun, 75308 Paris Cedex 09 ❙ RELATIONS CLIENTÈLE : Nadia Boufassa. TÉL. : 01 75 55 42 99 – FAX : 01 75 55 41 29
ISSN0399-8606
INTERNATIONAL
Support : La Lettre de l’ExpansionType : presse & NewsletterDiffusion : 1300 Abonnés (source : editeur)Par : philippe ReillerDiffusé le : 25/09/2017
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Dans le prolongement du Sommet UA-UE, les figures emblématiques de l’Afrique de demain se réunissent à Abidjan les 1er, 2 et 3 décembre 2017, trois jours de réflexion et de partage, sous l’égide du Land of African Business (LAB) qui depuis trois ans, propose des expertises de haut niveau, inspirant des solutions novatrices dans une démarche sociétale inclusive, indiquent Alexia Chiche et Philippe Sclavon dans un communiqué transmis à VivAfrik.
Thème de cette 3ème édition : « Bancarisation : du cash a la banque », avec des experts faisant autorité, des institutions clés, et des profils atypiques. Loin des
grandes messes pro-africaines, où les officiants viennent se congratuler et distiller de bonnes intentions qui restent la plupart du temps embryonnaires, le LAB est un lieu de partage d’expériences et d’expertises au service de solutions concrètes qui tracent les chemins d’un développement pérenne, ajoute le document. Qui précise que neuf tables rondes réunissant économistes, financiers, chefs d’entreprises, universitaires et personnalités politiques, seront l’occasion de discussions interactives, autour des thématiques essentielles pour les porteurs de projets, parmi lesquelles : comment faciliter le financement des start-up face aux difficultés de la bancarisation ?, la blockchain : un graal pour l’Afrique ?, nouvelles monnaies numériques, quelles opportunités ? et enfin l’’accès à la terre, problématique du foncier lié à l’absence de bancarisation en zone rurale ?
Les African Rethink Awards, dénicheurs de Success StoriesCélébrant l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine, ces rencontres permettront aussi à plus de 100 start-up, venues de tout le continent et prises en charge par le LAB, de défendre leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts, dans le cadre des African Rethink Awards, dont les lauréats bénéficient d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année. Cinq prix seront décernés : Grand prix – prix de la Francophonie – prix Agri-Tec – prix de l’entreprenariat Féminin – prix de la Meilleure start-up Ivoirienne.si l’on se fie à notre source, dénicheurs de success stories, les African Rethink Awards, ont révélé quelques pépites à l’image de Mariama Mamane (Jacigreen) qui transforme une plante nuisible en engrais naturel et en électricité, l’un des 20 projets les plus prometteurs en Afrique selon l’ONu, Christian Hafidh Mwijage (eCOACT) qui utilise des déchets plastiques pour construire des hôpitaux, des routes et des crèches, en matériaux de construction synthétique – Brenda Katwesigye (WAZI vIsION) qui offre aux écoliers des soins optiques et des paires de lunettes abordables conçues à partir de plastiques recyclés. Les femmes, au cœur des ac-tions de développement des territoires, seront également à l’honneur le dimanche, à travers deux tables rondes dédiées à l’économie du genre : comment combattre la fatalité ?, de l’usage et de la représentation de la femme dans les marques en Afrique.
de nombreuses personnalités africaines seront présentes, parmi lesquelles : Bruno Nabagne Koné, ministre de la Communication, de l’economie numérique et de la poste, porte-parole du gouvernement ivoirien, parrain de cette 3e édition du LAB – Françoise Assogba, ministre en charge de la Micro-Finance au Bénin – Touré Fama, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte-d’Ivoire – Candace Nkoth Bisseck, fondatrice de digitalfordevelopment.org, qui travaille sur le numérique comme levier de développement – Mame Cafa sall, fondatrice du cabinet Kaizen spécialisé en développement personnel des managers et dirigeants et présidente de la commission leadership et compétitivité du Centre Africain de veille et d’intelligence économique (Cavie) – Omar Cissé, président d’In Touch, acteur majeur de la Fintech.
Fruit de ce foisonnement d’idées et d’initiatives, un livre blanc reprenant l’essentiel de ces échanges, formulera des recommanda-tions qui seront présentées lors d’une journée de débriefing «Back from Abidjan» le 16 mars 2018 au Conseil supérieur du Notariat Francophone à paris.
Support : Vivafrik.comType : WebPar : Moctar FicouDiffusé le : 26/10/2017Disponible sur : https://www.vivafrik.com/2017/10/26/la-cote-divoire-abrite-la-3eme-edition-du-lab-les-1er-2-et-3-decembre-2017-sous-le-theme-bancarisation-du-cash-a-la-banque-a12999.html
La Côte d’Ivoire abrite la 3ème édition du LAB les 1er, 2 et 3 décembre 2017 sous le thème “Bancarisation : du cash a la banque”
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Land of African Business
Conférence organisée par le Think Tank Land of African Business et qui vise à faire se confronter les acteurs économiques et intellectuels. L’édition 2017 du LAB a pour thème \ »Bancarisation: du cash à la banque?\ ». C’est au cours de cette conférence que les Africa Rethink Awards sont décernés.
Organisateur : Land of African Businessdu 01 au 03 décembre 2017 à 9H00Thème : développementType : Conférenceville : AbidjanLieu : Chambre de commerce et d\’industrieAdresse : 6 avenue Joseph Anoma, AbidjanRécurent : nonTags : startups, économie, développement, banqueTagline : Tarif :gratuitNombre des visiteurs (année -1) :1000plus d’information : http://www.africa-salons.com/evenement/2017/10/31/eric-bazin-land-of-african-business-un-think-tank-de-die-aux-afriques-et-a-la-jeunesse-entrepreneuriale/
Support : Africa-salons.comType : WebDiffusé le : 31/10/2017 Disponible sur : http://www.africa-salons.com/salon/349-land-of-afri-can-business-2017-12-01-abidjan/
Annonce du LAB 2017 dans l’agenda
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eric Bazin, fondateur Land of African Business
La conférence Land of African Business (LAB) se tiendra cette année à Abidjan du 1er au 3 décembre 2017, avec le Baby Lab de Guiako Obin comme cheville ouvrière locale. Nous avons rencontré eric Bazin le fondateur du LAB, plateforme devenue une réfé-rence quand on parle de Business Afrique.
eric Bazin a conçu l’événement qui en est à sa 3ème édition comme un laboratoires d’idées où les acteurs du développement de l’Afrique – jeunes entrepreneurs, grands groupes, médias – peuvent se mettre autour d’une même table, pour mutualiser les bonnes pratiques. Bazin souligne la vocation humaniste du LAB.La thématique principale cette année sera la bancarisation, enjeu clé pour le développement de l’économie et des jeunes pousses. « Les jeunes entrepreneurs vont chercher des investissements, et ils rencontrent souvent une barrière » précise eric Bazin. Il espère que la conférence amènera les investisseurs à repenser leur approche.
Support : Africa-salons.comType : WebPar : KadjoDiffusé le : 31/10/2017Disponible sur : http://www.africa-salons.com/evenement/2017/10/31/eric-bazin-land-of-african-business-un-think-tank-dedie-aux-afriques-et-a-la-jeunesse-entrepreneuriale/
Eric Bazin (Land of African Business): « Un think tank dédié aux Afriques et à la jeunesse entrepreneuriale »
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Comme à chaque édition, le LAB sera l’occasion de décerner les Africa Rethink Awards (ARA). 86 startups en provenance de 25 pays ont été sélectionnées, via des « ambassadeurs » et des incubateurs en activité sur le continent. Ces startups viendront pitcher tous les jours. Les jeunes pousses lauréates seront accompagnées par différents partenaires du LAB dont Innogence pulse et LA-BsN Avocats.
Le dimanche 3 décembre sera dédié à la thématique de la femme africaine, en présence des présidentes Afrique de L’Oréal, Google, Ipsos, Microsoft, Canal+ International.
Nous avons profité de cette rencontre pour demander à eric Bazin quelles étaient les tendances qu’il voyait se dessiner dans les économies africaines, depuis sa position d’organisateur d’un événement clé dans le Business Afrique.
Bien que soutien de startups par son activité, Bazin tient à souligner certains écueils dans la jeunesse entrepreneuriale, notamment ce qu’on pourrait appeler la « concourite » ou la multiplication de participations aux concours de startups.
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Support : Le FigaroType : presseOJD : 305701 exemplairesPar : Yves ThréardDiffusé le : 02/11/2017
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dans le prolongement du sommet uA-ue, les figures emblématiques de l’Afrique de demain se réunissent à la Chambre de Com-merce et d’Industrie de Côte d’Ivoire (Abidjan), du 1er au 3 décembre 2017. Trois jours de réflexion et de partage, sous l’égide du Land of African Business (LAB) qui depuis trois ans, propose des expertises de haut niveau, inspirant des solutions novatrices dans une démarche sociétale inclusive.Loin des grandes messes pro-africaines, où les officiants viennent se congratuler et distiller de bonnes intentions qui restent la plupart du temps embryonnaires, le LAB est un lieu de partage d’expériences et d’expertises au service de solutions concrètes qui tracent les chemins d’un développement durable.
des tables rondes pluridisciplinaires, réunissant économistes, artistes, financiers, chefs d’entreprises, universitaires, jeunes entre-preneurs, experts et responsables politiques, seront l’occasion de discussions interactives, dans une approche transversale autour de thématiques essentielles pour les porteurs de projets, parmi lesquelles :• Comment faciliter le financement des start-up face aux difficultés de la bancarisation ?• La blockchain : Un graal pour l’Afrique ?• Nouvelles monnaies numériques, quelles opportunités ?• L’accès à la terre, problématique du foncier lié à l’absence de bancarisation en zone rurale ?
Célébrant l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine, ces rencontres permettront aussi à plus de 70 start-up, venues de tout le
Support : FemmesEntrepreneures.ciType : WebPar : O’noryn KadioDiffusé le : 21/11/2017Disponible sur : http://femmesentrepreneures.ci/lafrique-de-demain-au-lab-abidjan/
L’Afrique de demain se rencontre à Abidjan !
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continent et prises en charge par le LAB, de défendre leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts, dans le cadre des African Rethink Awards, dont les lauréats bénéficient d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année. Le cabinet d’avocats LABs-Ns Avocats, conseillera les jeunes entrepreneurs sur les questions juridiques liées à leurs activités. Gala paricheva, Oolith Avocats, protègera leur marque et autres brevets face aux appétits « carnassiers » de grands groupes. Grace Malanda, consultante en personal branding, les sensibilisera aux nouvelles stratégies digitales, tandis que douglas Mbiandou, fondateur de Ojis, proposera de les mentorer, etc.Les femmes, au coeur des actions de développement des territoires, seront particulièrement à l’honneur le dimanche 3 décembre, à travers deux tables rondes dédiées :•L’économie du genre : Comment combattre la fatalité ?•De l’usage et de la représentation de la femme dans les marques en Afrique.
Cliquez sur ce lien pour obtenir gratuitement des billets d’entrée.
pour plus d’information, visitez le site www.lelab.info et la page Facebook Land Of African Business.
A propos du LAB
Fondé en 2014 par eric Bazin, le Land of African Business (LAB) oeuvre à l’émergence de nouveaux modèles de développement plus respectueux de l’homme, qui contribuent à une croissance partagée et harmonieuse entre les populations et les générations, comme en témoignent les thématiques des tables rondes de l’édition 2017.
Le LAB se veut « un think tank tourné vers ‘les Afriques’, pour penser la mutation vers de nouveaux modèles de développement ».
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Support : xxxType : xxxOJD : xxxPar : xxxDiffusé le : xxxDisponible sur : xxx
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Support : Tropiques FMType : WebDiffusion : 139000 Auditeurs (source : Médiamétrie)Par : Jean-Jacques seymourDiffusé le : 27/11/2017Disponible sur : http://tropiquesfm.herokuapp.com/records/emission-du-27-novembre
Jean-Jacques Seymour reçoit Eric Bazin pour parler du LAB et de l’entrepreneuriat Africain (16:19 minutes)
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Support : African BusinessType : presseDiffusion : 80662 exemplaires (source : editeur)Par : Marie-France RéveillardDiffusé le : 27/11/2017Disponible sur : https://issuu.com/icpubs/docs/abf53_relaylr
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Du 1er au 3 décembre, se réunit à Abidjan le “Land of African Business” (LAB), un sigle obscur qui masque une confrérie fraternelle fondée en 2015 par Eric Bazin pour favoriser les start ups les plus prometteuses du continent.
Loin des grandes messes pro-africaines, où les officiants viennent se congratuler et distiller de bonnes intentions qui restent la plupart du temps embryonnaires, le “LAB” est un lieu de partage d’expériences et d’expertises inspiratrices de solutions concrètes qui tracent les chemins d’un développement pérenne. dans la foulée du sommet entre l’union européenne et l’union Africaine, les jeunes entrepreneurs “donnent corps à l’Afrique de demain”, selon le mot du créateur du LAB, eric Bazin, un ancien grand reporter de paris-Match amoureux du continent africain et totalement enthousiaste qui a lancé l’aventure en 2015.
Paris, Rabat, Abidjan
Le premier rassemblement du LAB, voici trois ans, s’est tenu dans le splendide Hotel de l’Industrie au coeur du quartier latin, que son propriétaire avait loué à un prix d’ami. Cette année, ce sera la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Abidjan dans une Cote d’ivoire dont les performances économiques sont souvent saluées. une halte aura lieu jeudi, veille du rassemblement, dans les sa-lons privés de l’aéroport de Casablanca, où la Royal Air Maroc (RAM) organise une rencontre. entrepreneurs de tous pays africains, unissons nous!
A Abidjan, des experts reconnus, des institutions clés, et des profils atypiques, tous initiateurs d’écosystèmes variés et prometteurs, se rencontrent pendant trois jours. Ces acteurs de tous horizons peuvent collaborer et penser en toute liberté l’Afrique de demain. Cette troisième édition sera consacrée à la “Bancarisation, du cash à la banque”.
Support : Mondafrique.comType : WebPar : Nicolas BeauDiffusé le : 29/11/2017Disponible sur : https://mondafrique.com/lafrique-talents-existe-mon-dafrique-rencontre/
L’Afrique des talents existe, “Mondafrique” l’a rencontré
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Talents à promouvoir
Ces rencontres permettent aussi à plus de 100 start-up, venues de tout le continent, de défendre leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts, dans le cadre des African Rethink Awards. Leurs lauréats bénéficient d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année, aussi bien dans le domaine du droit que celui de la communication, du numérique ou de la défense des marques.
Les African Rethink Awards, ont révélé quelques pépites. Citons Christian Hafidh Mwijage (eCOACT), qui utilise des déchets plastiques pour construire des hôpitaux, des routes et des crèches, en matériaux de construction synthétique. Ou encore Brenda Katwesigye (Wazi vision) qui offre aux écoliers des soins optiques et des paires de lunettes abordables conçues à partir de plas-tiques recyclés.
Les sponsors sont nombreux à encourager cette initiaitive, d’ATOs et Canal + International à l’essec et à l’Association du Notariat francophone. Autant de bonnes fées qui, une fois n’est pas coutume, cherchent à promouvoir les entrepreneurs africains.
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L’Algérie sera représentée ce 1er décembre au African Rethink Awards (ARA) par le jeune agriculteur Jamel djeghidel. C’est un événement organisé par Le Land of African Business (LAB), un forum africain de réflexions et de solutions qui se tiendra à Abidjan (Côte d’Ivoire). Le LAB offre des trophées pour les jeunes entrepreneurs africains ou issus de la diaspora, dans l’objectif d’encoura-ger les initiatives répondants à différentes problématiques, qui concernent l’Afrique.
Comme indiqué dans le site du LAB, ce projet vise également à « promouvoir le développement économique et social du continent africain grâce à ses jeunes talents ». en plus de « mettre en lumière des projets prometteurs pour faire venir à eux le soutien finan-cier dont ils ont besoin, en particulier dans leurs premières phases de transformation ».
pour y participer, la startup devrait répondre à plusieurs critères, dont : exister depuis moins de 5 ans ; être porté(e) par un(e) entrepreneur (se) africain(e) ou issu(e) de la diaspora de moins de 35 ans ; intégrer les principes de Responsabilité sociétale des
Support : Liberte-Algerie.comType : WebPar : Imeèe AmokraneDiffusé le : 01/12/2017Disponible sur : https://www.liberte-algerie.com/actualite/lalgerie-sera-representee-par-un-projet-sur-la-lutte-contre-la-desertification-282128
#LIBERTEVENDREDI : AFRICAN RETHINK AWARDS (ARA) L’Algérie sera représentée par un projet sur la lutte contre la désertification
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entreprises (Rse) dans ses activités ; afficher des résultats positifs ; proposer un produit ou un service innovant.
pour le cas de Jamel djeghidel, il propose un projet répondant à la lutte contre la désertification et la pollution des sols, la création d’emplois pérennes et la valorisation de la biomasse, à travers sa startup pARIs-BRIsKA (pBA).
prenant attache avec la Rédaction digitale de « Liberté » (RdL), l’entrepreneur a indiqué son projet « s’inscrit dans l’économie circulaire zéro déchet en accompagnant les coopératives agricoles de dattes vers des pratiques durables et optimales ». Il a par ail-leurs rappelé son parcours, et la genèse du lancement de son entreprise. « Ayant hérité d’une palmeraie, j’ai à cœur de perpétrer ce savoir-faire dans une logique de développement local, durable et solidaire », a-t-il ajouté.
Ainsi, après avoir achevé ses études à l’esCp europe en entreprenariat sociétal, Jamel djeghidel a décidé de travailler autour de l’agrobusiness et de la Blue economy (économie circulaire) afin de valoriser et accompagner les producteurs de palmier dattier dans le monde.
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La 3ème édition de Land of African Business & African Rethink Awards a été ouverte le vendredi 01 décembre 2017 à la chambre de commerce d`Abidjan.
Support : Abidjan.netType : WebDiffusé le : 04/12/2017Disponible sur : https://news.abidjan.net/p/478093.html
3ème édition de Land of African Business & African Rethink Awards.
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un think thank (mot anglais), par sa définition est un groupe de réflexion ou laboratoire d’idées, il est généralement une structure de droit privé, indépendante de l’État ou de toute autre puissance, en principe à but non lucratif, regroupant des experts. L’activité principale d’un think thank est généralement de produire des études et d’élaborer des propositions, le plus souvent dans le domaine des politiques publiques et de l’économie.
Née dans les années 60 au etats unis, et propagé dans les années 2000, les think thank se sont propagé dans les pays an-glo-saxons,etla France. La Chine qui demeure le deuxième pays qui en compte le plus au monde.
Composé de membre issu de la société civile, d’experts, de décideurs, etc.…Ce réservoir de bonne volonté s’organise autour de débat, de colloque, de séminaire et de réunion.
L’Afrique, décidé d’être aux rendez de la mondialisation, et des grands défis du millénaire regorge également de plusieurs think thank qui apportent leur contributions et leur savoir faire dans les orientations sociales, politiques économiques et environnemen-tales de nos pays en voie de développement.
A ce titre Afrique 21 met un coup de projecteur sur Land of Afican Business-LAB qui est think thank africain qui se bat pour hisser haut le continent.
Support : Afrique 21Type : WebPar : Bouazi KouadioDiffusé le : 05/12/2017Disponible sur : http://afrique21.com/societe/think-thank-afrique-land-of-african-business-lab/
Think thank en Afrique: Land of African Business – LAB
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un think thank tourné vers « les Afriques » pour penser la mutation vers de nouveaux modèles de développement
Fondé en 2014, le Land of African Business – LAB – est un cercle de réflexion riche de l’expertise de ses membres et des opportu-nités d’actions pour l’Afrique. Ambitieux dans la mise en relation d’acteurs concernés par les défis émergents du développement et de la croissance africaine, il a acquis, grâce à sa 1ère édition lors de la COp21 à paris, une forte reconnaissance sur la scène inter-nationale. Le LAB rassemble et sensibilise au changement global de nos modes de vie et de gouvernance des acteurs économiques, académiques, associatifs, institutionnels et médiatiques du continent africain
Chaque année, le LAB organise le programme des African Rethink Awards (ARA), qui récompense des entreprises innovantes et performantes dont le modèle est duplicable sur le continent africain.
pour cette édition 2017, la mission du LAB s’est déclinée en plusieurs objectifs:
– encourager les initiatives qui répondent efficacement aux problématiques de mutation sociétale, économique, sociale et environ-nementale de l’Afrique,
– soutenir l’esprit d’entreprise, indispensable pour mailler le tissu économique des pays africains d’un secteur privé dynamique, proche des besoins de ses consommateurs,
– Mettre en lumière des projets prometteurs pour faire venir à eux le soutien financier dont ils ont besoin, en particulier dans leurs premières phases de transformation.
NB: Les inscriptions pour la 3ème édition de (LAB) qui s’est tenu les 1er – 2 et 3 décembre dernier à Abidjan, se poursuivent via l’application B2B
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Outil informatique créé pour développer le bitcoin, monnaie virtuelle, la blockchain permet d’envisager différentes applica-tions adaptées aux spécificités du continent africain.
Beaucoup présentent la blockchain comme une solution miracle pour l’Afrique, celle qui fabrique la confiance, joue la transparence, démocratise, supprime les coûts de transaction... Bref, l’avancée technologique qui va permettre au continent de réaliser un bond, un leapfrog (ou saut de grenouille) à l’image de ce qui s’est passé avec la téléphonie mobile. « La blockchain est une révolution silencieuse. elle oblige à repenser les modèles un peu partout : dans la banque, l’administration... et même dans le métro », détaille l’hebdo belge Le vif.
pour les non-initiés, la blockchain reste un obscur outil numérique. pourtant, tout le monde a entendu parler du bitcoin, la mon-naie virtuelle. et bien justement, la blockchain est l’outil développé pour créer et échanger le bitcoin. Chaque transaction est inscrite dans la blockchain, qui fonctionne comme un registre public en accès libre, stockée de manière décentralisée. Les transactions sont validées en ligne sans passer par une autorité centrale : les blocs de transactions codés et authentifiés s’ajoutent les uns aux autres par ordre chronologique dans le registre numérique, formant une «blockchain».peu à peu, le bitcoin se fraye un petit chemin en Afrique. Notamment au Kenya, en Ouganda et en Afrique du sud, la crypto-mon-naie sert de base à des transferts d’argent. déjà vivement concurrencées par les opérateurs de téléphonie mobile, qui dans le sillage du succès de safaricom au Kenya avec le M-pesa, développent des services de transfert d’argent via sMs, les banques s’intéressent de près aux monnaies virtuelles. La standard Bank en Afrique du sud expérimente une plateforme de compensation en bitcoins. de son côté, la start-up kenyane Bitpesa, a développé une plateforme de paiement basée sur la blockchain de bitcoin. elle offre ses services exclusivement aux entreprises pour effectuer des transactions, principalement à l’international.
Transparence et traçabilitéAu-delà de la création de crypto-monnaies, la blockchain offre aujourd’hui des opportunités multiples notamment grâce à la décentralisation des transactions qu’elle permet, la sécurité et la transparence qu’elle apporte. Certains parlent alors de « machine à confiance ». La blockchain peut faciliter les transferts de fonds internationaux et pallier l’inexistence ou la défaillance d’un système bancaire.Les applications de la blockchain ne se limitent pas à la sphère financière. elle permet par exemple de créer un cadastre virtuel. Au Ghana, un projet pilote est mené dans la ville de Kumasi (capitale de la région Ashanti) par Bitland qui compte bien déployer sa solution dans de nombreux pays africains. d’autres projets portent sur la gestion de registres d’identités, de la propriété intellec-tuelle… Grâce à la traçabilité qu’elle confère, la blockchain peut être utilisée dans la lutte contre les faux médicaments, ou la traçabilité des différentes matières premières agricoles, comme le café, le cacao ou le bois, mais aussi pour des produits miniers et notamment le coltan ou les diamants. elle peut aussi appuyer la certification des diplômes et des documents administratifs. « Nous sommes convaincus que la blockchain est un levier de croissance inédit pour l’Afrique. dans un environnement faiblement bancarisé, où la dynamique d’innovation est exemplaire et le marché des services mobiles en pleine explosion, ce protocole infor-matique est une chance extraordinaire pour les Africains », s’enthousiasme sophie Chambon, directrice Rse et conseillère Afrique chez Atos.
Des limitesMalgré toutes ces opportunités, il ne faut pas fermer les yeux sur les limites de cette technologie. pour être déployé et bien fonction-ner, cet outil doit d’abord bénéficier d’un cadre juridique approprié. À ce jour, il n’existe pas... sauf en estonie. Les pouvoirs publics vont devoir se pencher sur le dossier. du point de vue technique, les limites sont liées à la jeunesse de l’outil et à sa complexité tech-
Support : Les Echos .frType : WebOJD : 18849777 visitesPar : eric BazinDiffusé le : 07/12/2017Disponible sur : https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-176691-blockchain-machine-a-confiance-ou-chimere-pour-lafrique-2136523.php
Blockchain, machine à confiance ou chimère pour l’Afrique ?
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nique à sa relativement faible capacité de traitement des informations. La blockchain du bitcoin peut traiter au maximum 600 000 transactions par jour, loin derrière les 24 millions traités par le réseau de transactions interbancaires swift. en outre, le traitement de grand nombre d’informations implique un fonctionnement énergivore. « À titre d’exemple, la «blockchain» du bitcoin qui pèse aujourd’hui 78 gigaoctets consomme aux alentours de 600 mégawatts (MW) d’énergie », révèle sciences et Avenir.
(1) Le vif : https://trends.levif.be/economie/banque-et-finance/blockchain-l-outil-qui-va-revolutionner-le-business/ar-ticle-normal-748195.html
(2) sciences et Avenir : https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/promesses-et-limites-de-la-technologie-blockchain-nouvel-eldorado-de-la-finance_36846
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ENTRETIEN. En prolongement du sommet UA-UE d’Abidjan, le Land of African Business a fait son retour aux côtés des jeunes pousses africaines. Son fondateur s’est confié au Point Afrique.
un tournant ? La troisième édition du Land of African Business (LAB), qui s’est tenu pour la première fois en Afrique, vient de refermer ses portes à Abidjan, capitale économique de la Côte d’Ivoire. pourtant, son fondateur, le Français Éric Bazin, ne rêve que d’une chose : lui donner toute sa dimension africaine dans les prochaines années. Reconnu pour être un lieu d’échanges privilégié des innovations africaines, le LAB s’est spécialisé dans les initiatives transversales. Au départ, dans l’écologie et l’environnement, dans le cadre des Ateliers de la terre qu’organisait eric Bazin de 2005 à 2014. puis, en 2015, le rassemblement a pris un virage à presque 180 degrés sur un terrain où on ne l’attendait pas : le numérique. plus précisément dans l’accompagnement de start-up africaines.
L’an passé déjà, eric Bazin, ancien journaliste-reporter pour paris Match et d’autres supports, avait rassemblé à paris une centaine de start-up venues du continent pour débattre sur des sujets centraux, et surtout pour « pitcher » des propositions de projets. À la clé : un suivi avec des spécialistes et des sponsors de renom !
Mais voilà, Éric Bazin eut la mauvaise surprise de découvrir le peu d’entrain manifeste de certains des participants aux concours du LAB 2016. une seule parmi les neuf gagnants, initiatrice d’un projet à Madagascar, sollicita un mentoring sur l’entreprenariat concocté par sciences po, partenaire du LAB. si le sujet est tabou dans le milieu, Éric Bazin met les pieds dans le plat : « Il faut que ces jeunes s’occupent à plein temps de leur start-up, qu’ils s’y investissent et surtout qu’ils arrêtent de prendre l’avion à tout va ! »
Support : Le Point Afrique .frType : WebPar : viviane ForsonDiffusé le : 15/12/2017Disponible sur : http://afrique.lepoint.fr/economie/numerique-eric-ba-zin-start-up-africaines-croyez-en-vous-15-12-2017-2180406_2258.php
Numérique - Éric Bazin : « Start-up africaines : croyez en vous ! »
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dans un exercice de franchise plutôt direct, le fondateur du LAB revient sur les pistes de réflexion menées afin de voir pérennisée son initiative en Afrique. un défi qu’il veut vite relever, à en croire l’élan suscité à Abidjan où plus de 70 start-up ont défendu leur business model devant un parterre d’investisseurs, de chefs d’entreprise et d’experts. Tout cela en plus des African Rethink Awards, une remise de prix où les lauréats peuvent bénéficier d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année.
Cerise sur le gâteau, avant de rejoindre Abidjan, de nombreux entrepreneurs devant passer par Casablanca ont participé à « start-up in The Airport ». Conçu pour éviter la longue attente des entrepreneurs à l’aéroport de Casablanca, le LAB les a invités à un mentoring original, proposé par Royal Air Maroc, dans ses salons privés de l’aéroport et prodigué par les professeurs de l’essec Afrique Atlantique de Rabat.
Le Point Afrique : Comment le LAB compte s’implanter durablement en Afrique ?
Éric Bazin : Aujourd’hui, ce qui est intéressant, c’est de travailler avec des start-up et décideurs qui sont sur le terrain. C’est le cas d’Incub’Ivoir, l’incubateur ivoirien avec lequel nous avons organisé la troisième édition du LAB. On leur a donné carte blanche pour nous accompagner sur la stratégie digitale de l’événement. On veut pouvoir s’appuyer sur des initiatives diverses dans le numérique que mènent, par exemple, l’OIF ou la BpI, et qui nous semblent plus concrets et font moins de divagations que d’autres. L’ambition du LAB est d’amorcer une démarche pérenne pour rester sur le continent, tout en programmant une journée de restitution à paris.
L’objectif amorcé dans cette troisième édition est clairement de rester en Afrique. en Côte d’Ivoire, ce serait bien, mais on peut aussi se déplacer vers d’autres pays. L’idée est de trouver des partenaires solides, comme Atos, system u, bien implantés dans plusieurs pays, notamment en Afrique de l’Ouest. en Côte d’Ivoire, il y a le programme phoenix du gouvernement entièrement dédié aux pMe qui nous intéresse, car il ambitionne de créer cinq grands incubateurs. sur le papier, c’est magnifique, mais ils ne savent pas encore avec qui le faire ni quoi mettre dedans. Notre ambition serait d’accompagner des relais comme celui-ci pour faire grandir les start-up et entrepreneurs africains.
Que faut-il retenir du cru 2017 du LAB ? Et comment comptez-vous faire la différence sur ce terrain en Afrique ?
Il faut surtout noter que ce sont les projets de terrain qui ont le vent en poupe. Ceux qui gagnent les concours ou intéressent les investisseurs viennent de start-up très concrètes, qui ont les mains dans le cambouis, et ça, c’est une sacrée avancée. parce que les start-up qui naissent de-ci, de-là au printemps et disparaissent malheureusement à l’hiver, il y en a beaucoup, et c’est dommage. et c’est exactement pour éviter ces « disparitions prématurées » que nous sommes là.
Aujourd’hui, avant de se lancer, il faut vraiment se demander « de quoi a-t-on besoin ? ». Les idées sont là, surtout dans le domaine de l’agriculture. parce que je crois qu’il faut répondre aux préoccupations des populations à propos de la nourriture qui va manquer, etc. L’Afrique doit penser à se nourrir elle-même.
pourquoi j’insiste sur cette idée ? parce que, si vous remarquez, il n’y a rien d’original à organiser une compétition de start-up. Il en existe à foison. Mais notre spécificité est de proposer un accompagnement inédit pour ces jeunes entrepreneurs, avec un cabinet d’avocats spécialisé sur ces sujets du digital et du droit Ohada. Chez nous, les quinze arrivés en tête du concours vont recevoir des conseils pour structurer leur projet, bien connaître le droit Ohada, les droits à la propriété intellectuelle, etc.C’est important. savez-vous qu’il y a plus de pillages d’idées de projets qu’on ne le croit ? Certains jeunes se font voler leurs idées, et parfois par de grands groupes étrangers. On veut protéger ces jeunes dès le départ, avec, par exemple, le soutien de nos partenaires : le cabinet d’avocats LABs-Ns Avocats conseillera les jeunes entrepreneurs sur les questions juridiques liées à leurs activités. Gala paricheva, d’Oolith Avocats, protégera leur marque et autres brevets face aux appétits « carnassiers » de grands groupes. Grace Ma-landa, consultante en personal branding, les sensibilisera aux nouvelles stratégies digitales, tandis que douglas Mbiandou, fonda-teur de Ojis, proposera de les mentorer, etc.
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De quels moyens financiers le LAB dispose-t-il ?
sur le plan financier, on prend totalement en charge les gagnants du concours grâce à nos partenaires privés, tels que Canal+, la Royal Air Maroc (RAM), Atos, la Fondation Hirondelle et d’autres. Le LAB, c’est quand même un budget de 300 000 euros par an !
Quels sont les autres besoins que vous avez identifiés et auxquels vous souhaitez répondre ?
Les start-up manquent de cadre. Certaines d’entre elles partent dans tous les sens. Nous ne sommes pas là pour donner des leçons, mais on préfère annoncer la couleur. C’est primordial de donner un cadre à son entreprise. Il y a certes des projets qui ne sont pas mûrs, qui peuvent, le temps faisant son travail, acquérir une légitimité. Après, il y a des projets qui sont particulièrement utiles, je crois qu’il ne faut pas perdre de vue cette notion d’utilité. dans nos critères, on regarde non seulement le côté innovant, mais aussi le côté performant, car il faut gagner de l’argent, c’est clair. Mais, à mon sens, il faut aussi que ça soit duplicable parce que ça ne sert à rien d’inventer un projet, une solution, qui ne sert qu’à une minorité. Autant satisfaire un grand nombre. en particulier sur l’agri-culture, les entrepreneurs débordent d’idées parfois très simples mais très constructives pour le plus grand nombre.
Mais la question des moyens reste le nerf de la guerre...
vous avez raison. Aujourd’hui, les start-up et les entrepreneurs ont surtout besoin de moyens. On ne peut plus faire sans l’Afrique depuis quelque temps et je pense que c’est inconcevable et incontournable. Ce qui me trouble, ce sont tous ces jeunes qui ont besoin qu’on leur donne les moyens des ambitions de leur start-up, qu’on les forme, qu’on leur donne un cadre.
et c’est là où il faut savoir interpeller les pouvoirs publics, les dirigeants, les ministres. Je conseille aux start-uppers de se tourner vers les pouvoirs publics, de croire en eux, en leurs projets, de se donner d’abord les moyens de réussir, en étant présents dans leurs entreprises, de suivre l’évolution au quotidien de leur structure, ensuite d’insister auprès des dirigeants. parce que, pour l’instant, j’observe que beaucoup sont livrés à eux-mêmes. Mis à part certains qui ont mis en place des fondamentaux, une structuration claire et des garde-fous, j’observe bien souvent que la moindre sortie de route peut être fatale !On veut absolument aider ces jeunes, les soutenir. et ce, malgré des anecdotes qui sont cruelles pour nous. Quand on perd des partenariats parce que les jeunes entrepreneurs ne se motivent pas assez ou sont tout le temps dans l’avion – c’est vraiment difficile. Aucun des jeunes parmi les neuf vainqueurs des prix de 2015 n’a participé au mentoring de science po qui avait lieu jusqu’à six mois après la remise des prix, malgré nos relances. une seule a finalement assisté à cette formation.
Dans l’accompagnement des start-up aussi, ça bouge, notamment du côté des investisseurs...
Cette année, nous avons pu compter sur GreenTec Capital partners, une société de capital-risque basée à Francfort et dirigée par Érick Yong (un proche de la chancelière allemande Angela Merkel) dont l’objectif est le développement de pMe et start-up à voca-tion impact en Afrique. Ils ont un modèle qui consiste a s’immerger totalement durant six mois dans une start-up au choix, d’obser-ver au plus près avant d’investir ou pas. Ils viennent de mettre un ticket d’un million d’euros dans une start-up camerounaise... dont le nom ne sera pas divulgué ici.
Quelques pépites révélées par le LAB depuis trois ans :
Mariama Mamane est la fondatrice de Jacigreen, qui transforme une plante nuisible en engrais naturel et en électricité, l’un des 20 projets les plus prometteurs en Afrique, selon l’ONu.
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Grand prix décerné par la Royal Air Maroc à Lifi Led, un projet porté par l’Ivoirien Ange Frederick Balma. Lifi Led a pour am-bition de résoudre, grâce à la transmission des données par la lumière, le problème de l’inaccessibilité à Internet haut débit et au déficit énergétique des populations situées dans les régions délaissées par les opérateurs de téléphonie mobile et distributeurs d’élec-tricité domestique.
prix de la francophonie attribué par l’Organisation internationale de la francophonie à Grainothèque de daniel Oulai, un jeune Ivoirien concepteur d’une application mobile qui aide les agriculteurs à reconnaître les principaux ravageurs et quelques désordres physiologiques pouvant toucher les cultures des zones tropicales afin d’améliorer les récoltes.
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prix de l’entrepreneuriat féminin désigné par Canal+ pour la Nigériane Miss Tope Omotolani, une plateforme qui donne aux Nigé-rians la possibilité de participer à l’agriculture en sélectionnant le type de fermes qu’ils veulent parrainer.
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prix de la meilleure start-up Ivoirienne dispensé par BRvM à sevi samuel N’Guessan Gbekon, lui aussi dans l’agriculture. Il est le créateur d’une solution permettant de mieux protéger les récoltes de caoutchouc des eaux de pluie, qui provoquent des dégâts considérables (jusqu’à 35 % de perte) et détériorent la qualité du produit. « son « protège-tasse à latex d’hévéa sIve » répond à peu de frais à une problématique essentielle des paysans », résument les organisateurs du LAB.
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prix Agritech décerné par la société générale à Biophyto, du Béninois Gildas Zodome. Fondateur d’une entreprise solidaire qui produit et commercialise des intrants biologiques à base de ressources naturelles locales, respectueux de la santé publique et de l’environnement pour assurer la protection et la croissance des végétaux.
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Support : TV5 MondeType : TvDiffusion : 7331000 Télespectateurs (source : Médiamétrie)Par : Xavier LambrechtsDiffusé le : 17/12/2017Disponible sur : http://www.tv5mondeplus.com/toutes-les-videos/infor-mation/64-le-monde-en-francais-hiver-2017-part-1-edition-du-17-12-17-part-1
Eric Bazin revient sur le LAB 2017, en direct dans le 64 Minutes
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Les jeunes africains rencontrent les mêmes difficultés en Afrique qu’en Europe pour lancer leur entreprise mais dans un contexte bien différent. Comment soutenir les porteurs de projets dans le domaine des innovations numériques, des énergies renouve-lables… Comment encourager la jeunesse au service de l’Afrique de demain ? Au micro de Sophie Nouaille pour aller plus loin le fondateur de Land of African Business et celui de Youscribe:
• eric Bazin, journaliste et grand reporter depuis 30 ans, co-fondateur des Ateliers de la Terre en 2006, Think Tank pour le déve-loppement durable et la Rse. Fondateur également du Land of African Business ( LAB) , qui du 1er au 3 décembre a accueilli à Abidjan ( Côte d’Ivoire) les figures emblématiques de l’Afrique de demain, pour partager leurs expériences et leurs expertises au service de solutions concrètes qui tracent les chemins d’un développement pérenne. une manifestation qui met également en lumière les jeunes entrepreneurs africains récompensés par les African Rethink Awards qui ont révélés quelques pépites lors des éditions précédentes. Les African Rethink Awards (ARA) visent à mettre en valeur les start-up innovantes dans les domaines économique, social, ou environnemental, avec une activité centrée sur l’Afrique.
• Juan pirlot de Corbion: fondateur de Youscribe, une bibliothèque numérique francophone sur mobile, lauréate du Challenge digital Africa, qui récompense l’innovation numérique en Afrique, remis dans le cadre du sommet uA-ue. une initiative qui constitue l’une des réponses au défi éducatif et participe à l’attractivité du français et de la culture francophone sur le continent, dont le président emmanuel Macron vient de faire un objectif prioritaire.
Support : Radio Notre DameType : RadioDiffusion : 126000 Auditeurs (source : Médiamétrie)Par : sophie NouailleDiffusé le : 18/12/2017Disponible sur : https://radionotredame.net/emissions/enquete-desens/18-12-2017/
Comment encourager la jeunesse au service de l’Afrique de demain ? Eric Bazin témoigne, de retour d’Abidjan (1h)
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Support : Géopolis Afrique / France TélévisionsType : WebPar : Laurent Ribadeau-dumasDiffusé le : 19/12/2017Disponible sur : http://geopolis.francetvinfo.fr/les-startups-sont-elles-l-avenir-de-l-afrique-172603
Les startups sont-elles l’avenir de l’Afrique?
dans une startup à Nairobi (Kenya) le 28 juin 2017© ReuTeRs/siegfried Modola
Le LAB (Land of African Business), qui se définit lui-même comme un «think tank dédié à l’Afrique», organise depuis trois ans les African Rethink Awards («prix pour repenser l’Afrique»), qui «célèbrent l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine». et récom-pensent des startups africaines. Rencontre avec le fondateur du Lab, eric Bazin, un ancien journaliste.
Dans le dossier de presse des African Rethink Awards, vous expliquez que «72% des jeunes Africains se disent attirés par l’en-treprenenariat». Un chiffre étonnant. D’où vient-il?Il émane de la Banque Africaine de développement (BAd) qui couvre l’ensemble des pays du continent. effectivement, il peut paraître étonnant. Il est à la fois légitime et paradoxal. Légitime parce que l’entreprenariat est une échappatoire pour des jeunes souvent non diplômés et qui n’ont pas de porte de sortie. paradoxal parce que ces jeunes n’ont pas forcément la possibilité de créer une entreprise.
personnellement, ce chiffre ne me surprend pas. Car quand on est au contact de cette jeunesse, on voit qu’elle a envie de faire bouger les choses. elle est gourmande, elle représente une force de proposition. elle a envie de réaliser des projets. de fournir des offres par rapport à des demandes non satisfaites.
Regardez ce que dit le «baromètre d’opinion des chefs d’entreprise» de la Conférence permanente des chambres consulaires africaines et francophones: 12% des chefs d’entreprise interrogés ont moins de 30 ans!
Qui sont ces jeunes?des jeunes de milieux urbains, éduqués, qui n’ont pas forcément un parcours universitaire. une jeunesse émergente qui se sent parfois un peu perdue.
Et qu’en est-il de tous ceux qui migrent en Europe?Ils appartiennent à une jeunesse d’origine rurale, totalement abandonnée, complètement perdue, qui tente le tout pour le tout. pour autant, cela ne veut pas dire que les jeunes entrepreneurs délaissent les milieux ruraux. Ils portent une attention particulière à l’agri-culture. L’agro-business est d’ailleurs le domaine numéro un des startups qu’ils créent.
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Table-ronde d’entrepreneurs africains le 13 octobre 2017 à Lagos (Nigeria), dans le cadre du 3e forum annuel de la Fondation Tony elumelu. Laquelle a soutenu 3000 startups africaines. © AFp - vIRGINIe NGuYeN HOANG - HANs LuCAs
Les startups sont-elles vraiment une structure économique d’avenir pour le continent?personnellement, j’en suis persuadé. Les startups sont des structures qui correspondent bien à ces jeunes. Autonomes dans leur tête, ils peuvent être freinés dans leur développement par les etats de leurs pays. dans le même temps, ils sont aidés par les institutions internationales et des etats étrangers: BAd, Banque Mondiale, Allemagne, etats-unis, union européenne, France (au travers d’orga-nismes comme BpI France, l’AFd…).
Pourquoi les Etats africains sont-ils réticents?Ils ne sont pas conscients ou convaincus du problème. Ils regardent avec crainte cette jeunesse rafraîchissante, brillante. dans ce contexte, les projets des jeunes peuvent se retrouver entravés. Regardez l’initiative Boost Africa, lancée par la BAd et la Banque eu-ropéenne d’Investissement (BeI) en novembre 2016. Les fonds sont là: 30 millions d’euros sont ainsi disponibles. Mais le projet est bloqué par la bureaucratie, le manque de conviction des dirigeants africains.
Dans ce contexte, comment les startups de ces jeunes parviennent-elles à percer?Face au manque de compétences et d’appétences de leurs pouvoirs publics, il faut souligner le rôle solide et essentiel des incubateurs. Il s’agit de structures dédiées à l’entreprise, financées par des entreprises internationales, la BAd, la Banque Mondiale... Ce sont des partenaires qui ont des racines vraiment locales, qui sont diplômés. A leur tête, on trouve beaucoup de «repats», ces jeunes partis étu-dier à l’étranger qui reviennent dans leur pays. Ils créent, bâtissent, font des propositions à des jeunes en manque d’accompagnement.
Pourquoi en parle-t-on si peu?C’est tout le problème ! Ils ne sont pas connus aussi parce qu’ils ne savent pas se vendre, se valoriser. pourtant, rien qu’à Abidjan, il y a trois incubateurs.
A-t-on une idée du nombre d’emplois créés par les startups en Afrique?Il est difficile de répondre à la question. Mais je vous citerai un chiffre fourni par la chambre de commerce et d’industrie ivoirienne: en Côte d’Ivoire, on estime à 100.000 le nombre d’emplois créés. C’est infime quand on considère le taux de chômage. Mais c’est im-portant quand on sait qu’on sort là de l’économie informelle.
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Plateformes participatives, business angels, programme de prêts à taux zéro, fonds d’amorçage ou capital-risque... De nou-veaux modes de financement émergent pour les start-up africaines.
Oubliées les banques classiques ou plutôt leurs produits classiques. peu flexibles et frileuses face aux risques, elles ne jouent qu’un rôle marginal dans le développement des start-up. en zone rurale, la faible densité du réseau bancaire les incitent à se tourner vers d’autres solutions, comme les Fonds d’amorçage ou de capital-risque, les business angels ou les plateformes participatives. en Afrique, leurs besoins sont évalués à quelque 140 milliards de dollars par an.
en 2016, 77 startups issues du continent africain sont parvenues à lever 366,8 millions de dollars auprès d’investisseurs, selon le fonds de capital-risque partech ventures. Ces chiffres sont basés sur les levées de fonds supérieures à 200 000 dollars, autant dire la pointe de l’iceberg, et révèlent la forte concentration de ses gros financements sur trois pôles géographiques : au Nigeria dans la « Yabacon valley », au Cape en Afrique du sud et au Kenya dans la « silicon savannah ». seuls 10 % d’entre eux ont été captés par des start-up francophones, essentiellement au sénégal, en Côte d’Ivoire, au Rwanda, au Maroc et en Tunisie.
Francophones versus anglophones
en Afrique francophone, la levée de fonds relève du parcours d’obstacles. Au sénégal, Mamadou Niane a bien fait le tour des banques de la place, que des refus. Il a aussi fait du porte-à-porte auprès des grands patrons sénégalais, qui ont fait la sourde oreille. Cela ne l’a pas arrêté. Finalement, c’est auprès d’investisseurs français qu’il lèvera ses premiers fonds pour lancer Afrimalin, une plateforme de petites annonces. « Xavier Niel [le fondateur de Free], il répond aux emails et te dit s’il est intéressé ou pas », glisse-t-il dans une conversation à battons rompus. Il regrette aussi que l’aide à l’innovation publique et à l’entrepreneuriat reste le plus souvent au stade de l’effet d’annonce.
À l’occasion d’une tournée pour lever des fonds en europe organisée par CcHuB, le premier incubateur nigérian, en septembre dernier, Mafal Lo, co-fondateur de Firefly Média - start up sénégalaise dans le domaine de la publicité, confiait que les anglophones étaient bien rodés à ce type d’exercice : quand ils se lancent, ce n’est pas pour lever quelques milliers de dollars, mais plutôt un mil-lion, voire plus.
Les grandes organisations comme la Banque mondiale ou les agences de développement se penchent sur la question du finance-ment. L’Agence française de développement (AFd) à travers le programme Afrique Innovation propose des prêts à taux zéro, pour des emprunts compris entre 10 000 et 30 000 euros. en novembre, la Banque mondiale a lancé son incubateur XL Africa qui devrait accueillir une vingtaine de start-up dans le domaine de la technologie. en plus d’un accompagnement personnalisé, elles pourront lever des capitaux, entre 250 000 et 1,5 million de dollars.
Les leviers
pour les jeunes pousses, l’hébergement au sein d’un incubateur peut faciliter la levée de capitaux. CTIC à dakar a initié le pro-gramme BuntuTeki dont l’objectif est de soutenir une dizaine de projets par an, en partenariat avec Tigo. On parle de fonds d’amor-çage.
elles peuvent aussi tenter leur chance en participant à des concours destinés à révéler les champions de demain comme le prix Orange de l’entrepreneur social en Afrique, le startupper de l’année organisé par Total ou la Global social venture Competition de
Support : L’Opinion .frType : WebDiffusion : 1137000 visiteurs uniques par mois (source : Google Analytics)Par : eric BazinDiffusé le : 21/12/2017Disponible sur : http://lopinion.fr/edition/economie/eric-bazin-nou-veaux-modes-financement-emergent-start-up-africaines-140204
Eric Bazin : « De nouveaux modes de financement émergent pour les start-up africaines »
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l’université de Californie à Berkeley.
pour passer à l’étape supérieure, grandir et conquérir de nouveaux marchés, les start-up peuvent se tourner vers des fonds spécia-lisés dans le capital-risque. Créé en 2015, Teranga Capital, au sénégal, doté de près de 6 millions d’euros, a octroyé ses premiers financements. « Ils sont réalisés sous la forme de prises de participation minoritaire au capital et, en complément, de prêts d’action-naire participatifs », précisent les co-fondateurs Omar Cissé et Olivier Furdelle. Orange a annoncé en juin la création d’un fonds doté de 50 millions d’euros spécialement dédié aux jeunes pousses africaines. Même l’économie verte a son fonds. GreenTec Capital partners a annoncé début décembre son premier investissement dans une start up africaine francophone, la béninoise Bio phyto Collines spécialisée dans la production d’intrants naturels. « Nous prévoyons un financement de 300 k, dans l’année ainsi qu’un soutien opérationnel », précise erick Yong le président de GreenTec.
Autre possibilité, le recours à des business angels. des particuliers qui investissent leur argent dans des entreprises prometteuses, mettant également à contribution leurs réseaux, leur expertise et leur expérience pour favoriser le développement de ces dernières. Après l’Afrique du sud, le Nigeria et le Kenya, les réseaux de business angels éclosent aujourd’hui en Afrique francophone. Le ré-seau panafricain ABAN en dénombre 64 en Afrique dont 22 dans des pays francophones.
pour compléter leurs fonds propres, certaines start-up africaines ont aussi recours au financement participatif, via des plateformes de crowdfunding. Faso soap a ainsi pu lever 71 000 euros pour son projet de savon antipaludéen. sunna design, spécialiste du lam-padaire solaire, a elle, fait appel à une plateforme de crowdlending (prêt) pour lever 500 000 euros. Le particulier qui apporte son épargne se voit offrir en échange un taux d’intérêt de 6 % sur la somme prêtée.
dans l’avenir, d’autres canaux de financement apparaîtront, notamment grâce aux nouvelles technologies. On peut imaginer des levées de fonds via des applications boursières sur smartphone.
eric Bazin est fondateur du Land of African Business
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Dans le prolongement du Sommet UA-UE, les figures emblématiques de l’Afrique de demain se réunissent à Abidjan, pour trois jours de réflexion et de partage, sous l’égide du Land of African Business (LAB) qui depuis trois ans, propose des expertises de haut niveau, inspirant des solutions novatrices dans une démarche sociétale inclusive.Thème de cette 3ème édition : « BANCARISATION : DU CASH A LA BANQUE », avec des experts faisant autorité, des institutions clés, et des profils atypiques.
Loin des grandes messes pro-africaines, où les officiants viennent se congratuler et distiller de bonnes intentions qui restent la plupart du temps embryonnaires, le LAB est un lieu de partage d’expériences et d’expertises au service de solutions concrètes qui tracent les chemins d’un développement pérenne.
Neuf tables rondes réunissant économistes, financiers, chefs d’entreprises, universitaires et personnalités politiques, seront l’occasion de discussions interactives, autour des thématiques essentielles pour les porteurs de projets, parmi lesquelles :
• Comment faciliter le financement des start-up face aux difficultés de la bancarisation ?
• La blockchain : Un graal pour l’Afrique ?• Nouvelles monnaies numériques, quelles opportunités ?• L’accès à la terre, problématique du foncier lié à l’absence de bancarisation en zone
rurale ?
Les African Rethink Awards, dénicheurs de Success Stories
Célébrant l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine, ces rencontres permettront aussi à plus de 100 start-up, venues de tout le continent et prises en charge par le LAB, de défendre leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts, dans le cadre des African Rethink Awards, dont les lauréats bénéficient d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année.
Cinq Prix seront décernés : Grand Prix - Prix de la Francophonie - Prix Agri-Tec - Prix de l’Entreprenariat Féminin - Prix de la Meilleure Start-Up Ivoirienne.
Dénicheurs de Success Stories, les African Rethink Awards, ont révélé quelques pépites à l’image de Mariama MAMANE (JACIGREEN) qui transforme une plante
A propos du LAB Lieu de partage des meilleures pratiques environnementales, économiques, sociales, éducatives et culturelles développées sur le continent, le « Land of African Business » a pour ambition : •D’animerlaviedesidéespourguider la vision à long terme des acteurs africains. •Devaloriserlesinitiativesinnovantes, notamment à travers un programme fort de soutien aux jeunes entreprises du continent et de la diaspora. •D’enrichirlesréseauxd’influence, et faciliter la collaboration entre sphères publiques et privées. Porté par Eric Bazin et Sonia Henry, il fédère les entrepreneurs du continent africain et mutualise les réseaux d’acteurs ingénieux, tout en accompagnant les « Best Practices » sélectionnés. www.lelab.info
Land of African Business1er, 2 et 3 décembre 2017 - Abidjan
L’ Afrique de demain se rencontre ici
www.rb-associes.fr RB & associés - 6, rue Daubigny - 75 017 Paris
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Alexia Chichea.chiche@rb-associes.fr 06 15 34 18 30
Philippe Sclavon p.sclavon@rb-associes.fr 06 70 29 51 29
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nuisible en engrais naturel et en électricité, l’un des 20 projets les plus prometteurs en Afrique selon l’oNU, Christian Hafidh MwIJAGE (ECOACT) qui utilise des déchets plastiques pour construire des hôpitaux, des routes et des crèches, en matériaux de construction synthétique – Brenda KATwESIGyE (wAZI VISION) qui offre aux écoliers des soins optiques et des paires de lunettes abordables conçues à partir de plastiques recyclés.
Les femmes, au cœur des actions de développement des territoires, seront également à l’honneur le dimanche, à travers deux tables rondes dédiées :
• L’économie du genre : Comment combattre la fatalité ?• De l’usage et de la représentation de la femme dans les marques en Afrique.
De nombreuses personnalités africaines seront présentes, parmi lesquelles :
Bruno Nabagne KoNE, ministre de la Communication, de l’Economie Numérique et de la Poste, Porte-Parole du gouvernement Ivoirien, parrain de cette 3e édition du LAB – Françoise ASSoGBA, ministre en charge de la Micro-Finance au Bénin - Touré FAMA, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte-d’Ivoire – Candace NKoTH BISSECK, fondatrice de digitalfordevelopment.org, qui travaille sur le numérique comme levier de développement - Mame Cafa SALL, fondatrice du cabinet KAIZEN spécialisé en développement personnel des managers et dirigeants et Présidente de la commission leadership et compétitivité du Centre Africain de veille et d’intelligence économique (CAVIE) - omar CISSE, Président d’In Touch, acteur majeur de la Fintech.
Fruit de ce foisonnement d’idées et d’initiatives, un livre blanc reprenant l’essentiel de ces échanges, formulera des recommandations qui seront présentées lors d’une journée de débriefing «Back from Abidjan» le 16 mars 2018 au Conseil Supérieur du Notariat Francophone à Paris.
Retrouvez prochainement le programme détaillé de ces rencontres.
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Organisés dans le cadre du Land of African Business, qui réunira à Abidjan du 1er au 3 décembre prochains, les figures emblématiques de l’Afrique de demain, les African Rethink Awards célèbrent l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine. Plus de 70 start-up, venues de tout le continent et prises en charge par le LAB, y défendront leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts. Cinq prix seront décernés au cours de cette 3e édition : Grand Prix - Prix de la Francophonie - Prix Agri-Tec - Prix de l’Entreprenariat Féminin - Prix de la Meilleure Start-Up Ivoirienne.Les lauréats bénéficieront d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année.Le 30 novembre, en avant-première, une journée de mentorat sera proposée aux start-up en transit à Casablanca, dans les salons privés da la Royal Air Maroc.
Dénicheurs de Success Stories, les African Rethink Awards, ont déjà révélé quelques pépites lors des éditions précédentes, parmi lesquelles : Mariama MAMANE (JACIGREEN) qui transforme une plante nuisible en engrais naturel et en électricité, l’un des 20 projets les plus prometteurs en Afrique selon l’ONU. Christian Hafidh MWIJAGE (ECOACT) utilise lui, des déchets plastiques pour construire des hôpitaux, des routes et des crèches en matériaux de construction synthétique. Brenda KATWESIGYE (WAZI VISION) offre quant à elle aux écoliers, des soins optiques et des paires de lunettes abordables, conçues à partir de plastiques recyclés.Des réalisations qui témoignent du foisonnement créatif d’une jeunesse désireuse d’entreprendre et d’être actrice de son destin, qui soulignent les atouts d’un continent en pleine mutation.
Cette année, les projets en lice attestent de l’attention portée par les nouvelles générations africaines, aux enjeux de société actuels que sont la solidarité, le lien social, l’esprit coopératif, l’autonomie financière, le développement durable et l’économie circulaire, dans un esprit inclusif.Découvrez toute la diversité des initiatives en compétition cette année sur le site du LAB : www.lelab.info/start-up-en-competition
Un accompagnement tout au long de l’année
Les lauréats des cinq prix remis à l’issue de la compétition, bénéficieront d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année. Le cabinet d’avocats LAB-SN Avocats, conseillera les jeunes entrepreneurs sur les questions juridiques liées à leurs activités. Gala Paricheva de Oolith Avocats, protègera leur marque et autres
A propos du LAB Lieu de partage des meilleures pratiques environnementales, économiques, sociales, éducatives et culturelles développées sur le continent, le « Land of African Business » a pour ambition : • D’animer la vie des idées pour guider la vision à long terme des acteurs africains. • De valoriser les initiatives innovantes, notamment à travers un programme fort de soutien aux jeunes entreprises du continent et de la diaspora. • D’enrichir les réseaux d’influence, et faciliter la collaboration entre sphères publiques et privées. Porté par Eric Bazin et Sonia Henry, il fédère les entrepreneurs du continent africain et mutualise les réseaux d’acteurs ingénieux, tout en accompagnant les « Best Practices » sélectionnés. www.lelab.info
African Rethink Awards : Dénicheurs de success stories
Abidjan, du 1er au 3 décembre 2017
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brevets face aux appétits « carnassiers » de grands groupes. Grace Malanda, consultante en personal branding, les sensibilisera aux nouvelles stratégies digitales, tandis que Douglas Mbiandou, fondateur de OBJIS, proposera de les mentorer, etc.
Un coaching qui cette année, commencera avant même que la compétition ne débute, grâce à une initiative originale du transporteur officiel du LAB et des ARA : la Royal Air Maroc.
« Start-up in The Airport »
Les start-up, invitées par le LAB à concourir aux African Rethink Awards, mettront à profit leur journée de transit à Casablanca ce 30 novembre, pour participer à un mentoring original, proposé par la Royal Air Maroc dans ses salons privés de l’aéroport de 9h à 20h, prodigué par les professeurs de l’ESSEC Afrique Atlantique de Rabat, dirigée par Thierry Sibieude. Cette journée de mentoring, permettra à ces jeunes entrepreneurs d’échanger avec de nombreux acteurs de l’entreprenariat marocain, dont Monsieur Othmane Bekkari, dirigeant de la Royal Air Maroc.
Des modèles pour la jeunesse africaine
C’est en relayant les initiatives citoyennes, les nouvelles stratégies d’entreprises, les opportunités de développement, les métiers porteurs, les figures de l’innovation et de la recherche africaine et en valorisant ses plus éminents porte-parole, que la jeunesse africaine prendra davantage confiance en son formidable potentiel.
C’est tout le sens d’Afrique Activ’, qui sera lancée de manière opérationnelle lors du LAB 2017. Initiée par le Cercle Médias-Mutations, la fondation Hirondelle et The Conversation France, média en ligne d’information et d’analyse de l’actualité, cette opération a pour objectif la valorisation au travers des médias, du potentiel du continent en termes de création de richesses par l’entreprenariat, d’emploi et d’engagement citoyen. Une antenne de production, animée par le studio Mozaik, couvrira les débats du LAB 2017, à travers une série d’interviews et de portraits, largement relayés sur les réseaux sociaux (notamment la page Facebook Afrique Activ’), la plateforme The Conversation, les plateformes web des partenaires, les radios locales associées, les médias qui disposeront de podcasts téléchargeables gratuitement sur les plateformes iTunes et Google Play.
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Les start-up, invitées par le Land of African Business, à concourir aux African Rethink Awards à Abidjan, mettront à profit leur journée de transit à Casablanca ce 30 novembre, pour participer à un mentorat original, proposé par Royal Air Maroc, transporteur officiel du LAB 2017, dans ses salons privés de l’aéroport de 9h à 20h. Un mentorat prodigué par les professeurs de l’ESSEC Afrique Atlantique de Rabat, avec la participation de nombreux acteurs de l’entrepreneuriat marocain.
C’est une initiative originale que la Royal Air Maroc proposera aux jeunes entrepreneurs africains concourant pour les African Rethink Awards. Ceux-ci seront décernés dans le cadre du Land of African Business, qui réunira les figures emblématiques de l’Afrique de demain à Abidjan, du 1er au 3 décembre.
Profitant de la journée de transit à Casablanca de ces futures pépites de l’économie africaine, le transporteur officiel de la compétition leur proposera de bénéficier d’une journée de mentoring avec la participation des professeurs de l’ESSEC Afrique Atlantique de Rabat et de nombreux acteurs de l’entrepreneuriat marocain. L’occasion d’un vaste échange d’expériences et d’expertises qui leur sera précieux dans le développement futur de leurs entreprises respectives.De nombreux chefs d’entreprise marocains participeront à cette belle initiative, à commencer par Monsieur Othmane Bekkari, dirigeant de la Royal Air Maroc.
Depuis 3 ans, les African Rethink Awards, organisés dans le cadre du Land of African Business, célèbrent l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine. Plus de 70 start-up, venues de tout le continent et prises en charge par le LAB, y défendront cette année leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts. Cinq Prix seront décernés au cours de cette 3e édition : Grand Prix - Prix de la Francophonie - Prix Agri-Tec - Prix de l’Entrepreneuriat Féminin - Prix de la Meilleure Start-Up ivoirienne.Les lauréats bénéficieront d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année.Le cabinet d’avocats LABS-NS Avocats, conseillera les jeunes entrepreneurs sur les questions juridiques liées à leurs activités. Gala Paricheva de Oolith Avocats, protègera leur marque et autres brevets face aux appétits « carnassiers » de grands groupes. Grace Malanda, consultante en personal branding, les sensibilisera aux nouvelles stratégies digitales, tandis que Douglas Mbiandou, fondateur de OBJIS, proposera de les mentorer, etc.
A propos du LAB Lieu de partage des meilleures pratiques environnementales, économiques, sociales, éducatives et culturelles développées sur le continent, le « Land of African Business » a pour ambition : • D’animer la vie des idées pour guider la vision à long terme des acteurs africains. • De valoriser les initiatives innovantes, notamment à travers un programme fort de soutien aux jeunes entreprises du continent et de la diaspora. • D’enrichir les réseaux d’influence, et faciliter la collaboration entre sphères publiques et privées. Porté par Eric Bazin et Sonia Henry, il fédère les entrepreneurs du continent africain et mutualise les réseaux d’acteurs ingénieux, tout en accompagnant les « Best Practices » sélectionnés. www.lelab.info
« Start-up in the Airport »Royal Air Maroc coache les
jeunes entrepreneurs africains30 novembre 2017 de 9h à 20h - Aéroport de Casablanca
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Organisés dans le cadre du Land of African Business, qui a réuni à Abidjan du 1er au 3 décembre, les figures emblématiques de l’Afrique de demain, les African Rethink Awards célèbrent l’esprit d’entreprendre de la jeunesse africaine. Plus de 60 start-up, venues de tout le continent et prises en charge par le LAB, y ont défendu leur business model devant un parterre d’investisseurs, chefs d’entreprises et experts. Une valorisation des plus éminents représentants du formidable potentiel d’innovation de la jeunesse africaine, honorée notamment par la présence de M. Sidi Tiémoko TOURE, ministre ivoirien de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique.
Cette année, les projets récompensés attestent de l’attention portée par les nouvelles générations africaines aux enjeux de société actuels que sont le développement durable, avec une attention particulière portée sur l’agriculture, l’économie circulaire, l’esprit coopératif, le lien social, l’autonomie financière. Des solutions qui illustrent le foisonnement créatif d’innovation technologique sur le continent et l’ambition d’une jeunesse africaine désireuse d’être actrice de son propre destin.
« 72% des jeunes africains se disent attirés par l’entreprenariat, mais tous ne peuvent y accéder. Cette jeunesse entreprenante est aussi attendue dans son engagement politique, sociétal, éthique, social et environnemental » souligne Eric Bazin, fondateur du LAB.
Cinq prix ont été décernés au cours de cette IIIe édition :
Grand Prix décerné par la Royal Air Maroc : LIFI LEDAnge Frederick BALMA, Côte d’IvoireLifi Led a pour ambition de résoudre, grâce à la transmission des données par la lumière, le problème de l’inaccessibilité à internet haut débit et au déficit énergétique des populations situées dans les régions délaissées par les opérateurs de téléphonie mobile et distributeurs d’électricité domestique. La technologie Li-Fi (transmission de données et d’internet par la lumière) permet d’apporter à la fois électricité, internet, télévision et contenus multimédias en zone rurale grâce aux énergies renouvelables.
Prix de la Francophonie attribué par l’Organisation Internationale de la Francophonie – GRAINOTHEQUEDaniel OULAI, Côte d’IvoireGrainothèque œuvre au renforcement de la productivité de l’agriculture paysanne et à son adaptation au changement climatique à travers des outils innovants de préservation de la diversité génétique des semences, de lutte intégrée contre les ravageurs, la maîtrise de l’eau et la gestion des risques climatiques. Son application mobile intelligente de
A propos du LAB Lieu de partage des meilleures pratiques environnementales, économiques, sociales, éducatives et culturelles développées sur le continent, le « Land of African Business » a pour ambition : • D’animer la vie des idées pour guider la vision à long terme des acteurs africains. • De valoriser les initiatives innovantes, notamment à travers un programme fort de soutien aux jeunes entreprises du continent et de la diaspora. • D’enrichir les réseaux d’influence, et faciliter la collaboration entre sphères publiques et privées. Porté par Eric Bazin et Sonia Henry, il fédère les entrepreneurs du continent africain et mutualise les réseaux d’acteurs ingénieux, tout en accompagnant les « Best Practices » sélectionnés. www.lelab.info
L’innovation de 5 start-up africaines récompensée par les African Rethink Awards 2017
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diagnostic de plante aide les agriculteurs à reconnaitre les principaux ravageurs et quelques désordres physiologiques, pouvant toucher les cultures des zones tropicales afin d’améliorer les récoltes.
Prix de l’Entrepreneuriat Féminin désigné par Canal + – FARMCROWDY N°1Miss Tope OMOTOLANI, NigériaFarmcrowdy est une plate-forme qui donne aux Nigérians la possibilité de participer à l’agriculture en sélectionnant le type de fermes qu’ils veulent parrainer. Les fonds du sponsor sont mis à profit pour sécuriser la terre, engager le fermier, planter les graines, assurer les fermiers et les produits agricoles, achever le cycle complet de l’agriculture, vendre la récolte et ensuite payer le parrainage de la ferme. Pendant que ce processus d’exploitation est en cours, les promoteurs de ferme sont en mesure de suivre le cycle complet en obtenant des mises à jour dans le texte, les images et les vidéos.
Prix de la Meilleure Start-up Ivoirienne dispensé par BRVM : YOUNG POWER Sevi Samuel N’Guessan GBEKON, Côte d’IvoireC’est à 17 ans, que le plus jeune des lauréats de cette promotion (23 ans) a fait ses premières armes dans l’entrepreneuriat. Sevi Samuel N’Guessan GBEKON, est aujourd’hui distingué pour un dispositif (SIVE) permettant de mieux sauvegarder les récoltes de caoutchouc des eaux de pluie qui provoquent des dégâts considérables (jusqu’à 35 % de perte) et détériorent la qualité du produit. Son « protège tasse à latex d’hévéa SIVE » répond à peu de frais à une problématique essentielle des paysans.
Prix Agritech décerné par la Société Générale : BIO PHYTOGildas ZODOME, BéninBio Phyto est une entreprise solidaire qui produit et commercialise des intrants biologiques à base de ressources naturelles locales, respectueux de la santé publique et de l’environnement pour assurer la protection et la croissance des végétaux.
Les cinq lauréats bénéficient d’un accompagnement de parrains impliqués tout au long de l’année. Le cabinet d’avocats LAB-SN Avocats, conseillera les jeunes entrepreneurs sur les questions juridiques liées à leurs activités. Gala Paricheva de Oolith Avocats, protègera leur marque et autres brevets face aux appétits « carnassiers » de grands groupes. Grace Malanda, consultante en personal branding, les sensibilisera aux nouvelles stratégies digitales, tandis que Douglas Mbiandou, fondateur de OBJIS, proposera de les mentorer, et qu’ils auront l’opportunité d’être « incubés » à Abidjan par l’un des partenaires du LAB, Incub’Ivoir et son pool d’investisseurs.
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