J Ai Besoin De Toi

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J’ai besoin de toi , poète

Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant,Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois

L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant,Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois

L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant,Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois

L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant,Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois

L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant,Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois

L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant,Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois

L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant,Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois

L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant,Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois

L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

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L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

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Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

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Qui bercent ma tristesse,

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J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

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Pour des instants de fête,

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Qui bercent ma tristesse,

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L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

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Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

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Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

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J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

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L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

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L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

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J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

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J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

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Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

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J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

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J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

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L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant,Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois

L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant,Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois

L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant,Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois

L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant,Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois

L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment.Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois.

J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin

De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlinsMes doigts sur ton visage, pour des instants de fête,

Pour des instants de fête,

Que l’on m’enlève aussi la lumière de vieQue l’on m’enterre ainsi la vue de mes chérisL'obscurité assèche mon fleuve de chagrin

Mais je sens la chaleur, conservée de ta main.

J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine

De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereinesDe tes mains amoureuses, pour relever la tête,

Pour relever la tête.

Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours

Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image.

J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire,

De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette,

Cette tendre cachette.

J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs

De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenirDe tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse,

Qui bercent ma tristesse,

J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma têteDe ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœurDe cette forteresse, pour y cacher mes pleurs,

Pour y cacher mes pleurs,

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