Célèbres pour avoir défié l’entendement, ces affaires non élucidées ont défrayé la chronique française. Intrigants, parfois effrayants, les récits que vous allez découvrir continuent de tourmenter les historiens. Retour sur les dix faits divers les plus mystérieux de France. Diaporama manuel
Présentation PowerPointCélèbres pour avoir défié l’entendement, ces
affaires non élucidées ont défrayé la chronique française.
Intrigants, parfois effrayants, les récits que vous allez découvrir
continuent de tourmenter les historiens. Retour sur les dix faits
divers les plus mystérieux de France.
Découvrez les 10 plus grands mystères
de France par Modesto
Diaporama manuel
Il s’agit sans doute d’un des mystères de l’histoire française les
plus étudiés. Le philosophe Voltaire a été le premier à mentionner
cette énigme dans son ouvrage "Siècle de Louis XIV". On y découvre
qu’un prisonnier inconnu a été envoyé "dans le plus grand secret"
au château de l’Île Sainte-Marguerite. D’autant que les registres
de la Bastille ont eux aussi confirmé la présence de ce prisonnier
dans l’enceinte du château, de septembre 1698 à novembre 1703.
Autre étrange particularité : le prisonnier avait pour consigne de
porter quotidiennement un masque en acier pour que les autres
prisonniers ne puissent pas distinguer son visage. Si aucune
enquête n’a permis, pour l’heure, d’identifier l’homme, de
multiples hypothèses ont été imaginées. La plus célèbre d’entre
elles faisant de ce prisonnier un frère jumeau de Louis XIV, qui
aurait été dissimulé de tous afin d’éviter une éventuelle
revendication du trône. Pour d’autres, l’homme au masque de fer
était tout simplement un valet qui aurait été mis en prison après
avoir découvert un important secret. Autrement dit, le mystère
reste entier…
1. L’homme au masque de fer
Il passionne les amateurs du genre depuis plusieurs siècles.
Pourtant, le "diamant bleu de la Couronne", également connu sous le
nom de "Bleu de France", est sans doute la pierre qui a la plus
mauvaise réputation. Acquis en 1671 par Louis XIV, le diamant de 69
carats a été choisi pour compléter la parure du roi, puis pour
orner son emblème : la Toison d’or. Mais en 1792, la pierre
précieuse a été dérobée lors du vol des joyaux de la Couronne de
France, pour finalement réapparaître en 1830. Au-delà de son
existence mouvementée, ce sont sans doute les rumeurs entourant ce
diamant qui restent les plus troublantes. Et pour cause : la
légende raconte qu’un grand nombre de ses possesseurs ont été
malmenés par le sort de la pierre. Parmi eux, Henry Hope, dont la
famille a sombré dans la pauvreté, mais aussi une actrice des
Folies-Bergères, assassinée peu de temps après avoir reçu la gemme,
puis un Grec, victime d’un accident de voiture. Suicides, accidents
en tout genre ou encore séjours dans des hôpitaux psychiatriques,
l’étrange sortilège de "Bleu de France" n’aura épargné aucun
propriétaire…
2. Le diamant bleu de la Couronne
Construit au XIXème siècle sur un îlot situé à proximité de l’île
de Sein (Bretagne), le phare de Tévennec serait depuis toujours le
théâtre d’événements aussi troublants que dramatiques. Selon la
légende, les anciens y conduisaient en barque leurs défunts. Mais
si les années ont passées et les coutumes évolué, l’atmosphère
sinistre des lieux semble, elle, avoir perduré. Hurlements,
apparitions inexpliquées, accidents mortels, rires sarcastiques…
Bon nombre d’ouvriers et de familles ayant résidés en ces lieux ont
été les témoins d’étranges phénomènes. Plusieurs d’entre eux ont
notamment perdu la raison, ou encore la vie, à Tévennec. Deux
siècles après sa construction, le phare "maudit" continue de
terroriser les populations avoisinantes, mais aussi les gardiens.
Au total, pas moins de 23 veilleurs s’y sont succédé, finissant par
abandonner leur poste pour les raisons évoquées précédemment.
Aujourd’hui encore, plus personne n’ose s’approcher de l’îlot.
Véritable malédiction ou simple mythe ? Pour les habitants de
Tévennec, la réponse semble toute trouvée…
3. Le phare maudit de Tévennec
En Lorraine, à une quinzaine de kilomètres de Nancy, le bruit court
qu’une petite église abriterait la tombe de Jeanne d’Arc. Pourtant,
aucune statue à l’effigie de la "Pucelle d’Orléans" ne figure aux
alentours de cet étrange lieu, comme le rapporte David Galley dans
son ouvrage "Enquêtes sur la France mystérieuse". Construite au
début du XVème siècle, l’église Saint-Pierre-aux-Liens du village
de Pulligny contiendrait en effet des indices particulièrement
suggestifs mais… dissimulés. Une chapelle nommée Jeanne des
Armoises, trois croix de Malte gravées astucieusement sur le sol,
ou encore la marque d’un encadrement ancien. D’après les habitants
du village, cette plaque aurait été volontairement retirée car
l’expression "Pucelle de France" y était inscrite. Par ailleurs,
ces derniers ont affirmé que de nombreuses fouilles avaient été
effectuées par le passé. Pour certains, il ne fait aucun doute que
la dépouille de Jeanne d’Arc a bel et bien été déplacée. Simple
légende ou secret historique ? L’affaire n’a pas fini de défrayer
la chronique…
4. La tombe secrète de Jeanne d’Arc
Dans cette commune bretonne, les pierres poussent comme des
champignons. Carnac (Morbihan) dispose en effet d’un site
mégalithique exceptionnel sur lequel reposent près de 4 000 pierres
entièrement… levées. Toutes les pierres brutes, qu’ils s’agissent
de dolmens ou de menhirs et pesant en moyenne une à deux tonnes,
ont été méticuleusement alignées. Autre détail troublant : dans
chaque alignement, les menhirs ont été placés par ordre décroissant
de grandeur. Si la raison exacte de cette initiative reste
méconnue, de nombreuses théories ne cessent de diviser les points
de vue. Lieu de culte sacré, immense observatoire astronomique,
résultat d’une œuvre extraterrestre… Personne ne connaît réellement
la nature du mystère qui entoure le lieu "aux monticules de
pierre". Plus étrange encore, les pierres auraient été érigées au
Néolithique, entre le Ve et le IIe millénaire avant
Jésus-Christ.
5. Carnac et le secret des pierres
Sierck-les-Bains. Ce village de Moselle ne vous dit sans doute
rien, et pourtant c’est en ce lieu précis que résiderait un
certain… Jésus-Christ. Le 31 août 1985, les habitants de cette
commune ont en effet assisté à une apparition des plus surprenantes
sur la façade d’un immeuble, situé dans la Grand-Rue. Ce sont les
adolescents du quartier qui ont dans un premier temps remarqué
l’étrange phénomène, en jetant un œil à la tâche d’humidité sur la
façade. Présente depuis plus de trois ans suite à un dégât des
eaux, la tâche a, ce jour-là, pris une forme nouvelle et
inattendue. Deux yeux, un nez, une bouche, une épaisse chevelure…
Un visage qui ressemble trait pour trait à celui du Christ. Depuis
cette découverte inexpliquée, bon nombre de chercheurs et
architectes ont tenté de comprendre les raisons d’une telle
apparition. Mais pour l’heure, aucun d’entre eux n’a réussi à
avancer une explication plausible. Par ailleurs, ni les aléas
climatiques, ni l’usure du bâtiment n’ont altéré cette image,
apparue 30 ans plus tôt. Apparition divine ou simple coïncidence,
le "Christ de Sierck-les-Bains" restera, quoiqu’il en soit, l’une
des affaires les plus mystérieuses de France…
6. L’étrange visage de Sierck-les-Bains
On le surnomme le "château des lumières". Situé près de Nancy
(Meurthe-et-Moselle), le majestueux château de Lunéville est de nos
jours considéré comme un chef d’œuvre architectural. Véritable lieu
de culture, il a été pendant de nombreuses années la demeure des
Ducs de Lorraine. Mais ce lieu incroyable dissimulerait en réalité
une terrible malédiction. En effet, le château a été le théâtre
d’une série inexpliquée d’incendies. Au total, 13 feux se seraient
déclarés dans l’enceinte du château. Plus troublant encore, ces
terribles événements auraient débuté le jour de l’achèvement de sa
construction. Une série de dates ont ainsi été recensées : 1719,
1744, 1759, 1789, 1849, 1871, 1961, la dernière en date étant 2003.
Et aussi étrange que cela puisse paraître, l’origine des flammes
n’a, pour chaque incendie, jamais pu être identifiée. Une chose est
sûre, cette mystérieuse demeure n’est pas près de livrer tous ses
secrets…
7. La malédiction du château de Lunéville
Ils ont vécu comme des parias pendant près de 800 ans, dans les
Hautes-Pyrénées, l’Ariège ou encore le Pays basque. Accusés de
proliférer des maladies contagieuses, le peuple des cagots a
longtemps été rejeté par la population française. Leur
particularité ? Leur appartenance à une race dite "animale" qui les
excluait de toute société. Leur physique hors norme a notamment
contribué à leur exclusion, souligne une nouvelle fois David
Galley. Et pour cause : les cagots étaient réputés pour être de
petite taille (entre 1 mètre 40 et 1 mètre 50 à l’âge adulte) et
pour avoir un visage ingrat (paupières imposantes, malformations,
calvitie précoce). D’une certaine façon, les cagots effrayaient
autant qu’ils fascinaient. Aussi, ils ont longtemps fait l’objet de
nombreuses croyances divines et occultes. On leur attribuait par
exemple d’étranges pouvoirs de guérisseurs. En 1683, ce peuple a
été affranchi de sa condition de cagots par Louis XIV. Si les
derniers cagots ont disparu depuis le siècle dernier, il n’est pas
rare de croiser certains de leurs descendants dans les régions du
Sud-Ouest…
8. L’énigmatique peuple des "cagots"
Vous pensiez tout connaître de la "ville des Lumières" ? Sachez
qu’elle regorge de mystères. Il existe en effet sous la ville de
Lyon un étonnant labyrinthe de galeries souterraines, plus connues
sous le nom d’"Arêtes de Poisson". Mis au jour dans les années
1950, des archéologues du monde entier ont tenté de comprendre
l’utilité de ce sous-sol. Si pour certains les lieux restent une
énigme à part entière, pour d’autres les "Arêtes de Poisson"
auraient été commanditées secrètement par les Templiers aux
compagnons du Devoir. Ce projet aurait en effet permis aux
chevaliers d’y dissimuler le célèbre trésor, ainsi que des vivres.
Bien que passionnante, cette thèse n’a cependant pas été reconnue
officiellement puisque le "trésor des Templiers" n’a jamais été
retrouvé…
9. Les "Arêtes de Poisson" de Lyon
Il est le château le plus médiatisé de France. La demeure de
Fougeret, située au sud-est de Poitiers (Vienne), aurait pu être
célèbre pour son architecture au style médiéval, ou encore pour ses
incroyables jardins, mais s’il attire autant l’attention, c’est
pour son histoire… mouvementée. Le château, inscrit aux monuments
historiques depuis 2010, est considéré comme le lieu le plus hanté
de France. Bruits étranges, rires d’enfants, tableaux qui se
décrochent des murs, portes qui claquent, silhouettes blanches…
Autant de phénomènes inexpliqués qui laissent penser qu’un lourd
secret pèse sur le domaine. Bon nombre de médiums sont par ailleurs
intervenus, à la demande des propriétaires, pour entrer en contact
avec les esprits du château, et tous ont établi le même constat :
plusieurs entités vivraient dans l’enceinte du château. Des
révélations qui laissent pour le moins perplexes…
10. Fougeret, le château le plus
Hanté de France
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