Plus grand magazine du monde pendant la Première Guerre mondiale, L'Illustration ouvre ses archives. Retrouvez les photos et les dessins d'époque qui ont marqué l'opinion publique, à l'occasion de la publication d'un beau livre "14- 18 : La Grande Guerre telle que les Français l'ont vécue". Diaporama manuel
Présentation PowerPointPlus grand magazine du monde pendant la
Première Guerre mondiale, L'Illustration ouvre ses archives.
Retrouvez les photos et les dessins d'époque qui ont marqué
l'opinion publique, à l'occasion de la publication d'un beau livre
"14-18 : La Grande Guerre telle que les Français l'ont
vécue".
La Première Guerre mondiale en images
Diaporama manuel
Coup de tonnerre à Sarajevo
28 juin 1914. Alors que l'été s'annonce calme, l'archiduc
François-Ferdinand est assassiné à Sarajevo par le nationaliste
serbe de Bosnie Gavrilo Princip. La crise diplomatique dégénère en
moins d'un mois en guerre entre les grandes puissances
européennes.
"On ne passe pas"
8 Août 1914. Il y a cinq jours, l'Allemagne a déclaré la guerre à
la France. Ce dessin de Georges Scott fut publié à la Une de
L'Illustration. Elle salue les soldats français qui veillent aux
avant-postes, à la frontière allemande dans les Vosges, pour
couvrir la mobilisation générale.
"Traître à son pays"
Septembre 1914. Tandis que l'Armée allemande avance vers la Marne,
un valet de ferme a été abattu sur un chemin, près de Reims. Une
pancarte à été attachée au poteau : "Espion. Traître à son
pays".
Dans la plaine de la Marne
Septembre 1914. La bataille de la Marne permet à l'armée française
de stopper l'avancée allemande et de mettre en échec le Plan
Schlieffen, qui prévoyait l'invasion rapide du pays. Des cadavres
de soldats allemands gisent dans la plaine. On estime que cette
bataille a provoqué la mort de 64 000 personnes.
L'incendie de la cathédrale de Reims
Le 19 septembre 1914, les Allemands bombardent la cathédrale de
Reims, joyau de l'art gothique. Ce dessin, signé G. Fraipont, a été
réalisé d'après le croquis d'un témoin.
L'assaut à Notre-Dame-de-Lorette
Mai 1915. La guerre de position s'est installée. Pendant un an, les
soldats des deux camps s'affrontent pour conquérir la colline de
Notre-Dame-de-Lorette, dans le Pas-de-Calais. Cette image montre
une reconstitution d'époque de l'assaut français sur l'éperon
sud.
Les ouvrières du Creusot
Juillet 1915. A l'arrière, les femmes soutiennent l'effort de
guerre. Cette ouvrière de l'usine d'armement du Creusot
(Saône-et-Loire) contrôle par le son des obus explosifs.
L'enfant masqué
Janvier 1916. Depuis l'année précédente, l'armée allemande utilise
du gaz toxique sur les champs de bataille. Cet écolier de Reims
porte un masque et des lunettes pour se protéger d'une éventuelle
attaque.
La chute du Zeppelin
Octobre 1917. Pris en chasse par cinq avions français, le
superzepplin allemand L 49 a atterri d'urgence sur les arbres
entourant Serqueux (Haute-Marne).
Soldats allemands
Dès le mois de décembre 1914, le front se stabilise et la plupart
des zones de combats sont découpées de tranchées où vivent jour et
nuit les soldats. Ici, nous sommes avec des soldats allemands qui
tentent de se reposer.
L'inconnu de Verdun
Cette photo résume à elle-seule toute l'horreur de la bataille de
Verdun, qui s'étala du 21 février au 19 décembre 1916 et provoqua
la mort de près de 300 000 hommes. Un soldat allemand gît dans une
tranchée reconquise par les Français.
Les ruines de Craonne
Avril-mai 1917. La ville de Craonne, dans l'Aisne, est anéantie. Au
fond, on distingue la crête du Chemin des Dames.
Le tank suspendu
Dans la Somme, des soldats britanniques prennent la pose près d'un
tank, appareil nouveau qui fait son apparition dans les années
1916-17.
Le café de la Paix
Soldats en permission et parisiens cohabitent sur la terrasse du
café de la Paix, à Paris. Un rare répit pour les hommes usés par
plusieurs années de combats.
Bombardement de nuit
Printemps 1918. Les bombardements aériens deviennent de plus en
plus fréquents. À la nuit tombée, une escadrille de chasse se
prépare à décoller.
Les As entrent dans la légende
La journée, l'activité est toute aussi intense. Les "as" de
l'aviation - Fonck, Nungesser ou Guynemer - deviennent des noms
connus de tous les Français. Le dessin d'époque est signé François
Flameng.
Enseveli