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Sommaire Introduction : -‐ Présentation d’Ervent
-‐ Présentation MapClim -‐ Présentation MEZ Aeroseal
PERFORMANCE ENERGETIQUE ET HYGIENE DE L’AIR
3 Ateliers :
Atelier 1 : Aspect norma-f des tests de perméabilité et approche technologique des gaines de ven-la-on Atelier 2 : Fabrica-on et pose de gaine rectangulaire avec cadre intégré Atelier 3 : Réalisa-on d’une étanchéité d’un réseau à l’aide de la technologie MEZ-‐AEROSEAL (Procédé innovant d’étanchéité depuis l’intérieur des gaines)
QUELQUES CHIFFRES
• 1978 : Création de l’entreprise. • 1983 : Agrandissement des locaux (500m2 d’atelier). • 1993 : Rachat d’Aquitaine Air. • 2000 : Rapprochement géographique avec Aquitaine Air à Villenave d’Ornon et contruction de nouveaux locaux avec 2000m2 d’atelier.
• 2000 : Achat d’une Tubformer Spiro pour la fabrication de gaines circulaires. • 2001 : Achat d’une Gorelocker Spiro pour la confection de coudes circulaires. • 2002 : Achat de la ligne de production FIRMAC pour la fabrication de gaines droites avec une étanchéité maximale.
• 2007 : Agrandissement des ateliers pour une surface totale de 300m2. • 2014 : Achat de la ligne de production FIRMAC gaine rectangulaire tout automatiques.
• CA : 4,7 millions d’euros • Nombre de salariés : 40
• Forme juridique : SARL • Capital social de : 100 000€ • Année de création : 1999 • Deux co-‐gérants : Mr RODRIGUEZ et Mr TOJAGIC • Nombre de salariés : 45 (2014) • CA : 3 900 000€ (2014) • Secteurs d’activités : Tertiaire, Industriel, Hospitalier et Nucléaire • Lieu d’intervention : National et International
QUELQUES CHIFFRES
1. Mise au point en génie climatique :
• Mise au point d’installations en génie climatique (aéraulique & hydraulique). • Optimisation de réglages d’installations existantes. • Support technique pour BE, expertise et constructeur. • Réalisation de QI, QO, QP. 2. QualiWications et contrôles : • Qualicications de salles à empoussièrement contrôlé. • Contrôles périodiques de salles à empoussièrement contrôlé. • Qualicications et contrôles périodiques sur équipements de laboratoires (PSM,…). • Qualicications et contrôles de réseaux gaz (azote, air comprimé). • Formations.
NOS METIERS
MAP CLIM compte 45 collaborateurs qui sont répartis comme suit :
• 4 Responsables d’Activités Mise au Point (Ile de France, Rhône Alpes, Bretagne, Sud-‐Ouest).
• 28 Techniciens metteurs au point. • 6 Techniciens service Qualicications & Contrôles. • 1 Technico-‐commerciale service Qualicication & Contrôles. • 3 assistantes (administratives, comptable et RH). • 1 Responsable QSE. • 2 Dessinateurs projeteurs.
NOS METIERS
No s i m p l a n t a t i o n s n o u s permettent de rayonner sur tout le territoire national et de ce fait nous permettent de répondre au mieux aux exigences de nos clients. • Bretagne • Ile de France • Rhône-‐Alpes • Sud-‐Ouest
LOCALISATION GEOGRAPHIQUE
Présenta-on : Siège social : Reutlingen, sud de Stu3gart (Allemagne) Origine de la société MEZ : 1875 CréaCon de la société MEZ-‐TECHNIK : 1996 Filiale française située à Lyon (créée en 2014) EffecCf global de 20 personnes Chiffre d’affaires global 2014 : 9 M€ Ac-vité principale :
ConcepCon, fabricaCon et commercialisaCon d’accessoires pour la fabrica-on, la maintenance et l’installa-on des gaines de ven-la-on
Quelques produits phares :
• Profil pour gaine rectangulaire MEZ-‐SYPHON-‐FLANGE • Gel d’étanchéité MEZ-‐BLUEMASTIC-‐GEL • Trappe de visite • Volet de dosage Classe B / Classe 4 • Rails de supportage et accessoires de montage • Système de suspension par câble • Supportage en toiture MEZ-‐BIGFOOT, …
PERFORMANCE ENERGETIQUE ET HYGIENE DE L’AIR
Partie I : L’étanchéité des réseaux de ventilation
-‐ Introduction : Contexte Règlementaire. -‐ Chap. 1 : Les normes en vigueur. -‐ Chap. 2 : Les prérequis des réalisations. -‐ Chap. 3 : Les attendus (feuille de résultats). -‐ Chap. 4 : Un cas concret.
Partie II : constat de performance sur gaine rectangulaire. -‐ Introduction : Contexte des essais. -‐ Contenu global.
Partie III : Ensemble vers des bâtiments plus sains.
Aujourd’hui, la perméabilité ou l’étanchéité à l’air des réseaux aérauliques fait partie des critères essentiels retrouvés dans la plupart des cahiers des charges et normes destinés à la ventilation. On y retrouve :
§ La Règlementation Thermique 2012 (RT2012).
§ NF EN 13779 Exigences de performances pour les systèmes de ventilation et de conditionnement d'air (juillet 2007).
§ NF EN 12599 Procédures d'essai et méthodes de mesure pour la réception des installations de conditionnement d'air et de ventilation dans les milieux résidentiels et d’habitations (décembre 2012).
Toutes ces normes doivent permettre d’optimiser les performances
énergétiques des bâtiments.
CONTEXTE REGLEMENTAIRE
ETUDE SUR L’ETANCHEITE DES RESEAUX Varia-on de la puissance absorbée du ven-lateur et du SFP en fonc-on du changement de classe d'étanchéité
Débit fuite 10% Classe A Classe B Classe C Classe D
La Puissance Spécifique du ven-lateur SFP (efficacité énergéCque du venClateur) varie proporConnellement avec le carré du débit.
La puissance absorbée du ven-lateur varie proporConnellement avec le cube du débit
LES CAHIERS DES CHARGES DE PLUS EN PLUS PRECIS
La déWinition des attentes sur la qualité et la réalisation des réseaux de ventilation se fait de plus en plus précise dans les CCTP.
CONTEXTE REGLEMENTAIRE POUR LES MESUREURS
A ce jour aucune règlementation ne régie une quelconque accréditation pour les mesureurs. Néanmoins aWin de répondre aux
nouvelles exigences des bâtiments très basse consommation, préWigurées par le Label EFFINERGIE Plus et les prochains Labels RT 2012 HPE et THPE, une qualiWication « MESUREUR DES RESEAUX
AERAULIQUES ».
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CHAP. I : Les normes en vigueur
Normes de performances
• NF 12 237 Résistance et étanchéité des conduits circulaires en tôle (Juin 2003) • NF EN 1507 Conduits aéraulique rectangulaire en tôle (Juillet 2006) • FD E51-‐767 Mesures d'étanchéité à l'air des réseaux (Mars 2014) Il est à noter que ces normes remplacent la norme expérimentale X 10-‐236, de novembre 1985
• NF EN 14239 Mesurage de l'aire superWicielle des conduits (Août 2004)
Normes de moyens
CHAP. I : Les normes en vigueur
Nous traiterons des deux normes suivantes :
• NF 12 237 Résistance et étanchéité des conduits circulaires en tôle (Juin 2003) • NF EN 1507 Conduits aéraulique rectangulaire en tôle (Juillet 2006)
Ces deux normes font apparaitre deux parties, à savoir : • L’étanchéité à l’air (Essais à réaliser sur site) • La résistance mécanique (Réservé au essais de laboratoire)
Tableau de Synthèse des Performances attendues:
NF EN 1507 (Rectangulaire) NF EN 12237 (Circulaire)
LONGUEUR TOTALE DU JOINT
L’échantillon du tronçon doit comprendre une représentation de joint (jonction) représentatif, cette représentation est régie par la formule suivante :
CHAP. II : Les pré-requis de réalisations
La gestion de la construction des réseaux aérauliques devant répondre à des contrôles de performances.
Analyser les spécicications aérauliques contenues dans le CCTP (classe d’étanchéité attendue). Sélectionner les accessoires répondant aux exigences du CCTP (registres, CCF,…). Décinir avec la maîtrise d’ouvrage les tronçons à soumettre à essais. Planicier les essais dans le processus de construction.
Pré requis administratifs avant intervention • La préparation de l’intervention doit répondre à plusieurs données essentielles nécessaires au bon déroulement de la prestation, à savoir :
– Fourniture du plan avec détermination du réseau à tester. – La pression d’essai. – La classe d’étanchéité requise contractuellement. – Le développé du tronçon de gaine.
Pré requis fonctionnels avant intervention La préparation de l’intervention doit répondre à plusieurs données essentielles nécessaires au bon déroulement de la prestation, à savoir :
– Obturation des tronçons à tester. – La présence d’un piquage pour raccordement de l’appareil de test. – L’absence de calorifugeage sur les tronçons de gaines.
CHAP. II : Les pré-requis de réalisations
Synthèse des résultats contenue dans le rapport MAP CLIM
CHAP. III : Les attendus
Rapport intermédiaire Rapport final
CHAP. IV : Cas concret
L’impact d’une fuite sur un plafond de bloc opératoire • Les luminaires • Le fut du scialy-que • Les organes de détec-on
ETUDE SUR L’ETANCHEITE DES RESEAUX Représenta-on des fuites par classe d’étanchéité d’un réseau de démonstra-on
Réseau de démonstra-on : Surface développée : 5 m² / Pression de test : 1500 Pa
Fabrica-on : Ervent Aquitaine 1x Gaine Ervent 700 x 700 x 1390 mm avec cadre intégré étanche et agrafage piTsburgh automa-que mas-qué 2x Capots avec profils de cadre MEZ-‐SYPHON-‐FLANGE étanche avec gel injecté MasCcage : Angles + bords tombés + piquages diam. 100 mm
Pose : Ervent Aquitaine JoncCon par joint mousse croisé 15 x 5 mm Griffes serre-‐cadres MEZ-‐LATZ
Responsabilité Fabrica-on / Pose dans l’étanchéité d’une gaine de ven-la-on 70 % (pose) / 30 % (fab.)
ETUDE SUR L’ETANCHEITE DES RESEAUX
Résultat : Débit de fuite @ 1500 Pa = 0,40 l/s (1,44 m3/h) Classe D
Limites admissibles :
Classe A 15,67 l/s
(ou 56,4 m3/h)
Classe B 5,22 l/s
(ou 18,8 m3/h)
Classe C 1,74 l/s
(ou 6,3 m3/h)
Classe D 0,58 l/s
(ou 2,1 m3/h)
Fuite 5,1 cm² Trou diam. 4 cm
Fuite 1,7 cm² Trou diam. 2,31 cm
Fuite 0,6 cm² Trou diam. 1,37 cm
Fuite 0,2 cm² Trou diam. 0,79 cm
Superficie de fuite : 0,1 cm² => équivalence trou (fuite) diamètre 0,56 cm
Représenta-on des fuites par classe d’étanchéité d’un réseau de démonstra-on
CONTEXTE
Dans un soucis de performances et d’amélioration continue, la société ERVENT s’est rapprochée de la Sté Map Clim pour mener une campagne de contrôle de performances sur différents concepts de fabrication de sa production. A ce titre des tests ont été menés sur les échantillons suivants : Gaines rectangulaires identiques (1,34x1,20x1,40) soit 10,32m²
Agrafage PITTSBURG avec et sans joint Agrafage SNAPLOCK avec et sans joint Cadre intégré Cadre rapporté Gaine rectangulaire assemblée (0,8x0,85x2,68) soit 10,19m²
CONSTAT DE PERFORMANCES
Désignation Dimension Epaisseur Section totale Matières Profil de cadre Plaque d'obturation par essais
4 vis dans les angles 2 vis intermediaires par cotés
TABLEAU DES CARACTERISTIQUES TECHNIQUES DE LA GAINE
IntégréTole galvanisé10 m²0,08 cm0,85x0,8x2,68Caractéristiques
de la gaine
CONSTATS DE PERFORMANCES
TABLEAU DE SYNTHESE DES MESURES REALISES SUR SITE
Type de cadre testé
Type de technique d’agrafage Surface (mm²)
Pression mesuré en gaine (Pa)
Pression atmosphérique (Pa) / Température
(°C)
Taux de fuite Corrigé (l/s)
Seuil limite (l/s)par classe Classe
Classe A Classe B Classe C Classe D
Gaine + Cadre Rapporté non jointé
Type Snaplock 1,34x1,20x1,40
(10,32m²)
250 1021 / 27,8 12,28 10,06 3,35 1,11 0,37
500 1021 / 28,1 18,92 15,79 5,26 1,75 0,58
754 1021 / 28,0 27,77 20,62 6,87 2,29 0,76
997 1021 / 28,2 35,48 24,73 8,24 2,74 0,91
Gaine + cadre rapporté jointé
Type Snaplock
1,34x1,20x1,40 (10,32m²)
247 1021 / 29,3 8,08 9,98 3,32 1,10 0,36
500 1021 / 29,0 12,74 15,79 5,26 1,75 0,58
753 1021 / 29,3 16,67 20,61 6,87 2,29 0,76
1005 1021 / 29,5 20,28 24,86 8,28 2,76 0,92
Gaine + cadre intégré
Type Pi3sburgh
0,80x0,85x2,68 (10,19m²)
245 1019 / 26,9 0,44 9,64 3,21 1,07 0,35
506 1019 / 27,5 1,08 15,45 5,15 1,71 0,57
750 1018 / 27,4 1,38 19,95 6,65 2,21 0,73
1000 1019 / 27,4 1,73 24,06 8,02 2,67 0,89
Conception et fabrication de gaines
MEZ-‐AEROSEAL est une technologie révolu-onnaire d‘étanchéifica-on ultérieure par l‘intérieur des réseaux de ven-la-on existants ou récemment installés.
Dans le process MEZ-‐AEROSEAL, une résine d‘étanchéité est chauffée, comprimée puis insufflée à l‘état gazeux dans le réseau
aéraulique. Les parCcules adhésives pulvérisées viennent alors se coller sur les rebords des fuites
afin de les colmater progressivement sans déposer de résidu dans les gaines.
Comment ça marche ?
DescripCon :
• Procédé prouvé et breveté • Etanchéité depuis l’intérieur
• RéducCon d’environ 90% des débit de fuite • Aucune contrainte d’accès • Rapidité d’applicaCon • IdenCficaCon des fuites et étanchéité • RéducCon des moyens humains • GaranCe de résultats (vérifiable)
Aperçu d’une applica-on MEZ-‐AEROSEAL :
2) Isolement des ven-lateurs et CTA 3) Re-rer toutes les instrumenta-ons (capteurs, croix de mesure, …) 4) Connecter l’équipement au réseau 5) Test d’étanchéité réalisé (AVANT)
6) Étanchéifica-on avec injec-on de résine sans laisser de résidu dans le réseau (colmatage des fuites jusqu’au diamètre 15 mm)
7) Test d’étanchéité réalisé (APRES) 8) Cer-ficat de performance généré
1) Obturer les entrées et sor-es d’air du réseau à étancher (limite de réseau de 60 mètres linéaires par injec-on)
FAQ Résine MEZ-‐AEROSEAL :
• SoluCon aqueuse pulvérisée à base de poly-‐acétate de vinyle (cf. chewing gum, laque cheveux et peinture acrylique)
• CerCfié selon UL 1381 (norme américaine) pour : Résistance au feu en surface Moisissure et humidité Résistance au feu intérieur de gaine RéducCon de débit de fuite
• Résistance thermique -‐29°C à 249°C • CerCfié VDI 6022 (direcCve hygiène de l’air) • Faible émission de COV (test en cours) • État final (séchage) 2 heures • Durée de vie (supérieure à 10 ans, cf. historique) • GaranCe 3 ans
Basée à Bordeaux, CertifAir noue des partenariats avec les acteurs incontournables de la QAI : § APPA : Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique § AIR : Air Intérieur en Réseau § ARS: Agence Régionale de Santé région Aquitaine § AFNOR : Association Française de Normalisation § Association HQE : Association Haute Qualité Environnementale § IREPS Aquitaine : Instance Régionale d’Education et de promotion de
la santé § LaSie : LAboratoire des Sciences de l’Ingénieur pour l’Environnement § Map Clim: le partenaire du traitement d’Air § OQAI: Observatoire de la Qualité de l’Air § CSTB: Centre Scientifique et Technique du Bâtiment
Nous sommes un laboratoire accrédité NF EN ISO 17025 COFRAC LAB REF 30 n° 1-5742
NOS PARTENAIRES
La science de l’air intérieur s’est développée dès les années 1970 avec la préoccupation d’économie d’énergie, mettant à jour une réalité complexe :
§ bâtiments moins perméables à l’air § renouvellements d’air réduits § utilisation de matériaux de construction avantageux (mode constructif rapide, coûts réduits) mais participant à l’émission de nombreux polluants nouveaux dans l’air intérieur § équipements et installations de climatisation et de traitement d’air, mobilier et articles de consommation courante
Hiérarchisation scientifique et évolution des politiques publiques
ENJEUX SANITAIRES IMPORTANTS
Ainsi, après une première hiérarchisation des polluants en 2002, mise à jour en 2005 puis en 2010, ce sont aujourd’hui 1026 substances ou mélanges de substances chimiques qui sont classées au regard de leur toxicité et de l’exposition des populations. Un certain nombre d’entre elles sont reconnues comme hautement prioritaires pour les différents environnements :
§ 15 substances pour les logements § 6 pour les écoles (formaldéhyde, benzène, acétaldéhyde, PM10 et PM2,5,
chrome + 20 substances très prioritaires § 5 pour les bureaux ( benzène, PM 2,5, éthylbenzène , formaldéhyde,
PCB).
Hiérarchisation selon toxicité à court et long terme, niveaux d’exposition et fréquence
d’apparition des polluants.
HIERARCHISATION ET CLASSIFICATION DES POLLUANTS
§ Tous les Composés Organiques Volatils (COV) sont présents dans 80 à 100% des logements français ( source OQAI campagne nationale 2003/05). § Le formaldéhyde est le composé dont la médiane de concentration est la plus élevée. § Les hydrocarbures sont détectés dans 83 à 100% des logements français. § 50% des logements ont des teneurs en allergènes d’acariens dans la poussière. § 37% des logements présentent des contaminations en moisissures visibles ou masquées. § 50% des logements ont des teneurs en particules supérieures à 19 µg/m³ pour des particules de diamètre inférieur à 2,5 µm (PM 2,5). La valeur guide de l’OMS est de 10 µg/m³
QAI dans nos logements : le constat
L’association HQE a établi un protocole , qui permet de qualifier, selon une méthode scientifiquement fondée, l’Air Intérieur effectivement respiré par les occupants dans le bâtiment. Destiné aux maîtres d’ouvrage et aux maîtres d’œuvre désireux d’intégrer la préoccupation de la QAI dans leurs projets de construction. Sur les phases clés du projet, le guide établi donne des éléments de réponse concrets sur : § L’intégration d’objectifs de performance et de mesure à réception, de la QAI dans la conception et dans le management du projet, dès la programmation. § L’organisation et la mise en œuvre de la campagne de mesure § L’interprétation des résultats et les actions possibles pour les améliorer
CONSTRUIRE EN INTEGRANT LA QAI
• Nous passons 20 à 22 heures dans des espaces clos.
• La montée des préoccupations écologiques a favorisé la recherche d’un cadre de qualité et d’un environnement protégé.
• Une mauvaise qualité de l’environnement intérieur (qualité de l’air, niveau sonore, éclairage, etc.) dans les bâtiments de bureaux peut être à l’origine d’une détérioration de la santé (irritations, asthme, allergies, maux de tête, somnolence, etc.) (Wolkoff, 2013), mais également d’une diminution du bien-être des occupants (Tanabe et al., 2007), ce bien-être faisant d’ailleurs partie intégrante de la santé selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Pourquoi s’intéresser à la QAI dans les logements ?
§ Accompagnement des maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre dans la QAI § Formation des équipes construction et exploitation sur la QAI. § Support QAI dans le management du projet dès la phase de programmation. § Possibilité de mise en place d’un suivi à distance des performances QAI du bâtiment pendant la phase d’exploitation du bâtiment. § Mise en place d’un carnet sanitaire QAI du bâtiment global, et des logements .
LES SOLUTIONS CERTIFAIR
PERFORMANCE ENERGETIQUE ET HYGIENE DE L’AIR
Atelier 2 : Fabrica-on et pose de gaine rectangulaire avec cadre intégré