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LA REVUE DE P LES ARTICLES Immobilier : les revenir dans le Le 16/6/2014 En 20 ans, les investisseurs in Mathias Thépot | 16/06/2014, revenir en masse dans le logeme général. D'aucuns diront que pour atteind an, la contribution des investiss La revue de Presse KYLIA PRESSE DE LA SEMAIN Du 16 au 22 juin 2014 S DE LA SEMAINE - RESID s zinzins vont-ils vraime logement ? nstitutionnels se sont séparés de près d'un m 16:44 - 623 mots Les investisseurs instituti ent : ils regardent la rentabilité du placement et n dre l'objectif du gouvernement de construire 50 seurs institutionnels pour en financer une partie 1 NE DENTIEL ent million de logements. ionnels rechignent à non la cause d'interêt 00.000 logements par e sera indispensable.

Revue de presse kylia semaine du 16 au 22 juin 2014

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Retrouvez une sélection des meilleurs articles de la presse immobilière de la semaine

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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

LES ARTICLES DE LA S

Immobilier : les zinzins vont

revenir dans le logementLe 16/6/2014

En 20 ans, les investisseurs institutionnels se son t séparés de près d'un

Mathias Thépot | 16/06/2014, 16:44

revenir en masse dans le logement : ils regardent la rentabilité du placement et non la cause d'interêt

général.

D'aucuns diront que pour atteindre l'objectif du gouvernement de construire 500.000 logements par

an, la contribution des investisseurs institutionnels pour en financer une partie sera indispensable.

La revue de Presse KYLIA

LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 16 au 22 juin 2014

LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL

Immobilier : les zinzins vont -ils vraiment

revenir dans le logement ?

En 20 ans, les investisseurs institutionnels se son t séparés de près d'un million de logements.

16/06/2014, 16:44 - 623 mots Les investisseurs institutionnels rechignent à

revenir en masse dans le logement : ils regardent la rentabilité du placement et non la cause d'interêt

cuns diront que pour atteindre l'objectif du gouvernement de construire 500.000 logements par

an, la contribution des investisseurs institutionnels pour en financer une partie sera indispensable.

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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

RESIDENTIEL

ils vraiment

million de logements.

mots Les investisseurs institutionnels rechignent à

revenir en masse dans le logement : ils regardent la rentabilité du placement et non la cause d'interêt

cuns diront que pour atteindre l'objectif du gouvernement de construire 500.000 logements par

an, la contribution des investisseurs institutionnels pour en financer une partie sera indispensable.

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La revue de Presse KYLIA

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Depuis maintenant deux ans, les pouvoirs publics y travaillent. A Bercy, à l'Elysée, et du côté du bras

armé financier de l'Etat, la Caisse des dépôts, on s'active pour séduire à nouveau ceux qui ont

déserté l'investissement dans le logement depuis 20 ans : "ses investisseurs institutionnels qui

détenaient un million de logements dans les zones tendues au début des années 1990 (là où les

besoins de logements sont les plus importants ndlr), en possèdent désormais moins de 100.000",

déplorait l'année dernière la fondation Terra Nova. Les zinzins ont préféré se tourner vers d'autres

classes d'actifs immobilier (hôtels, commercial) souvent au-delà des frontières françaises.

Des avantages fiscaux accordés

Désormais, l'urgence est telle que, dans la loi de finance 2014, des avantages fiscaux substantiels

(TVA réduite de moitié et exonération de taxe foncière pendant 15 ans) ont été accordés aux zinzins

qui investiront leurs ressources dans le logement des classes moyennes. S'ils se sont montrés

intéressés, les zinzins n'affluent toutefois pas en masse.

Pourquoi une telle réticence ? La directrice Immobilier de BNP Paribas Cardif, Nathalie Robin a donné

quelques éléments d'explication lors d'un colloque sur le logement organisé jeudi par l'AEF. A

l'écouter, une chose semble clair : ce n'est pas parce que le logement a été décrété cause d'intérêt

général que les zinzins vont l'intégrer dans le politique de placement.

Bien évidemment, il faut plus pour les convaincre, et notamment de la "rentabilité" comme l'a répété à

plusieurs reprises Nathalie Robin. Or, celle-ci est très faible dans le logement : hors avantages fiscaux

elle s'élèverait à environ 1,5% selon un autre expert présent au colloque de l'AEF.

Stabilité et lisibilité

La directrice Immobilier de BNP Paribas Cardif déplore également l'absence de "stabilité" de la classe

d'actifs "immobilier résidentiel". "Nous avons été profondément marqués par l'effondrement des prix

des bureaux et des logements au début des années 1990", se souvient-elle. Et même si le marché du

logement en France a repris des couleurs lors des 20 dernières années, la réticence des

institutionnels perdure.

Nathalie Robin évoque aussi le manque de "lisibilité" sur le marché du logement français, découlant

de la multiplicité des réglementations et des législations émanent des pouvoirs publics. Ces

comportements "ne sont pas liés à des décisions de marché", déplore-t-elle. "Nous plaçons l'argent

des assurés, c'est leur épargne, pas nos fonds propres", ajoute froidement Nathalie Robin, c'est

pourquoi BNP Cardif se doit de rechercher le meilleur couple rendement-risque possible.

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Le grand potentiel de l'épargne financière des Fran çais

Il semble difficile d'infléchir le discours bien rodé de l'institution financière qui semble faire fi de l'intérêt

général, pour lequel l'extraordinaire potentiel de l'épargne financière des français (avec notamment

près de 1.500 milliards d'euros d'encours d'assurance vie), pourrait pourtant très bien servir…

Du reste, quelques investisseurs institutionnels, BNP Pariabs Cardiff, sont intéressés par le fonds

Argos, le premier dédié à l'investissement des zinzins dans le logement des classes moyennes. Jeudi,

Nathalie Robin a mis en avant en avant les "lourdes responsabilités" portée par la SNI, la filiale de la

Caisse des dépôts qui pilote le projet Argos.

Histoire de maintenir la pression sur les pouvoirs publics pour que toutes les conditions soient

durablement réunies afin que l'immobilier résidentiel redevienne un investissement fructueux.

Source : LaTribune.fr

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Immobilier : où se trouvent les ménages les

plus endettés en EurLe 17/6/2014

Au Luxembourg, l'encours moyen de crédits immobilie rs par ménage est de 149.500 euros.

latribune.fr | 17/06/2014, 15:11

pour l'immobilier que les pays du sud.

Un peu plus de 40.000 euros, c'est l'encours de crédits immobiliers par ménage propriétaire en Union

européenne. Les prêts à l'habitat représentent 85% de l'endettement global des ménages européens.

Il n'y a en fait que deux pays du Vieux con

important que le crédit immobilier

Le Royaume- Uni et l'Allemagne concentrent 40% des encours en E urope

L'endettement immobilier est plus fort dans les pays de l'Europe du

encours de crédits immobiliers et 41 % de la population européenne

Foncier. L'encours moyen par ménage propriétaire y est égal à 61 484 euros.

Ainsi le Danemark, (avec un encours de crédits immob

euros), le Luxembourg (149.500),

La revue de Presse KYLIA

Immobilier : où se trouvent les ménages les

plus endettés en Eur ope ?

Au Luxembourg, l'encours moyen de crédits immobilie rs par ménage est de 149.500 euros.

17/06/2014, 15:11 - 417 mots Les pays du nord de l'Europe s’endettent nettement plus

pour l'immobilier que les pays du sud.

Un peu plus de 40.000 euros, c'est l'encours de crédits immobiliers par ménage propriétaire en Union

européenne. Les prêts à l'habitat représentent 85% de l'endettement global des ménages européens.

Il n'y a en fait que deux pays du Vieux continent où le poids du crédit à la consommation est plus

important que le crédit immobilier : la Hongrie et la Roumanie.

Uni et l'Allemagne concentrent 40% des encours en E urope

L'endettement immobilier est plus fort dans les pays de l'Europe du Nord, qui "représente 62 % des

encours de crédits immobiliers et 41 % de la population européenne", indique une étude du Crédit

Foncier. L'encours moyen par ménage propriétaire y est égal à 61 484 euros.

(avec un encours de crédits immobiliers par ménage propriétaire de 185.000

euros), le Luxembourg (149.500), la Suède (81.500), les Pays-Bas (77 .000), l'Irlande (69.500) et le

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Immobilier : où se trouvent les ménages les

Au Luxembourg, l'encours moyen de crédits immobilie rs par ménage est de 149.500 euros.

mots Les pays du nord de l'Europe s’endettent nettement plus

Un peu plus de 40.000 euros, c'est l'encours de crédits immobiliers par ménage propriétaire en Union

européenne. Les prêts à l'habitat représentent 85% de l'endettement global des ménages européens.

tinent où le poids du crédit à la consommation est plus

représente 62 % des

", indique une étude du Crédit

iliers par ménage propriétaire de 185.000

.000), l'Irlande (69.500) et le

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Royaume-Uni (68.500) sont les six pays européens où l'endettement immobilier par ménage

propriétaire est le plus important. Deux de ces pays, le Royaume-Uni et l'Allemagne, concentrent

même près de 40 % des encours de crédits immobiliers d'Europe alors qu'ils représentent 29 % de la

population européenne.

La France, huitième pays européen le plus endetté

A l'inverse, en Europe du Sud, (Chypre, Espagne, France, Grèce, Italie, Malte et Portugal) "les

ménages sont, en moyenne, moins endettés. Ses pays membres représentent 35 % des encours de

crédits immobiliers et 38 % de la population européenne", note le Crédit Foncier. "L'encours moyen

par ménage propriétaire y est égal à 37.775 euros", ajoute-t-il. Et si l'on prend plus spécifiquement le

cas de la France, on constate qu'elle se situe dans une position intermédiaire, au huitième rang, avec

un encours par ménage propriétaire français de 49 608.euros.

"Le crédit immobilier représente en France 86 % de l'endettement total ; cette part tend à augmenter :

elle était de 79 % il y a 10 ans et augmente régulièrement depuis lors", note le Crédit Foncier.

Preuve notamment de l'appétence des Français pour l'accession à la propriété.

Les pays de l'Est ne représentent que 3% des encour s de crédits immobiliers

La troisième catégorie de pays européens étudiés par l'étude, ceux de l'est, est pour sa part

faiblement endettée en immobilier. Ces pays représentent seulement 3 % des encours de crédits à

l'habitat pour 21 % de la population européenne. L'encours moyen par ménage propriétaire y étant

égal à … 5 393 euros.

Source : LaTribune.fr

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Les 150.000 logements sociaux promis ne

seront pa s livrés en 2014Le 17/6/2014

Environ 1.500 logements prévus par le bailleur 3F p ourraient ne pas voir le jour.

Les changements de municipalités ainsi que les difficultés rencontrées par la promotion privée

contraignent les bailleurs sociaux qui risque

Malgré tous les efforts du gouvernement pour que soient construits 150.000 logements sociaux par

an, soit 30% des nouveaux logements, il semble que, au moins pour 2014, cet objectif ne

tenable… si l'on en croit le leader du

Son directeur général, Yves Laffoucrière, craint de ne pas pouvoir atteindre l'objectif que s'est fixé 3F

de lancer la production de 7.900 logements en 2014. "

chantier pour cette année car en Île

déplore-t-il.

La revue de Presse KYLIA

Les 150.000 logements sociaux promis ne

s livrés en 2014

Environ 1.500 logements prévus par le bailleur 3F p ourraient ne pas voir le jour.

Les changements de municipalités ainsi que les difficultés rencontrées par la promotion privée

contraignent les bailleurs sociaux qui risquent de ne pas atteindre les objectifs fixés en 2014.

Malgré tous les efforts du gouvernement pour que soient construits 150.000 logements sociaux par

an, soit 30% des nouveaux logements, il semble que, au moins pour 2014, cet objectif ne

tenable… si l'on en croit le leader du logement social français, 3F.

Son directeur général, Yves Laffoucrière, craint de ne pas pouvoir atteindre l'objectif que s'est fixé 3F

de lancer la production de 7.900 logements en 2014. "3F ne tiendra pas ses objectifs de mises en

chantier pour cette année car en Île-de-France, la production de 1.500 de nos logements est bloquée

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Les 150.000 logements sociaux promis ne

Environ 1.500 logements prévus par le bailleur 3F p ourraient ne pas voir le jour.

Les changements de municipalités ainsi que les difficultés rencontrées par la promotion privée

nt de ne pas atteindre les objectifs fixés en 2014.

Malgré tous les efforts du gouvernement pour que soient construits 150.000 logements sociaux par

an, soit 30% des nouveaux logements, il semble que, au moins pour 2014, cet objectif ne soit pas

Son directeur général, Yves Laffoucrière, craint de ne pas pouvoir atteindre l'objectif que s'est fixé 3F

es objectifs de mises en

France, la production de 1.500 de nos logements est bloquée",

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La revue de Presse KYLIA

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Les bailleurs dépendant des promoteurs privés

Il évoque pour justifier les blocages en cours deux raisons -qui sont d'ailleurs valables pour les autres

bailleurs sociaux- : la première tient aux obstacles que rencontrent les promoteurs privés. Ils

éprouvent en effet les pires difficultés à commercialiser des logements en Vefa (vente en l'état futur

d'achèvement) à des prix en adéquation avec une demande affaiblie par la crise. Constatant un

niveau trop faible de commercialisation, les banques n'accordent pas leur financement aux

promoteurs, ce qui obère le lancement d'opérations ainsi que de la partie des projets consacrée aux

logements sociaux.

Les nouveaux maries stoppent des opérations de cons truction...

La seconde raison évoquée par Yves Laffoucrière est encore plus conjoncturelle. Elle est relative aux

changements de majorité dans les villes après les élections municipales de mars 2014. "Certains

maires élus ont fait campagne contre des projets de construction…", constate Yves Laffoucrière.

Résultat, plusieurs projets sont retardées, voire "définitivement perdus", regrette le directeur général

de 3F.

... mais encouragent davantage les ventes aux locat aires

En revanche, le basculement de certaines municipalités de gauche à droite a eu un effet plus

bénéfique pour les affaires des bailleurs sociaux. En effet, il serait plus concevable idéologiquement

pour les mairies de droite d'encourager la vente aux locataires de logements HLM.

Yves Laffoucrière l'a remarqué avec deux mairies - Colombes et Clamart- qui ont basculé à droite aux

dernières élections municipales et qui donnent désormais davantage de marges de manœuvre au

bailleur pour vendre à des locataires. Cette technique a permis à 3F de dégager plus de 100 millions

d'euros de chiffre d'affaires en 2013. Et lui permet d'accroître sa capacité d'autofinancement en

période de raréfaction des subventions de l'Etat.

150.000 logements sociaux pour 2015?

De quoi -peut-être atteindre l'objectif de 150.000 logements mis en chantier en 2015. D'autant que de

nombreuses mesures de soutien à l'immobilier social ont été récemment mises en place. Que ce soit

la loi de mobilisation du foncier public - entrée en vigueur en janvier 2013 - qui permet aux bailleurs

sociaux de bénéficier de terrains publics à prix réduit ; les allègements de TVA avec le passage au

taux réduit de 5,5% au 1er janvier 2014 pour la construction neuve et les travaux de rénovation ; mais

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aussi le relèvement du plafond du livret A en deux temps entre octobre 2012 et janvier 2013, qui a

participé à accroître le volume de fonds disponible pour le financement des logements conventionnés.

Source : LaTribune.fr

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Transition énergétique : le projet présenté en

conseil des ministresLe 18/6/2014

L'un des points les plus épineux reste la gouvernan ce du nucléaire, les écologistes étant

encore insatisfaits mardi soir des dispositions d'u n texte qui, selon eux, ne permettent pas à

l'État de prendre les rênes de l'atome et piloter sa baisse progressi ve dans le mix énergétique.

(Photo Reuters) latribune.fr |

énergétique est enfin dévoilé ce mercredi en conseil des ministres, après des

d'intenses tractations jusqu'au dernier moment.

"L'un des plus importants du quinquennat

la transition énergétique dévoilé ce mercredi par la ministre de l'Écologie en conseil des ministres. Le

texte comprend pas moins de 80 articles qui traîtent tant de la voiture électrique que de la

de bâtiments, de pollution de l'air et de développement des énergies renouvelables.

Réduction de la consommation d'énergie de 50%

Parmi les mesures phare: un "chèque énergie" pour les ménages les plus modestes, une obligation de

rénovation énergétique en cas de travaux de ravalement ou de toiture, de nouvelles aides fiscales

La revue de Presse KYLIA

Transition énergétique : le projet présenté en

conseil des ministres

L'un des points les plus épineux reste la gouvernan ce du nucléaire, les écologistes étant

encore insatisfaits mardi soir des dispositions d'u n texte qui, selon eux, ne permettent pas à

les rênes de l'atome et piloter sa baisse progressi ve dans le mix énergétique.

18/06/2014, 8:29 - 575 mots Le projet de loi sur la transition

énergétique est enfin dévoilé ce mercredi en conseil des ministres, après des

d'intenses tractations jusqu'au dernier moment.

L'un des plus importants du quinquennat". C'est ce que pense François Hollande du projet de loi sur

la transition énergétique dévoilé ce mercredi par la ministre de l'Écologie en conseil des ministres. Le

texte comprend pas moins de 80 articles qui traîtent tant de la voiture électrique que de la

de bâtiments, de pollution de l'air et de développement des énergies renouvelables.

Réduction de la consommation d'énergie de 50%

Parmi les mesures phare: un "chèque énergie" pour les ménages les plus modestes, une obligation de

étique en cas de travaux de ravalement ou de toiture, de nouvelles aides fiscales

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Transition énergétique : le projet présenté en

L'un des points les plus épineux reste la gouvernan ce du nucléaire, les écologistes étant

encore insatisfaits mardi soir des dispositions d'u n texte qui, selon eux, ne permettent pas à

les rênes de l'atome et piloter sa baisse progressi ve dans le mix énergétique.

Le projet de loi sur la transition

énergétique est enfin dévoilé ce mercredi en conseil des ministres, après des mois de débats et

C'est ce que pense François Hollande du projet de loi sur

la transition énergétique dévoilé ce mercredi par la ministre de l'Écologie en conseil des ministres. Le

texte comprend pas moins de 80 articles qui traîtent tant de la voiture électrique que de la rénovation

de bâtiments, de pollution de l'air et de développement des énergies renouvelables.

Parmi les mesures phare: un "chèque énergie" pour les ménages les plus modestes, une obligation de

étique en cas de travaux de ravalement ou de toiture, de nouvelles aides fiscales

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sous la forme de crédits d'impôt, ou encore l'ambition d'installer sept millions de bornes de recharge

pour les véhicules électriques d'ici à 2030.

Le texte pose également de grands objectifs: réduction de la consommation énergétique finale de

50% en 2050 par rapport à 2012, de la consommation des énergies fossiles de 30% en 2030 par

rapport à 2012, ou encore une part des énergies renouvelables dans la consommation finale d'énergie

de 32% en 2030, indique-t-on dans l'entourage de la ministre de l'Ecologie Ségolène Royal.

Figure également l'objectif de réduire la part du nucléaire à 50% de la production d'électricité en 2025,

contre 75% aujourd'hui.

Cela coince sur le nucléaire

L'un des points les plus épineux reste la gouvernance du nucléaire, les écologistes étant encore

insatisfaits mardi soir des dispositions d'un texte qui, selon eux, ne permettent pas à l'État de prendre

les rênes de l'atome et piloter sa baisse progressive dans le mix énergétique.

Si les grands objectifs sont posés, les étapes intermédiaires ne seront détaillées que dans une

Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), adoptée dans la foulée de la loi et qui portera sur une

première période 2015-2018.

Ce dernier point n'est pas acceptable pour les écologistes qui veulent un engagement sur une période

de dix ans, afin de donner plus de visibilité, mais aussi pour éviter que les cartes soient rebattues dès

l'arrivée du prochain gouvernement en 2017. Sinon, "on va envoyer le signal que c'est EDF qui

continue à avoir la main", estime le député EELV, Denis Baupin.

Contrairement aux souhaits des écologistes, la durée de vie maximum de 40 ans des centrales ne

sera pas non plus inscrite dans la loi, ni la possibilité pour l'Etat de fermer un réacteur nucléaire. La

fermeture de Fessenheim n'y figurera pas non plus, selon l'entourage de Mme Royal.

"Il faut que les moyens suivent"

Quoiqu'il en soit, le texte semble satisfaire certains acteurs de la lutte contre le réchauffement

climatique. "Les informations dont nous disposons incitent à être raisonnablement optimistes",

commentait-on par exemple à la Fondation Hulot. Reste une question cruciale à régler. Celle des

moyens.

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"Il y aura des moyens", assure-t-on dans l'entourage de Mme Royal, avec des montants inscrits dans

la loi de Finances.

Encore au stade de projet, la loi sera à nouveau discutée lors d'un long parcours législatif. Même si le

sujet a déjà fait l'objet de nombreuses tractations durant neuf mois par des entreprises, des ONG, des

élus et des syndicats.

Il sera ainsi soumis à la Commission nationale sur la transition énergétique, au Conseil économique,

social et environnemental et au Conseil d'Etat, avant d'être officiellement présenté en Conseil des

ministres. Le débat au Parlement doit débuter à l'automne.

Source : LaTribune.fr

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La loi sur le logement de Duflot va passer à la

moulinette de Valls Le 18/6/2014

Cacophonie au sommet de l’Etat. Accusé par l'ex-ministre du Logement Cécile Duflot de vouloir

détricoter la loi Alur sur le logement, Manuel Valls a confirmé ce mercredi que le texte serait bien

appliqué mais avec "réalisme et pragmatisme".

Le Premier ministre a notamment confirmé une de ses principales dispositions : l'instauration d'un

encadrement des loyers dans les zones tendues sous la responsabilité d'observatoires indépendants.

Ce qui devrait intervenir avant la fin de l'année en région parisienne et ultérieurement dans les autres

agglomérations.

Concernant la Garantie universelle des loyers, autre mesure phare du texte, Manuel Valls a indiqué

que le gouvernement attendait l'issue des négociations en cours entre partenaires sociaux avant de

décider des modalités de son financement. Des négociations qui pourraient contribuer à largement

remodeler un dispositif qui n’a jamais fait l’unanimité ni auprès des professionnels, ni même au sein

du gouvernement, comme nous le révélions récemment . Selon plusieurs sources proches du dossier,

un scénario pourrait être de recentrer cette garantie des loyers publique sur les locataires aux revenus

les plus modestes.

Parallèlement, le premier ministre a confirmé la présentation la semaine prochaine de simplifications

administratives pour faciliter la construction de logements. Les mesures de simplification présentées

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au prochain conseil des ministres doivent permettre de répondre à la "très forte attente de l'ensemble

des acteurs, investisseurs et bailleurs professionnels, soucieux de connaître dans quel environnement

juridique et économique leurs activités vont dorénavant s’exercer", a-t-il déclaré.

"Nous ferons passer la semaine prochaine avec (la ministre du Logement) Sylvia Pinel un message

de confiance", a-t-il poursuivi. "Aujourd'hui, on construit peu et pas assez, il y a un ralentissement de

la construction et nous avons besoin de faire passer ce message à l’égard de tous ceux qui veulent

investir."

Source : Capital.fr

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Huit années de salaires pour acheter un

logement en France, deux au Danemark Le 19/6/2014

Les marchés de l'immobilier des pays européens évol uent de façon hétérogène, et parfois

contracyclique. « D'une année sur l'autre, l'évolution des prix dif fère significativement d'un

pays à l'autre », note Laure Silvestre-Siaz, associée responsable du secteur immobilier chez

Deloitte, qui a publié le 18 juin son étude annuell e.

L'étude pointe notamment les écarts de prix entre l'Europe orientale et occidentale. Si la France et le

Royaume-Uni demeurent les pays où les logements sont les plus chers à l'achat, il faut débourser

seulement 917 euros le m² en Hongrie et 1 186 euros le m² en République Tchèque pour devenir

propriétaire d'un bien neuf.

PLONGEON EN ESPAGNE

Ces chiffres confirment les tendances observées l'an passé, même si des évolutions sont notables.

Tandis que l'Autriche et l'Allemagne enregistrent une forte augmentation (respectivement de 7 % et

5 %), les prix s'effritent de 5 % en Italie et plongent de 13 % en Espagne.

Comme l'an dernier, Londres et Paris demeurent les capitales les plus chères du Vieux Continent. Le

prix moyen d'un appartement atteint 8 140 euros le m² dans Paris et dépasse 10 000 euros dans le

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centre de Londres. Les capitales les moins chères d'Europe sont Budapest (1 140 euros le mètre

carré), Lisbonne (1 640 euros) et Varsovie (1 704 euros).

En 2013, les baisses de prix les plus importantes ont été enregistrées à Madrid (- 24,8 %), Rome (-

5,6 %), et Budapest (- 4,8 %). Les plus fortes hausses ont été observées à Vienne (+9 %),

Copenhague (+8 %) et Berlin (+ 7 %).

LES DANOIS PRIVILÉGIÉS

Indicateur clé du marché résidentiel, l'endettement des ménages révèle que la France est l'un des

pays où il est le plus difficile d'accéder à la propriété. Dans notre pays, acheter un logement de 70 m2

nécessite 7,9 salaires annuels bruts moyens, contre 9,4 en 2012. Cette nette dégradation

s'expliquerait, selon Laure Silvestre-Siaz, « par les légères baisses des prix, par le coût du crédit,

mais aussi par le profil de plus en plus fortuné des accédants ».

La situation des acquéreurs est encore pire en Russie (10,4 salaires annuels bruts moyens) et au

Royaume-Uni (8,5). En revanche, pour acheter un bien identique, il ne faut que 2,1 salaires annuels

bruts moyens au Danemark. « L'étude fait ressortir le niveau élevé du pouvoir d'achat des Danois,

alors même que le pays affiche les prix les plus élevés du panel », conclut Mme Silvestre-Siaz.

Source : LeMonde.fr

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Crédit immobilier : comment alléger le poids de

l'assurance Le 20/6/2014

Depuis bientôt un an et demi, les taux des crédits immobiliers restent à un niveau

particulièrement bas. Il est aujourd'hui possible d 'emprunter autour de 2,8 % sur quinze ans.

Pour les emprunteurs, il est possible de réduire en core le coût du crédit à condition de se

pencher sur l'assurance décès, invalidité et incapa cité de travail (DIIT), qui rembourse les

mensualités en cas de décès ou d'accident grave.

Celle-ci prend, en effet, de plus en plus de poids. En mai 2009, pour un emprunt de 250 000 euros sur

18 ans, réalisé par un ménage de 35 à 38 ans, l'assurance DIIT représentait 18 % du coût total du

crédit. En mai 2014, cette proportion est passée à 31 %. « La raison est simple, les taux de crédit ont

baissé fortement sur la période, lorsque les tarifs de l'assurance sont restés stables », explique

Arnaud Giraudon, président du courtier AcommeAssur.

Lorsque vous souscrivez un crédit immobilier, votre conseiller bancaire vous propose toujours

l'assurance groupe de sa filiale en complément. Cette dernière couvre de la même façon toute la

clientèle. Conséquence, si vous avez moins de 40 ans, que vous êtes non fumeur et avez un profil

classique (pas de profession dangereuse ou de pratique d'un sport extrême…), vous ferez

d'importantes économies en allant souscrire votre assurance ailleurs, via ce que l'on appelle une

délégation.

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OBLIGATION LÉGALE

« Avec une délégation classique, un emprunteur de 30 ans se verra facturer 0,27 % du capital

emprunté en moyenne dans sa banque, alors qu'il peut obtenir 0,18 % chez un assureur spécialisé.

Sur 18 ans, et pour 250 000 euros, cela représente près de 4 050 euros d'économies », précise Maël

Bernier chez Meilleurtaux.com.

En théorie, tous les emprunteurs ont le droit de faire jouer la concurrence, sans que leur banquier n'ait

le droit de refuser. « La seule obligation est que la nouvelle assurance offre les mêmes garanties que

celles proposées par la banque », ajoute Arnaud Giraudon.

Malgré cette obligation légale, les banquiers rechignent. Si vous informez votre conseiller que vous

souhaitez souscrire le crédit chez lui, mais l'assurance ailleurs, il y a peu de chances qu'il vous

accorde un taux intéressant.

La première étape consiste donc à faire le tour des assureurs et des courtiers en amont. Attention, il

faut parfois quinze jours pour recevoir une attestation d'assurance, avec les conditions générales.

Ensuite, demandez à votre banquier une simulation écrite d'offre de crédit avec un tableau

d'amortissement. Une fois que vous l'avez obtenue, vous pouvez présenter votre simulation

d'assurance en lui expliquant que vous allez la souscrire ailleurs. Il ne pourra ainsi plus vous proposer

un taux de crédit plus élevé, puisque vous aurez sa proposition écrite à la main.

LOI HAMON

Dernier point : la loi Hamon sur la consommation (dont certains décrets d'application n'ont pas encore

été publiés) prévoit que, pour les crédits immobiliers souscrits à partir du 26 juillet 2014, le particulier

pourra au moment de la première échéance changer d'assureur.

Votre banquier ne pourra pas s'y opposer, toujours à condition que votre nouvelle assurance ait les

mêmes garanties que celle que vous avez souscrite chez lui.

Enfin, sachez que même si vous n'entrez pas dans ce cadre, vous pouvez tout de même tenter de

renégocier votre assurance DIIT avec votre banquier. Comme il y a de grandes chances qu'il refuse

tout geste commercial, votre dernière solution consiste à faire racheter votre crédit par un autre

établissement. Mais cette solution n'est pas toujours intéressante.

Source : LeMonde.fr

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LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE

Comment transmettre son entreprise ? Le 16/6/2014

FICHE PRATIQUE - Pour des raisons démographiques, plus de 700.000 entreprises vont changer de

mains d'ici quinze ans. Voici les principales étapes à respecter et les outils à votre disposition.

Que vous soyez chef d’entreprise, artisan, commerçant ou profession libérale, la décision de

transmettre votre entreprise doit être mûrement réfléchie et bien préparée. Vous allez devoir choisir le

mode de transmission qui vous convient le mieux. De nombreux outils et aides sont à votre

disposition. Nous vous donnons les clés pour y arriver dans les meilleures conditions.

Étape 1 : évaluez votre entreprise

Pour vous aider dans vos démarches, contactez la Fédération Nationale des accidentés du

travail (FNATH).

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Pour trouver un repreneur, encore faut-il pouvoir monnayer votre société et donc fixer un prix. Il est

donc indispensable avant toute chose de faire une évaluation économique et financière de celle-ci.

Pour cela, il est possible de faire appel à un expert rémunéré (banquier, consultant, expert-comptable,

notaire…), mais il existe aussi des outils proposés par différentes institutions ou associations. À qui

vous adresser ?

- L’Agence pour la création d’entreprise (APCE) a mis en place un service d’aide à la transmission

d’entreprise : l’autodiagnostic et le pré-diagnostic transmission sont disponibles sur le

site. L’autodiagnostic est gratuit et ouvert à tout le monde. Il s’agit d’un questionnaire confidentiel sur

Internet qui permet de faire votre bilan.

Le pré-diagnostic s’adresse aux chefs d’entreprise de plus de cinquante ans qui emploient plus

de dix salariés hors commerce de détail. Il permet de bénéficier de l’aide d’un consultant qui réalisera

un bilan de transmissibilité. Son coût est de 2.000 euros, mais il existe une possibilité de subvention

de l’APCE de 1.800 euros.

Bon à savoir

Demandez le kit du Ministère du Commerce et de l’Ar tisanat . Le gouvernement propose depuis fin

juillet 2009 un kit dressant l’inventaire des dernières mesures gouvernementales en matière de

transmission d’entreprise. Il comprend un livret pédagogique intitulé "Du cédant au repreneur, un

parcours sans faute", un cahier technique de 47 fiches relatives à l’ensemble du processus de reprise

et une clé USB incluant des éléments techniques.

Étape 2 : choisissez votre mode de transmission

Il existe deux principales façons de transmettre son entreprise, son commerce ou sa clientèle avec

des incidences fiscales différentes. *La cession à titre onéreux . Le transfert s’effectue en

contrepartie d’un prix à payer. C’est le cas lorsque le repreneur n’est pas issu de la famille. Il existe

deux modalités :

- la vente, solution classique en l’absence de repren eur dans votre famille . Il peut s’agir de la

vente d’un fonds de commerce de murs, d’un contrat de bail ou de parts de société. Pensez à prévoir

toutes les conséquences financières, patrimoniales et fiscales d’un tel acte.

- la location-gérance avec promesse de vente. Cela consiste à louer l’entreprise à un tiers

pendant une période donnée et à la lui vendre au terme de cette période. Il suffit pour cela d’être

inscrit au registre du commerce depuis sept ans et d’avoir exploité le fonds pendant au moins deux

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ans. C’est un bon moyen de préparer la cession de votre entreprise si vous approchez de la retraite et

souhaitez vous désengager progressivement. Cette formule est aussi souvent choisie par le

propriétaire du fonds en cas d’apport insuffisant de l’acquéreur ne permettant pas l’accès au crédit, ou

en vue d’une exonération des plus-values lors de la cession ultérieure sous certaines conditions.

La cession à titre gratuit . Le dirigeant transmet son entreprise sans contrepartie financière. C’est le

cas lorsqu’un enfant ou un membre de la famille souhaite la reprendre. Il s’agit d’une donation ou, s’il

y a plusieurs bénéficiaires (enfants…), d’une "donation-partage". Ces actes sont réalisés par un

notaire. En matière de succession, des règles strictes doivent être respectées afin de ne pas

défavoriser un héritier par rapport à un autre.

Étape 3 : renseignez-vous sur les aides à la transm ission

La loi de modernisation sociale du 4 août 2008 a mis en place une série de mesures destinées à

favoriser la transmission d’entreprise. Renseignez-vous auprès des Chambres de commerce et

d’industrie et des Chambres d’artisanat. En voici quelques exemples.

- Les cessions d’entreprise aux salariés ou à des proches sont encouragées par un abattement de

300 000 euros.

- Le taux des droits d’enregistrement applicables aux mutations à titre onéreux diminuent et passent

de 5 à 3 %.

- Le taux applicable pour les droits de mutation concernant la transmission d’un fonds de commerce

passe de 5 % à 2,3 % du prix d’acquisition pour le repreneur.

- La réduction d’impôt sur le revenu accordée aux repreneurs augmente. Les repreneurs qui

empruntent pour racheter une entreprise pourront déduire les intérêts de leur emprunt à hauteur de 20

000 euros, soit le double de ce qui était autorisé jusqu’à présent.

- Il suffit de détenir au moins 25 % du capital de la société (contre 50 % auparavant) pour être

considéré comme le repreneur de l’entreprise. Grâce à cet élargissement de la définition du

repreneur, davantage d’entreprises vont avoir accès à l’exonération des droits de mutation.

- Le cédant qui aide bénévolement le repreneur de son entreprise dans ses démarches

administratives et dans la gestion quotidienne a droit à une réduction d’impôt de 1 000 euros. Une

convention de tutorat d’une durée minimale de deux mois, renouvelable trois ans, doit être signée

entre le cédant et le repreneur.

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Étape 4 : trouvez un repreneur

Pour vous permettre de trouver un repreneur, plusieurs services, variables selon votre activité,

existent sur le marché.

- Si vous souhaitez céder une activité existante , vous trouverez sur Internet des services en ligne

de petites annonces qui mettent en contact des cédants et des repreneurs d’entreprise ou de fonds de

commerce, spécialisées par secteurs. Consultez par exemple les sites PMI Contact

(www.pmicontact.net) ou Transcommerce-Transartisanat (www.transartisanat.com).

- Si vous êtes artisan, vous pouvez vous adresser au réseau des Chambres de métiers et de

l’artisanat qui propose en ligne la bourse nationale d’opportunités artisanales (BNOA) sur le site

www.bnoa.net.

- Si vous avez un commerce ou une PME, le réseau des Chambres de commerce propose des offres

de transmission classées par région sur le site www.transmission.cci.fr.

- Fin 2009, une base de données des candidats à la reprise d’entreprise est lancée sur le site de

l’APCE.

Les formalités indispensables

- N’oubliez pas de déclarer votre cessation d’activit é au Centre des formalités des entreprises

dont vous dépendez, notamment avec la radiation de votre inscription au RCS.

- En cas de cession de fonds de commerce, vous devez faire une déclaration de mutation du

fonds de commerce ou de clientèle auprès du centre des impôts dont l’entreprise dépend. En effet,

les mutations à titre onéreux sont soumises aux droits d’enregistrement perçus sur le prix de la vente

de l’achalandage, de la cession du droit au bail et des objets mobiliers ou autres servant à

l’exploitation du fonds.

Source : RTL.fr

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A quoi ressemblera votre centre commercial du

futur ? Le 17/6/2014

Inauguration du centre commercial de Confluence, le 4 avril 2012 à Lyon Jeff Pachoud AFP

INNOVATION - Promoteurs, enseignes et prestataires de services présentent leurs innovations ces

mercredi et jeudi au 10ème salon de la distribution et de l'immobilier commercial (SIEC)...

Les dernières innovations présentées au salon sont résolument tournées vers le digital. Parmi les plus

notables: les applications mobiles et le développement durable comme le toit végétal de

Beaugrenelle. Sous l’égide du CNCC, Conseil National des Centres Commerciaux, et au cœur du plus

grand quartier d’affaires européen, la Défense, le Siec, le salon de la distribution et de l’immobilier

commercial présente de quoi seront faits le retail, l’immobilier commercial et notamment les centres

commerciaux de demain.

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Réinventer vos expériences shopping

Et ces derniers se doivent de s’y prendre à l’avance quand on sait «qu’il peut se passer plus de 15

ans entre le projet et l’ouverture des portes», explique Julie Valode Rober, directrice du Siec. «A voir

les derniers nés Beaugrenelle (Paris) et Aéroville (Seine-Saint-Denis), l’évolution du centre

commercial est visible», ajoute-t-elle, loin des standards des promoteurs historiques français, plus

proches des malls à l’américaine. Et nouveauté cette année, un espace inédit, le Siec’LAB, est dédié

à cinq jeunes professionnels qui présenteront leurs créations avec un regard nouveau, intéressant car

pour la plupart «extérieur à la profession». Quelles sont les dernières tendances du mall idéal qui vont

réinventer votre expérience shopping?

> Le Hub. Le concept store connecté et évolutif du futur, qui s’anime en fonction du client et de ses

informations personnelles. A l’intérieur du magasin, à l’aide de la domotique (la domotique c’est

quoi?), l’ambiance musicale et lumineuse du magasin évolue, les présentoirs et portants changent,

une sélection personnalisée d’objets est disposée pour le client. Des applications mobiles et écrans

tactiles dans le magasin viennent accompagner l’expérience shopping.

> inSound. Des promotions géolocalisées basées sur le son. L’expérience shopping se personnalise,

les centres commerciaux réfléchissent à des magasins évolutifs qui s’adaptent à chaque client. Les

promotions également. Grâce aux smartphones et aux radios du centre commercial, l’équipe

d’inSound a créé une application permettant aux utilisateurs de recevoir des offres en fonction de

l’endroit où ils se trouvent et de ce qu’ils entendent. Vente-privee fait de même avec le Pass. Le géant

des ventes événementielles sur Internet a lancé à l’automne une application mobile de promotions par

géolocalisation. Ses abonnés reçoivent des offres dans les magasins proches de chez eux, via 5.000

enseignes partenaires.

> Le mur interactif. Des écrans tactiles et digitaux dans le centre commercial qui vont vous aider à

faire votre sélection de produits en fonction de votre profil et de votre budget -des informations que

vous aurez au préalable données dans une application dédiée. Pour consommateur pressé et indécis

en recherche de conseils.

> Livraison. Porter tous vos sacs de shopping boutique après boutique qui s’alourdissent au fil des

courses n’a l’air sympa que dans Pretty Woman. C’est désormais fini grâce à l’équipe de Livraison,

qui vous centralise vos achats au cœur du centre et les redirige vers un service de livraison qui vous

les envoie chez vous.

> Mappö. Les enfants au sein des centres commerciaux est un axe de développement majeur et

l’idée est de rendre l’expérience shopping ludique pour les enfants et pratique pour les parents. Les

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enfants peuvent s’amuser à l’aide de badges et de bornes connectées. «On pourra organiser par

exemple une chasse au trésor pendant les courses des parents», raconte Julie Valode Rober.

Source : 20minutes.fr

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E-cigarette: 10 nouvelles marques et 240

nouveaux arômes chaque mois Le 18/6/2014

Alors que la prochaine loi de santé publique pourra it interdire l'utilisation de la cigarette

électronique dans certains lieux publics, le marché de la "vapoteuse" est en pleine croissance

sur Internet.

Arôme "Chocolat", "Menthe", "Snack" ou même "Alcool", on trouve sur Internet plus de 7000 arômes

différents de cigarette électronique.

afp.com/Leon Neal

C'est ce qu'on appelle un marché en plein essor: chaque mois, sur internet, 10 nouvelles marques de

cigarettes électroniques et 240 nouveaux arômes font leur apparition, selon une étude publiée mardi

dans la revue médicale américaine Tobacco Control.

En étudiant uniquement les sites en langue anglaise, des chercheurs américains ont découvert

l'existence de 466 marques et de 7764 arômes disponibles sur inter net en janvier 2014. En

comparant à la situation existant au début de l'étude, en août 2012, les chercheurs ont pu montrer que

10,5 nouvelles marques et 242 nouveaux arômes étaient en moyenne apparus tous les mois.

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Parmi les arômes les plus populaires, l'étude mentionne les arômes fruités et chocolatés, mais aussi

ceux ayant un goût d'alcool ou de snacks. Mais alors que les marques les plus anciennes mettaient en

avant le côté plus sain de la e-cigarette ou sa contribution à l'arrêt du tabac, les nouvelles marques

insistent davantage sur les modèles et les arômes. "Il semble que les nouvelles marques ne

souhaitent pas être comparées aux cigarettes qui sont associées à l'image du cancer", souligne Shu-

Hong Zhu, directeur du Centre de recherche sur le tabac de San Diego (USA), l'un des auteurs de

l'étude.

Les défenseurs de la e-cigarette estiment qu'elle est utile dans la lutte contre le tabagisme, accusé

d'être responsable de six millions de décès dans le monde chaque année, selon l'Organisation

mondiale de la santé (OMS). Les autorités sanitaires de la plupart des pays restent toutefois

prudentes, soulignant que l'impact à long terme de l'utilisation de la cigarette électronique reste

inconnu.

Une autre étude publiée dans Tobacco Control rapporte pour sa part que quelque 29 millions

d'Européens auraient testé la cigarette électronique. La grande majorité d'entre eux étaient des

fumeurs ou des personnes souhaitant arrêter de fumer ainsi que des jeunes âgés de 15 à 24 ans. Les

opposants à la e-cigarette redoutent qu'elle ne devienne chez les jeunes une porte d'entrée dans le

tabac.

Source : L’Express.fr

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Baraques à frites : une espèce menacée ? Le 18/6/2014

A Bailleul, l’évocation d’un possible déplacement d e la baraque à frites installée depuis des

décennies sur la place principale a fait tâche d’hu ile en mai dernier. Pourtant, nombreuses sont

les villes de la région à repousser lentement mais sûrement nos friteries. Qui veut la peau de

nos baraques, véritable patrimoine régional ?

Les friteries du Nord – Pas-de-Calais vont-elles disparaître ? Photo : Stéphane Dubromel.

Ça frite à Bailleul ! Et bien. Résumé de l’histoire : il y a quelques semaines, le nouveau maire, Marc

Deneuche, lâche une drôle de confidence à l’un des éventuels acheteurs d’une des deux friteries de la

Grand’Place, qui est à vendre : il n’assure pas l’avenir de ces échoppes sur la place principale de la

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commune. Dans une lettre rapportée par La Voix du Nord, il écrit : “ Si je ne m’oppose pas à la

cession du fonds de commerce, je ne peux pour autant me prononcer favorablement quant à une

subsistance à long terme des friteries dur la Grand-place de Bailleul.” Des motifs patrimoniaux, de

mise en valeur de la place sont par ailleurs évoqués. Gros coup dur donc pour le vendeur… même si

le maire n’assure que rien n’est fait. Car qui désormais, va prendre le risque d’acheter ladite friterie,

qui fait pourtant partie du paysage bailleulois (demandez à vos aïeux lillois quand ils allaient à la

mer…) ? Du coup, les fritiers viennent de déposer une annonce sur Le Bon Coin. 22 500 euros, prix

négociable.

On peut pas (f)rire de tout. Et surtout pas de nos typiques baraques à frites vendant de la patate

fraîche cuite la graisse de bœuf, même avec leur déco parfois kitchissime. Devenues emblème

régional depuis la fameuse baraque Chez Momo immortalisée dans Bienvenue chez les Ch’tis, ces

caravanes des années 70 customisées sont-elles aujourd’hui à condamnées à disparaître ?

Lille, un désert de frites en devenir ?

A Lille, force est de constater qu’il n’y a plus de « vraies » baraques à frites. Mise à part peut-être à la

Citadelle, où la Friterie lilloise fait presque figure de derniers des Mohicans. Et pour cause : les

marchands ambulants doivent recevoir une autorisation de la mairie pour occuper l’espace public. A

Lille, c’est stipulé dans cet arrêté municipal, remplaçant celui de 1995. Il n’y a donc aujourd’hui qu’une

poignée de friteries mobiles (cinq !) dans la capitale des Flandres, ce qui étonne toujours les touristes,

obligés de s’excentrer pour aller à la recherche du cliché absolu…

Dans d’autres villes, c’est également un arrêté municipal qui fixe le nombre de friteries à ne pas

dépasser. Ou accordent des autorisations au cas par cas, avec une multitude d’obligations à la clef, à

commencer par celle de payer une redevance et aussi de nettoyer les alentours de son commerce,

comme le détaille une autorisation de la mairie d’Oignies votée en février dernier.

Même sur les terrains privés, ce n’est pas si facil e

Sans oublier que l’installation d’une roulotte ambulante reste à l’appréciation de la municipalité. Dans

un petit village des Flandres, à Flêtre, une friterie n’a plus reçu l’autorisation de s’installer à côté de

l’église, suite à des récents travaux de réaménagement du centre-ville, rapporte L’Indicateur des

Flandres. A Tilloy-les-Mofflaines, près de Cambrai, le maire avait refusé en 2011 l’arrivée d’une

baraque à frites sur la zone d’Actipôle, expliquait Certains fritiers contournent la règle en s’installant

sur un espace privé. Mais encore faut-il être bien situé… et être accepté des voisins. Dans le Pas-de-

Calais, nous avions rencontré un fritier qui venait de mettre clé sous la porte, malgré son installation

sur un terrain privé : “Le voisin était gêné par l’odeur. Il m’a fait tous les coups possibles. A force, j’ai

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lâché l’affaire“. Il aurait dû tenter l’aventure à Evin-Malmaison, dans le Pas-de-Calais près d’Hénin-

Beaumont. Ici, la mairie s’est réjouie d’accueillir une friterie en décembre dernier. « La frite du Nord

est une spécialité à préserver », écrit noir sur blanc l’article paru sur le site internet de la ville. Et peut-

être aussi à Lens, où un stade sans baraques à frites serait une hérésie : les Sang et Or peuvent ainsi

engloutir jusqu’à deux tonnes de frites à travers 25 baraques les soirs de grands matchs.

Si ça et là, quelques baraques à frites subsistent, de plus en plus de villes ont donc tendance à faire

place nette. Ces commerces ambulants qui servaient à nourrir les ouvriers au pied des usines sont de

plus en plus invités à s’installer en dur. Voire même à décamper. De plus en plus de communes

aimeraient voir ces commerces se sédentariser, s’installer dans des murs en dur, bref, rentrer dans le

moule des commerces traditionnels. Pire, certaines villes refusent carrément l’installation de baraques

au sein de certains périmètres. La preuve par l’exemple : à Boulogne-sur-Mer, La Semaine du

Boulonnais explique par exemple qu’on comptait jusqu’à une quinzaine de baraques à frites quai

Gambetta dans les années 80. Avant que les commerces sédentaires ne montent au créneau pour

limiter à cinq emplacements.

Hygiène, propreté, circulation…

Les raisons avancées pour chasser les baraques à frites hors des villes ? D’abord l’hygiène en

argumentant sur la propreté des alentours, sur les odeurs de frites ou encore sur les normes de

préparation des aliments. Viennent ensuite des principes de sécurité, les cuisines des baraques

tournant essentiellement au gaz. Plus récemment, la notion de « cadre de vie » s’en mêle : une bonne

vieille baraque à frites avec une déco maison, ça peut vite gâcher l’effet carte postale d’une jolie

placette. Et les voitures garées à l’arrache ne sont pas non plus les bienvenues.

A quand l’uniformisation ?

Un mal encore plus pernicieux guette nos sacro-saintes baraques à frites : leur uniformisation. On

retrouve de plus en plus souvent les mêmes sauces de la même marque, la même otarie bleue sur le

papier emballant la barquette, les mêmes petites fourchettes en plastique. Pire, on a parfois

l’impression de retrouver cette même saveur de frites surgelées, tellement industrielles qu’elles

possèdent toutes la même taille. Même les baraques à frites ont tendance à se ressembler. D’ailleurs,

elles sont désormais construites par des sociétés spécialisées comme Hedimag à Hazebrouck.

Nos friteries ambulantes, celles qui ont encore la liberté de changer d’endroit pour vendre des frites au

bord de la route ou dans des fêtes de village ou de famille, sont particulièrement en danger.

Concurrencées par les Food Trucks (leurs homologues américains qui n’ont finalement rien inventé).

Chassées des centres-villes par certaines municipalités. Honnis par les commerçants sédentaires ou

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le voisinage qui y voit une grave nuisance. S’il est impossible aujourd’hui de chiffrer le nombre de

friteries dans la région et le rythme de leur disparition, certaines estimations l’évaluait à 8000 dans les

années 70 contre 300 actuellement…

L’inquiétude de l’Internationale Phrituationniste

Pour tenter de sauver la peau de nos friteries, des amoureux des bâtonnets dorés ont donc été créé

une Amicale de la frite et même L’Internationale Phrituationniste. Toutes deux organisent des

évènements et des conférences pour ériger la patate frite en vraie philosophie de vie. « L’exil imposé

de ces établissements s’inscrit à n’en pas douter dans la tendance actuelle d’aseptisation et de

dépersonnalisation de notre société », explique cette dernière. « Cette logique de standardisation et

de nivellement par le bas qui durcit un peu plus chaque jour les règles en matière de restauration

ambulante et qui pousse de plus en plus de fritiers à s’installer dans des établissements “en dur”. »

Une association de soutien aux friteries en voie de disparition est-elle à créer ? Comment ériger la

culture populaire de la frite au rang de patrimoine ? Faut-il réfléchir à un classement gourmand, type

patrimoine immatériel de l’UNESCO ? Et surtout, que serait le Nord sans ses baraques à frites ?

Source : DailyNord.fr

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A propos de Kylia

KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle Génération : Le 1er réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents. Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses agents immobiliers. Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

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