bizteK* - Graphic design

Aurélien BidaudGraphiste D.A.freelance print & web

T 06 66 88 33 26F 01 49 29 48 44

M [email protected] www.biztek.fr

Exerce depuis 1998né le 15/09/197633 ans, célibataireNationalité Française

87 Av. Philippe Auguste75011 Paris

Portfolio PRINTPortfolio WEBPortfolio ILLUSTRATIONSPortfolio LABO

Aurélien Bidaud Graphiste D.A. freelance print & webT 06 66 88 33 26 F 01 49 29 48 44 M [email protected] W www.biztek.fr

Directeur artistique freelance depuis 2001, j’exerce avec de solides connaissances typographiques et une excellente maîtrise de la chaîne graphique.

Mon travail couvre tout autant la conception et la création, que l’exécution ou la résolution des difficultés techniques, et s’étend jusqu’au stade de l’impression, le suivi de fabrication et le choix de la papeterie.

Fréquentant avec passion le domaine culturel et artistique, je développe une activité de photographe et d’illustrateur.

Mon rôle m’apparait avant tout comme celui de conseil auprès de mes clients. Il consiste à pouvoir articuler ensemble les exigences d’un cahier des charges (parti pris artistique, faisabilité du projet, moyens financiers) avec un langage graphique respectant tout autant le patrimoine et l’histoire de l’enseigne que l’inscrivant dans une exception esthétique.

Faire en sorte que l’enseigne dispose toujours d’une longueur d’avance.

PRINTWEBILLUSTRATIONPHOTO

Conception et réalisation de tous supports à imprimer :Affiche / plaquette / brochure / flyer / magasine / livre / ...

Création d’identité visuelles :Logo / charte graphique

Web designer :Architecture de site / navigation / design / ...

Illustration : traditionnelle ou vectorielle

Photographie :numérique HD / retouche / studio / extérieur / ...

PRÉSENTATION ACTIVITÉS RÉFÉRENCES

CULTURELLES Hatje CantzFudó EditionsThierry VendômeCannibale caféGrignyWoodI stream TV

INSTITUTIONNELLESVille de MontrougeCentre Culturel CoréenMAC/VALVille de PantinVille de Clermont-FerrandConseil Général du Val-de-Marne

CORPORATES Alambret CommunicationRocheAstra ZencaPfizerSNCFQuelle Ville ?


BIENNALE D’ART CONTEMPORAIN90 ARTISTES DE 9 PAYS D’EUROPE À MONTROUGE Autriche + Espagne + France + Hongrie + Italie + Lituanie

+ Pologne + Portugal + Slovaquie

TOUS LES JOURSDE 12H À 20H

La Fabrique51 av. Jean-Jaurès

Montrouge (92)www.ville-montrouge.fr

www.jceforum.eu

26SEP25OCT2009

Pte d’Orléans Châtillon-Montrouge Jean Jaurès / Mairie de Montrouge

9 OCT Journée de tables rondes

14 OCT Journée interdite aux parents

17 OCT Vente aux enchères publique organisée par Maître Pierre Cornette de Saint Cyr

FRANCIS PICABIA

JCE - Jeune Création Européenne • Ville de Montrouge • Lauréat de l’appel d’offre « création de l’identité visuelle de l’exposition Jeune Création Européenne »


VIDE & PLÉNITUDE • Centre Culturel Coréen • Création de visuel / catalogue de l’exposition / invitation

VIDE & PLÉNITUDE/////////////////////////////////////////////////////////////// Zong-Dé AN / LEE Bae / SHIN Sung-Hy / U Sunok ///////////////// Rémy HYSBERGUE / Dominique PERRAULT / Georges ROUSSE / Michel VERJUX

2, avenue d'Iéna - 75116 ParisTél. 01 47 20 83 86www.coree-culture.org

vide & plenitude - catalogue couv+.indd 1 01/04/2009 20:08:11

12 13SURFACE I LEE Bae

Pierre Soulages l’a souvent répété : ce n’est pas le noir qui l’a intéressé mais la façon dont le noir fait réagir la lumière, dont

il la projette au devant de la toile, dont il la modifie en fonction du déplacement des spectateurs. Il en est de même avec Lee Bae, mais à l’inverse: ce ne sont pas les espaces blancs ou crème, pourtant immédiatement visibles, qui lui importent mais la manière dont ils permettent un puissant contraste avec les continents noirs peints dans ses tableaux. Depuis ses débuts, en effet, le principal sujet de Lee Bae est le noir. Ce noir qui rappelle ses origines asiatiques, l’encre de chine, la calligraphie et qu’il a d’abord abordé avec du charbon de bois, un matériau lui-même très caractéristique de la culture coréenne. Après avoir travaillé ce charbon pendant une dizaine d’années, Lee Bae s’en est libéré au début des années 2000 pour lui substituer .... du charbon de bambou qui mélangé à de l’eau dans un premier temps puis, dans un second, à du médium acrylique est encore plus noir et plus dense. Car au delà de la symbolique du matériau, c’est toujours cette quête du noir qui anime la démarche de Lee Bae. Ce noir qui, comme le trou noir avec son attraction gravitationnelle dans le domaine de l’astrophysique, attire ici inexorablement le regard et devient un fabuleux réservoir d’énergie.

Alors pourquoi cette attirance si forte et même cette nécessité du noir ? Tout simplement parce que jusqu’à maintenant il est la seule couleur que Lee Bae ait trouvée pour évoquer justement les notions de densité et d’énergie qui sont les vrais centres de son travail. Là encore, Lee bae n’a jamais dévié et est resté concentré sur ces concepts depuis qu’il est artiste. Seule variante toutefois: au départ, il peignait des corps humains, dans une forme simple, presque stylisée, pour condenser l’image de la vie. Mais petit à petit, Lee Bae s’est détaché de cette figuration pour se débarasser de tous les aspects narratifs voire anecdotiques qu’elle engendre nécéssairement et s’est tourné vers des formes abstraites. Le résultat n’était pas acquis à l’avance. Pourtant Lee Bae a réussi à donner à ses taches, signes, gestes encore plus de force et de vitalité. Et ce, précisément par une attention encore plus grande accordée aux noirs. et aux rapports d’échelle entre ces formes noires et l’espace clair, couleur de cire et de cierge, qui les entoure. Et pour peu qu’on prenne le temps de bien regarder ces noirs, on se rend vite compte de leur formidable capacité à nous embarquer dans leur incroyable profondeur. Au point d’ailleurs qu’on se demande comment et de quoi ils sont fait. La réponse est le temps. Il faut avoir vu Lee Bae travailler pour comprendre à quel point cette profondeur du noir suppose la superposition de plusieurs strates, de plusieurs couches de peinture sur la toile. Car même si Lee Bae est obligé, pour des questions techniques ( notamment celles qu’imposent l’étalement du médium) d’intervenir rapidement, chaque œuvre nécessité plusieurs passages, tel un rituel, ainsi qu’ un certain temps de séchage et de métamorphose au cours duquel le noir remonte pour mieux se renforcer. C’est d’ailleurs également en voyant l’artiste travailler que l’on découvre, contrairement à ce que l’on pourrait croire, que les formes noires ne doivent rien au hasard. Elles sont généralement préalablement réfléchies sur papier et ensuite plusieurs fois répétées à l’identique au fil des différentes couches constitutives de l’œuvre. Il n’y a ici, pour chacune de ces formes, même lorsqu’elles sont constellées, aucune déperdition d’énergie dans des gestes incontrôlés. A l’inverse, c’est la précision et l’attention portées à leurs contours qui leur donnent toute leur tension, leur vibration, leur au-delà et permettent au noir de s’enfoncer vers une profondeur infinie d’où semble remonter au final une étonnante lumière. [...]

Henri-François DEBAILLEUX

LEE Bae

SURFACE

acrylique medium, noir de charbon sur toile, 162 x 130 cm, 2008

26 27OUVERTURE I Dominique PERRAULT OUVERTURE I Dominique PERRAULT

Universite d'Ewha, Séoul, Corée du Sud, 2008 photos : © André Morin

36 37

Georges Rousse,éloge du génie des lieux

Imaginons un seul instant toutes les images de Georges Rousse soudainement privées de ce surplus iconographique que l’artiste affecte aux lieux dans lesquels il intervient ; Que verrions-nous ? Des espaces vides, le plus souvent désaffectés. L’œuvre de Georges Rousse s’offrirait alors à voir comme un grand livre d’images qui organiserait une sorte d’inventaire d’espaces architecturés. Des espaces de toutes sortes et de toutes natures : bureaux, dépôts, hangars, lieux d’habitation, sites industriels, etc., les uns en attente de destruction, les autres de réaménagement. Ce jeu iconographique ne vaudrait alors que pour inviter le regardeur à prendre la mesure du principe d’occupation qui règle le travail de l’artiste. Une façon aussi de mieux entrer dans l’univers artificiel mais non moins poétique qu’il crée, en s’appliquant à en décortiquer la savante organisation. Car tout est là chez Georges rousse : il ne s’agit jamais d’apparence mais d’essence, voire de quintessence. Le regard hâtif qui se contenterait d’un simple coup d’œil, c’est-à-dire qui se suffirait du paraître, resterait toujours dans l’en deçà du travail. Pis, dans son ignorance. Aussi, face à ses images, force est au spectateur d’y porter un regard soutenu, faute de quoi il ne les appréhenderait que de manière handicapée. Surtout il n’en percevrait pas ce qui en fait la substance, à savoir ici le génie des lieux […]

Philippe Piguet

in : Georges Rousse. Tour d’un monde [1981-2008], Actes Sud, 2008.

Georges ROUSSE

LIEU I Georges ROUSSE

LIEU

Rouillé, photographie, tirage lambada, 124 x 158 cm, 2001

42 43LIEU I Michel VERJUX LIEU I Michel VERJUX

Double projection dos à dos, mi-rasante mi-frontale (sources au sol), 2007 (detail),Courtesy Galerie Jean Brolly

Poursuite au mur, calage haut-bas A n°1Eclairage : projecteur à découpeCollection privée, ParisPhotographie : André Morin Exposition personnelle : Musée municipal,La Roche-sur-Yon, 1991

En bord de mer : la piscineEclairage : projecteur à découpeCollection privée, ParisPhotographie : André MorinExposition personnelle : En bord de mer, Château de La Napoule,CCAS France, du 19 au 26 mai 2007.

Poursuite croisée, fragmentée sur quatre plans Eclairage : 2 projecteurs à découpe

Collection privée, ParisPhotographie : André Morin

Exposition personnelle : galerie Lilianeet Michel Durand-Dessert, Paris, 1990.


SCHIZE & FRONTIÈRES • Centre Culturel Coréen • Catalogue de l’exposition / invitation

CHOE JunhoDirecteur du Centre Culturel Coréen

au Centre Culturel Coréen2, avenue d'Iéna - 75116 ParisTél. 01 47 20 83 86 - www.coree-culture.org

vous prie de bien vouloir honorerde votre présence le vernissage de l'exposition

le vendredi 20 mars 2009 à 18h

Exposition du 18 mars au 15 avril 2009du lundi au vendredi de 9h30 à 18h (le jeudi jusqu'à 20h)et le samedi de 13h à 17h

de Daphné NanLe Sergent

Daphne - carton 3.indd 2 06/03/2009 14:37:54

Dans Soswaewon (jardin créé dans les années 1520-30 à Damyang gun, Corée Sud, qui signifie « le jardin d’eau claire », métaphore renvoyant à l’idée de l’homme pur et clair), l’entrée d’Ogok est sans porte et, à côté, sous le mur, deux trous permettent au torrent de passer à l’intérieur du jardin. L’intérieur et l’extérieur sont séparés par le mur mais liés par la porte d’Ogok, toujours ouverte par le courant d’eau. L’espace de Soswaewon est à la fois fermé et ouvert, limité et illimité. Kim Inhu, philosophe néoconfucianiste et poète (16ème siècle), écrivit 48 poèmes sur Soswaewon qui furent affichés sur un des murs du jardin puis gravés sur des tableaux de bois en 1755. 14ème Chant« Le torrent qui passe en dessous du mur.Pas à pas, en regardant l’eau,Et en marchant, je récite un poème. Ainsi mes pensées deviennent plus calmes.L'on ne remonte pas à la sourceSans penser on regarde l’eau qui coule par les trous du mur. »

Au début des années 1990, Alexandra Park constitue une limite de l’expansion des catholiques de New Lodge et un terrain libre propice aux affrontements. Les émeutes de l’été de 1994 n’ont pu être contrôlées ni par la police ni par les communautés. L’Irish News du 23 septembre 1994 relate des batailles rangées entre des bandes rivales, qui impliquaient des adolescents et des enfants, parfois de neuf ans à peine, se battant à coups de pierre et de coktails molotov. Les désordres ont amené la police à décider la coupure du jardin public par une barrière de sécurité en septembre, les deux communautés donnèrent leur accord.

PhotographieTirage noir et blanc sur papier baryté brillantcontrecollé sur aluminium, 150 * 150 cm

Diptyque de photographies2 tirages noir et blanc sur papier baryté brillantcontrecollé sur aluminium, 150 * 108 cm chaque


NOCTURNES • Ville de Clermont-Ferrand / Hatje Cantz • Identité visuelle de l’exposition : Affiche / beau livre / invitation / carte postale / sticker

Déambuler de nuit dans une ville, c’est prendre le rythme de la flânerie, éveiller ses sens pour distinguer ce qui ne se discerne qu’à force d’attention, et se laisser porter par ce que l’on rencontre. Avancer guidé par les halos de lumière des lampadaires, faire quelques pas vers des zones plus sombres, être happé par une réalité quotidienne transfigurée. En choisissant de travailler de nuit pour cette commande photographique sur Clermont-Ferrand, Jürgen Nefzger s’est inscrit dans une longue tradition du paysage nocturne dans laquelle l’artiste prend ses distances avec la vision diurne et plonge dans l’obscurité en quête d’un autre accès au monde. L’histoire de la peinture regorge d’exemples de représentations de la nuit, comme celles célèbres du Caravage ou de Georges de la Tour, poursuivant dans les ténèbres la présence du divin. Mais la démarche de Jürgen Nefzger se rapproche plutôt de celle de Johan Christian Clausen Dahl qui, au XIXe siècle, peint des paysages où les vues urbaines se détachent par la sombre densité de leurs bâtiments contrastant avec des ciels chargés de luminosités étranges. Dans les peintures nocturnes, le monde est saisi dans un calme silencieux, peu mouvementé, où le mélancolique vient chercher le repos, et le désespéré la révélation de vérités enfouies. La photographie s’aventurera à son tour dans ce rapport particulier au réel où les sentiments d’apaisement comme d’angoisse se retrouvent exacerbés, et où la vision découvre d’autres horizons.

Dans Nocturnes, on s’approche d’une ville plongée dans un état de veille, immobilisée dans l’entre-deux de l’agitation urbaine. À travers cette nouvelle série, Jürgen Nefzger propose un cheminement qui explore l’envers d’un espace du quotidien, dans l’incertitude et le plaisir de la découverte. De photographie en photographie, on suit une avancée solitaire qui, tout en partant des hauteurs des volcans pour se diriger vers le centre de la ville, se soucie moins de suivre un parcours que de se laisser envahir par une atmosphère nocturne. On s’enfonce progressivement dans Clermont-Ferrand, qui s’étend au creux de la chaîne des Puys, guettant les premières lueurs d’une aube qui ne poindra pas.

Cheminementŋοcturne


QUELLE VILLE ? • Identité visuelle : Logo / papeterie / gabarits word et powerpoint


LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES • Astra Zenca / Roche / Pfizer • Illustrations / plaquettes / brochures / journaux / affiches / invitations


PHOTOS & LÉGENDES • Ville de Pantin • Identité visuelle de l’exposition : Photo / affiche / communiqué de presse / invitation / programme / signalétique

Théâtre du Fil de l’eau | Le Pavillon | Ciné 104 |La Dynamo de Banlieues bleues

Alexandra Sà - Sylvie Bonnot - Julie Chovin - Gérard Dalla Santa - Christian Globensky - Patrick Hébrard - Collectif La Valise - Tom Mays - Bernard Moninot - Côme Mosta-Heirt - Sporto Kantes Collection publique d’art contemporain du Conseil général de la Seine-Saint-Denis

Collection du Frac Île-de-France

Si, comme le dit Edgard Morin, dans l’An I de l’ère écologique, le mot écologie renvoie à l’environnement et à la nature, il englobe aujourd’hui le terme écosystème qui comprend l’environnement physique et les espèces vivantes qui s’y confrontent, associés et complémentaires. Un ensemble combinatoire en résulte : le problème écologique nous concerne non seulement dans notre relation à la nature, mais aussi dans nos relations à nous-mêmes. Les propositions inédites des artistes invités dans cette quatrième édition du festival Photos & légendes sont à voir dans ce qui est tissé ensemble. Se pose alors la question de l’individu face à la globalisation de l’économie, des échanges (scientifiques, communicationnels…), celle de la particularité et de l’identité individuelle. Les œuvres produites s’épanouissent dans une pensée globale ou plus modestement parfois dans des constructions à l’échelle du corps. Les interrogations qu’elles portent rejoignent celles liées à l’énergie, au transport, à l’habitat, à l’alimentation, au rapport ville-campagne, au travail, aux rapports nord-sud... Petites écologies de l’intime est le titre générique d’un projet artistique qui s’inscrit peut-être avant tout dans le domaine de la poésie. Fera-t-il apparaître les prémices de la construction d’une écologie nouvelle qu’Edgard Morin énonce en trois principes d’espérance quant à son évolution : celui de l’improbable, celui des nouvelles possibilités de l’homme, celui enfin de la métamorphose ?

Hervé Rabot, directeur artistique

Références : L’An I de l’ère écologique (éditions Tallandier. Histoires d’aujourd’hui. 2007).

EcosystèmesPetites écologies de l’intime

93-PROMO-Q

FestivalPHOTOS& LEGENDES À Pantin

cartel - pavillon.indd 1 05/11/2007 12:23:11

4Aurélien Bidaud ::: Portfolio

FESTIVAL PHOTOS & LÉGENDESCOMMANDITAIRE : Conseil général de Seine-Saint-Denis© Photos : Aurélien BidaudAffiche 40 x 60 et programmeOffset, quadri�007

Réalisations

Ville de Pantin

84/88 avenue du Général Leclerc 93507 Pantin Cedex

T. 01 49 15 48 19

M° Hoche (ligne 5) / RER E arrêt Pantin

Festival produit et organisé par la ville de Pantin

Direction artistique :

Avec le soutien de la

et du

.

En partenariat avec la

,

le

.

Contacts

18, rue du Congo

M° Hoche (ligne5) / RER E arrêt Pantin

20, rue Delizy

M° Eglise de Pantin (ligne 5)

9, rue Gabrielle-Josserand

M° Aubervilliers – Pantin – Quatre-Chemins (ligne 7)

Infos pratiques

Sporto Kantes / Collectif La Valise

La Dynamo de Banlieues Bleues

Sporto Kantes

Collectif La valise

Collectif La valise

Sporto Kantes

Collectif La valise

Vendredi 30 juin Clôture du festival à 20h

Gérard Dalla Santa

????????????Photographie

Le Pavillon

Le paysage et l’automobile

sont des représentations sur

ce qui nous est donné à voir

du monde, où l’homme

dans son individualité, vraie

ou forcée, est pièce d’un sys-

tème. Dalla Santa nous parle

donc d’instabilité, de mutations, de désordre et d’intangibilité

et par la même de la place de l’homme dans le monde. Il reste

qu’au-delà de l’image documentaire son œuvre photographi-

que sur le paysage laisse avant tout découvrir une démarche,

qui reprend la posture des peintres réalistes tels Pierre-Henri

de Valenciennes, Corot ou Pissarro, dans un équilibre entre

modernité et tradition, éphémère et instabilité.

Jeudi 8 novembreAlexandra Sà ????????????

«Je propose une installation à parcourir dans le Pavillon transfor-

mé en une sorte de chambre noire, en un dispositif photographique

accentuant certains points de vue sur les alentours et jouant avec no-

tre rapport de perception des lieux à l’intérieur comme à l’extérieur

du bâtiment.»

Action culturelle

Le Pavillon

Jeudi 8 novembre

Œuvres choisies

Théatre du Fil de l’eau

Julie Ganzin / Mac Adams / Walter Niedermayr / Jean-Luc Moulène / Yves Trémorin /

Mireille Loup / Mark Leckey / (18 mn dvd, edition 1/5)Tatiana Trouvé /

(Ciment, fer, silicone, plastique / 150x340x140)

••••••••

Jeudi 8 novembre

Collection du Fonds Régionald’Art Contemporain d’Île-de-France

Vik Muniz /2004Sandy Skoglund / 1991Yves Tremorin / Massimo Vitali / 1995

••••

Collection publique d’art contemporain du Conseil généralde la Seine-Saint-Denis

Vernissage à 19h30

Bernard Moninot

La mémoire du vent

Action culturelle

Théatre du Fil de l’eauJeudi 8 novembre

Vernissage à 19h30

Christian Globensky et Tom Mays

Retour de force

Théatre du Fil de l’eauJeudi 8 novembre

Vernissage à 19h30

Patrick Hébrard

???????

Jour de colère - 2006

Jour de colère

Suspendre l’activité (vidéo sculpture 5)

Théatre du Fil de l’eau

Jeudi 8 novembreVernissage à 19h30

Sylvie Bonnot

Square

Théatre du Fil de l’e

au

Jeudi 8 novembreVerniss

age à 19h30

l’An I de l’ère éco

logique

Petites éco

logies de l’i

ntime

Hervé Rabot,

Écosy

stèmes

Petites

écolo

gies d

e l’in

time

Bertran

d Kern

,

Mair

e de P

antin

Conseille

r gén

éral d

e la Sein

e-Sain

t-Den

is

Nathali

e Berl

u,

Adjointe au

mair

e

délégu

ée à l

a cultu

re et

la Communica

tion

Édito

UNE

direction de la communication - octobre 2007


Newsletter Automne - hiver 2007

vous souhaie une belle et heureuse année

Spécialistes dans le domaine des arts, de la culture, du tourisme et du patrimoine nous sommes là pour élaborer vos stratégies, coordonner vos campagnes de communication, créer votre identité visuelle, gérer vos relations presse, organiser vos manifestations, développer votre réseau et enrichir votre notoriété.

Un programmetrès varié pourcette nouvelle saison haute en couleur !

ParisPerles, une histoire naturelleMuséum d’Histoire NaturelleDu 25 octobre 2007 au 10 mars 2008

Après New York, Sydney Tokyo, Abou Dhabi, l’exposition « Perles, une his-toire naturelle » est présentée à Paris, et pour la première fois en Europe. Ainsi, de part la présentation de créa-tions d’artistes provenant d’époques et d’univers très différents tels que Mademoiselle Chanel, Cartier, Lanvin, Van Cleeff & Arpels ou plus proche de notre époque Daniela Baumgartner

ainsi que des pièces exceptionnelles de la maison Miki-moto ; nous découvrons l’histoire et la science des per-les jusqu’à leur transformation en objets somptueux ; en nous interrogeant sur une activité écologique attentive à son environnement.

Regards Croisés,Kilims et Arts premiers d’AfriqueEspace Chevalier, Viaduc des Artdu 25 octobre 2007 au 28 février 2008 Pour sa première exposition, l’Espace Chevalier, galerie d’art spécialisée dans l’exposition de Kilims anciens pro-pose un point de vue surprenant, né de la rencontre entre deux collectionneurs atypiques. « Regards Croisés » présente un dialogue entre deux do-

maines en apparence éloignés : l’Art premier d’Afrique et les kilims d’Ouzbé-kistan, d’Iran et du Caucase.Cette exposition est issue des regards de trois collectionneurs, François René, Edith Vignes et Pierre Chevalier, qui se confondent dans une même vision de l’art, entre tradition et modernité

Laurent Saksik,Patch / Le crime d’ActéonMusée de la chasse et de la nature, Parisdu 11 septembre au 23 décembre 2007

Le Musée de la chasse et de la nature continu a accordé une place importante à l’art contemporain en accueillant « Patch » une installation lumineuse de Laurent Saksik dédiée au mythe de Diane et Actéon. Accrochée comme une tapisserie aux mesures insensées de 11 mètres de long sur 3 mètres de haut, elle occupe ainsi tout un mur de la salle principal.

Eveiller vos 5 sensen Seine et MarneTrois expositions : Nemours du 20 octobre au31 décembre 2007, Vulaines-sur-Seine jusqu’au23 décembre 2007, et Saint-Cyr-sur- Morin du11 novembre au 31 août 2008 Cet automne en Seine et Marne découvrez trois exposi-tions pour éveiller vos cinq sens. Ces expositions donnent une place privilégier aux publics handicapés, mettant ainsi tous les visiteurs sur un pied d’égalité dans la découverte des œuvres.Au programme, « Ferme les yeux dans le noir pour voir la préhistoire » au musée départemental de Préhistoire d’Ile de France, une exposition dans le noir pour voyants et mal voyants. « Micmacrocosmes » au musée départemen-tal Stéphane Mallarmé, une présentation de la collection d’objets insolites et merveilleux de Vincent Vergone. Et, l’exposition « fromages de Brie », au musée départemental des Pays de Seine et Marne

NordRouen, première ville de Francedéterminer à restituer une tête Maori au gouvernement néo zélandaisMuséum de Rouen - Le 23 octobre 2007Au 18ème siècle, lors de la colonisation de la Nouvelle Zélande, les européens se fascinent pour ces têtes tatouées, qu’ils qualifient d’objets de curiosités et de collection. Mais hé-las, s’ensuit un véritable commerce barbare.Aujourd’hui, nombre de ces têtes sont encore dispersées dans les musées européens et aux Etats-Unis. Soucieux de permettre à ces ancêtres de retrouver la paix, le peuple Maorie réclame leur restitution. La ville de Rouen espère encourager d’autres villes de France à restituer les têtes maories conservées dans leurs musées, s’appuyant sur la loi en faveur de l’éthique.

OuestCréation de vitraux contemporains dans la ville de BrioudeBasilique Saint-Julien, de la ville de Brioudede juin à décembre 2007A l’occasion d’une importante campagne de restauration, la ville de Brioude a lancé un concours international pour la réalisation de vitraux contemporains de 37 baies de la basilique Saint Julien.L’artiste coréen Kim En Joong, reconnu dans le monde en-tier pour son travail sur le vitrail, as-socié aux ateliers Loire de Chartres, a été sélectionné pour ce projet de grande

ampleur. Il crée ainsi pour Brioude un ensemble de vitraux : des œuvres, des peintures abstraites, à la recherche d’une harmonie totale entre la couleur, la lumière, l’architecture

et le travail du verre, soutenant et provoquant ainsi la sensibi-lité et l’apaisement dans une quête vers la prière.

VŒUX • Alambret communication • Création d’un système original de carte de vœux comprenant une newsletter d’information


cannibale-prog-dec-2008.indd 1 21/11/2008 15:38:21

cannibale-prog-janvier 2009.indd 1 16/12/2008 16:15:10cannibale-prog-mars 2009.indd 1 20/02/2009 18:11:09

CANNIBALE CAFÉ • Photos et graphisme pour les flyers mensuels

cannibale-prog-Oct 2009.indd 1 16/08/2009 20:48:07

cannibale-prog-Mai 2009.indd 1 23/04/2009 14:07:54

cannibale-prog-Oct 2009 2.indd 1 01/09/2009 15:46:15


JOURNÉE INTERNATIONALE DES FEMMES • Conseil Général du Val-de-Marne • Invitations / illustrations


Sand

y Am

erio

, Ba

semen

t, v

idéo

proj

ecti

on,

15’,

200

7, ©

Pho

to S

andy

Am

erio

Homo economicus

Musée d’art contemporaindu Val-de-Marne / Vitry-sur-Seinewww.macval.fr/zpc

6 expositions du 2 février au 29 avril 2007

Alain Bernardini «Eh Didier t’as récupéré la clé de 7» ou Comment faire ce qu’on a vraiment envie de faire Pascal Pinaud Plates-formes

Raphaël Boccanfuso ©opyright Daniel Firman Chute libre Élodie Lesourd Obituary Sandy Amerio Psyops

mac/valMusée d’art contemporaindu Val-de-Marne

ZPC 1 & 2 • MAC/VAL • Lauréat de l’appel d’offre « création de l’identité visuelle des expositions temporaires » / Affiches / DP-CP / invit. / flyers / newsletters


Place de la Libération94404 Vitry-sur-Seine

claude lévêquedu 19 mai au 10 septembre 2006

www.macval.fr

épisode i :

FRIANDISES INTERIEURES / la suite - Château Thierry28 mai au 9 juillet 2006

la maison des mensonges / mac marseille

2 juillet au 24 septembre 2006looping / centre d’art parc saint léger - pougues-les-eaux8 juillet au 1er octobre 2006

© Avec l’aimable autorisation de Cécile Aubry et de Mehdi El Glaoui

LE GRAND SOMMEIL • MAC/VAL • Affiches 4x3 pour l’exposition de Claude Lévêque


26 27

cinéma

6 7

centre de documentation...... 39

collection.............................. 9

expositions temporaires....... 15

publics..................................... 21

cinéma...................................... 29

restaurant / librairie............ 43

calendrier des événements.. 45

mode d’emploi.......................... 51

© Pauline Turmel

Phot

o : A

urél

ien

Bid

aud

mac/valmusée d’art contemporaindu val-de-marne

programmeavril / mai /juin 2006


Pho

to :

Paul

ine

Turm

el

22 23

LES VF ou VISITES FIXESLe MAC ou Midi Art Contemporain

Pour ceux qui ont faim d’art.| À 12h30 tous les mardis

La PVC ou Parcours-Visite des Collections

Pour ceux qui en veulent plus.| À 15h les mercredis impairs

L ’ETC ou Exposition Temporaire Commentée

Pour ceux qui en veulent encore plus.| À 15h les mercredis pairs

La VVF ou Visite à Voir en Famille| À 16h tous les samedis

La VSD ou Visite Surprise Dominicale| À 16h tous les dimanches

Les Visites Fixes des collections et des expositions temporaires sont ouvertes à tous sans réservation et gratuites avec l’achat dubillet d’entrée au musée dans la limite des places disponibles.Se présenter à l’accueil du musée 5 min avant le début de la visite.

LES LABORATOIRESD’ART CONTEMPORAINÀ partir de 16 ans – sur inscription,15 participants maximumLes Laboratoires permettent au public une rencontre privilégiée avec un artiste et sa pratique dans le cadre des ateliers du musée. L’artiste Fanny Adler vous entraînera dans son univers poétique, questionnant le rapport entre son et image, vous invitant à voir comment se fabrique le sens, par le montage, la création sonore et les images.| Les jeudis 5, 12, 19, 26 janvier de 19h à 21h le jeudi 2 février 2006 de 19h30 à 21h participation aux frais : 2 euros par séance Réservation : 01 43 91 64 23, [email protected]

ACCUEIL DES GROUPESCONSTITUÉS SUR RDVLes comités d’entreprises, associations, partenaires culturels et sociaux, collectivités locales et qui veut…, sont accueillis au MAC/VAL, sur réservation, pour des visites thématiques des collections et des expositions temporaires.| Visite gratuite avec l’achat du billet d’entrée au musée Réservation : 01 43 91 64 23, [email protected]

ATELIERS ET RENCONTRESÀ DOMICILELe MAC/VAL conçoit et anime des ateliers et rencontres pour les publics empêchés : enfants et adultes hospitalisés, personnes âgées en foyer ne pouvant se déplacer, détenus en maisons d’arrêt, etc.| Prendre contact auprès de l’équipe des publics : 01 43 91 64 23, [email protected]

Jean-Luc Bichaud, 2004Arrangement n°18, souligner© Adagp, Paris 2005Photo : Rémy Bosquère

9

collection

OrlanProfil de femme MangbetuSelf-Hybridations africaines.et profil de femme Euro-Stéphanoise, 2002© Adagp, Paris 2005

programmejanvier / févriermars 2007


PROGRAMMES TRIMESTRIELS • MAC/VAL • Photos / graphisme

collection

Vladimir SkodaKora, 1996© ADAGP, PARIS 2005Photo : Franta Barton

98


PLAN • MAC/VAL • Illustration / graphisme


VŒUX & INVITATION • Président du Conseil Général du Val-de-Marne • Illustration / graphisme haut gauche © Pierre Buraglio / haut droite © Jacques Monory


LOGOS

Design

bizteK* - Graphic design