4
69me Année. No 11, BUREAUX : Rue Saint-Rome, 44. POLITIQUE T LITTÉRAIRE tJOIIEIEIiTE : TOULOUSE U. an,, 40 f. 6 mai., 61 f. T maia, 11 L i EMPORTEMENTS - 50 - 26 - 14 IFRANGEER .',_ trad. appl6mentatra de poste eu au. I Oa rasta aaoallYRelale78 ea ses "tentasse . TOULOUSE Lues Bunoexu du Journal, r.e Saint-Aome, 4i. Chou M. Hava,, J. J. Romaeaa, T ; et si, F 1 R 1 h,, MM. Laffite-hallier et pplace de la B,nrso, 8; M. Fontaine, rue de Tréviu, as, Seul, Correspondante pour le. Amouae.. TouLOUSR, 14 Janvier BOURSE DE PARIS du 13 Janvier. Au CoaT . Valeurs dis. Cours du bar Coupa crée. 3 0)0 4 an 53 05 4 1/2 0/0 79 n. 79 . 5 ()/0 8g 4o 87 95 5 010 libéré, 86 25 85 85 . A T.... 3 010, 1. 000es 53 87 53 75 5 0/ll d ,ours 5/i) 12 53 0!i 5 II/p 1 cours 88 20 88 05 5 II/0 il-, cours 88 47 88 22 5 II/11 ital. 65 67 65 60 Ban.luo 4,340 .. 4.330 Fourierer 55411 n 835 41`2 50 Mobili3 7! 1 Mob. lisp: 487 50 480 ., CN..Ins os 1.a. Orléans 855 a. r Nord l178 75 980 . Lyon 855 , 855 Midi 580 A lrichi us 768 75 773 75 i.umbarda .,. , BOURSE DE TOULOUSE du 73 Janvier. A. CouinanT. 5 0/0, 88 05 5 B/0 libéré 85 95 86 15 Emp. Morgan et Cie 502 50 Carmaux 450 OarussdRS Dlvxesaa: Midi 270 25 Ottomanes (1869) 32625 tmmobiliSes 67 50 DÉPÊCHES TELËGRAPIIIQL:L,S. Rome, le l1 janvier, soir. Le roi a yé un télégramme de condoléanee """I à l'impératrice Eugénie. Madrid, le 12 janvier. La Correayondencia croit sou ir que l' x= mpéeatriae Euegéuie vendra pas résider en I:spag f et qu éll, restera à l'étranger pour soigner l'éducation de son file. Usus une dernière rencontre, la bande da Cacalu a eu 1 u morts et 20 blessés, sans compter les blesse. qu'elle a emme- née. On lui a l'ait 30 prisonniers. Après un coseil des ministres, sous la présidera e de roi, les ministres ont trou antre eux cm autre conseil usiez long. FEUILLETON du JOURNAL de TOULOUSE du 14 Janvier 1873. LE SERMENT DE MADE LEINE XIII Da$-xfoi, D.a 1.I9. (Suite). En partant, Justsu avait dit à Madelei- ne Notre bnnlyeur dépend de toi, ma mère ! tille n'avait garde de l'oublier. Sa provision de cadence et de Roua était reloue. Elles, remit Passant ii), choque ' di- 0 nids de Vittel et des au -moi, cherchant de nouveau, cherchant "Uni nurs. Pou i la aecouder, -Ion bé se trouvait maintenant 5005 sa maiS"ers la tin de la saison des eaux, il avait at11 à maitre Jean - Me voici sans emploi..... F.'ouvra- ge vous revient... Ménagea do'.c v forces et prenez-moi régulièrement à l'atelier, non plus comme manmuvre, mais comme apprenti. C'est honirIsu. à men 6ge de ne pas savoir un émt:. Vous me don serez seulement la soupe.. et je vos aurai reconnaissance encore I ge d s 'Aeelme. P, si vous faites de moi un vrai menui- Madeleine secoua la téta d'un air de si doute. Il ly avait du vrai dans ce raiso..e- - Quoi I RI Rayant, rien encore ?.. ment ; mai. ce que le digne garçon n â- - bien ! autail pas, ce qui le guidait surtout, c'é. I 31 chaud n'était pas b ; Il travaillait HEURES DES DRPARTS ET DES ARRIVAIS DIS ?RAJAS DIS EEEInMS DD FER DU MIDI ET D OIIRRAN9 (.Sarcle, d'IIQ; n,n ...oxauz. Depup. An( Maln, minait {5 Baya., 3 13 Ratio, 6 70 M..n,(Agen)8 68 Matin, (Expr.) l1 son (Ezpel l {6 soir 1 88 foie, , 8 88 soir, . Lion, a 70 soir l0 40 lo n n sons Matin, 3 40 Matia,(c.ra) B 55 Matin. 6 00 Mai. Exp) l0 30 La COrrerpondueeia croit que les questions traitées dans ces deox con- seils ont trait à l'ordre public, aux finan- .et ces et aoæ colonies. Le mémo "aal dit quo des résolu- en' ont été prises. lune Des i dde 'i-" itaillons de volontaires mo- bilisés sbrganisent à Madrid. Madrid, le 11 janvier. Le cahecilla fédéral Pallon a été tué. Irons la prov ince de Volencia, les so- lontaires et les habitons d.svillagea pros- sieut une attinude déeidé,'et'hostile aux insurgés, ils les combattent énergique- me.t Madrid, le 11 janvier, quatre heures du sô oso'n's eencnn les ont eu lleo entre PI I s troupes Ies rn divine. r, bacille de blely est m mort en du - os la oe e la onil.e de blessures revues dans la lutte. Palloc a été tué dans la province de Macrin. Fagota a 618 tué aussi. Les boudes de Sabalis, Hnguel et de Cucala out été miens en déroute ,prés avoir eu que osa homme, tués et soles. sus. Le colonel NavascuAs a dispersé ans m Navarre la boude UIIn et a repodussé vaillamment la bande 'l'allada. Berlin , le 12 janvier. Le Post, dans an article fore remarqué, expose que le dogme de l'infaillibilité i ostiménlu noavolle religion à l'égard delaquelle Trot n'est pas tenu à clos d'obligatiovs qu'à l'égard des antres con- fessions religieuses nouvelles qui pour- aient A o sus rgir. n des attaches du Port, on at- tribueà cet article u.e grande impur- lance. TELEGRAPHIE PRIVÉE Paris, 13 janvier, midi. On trait qu'à la séance d'aujourd'hui, quand il s'agira de fixer le jour de l'in. tgrpellatioo de Ni. de Belcaatel, les dé. légcés de la droite écumeront briève. meot à la tribune les explications de M. Thiers, et alors l'In urepelialiou surs abandonnée ou ajournée à un long terme. Les maréchaux Mac-Mahou et Court- fouet, le général Frossard sent Ira seuls officiers gfnér,,, 1u qui présent brisés à aller sua a6séques de Napoléon. On croit gon M. de Mar.Mahon n'ira pa, s Le voyage de M. Thiers à Calais est +M&r mit son affection @o-ri- t'amille Niohand, c'était le pressentiment de lui être utile jour. A quelque temps de là, nn hasard, ne partie de chasse, amena à Vitirt In jeune avocat qui avait défendu ira. Mi. chaud. On an souvient de dl Ilayual et de son admiration pour Madeleine, da bontés pour Irs entants. Ils le recoaunrest ils le féli-rent à l'svvi par tontes sortes d'ami. ies. Raynol soe à peine vingt-cinq ans. S. préeorrs sussè s, son talent déjà reeo0nu, ne lui donnaient aile.. orgueil. Il élue imp'e,t gai. Une physioaomse un brave cour. Après l'acquittement, auquel il avait si bien coctribué pour sa part, on s'i- lait séparé sans méme pouvoir lui faire dire le chiffre de ses h.... ailes. l'Ion tard) répeodait-il, je ...a écrirai.., je endrai. Il était venu. ramer- Madeleine, ,prés do ...veaux cmevts, lui demanda - Combien vous devons-nous? Voyous, it fusil en Hoir. Lé jeune recul la regardait en sou- riant. 7eanneüe émit sur son genou; il se pencha vers elle. - Embrasse-moi, mon enfant! fuis quand la fillette est obéi, se re- tournant vers la mère, - M. voilà payé. ! répondit-il. Oh ! je vous eo prie, n'insistez Pas... Nous en ri). uand vous loucherez t'héri(a- q Arriver: VAN; oY Marina 10 00 soir, l {i Nptea s loir, (Brille S Bu sou, t si son, t 10 loir, l0 00 Pair, Duras. t 10 bu, 1{ 60 sous. ...aroXne. tonne n poix, Listel., Mad.s ! 01 Yatinj ! 88 Soir, 8 2. Soir, 6 11 soir, a 40 soir, 9 78 um .routas. uza-uir Matin, 6 la Mat. Monnj 9 20 Mau 6 {0 )bd. ViOtr. S W Mati, 10 16 soir, Pro, 1 laie, 1 65 7 a7 Soir Pau, 1 la Bon, 3 10 50 8o v , (Villefn,) i Io Pose Soin Taamn.8 si toit Noiraud 6 30 D'n, 9 {! soir, {{ M probablement abandonné à cause du g rand nombre de villes qui sollicitent la visite de M. Thiers. Chislehnrat, 13 janvier. Le prince impérial conduira le deuil, suivi des membres de la famille ira trio. Il, peut-étre aussi du prince de Caltes. Ensuite vie.deom le corps diplomatique, ]es personnages de distinction, les o[fi- es de la maison de les ci, amis du défunt. èes arrivées coolinuent. Sur le lit de parade, l'empereur porte l'uniforme qsi il avait à Sedan. ADTR6 Dfeéuna. Pont, t13 janvier, 7 h. dudé Le Journal Of ici l contient un cret de M. Thiers, daté edu 12 janvier, qui conféra la médaille militaire anx se.- dmiries Caus,nil et Ciannaetoni, pour avoir falt prcvve de courage et de é.ergie dans une lutte, le 27 décembr, à Dé- centre la foule qui voulait em. pécher une aeaealation. Le maréchal de Maa-Niahon ne quittera pas décidément Versailles. Un mdicle do (lien Public, après avoir rappelé la déchéance de l'empeoeo r, dit que le gouveraemeot admet l'apellation de Napoléon III, qui a été consacrée par le vote populaire, mais qu'il considère e illégale Ihppellalion de Napoléon IV,n laquelle est mue violalioa de l'ordre légal établi consacré par l'Assemblée. Le bruit court que des essor se- raient prison contra 4i), jaur.aux buuu. partistes. M. Thiers dtoora jeudi chez Ni. Grévy. La commiselon des Trente s'est eéu, nie aujnmd'hui. M. de Larcy a fait un rapport sur les eonveraatio.a qoi ont eu lieu notre M. Thiers et la première sous- commi. Le commission a décidé que les dé. talla de roi enuvresatiose resteront se' craie juvquà ce que la Commission ait entendu le Président de la Ilépubli que. La commission a invité M. Thiers à ve ni demin. La Commission des pétitions a examiné la pétilion du priori) Napoléon. Ni. De. PI III, qui a soutenu la plainte du prie. ce, a lié élu rapporteur par 11 voix coolie 4 à M. Daussiee. L'Union iipobliraiue a décidé d'ap- puyer la gauche dans sa démarche an- près du gouvernement, relativement à l'interdiction des conférences et à la JaD afiJ au pressoir d'une ferme voisine. - En fa nl.v, dit Madeleine, allez cher- eher votre pore. -Ne le dérangez don, pas, voulut protester le visiteur. -Voici bientôt la unit, l'interompH- elle, avoir fini sa journée. Iléjà les enfants étaient partis. au jardin, reprit Nladeleiue. Nous y ro ns plus seuls... l'eeaoo ne ne pourra cous entende. --Le jardin, agr.indi pur dus acq :i ales, aloi n outai,nt 9 al- phod,,. nées, avait mie oertaine étend ne. Il sn terminait par un gros pn lie Oharmex , billés en bosquet. AudNà, r.'étail la haie. IJe l'autre côté, s vançon t en pointe meiçait un bois. ronaynal, ronduit par Madeleine , alla s'asseoir sens le charmille. lin profond silence , le silence du soir, alentmrte. Déjà le soleil avait planait au,', disparu. ernière clarté luttait con- tre les ambres euvahionocie, du crépus- cule. -Dites moi font, fit I'avocal. J'ai sen- venir de le pearédnre... Un nouvel Joli. dent peut me frapper d'un trait de lu. mière. Telle était aussi la pensée de M Miehaud. Elle dit ans premières recher- che,, ce qu'elle avant Cru Voir, ce q,s'elle avait entendu, l'accueil des un et des autres, Ils hostilités cmnme Irs sympa- thios. fie loups en temps, au milieu de ces coshdeaeas , un portrait trouvait place, celui de quelque individualitésns- e.te, de moine observés, comme tel le par la courageuse femme. Il y avait dans le pays des mauvais gars, des maraudeurs, des ,..pris de jns- s aIlurov leur ropos é Use. Leur talent l'objet de ses Investiggatio Pns constantes. Une troupe de saRimbanquee, qui roue. liait périodiquement à V'fief , 3'x, était Ann1neee, la ligner Réclames, la ligne Faits divers, la ligne, 0 lie 10 ,, 0 00 1 00 Toulouse. -Typographie PI,. Mosxau,tn, petite me Saintdlome asppreasion des journaux. rand et Rolland, sont allés, hier, chez le ministre de l'intérieur réclamer une Les membres dissidents du centre égale liberté pour j mrnaux de (cule g chi) dols fraction C. Péris,, a oo - opinion, se plaignant des ris eu s axer. m8 une commission chargée d'art@tee le cées contre les journaux républicains titre de la ...voile réunion. La Commis- et de l'impunité pour les journaux me- a adopté le titre de conservateurs de la République libérale. Elle a décidé qu'il ri q aurait pua d'entame avec Ies autres eéuaions pour les nominations dans les bureaux. La réunion garderait ce sujet une liberté complète. I.a Commission n'a pas encore c munigné ses décisions à la réunion. Peu de membres jnsgn'à présent out quitté le csono gauche. L'Indéyendance Barge apprend que le gvernement n'autorise pas la cession chemins de fer du L, bout.. 5Z' .éedcne. Versailles, 13 janvier, soir. A l'Assemblée, M. U.Cmre dépose un vei lasselde la haute police. de la sur- La discnssiou dn projet sur le co seil supérieur de l'instructiof publique est reprise. M. Guirand combat l'amendement Ber- Ihault proposant de laisser la omina- tou du Conseil au président de la répu- blique. L'amendemcol est rejeté. M. Bort développe un amendement demandent quo 30 membres du conseil sur 37 appartinssent au corps de l'en- e'gnemeet. M. Bort combatdr l'if trodomioa des ministres do imitations le i M. loi-- te asserlien de M.Simon 'éf-W St.,. Bort qu'un songe à streindre la fi - i! h rté s i ntifique u d'hostiles, eo France une religion d'Elat. L'enaeiguement de 1,1 lai, ajoute le ml- Bistre, ,lait offrir dos garanties à toutes les susceptibilités, et l'eoseignement li- bre qui sera bientôt institué, =est libre. Mais le Conseil supérieur ne sera nullement le gouvernement des Co.Eaiencea. V,omendemenl D'IL est rejeté pro 448 coutre 180. Les paragraphes 1 à 7 de l'article sont ensuite adoptés. Le président, M. Grévy, annonce que les auteurs de l'interpellation sur la dé- miasion de M. de Deurgoing $lot d'oc' nord avee le gouvernement pour de- mander de renvoyer à mercredi la fixa- tion du jour de cette inertiel t.... M. Drive dépose Mie proposition rédui- sant le chiffre de 1,500 francs pour le volootaci.t d'un a.. Largeur, est dé- clavée. La p p sillon est renvoyée à la commission de l'armée. La séance est levée. Acte. vision. Ihris, 14 janvier, 5 b. Mat!.. Deux délégués de la gauche, MM. Four- SaFnau,`^' trouvée vers l'époque de l'assassinat. Madeleine en attendait le r'tel'. Elle eunfrssa tous ses découragements, ton. tes sav espérnces. Le jeu ne d tir l'écoutait avec un vif intérôL 11 Il 101 lui répondit - Je ne vois pas, je ne sens pas la piste ! Mois ue vous arrémz pas, persé- vérez ! Il ne faut qu'une lueur, n trace, on rien poor nous guidercu bot, moi aussi, je souhaite ardemment Vol. teindre et pouvoir dire à tons ceux qui ont douté, qui aoatent encore :.Vous voyez bien que nous avions raison I = Puis, lui prenant la m n, qu'il serra dans les siennes qm lQue maporércompense votre son, loije- si ctoire. Tenez-moi donc a wfur.>°t de tentes vos obeervatiovn, de os moindres découvertes. Ccrivez-mai... Venez.... Em q. e.lque m mont que u, soit pose quai que ce soit, ne rraigoez pue de faire appel à mon amitié.. je suis tu.t à vous. - Mcrei, murmura Nfudaleinc. Et, comme elle. ri) lait pensive e Voyons 1 ,Prit-il, col ce que v auriez amis quelque chose? Un soupçons môme in vrai semblable t Il faut tout me dire... parlez ! - Eh bien !rît-,lie à voix basse et com- me se parlant à elle-méme, elr birrs ! .. j'ai comme un instinct que gnel- gdun ici sait la vérité. Ah ! IL', chose étrange I la même idée, la méruc diHa.ue 'ai III mon fils Justin... - Raison de plus pour os rien ose o est-ce que taire ! Voyons ce do 'l" je le connais? - LU moins, v..a l'avez vu. 11 a lémoï- gué devant les assises... .-- Contre Jean Nticbaud Y naLI Siéu!e croit savoir que le miaiatre aurait promis d'autoriser, au commence- ment de février, la réapparition d'un journal républicain récemmentsupprimé. 14 ministre ex misera également la question des conférences supprimées. guerre a condamné Hier' le conseil de à mort le soldat )luuget, inculpé d'outra- ges envers M. Thiers et de voies de fait envers ses supérieurs. nercho ac Paris do 13 ja.vier 1873. Spiritueux, 56 50 3tarseille, 13 janvier. Prix faiblissants. Arrivages 19,200 hectolitres. Venins 2,080 hectolitres. flrrdianska 128!123 à fr. 41 50. Irisa d'AzOff 528j123 à fr. 40 25. Rurgas 128/123 a fr. 37 50. Farines calmes, sans affaires. CHRONIQUE LOCALE . Dans le scrutin sur l'amendement de M. Pascal Dupral, relatif au rétablisse- ment du conseil supérieur de l'enseigne. e t (pour l'adoption, 208 voix; contre, 406). Ont voté pour : M. Itnmbert. .. Contre, MM. d'Auberjon, de Deleante1, de Drettes-Thurin, Depeyee, de Lassos, Paul de Rémusat, Piou, Sacase. M, Catien-Arnoult est absent par congé. voco'TAmce .'es Il. ' Le ministre de la Sueras a adressé aux préfets, àla da le du 4 janvier courant, la circulaire avivante Messieurs, Anz termes de l'art. 55 de la loi de 27 juillet 1872, elle l'art. 8 de dés re t du décembre suivant, Ies jeunes gens indiqués à l'art. 54 de la loi, qui ont donné des preuves de capaeilé dans leur examen et qoi sont dans l'impossibilité de faire le versement exigé des volon- taires d'on an, peuvent 01er dispensas de toutou partie de ce versement. on s amie cité, l'ivstruction du 1n décembre 1872 dispose que Ies exemp- lione peuventétre réparties sur 2, 3 ou 4 ndidats, mois qu'il nést ras accor- décaplns d'une ezempbon (ulule sur 100 engagés. - Pour et centre lui. Ce nom s'échappa des lèvres de Ray. cIl Gandosn I - Ah 1 'écria Lelle; vous l'avez de. vol Ils se regardére.t en silence, et mal- gré les ténèbres qui les e n11 aéj9, chacun pouvait lire, dons les pros brillants de l'antre, la mémo pensée mn travail. Ce fot Raynol qoi reprit le premier la parole - Condom ! m ra-t-il. Eu et?et, sa déposition m'avoir paru singulière... Oui... oui... je le consuls, et depuis longtemps... Condisciples u collése, mes retrouvés plus fard à l'Oncleede Droit... C'est un piètre aire, tout-à_ dépourvu de sens moral, mais qui ne manque pas d'ore certaine astuce... Sa paresse, ses vires l'ont en- irainé... Je le crois capable d'un vol, mais non d'un assassinat... il est trop lâche - S'il ne l'a pas commis, observa Madeleine, ne peut-il en avoir été 00m. poise? - Dans celle hypothèse, réponditl'a- menat, il aurait eu sa part des dépouilles de la victime... - Oni, de l'argent... - Demseonp d'algenL., et cela de - puis dune année... Je viens de l'entrevoir tout à l'heure ; il semble aussi minable, il est plus ripé que ja- moss. CI geste de Madeleine confirma cette assertion. Puis, après ou tonals - Ne disiez-vous pue, reprit-elle, ga'i1 est asloerevx, dissimulé... Si cette misé. mm n'était qu'apparente. - Mais dans quel but t - Eh 1 pour endormir tout soupçon, Il réunit. de ces dispositions 1 Que les jeunes gens qui contrarie fit un engagement d'un as dans les condi- tions de Partiels 21 de la loi précitée du 27 juillet 1872 peuvent sente être ezemp- léa du vasemeny à l'ezclusion de ceux qui s'engagent dans les conditions de l'article 53 ; 2 Que le nombre des engagés qui sert de base à la fixation des exemptions de versement est celui des jeunes gels ad- mis à l'engagement dans les conditions de l'article 54; 3o Qu'une exemption de versement peut @lre répartie sur 2, 3 ou 4 candi- dats, mais non sur un plus grand aom- bee. A d'arriver à une répartition équltn- ble des exemptions de versements sans léser ]es mort@m du Trésor, j'ai décidé de 25 àd 9 qui compteraient gag pourraient obtenir une exemption d'un quart de la !presta- tion , ceux qui compteraient de 50 à 74, ..o exemption de la moitié de la pres- tation ; 75 à 99, de trois quarts ; de Ion à 124, une exemption totale ; de 125 à 158, une exemption et un quart, et ainsi de site. Quant aux départements qui auraient moins de 25 ,.gagés, quelque faible que soit le nombre de ces engagés, ils au - ont droit à une exemption d'un quart de la prestation. On ne sirotait en effet p iser ces. ddpaetnmonls d'une manière absolue des a a.tages accordés par la loi, parce que le nombre des candidats à l'engagement est peu considérable. te vous prie de veiller à l'ezécntiou des disposdiops qui précèdent. Recevez, messieurs, tc. Le ministre de la guerre, Le Tribupal éivil de Toulouse avait renvoyé à quinzaine fume statuer au fond sur la demande d'émoluments pour Vannée 1870, formée par Ies Peser, des ;écoles chrétiennes contre la ville deou- limas. Nous apprenons que la ville de Tou- louse a relevé aplat du jugement d'inci- dent pour lequel le tribunal civil s était reconnu compétent et par suite avait retenu la cause. Vo et lu liste des jurés de la ueo,ion d'assises du for trimestre 1873, qui doits'ouvrie à Toi lon.e le 3 février prochain. 1 Patte Félix Isidore, propriétaire à Cazéres. 2 Panent Loui,, maire à Pillées, 3 Péris si Pierre, Propriétaire, a Lu- dom. 4 Valette Jean Jacques, négociant à (',,rama.. Un instant Flayual demeura son- geur. - Non ?dit-il colin, c'est un venir taus, u. fainéant, un débauché... inca- pable de s imposer 00ssi longtemps ce supplice de Tantale. ll n'aurait eu, d'ail- leurs, qu'à quitter le pays... - Je l'espérais , avoua Madeleine ; mais Ll reste. - Et toujours porteur de trotrain- le Toujours. - Vous l'avez observé, sans doute - Oh I je .e le perds pas de vue ! - lassés il ne s'est permis u. phi- sir, une dépense . Non... Pas encore... Tallends ! I'etit-Pierre et ]'manette firent ir- ruption daos le jardin, précédant terne père. Silence même avec lui ! fit Made laine. Et, suivie de liaynal, elle s'avançait e. dehors de la charmille. Elle s'entra tout-à coup , piétant J'a- reüle , et de la main , désignant le bois : - Avez-nous entendu ? murmurait- elle en méme temps, toute palpitante d'émotion. Tenez ... Là... 11 y avait quelgri un ! On nous écoutait ! Effectivement, de l'autre coté du bas. quel, dans le taillis extérienr, il y avait eu, il y avait le bruit, l'agitation d'une course furtive. - Oh ! je le rejoindrai! s'écria Roy-a eo bondissant vers la huit. Et, malgré sa hautes, il disparut de autre côté. C.Aatc, DESLYS. (La tuile à demain). Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1873/B315556101_JOUTOU_1873_01_14.pdf · 69me Année. No 11, BUREAUX : Rue Saint-Rome, 44. POLITIQUE T LITTÉRAIRE

Embed Size (px)

Citation preview

69me Année. No 11, BUREAUX : Rue Saint-Rome, 44.

POLITIQUE T LITTÉRAIRE

tJOIIEIEIiTE :TOULOUSE U. an,, 40 f. 6 mai., 61 f. T maia, 11 L

iEMPORTEMENTS - 50 - 26 - 14

IFRANGEER .',_ trad. appl6mentatra de poste eu au. I

Oa rasta aaoallYRelale78 ea ses "tentasse .TOULOUSE Lues Bunoexu du Journal, r.e Saint-Aome, 4i.

Chou M. Hava,, J. J. Romaeaa, T ; etsi, F 1 R 1

h,, MM. Laffite-hallier et pplace de laB,nrso, 8; M. Fontaine, rue de Tréviu, as,Seul, Correspondante pour le. Amouae..

TouLOUSR, 14 Janvier

BOURSE DE PARISdu 13 Janvier.

Au CoaT .

Valeurs dis. Cours du bar Coupa crée.

3 0)0 4 an 53 05

4 1/2 0/0 79 n. 79 .5 ()/0 8g 4o 87 955 010 libéré, 86 25 85 85

.A T....

3 010, 1. 000es 53 87 53 755 0/ll d ,ours 5/i) 12 53 0!i5 II/p 1 cours 88 20 88 055 II/0 il-, cours 88 47 88 225 II/11 ital. 65 67 65 60Ban.luo 4,340 .. 4.330Fourierer 55411 n 835

41`2 50Mobili3 7!1Mob. lisp: 487 50 480 .,

CN..Ins os 1.a.

Orléans 855 a. rNord l178 75 980 .

Lyon 855 , 855

Midi 580

A lrichi us 768 75 773 75

i.umbarda .,. ,

BOURSE DE TOULOUSEdu 73 Janvier.A. CouinanT.

5 0/0, 88 055 B/0 libéré 85 95 86 15Emp. Morgan et Cie 502 50Carmaux 450

OarussdRS Dlvxesaa:

Midi 270 25Ottomanes (1869) 32625tmmobiliSes 67 50

DÉPÊCHES TELËGRAPIIIQL:L,S.

Rome, le l1 janvier, soir.Le roi a yé un télégramme de

condoléanee"""Ià l'impératrice Eugénie.

Madrid, le 12 janvier.La Correayondencia croit sou ir que

l' x= mpéeatriae Euegéuie vendra pasrésider en I:spag f et qu éll, restera àl'étranger pour soigner l'éducation deson file.

Usus une dernière rencontre, la bandeda Cacalu a eu 1 u morts et 20 blessés,sans compter les blesse. qu'elle a emme-née. On lui a l'ait 30 prisonniers.Après

un coseil des ministres, sous laprésidera e de roi, les ministres ont trouantre eux cm autre conseil usiez long.

FEUILLETON du JOURNAL de TOULOUSE

du 14 Janvier 1873.

LE

SERMENTDE MADE LEINE

XIII

Da$-xfoi, D.a 1.I9.(Suite).

En partant, Justsu avait dit à Madelei-ne

Notre bnnlyeur dépend de toi, mamère !

tille n'avait garde de l'oublier. Saprovision de cadence et de Roua étaitreloue. Elles, remit Passantii),

choque ' di-0

nids de Vittel et des au -moi, cherchantde nouveau, cherchant "Uni nurs.

Pou i la aecouder,-Ion

bé se trouvaitmaintenant 5005 sa maiS"ers la tin dela saison des eaux, il avait at11 à maitreJean

- Me voici sans emploi..... F.'ouvra-ge vous revient... Ménagea do'.c vforces et prenez-moi régulièrement àl'atelier, non plus comme manmuvre,mais comme apprenti. C'est honirIsu. àmen 6ge de ne pas savoir un émt:.Vous me don serez seulement la soupe..et je vos aurai reconnaissance encore I ge d s'Aeelme.P,si vous faites de moi un vrai menui- Madeleine secoua la téta d'un air desi doute.

Il ly avait du vrai dans ce raiso..e- - Quoi I RI Rayant, rien encore ?..ment ; mai. ce que le digne garçon n â- - bien !autail pas, ce qui le guidait surtout, c'é. I 31 chaud n'était pas b ; Il travaillait

HEURES DES DRPARTS ET DES ARRIVAIS DIS ?RAJAS DIS EEEInMS DD FER DU MIDI ET D OIIRRAN9 (.Sarcle, d'IIQ;

n,n ...oxauz.Depup. An(

Maln,

minait {5 Baya., 3 13Ratio, 6 70 M..n,(Agen)8 68Matin, (Expr.) l1 son (Ezpel l {6soir 1 88 foie, , 8 88

soir,

. Lion, a 70

soir

l0 40

lo n n sonsMatin, 3 40 Matia,(c.ra) B 55Matin. 6 00 Mai. Exp) l0 30

La COrrerpondueeia croit que les

questions traitées dans ces deox con-seils ont trait à l'ordre public, aux finan-

.et

ces et aoæ colonies.

Le mémo "aal dit quo desrésolu-en' ont été prises.lune

Desidde

'i-"itaillons

de volontaires mo-bilisés sbrganisent à Madrid.

Madrid, le 11 janvier.Le cahecilla fédéral Pallon a été tué.Irons la prov ince de Volencia, les so-

lontaires et les habitons d.svillagea pros-sieut une attinude déeidé,'et'hostile auxinsurgés, ils les combattent énergique-me.t

Madrid, le 11 janvier, quatreheures du sô

oso'n's eencnn les ont eu lleo entrePII s troupes Ies rn divine. r, bacille

de blely estmmort en du

-os la oe e la onil.e

de blessures revues dans la lutte. Palloca été tué dans la province de Macrin.Fagota a 618 tué aussi.

Les boudes de Sabalis, Hnguel et deCucala out été miens en déroute ,prés

avoir eu que osa homme, tués et soles.

sus. Le colonel NavascuAs a dispersé ansm Navarre la boude UIIn et a repodussé

vaillamment la bande 'l'allada.

Berlin , le 12 janvier.Le Post, dans an article fore remarqué,

expose que le dogme de l'infaillibilité

i

ostiménlu noavolle religion à l'égarddelaquelle Trot n'est pas tenu à closd'obligatiovs qu'à l'égard des antres con-fessions religieuses nouvelles qui pour-aient

A osus rgir.

n des attaches du Port, on at-tribueà cet article u.e grande impur-lance.

TELEGRAPHIE PRIVÉE

Paris, 13 janvier, midi.On trait qu'à la séance d'aujourd'hui,

quand il s'agira de fixer le jour de l'in.tgrpellatioo de Ni. de Belcaatel, les dé.légcés de la droite écumeront briève.meot à la tribune les explications deM. Thiers, et alors l'In urepelialiou sursabandonnée ou ajournée à un longterme.

Les maréchaux Mac-Mahou et Court-fouet, le général Frossard sent Ira seulsofficiers gfnér,,, 1u qui présentbrisés à aller sua a6séques de Napoléon.On croit gon M. de Mar.Mahon n'irapa,sLe voyage de M. Thiers à Calais est

+M&r

mit son affection @o-ri- t'amille Niohand,c'était le pressentiment de lui être utile

jour.

A quelque temps de là, nn hasard,ne partie de chasse, amena à Vitirt In

jeune avocat qui avait défendu ira. Mi.chaud.

On an souvient de dl Ilayual et de sonadmiration pour Madeleine, da bontéspour Irs entants.

Ils le recoaunrest ilsle

féli-rent à l'svvi par tontes sortes d'ami.ies.

Raynol soe à peine vingt-cinq ans. S.préeorrs sussè s, son talent déjà reeo0nu,ne lui donnaient aile.. orgueil. Il élueimp'e,t gai. Une physioaomse

aveoa.ts,

un brave cour.Après l'acquittement, auquel il avait

si bien coctribué pour sa part, on s'i-lait séparé sans méme pouvoir lui fairedire le chiffre de ses h.... ailes. l'Iontard) répeodait-il, je ...a écrirai.., je

endrai.Il était venu.

ramer-Madeleine, ,prés do ...veauxcmevts, lui demanda

- Combien vous devons-nous? Voyous,it fusil en Hoir.

Lé jeune recul la regardait en sou-riant. 7eanneüe émit sur son genou; il sepencha vers elle.

- Embrasse-moi, mon enfant!fuis quand la fillette est obéi, se re-

tournant vers la mère,- M. voilà payé. ! répondit-il. Oh ! je

vous eo prie, n'insistez Pas... Nous en ri).uand vous loucherez t'héri(a-q

Arriver:

VAN; oYMarina 10 00 soir, l {i Nptea sloir, (Brille S Bu sou, t sison, t 10 loir, l0 00Pair, Duras. t 10 bu, 1{ 60

sous. ...aroXne.

tonne n poix,

Listel.,

Mad.s ! 01 Yatinj ! 88Soir, 8 2. Soir, 6 11soir, a 40 soir, 9 78

um .routas. uza-uirMatin, 6 la Mat. Monnj 9 20

Mau 6 {0 )bd. ViOtr. S WMati, 10 16 soir, Pro, 1 laie, 1 65 7 a7Soir Pau, 1 la Bon, 3

1050 8o v , (Villefn,) i Io

PoseSoin Taamn.8 si

toit Noiraud 6 30 D'n, 9 {! soir, {{ M

probablement abandonné à cause dugrand nombre de villes qui sollicitent lavisite de M. Thiers.

Chislehnrat, 13 janvier.Le prince impérial conduira le deuil,

suivi des membres de la famille ira trio.Il, peut-étre aussi du prince de Caltes.Ensuite vie.deom le corps diplomatique,]es

personnages de distinction, les o[fi-es de la maison de lesci,amis du défunt.èes arrivées coolinuent.

Sur le lit de parade, l'empereur portel'uniforme qsi il avait à Sedan.

ADTR6 Dfeéuna.

Pont, t13 janvier, 7 h. dudéLe Journal Of ici l contient un cret

de M. Thiers, daté edu 12 janvier, quiconféra la médaille militaire anx se.-dmiries Caus,nil et Ciannaetoni, pouravoir falt prcvve de courage et de é.ergiedans une lutte, le 27 décembr, à Dé-

centre la foule qui voulait em.

pécher une aeaealation.

Le maréchal de Maa-Niahon ne quitterapas décidément Versailles.

Un mdicle do (lien Public, après avoirrappelé la déchéance de l'empeoeo r, ditque le gouveraemeot admet l'apellationde Napoléon III, qui a été consacrée parle vote populaire, mais qu'il considère

e illégale Ihppellalion de NapoléonIV,n laquelle est mue violalioa de l'ordrelégal établi consacré par l'Assemblée.

Le bruit court que des essor se-

raient prison contra 4i), jaur.aux buuu.partistes.

M. Thiers dtoora jeudi chez Ni.

Grévy.

La commiselon des Trente s'est eéu,nie aujnmd'hui. M. de Larcy a fait unrapport sur les eonveraatio.a qoi ont eulieu notre M. Thiers et la première sous-commi.

Le commission a décidé que les dé.talla de roi enuvresatiose resteront se'craie juvquà ce que la Commissionait entendu le Président de la Ilépublique.

La commission a invité M. Thiers à veni demin.

La Commission des pétitions a examinéla pétilion du priori) Napoléon. Ni. De.PI III, qui a soutenu la plainte du prie.

ce, a lié élu rapporteur par 11 voix

coolie 4 à M. Daussiee.

L'Union iipobliraiue a décidé d'ap-puyer la gauche dans sa démarche an-près du gouvernement, relativement àl'interdiction des conférences et à la

JaD afiJ

au pressoir d'une ferme voisine.- En fa nl.v, dit Madeleine, allez cher-

eher votre pore.

-Ne le dérangez don, pas, voulutprotester le visiteur.

-Voici bientôt la unit, l'interompH-elle, avoir fini sa journée.

Iléjà les enfants étaient partis.au jardin, reprit Nladeleiue.

Nous y ro ns plus seuls... l'eeaoo ne nepourra cous entende.

--Le jardin, agr.indi pur dus acq :iales, aloi n outai,nt 9

al-phod,,.

nées, avait mie oertaine étend ne. Il snterminait par un gros pn lie Oharmex ,billés en bosquet. AudNà, r.'étail la haie.IJe l'autre côté, s vançon t en pointe

meiçait un bois.ronaynal,ronduit par Madeleine , alla

s'asseoir sens le charmille.lin profond silence , le silence du soir,

alentmrte. Déjà le soleil avaitplanait au,',disparu. ernière clarté luttait con-

tre les ambres euvahionocie, du crépus-cule.

-Dites moi font, fit I'avocal. J'ai sen-venir de le pearédnre... Un nouvel Joli.dent peut me frapper d'un trait de lu.mière.

Telle était aussi la pensée de MMiehaud. Elle dit ans premières recher-che,, ce qu'elle avant Cru Voir, ce q,s'elleavait entendu, l'accueil des un et desautres, Ils hostilités cmnme Irs sympa-thios. fie loups en temps, au milieu deces coshdeaeas , un portrait trouvaitplace, celui de quelque individualitésns-

e.te, de moine observés, commetel le par la courageuse femme.

Il y avait dans le pays des mauvaisgars, des maraudeurs, des ,..pris de jns-

s aIlurov leur ropos éUse. Leur talent

l'objet de ses InvestiggatioPns

constantes.

Une troupe de saRimbanquee, qui roue.

liait périodiquement à V'fief , 3'x, était

Ann1neee, la lignerRéclames, la ligneFaits divers, la ligne,

0 lie 10 ,,0 001 00

Toulouse. -Typographie PI,. Mosxau,tn, petite me Saintdlome

asppreasion des journaux. rand et Rolland, sont allés, hier, chez le

ministre de l'intérieur réclamer uneLes membres dissidents du centre égale liberté pour j mrnaux de (cule

g chi) dols fraction C. Péris,, a oo - opinion, se plaignant des ris eu s axer.m8 une commission chargée d'art@tee le cées contre les journaux républicainstitre de la ...voile réunion. La Commis- et de l'impunité pour les journaux me-

a adopté le titre de conservateursde la République libérale. Elle a décidéqu'il ri q aurait pua d'entame avec Iesautres eéuaions pour les nominationsdans les bureaux. La réunion garderait

ce sujet une liberté complète.I.a Commission n'a pas encore c

munigné ses décisions à la réunion. Peude membres jnsgn'à présent out quittéle csono gauche.

L'Indéyendance Barge apprend que legvernement n'autorise pas la cession

chemins de fer du L, bout..5Z'.éedcne.

Versailles, 13 janvier, soir.A l'Assemblée, M. U.Cmre dépose un

vei lasselde la haute police.de la sur-

La discnssiou dn projet sur le coseil supérieur de l'instructiof publiqueest reprise.

M. Guirand combat l'amendement Ber-Ihault proposant de laisser la omina-tou du Conseil au président de la répu-blique. L'amendemcol est rejeté.

M. Bort développe un amendementdemandent quo 30 membres du conseilsur 37 appartinssent au corps de l'en-e'gnemeet. M. Bort combatdr

l'if trodomioa des ministres do imitationsle

iM.

loi-- teasserlien deM.Simon

'éf-WSt.,. Bort qu'un songeà

streindre la fi -i!h rté s i ntifique u d'hostiles, eoFrance une religion d'Elat.

L'enaeiguement de 1,1 lai, ajoute le ml-Bistre, ,lait offrir dos garanties à toutesles susceptibilités, et l'eoseignement li-bre qui sera bientôt institué,

=estlibre. Mais le Conseil supérieur

ne sera nullement le gouvernement desCo.Eaiencea.

V,omendemenl D'IL est rejeté pro 448coutre 180.

Les paragraphes 1 à 7 de l'articlesont ensuite adoptés.

Le président, M. Grévy, annonce queles auteurs de l'interpellation sur la dé-miasion de M. de Deurgoing $lot d'oc'nord avee le gouvernement pour de-mander de renvoyer à mercredi la fixa-tion du jour de cette inertiel t....M.

Drive dépose Mie proposition rédui-sant le chiffre de 1,500 francs pour le

volootaci.t d'un a.. Largeur, est dé-

clavée. La p p sillon est renvoyée à lacommission de l'armée.

La séance est levée.

Acte. vision.

Ihris, 14 janvier, 5 b. Mat!..Deux délégués de la gauche, MM. Four-

SaFnau,`^'

trouvée vers l'époque de l'assassinat.Madeleine en attendait le r'tel'. Elleeunfrssa tous ses découragements, ton.tes sav espérnces.

Le jeu ne d tir l'écoutait avec unvif intérôL

11

Il101

lui répondit- Je ne vois pas, je ne sens pas la

piste ! Mois ue vous arrémz pas, persé-vérez ! Il ne faut qu'une lueur, ntrace, on rien poor nous guidercu bot,moi aussi, je souhaite ardemment Vol.teindre et pouvoir dire à tons ceux quiont douté, qui aoatent encore :.Vousvoyez bien que nous avions raison I =

Puis, lui prenant la m n, qu'il serradans les siennes

qm lQuemaporércompense

votreson, loije-

si ctoire. Tenez-moi donc a

wfur.>°t de tentes vos obeervatiovn, de

os moindres découvertes. Ccrivez-mai...Venez.... Em q. e.lque m mont que u,soit pose quai que ce soit, ne rraigoezpue de faire appel à mon amitié.. je suistu.t à vous.

- Mcrei, murmura Nfudaleinc.Et, comme elle. ri) lait pensive e

Voyons 1 ,Prit-il, col ce que vauriez amis quelque chose? Un soupçonsmôme in vrai semblable t Il faut tout medire... parlez !

- Eh bien !rît-,lie à voix basse et com-me se parlant à elle-méme, elr birrs !

.. j'ai comme un instinct que gnel-gdun ici sait la vérité.

Ah !IL', chose étrange I la même idée,

la méruc diHa.ue

'ai IIImon fils

Justin...- Raison de plus pour os rien ose

o est-ce quetaire ! Voyons ce

do 'l"

je le connais?

- LU moins, v..a l'avez vu. 11 a lémoï-gué devant les assises...

.-- Contre Jean Nticbaud Y

naLISiéu!e croit savoir que le miaiatre

aurait promis d'autoriser, au commence-ment de février, la réapparition d'unjournal républicain récemmentsupprimé.14 ministre ex misera également laquestion des conférences supprimées.

guerre a condamnéHier' le conseil deà mort le soldat )luuget, inculpé d'outra-ges envers M. Thiers et de voies de faitenvers ses supérieurs.

nercho ac Paris do 13 ja.vier 1873.

Spiritueux, 56 50

3tarseille, 13 janvier.Prix faiblissants.Arrivages 19,200 hectolitres.Venins 2,080 hectolitres.flrrdianska 128!123 à fr. 41 50.Irisa d'AzOff 528j123 à fr. 40 25.Rurgas 128/123 a fr. 37 50.Farines calmes, sans affaires.

CHRONIQUE LOCALE .

Dans le scrutin sur l'amendement deM. Pascal Dupral, relatif au rétablisse-ment du conseil supérieur de l'enseigne.

e t (pour l'adoption, 208 voix; contre,406).

Ont voté pour : M. Itnmbert...

Contre, MM. d'Auberjon, de Deleante1,de Drettes-Thurin, Depeyee, de Lassos,Paul de Rémusat, Piou, Sacase.

M, Catien-Arnoult est absent par congé.

voco'TAmce .'es Il. '

Le ministre de la Sueras a adressé auxpréfets, àla da le du 4 janvier courant,

la circulaire avivante

Messieurs,Anz termes de l'art. 55 de la loi de

27 juillet 1872, elle l'art. 8 de dés re tdu décembre suivant, Ies jeunes gensindiqués à l'art. 54 de la loi, qui ontdonné des preuves de capaeilé dans leurexamen et qoi sont dans l'impossibilitéde faire le versement exigé des volon-taires d'on an, peuvent 01er dispensasde toutou partie de ce versement.

on

s amie cité, l'ivstruction du 1ndécembre 1872 dispose que Ies exemp-lione

peuventétre

réparties sur 2, 3 ou4 ndidats, mois qu'il nést ras accor-décaplns

d'une ezempbon (ulule sur 100engagés.

- Pour et centre lui.Ce nom s'échappa des lèvres de Ray.

cIlGandosn I

- Ah 1 'écria Lelle; vous l'avez de.vol

Ils se regardére.t en silence, et mal-gré les ténèbres qui les e n11aéj9, chacun pouvait lire, dons les prosbrillants de l'antre, la mémo pensée mntravail.

Ce fot Raynol qoi reprit le premier laparole

- Condom ! m ra-t-il. Eu et?et,sa déposition m'avoir paru singulière...Oui... oui... je le consuls, et depuislongtemps... Condisciples u collése,

mes retrouvés plus fardà l'Oncleede Droit... C'est un piètre aire,tout-à_ dépourvu de sens moral,mais qui ne manque pas d'ore certaineastuce... Sa paresse, ses vires l'ont en-irainé... Je le crois capable d'un vol,mais non d'un assassinat... il est troplâche

- S'il ne l'a pas commis, observaMadeleine, ne peut-il en avoir été 00m.poise?

- Dans celle hypothèse, réponditl'a-menat, il aurait eu sa part des dépouillesde la victime...

- Oni, de l'argent...- Demseonp d'algenL., et cela de -

puis dune année... Je viens del'entrevoir tout à l'heure ; il sembleaussi minable, il est plus ripé que ja-moss.

CI geste de Madeleine confirma cetteassertion.

Puis, après ou tonals- Ne disiez-vous pue, reprit-elle, ga'i1

est asloerevx, dissimulé... Si cette misé.mm n'était qu'apparente.

- Mais dans quel but t- Eh 1 pour endormir tout soupçon,

Il réunit. de ces dispositions1 Que les jeunes gens qui

contrarie fitun engagement d'un as dans les condi-tions de Partiels 21 de la loi précitée du27 juillet 1872 peuvent sente être ezemp-léa du vasemeny à l'ezclusion de ceuxqui s'engagent dans les conditions del'article 53 ;

2 Que le nombre des engagés qui sertde base à la fixation des exemptions deversement est celui des jeunes gels ad-mis à l'engagement dans les conditionsde l'article 54;

3o Qu'une exemption de versementpeut @lre répartie sur 2, 3 ou 4 candi-dats, mais non sur un plus grand aom-bee.

A d'arriver à une répartition équltn-ble des exemptions de versements sansléser ]es mort@m du Trésor, j'ai décidé

de 25 àd 9qui compteraient

gag pourraient obtenirune exemption d'un quart de la !presta-tion , ceux qui compteraient de 50 à 74,..o exemption de la moitié de la pres-tation ; 75 à 99, de trois quarts ; de Ionà 124, une exemption totale ; de 125 à158, une exemption et un quart, etainsi de site.

Quant aux départements qui auraientmoins de 25 ,.gagés, quelque faible quesoit le nombre de ces engagés, ils au -ont droit à une exemption d'un quart

de la prestation. On ne sirotait en effetp iser ces. ddpaetnmonls d'une manièreabsolue des a a.tages accordés par laloi, parce que le nombre des candidatsà l'engagement est peu considérable.

te vous prie de veiller à l'ezécntioudes disposdiops qui précèdent.

Recevez, messieurs, tc.

Le ministre de la guerre,

Le Tribupal éivil de Toulouse avaitrenvoyé à quinzaine fume statuer aufond sur la demande d'émoluments pourVannée 1870, formée par Ies Peser, des;écoles chrétiennes contre la ville deou-limas.

Nous apprenons que la ville de Tou-louse a relevé aplat du jugement d'inci-dent pour lequel le tribunal civil s étaitreconnu compétent et par suite avaitretenu la cause.

Vo et lu liste des jurés de la ueo,ion d'assises dufor trimestre 1873, qui doits'ouvrie à Toilon.e le 3 février prochain.

1 Patte Félix Isidore, propriétaire àCazéres.

2 Panent Loui,, maire à Pillées,3 Péris si Pierre, Propriétaire, a Lu-

dom.4 Valette Jean Jacques, négociant à

(',,rama..

Un instant Flayual demeura son-geur.

- Non ?dit-il colin, c'est un venirtaus, u. fainéant, un débauché... inca-pable de s imposer 00ssi longtemps cesupplice de Tantale. ll n'aurait eu, d'ail-

leurs, qu'à quitter le pays...- Je l'espérais , avoua Madeleine ;

mais Ll reste.- Et toujours porteur de trotrain-

leToujours.

- Vous l'avez observé, sans doute- Oh I je .e le perds pas de vue !- lassés il ne s'est permis u. phi-

sir, une dépense .

Non... Pas encore... Tallends !I'etit-Pierre et ]'manette firent ir-

ruption daos le jardin, précédant terne

père.

Silence même avec lui ! fit Madelaine.

Et, suivie de liaynal, elle s'avançait e.dehors de la charmille.

Elle s'entra tout-à coup , piétant J'a-reüle , et de la main , désignant lebois :

- Avez-nous entendu ? murmurait-elle en méme temps, toute palpitanted'émotion. Tenez ... Là... 11 y avaitquelgri un ! On nous écoutait !

Effectivement, de l'autre coté du bas.quel, dans le taillis extérienr, il y avaiteu, il y avait le bruit, l'agitation d'unecourse furtive.

- Oh ! je le rejoindrai! s'écriaRoy-aleo bondissant vers la huit.

Et, malgré sa hautes, il disparut deautre côté.

C.Aatc, DESLYS.

(La tuile à demain).

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

cet égare!, et t {, ul g 1 de ce t 111.1 tango de l'art. At il f.il,l ti il i 7 hB ,, +p , peopi t,a e 1de oni I t t I[ t f 1 1 11 u g 0:p

ta A arc t l 1 f d l d y' q l l' pp' t t ..dt l1 : - 1 oatout àB MI 4 nés M 1 g cooai I ç: l b I luit t m I i

Ll e eiilS t v I rdot

vigie, tory mètre, à Moalcvey

géomètre, t il. leu t p l C d pl t fait,ses

- I ppt gé. le eq 1 y lc .d s pp ,m àl péquia. ma d t , os

8 Vil Louis, propri3tane et Maire, : Leime, ro, q r t delà t 1 c t lieu ce lue la représcutsLO.r ofuir

v'tMt)De'Jo

Ln deparleeuem i airs I, our d i l aurait dmeüke.De

..1 lie 1 Table, maireù Seysaes Fiant leç t I t i à le

coSICe sels de l'autour sont appLma-

0 11u he [ Pierre Tirecdute, uégo meus, et q 1 d dl' 6 11 bl J uad lD.la ne a pl 1 1 9 tdent, à non

Il1 Gard,, 1 , ncgoc'aut à Fron a t teq I y a o -t pa uteoeut d u? d meus a mus cutine12 Si,. Sab

n, à Saint à préciser ici des lm,ld goton,..

propriéuve, quïl iud nécessameee e de terrain, unis V tao Il-

dus tyyea .Après 1 admirable révolution de] l'

dy,ponr lnsq: 1s I t t erg t d t d 1850 1 ti éàl.er syanL eony - 11h. é

C rayé \'iclor Bernard Camille, Peu-

lus pyl è,nn d

élb t à 1 f f durs, I liberté générale, 1 Pi,,,., queclé"

pr I. ,n, O.v ut cas étud p m a t l: d. r fa ente de ta flotta. ratour avait in-so es/4 Gauhi Jean pierre, propriétaire a de faire eue ocuvre séueuse IL durable humées toutes vives, Ar+sdrant du redan,

Toulouse. qui sont la cause dis lecteurs et des te- comme dit Job, la pierre de leur tu.-1:i Buffet Pierre Louis, à Sai.bl[er lards qu'on a tant reprochés à ce géol.- beau, et 'éparpillèrent en foule sur les/G Courtois da Viçose, banquier à c n mracieux, thédtres de Paris... Ce dégorgement Jus

Toulouse. g11M.oLeymerue est entré ensuitedanscartons

de la censura dura plusieurs se-17 Traissac Armand, propriétaire à Si. sua sujet. Il a montré le département mainea,à 1. grande Satisfaction de tous...

tory. rompusé de deux régions, la moulu g.a La Comédie Française songea à Durit.d8 Itibés Jean François, notaire à Si- et la plaine Celle-ci, qui 'est qu'a e Déforme .. .

Plarmaid. partie du bassin pynéen, occupant leu Que de bruit, et comme nous sommes19 Daragne Ardoise , géométro , à cluq eio:émes de

!aré

snfa er déai

Ilme.- loin de tout cela 11! Nous llaita voir lafiéRi ' taie, an sixième seulement restant pour pièce avec le calme désirable.211 Arligue.Iean Berh'and, .égociant à ta

la montafine qui, d'in autre côté,Mirtmonl. prend qu'à la reSto de la channe, que

21 Lahille Cnslave, négoria.t à

Tais-

e vingt.iroisiéme de la longueur t0- Dimanche, vers 2 heures du soir, deuxbouse. tain,nfauls de 6 ana, les ommés Sirgan

22 Greslérés e\mbroise, propriétaire à 11 y a lieu de distinguer dans le, Py- (François), et Deujean (Madeleine) s'a-écritesde la Ilaute fars, e la M, t t j t ds p la plu e25

Dun Jeun Marceliin, agent voyer à proprement dite qui eâ Io 1 Ça d LI 1 lt lh me.q l'anamanne, d .es perse ée par S g a«mnlAs'24 eut e M tréj e' t B- uehalot

24 Douladoure Thhndorn, propriétaire et les ce.Pyrh é,s(4us e i,,, efn- e peule Il-..j an et lin crevé l'eut!à Moullaur. rigna, 8t- urtory), .rhaîuuu 1nuarginal gauche.

25 gigot François Hippolyte, pop té parallèle à I 7 1 t I !puremi eui

m'2, aÂOUm Augnnn Adolphe, arehpar ers t r t q a I pli

Baudouinà'fudouin .

lég 1 St t t l e s dl tua aranrnlog,ave. ta

I.s ferrailla I plus 1 re I' u. o. s t a enrsmuaam h. le

27 1,ap.rsonne Jules Manie, propriélai dont ma n I p ta no. mi le race m +a ..

re à Villefrunche.i dans les s mont Du 7 i janvier.à Mi arma re28 pleicb François,

.

Leytuerieerie

a indiq+,é tee prinmpauzguet.Bu

éléments ou types qui entrent dans la,a nroe Vie. mvarétnire à neNt aies.Ri

131 Aladin .dlonanJ, pnopriélaireà Oa-Palman.

31 Palmai Paul ISmule, propriétuiru àBien..

2 Moliaier ]eau Marie, propriétaire à

U,Despouy d'Ardiége Meurt, rentier à

Ar31aDurée Jeun Marie, docfeur-médecin

à SbBéat.56 Sérail Jean, maître d'hétel à Lu-

Il .n.30 Beville Émile, propriétaire à Fron-

ton.

Jurés supaplémenfusenu.

1 Thomas Victor, uégociet à Tou-lousc.

R:gaud (Aagaste, directeur d'aasv

rnucxs à Foulouse.

3 Caubera Jean, négociant à 'l'unloure.

h \'nalas Adi mu, avocat à Toulouse.

1: acadm d' J Il teelu

13j n bl

I l tir d 11 d M 11

parle d B choc, IL pue l L opti oi deM. l'abbé l.ézat, élu ma,nteneur. L'assis-tmme était numbrese. On remaryuart lapr.sencm il. Mgr l'Archevé lue, de MFerra, prelet de' la Ilaute Luronne, et deM. Ramé, peuureruegéulral.

de M. Barbet a éf9 prononcé

par M. Penaud de Rességoieç seurémireperpétuel. Ce dise très htléraire,

elle, parfois polili,pac écrit a u

plume liue, délicate ut spirituelle ted'une manière parl'aile, a été applaudi

v omit par l'Assemblée.i S. l'abbé I,Fcal, réoipiendaiee, a traité

do aceptieisnle dans l'art avec un grandtalent

IlI! L d dé y 1

nié élus l dil,u te d vl Il On'], m ..haut l g, ' air,

de, tous lis camps se re e .tram doualute rr v L d ev Iras élernwllue du De:a clos cett é Intéerssaule.

FACULTE 0ES SCIENCES

Merdé 11 jvnuier dS7q.

Cours de géologie, à 2 heures 1/4.

prole+e'se, M. Leymere.Filous lits sia"Imillu

atmosphères.- Mémmorphisme.

r à 7 heures 1/2 du soir.Cours di

Anthropolegic. - Buées humaines,

leu s ..t.C.raS PODLrO D AHllO.I.ei.rUAM.

Le loues d'arboriculture et de vitienl-tores'ouvrira jeudi piochai., 16 jan-vire, à 9 heures et demie du matir, dansla salle de démonstration du Jardin desplantes.

Dans la dernière séance de la Smillé

d'a, finie, pour laquelle chacun des

mnlires .,ait reçu une cor acationspéciale, M. Leyme nrie a exposé et ex-

pliqué, devant cria msnbreuse réunion;

la tarte géologique de la Ilaute-Garonne

à laquelle il travaille depuis plus de 25ans.

lunepremier

carte coloriéeà l'échelledu dépôt de la guerre (un quazro vingtnasiaso) et use coupe des Pyrénées àet vnngt milbélue, avaient été disposéeset ioéex couvenablei ont, grade an.Moinss

a iutelligein ml empressés de M.Cv rére a rchdv,ste de la Sucuété.

Avmit de donnai l'oxpluca0on de cestravaux destinés à mettre r lumréte laeostitution générale du dF.poetemeryM. Leymerie a donné, coron prolégo-mènes, quelques nutmus ale ales carteset les coupes géologiques considéréesd'eu ne mamèrc générale.

11 a rappelé que lorsque la cartegéologique de Finan lut décrétée e

1822, n1 fat eu., eu. que chaque dépar-tement serait invité à faire exécuter untrariil analogue avec plu, de détails. LaIlaute-Garomre ne resta pas en arrière à

ouscompositiuv de ras Meor gars.paveurs erprodreire ici les omuans suc-rentesqu'il en'a doneées etqu'il a su met-le" à la portée des personnes étrangèresà cet ordre de connaissance et qui danstous les cas ont été écoutées aveu unealleatiou soutenue.

Mais nous croyons devoir dire quel-ques mots set le fart londameul qui il aexposé comme un moyen de déterminerl'âge de notre citaior de montagnes. Leterrain de la plaine fils unit'oeme d'ail-leurs est parlent horizontal et n'a jamaisété dérmngé ou truub,e sans ça position.Celle leanyuiluré se maintient jueyu à laligna de contact de ce dépôt suer les ter-rains relevée et accidentés dos Pyrénées.La catastrophe qui a donné, à notre chatre son relief nasal a °eue en lieu avmrtl'époque aù ces couches lier ,;rtales ait.IF dép ié.- Il y p' '.b rat ahantas c- sidérabte ,e li t xs de

1 pl ine t u d l ta luit

ulfreral tdrsu cogmlleséf 1.1 Î

l o tI Snvemevto mari ee, tandis qae I

ma ,cs tt m laisesr de la plaise n',, tJ R t e 4 al q .J

a t e't t dj. It J U

dm c ms d. h

maslodontrs, des dinothe1' ... 1

nul absolument élrmlgcrs a1.ux

Il résulte de là, que, après 'coller-Loi des l y é é.- l a d7 se mrmre aupied de c,ill ehv e s, dépeess'un qui

a été envahie pur de, cana douces ('ar-

mant on lac ô nos terrains sous pyré-ném's col été déposés.

Ces terrains, Flat occupent las cinq-du déparl,imeny sont d'ailleurs

han et ml. Leymerie eu o eutpeu de chose; mils il s esL arrêté pe:daor tuniques insLmts sur les vallées quile sil!:.suent et dont le creusement et1 mbl t p ils ° I!oa

vo ovn ét. ildOpent ]es d l e

et Juue I ta 3u .silsdies deslyé-é: 1.1 q .dlI c.Il a sguaté pal hcul,erers et et ,.xpliqué1. f t. d. pl t. ;as

ét q 6 ri L à '1e

la vante delie Lu: one o et celle de, I aen.

11n teemimmi!, M. I.nymclin a fait Sa.

voir à la Société qu'il s'ocoetpait, avla commission permanente do Conseilgénéral, des voies et moyens del.i

publica-me de sua travail. Il propose à la com-

mission de renoncer à éditer une grondacarte àuu quatre, vingtmil liéme, qa cmî-terait haaucoup al servirait peu, et defaire imprimer à 1.1.1 se une emdo ré-dnite à l'Sebelled,' deuserut-milliénie((elle de M. Dnclus). ('.elle: ci pourraitêtre insérée d'ana en Atlas qui vrnlien-de-ail de, coupes géolugignea et des figu-res de fossiles earacténsugnes. Il y ri-rait enfin on olume de lexm explicatifdans lequel la discussion géologique dudépartement serait précédée des nomsélèmenlairns de géologie et des généra-

filezsur les Pyrénéen.

L'ouvrage entier serait édité par M.Privai, pmvrait loue livré an eornmerere t vendu à mi prix modéré.

Des témoignages non égriivoques desatisfaction ont preré à àl. Leymerieque s exposition avait été comprisepar la réa viol at qu'elle l'avait e.toaineavec tnlérèl.

Le lhédtre des Variétés va donner,

pour le béuéltae de M. henry, 1001.leu. et excellent comédien, Jort l'é-

loge u'eal pl f mi, -o I - -tatsun de Diarron Delotme, le laneuxdrame de vr L Hugo, t 1 i .t efuis des dé blé 1 lu1ument de -p d n p s p unrchsologig I b L tde rep,010 ,e iene uot de V f 11 glu .môme t d t l d, t d V.riétw pou a

faire

sua profil. Voici lanote :

. L' leur croit dev i pde

Màl,

les du'ecteuis ud p q,lugeraient à prop de l'i pqu'ils pan I l y f les c p q Is

u,onl. C lt p d p bl à lo dM a sJ-1 1s car 1. ml de ail l 1yue ee qP f L i 11 s t s l e i et, 0 fait t. d La

t

l'aères. ment. ma.ira. d'kiler : + 15°g,d. min. de la nuit) + 2 3

ec000s. aaa0e. flat me meL. ecce.8h. m. 85,7050- la outil.- calme.

Midi.0 ,7618 - beau. - SE faible.Le barunrétee a eocore monté de 7La

illim. depuis hier, et il reste à peuprés stelfena,re au-dessus de Beau-Cemps; le temps est Ires beau, l'air ac-es. pur Brouillard épais duos la matinée.

Température t à midi, YMl.

__._v ' , e r rem doit eus-i pouvoïr dira: Da n'en Fad..ption dn proire I loi. (Mooru't i 1t

l t Itg I

fJ

r b lalu,tC 'LI Idt d

t g a d I m 11 F ç ,r l 1 s I b l y a L .I P ! d la 1 du ID 18 0lo or maisté ill les !lus aheis al les plus co.,e - l str ton l I 1 q 1 e. C t t d q a té ol

dé bl On veut Ln I I ft d t j q im 1 uvmr la lo-périeur; u'm-Laverie et le salut ia pays Foot 11 : idé, « hqu C'le 1l mL I q b lé d I e g

eu lt s

daus l'éduearion et l'iusleuchon de la da tre lut f d 0 d s pins 1 p 1 tq dans l'en-

jeuness'. 11 f t d q in, 1 p t- m B.II v II C . e npelant pas .e g n _. t l Bar 1 d P del t u pubsq I d p tiss luhan sociale d l al d fan II f ç- 111 m 0d I

sI

f' Js-là, airIS I I

f ml I le A L d. 1 IL de -l L i s me t m (0 t) et en théâtre de 1 t 0ns. (1 re b c I

lt i , s bi à;lift l l' t i I L d V f t d tl il s is je )N - x )4 l'b a u de le,

m g L i y e il tout 1 en:.c g in On sait b en aJ t 1 m.r, qmc lehgteux, et à celé de l'enseguemeut se- clergé ce voud ai.' pas entrer dans le

coodamc d est nécessaire de er e repré- oousml supérieur sil ue sa it y taire le

semé l'enseignement profès I alIen et y uvule les chefs de la m juetsans cela (Mou'it' pasy entreraEt puisqueles évéques so t . , té. Il n

les évéques devraient taire pa t e t veinent.)Branle dans la repelsenlalron du couse I Non,

si

les membres du clergé sa-

supérieur. Un g and nombre de familles valent qu'ils doivent être en m orité

catholiquesle demandent et mol droit de dans le conseil supérieur, ils ne veu-

le demander. draient pas y entrer. (0u rit.)Ces ebjections ont frappé l'esprit de I Je ee suis pus des partis entremet rue

l'oeuleur. Oe parle d'éléments de tble il ya des eus, 8mes de deux eblés ; je sois

51 de difllcullé pour la carrièrederou

lilas. dans le juste milieu. (On rit de nouveau.)

lenotion publique, quand on se trouvera Eh bien t que lino prenne gardrawxdevant lia repreaentavts de la l'oi ma- intoléraucrs etaux suggestnoas des tis

tholique. Ne sait-o. pus que l'an se trou- oztrémes. C'est le conseil que donnait

eu présence d'une mftuence qui , ra M Arnaud (de l'Ariège) en 1850. Il sup-fait d'administration et de direction, ee i pliait l'Église de pas entrer dans le

transige pas et se cet..oche devant un conseil supérieur. Il lui faisait remar

a

quer

on pie sumue . I que la relig.on avail toujours perd. do

L'orateur oe méeonnait pas les dissi- 1 terrain à faire allie." avec les pin n-

deueee, les conflits possibles, mais l'ait- .s temporelles et quelle u'y avait rien

miaistratioo et la direction ne sont p a R gné.absolues dans le conseil supérieur de pu n'obtenait ainsi que la désaffection

l'inslruchon publique. Et ne vaut d pas des populations; un ne fuisad que nond'ailleurs mi sx que les dissidences forcer les préjugés, activer les haines

écialet dans le sera du conseil supérieur populaires C est ainsi q,m é 1830 1 ce.

q d lacer au dehors. (fiés hies , hgioo fol rrudue snlida,e d o all

t 1 e ) Et quandappelJ'ai entends lévé- ce avec la

l s un coulraire qui . 1848 est t f

t 1 p' sociale, j'ai été ému , car je .rat enmsré de I y poil g' é Ie.

,s 4e e r x qui ne seront jamais similis Ou sait trop ce qu -t serte1E de 1 al-

et nsensibles à cet appel. liante du clergé grec l'em et ilsIil nous a fallu, duns 1'..- de la malheureux résultats que nous déplo-

défense nationale , le concours de te rs sas mus. Les craintes de AI. Arnaud (deles partis, de tons les patriotes ; nous l'Ariège) se sont trop réalisées : ce q,i il

pas réesi , hélas. Dans l'mrere avait prédit est arrivé.de la régénération sociale l nous faut Je suis un front adversaire, ajoute M.

absolument le continus de toutes les Langlois, mais comme dit La Fontaine :forces morales que compte le puys. a Rien n'est plus da.gereua qu'au ma-

0n oe saurait mécaunmtre le elle des ladroil ami, mieux vandemt un sage eu-religioos civilisatrices, elles out été dans venu, e Eh bien 1 vm is le nover., Vinlo-

le paSeé les institutrices, les nourrices lérmmn, amène l'inloléeaece et à tortdu genre humain; elles sont encore les ou à raison, l'ingéeuncr, du clergé dansgrandes écoles de la morale populaire. Je le conseil supérieur de l'instruction pu-

uis pus, ajoute l'orateur, je ne suis blique eet considérée comme étant nuepas pour cela étranger aux efforts que eau e de persécution contre les idéesla seiece doit faire et fait pour introdui- modernes. (Bruit). Et nus n igvurez

re da us la peuple la murale u vielle. point ce que. c'est que la pet oérulioa,r t). Elle ne fait qn'é-Mais y a-t-il une philosophie usiez plei- que diable ! (On

n

ie d'optimisme ponr e pas vo,que tendre les Idées qu'on prétend eai-éts

celuijusqu'à présent le résultat n'apxs répon- re. Dans votre intérêt comme dand

du à tons les elPorts. Le patriuhsme u-t- de la liberté, je vous supplie donc de

il pu faire mécouvaître qu'il hart savoir ne pas adopter le projet de M. de Bro-

mé,ragec le, transitions. EI plat-on du glir. ( Approbation à gauche.)raille.t , ne p { :. 1. t de l bre pp"i" au

veult,e

l'es t de l'homme travaille rides coi vdo,

clo, é da s le eovse'1 snpéa.IIprobe de la Gétr et q,e le ce, eau , ce r t mule raturelle et parlahementnoble organe, soit au mer d rga- j .t'fée. S,1 u la nnajordé daos le cen

c de sane eurler,ncru, Il faut que t imurafe ,b- S-il, l ne la devra qu'à 1iluL dans I Peu 'te t 4 L tl haut, valeur Me; z',I lie et 01 que la

a mect

ASSEMBLÉE NATIONALE

Séance du vendredi d0 janrier.

A deux heures, la séance est ou-ve h:.

o. ps0ié L I cove rf adopté.van i p p p st ,u

p j .l de 1 dans q 'q à

lamise e

d 1 lo éluto

1.,1 l: ! d 1 p t . ,t tee par lespaeagre,nhea 1 et 2 de i ar liele 44 de la1 d ma 18 I s s' le . uai

0là

qui 1...e`runl 1 1 d t i

et le i{ua,l , leu.e ale r cribs (Laloi de 18.8 demande seulemem le hni-tiéme.) Au record tour; la majorité re-lative suffit.

L'urgence est demandée Sur celle pro.position.

en ror..vv : Dans nn pays est le suffrageuniversel régla fout, mn ue saurait camed'nrgenue leur loi louchant à l'élection

dos députés par le Snlfra$e aninoreeL

rems, an nom de lu v, c té do sui.frage un et et du m'empeet qui est dieux majorités, appuie la quesuun d'm-

genre. (émut.)et pas disposé ,à lav

t .bt t .t

au

tpa. r de

d vrswn d ras I.Aesey,blé I di,utéseaievt une double or,g e (B 1 )

t savenv appas l'urgence. 11 nu s agitpas d'une allé t mandat commecelle qui ré It. 'f ] r,voevellementpar fie tu ministre de l'mténeoe a dé-claré qu'il était cumpléfement d'accordavec nue aus'

ras : Lç règlement ordonneque hs trois délibérations soient la rè-gle générale. Que l'urgence ne soit choirpas dé.;lurée. Il y a un grand nombre dedéputéiZqui n'onl pas u le quart deséhctews vscri s. Quelle poli lieu leurfaites-'tous ?

L'assemblée est consultée sur l'ur-

gence.Lurgence est déclarée. (Vive agita-

tion.L'ordre du iour appelle la suite de la

délibérsi sur la projet de loi relatifau

conseeil

lesupérieur de l'instruction pu-

blique,mnor : Je ne veux pas lutter

ec les mmnrs qui mont précédé àmitretribune. L'éloquence a parfois le

défaut de passionner le débat ; cummcje en sais pua éloquent, je vais saayse

de le calais. Les hautes coasidéralioushistoriques, philosophiques, religieuseset sociales qui ont été éloquemment dé-veloppées un. test faut perdre il s n lamudealo il an,fi.. du conseil supérieurde l'instruction publique.

Le rappermur do la commission eené la question Sar eue véritable ten-mu le vais tâcher eu calmant le débat,

ed t l u t e I J'calmas a de 1 fl .

il,F qa la f- P - pie duo à 1 I o à la pensée

de nec yens et ua peuple de soldats. (Près chrélionne, c est à-dne à la vrai civrlisa-a'i"i enMou àderite.) tiuo moderne.

L'orateur n'est pue de ceux qui re- C'est par cette inllnence que les cim-e la peédicahon d I d coins y. repran t d la fermeté et se redu Lrup,Lié, et il serait 1 que i o t de foule d Pa,llance.

tous pussent arriver à la haute maralué M. 3laeuial Delpi: justJje également la

évangélique. Que fout-il d'ailleurs de- présence de la magistrature dans le cou-

manderponr la soriét6 à 50e duoleiue Seil supérieur: iu sent les nlugislratsciale 1 Qu impacte s

iorigine ? Ce qni sont les fermes soutiens des doctri-

qu'il faut voir, c'est s lD't m val, va letoes et las défenseurs desO,S

c'est le but qni esl eheuu. lieu impur' liberté, publiques.uslif eut leste qu'il le soit au ana, de la révélation L'orateur tomme e J

,u de la r ison, de la philosophie ou de principe.. articles du projet de loi.la religion La d ôm e,' de la discussion générale

Ce qu'il faut avoir en vue, c'est le but, est mise aux voix et prononcée.1 1 t ,

lu'.g 'vl

d'a"Il. Il .uns centre projs mat été pro'

M ce q 'l 1 t p' b! e t p é Le premier estetI

de M. Pas-qa aujum d bai, avec l s idées et les re cal Ihrpral. 11 cet ainsi conçu Le dé

8o2est abraaillais moderne aussi hies que dlus ti lui du 0 nonombre 1 Ré e

o son contrevérité mêmeddes doctrines les plus

no unau nppme

raies et, de la plnlosophie la plus pure, pr tasLeedfmcldu 0 mars 1892 est leil n'y a pas de discipline morale, il n'y a poussé par lui, parce qu'il été unepus d'éducation sans liberté.

ma centre la liberté de l'enseigne-

Et test ce qui n'a été oublié tri dans la ent, dont ü a toujours été le ferme dé-omposition du conseil supérieur qui fenseur, et ne atteinte à la dignité et à

embrasse moles les forces s riales, o i lasécurité des professeursdal'ensefgne-dans les attributions de .ce mc?me eu.. ment public en faisant disparaître l'tna-sesi qui règle les grands intéefta de la .,ibilitl.société et .s'arrête aux droits personnels mLu loi de1850 été rassise modifiée

de la famille, aux fouclieos de haute ju- par la loi Je 1854 ; mais celte lui n

rijiction et de haute surveillance, du touche pas au conseil supérieur. L'orn-moinsdans les principes et dans les leur n'aime pas beaucoup la loi de 1850;

idées de l'orateur. crpendaut elle a aoumérite. Elle untro-

M. Vacherot enlre dans les détails -de duisail la liberté dans l'enseiganmmd etl'origi.e, de la composition et des atlri- des garanties de sécurité pour l'emseigne-

butions du conseil supérieur. li veut ment primaire. Elle introduisait eu outreyue, Pour les écoles de l'Étal, le tuai' l'eireliou dans le' conseil sapé rieur deseil supérieur ne soit Pas un alministra- l'instruction publique.uorermjnce,

de haute inspection, et lion 1001 rnl nesil'ayant pas présenter'béatseulement il voudrait que ce rôle fut craignant les compromis. lit. fhieen

i berné à l'égard de t'Elat, mais aim.it les compromis à cette époque, etsri à l'égard des familles. je ue trais pus, ajoute M. Puneal Doprat,

elil supérieur est composé par- que M. Thiers lai ait encore :mjouru'aaiI ce

faitement pour merlamen ionclevs v ;mais perdit le goul (On rit). 11 répondit au

il f ut aussi qû il .' il la mai. naile maintes de lige Parisis : s Nous ne metpart. Il ne doit pas être un conseil de train, duos la lot que ee qui peut lieugouvernement, d'administration, is accepté de pari et d'antre.. C'estla ras-ma

conseil de haine su vaillance, il, on de I'a.:cepiatisn sou- aujoed !mus

cmdrô!e, et ce rôle sul'fitr pour que l'an de A1. Pascal Duplut. D sait qne leu doitpuisse briguer l'honneur d'y siéger. lire de sur temps et considérer les ci -

(Approbalio:s ombreuses.) constances.Voix diverses : La clôture !la clôt.- L'orateur accepte le loi de 1850 au

de rester aur ce fe Et il n'estpeela 'upral-ôtre pas Bans impmdnnce d'ootar. 1 rnàl. Afatial Dclpiao lois ù la tribne,

à M Lôl lsdie ou des membres de la eonmmiss,ou

qui s adhé é n l j t le I a eu

y E l q tl é e n v . D. - t t salh u , J v: < la ru l star,. mais

mll p pere dent prés t. m t

q s,nt oe x l la l u I

Je voudra xl I qusr f é b ié e ue t

p 0 la a he f l y t I - le

t:'o 1 p 'l t 1. itrb ti ..n d -..' f P 1 .Y-

q j.sluu momprca,fs. (II 'I drat

eu-o selsapé rn Bàs rS t,peu 4. e d'Il éc t d I Fl , - lp 1 lé t t. l l.. Y

.epurs ta r 1: Le .ase:11 pé fouSi. .nnoco

ehe à d ILI t l l i

t- cl:ecr Ib 1p T crut , j cru'q 1 c.el supérieur d t f-i

1' eli t P ü!' 1 t p-1il à

cruper d I u ob L.. :J d

1 `sàIl fat I it ve I e pourt t tur d

[ 1 le f t oi 1 1 1 9,Je co cpr t b u I

pé i y.ag da I -

teuct I b q e de l La,t ( t à l ns

t gtic . L pé de famille vestI I LI., t I. i de Iinstruetion

l de son I 1

iode des dé 1 plu n n.. 1 p é .c d. n t s do Il. u'aurjt p é U. L t liure dit pourmr, in

doute pli à I m, ei env t mé e d:jà pas de Faso. d Ce ou d -s a due aa pu de f m Ils :Donnez vous

fous les joute à on scnlimLot plus mille A rail pas les mémos ru'smm d'étro: Le lu pelle d'oolror. Mais su conseil sapé,

tout à cause des gr iris divin s qil i re-1 I j t d I s font.

n dulus 1 vn per sur de quatre membres de

IA' blé: l',ntr.duWOn d : p I tquedes la C d l s g em t Il

wvuirt s u L l it .levd munster l't

ipd

C e co heu, il moi' 1 l o donur nsl séne. trop:e

u e,pul

t àI r,U,iiIer elté

mn aemm0-

ppote, rumine il é t L d'une dioutu-

u

l'espr,tyni vraisil sprose

nparque

Jiuman r' ente leu

doit

ala

oi,

usuedn large pull dans

l la

a repié-

ntal des idée, laiqurs au sein du

o I puecr.L mtrede l'snslructson publique,

qni a été non des gloires et l'honneur de1 Umvoeoiti, ne pourra pas oe pas s éle-ver contre la mulilalton yue consacrera,l

ls,

J;.- do d'abord Hom-M. Di'

mage a M. fh:ces qni, eus t a t l

loi de 1890, a donne un de m :ll roisg ge i ocôas.ce des eo t s.(T é h : )

11 col vrai que dans la loi actuelle, lammissiona iotroduitquatre membres

de l'Assemblée Nahouale duos le conseilsupérieur. Eu 1853, trois mombrea doSénat faisaient partie dore cnused. 11 estdonc excusable d'y avoir introduil yua-lre membres de l'Assemblée Nationale.

Les membres de l'Assemblée n'.nl-ils pus le droit de siéger duos le cm,-seil comme le ministre lui=mémo qui estle représetaat des veloutée dn l'Amerblés, qui représente le pays Y 11 y a deplus uu membre de l'armée et de la ma-rine. On oublie vue i novation impur-lente : l'intcµdu lion du membres appar-leuantaux Fécullésde Droit; de Médecine,des Lettres et des Sciences.

0 doit aussi faire attention qu il y ades électeurs qui dépendent du conseil1 m n Lapé 'e des évéggea aj l f r f II i. retiré u

mine: ce, ae I i.-Jnslrie etde

e lncul-turesec,mpero,d éêalemeut. Quant à la

I le h ix était mdr-actionq é d e s l ncien consul

v I L él ..ta de la e tien pernra--I.d s, il ot plu aulo..d'hai.

Il f !lait cepeu 1a :t co rver I indépen-Saue.e nécessame à cette serti.. perma-nente. L'indépendance dérive ou de l'iua-mavibilitéou de l'élection. Actuellementl'inamovibilité n'étant éas possible, Is lui avo la relever la dignité et l'nndépeada..ce des membres de la mctieu permanen-te eu la garantissant par l'tiaction, etuns avons désigné le chuta parmi les

n.embres de l'enseugvemeot public et lesmembres de l'Institut.

u. cras sntov, ministre de l'iusteuc-

dans la8lion pubiigne u J'di été a eldommission, j'aï délibéré

.1avet elle ; j'ai

q Lots des t, .ous s, sur pres-ueeen Lacs les

poioinnts

nousaveo

ns été dprie;cestpourcelaquejen'ai pas pris

lapparole dans la discussion généra'e, mea ont de lu prendre dans la rit-

lian des détails.M. Pascal Duprat a indiqué diversesivn lions, et parmi ces innovations,

acceptées par mol, le trouvait l'iauodue'fion duos le conseil supérieur des pru-feevrnrs de facultés et de robres ducommerce. Si mémé la loi d 10 0 ét ,tmaiie.rnue, on pourrait ajouter ces deux

us.l'introduction des gnxlee mem-IlQs o t à

hrrs nommée par l'Assemblée même, eutehors de a.. sain, et à d' s autres

od,icaues, fil. le m,n 'I f t

énerves, tout eu plusse q I

haL un, que la paix do: ventilam .er parton. et surtout e mahére d'esegne-meat public.- Très bien!

31. Pascal Dnpral a modifié ainsi soncontre.projet : . Le décret do Y mars1862 est abrogé. Les d:.vpositimis de loidu 15,uare 1850 sont rétablies dans leurtexte. primitif..

Le serulin public esl demandé sur cecontre projet. Il est procédé à celte opé-

ration.Lc diponillement du scrutin donne le

résultat surua.L ;

Nombre des votants, 625Mujorilé absolur, 313

Pour l'aduptiou du projetDu uel, 211

Couler, 414

L'Assemblée n a pas adopté.La suite de la discussrau est renvoyée à

demain deux hesires.M. le ministre de l'inléeienr dépose

deux projets do loi, l'un élevant de 5 à6 0/0 un emprunt de la ville de Dunker-que et un autre projet touclant aux ia-dumnrtés dues puer la guerre.

L'urgence est déclarée pour ce dernierop5.

tlavé n ça fait une question au mi-

nistre de la gaorre à l'égard des volon-taires d'eu an qen se sont Présentés aveeetimme. favorable. M. le ministre ne croitpas pouvoir, aux termes des articles bi,' 4 et 56 de la loi spéciale, accorder desbourses aux jeunes gens méritants. M, le

nislre ne croira-t-il pas devoir pré-

senter u vr.jItde loi modificatuilàl. René Brice trouve que l'équipe-

neut fixé à 1,500 le. est un hdPem mua-g' ré. Ce serait rétablir l'esonérafienmentir.

M. mou mmrsvnn os ez cuisson répand quetuuf en reco.naissaot le bien.fondé del'observation de l'hunoroble M. Bricej II

e lui appartient pas de modifier laloi, et qu'il doit t'exécnlue telle qu'elleexiste.Quant à ce qui c.....ne la fixation

dn taux ri,a ver qu'al par h.ail

volonses le,fu l observer qu'il ne

àagit pas sale-

ment de payer l'équà Ju::ae , 1lie ille-munt,L 1,indemeité à foot e ena

trusteurs, m es qu'il faut cuve eo

il' le déficit produit par les frais dru

vrlu.faires qu'on pourrail appeler bour-

aler

0 leD re'aduos celi n ministère is la

FOI fort redvect, 1

rir, iu rueevr Iode

1,500 fr. na fignret pas à eauu budget,mais à relui d a trésor

e ro D'après Ils esplirs.t, ras de Il, 1 de la guerre,j'aurai l'honn l d p ser demain unepropoml,on et d ,t 1 mo7:Balinnde l'ait. 55 de la loi sur le service mili-fui"'

La séance est levée à cinq heures etdemie.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

NiTOENT GRAitONF.

muscs

gagemeat, q'''il n'en .existait pas d'au-tre; mais que noua ..ous so,nme phi el'interpréter dan.' so. application large,en prom t. t I coneoma de notre oc-

Voici les d ux pièces que publie l'In- ti n dipl I q

dépendance fripe0 Sep .. q v ns avez cité prend

xp sé LP point de départ la

Lettre de M. de BeustaIl dur dl Grain'ni- f 1 11 a erg agemeets, a s t i ' , stue je vielsi

Vienne, 4 janvier 1373.

Monsieur .e duc,

La tell q z fait I hde 1

p tonsee d s pis A, lie t p

q, terappelant tee x-c

Il' -d tri préeiur , qn il f t sit p

e

..ila

portée réelle de, r',eux lésés dont vo sav'se fatoi t

je un sacs p quai s eop k t vos

P -C,Iar l fl v upp la

{I. - filt.drtenu.. le 31 .tri. ' y t

e Ii la p [eth vr rl,tli le d

au,O

-o

itél - t Flanc', etmf

nsse

sn l u., en ufh'r ris i m1

,,lutrichelepuisplus ursmeu ,Ce que

p blt Jsplai s pin e i' l tl l'e t Il

t Ix ser arapt s a[ fm PI_qua.

vuu

I I 11,111111'l il In., Il ,

s ' e t le la g .t q Purtr des rais

+ t ,croire tu 1 q q e r t I d I p l e > ta-}rovalna i g

r I d h t t :t bé c l a t 11 dans lua ' t

.III v,rtr Ira' hoaefirs riens. ,.t

I rien td ll d i I It ,lue1

e rteisucs l p t 4 g mu

al I [i t'l sl'es

I t1 I

dS

1 CPII

+

I ,..1

'n" i, u P-)>"-,L j ts u It à I tasht 'ill. h la P,arces

g ie Ja' t 'f l,d m, l,a 1 OI.L ,

!esp ' I

n,',il,

i rit sots rote n:Ir venyoemiéie l.lr.Initié.

pt

I s j1 1 tt t de d I A t .he t t

sympa h qua et loyale, J ai ru la 1 II t dore clora sent ét0 di que lors-tt.deque il incident n'aura serv ir que la Fiance i la ,;ue'rr; pas

compnmmltre es u rot du n mot n'avait été dit ni écrit qui ,litaveu

l'Alllenagbolsm,ie 1t

àrefroi. auterieé à *rompis, sur le catpmou pays rs mi.dit lis seutiavou de sympathie rit d'ee j litbire de le ducrla et, en cunscienaea

limelà"

, ùous' gardés cu France. 1,t monsieur In duc, la gaerre let foie dé-

r'est à I essuntoi. clarF,e, ces lettres dit 2l juillet vous ant-Je ne vous dissimule pas que, moi, j'ai elles gérieusentent luit panser alors que

égalenieut fera vé un sentititent de sar- vous ira mettre ,o ligne de compteprise, C'est que je

"aipar m empêchai O. une nitervettieo de l'Autriche à raio son

ouva.ir de a visite que vous avez orée! -Vuas êtes resté aux affairas plu-.lebien voulu Inc faire à Loudtes,buat00ua3 airursasemaiues encore pendant que lesbrun coup causé des événemmit. de 1870 événomo.ta de la guerre se sont rapide-et vous m'avez dit .ans réserve que vois ment sneeéilé,el vruillezdunc me citer un

de éaven c P .elle d'ailr I t rp àhl Aal )r 'rI . I 1 e p r "p p eVil.il .'ai'

t. n aipb est i q J I I m Le1 poleh1d1 é o 4taises u pi e T us

it I l' ts tr,ll P.,étéal alorss

p.dore 1 1 b c de ceux y

1

vous qee

1 tilt c mle I.iol'ueentendeet k rePrnulre est il per.ms, ce. a. o C J A .ii 1 tpesiuvemmd nos

,ail

t asi,u cuor.nt rte tout ce qui avait Lié

.deYerrontte roui d'abord roue lace dit et E. Let 7 t darL J g

notre ver

qur,e

In.paroi<a

egooo

al gué é.,ns .il, . la soneicu inpremiermenlsoeau

bieul,votre pcoudele ICtl li et qui

en

"['.il- d'eei, vous avez reaunuu qu'il n'y avaitvar t dans l'oie des miennes écrite opina à eoueil ro de epeéaicbo y u'une aclinula déclaration e- guerre ne ponvste le celle hlanle auprès des .eptres, et

làêtre mit e'l""t a,urc ce qua M, le cette 5che là Wons .,voisp.ratoint IL i

Président de la Répobligne selsouvient Agréez, etc, ere,avoir

entendu Vi_il, p rop

s -saga d d{ s i I P t s C; e de l tO1 P' h dressée au prince deea,eement à t ...lue oa rima t/dtcrnreI le f t Juillet 1870-l'honuenr de vans y vol cr amhu.sadeur V I p { i M Iriedu',IJo Ste lettre du 0 vous a déjà indiquévous ai demandé ails L t n' dote 1 t o- quel est tette peint de vue dans la quel'

Iu, 1 al sen f e ale'I'n

esp i et le I guA que vousMontil ic ic, pnsiibl { u +l apPa L t a ee

O

t à Parie. Le g I.é I.ouj ouràCI'. r

u te p 1 ,mire a n d . Il est ce- ont de I nation me fait .il deee la t t - s ' t i n P I

r peut.Dates, uu ., is avi.z éL . am- sujet, afin de b,oa pi ets ma r rbantou nr à Vies or, anteliséuh tenir, e et de vous nm0re à mGme de l'in-

u= le d+ les, ce meute bagage à tetpeéter.voire gi voe i fl a n rail que Lu r-ule m mari,,atin ,,, LoI lin que

nous euiiouregé Inal"maea à Paire 'ait faite le cbargy d'affaires de Frannela go ure, tandis que c'et le contraire roi celte dont purle l depl'he osloasibleque noms avons fait, de cejeer,J.Ie dois {rendra au dur, de Ca-

le I s'coude lettre ,rI ;

,ame d

bli'o P I J I P I I liée, 1 + cou-ion .I pl1attention I q. j p tac sar le girl 1 petit t,.mnetiei p

revoit q un I >de diqua Ivan t t l it t aillai a a déjà donné destenu iuteeeo e t par le prmce d témotg laies. Mats, après s,.re occupéMetternich. Je vous ce demundo pardon, de cette commuuicatiou, te mnrgnia demais n'est-ce pas un peu ,joce, sur les Cozaux a ajouté rrya par suite de activascoula t 11 me serait permit d 'objecter que partieullères qu',1 avait reçues du Aacle rnu[ r péter ne s emploie pas orale- de Craruunt, il e . drayait autorisé b

ment dans le soue de lam.,dite, mais en- 'cetreteuir . uradémiqumment . de leet surtout eu

teres

de diploma- q'' caltas de goerte. « Numz-bien, a-t illiai, pour engager gnelgn'un à dire à un dit, . qu'à cet égard je n'ai pas à voustiers ce qu'au dit à iui-rnéaie. parler ao nom de mon gouvern,rnenL. .

Ries ensuite ne pruuveraii, en admet- #lslgeé ce pro tubule, j'ai vu clairementtant mémé votre i0te prérntion, que le que M, de Cactus était clergé dn sondermême chose ail été dite antérieurement le terrain ot de s'ussurcr : i notre tonà la déclarallon de guerre ; mail jr n couva ti irait pus au delà d'une actionbesoin d'aucune subtilité. puisque vous diplomatique dans le ça où la guri endites que le prince de Itetmrnich,es d 'ci, tordrait à éclair, entre la France et laà ses iastrtte0oas, n'a jamais t an Prusse. Les immondices de 1I, de La-sutre langage, je premda ta liberté de ,,aux trouvent d'ailleurs leur evmmenions eheoyee ci-;mot copie d'une dépé- taire data le langage moins ouobigu quieho qui lui fut adressé, dans le momntt vous a été tenu par NI. Olivier, aussidé-ei,if, et jr. grils biens r que .ere a bleu que par M. le dot de Gramont.bassadeur, fidèle À ses imatrurtimi., n II est important toit n'y ait point depasoublié d'y conformer son langagra moira lu sur ce ri entres set le

Maintenarlt passons anecluelnment e gouvernement français, Je tiens surtoutce qui est intervenu su ire tas deux ça qua l'eoptc Napoléon et ana mi

governemmils. t res ne se faseer t 1 1 JI n deVar s me uppetrz une nég.cmh.n des

mou'quils peuvent t let sie

année 18pJ e[ 1x70. b'abord en que plument à leur gré au-delà da ce que huasvans avez en vue l'appartient pas, voilà avons promis est au-delà de It limiteen qui est encore impurtw,t à eonatatre, ui ...a est tracée pur nos intérêts si-r 1869 et 1870, mis à 1868 et 18G0, s, aussi bien que par notre situationEnsuite je ne cecis

-misqui, le mut de

ratmaléeleue.

t y soit applicable. Une sebi- 'a il ec a nie ainsi que lt teniée a ambsaa 1tic ans ait fait, I rtse le vii de

mis. ll v d échanges d'idées et de G,am t d le conseil t des ornai 1a ,apiejete, et

,colvoadrec bien vous rap- du corps dobservaloa que nous plat,

peler que c'était à ma demandé que je riuus eu Buhéme, c'est pour le moinsfus uo amusé à ,.as eu donner cunaais- avancer bien hardiment. Mien S tato-saner lors de sotie entrée au mire, rixe le duc à empire sur uneCette correspondante, routine d'us ce- pareille de notre part, et

mesurelu loyaulénous

raplére fout privé, fut terminée on 1S60, comm'.ple devoir de e pas laisser lesans avoir abggti ; l n'y a eu abselu- gouze nernent français faire eelrer celle

ntde

g s, comme vous conbmason dans ses calculs.rleez dû vous e, .otvainc par sa leo- Lraeut.tg..gemelttqueuousayenseen-

ture, trois points la eeraetér,t,eent. L en- Irai né réciproquemlut consiste à ne pastonte avait nn car mr drf neuf et o vous,

etonà n avec une puissance t

but parifiquie, il do t y d n ton- à l'issu l'on de l'autr Cet n ritles les guidions e pl t q P usa t n i 'ttique commune, et IA L l E que J n i d a htt e dval de déchire, .cuti abtc da I q t lai cep t pan gcas la ma n e se venait forcé de pa 10 t l ,clé que o

o't

fuir 1 g ie drue, d roue .,ég,cia,toil

armée, le,est t la F d eu le

Je n'a. ps b de I qesam,,rant l L 11 1 t

$ v I ul sit q

t u émeut F R I 1

env i q;

1 cide I IJt re cc

te t' cet' ii

le do J .Litai n

tris. Ja, n d bleu njvI equi' 'tir l

ul ,

t, t L

rt 'e I dilIt,e 'l' +1 i col e o.0 1

de n l al,t n je snj ors po I ve sent reins, I.

vJ'I6 1. nejt, u e at .

Loin,.mens lavs, toi m é

il s'agissait de signer uujJi l s i . 1; ,l » ri' h u-,ou il

té u p étolf Il'UeC

L It g t p Utt1t tl p

I e,upelo eN 1,,IC,i, tu lent. le Grat, p î t t pat t t I

est dit ci rbi me.gagésa Ine d. t t armée,

Je vain d m it ueplus 1 n' et jr diraique même,

stnous avmrspri ms un

w0'd ieu matériel ci. cas de guéire la France ni la Prusse, eu nia aitjamais été que nutum, le enrolleuee d'u-

e Publique suivie d'eu commun avenrd.Damas n rions songé et oucnnLiai n auge ait jamais a te mettrevis'à- vis d'ors aulne dans une lonoutinndu d-pendavee telle qu'il dut prendreles armas .il queutent selon I, bon plansir de [autre.

L'empureee Napoléon n us a prmnis

de 'col'étions

9 F I l ,lü1 e lut ob

'gad l itr1

l a d ,ce u s gril noua pr d l atâdu dF I W g a la

Prusse

e sanseau

Mais 1, Faac., alitgueea.t>n , n'estPas, dans la eirconstauce actuelle, lie-,r,,,,,,,,. L tl P s 1 pa q e lagrena, s cils as rur+,,rte la cauJi,la-taro du prince de Itohauzollern.

Ceci est art point qu'il est indispensa-ble d'exami.er- Je ,eux .explique' àcet egarrd avec une entière simeératé et eu,,, ulbic suri de la Trouas.

D'us tous nos pourparlers ronli1on-bcl.avec 1. v evwttf içan ltavons .ci a Prie p p I d dce trtua no ris vuu mes ana,[ tout te tri oi1enart la paix et qua noue n'anrioma reeoaraà la gué 1

Il I t 'a rL'est eue Une, 1. cas pnéle t Elle le J

dra peut élee, mais'

est eov,eradie eu grande partie lattituledè Le I [prise

eue ludatuue fiatppr mer .70 Il thenr Ltel O ,i était pis on fait de nala'O a me-ns pur loimènt, à cette c00ségsau-ce.

Qae ta Fiacre me fit pas relléeindifPé-ute à rat laciil col, rien do plus juste.

Moelle y vit d'abord nn manque deprocédé à ,on égard, et

lie I à dignité, ciel ndeqiu

m,I L'a

af I Quelle déclare ses inté,éts I'

lacés pa I avéuemeut d'on prince PrIcis,cn su trûue d'Espagne, c est enc,rc làon fait contre lequel il n'y aurait r' uà redire. 11 y avait eu Ceci Ibcessiond'elognger une Campagne diplomatiqueuu a Frenceavait la partie f,trt belle ,

utl la Prusseci

l'Espagne étaient évi-dun+roeul dans tes, tort, et où l'Europe

r it été disposée à se mettre du côtéde la France et à 'exercer sur les deuxautres puissances aue pression qui au-raitcu pour lé sol"' soit dadeonerpoci-fquzmeat uno ample satisfaclioa ouitntdrérs francaie, soit d'assurer a. gon.

minent français an grand asceeda iimuratmi, cette snisfactiou lut étant n

talée, il était contraint a prondee tesarmes.

aurait rail. exposer à l'Espagne ,dans mu largage ferme , .aie mesuré,quelles :tai-1 les exige..es éémade l'ietér6t de la France. Des

ddéclara;

Lions analoguesauraieri été données auxcabinets étrangers et ceux-ni au seraientcerminemeni",,,,,,,, il .Troc a lu Pleu-ce .. ,motion tfpout

'détourner t

te taus de ,(Implication. LaPeaase, saisélue prise di, ,,,lament a parte par laFronce, aurait prabahletae ut cédé, et laFrance aurait la nul l'hoaanur et leprofil de cette eampsgoe. Si , coulreito-m. I s tout, alloue, la aras perle''

faire ,P Prince deO 11 Jdt

.'igé, sè1

1lC t g o cav't

dans lest ['rus moi ales les plus Pa-vorablea à

lula Frira..

Le gouvernement français en s'est pasconformé dés le début au plia que jev

nos d'esquisser. Ses prentoules manieova eilé

c'est simpiemeat avecp:.ssfoa qu'au idiot le à Paris de cette ta-

o la l u L P laça dtlalweHoltea-II c tt dit l t st pas de n

t e à p' d la fi ce

l'os et s dmmer L. desre debe q oa de pareils aaspi-

Si , l 1

tnt, il y a

Jouit desse,. , c,.rté de provoquerlu g le rr, et c.ti ootraire à tout cedot étious us. Dans en cas,j t e l s cecote .ni ai que l'on

Ot s tfe'6tPari, la

el', -év,?,+-, mais j, le er s dicté parrte v i l cle, e

', orla France, aussi

b- que 0il, ai. lli,d de pour les ici.érosqui r nhfs. précisez bit.ai,

comme je I f t la p tee de nos engo-g t ., que nous les tiendrm s..es il 1 ,,eh pas qao cas nous sent. sil >il il L

r t omio ,mies à les dépasser que+ 1 spin var la précip

+ r

lv

t 1 pose, sans séces ta l l-.nte

qtpiévena.t si peu

la q las do boD ll d ch - de res considé-

I' t p l l'q Il y des ,also.us .a-t" Ii. l u émettraient pasd peni t t de belliqueuse Le

u de Ge t usdu-

trop préspour syom

eMême' si i levou-

lions, pourrions p.s mets esubitement sa' pied des farces

renpeclables, Las saerdices et tas citonsque cela exigerait saut tels, qu'il fau-drait, pour tes imposer u pays, des mo-bl's bleu autrement pressants

Il-qu'one ceupommait

invoquer aujourd'hui.Nous u'avuns jamais dissimulé le besoini upérisas que nous avions de la paix.Si le France trouve l'ocoasias actuellefavoable pour cutrnr en campagne, sielle se se à

rése n t tou

ns teesuse

s

ricsm forcese de

,

tlesoplonsneyer désu-p

v en di ta t pour nitreparpot,

Ce n' et fa U jolie a lendemainq ous

,-i

pim,ours p ,ei n à l octL 1 par r le g tout t e e soa-

Lèverail co r le gon t '1 seeuJatatt h s é d s 1 p I 'd'monguerreltmau

st rmpoevae 11 tauds t

m eut cas, que celte eventualit se présutût cool ne une eulgence maillons.-

blé e de la situation, et perso,me ne vou-drait aujourd'hmi admettre chez ..osl'esisteuce de colle ex ce. Je ne dispas que de telles éventuotités ne puissente peéseuter qui nous amènent à inter-

r dan. ne lutte engagée sur igarstien d'fn0ueuee entre la France etla Pi murs, à coup .ù, , ce s'eitp a j hat de la ,;lutte qui seugageaojoal, hué qui on trouvera 1 empira a-,-L, hongr' d posé ày entrer Uae ut't t. la b e caille pour la ]Plumes, la

,,lutin, de ne pas s'entendre avec

e

autre puissance : voilà tout ee quele govvertement do l'nnpe-nar peutp rit ,ire a joutd'hut, sil ne vent pasltrdame uij par le sentiment général.

Penctru-veus bien d-s considérationsque j'expose dans cette lettre. Je .,eu

mets à vals .var, confiance pour lesfaire valoir auprès d,qui de droit, 11 unfaut pas qu'on s'abuse sur ce que niaseu voulons et surtout sur ce que nouspouvons faire. On est en tenir de sg à Paris dans uno bien grosse par-

0 t peut-étre déjà trop avmmépo r e aler, et dans or cas voire lâ-olua ptlnmpale doit Géra de veiller à cequi an ne se méprenne pas rtei nos in-mntioas quiont Oincêremeut amtalespeu, la F'ra'nce, mais qui restent ssusdoute audessius de ce qu'on espère sarostrop de ,motifs. Nos services sort acquisdans ..e certaine mesure, mais cettemasure en sera pas dépassée, à moinsque les évènements ne nous y partent,et nous ne saageons pas à muas peéei.piler dans la guerre uniquement parceque cela conviendrait à la France.

Faire accepter cette situation à l'em-

pereur Napoléon et à ses ministres sariprovoquai leur mécontentement, voilàlu difiieulté qui vous aüenJ et dont jecompte sa, votre zèle et votre inltuencepersonnelle pour triompher, Il ne fautpas qu'un accès de mauvaise humeurcontre l'Autiiche prépare une de cévututieus subites auxquelles ta Francenous a malhourousement un peu trophabitués. C'est là un écueil dangereuxqu'il s'agit d'éviter, faites don' sonner

-1101 que Possible ta valeur de nosag-meuls tels qu'ils existent réelle

lemc t, et .aire fidélité à les respecteraile que l'empereur Napoléon ee é 5e-leude pas tout à coup à .os dépens avecune autre puissance; on que d'ailleurs

s impossible puisque ce ce-tours Croyonstraoi b

n

l i'ait

e ., aux enga*ements ""i"':que. 1 e ,O sur la nooy mie eu ce quil

i ce pmnt et tayez en ..tel lesY- bien ouverts. C'est là ma da'.i Secet ma priuctpule r ncoamaadatioa,

Da L.c51.

besoin de faire rassortir l'importance,

- Les Cuira ,,a lu péenmis ont envoyédes télé,-r, non I, d i éa à CI's-aln,

lehurst. L d p a é' té

celui da l np sur GuiLaoteo d'Aile'

m uboe le réfl mil y aurait à faireair cette dépêche-Il t

(Coureitr de Proses,)

Noua lrouaesi dans les journaux an-gl les renseignements s t 1 es

l st passé a Ch,lehurst depuis iamois de Naeoléon lit :

Le prince Napolew, , Japunceeso CIo-tiile, Jlll Il I 11 y et Abualucciso

a vfa n hl,.,,.

Le10 janner, MIL Downey, plrote-g h N v otla- et esentée aCh I 1 ha au ilienm été

m

ppelésp p ud l ogo de défunt, et 01,161E t d [ 1' cc dan lal' b'e n t p . Le (défaut gisait a

d t é 1. têt o morue par delI S., sa p an trouvaient

e btanch de rosier garnie de Meurset une b, anche de buis quo avmeat étépla,és par l'impératrice et son fils. Lestoits élaiest calmes et toute expressionde douleur absente.

Immédiatement après quelesphotographes on[ eu pris leurs éyie tues, l'o-tepsie du corps a été faite par air Henry'Chumpson, sir W. Gu11 et 1111, Clorer,pétille et Sa.derson. Il résulte do rap-part publié, que [les coins étaient s

.'lamés au. haut degré, cela sacs doutepar otite du long séjour du calcul dansla vessie. Les urétèees étaient' esceaaiee-meut dilatés, ainsi que les tissus desdeux le

Un côté gauche, la dilatation était ex-cessi,eelavait causé l'atrophie de lasubstance glanduleuse Je t'nrgael, ducôté droit, '1 y avent inllamm t -g e plus retenu: de la s.bt e tub.tse. Les parties dans le voisinage de lavessie élaieat saines, la membrane mu-queuse de cet organe et de la prostatese trouvait esllamméc, mai, point dotout btessée,l,II

forme du calcul trouvé dans 1. ves-mie mil ait qu'il avait été diminué demoitié ; deux ou trois fagmens trèsoenas, aucun d'eux 'étant plus grosqu'une grnive de chénevis, out étéaussi renaont,és dans l'organe. La moi.ti6 du calcul pesait environ 21 gram-mes ; elle avait 31 millimètres sur 32 ou3. Ni te c,Oon ni les autres organes

n'étaient attaqués. Le cerveau et ses

eroheenea se trouvaient ce parfait état,la cervelle pesant 1 àllogesmme et demi.ta sang était généralement liquide et

contenait que quelques petits ratllots.Nulle trace d'obstincuo. par coagula-tion n'n été trouvée dais tes veines etdans l i rtére puieura e,

La mort a été causée pur llv- cessationde la Circulation et doit lire attribuéeà l'état de la constitution. La maladiedes reins dont cet état était l'expressionelait à une telle période et de telle sa-ture qu'elle aurait eu tout ;cas amené enpeu de temps un résultat fatal.

Le procés-verbal d'autopsie est signéde UNI. Sandseuon, Connean, Thomp-s n Clvvex, Farter et du baron Culs i'sort,

on W, G dl, forcé de retourner àLundrSeslausst ut api es t'autopsie, a donué eut approbation au procés.verbal euajoutant quelques observations médira'les.

quel semaines et mGme depuis quelquesmois.

Rien de changé dans sa physionomie ;la mouatseho et l'impériale n ont auc.p

h ment.PI y. ggmnent parlant, la structure

de I , iIperour était robusl et forte, etla po,tnne spécialement était large. Sa

tête était Ires développée et le sommetde .don était parlicuhèremrnt proémi-meet.

Le célèbre spécialiste Brucciani a étéappelé à Ctmhen Houle pour obtenir unmoulage de plâtre des traits du défia.

- II se vend dans paris un Iléeils il.lustré des derniers moments de NapoléonIli.

Coût : cinq centimes. Les sondes mê-mes sont représentées air cet .pascale.

Nous liants dans ia ,correspondispatisienoa du Couiner de Bruxelles :

Vous ignorez pas que pl'atfaire Basai.p est ette sortie de la longue pli..qu'elle vient de traverser. Les loterroga-(dres sont terra nés; plusieurs rentamesde temoias ont comparu, beaucoup ontété entendus très longuement et a di-verses erpuses. E. dernier lieu, un de

11,ompatnoles a joué, sans eau dal

ter peutétre, un rôle aient importaitdans l'information. Un des principauxmuyeus de défense dit muré, liai Balaie.,accusé de notre pas ver, à temps ausecours du maé hal Mac-Mahon pur

s âune vigoureuse a rGe combinée reei, et de direles l

,'aval tpadi de c d

.qu'il n as reçu1 l,

a lui ans dépêcharche-eu

eduale

llui annonçant sa

marche e avant vers Metz, t éuipartir ce e umeul,tl lui a5 étépo

-

ssible de cominuniq.er avec le de-hors et par conséquent de se concerteravec le commandant eu chef de l'autrearmée.

Or, le 21-, e 2fi (je rte Ml selde ta dote à m joue pies, mais je Linsle fait d'un téumn ), ue ;marte belge,leP. Roel..... voyageant eu chemin defer, raconta à ses compagnon. de roule

teqIi d revéchalenaitaBdea, leqmMetz ouelù il

luiavaitavait

vuremisazrma

"' lettre sous double enveloppe à l'a-dresse d'une amie de ss femme, demeu-..t à l'aris,pour la faire parvenir à cet-

aurieules dele-ci. Deus des témoins mircelte conversation, duel tes noua se senttrouvés connus 'par l'enquête, on été in-terrogés à ce sujet et out apporté lesparoles trés graves du P. Boetma.a,qui pleuvrait que Bazai.e, à celte date,avait encore ses communications ihbres.

(Unieers).

mess en 10 ar 11 r.wnsn.

Aveeseng (Joseph), 14 mois, rue Croix-Baragaon, 13,

Antoine, ..cou, 67 ami, faubourg desMinimes,

Cse De(A.élie-Gabrielle), 57 sas ,épouse Delquié, juge, rue des Renforts,14,

Mercier (Adèle-Thérèse), 61 ans, veu-

ve Duc, place a 6,M.ssip

(Marheie)

), e ia

isinièé. , 75 ans,

Petit'rue de la Da), lues f 0,

Soulignas (Pierre), peintre sur porcs.

laine, 47 ans; rue SI Bruno, 2.Riyals (Marre), ouvriére au

no

alot, 22Cet..

s faubourg BuuhoureSar (Philippe

Claudel,

: chef de batail-la. d'artillerle de marne, 84 ans, ruedu Pont-neuf, 22-

Capelle (Paul-Etieans_Aatoiue),avocat,

rue Malstache,l0,

De .ombreux visiteurs arrivent àCueille. houle à toute heure, et le té-légraphe transmet à tout instant desmessages de co.doléaace. L'impératricea reçu poe lettre autogaphc de la

"ea Vicmriu et des t61égrammas duPape, de la reine des Pays-Bas, du roide Saéde et de I. famille royale d'Italie.Parmi lespull o..en qui se sont présen-

tées à Cltislehurst, ou signale le prince

et la princesse de Saxe-VVeimar, le mi-i ire de Suède et de Noravége, lord et

lady Coavley, le .a'g'is dAgeadn, lemarquis de ta Valette, le peinée CharlesBonaparte, le duc de Bassu...

Dans la nuit qui a suivi te décès del'empereur, t'impéral>'ice 'est rendueplusieurs fois duos 1. chambre,merluatreoù veillait une Sarue de Notre-Dame-deBon secours, et a passé en long tempsn ,Prières. Su. fils t silencieux et

trise ; il a reçu un télégramme de tarelue Victoria.

M. Rouhcr, le duc de Bassano, le gé-nénl Flenry et le marquis de La Valetteréunis en eonfécouce, out décidé qu'iln'y aurait P. d'exposition du corps,9ne les tuneraillel m,eairut siePles exu'll ne serait as fait d'invitation offi

ceelle. Lecorpâ restes pondant deuxjours dans la petite église catholique deChislehurst ; le lieu de l'inhumation. estpas encore fixé,

- Nous lisons dans le Daily Tele-

grnph :

Le sieur Baret, de Paris, atteint d'unasthme depuis plusieurs années, ue pu.-

voit rester couché sans éprouver destl'ucalians violentes qui menaçaient de

l'étouffer; dopais pré. de trois années, ilétait réduit à passer la nuit dans un fau-teuih Sur les conseils du professeur Le-conte, il fit usage des CIGARETTES IN-DIENNES, de MM. Grimault et le .-Ilog,=C ft immédiat :dés ce moment,les tioas cessèrent; au bout dequelques jours il put se coucher, et cha-que fois qu'il éprouvait n accès, l'aspi-ration de quelques bouffées de femée deCigarette u(hsat pour le calmer, -Dépôt: pharmacies Vida1-Abadie, Géla-bert, Postic hères, Comére, (3410)

M,'PELEGRINI

MÉDECIN DENTISTErounocse I

Bue de la Pomme, G7

Emawusnaue'Dnn osas pour la guéri.,

de toutes Dents gdtées. - Pdu flacon : 5 fr. (Parla poste, 3 fr. 50),

Ananas spécial de prothèse dentairepour remplacer depuis une Dent jua'qu'à ma Bdteher complet, sens extra.-tue. de racines et sans douleurs.

. Tsaira..a, des maladies de gencives

et de toutes les affections de la bou-

che en général.57 ,tee ce t& renvoi 57

rion pas estauoae ae por n On a va que le Journal officiel .,aitd'us, action diplomatique; II'e, 'u, tannoncé en rennes d'ailleurs ..sien..bien plutôt use véritable déclaratiau de lilas e:t dans uue cu note lacé, enarres:eI u la plus", a d:s ill.- pgaerre

l imile, la mort dmes ,tri IeIL^nt l'émoi dans fauta FE.- tête de la P'at rie c eépublirapt et lu+i 1'a.u croire aisé .,.t la un de, I Napiléou ill. Sous la seconde lt le cete at pe,nsdité 8a - r la guet e à I i o,' avait lémoigméI p, iltfaut

Pour'la

hi ti L I v pb lt P 1 p p r r I e, ç t la

d t . d 1 t e f li m rt d I I f l ppv

laux [ a i b,,-e qua t p' res d le M t r r l n

E: p g I L 1 ;l t p au b rate les ta t divers, dans l im-oue sut,s

,

air g Star nnonec la mortt la td I it s'interposer ' 1 ve sait- . L 'E

I g l a f Nous a d 1 C 5 d l içais,

à P q- I V e pt 7 plus In. me -0 ra otteit hie V Il squ'on

Yous ad, r.z que nous Wons som- ee a f av o . . asti:: pu smes o t lamés au traieième Point et ce Ce ,,,

q st p I I c d 6e O.'est p - I i ,lot dévi

ede 1 -e {, L p t de t

ont M J le répète n i' N - dé r > s I t

on' s l., ,il

to-114, es7 .tp tel g lt.bte , 1 d t F ttrio avmt sigr la - d 4 1 cu-'l t dpl q

taira inla,vaair 1011, t ert io d p t, 1 t t ,t C r làacla .. ni,que aura[, ï -don; à le croira, certains on 1 { , et qui n ripas , icla,a e,meut ,cIp h q

C t t 1 q', sc b .,r e t

L l gg,l tqu té llt tY ""i j sét ét la

lait r d'ou t é I t dImmenses ré, p o. le .s t

.'en uat sc p ssrte Inul'u d L 'mes.

YmIs , par 1 e dnjà citée,variant )p date du 11 j flet 1870, que

mous nous Gammes abuyesue de cet ou

beuz ou trois heures après la mortde l'empereur, le corps fut étendu, etquelque'-..a de ceux

qui

araient suivila tarisse de Napoléon e Angleterre etqui étaient veuas rendre leur dernierevigne trop tard pour le trouver virantfurent ad ie la maison peur toilaite su d- e de

La ,h b à o lier où 1. derrtére,scéaedecette génie existence s'est pas-sée est petite et mmplemeut menblie,Elle contient de.. lits, dont l'uu appor-tient à l'apparteuent et dort l sati n estu p, ,il lit de fer allaindé due autrePièce

comme étant plu c euable Pour1 p lion, c',at sue c 1 r là queà, repose1 empe r ; ce lit i placé n aiegauche Lonc test le plus importantt Lii pièce est une ..I. eu r placéede l u que l'empe t 1,.,I,,,-.

t 1 ' i l t i I i q t1st 1e {

Led

g a bien 1 1 d t âl P t d t l- LI 1 J'ai épouillé pl f t le I 1. 2 t d l ml 'L q ad.i l s P>ip 7 lt r tl bu

tditp t pét t l p é 1

1. e t L d- t I bl. e[ I t t,sué: arrivé, t si ,,u 1 d l 1, I l : q r r car 1 1 il l it d J I. g d -t 1ilsen I n l Plu ul x p J I é u00 l e t 7 I l : t l e Lent le t s r iat il rit p y ,,bl d'y nn

st l'état d cran .tq n l 11, r i iJ tes 1 f e.tq i 1, 1 de Il U La.rr Et al pat d 1 matal I ma é 1 t

mut f d il, d 1'be,a ici me, e le pot t l o> y x t f. t o!,a damei, L1>lio p e t p I t délit J v

lai devoir, nos soaf-les Pré paai.fs d 1 g aille, n i f, fil ,o te tamee à I r tir mm f pi m I et g a 1

e se

maintien do la paix, ainsi qu'aux ebeer- rieux pouf ne pas dune tel lame x Aéliealabo,a doit nous n'avous iras I,:rcea qu'il a du ootucer depuis quel.

a,l p t l d pimacti y i. 1, 1 t l t m br 1 1 emr d f til", i.2lPa

cob:read e pas arasa u oyrn a os O', te ,té M. Th e

t t e ul M D l de luiCep 3 tlo

appeldqt. t I

d

1:Iir

.e"'i"t,111 q l t p t JP- f t t..t l ly dé , l' rat i f

GUANO DU PÉROU

d,31- Dre)J(us e1 Cs, 2J, boule-oerd Hoossmamn, agence napciere,

dt ,crac,,,,, st Péruvien et ,mille-sionnaires tu 000110 du Pérou, mots

omit d'insérer lac aretalairosaivante rparis, le I., janvier 1873.

M.Nous avons l'honneur de porter à votre

[qu'en vertu d'un contrat

passé oubli, 1. couvsnrv.uanv ut LA saru-st,cum nu eàaeu et notre nais.., eau.sommes à partir de ce jour, unique dé,

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

tenirurs I t I. R 2 Dei pF.8iU11 I Ag nIL m pouna prendre. ses pr. au® ne

n le a d r pal dans lors mCin q la r.. Ire p } ¢ D. 6 1 Lvp. 22 n 5 J;3 511 étreugers, pins P, v r d 1 é

lion Ltnde de N ,Wn,, de loulaise. n, <r L su l "II a UI' 2 ly1 - k1 1 3 l'.fl et de Mnnl hauet avo S seuls le 'pied de veodie cet Nos agents dans tes dépôts établis jus- S'adresser à hl Lavai, secrétaire part) s rites nous t es en F cette I - , un i,n Ite, t2 30 e 3 b0 Pe x pr x pro rques

e g dans tout. et ses Cel.- iler de I Chambre des Ni v ras, ru et très chers en IL II e t c O g D k l0 - pr édemment et dont on trouvera la

nqu'à ce Jolie sont : les besoins sont b o x I 11

50 a 1" 6o 1 t r le plus bas.iD

rmpai Litions sont loues duecfn- MM. C. Bounnon Et C à Dun4e-q',e , L ponniè 2. [5405) p g A. n - a 10 - E u e, la s tuahochan t d p

am et do I é r . C. Frcouur, au havre; péd t p é q. I 1 h: A1' - 1D - 3 1l - P. aube le moindre

1 c. pr f 'é. paf I /ouvernetnenlplru Léon Iluls.lr, à Nantis et à S a i n t - - - - I p t L I I CI t 'g - o - buée I e u-

Nazaie d . l a h i Il I )q 1 . t t h. Henlae oar 1 4 I t p r i xp set réel, etor, égrt I tàfal \y ürro, Is prd tdl tf qI i puer Ira5S(l0Sau 1 ange ,1. 2'" Yr .0 I p Ir la Adolphe BomAtt, Radeaux. 14 r vC v1 £ -ïa ,men[ rl <s .p d. t i f d bd,e de 122 ail Il2 en gare. pare il d 1 pr esence 1+, laaie,

amfi. faiblesse olt ,n locale due

os généralePriori' : Nous nous proposons d'établir dos dé- ab-de, ce, lot, I é q te et dI

- a, 1.récolte et la rar reté des vine

s.e la s

331 fr. 60 pela en que mité de pbla, soit dans d'anhvs ports, soit dans atAdLhr. DL Iï poarre-Ion espérer ale ra des Cours des fourrages à la de lia esem lmi'- niions? Non le commerce se trou- , Bran vieux que l cours puissent

suhtr te

B4) tnro-. et au-desuers. l'intérieur de la France, au lit, et à:trié Je. 50 pria en qunntite sure

quenous en eonstaler lis le Beito n.

Da 1 î Janvier. cule de Carcassonne, du 8 au 11 janvier: moindre changent moins en baisseq benrenx de pativoir orheter aux

Au^^rite

1 qualité, 4 fr. 50 las 50 kit. alors même quo lesnecraintes climatéri-

mo:miro , par tonne de 1,000 kilo- Nous a.. os l'hmmemP, M , de IL ne s présente pas de granueidis

a lieus prix, etune

e housse serait mime s amors, ds brvt, dans uu de nos vous Présenter nos salutations empres- quantité. de blés à la ente; aussi nos àcraindre, Si les vins .'.,alerte dé à or" Luzerne2 esparset, 4 fr. id. 9é es nue nons plus haut ue

dépbls ci-aprés désignés. nées, ara restent très fermes, mais sans teint dos cours J Foin 2 taupe, 3 Le. 50 d. e t pa réamlisées.nifestons

qui,dans les temps

ordpaille à man er, 2 fr. 50

id.Le Guano sera livré en sacs plombés, pRIiVFUS PRItRE5 Et C= hausse nouvelle. Les anheleors sont peu oires, ne paraissant pas devoir être dé- g Cours dos vins dans l'Hérault.

et il on sers pas vendu moisa dun - dis osés à pa les via élevés, oar ils Paillo à Illière, 2 [r. id.p yer p passés. Aramons légers l'hecto 10 à 11

placent difficilement leurs farines; mé- Les su'airen traitées pendant cette si'- trce wdicr. id. ordinaires, 13 à 14sa Le paiement sera fait decomplant, Je m'engage par la présente à ne fat- me vu pair. Ynu de demandes du

C. BAdehors. maiue sont peu nombreuses: Montagne 2me quai., 15 A 46sa ns escompte, contre louis de livrai- 3ifier ni altérer, de quelque manière que. x. ou,e Quelques petits lots ont été achetés à - id, Il. quai., 48 à 22

I

v e Do 8 L autres râles seront tenue par MM.Z j Y

t7 I O ' . $ I , d s

28 [ 323 2ip... les Narbonne. jamin, M"' Redora,Ma , Viuauy Bnna la e.rm Je yp3

F3o9eIm

COp( âA, 1- sr I 0 iIl pli o I1. L l00 I. te.[ nos futaille et

'-p px noua I u BiLÈ) v ... +4 fet tt Upg - mm

D'. pue AIR, Jacquet0, M. Label ety t g y 119 bf eut do

mmvohé muni btatimum.

Dqe .. Mlie 11 5,."DE

us I.E3_ une .. i, o',26 PU

SU

... ..,. . 11 rat miré 2942 mnnfin u Acneanx.

I rchet r d 'il donc exiger que le sac TOLLOUSE Téi. c'] 'o 1 e t 2 -id111,91t

U 2(, .12 550 Dlnuis ou values. aa reaea.p l b tt tt m lue. a loin 1

o: i 'r, 0' a7n

5' id. 1111 25 '7

l1 08 Pues. sessssx uns vAn lens

50 k b5 f l r os.4 r. esV Pa i térdt d s Art 15 J p .h t de 205 1 7 es tl C h rs 2 à

liutl l d Aiue I a d d bo la t d- l t gl s et'las low I t1

ua xr lesuoagle, 2 1 13 f 1J 18 Mardi, 14 janvier 1873 à 7 h .J -'

l' t r li,s v 9 seul I gl é,i

I.'d' f 11 f i u .,,, ,ef t0 U.1if t 1 i, 'il7 I c117 5 ù"' " LITS CttlsVALIERS de la TABLE lt0\luil vo r p iéch i les fraudes et les B In bon d "s I Pr e tees S - t. isola 1+s1 Ab I 1 q . hté, 111 (.0 20 41 Opéra boofie en 3 actes7aisrl e d toutes sortes et nous vwe des s 6-.pas, t (3411) 8 151 +bi -- 44 00 4( i A net id.

122S 1)118 (17 l é s, Samedi, Il Jaovicr. Les Petits Neveux de mon Ouclr

I onI LOns avec roof ante sur leur Bde ll. (Ex 15 I vl 17, 7' 11 (1 L s do J fr7 h74 cmnédieenI allé.

vis

DOC7 LURo 'spUne

LEseconder ras Efforts. KK I R p i' 19ü a Il n1 . 17 2 7 3R l (tour:

le.A ce[

elj

ffet, Wons ferons signer aux Bona,a

9D

U

60}&8,l DU1 -s f D' il - 5

81U 45 1 I Mars, Avril. fr. 711

Et ors une convention , dont nous . roannae a4 Chtnds fr. 78 nouasvauo nu `le ssrramnau

Inunrxans une ropie à la présente cire.- F ... .. à E O,i 00blé Cet[,. D

voie, t aaaleeas, oh noua eop'tat ,(r- 1 dn77Bt

13'5 I)at p GRANGE ftihNLi RIE DES INDESunsla part de Cellx-Ci une vi0lalion DE LA FACULTÉ DL bIEDECINE DE Plen S f rn (I d paya (OJ e { '-- D p a bic p Bi . fr. 77,5,

d'1 f rit d nr fr. 711 llt: J -L, PI 1NCl', seul p op ét

00

marche de Limmus d 10 J 1873de celte tan vention, nous nous réser- pailla te. 76176 2 Février M1tars, Avril.T , c:.

7ouse tris soirs, à 8 heu grand, rn A fat auds fr. 78nv le droit de ne plus Iu vendr, et

24, RUf. SAINT-ANTOINL D11.T, 21 e 1 s''v idannoncer publiquement cette délermi-cbvé u aé L B s,ér lita. '5110'1110 filé, l' ! I r'.

xa 24 are.

SI 011talron du célèbre d pl- M.nation

OO a 8 l' I 2 22 503/6 m

tr. 67 71.R1'LND dans la cage d terrible l igi<

ena N % ! é. 24 fr. 53BEm dévie P L'

son.esfrais des magasins

ce soit, le Gumais

mrode

dle

n Pérou quepur

vouset

metel

m ---pg IX

Névian dans les prix de 52 à 34sle. 9d, ext,â, 22 à 25

L d'enlèvement livrerez, revendrea,

M. Auguste Fable, a vendu se caves Marché de Béziers du 10 jamiee 1873.I

Cours des vins dans l'Aude.-J

P."as _ de Cruseades et de Gas aises, 1,900 hectoseront à la charge de l'acheteur. que je l'aurai reçu, pour les Besoins de 2devra pre immédiatement l'agriculture. n yM` p m dans la semaine, on u payé : Narbonne extrà l'hecl 3B à 36

C,^lui-Ci ndre v

q par Ae m eu e aussi, r moi et mesav n à 3f fr. r. 78 et cours en disponible. id. ter choir, 33 4livraisnrr dn Guanq .i, à tirrde ce gag pou ose r,m Irn q

uW

A Rages et à Srgean dans le prix dg Fr. 78 les 4 premiers mas 1873. 50moment, sera entièrement a ses biques. cheleurs, à 'exporter, n vendre pour 81 élu 41 27 fr,

pourle

id. 2me choix, 29 hà 3

faculté étant réservée à Paehe- t'exporta0on à l'étranger,1"

Guano duFr. 80 roui les mers chauds. Monta ues su

leur d'examiner le Guano dans les ma-9 à

b" A Courson, 9,000 becta ont été ven- 36 marc, 57 fr. demandé. g Supérieur., 26 à 28

l'éros, sans votre consentement par I d ,l° ai M. Cambonnés1 à 11 fr 50, et A Dette marché de ce jour, le cours duid. ord noire, 20à 25

gaina et d 'assister au pesage, aucune écrit PI utres usep<s lares dans les 3 6 bon goût disponible a été fixé à Ira 76 petits vins, 45 à 16

riclamaBOU ne Sera admise aprés la li- Dans le sas où moi ou mes acheteurs Cradeae aupévasa. 1871 90 9 5'! Ira a `- -niellas c dr Ù871 ne X23 00 23 GU Prix d:. 10 f Quatre premiers mois, 76 te.

vrarsoi, nous ne tiendrons p' ces engagements, 9 il 59 22 n (('nie. d l'Aude,)'loutes les mesures nul été prises pour sous aurez la

faculté

té de me refuser la Blé 6n Qumre mois chauds, 78 fr. TREATRC DU CAPITOLEsort Blé mnam fi 101 I%! 0011 t I

_ 3/f, ma-.prc, 58 Irap Vente du Guano de 1 éro cu la livrai- gle mitadr M- rr i bV 1 602I lusieurs alfair Ce iranien auique le linons mriaepu'

et tel qui Vry,$ ,

de navire outre les mains de "or 'LIEU' sen de celui que vous m'aurez déjà loue- B.Igle-

, .. 76 ItIt 160140, vantsMardi, 14 janvier, 1875 à 8 h.

Tons les sacs sont scellés d'un Plomb à du, et d'aneonoer publiquement verre orge.. , ... . t 60 l0V t5 00 Marché do Paroi- du 11 janvier 1873. prix Soi

l'emp treie te ci.dessousj, déposé eu Tir- refns. Avoine. ... - .... i LG [08 S.,tlU [0 21 et 22 fr. pour les montagne, 2" lleruiére représeul'ation de M. Léon Blum

buna de commerce de la Sein" : Agréez, etc. Mal, ro.x ...... 112 OJ 1 ô0 s > r choix. EA FAVORITE(MOU) MisManr.. ... 5 Lc 6U 24 et 25 fr. pour lue montagne Grand opéra eu 4 actes, de Donizetti.

. .. . Jaroyal, Lions, d II é60g, qu i s'adresse 50 A 9L -Il 1.L'A eiaulteur, à un inter-

n7 ü es 5lt A I i 1, 01 S p y

1

nié ireire pour avoir du flrano, trouvera 4I a ü {; U L A T - M B N 1 E U s p I I l'1 Il Oui S, etc. d tnbulron de 25u

bz a 131 d d t les animaux ,dans uite cirrularre le poix que celui ci 0---=- iNé -- --`w` A b i , U , U VINS E T 5/6

5C VENU PAR7'OU'l' 1 leq lit,, tnous a payé ; il pourra ainsi savoir el le on lvrrnsA

VINS. I C 1 y l t J s wmmr rl y si] J ff "I t le do l'éléphant

prix ai d a p+yé à sou tour, augmenté --- _ - q o a u,J mLe

dis Irma de transport, Imsse à l intermé- LES CONTREFAÇONS Narbonne, J J'annil 9875 n1 r'h au G d je pi 1 Corsos- I vient d I I été d'rh fi- J

k g

t blé pur le lit

et,

1

d'acte un il de e rsonnable ; uu prix tiN EXIGG.ANT Tout parte à croire que le cours ces so d I l J ;ver 1873. ne rareté d 1T d Pl a ée L t. t st surit n public.trop réduit devra donc fore présumer I aérltabl oie. vin, doter ma u'enir 1 d t bute la coco o u+ s C est à pinne s'il nues été lé quel- e o heures du mat. a 10 heures dul'existence d'une .onde, contre laquelle campagne avec la plus grande fermeté, Blé Wann, D. quai., A Aide 2.116 a I4 Phi quei achats faits pur ades nég.eiaule soir.

Annonces, Publications Légales et Avis Divers.

TE TE AUX ENCIIERE$ rlr -- - --- - Coude de ni- AIL\1GNGAL1I) ---=-Pour cause de D1cde

ao A. nANDUl1AN une vigne d nleodnce 1v d I nl 1 tue à n angle d 1 place diséc rie, J d u Doorao ff R1OTlH é à e Innur suit de

ud'rarirnn n r-ni" u ac i braiser I Inl 1115-2 s.d e A m-

ana Lardenne, local de Borde- "'"P'"1` °"`° 1s""' "" esquarante ceati:lies, située --- pua : 117l'r; Ambialet, archdecto, rue Fe-m 5SEIIVICI; DIRECT lEVOUVCSANS

L6ESCALE DE BORDEAUX A bianque, succès depmv A une par les dr

SANGUINÈDE nos d'Agen, 4 .aux, ni a L . (.77311)de eu e u i l O c e de A médeans de t'ravice et de dans la commune de Tonlnnse,- A I D

C-OI9LI:ANS hectares 13 mes ronron; mise quarli,.r de Naubec, p 1v St gviciri'r - - ._- - _-_.__-. _._ _._..-0". Dépml. à prix, 24,000 le

Yéuienger.ouo trouve dans

nia0Dn da 'rouchi roule deta tes les Pharmacies. (3131) p.m .üi«.ae..dmVapeu:' neuf LOUISIANA, cap, 6tenart, 20 Janvier.

S'adresser, r Ira ri' âs d- Dayorne. remueQua drvev avp p é ° 4_à Id MeAI

d r(9A I DIiF I ÎQ

Hollandms.Au comptant et 5 010 en sus du pris de 1 adJndieslron.

(3007)

Mercredi 15 vier courant et jours suirasls, ' une heurede

l'après-midj,anrue

du Poids-de-l'Huile, 3, par le mrnislérep i+eur,deMDl:L10UGLA commrvvle r

11'une enLlAremenl neufs, eu bois de Palis-qua.é da 1Hen11108 sandre : Lit, Armoire à Glace ,Commode, Bures., belle 'Tabelle, Clrasrs en laque, fauteuils,Glaises et Causeuses recouvertes en hclle cretonne, Carnituresde lit et de croisées en belle étoffe, papier peint assorti aux

le en oar net de Roule.s l ai et 7ab 9tentureIl sera snss

e vee Ottomane Lboit feuils'vanda ro n dossierrond,

bois sculpté Loure I, ungrand

Voltaire, pour dvme,divers Ouvrages do Droit rt et de Littérature et un B Ilard

1854noce. nsn LE rnnnr; aise ÉTABLIE DEPUIS - Colog e l'air de 1'011125 - Ilndteae ¢L autres assorL.dIdrv. prlxi bati eccnis d'ex-!!r1- fine de Prnaenee- ea Purin t o"1 .I f I:s de r, .. A. !, r Snvnna le't'tré leu' V I. rlr 9 no te 2, Y ven, avec

d toilette I t . - . . . de 1 7 0 2 . . ,Malt........ -.... de 3 ' 11enlares1l

h res 31 aies 20 rlET' DE RENTES VIAGbIIIS - Parachute, Lh0lmm.... de 3I.n t1,U

,. danoes, de rontenancn de b

Rue des Arts, (2i', et angle de la rue L autegril

tri

au

rr

J'NÉtUT ea"D

aFF U"- - £ U RUR.CO lE .t Y aRF RPLe plus ancien, le mieux assorti, le meilleur ularché.

SPLCIALITLS AU-DESSOUS DU COURS AVEC LA PREUVE L'OICCUSABLLS DLS 011111 ItLs

ara 7auleese, rua un, EU G. T AYrh,a 5

nVEND E

s de ùreurec DItrierl 1 p -fi. 1873,

A l'andiwieadcs r ées du Tel-tunnel civil do Toulouse,

LtJ J{i: ME LJJ CLS t1l

Iuly cou ll lx IrL%Ti t t i Ca

rCI oc lai l: Coloniale..... d 2 . 140 1 dures: D ql a' Ro de 1 t1 de 1. I3 i

l

r d l 1 10 unique 4 d q e I l 1 de M tt , d B I gn11 nu+ur,Pmld L I

lele lrf cEau 1 G

i, S I I le I P ParI . t y . " I II à dix kilone

..1

fie.......gd,

Rouit,DP ulwrre. - 1 7 I, 1 7 1 pr e. d 1 a tr d h n de ferq_ - 1 U l erre granA mail de b, l n,rlc D 1 nl ll, 1 d 2 01 2 1 P LI J de Iannemezan à

lm

il et Bol t d - 1,.,11 l,l t! 1 I d d . 2 0 1 cbA ai .

l'eILIp ............ d 3..17 AI é'LW, lon..2 0 lrlut Un MO ULINà:lIM 1.M1CRIL' AM L\ISI: 11' \SSIIII \NGI;S SDil LA VIE de Ptnlippe .....:... .. de 2 i0 2 2:i - '1 araire ...... de 2',l) 2 2 au u' la Gesse el nea dépen

ele, 30, bue Situé, h l'ouIonse' r do Seule Malien d Toulouse - basse Matén1-D.ome, 661 Ap 1 IJ1 c t l I0t s.. voue . 1 ai' - r, innrasance chaque JougS'adresser, pour prospectus et e eignmene muai à cinq heures du sersg Provence, , Pars, à roulons à h1 70URNAn11L! I . s Av I . M de 228Pool,

2'Pt rue dos Loutliers, mEe.unla o a m 4867

I

u

det..déo ésagent général, dô, rue las Fleure, et AIM

ILI. 1 is TbiI L f ,

PrPrix,px,port

140,7,380 tr. ;

'SI

à -c-- ,,;,«e,;, -- ° P J b orm< t I I L f Le M ri',7f f

d

1fbanquiers; à Saint s, à M L Tlll VI V11, ^^°°^'°^ --" 1 n 61oc s l y a ew416) lots. M : p 2 (4f ] o Dnvro . '

bainI Bu er et agent g énéraldede

lula ComP rue. (32ha)

000 Ira ---- -----(405)

Av de V IU.

BIL'N DE CAMPAGNE Vin anllli0llttellX 108 x .t f é 1 - - -

(lit Dalfh r E b oc u ut 5 1 qllo a Prix: 7 U lié- I etno

9ASf RDf,LVAPEURS POUR NOUVELLE-ORLÉANS A m ord maître, 'Lai, etanti-Rhmmaliemal A VENDRE Pouparie ea A `endrR

a.p raire liras par

tores environ t t de lu Maituée l h" dune I, le le ol neaM1 , non nnAv eu s - e- t Ariir X exrxl..nt In a

a Isre, où

Cor a are. -Misas prix, 10,000 h. sien. I

7 g ET BELLE MAISON COUPE INFAILLIBLE: lurgd cs de la vdln, nléressés peuvent enpren-

ei pot a sles assurances proposées à la Compagnie pends rit I ne A

-

d

dt t

d I 11 1 1 t l ÿN i t AI iie à p 4,407 lr.dernii;res nnées. Aux encbt.r es p LI'q Par e

lia I d20teFIFI.

dId

ar es 0licitatio r,18lo Cvdl 12 --- d la I

L 1 c des farLes P I dr t d p L ripons b f L .téea I ' -_ I hcctar s P'

ont 11 i+ uilleE 1873 1 0 , t la rbt on 7p_ i anvier 15, a midi,1 P' I r,l 1

3+I??S li~;u`R.ttiti-X931[+5.

nbir}ai' ae11 Ir.mtcelteYelL tt'(' so

ionien, s S, bortcvard des Capncmes; b d'IuIteetb t u 1 01.20 FI Il Pbcher, Chartl d. 1 na Ifc --M1li prix, 1fl,1100 f0. j POUR EAU DE 05512 1 Iroua iOAE.

IIE 1At C0bIPAGNII; 2, rue Ilalévy, plaie du"""-"P

é ; B Ily d 1 01 20 F d O r de IyS, floueras d 'I0!SlA rvns {30,0. de l'revence (siégé de ses

Lureauxr)

Pommade Tan q ri' rtri,. 1 rlliol d 1, .b b Vr1 ul e l'ay ..... ....... de AM 2 I "e d

tl nLo tt d()N de ùe Spé 1 Alté de I uu a d i oriel! u ess porFonds réalisés au 30 Jmn 1872, 42,876,232 40 'p d I 17 [ s 72

I i pour B8 ua<ur P uWbr ladult >°If r bl a u un 1

o demandes do dehors ou part bien a 1 MI SPLC A é t rue des 11 , r -t----],A

Revenu a n bel de la Coropsgnie en primes A te, n^ 27, Louloore m me 1 cal (dep U

Dont, ilà 1 7 de la rue Ça L gril, SUS,

13' 000 f

et i t i u - 0juin 1872, 10,808,217 76 fer Le MOULIN ditEttréaeoe Ve, eutrots, etc., payés - -

5s

MAIRIE ll'ADCH f ont 41o1s. M àldo

'ni' PUii e (1848 , pl rs de 41;000,000 0. ," " N ,p ,e

des B c dépendant de ué N 411 tr.;t. M dp g1° ) Fille de M. ARnl6Nf.AU U, dit.

yI

La b mpag12 a reçu dans le der nier r- 20 1 .l / 0 r a cruec rv r m m Avenue,

pollueur(le pompez,

i SI .,nias ai' 12 mina des ro roua i+nnr, à ronlnnae, rue de. ) E ;1 I

p p041 Pebucs, tir e D'ARBRES COMMUNAUXurnes pour une somme ai' s1,o 1 A2' . - --- -

i;

Mi à l "x 20 00o f 1 p " 11 1SIS

Ces derniers r ésnlmts portent à pins de 600,000 000 P, ^vn 1 ', I 7 G rLF lot le MOLLONdtI Le p 11 P lef t t 111"tx

a w r n aLa Gérant : L. JOUGLA. , T . Slces da Sang, Maladies d Estomac, des RIRE, dee.A 'l'uubmse, chez MM. Vida!- ISadresser pour les conditions de fi paEs 'ici suspendu S'adresser au des Ohapeliers, 74, (3Abbadi

350) la Vessie, Goutte Il Gravelle, Oonstipntion.VANDEIICI1UYCE, agent de ia ligne,

Ilâàt deM. E.

sageLAF

à M.FITTE

L,. -- -- Concierge, rue de la b'onde' e et Caslesuo, pharm. I

Is hssToulouse:

Seul dépôt, chez M. DEGEILH, parfumeur, rue descourtier. 17, quai Louis XVJIL (3401) Toulouse, Imp. Plu. Moatnubiq ,rie, 31. (3379) 6alanceb 65. (2624

._ ., -..-..__nements, l1A VI QY IAIA (. L L.i EYI IiF1UOn prendra des marchandises à prêt ainsi quo des Passagers

g 32 lesmpv, .n dru wW a.-Malade et Bepmale. (460) L`ue Calèche S'adres les rensei_ larv.un rvw arw.aresrvvr.es

de 1', R> et 3. nlasae. A VENDRE aroéricaine gne euts,à TÔUlouae en, ]'éta- covmvvn. mrerer.ra.anrsa. D'd4IILIICl (44riége)---°- - ---- - n bon ét n rand cha- de de M liacmt t ef it

8 tr de LYose, 405 ifs805t loureslace d BsTOULOUSE

P9EEEIta E`etCE[tTAEX EAI(IC SsIVERHERIE

SERVICES DE TABLE ARTICLES DE CHIMIE,

ET DE DESSERT. PEARNACln ET Pknrk0EEIE.

Il ESA CAFÉ ET A TItE ARTICLES PIIUh 100FISEIIIISSCHVICs. ET t tMONADInaa.CAVES A 1.1 UFIIR4

6ARNIfglteo li'AI'PA11TVMENfê

ET D'AUTELS.

SLRVICFS DE TOIT ETTE.

OBJLTS DARTET DE FANTAISIE.

VERRESI)'ECLAIRAGE

ET ÛILLDMINATIOren.

CI.OCIIIOS A JARDINS.

CYLINDRES POUR PI IURoET PENDIILs

CREUSETS vomi FONDEURSTUYAUX EN CAOUFCEOUC.Pou rS EN PAIENCE

APPAREILS UE PARLE FILTRES DE MÉNAGE

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés