À l’ère de NAPA Autocare · Faites l’analogie avec une automobile sou-mise à des diagnostics de réparation qui n’auraient pas trouvé une solution instantanée. En bout

PP 4

0014

105,

PAP

– N

o d’e

nreg

istre

men

t 110

66

V O L U M E 1 5 / N U M É R O 8 / DÉCEMBRE 2008 / 4 , 9 5 $ w w w. a u t o s p h e r e . c a

V O T R E G R A N D

P A R T E N A I R E

D ’ A V A N T - G A R D E

À l’ère de NAPA Autocare

Silencieux GMS Laval

Aldo Leone

Centre d’Excellence NAPA

1 an, et populaire à millions !

MÊME SI NOS PIÈCES SE DÉMARQUENTPAR LEUR QUALITÉ,

ELLES NE S’INSTALLENT PAS D’ELLES-MÊMES.

Qu’il s’agisse d’appareils de levage, de clés à douille ou autres, NAPA offre une ligne complète d’outillage et d’équipement toute aussi fiable que nos légendaires pièces. Appelez votre magasin NAPA PIÈCES D’AUTO et voyez comment la marque la plus reconnue de l’industrie automobile peut répondre à tous vos besoins.

www.NAPACanada.com 1 866 438-6272

D é c e m b r e 2 0 0 8 L e G a r a g i s t e 3

C A L E N D R I E R D E S É V É N E M E N T S 2 0 0 8 - 2 0 0 93 décembreAIA Canada • Assemblée générale annuelleThe Old Mill Inn, Etobicoke, Ont.& Therese Santostefano 1-800-808-2920, ext. 225Ü [email protected]Ü www.aiacanada.com

CHRON IQUES, ENTREVUES ET REPORTAGES

D A N S C H A Q U E N U M É R O. . .

14 3427Décembre 2008Sommaire

4 Mot de l’éditeurLa valeur du savoir

6, 8, 25, 39, 51Nouvelles de l’industrie

10 Produits en vedette

53 Joyeux anniversaire

53 Annonceurs

À L A U N E

Voici un des secrets les mieux gardés au monde.

[ Pièces Blue Streak pour véhicules importés ]

PIÈCES

VÉHICULES IMPORTÉS

PIÈCES


pour

pour

Voici un des secrets les mieux gardés au monde.

[ Pièces Blue Streak pour véhicules importés ]

PIÈCES


PIÈCES


pour

pour

15 janvierASPQ • Assemblée annuelle et cocktailSalon international de l’auto de MontréalPalais des congrès, Montréal, Qc.& Ginette St-Jean 1-866-454-0477Ü [email protected]Ü www.aspq.ca

16 au 25 janvierSalon international de l’auto de Montréal • 41e éditionPalais des congrèsMontréal, Qc.Ü www.salonautomontreal.com

18 marsAIA Canada • Le Grand Forum 2009Hôtel des Seigneurs, Saint-Hyacinthe, Qc.& Wendy Allain 450-448-2220Ü [email protected]Ü www.aiacanada.com

20-23 maiOlympiades canadiennes de la formation professionnelle et technique • 15e éditionCharlottetown, Î.-P.-E.& L. Blackborow 905-535-1160Ü [email protected]

12 40e d’Uni-SélectUn lancement continental

14 Silencieux GMS LavalÀ l’ère de NAPA Autocare

16 Un bilan très positifResserrement des liens – ateliers indépendants

17 Les tendances de l’industrieConvention européenne sur la climatisation

18 CARS – Les gens au cœur de l’industrie

20 Mario BartholdLe favori des femmes

22 Six fois Grand MaîtreEntre présent et futur

23 Nouveau magasin2 en 1 à Acton Vale

24 Pollution et inspections obligatoiresLe point après 2 élections

26 Pièces d’autos R. ThérienMagasin-phare à St-Antoine

27 Mon auto, j’en prends soinKelly Williams reçoit un prix dans le cadre du Mois de l’histoire des femmes

31 La télématiqueUne aide ou une menace ?

32 Ressources humainesLes candidats (es) : que recherchent-ils?

33 Chez Spectra Premium130 visiteurs à Laval

34 SEMA, AAPEXToujours aussi courus

36 Une histoire pas comme les autres ?Les hauts et les bas de Robert

37 À Laval et BouchervilleVast-Auto chez Spectra Premium

38 APDQ14e congrès annuel

39 À l’Expo Vente de septembreClin d’oeil à Richard Roy

40 Centre d’excellence NAPAPopulaire à millions !

42 Sécurité hivernaleVérifi er les freins pour la conduite en hiver

43 Pièces d’auto DorvalDonner fait du bien

44 Les boîtes CVT font la manchetteElles gagnent en popularité

46 Certifi cation environnementale des ateliers Le programme CLÉ VERTE offi ciellement sur les rails

47 Congrès UNIPRO, Le SpécialisteObjectif Client

48 AutomechanikaFrankfurt 2008

49 Rôle clé du CSMODanielle Le Chasseur et ses défi s

50 Démarrages infernauxChauffe-moteur pour tous

52 NAPA AUTOPRO Tournoi de golf et soirée Jacques Ratté

54 Les pneus d’hiverUn nouveau marché

Éditeur Rémy L. Rousseau

Rédacteur en chef Guy O’Bomsawin

Collaborateurs Pierre Bissonnette, Raynald Bouchard, Jean Boudreau, Shirley Brown, François Charron, Éric Descarries, Pierre Lalonde, Suzanne Mercier, Marie-Josée Rousseau

Direction de production Valérie St-Cyr [email protected]

Graphisme Monique Desbiens [email protected]

Révision Diane Gervais

Photographie Marie-Josée Rousseau [email protected]

Administration Wendy Allain [email protected] Boivin [email protected]

Direction du tirage Nancy Belleville [email protected]

Impression Solisco

Publicité Luc Champagne [email protected] Plouffe [email protected]ébec Réjean A. Rousseau [email protected]

Abonnement1 an : 29,95 $ 2 ans : 49,95 $ 3 ans : 59,95 $

Publié par Publications Rousseau2938, terrasse AbénaquisLongueuil QC J4M 2B3T : 450-448-2220 F : 450-448-1041

[email protected] www.autosphere.ca

La revue Le Garagiste, membre de l’AIA Canada, est publiée 8 fois par année. La direction laisse aux auteurs l’entière responsabilité de leurs textes. Les articles non signés relèvent de la rédaction. Toute reproduction totale ou partielle n’est permise qu’avec l’autorisation écrite de l’éditeur. Le masculin est employé comme genre neutre dans le but d’alléger les textes; on ne doit y voir aucune discrimination.

Postes Canada Convention de la Poste-publications no 40014105. Retourner toute correspondance ne pouvant être livrée au Canada à Publications Rousseau / Service des abonnements, 2938, terrasse Abénaquis, bureau 110, Longueuil, QC J4M 2B3

Nous reconnaissons l’aide fi nancière du gouvernement du Canada par l’entremise du Programme d’aide aux publications pour nos dépenses d’envoi postal. PAP – No d’enregistrement 11066

Dépôt légal Bibliothèque nationale du Québec, Bibliothèque nationale du Canada, ISSN 1711-2842

Faites l’analogie avec une automobile sou-mise à des diagnostics de réparation qui

n’auraient pas trouvé une solution instantanée. En bout de piste, il se pourrait que le coût de la pièce à changer ne dépasse guère 1 $, soit celui par exemple d’une connexion difficile-ment repérable à première vue. Et la facture pourrait bien grimper à 100 $ ! Comment la justifi er ?

Juste prix en tout tempsCe que cette situation suggère, c’est la per-ception méfiante chez les consommateurs quant aux coûts de réparation de leurs biens, à plus forte raison s’ils sont de haute techno-logie comme les automobiles d’aujourd’hui. Ils sont naturellement à la recherche de repères crédibles pour évaluer les bénéfi ces de leur investissement.

Il va sans dire que la règle du juste prix pour le travail accompli ou le produit livré doit tou-jours primer quelle que soit l’activité commer-ciale exercée. Mais comment chiffrer la valeur du savoir ?

Le coût du savoirLa compétence, l’expérience et le fl air de vos techniciens sont inestimables et contribuent au premier chef à la réputation de votre atelier. Mais, outre les salaires qu’ils commandent, d’autres facteurs sont à considérer dans la fi xation du tarif horaire que vous consentez. L’acquisition d’outils et de machinerie de haute technologie, les impératifs de la formation

Rémy L. Rousseau [email protected]

J’ai souvenir de cette facture apparemment salée qu’un technicien en informati-

que m’avait refilée un jour pour un problème dans mon ordinateur que mes pauvres

connaissances dans le domaine n’arrivaient pas à résoudre. 100 $ pour un minuscule

raccord interne défectueux dont le coût réel était d’environ 1 $ ! Comment justifier les

99 $ restants ?

continue, l’amortissement sur les installations et, d’une façon générale, l’administration quo-tidienne du commerce auront une infl uence directe sur votre position concurrentielle.

Certes, il y aura toujours une tarification standardisée pour des réparations clairement identifi ées. Mais qu’arrive-t-il lorsque survient une situation inhabituelle dont le diagnostic ne s’impose pas à l’évidence ? C’est là qu’in-tervient la valeur intrinsèque du savoir.

Le temps d’atelier requis pour résoudre un problème ne devrait jamais être négociable et vos clients devraient être informés adéqua-tement au préalable de la complexité d’une intervention afi n de leur éviter de mauvaises surprises. Et pour peu que la réparation ait été effectuée dans les règles de l’art, ils se-ront satisfaits et comprendront mieux que le savoir comporte des coûts.

Le savoir en têteEn cette période économique plus diffi cile, la valeur du savoir est appelée à prendre de plus en plus d’importance dans la gestion d’une entreprise de services. C’est votre investissement le plus précieux et je vous souhaite, pour l’année 2009, de le faire fructifi er en plaçant le savoir en tête de vos priorités.

FSC PO

SITION

À REM

PLAC

ER

MOT DE L’ÉDITEUR

Éditorial

La valeur du savoir

4 L e G a r a g i s t e D é c e m b r e 2 0 0 8

NOTRE MEILLEUR ATOUT

CARQUEST.ca

Notre succès repose autant sur les gens que nous embauchons que sur les produits que nous vendons.

Les professionnels bien informés et courtois que vous rencontrerez chez votre magasin CARQUEST sont là

pour vous servir mieux que quiconque et pour vous aider à faire croître votre entreprise.

Nous offrons à nos clients ce dont ils ont besoin :des pièces de qualité, des prix concurrentiels et des experts en la matière.

Nouvelles D E L ’ I N D U S T R I E

NominationIngénieur chimiste, Dave Fifi eld a été nommé

chez Wakefield Canada au poste de directeur général de l’exploi-tation. Il a une solide expérience de gestion, acquise en diverses fonctions de cadre supérieur chez BP/Castrol, tant au Canada qu’aux États-Unis et au Royaume-Uni où il était récemment vice-président Marketing chez British Petroleum.

Dave avait eu un rôle déterminant dans l’établis-sement d’un programme de marketing intégré pour les Amériques et la mise sur pied du sys-tème de ventes de BP/Castrol touchant l’ensem-ble de l’Amérique du Nord. Il avait commencé sa carrière chez Castrol Canada.

À la retraite ?...Ginette Robillard, coordonnatri-

ce du Centre de Perfectionnement d’Uni-Sélect, s’est retirée le premier octobre après 49 ans de vie active, dont 7 chez UNIPRO – voisin de son précédent employeur – et 18 à ce dernier emploi où elle a été bénie des dieux pour y avoir eu des

patrons et côtoyé des gens qui lui ont fort plu.Parmi les grands talents à avoir été formés à

Vincent-d’Indy en piano, Ginette aurait pu être une artiste de renommée internationale. Cet instrument, comme l’orgue qu’elle a aussi déjà enseigné, ont toujours fait partie de sa vie. Au programme : repos.

On retient d’elle un exceptionnel accueil, une totale disponibilité, un sens absolu des respon-sabilités et de l’organisation, une effi cacité hors pair, une rigueur plus qu’exemplaire, et une fem-me fort représentative du professionnalisme le plus recherché.

Hausses chez Uni-SélectUni-Sélect a enregistré au cours du second

trimestre de 2008 une hausse de son chiffre d’affaires de 6,2 %; quant au bénéfice net, il s’est élevé à 64 ¢ par action. Pour le premier se-mestre, l’augmentation du chiffre d’affaires aura été de 4,8 %, tandis que le bénéfi ce net se sera établi à 95 ¢ par action. Au deuxième semestre, le Groupe Automotive USA a enregistré pour sa part une hausse des ventes de 12,6 %, alors que celles du Groupe Automotive Canada ont été de 7,3 %. www.uni-select.com

Contrôle parentalGrande innovation chez Ford en ce qui tou-

che à la sécurité, à l’économie de carburant et, par le fait même, à l’écologie. Dans un an, le constructeur installera sur la Focus 2010 et sur de nombreux modèles Ford, Lincoln et Mercury le système MyKey.

Celui-ci est conçu pour limiter la vitesse à 130 km/h ainsi que le volume des haut-parleurs à 45 %, obliger le port de la ceinture et empêcher les départs fracassants. Programmable, il sera également possible d’activer une alarme sonore indiquant les seuils de 70, 90 et 105 kilomètres/heure. En outre, MyKey empêchera la désactiva-tion des systèmes de sécurité et préviendra la panne de carburant.

Un sondage mené aux États-Unis révèle que les diverses applications de MyKey répondent dans des proportions de 50 % à 75 % à ce que sou-haitent les parents. Bien que le système ne fasse pas partie des priorités des adolescents, ceux-ci le voient quand même comme un atout pour em-prunter plus souvent leurs véhicules.

Gagnants de consoles XBOXSix commis des réseaux de magasins d’Acces-

soires d’auto Leblanc et du Groupe Maska ont gagné le concours de ventes tenu par Blue Streak avec la collaboration de ces grossistes. On leur a remis le dernier modèle de la console de jeu XBOX 360.

Les gagnants sont Alain Brissette d’Accessoires d’auto Leblanc de Berthierville, Marc Déry d’AGI de Saint-Raymond, Robert Denis d’Accessoires d’auto Leblanc de Trois-Rivières, Gérard Leclerc du Groupe Maska de Granby, François Castonguay du Groupe Maska de Saint-Hyacinthe, et Pascal Samson du Groupe Maska de Sorel.

Stéfan Defoy, directeur des ventes d’Accessoires d’auto Leblanc, Alain Brissette, Michel Bergeron, Blue Streak – au comptoir, André Baribeau

Michel Bergeron, Blue Streak, Pascal Samson, Daniel Gervais, directeur des ventes du Groupe Maska

Un intérêt grandissantLe programme d’aide Reprendre la route !

visant à donner des voitures aux femmes victi-mes de violence conjugale intéresse de plus en plus de maisons d’aide, puisqu’en septembre se sont notamment ajoutées aux centres Carrefour pour elle et Maison Dalauze, les maisons Le Parados de Lachine, L’Escale de Sherbrooke, Le Far de Trois-Rivières, Marguerite de Champlain, Simonne-Monet—Chartrand de la Montérégie.

Par ailleurs, Dale-Parizeau a renouvelé auprès de Vast-Auto Distribution son engagement d’of-frir de l’assurance durant un an aux nouvelles bénéfi ciaires des voitures fournies par les mem-bres du réseau Centre de service certifi é Auto Value, tandis qu’Astral Média continue d’inviter ses auditeurs, à raison de 200 fois par semaine à titre gracieux sur les fréquences de Rock Détente, Radio Énergie, MIX96, CHOM ainsi que CJAD, à participer à ce programme.

À Rock Détente, l’animatrice Annie Lessard s’assurera quant à elle d’en parler durant ses émissions et de faire des entrevues avec des per-sonnes-clés de Reprendre la route !

NominationChez UAP depuis plus

20 ans, Nathalie Gareau a été nommée directrice de la formation et du déve-loppement pour le Canada. Nathalie prend aussi en charge la direction du Centre d’excellence NAPA, un des plus importants centres de formation de l’indus-trie, dédié aux employés des magasins NAPA ainsi qu’à tous leurs clients.


PLAQUETTES DE FREIN EN CÉRAMIQUE

FREINAGE PLUS SILENCIEUX

Pourquoi confi er les freins de vos clients à autre que Bendix® ?

Optez pour la boîte bleue !

Les matériaux de friction en céramique NAO sont reconnus par les constructeurs de véhicules ÉO comme option afi n de réduire le bruit, la vibration et la conduite brusque, et minimiser la poussière des freins.

Grâce à notre vaste expérience en EO, nous avons élaboré des formules de friction pour de nombreux véhicules présentement sur nos routes, et cette expérience nous permet de demeurer à l’avant-garde de la technologie dans l’après-marché. Les plaquettes de frein en céramique Bendix CQ™ procurent un freinage en douceur et plus silencieux, plus de puissance de freinage, et réduisent la poussière.

• Expérience dans l’industrie depuis 1924• Capacités de recherche et de développement à

l’échelle mondiale• Compétence en équipement d’origine

MOINS DE POUSSIÈRE PLUS DE PUISSANCE DE FREINAGE

Utilisant notre technologie NAO/céramique, la marque Bendix offre une gamme de plaquettes de frein en céramique qui pro-curent performance et valeur pour applications domestiques et importées

Les plaquettes de frein en céramique Bendix CQ™ sont conçues pour répondre aux spécifi cations ÉO

Cales, fentes, chanfreins dupli-quant ou améliorant le design ÉO pour un freinage plus silencieux

Formulées pour générer moins de poussière, rehaussant l’apparence des roues

Visitez-nous au : www.bendixbrakes.com

B1008

Représentant aux ventes pour le Canada : Wayne Mclean, National Sales Inc. Tél. : 905-565-9891 • Téléc. : 905-565-9894 • Courriel : [email protected]

LG bendix dec v1.indd 1 11/19/08 9:49:35 AM


Nouvelle fondation en sécurité routièreÀ l’occasion de son tournoi Pro-Am, tenu sur les Plaines d’Abraham le

28 août, CAA-Québec annonçait la création de sa propre Fondation en indiquant du coup que cet événement en constituait la première activité de fi nancement. Marrainé par la réputée golfeuse Jocelyne Bourassa, ce tournoi a rassemblé plus de 140 golfeurs, dont une trentaine de profession-nels, tous vêtus et équipés comme à l’époque du Club Royal Québec fondé exactement en même lieu en 1874.

La Fondation CAA-Québec a pour rôle de promouvoir la sécurité routière par l’éducation et la recherche, afi n de réduire le nombre et la gravité des collisions et de sauver des vies. Ses travaux porteront notamment sur les problématiques peu documentées, les comportements et attitudes des automobilistes et usagers de la route, la question des jeunes et du vieillis-sement de la population, ainsi que la place de la sécurité routière dans les mentalités. Ce coup de départ a rapporté à la Fondation 45 038 $.

Régis Labeaume, maire de Québec, André Morisset, président du conseil d’administration de la Fondation CAA-Québec, Julie Boulet, ministre des Transports, Éloïse Montminy, Brigadière de l’année, Paul A. Pelletier, PDG de CAA-Québec, et Jocelyne Bourassa

L’équipe de Publications Rousseau était formée de Henri Chatelain, golfeur professionnel, Ginette Bureau, Louise Vinet, Jean Duchesneau, et de l’accompagnateur Claude Gauthier.

Nouveaux représentantsCinq nouveaux représentants ont été nommés au

conseil d’administration du CSMO. Il s’agit de Danielle Godbout de l’Association des commerçants de véhi-

cules récréatifs du Québec, Michel Metcalfe de l’AIA, Mario Sansfaçondu Mouvement Carrossiers Québec, Ginette Villemure du ministère du Travail, et Guy Auclair du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport.

Formation adaptéeLe CSMO continue d’offrir une formation assistée en ce qui a trait à

l’approche client. Son programme Propulsion client, portant tant sur un bon service à la clientèle que sur une gestion effi cace, s’adresse aussi bien aux techniciens qui ont affaires au public qu’aux gestionnaires désireux de devenir de bons guides en la matière. Luc Vaillancourt, 450-656-3445 ext. 224 ou [email protected].

Feux Environnement Sécurité Selon une étude dont la conclusion a été rapportée par La Presse, la

synchronisation des feux peut réduire de 20 % la pollution automobile, et de 10 % les périodes de pointe; mieux encore, advenant qu’elle soit inté-gralement appliquée, elle pourrait se traduire par une économie équivalant à 5 pleins de carburant par travailleur, incluant tout passager et transport routier confondus, et par moins de fatigue.

Gagnant du concours WIXC’est Hardy Maendel, de Total Town &

Country Repair à Plattsville en Ontario, qui a remporté le grand prix d’un VTT Polaris 4x4 500 E.F.I. lors de sa partici-pation à une promotion récente de WIX. Il a reçu son « gratteux » gagnant chez Heimpel Automotive à Kitchener lors de l’achat d’un fi ltre WIX H.D.Hardy Maendel au volant du VTT gagné entouré de Wayne Heimpel et Paul McKay de Heimpel Automotive, Bill Cole de WIX et Helen Maendel de Total Town & Country Repair.

Concours Kleen-Flo/CARQUESTÀ l’occasion d’une promotion CARQUEST sur les produits Kleen-Flo, qui

s’est déroulée entre le 15 février et le 1er septembre 2008, les représen-tants et fournisseurs de CARQUEST au Québec pouvaient accumuler des points pour participer au tirage d’un voyage pour deux en République do-minicaine. Chaque tranche de 500 $ de marchandise Kleen-Flo vendue donnait une chance additionnelle au tirage. Le voyage a été at-tribué à Daniel Blanchard, représentant des ventes CARQUEST de Joliette.Denis Desaulniers de Kleen-Flo, le gagnant Daniel Blanchard, Jacques Leroux de CARQUEST à Joliette et Réjean Lortie de CARQUEST.

L’équipe de Publications Rousseau était formée de Henri Chatelain, golfeur professionnel, Ginette Bureau, Louise Vinet, Jean Duchesneau, et de l’accompagnateur Claude Gauthier.

Concours Kleen-Flo/CARQUESTÀ l’occasion d’une promotion CARQUEST sur les produits Kleen-Flo, qui

s’est déroulée entre le 15 février et le 1tants et fournisseurs de CARQUEST au Québec pouvaient accumuler des points pour participer au tirage d’un voyage pour deux en République do-minicaine. Chaque tranche de 500 $ de marchandise Kleen-Flo vendue donnait une chance additionnelle au tirage. Le voyage a été at-tribué à Daniel Blanchard, représentant des ventes CARQUEST de Joliette.Denis Desaulniers de Kleen-Flo, le gagnant Daniel Blanchard, Jacques Leroux de CARQUEST à Joliette et Réjean Lortie de CARQUEST.

Disques perforés ou rainurés haut de gamme • Plus de 400 modèles disponibles à partir de 92 $ • Pour autos et camions, disques avant et arrière.


Perry Pièces d’auto Laval, Perry Wener, Laval

P.A. Rivière-des-Prairies, Claude Gauthier, Rivière-des-Prairies

Pièces d’auto Gilles Didier enrg, Sylvain Didier, Sorel-Tracy

Garage Lemire & Blais, Paul-Yvan et Jean-Pierre Lemire, Nicolet

Centre de l’auto G.L. enr., Sylvain Lessard, Longueuil

Garage Réjean Tessier inc., Sylvain et Martin Tessier, Sorel-Tracy

Station Centrale enr., Serge Houle, Sorel-Tracy

Atelier Mécanique C.M.S. inc., Luigi Paterno et Marco Di Giandomenico, Saint-Léonard

HotSpot mécanique, Denis Hotte et Marc Potvin, Gatineau

Groupe S.R. inc., Steve St-Pierre, Rivière-des-Prairies

Atelier AMS inc., Dany Frigon, Saint-Étienne-des-Grès

Garage Verville enr., Jacques Verville, Yamaska

Centre de Pneu et Mécanique Labelle inc., Bill Lecomples, Laval

Université Galt Centre Auto, René Roy, Sherbrooke

Pneus à bas prix, Gilles Simard, Terrebonne

Garage Gabriel Lussier inc., Gabriel Lussier, Laval

Centre de l’auto J.F. Signori, Jean-Paul Signori, Saint-Basile-Le-Grand

Mécanique D’Chant inc., Chantale Langevin, Ste-Anne-des-Plaines

Garage Bilodeau, Eric Blais, Saint-Hubert

Garage Rick Lemieux, Rick Lemieux, Gatineau

Potvin Service, Ginette et André Potvin, Gatineau

Garage Mécanique P Plus, Patrick Bissonnette, Calixa-Lavallée

Centre de Mécanique Pneu Laval inc., Georges Zarife, Laval

Garage D. Sutton, Daniel Sutton, L’Assomption

Centre de l’auto Pierre Roy, Pierre Roy, Sorel-Tracy

G.P. Auto Électrique, Pierre Gailloux, Odonak

Pneus et Mécanique Blainville inc., Sylvain Dumont, Blainville

Atelier O’Max, Eric Lapierre, Saint-Félix-de-Valois

Service & Mécanique M.L.T. inc., Robert Lanthier, Terrebonne

Alignement Hébert inc., José Hébert, Terrebonne

Garage Central, Francois, Saint-Hubert

Garage L.P. inc., Paul Fecteau, Stanstead

Garage Luc Gingras , Luc Gingras, Rock Forest

Garage Instinct Mécanique, Sylvain Brodeur, Sherbrooke

Bienvenue aux nouveaux membres et franchisés de notre réseau !Carignan, François Bussière

Auteuil, François Thomas

Rimouski, Lynn Francoeur et Martin Lefrançois

Saint-Eustache, François Bussière

Saint-Léonard, Stéphane Trudeau

Hull, Paulo Faucher

Rivière-du-Loup, Lynn Francoeur, Martin Lefrançois, J-G Côté

Chicoutimi, Éric Tremblay

Kingston, Jean Doré

offrent leurs meilleurs voeux des Fêtes à tousleurs clients et amis.

et

Produits E N V E D E T T E

Analyseur de pocheAux techniciens qui ont à diagnostiquer des

véhicules de marque Ford, SPX propose un ana-lyseur de poche et ses accessoires signé OTC. Combiné à un PC de poche, l’appareil appelé PDS offre aux professionnels du marché secondaire les mêmes moyens d’analyse que ce dont dispose le personnel des concessionnaires pour l’entre-tien des Ford, Mercury et Lincoln produits entre 1996 et 2008. www.otctools.com

Nouvelle générationSnap-on propose avec l’EPIQ un système de

rangement particulièrement avant-gardiste en offrant un coffre dont les caractéristiques répon-

dent aux particularités de l’équipement technolo-gique du 21e siècle.

Tout a été conçu pour augmenter sensiblement la productivité, que ce soit en faisant en sorte que l’outillage soit à portée de main et en le rendant facile à ranger, ou en le dotant des prises néces-saires aux appareils devant être branchés pour leur utilisation ou leur chargement.

L’EPIQ est le résultat d’une consultation di-recte auprès des techniciens et des propriétaires d’atelier. On le dit en somme conçu par les pro-fessionnels de l’entretien. En prime aux premiers acheteurs optant pour la formule de fi nancement de Snap-on : un jeu gratuit de tournevis Instinct, de clés Techwrench et de rochets Dual80.

Heat Buster simplifi e la soudure

Heat Buster, fabriqué par Auto-Chem, est un gel antichaleur conçu pour protéger les surfaces adjacentes des flammes du chalumeau ou de la chaleur lors d’opérations de soudage ou de brasage. Facile à appliquer, il permet d’économiser le temps de démontage de joints ou de valves avant la soudure, réduit les dangers de feu et la distorsion des matériaux due à la chaleur. Heat Buster est de plus non corrosif, inodore, incolore, soluble à l’eau, sécuritaire pour la peau, non toxique et biodégradable.

www.autochem.com

Amortisseurs Top QualityLes amortisseurs Top Quality sont équipés

d’une valve qui améliore le confort de la conduite en réduisant l’air et l’impact des secousses et ils conviennent à la plupart des véhicules. Ils sont faits de matériaux de qualité résistants à l’abra-sion et sont conçus pour performer même à des températures extrêmes. Enfi n, les amortisseurs Top Quality sont à l’épreuve du sel et de l’humi-dité et sont fabriqués par un fournisseur certifi é. www.transitwarehouse.com

Tech Trays de DormanLes trousses compartimentées

Tech Trays de Dorman contiennent la plu-part des petites pièces qui man-quent souvent pour compléter un travail. La trousse de pièces pour pare-éclaboussures de mo-teur (#030-212) contient les attaches les plus cou-rantes et les panneaux de protection du carter inférieur. La trousse de tubes thermorétrécissables (#030-450) renferme des tubes des calibres les plus uti-lisés. Finalement, la trousse de pièces de raccords et connexions (#030-445) est plus qu’utile quand vient le temps de monter des circuits électriques. www.DormanProducts.com

Facile à appliquer, il permet

démontage de joints ou de valves avant la soudure, réduit les dangers de feu et la distorsion des matériaux due à la chaleur.

Tech Trays de DormanLes trousses compartimentées

Tech Trays de Dormancontiennent la plu-part des petites pièces qui man-quent souvent pour compléter un travail. La trousse de pièces pour pare-éclaboussures de mo-teur (#030-212) contient les attaches les plus cou-rantes et les panneaux de protection du carter inférieur. La trousse de tubes thermorétrécissables (#030-

Kevin Lacroix Une étonnante année

w w w. k e v i n l a c r o i x . c o m

En transition vers une autre saison qu’il souhaite se faire en Indy Light et même en IndyCar pour les 500 mil-les d’Indianapolis, Kevin Lacroix estime que celle de 2008 aura été extrêmement déterminante pour sa carrière.

Son année au sein de l’équipe de Walker Racing a été d’une totale révélation. Jadis convaincu que seul le pilotage propre-ment dit conduisait aux plus hautes marches du podium, il a dé-couvert dans les rangs des professionnels qu’il en va autrement.

Les fractions de seconde qui mènent à la victoire se ga-gnent par une constante recherche faite en équipe, une parfaite compréhension de la machine et une tout aussi grande connivence avec des ingénieurs qui doivent re-cevoir et transmettre une information claire et précise.

Sachant maintenant que tout est vraiment affaire de diagnos-tic, de synchronisme absolu et de solutions appropriées, qu’el-les soient de nature technique ou humaine, Kevin a fort hâte d’amorcer une nouvelle saison qu’il imagine sensationnelle.


Docket#: 99-5089 Client: ACDelco Project Name: ACDelco Battery Ad Date: 08-10-01 Flat: 8.5x11” Trim: 8 1/8x10 7/8” Bleed: 8 3/8x 11 1/8” Descr.: Full Page Ad Studio Artist: P-Dominique Plante Colours: C M Y K Ad# ACD-PARTS-O8-M-714-FR Publication: Le Garagiste

CMG

Mar

keti

nG •

112

5 Le

slie

St,

toro

nto,

Ont

ario

M

3C 2

J6 •

t 4

16.6

46.3

050

• F

416

.646

.305

1

Les consommateurs à travers le monde reconnaissent le nom ACDelco et sa puissance quand on parle de batteries de remplacement. Pourquoi ? Parce que depuis plus de 100 ans, nous vous avons fourni des produits que vous avez distribués avec confiance. Votre confiance est issue du fait que ACDelco vous livre constamment la puissance, la performance et la fiabilité à des prix qui vous permettent aussi de mettre quelques profits dans vos poches et c’est une bonne chose !

Peu importe le type de commerce de batteries que vous opérez, vous pouvez compter sur

www.aCDelcoCanada.com1 800 263-35261 800 263-3526

Offre un soutien intégral de 360 degrés pour votre commerce.

En ce jour de 40e anniversaire, il a rap-pelé ce qui caractérise une entreprise

constituée d’entrepreneurs qui n’ont pas peur des défis, et d’un personnel aussi responsable qu’engagé.

Action et avant-gardismeFondée par Gaston Trudel le 22 novembre 1968 avec l’appui de 11 grossistes, Uni-Sélect a 4 ans plus tard un chiffre d’affaires de 10 millions et inaugure à Boucherville son premier centre de distribution.

Entreprise avant-gardiste, le premier or-dinateur est acquis en 1973, et en 1976 Uni-Sélect est le premier distributeur à publier un catalogue pour le marché se-condaire, catalogue entièrement défrayé par ses fournisseurs.

L’ère des initiativesEn 1979, Uni-Sélect s’installe à son actuel emplacement et crée UNIPRO. Viennent ensuite l’inscription à la Bourse, l’expan-sion en Ontario et au Nouveau-Brunswick en 1985, et le Centre de formation en carrosserie ProColor en 1987.

Les années 90 marquent ensuite un tour-nant pour l’entreprise qui se diversifie dans les pièces pour camions et remor-ques, par DISPAR et PALMAR, et crée les services informatiques DISC pour les mar-chands ainsi que le catalogue électronique de pièces appelé Part’ner.

De plus, l’expansion américaine s’amorce par des alliances avec l’AAAD – Association

of Automotive Aftermarket Distributors.

Chez les géantsSous Jacques Landreville, Uni-Sélect fait par la suite de grandes acquisitions, dont Automotive Northern Warehouse, Middle

Atlantic Warehouse Distributor fondée

en 1963, Consumer Auto Parts, Parts

Distributors, Parts Depot créée en 1957 et Beck/Arnley, née en 1914, qui repré-sente une magistrale mainmise sur le marché nord-américain des pièces pour véhicules importés.

Uni-Sélect, dont le chiffre d’affaires est au-delà de 1,3 milliard $, est au 7e rang du mar-ché secondaire nord-américain. L’entreprise comptait en novembre plus de 2600 mar-chands exploitant environ 3500 magasins et plus de 300 magasins corporatifs, le tout servant des milliers de garagistes et de carrossiers dont plus de 3500 arborent fi èrement les bannières d’Uni-Sélect.

Québec – 10 au 14 septembre 2009Les célébrations du 40e anniversaire d’Uni-Sélect culmineront en septembre 2009 lors de l’Expo Vente et du mégacongrès des bannières UNIPRO et Le Spécialiste.

Célébrations du 40e

Un lancement continentalLe 21 novembre a été historique chez Uni-Sélect. Grâce au multimédia, Richard G. Roy, son président, s’est

adressé à ses 5500 employés où qu’ils soient au Canada et aux États-Unis.

Guy O’Bomsawin [email protected]

De zéro à 1,3 milliard $En 40 ans, le chiffre d’affaires d’Uni-Sélect a progressé d’une façon plus qu’exponen-tielle. À 0 en 1968, il a successivement commencé les décennies à 36, 153 et 466 millions, pour atteindre 1,3 milliard fi n 2008.

Gaston Trudel en a été le PDG durant 10 ans, et Jean-Louis Dulac, Laurent Gagnon, Réal Côté ainsi que Robert Chevrier lui ont à tour de rôle succédé jusqu’à l’arrivée en 1991 de Jacques Landreville, qui a quitté cette année.

Le 10 novembre, Richard G. Roy, président d’Uni-Sélect, enregistrait à Boucherville le message adressé à l’ensemble de son personnel nord-américain.

Le 22 novembre 1968, Gaston Trudel fondait Uni-Sélect avec ses collègues Richard Baillargeon, Jean-Louis Dulac, Laurent Gagnon, Rolland Gendron, Ernest Grondin, Marcel Michaud, Léo Morissette, Georges Ouellette, Claude Richard, Marcel Rioux, et Adrien Tremblay.


P U B L I R E P O R T A G EP U B L I R E P O R T A G EP R O F I L

PHOT

OS :

GUY

O’BO

MSA

WIN

ET

MAR

IE-J

OSÉE

ROU

SSEA

U

Silencieux GMS Laval

À l’ère de NAPA AutocareImprégnée d’une incontestable réalité, l’expression Petit deviendra

grand s’applique intégralement au double atelier d’Aldo Leone. Tous les

anciens de Vimont et d’Auteuil en témoignent volontiers.


A yant pignon sur le boulevard des Laurentides depuis 60 ans bien son-

nés, l’entreprise, située au nord-ouest de Belgrade et presque à cheval sur deux quartiers bien connus de Laval, est passée de modeste à impressionnante.

Immeuble de 2 portes en 1949, acheté à 3 portes en 2004, le premier bâtiment est rasé en 2006 pour laisser toute la place à un atelier moderne de 7 portes et à un fort vaste stationnement.

Changement de capAinsi l’atelier-mère de Silencieux GMS

Laval entre-t-il, d’une part, dans la lé-gende et, d’autre part, dans un 21e siècle alors qu’il loge avant tout, grâce à NAPA

Autocare, à l’enseigne de l’entretien pré-ventif.

Sous la présidence d’Aldo Leone, son propriétaire depuis 33 ans, il n’aura fallu que 4 ans pour que l’entreprise change littéralement de cap, s’appuyant sur un

réseau d’avant-garde tout en conservant son expertise de base. Maintenant, 2 des 7 nouvelles baies sont réservées à l’en-tretien des poids lourds, de même qu’à la réparation de leurs systèmes d’échappe-ment et à l’installation de silencieux qu’on y fabrique sur mesure.

Irréprochable et impeccableCet atelier NAPA Autocare a donc pour vocation, désormais, d’entretenir les automobiles de quelque marque qu’elles soient, comme d’y accueillir une clien-tèle principalement féminine. Au-delà de l’image de professionnalisme qu’il projette, que refl ètent une propreté et un accueil irréprochables, on y trouve une équipe dont les connaissances sont dignes de confiance et de l’outillage à la fine pointe de la technologie. Ses techniciens sont spécialisés dans les concepts des véhicules nord-américains, asiatiques et européens, et partagent volontiers leurs connaissances. Tous les véhicules y sont entretenus de façon impeccable.

Moyens haut de gamme

Aldo a d’ailleurs fait en sorte, en optant notamment pour le réseau NAPA Autocare

dont il fait partie depuis près d’un an, que son personnel dispose de tout ce dont il a besoin pour offrir un service haut de gamme.

En plus de d’avoir le récent modèle d’équi-pement John Bean 3D, par exemple, et la gamme complète des produits de gestion des fl uides de marque BG, Aldo veille à ce que son personnel bénéfi cie de Mitchell

et du service de soutien NAPAFIX, ainsi que d’une formation répondant tant aux exigences qu’aux directives environne-mentales fi xées par le Québec. Pour la climatisation, on y voit également de l’équipement de dernier cri.

Une dimension continentaleMembre, de plus, du réseau Mégapneu, Aldo Leone offre aux consommateurs des services complets de première ligne, des pièces de première qualité avec une ga-rantie nord-américaine de premier plan, véritable passeport continental.

Chantal SullivanSecrétaire

Anthony AlessiGérant – Div. Camions

Donald ChiassonTechnicien

Gilles GarneauTechnicien

Stéphane LacroixTechnicien

P R O F I L

E N B R E F . . .Silencieux GMS Laval

) 4670, boul. des LaurentidesLaval, H7K 2J4

TÉLÉPHONE 450-622-3601

TÉLÉCOPIEUR 450-622-3602

FONDATION 1949

RÉNOVATION 2006

EFFECTIF 11

RÉSEAUXNAPA Autocare, GMS, Mégapneu

SERVICES Mitchell, NAPAFIX

CONNECTIV ITÉ PROLink

GÉOMÉTRIE John Bean Visualiner3D

FLUIDES Série BG

CLIMATISAT ION Robinair

ÉQUIL IBREUSES 4 CEMB

DÉMONTE-PNEUS 2 Snap-on

BÂTIMENT 8400 pi2

STATIONNEMENT 17 000 pi2


D’un monde à l’autreNé à Montréal de parents italiens, Aldo

Leone est totalement impré-gné de mécanique et d’en-tretien, comme le sont de fait son père Pasquale et ses frères Enzo et Nicola, pro-priétaires de Distribution

Stefano et Enzo.

Aldo a trempé dans le transport laitier jusqu’à l’achat de l’atelier Silencieux GMS

Laval, même s’il avait décroché un DEP et un ASP en mécanique automobile du cen-tre montréalais Laurier-Macdonald.

Le marché ne lui ayant laissé que peu de choix, il avait décidé de rester dans le giron de la famille et de grossir le parc familial en y ajoutant, à 20 ans, une fourgonnette et, plus tard, un fourgon Grumman ainsi que deux camions de 10 roues.

Un tremplin inattenduIl est cependant revenu à l’entretien mé-canique dès que ses frères ont attiré son attention sur l’atelier Silencieux GMS

Laval alors à vendre, situé tout juste de-vant les portes maintenant réservées aux poids lourds.

Aldo y a vu une excellente occasion de réaliser son rêve, né de la passion de son père Pasquale pour les automobiles, lui qui en avait toujours eu un bon nombre et dont la fortune et les congés avaient servi à en défrayer les coûts de réparation et d’entretien.

Bien qu’ayant d’abord servi de garage pour la dizaine de camions de l’entreprise familiale, l’atelier ainsi acquis a carrément servi de tremplin pour la construction

son équipe en font un mot d’ordre. Leur réputation est déjà telle que c’est la clien-tèle elle-même qui leur fait la publicité la plus effi cace.

La solution idéaleAvec le total soutien de Pierre Rochette, de NAPA Pièces d’auto Laval et de la ban-nière NAPA Autocare, Aldo et ses techni-ciens ont toujours la solution idéale.

quasi immédiate des nouvelles installa-tions.

Rien au hasardLes affaires sont d’ailleurs allées de si bon train que le vieux bâtiment a continué à servir jusqu’au jour où les principales por-tes de l’atelier moderne furent ouvertes. Après leur démolition sont alors apparues les baies réservées aux camions.

D’un calme olympien et d’une affabilité naturelle, Aldo accueille lui-même en ses grands quartiers une clientèle qui doit être servie avec un respect, ainsi qu’avec une honnêteté et un professionnalisme sans compromis, dit-il.

Il tient à ce que chaque client ait un compte rendu exact des travaux effectués comme un suivi de l’état de son véhicule, et qu’il soit informé de ce qui doit être fait sans délai ou suivant le programme d’entretien recommandé par le constructeur.

Pleins gaz sur l’entretienLa construction des voitures est d’une telle qualité depuis une quinzaine d’années que Aldo est convaincu que son rôle est avant tout de les entretenir toutes avec le même soin qu’il porte à ses propres véhicules.

Comme ses techniciens sont spécialisés tant dans les concepts des véhicules nord-américains et asiatiques qu’européens, et qu’ils partagent volontiers leurs connais-sances, tous les véhicules y sont entretenus de façon impeccable.

Jamais client n’est en outre laissé en plan pour quelque raison, ce dont lui-même et

Daniel-Joy MonelTechnicien

Vito Rocco MossaTechnicien

Angelo Joseph Mancini, Technicien

Julien OuelletTechnicien

Alessandro RinaldiTuyauteur

L es efforts investis dans cette bataille du Droit à la réparation n’ont pas

encore infl échi les gouvernements fédéral et québécois en faveur d’une décision pro-chaine et favorable au marché secondaire de l’automobile. Pour Mauro Cifelli, le dossier a continué de progresser, malgré les deux élections automnales qui ont temporairement court-circuité la chaîne de communication entre les ministres responsables, leurs hauts fonctionnaires et les représentants de l’AIA Canada. « Nos études démontrent clairement que ce seraient d’abord les consommateurs qui auraient à faire les frais de la politique des constructeurs qui refusent majoritai-rement de donner aux indépendants un accès libre aux informations de répara-tion, en contrepartie de frais raisonnables comme il se pratique aux États-Unis. »

Mauro se dit assuré que son successeur entré en fonction le 8 décembre, Gaétan Dussault, placera ce dossier névralgique en tête des priorités de l’organisation.

Grand Forum AIAPreuve que la division du Québec de l’AIA s’est appliquée à resserrer ses liens avec les propriétaires d’ateliers indépen-dants de mécanique et de carrosserie, une grande première a été réalisée en février dernier à Saint-Hyacinthe avec la tenue du premier Grand Forum AIA. 800 décideurs s’y étaient donné rendez-vous.

L’événement a donné l’occasion aux gros-sistes, distributeurs et dirigeants d’entre-prises, de renforcer leur réseautage et de trouver des pistes concrètes pour amélio-rer la rentabilité des acteurs du marché secondaire.

La deuxième édition du Grand Forum de l’AIA se tiendra en mars prochain.

Hommage aux BâtisseursPour la troisième année consécutive, l’AIA-Québec a tenu son Hommage aux

Bâtisseurs. L’événement a réuni en 2007 plus de 250 invités de marque qui ont souligné leur reconnaissance envers les réalisations d’hommes dont les carrières respectives se sont échelonnées sur plus de 50 années. Un succès équivalent vient d’être remporté en 2008 avec l’intronisa-tion dans le Cercle des Pionniers de Claude Dagenais d’Auto-Chem, Marcel Dionne de NAPA et Jean Guénette d’Uni-Sélect.

Cette initiative devenue tradition a été mise sur pied en collaboration avec Publications Rousseau pour célébrer ceux dont la contribution au marché secondaire a été exceptionnelle.

L’AIA veut recentrer son rôleL’AIA Canada est en mode restructuration et redéfi nition, ce qui devrait avoir un im-pact sur ses divisions. Tout en demeurant en fonction à titre de président sortant de l’AIA-Québec, Mauro vient d’être nommé 2e vice-président du Conseil exécutif au niveau national. « Il s’agit d’une excellente décision qui fera en sorte que la division québécoise, reconnue pour son dyna-misme, continuera d’exercer une infl uen-ce prépondérante dans l’évolution des grands dossiers du marché secondaire au Québec et au Canada, à commencer par celui de la formation professionnelle. Le resserrement de ses relations avec les di-rigeants des ateliers indépendants n’aura jamais été aussi pertinent ! »

Un bilan de mandat très positif pour Mauro Cifelli

Resserrement des liens avec les ateliers indépendantsLes deux dernières années ont été marquées par la poursuite des pressions exercées par l’AIA auprès des

gouvernements dans le dossier crucial du Droit à la réparation ainsi que par la mise sur pied d’initiatives

visant à resserrer ses liens d’affaires avec ses membres, particulièrement les ateliers indépendants de

réparation automobile.

Raynald [email protected]

Mauro Cifelli, président sortant de l’AIA Canada, division du Québec, et vice-président Ventes et Marketing,

Vast-Auto Distribution


Pendant deux jours, des experts repré-sentant pour la plupart les plus grandes

entreprises mondiales dans ce domaine ont entretenu un public très attentif sur les enjeux de l’heure.

Choisir un remplacement au R-134aAvec la nouvelle réglementation européenne qui limitera le fl uide frigorigène dès 2011 à un PRP (potentiel de réchauffement planétaire) de 150, les conférenciers invités ont fait cha-cun la promotion de leurs produits et de leurs derniers avancements :

• Le réfrigérant R-152a, un hydrocarbure développé par Delphi, qui soulève des appréhensions

• Le HFO-1234yf, fruit d’une collaboration entre DuPont et Honeywell et qui ne contient aucun HFC

• Le R-744, à base de dioxyde de carbone (CO2), qui semble obtenir la faveur du plus grand nombre.

Cliniques et ateliersDes démonstrations de ces technologies sur des voitures prototypes ont suscité beaucoup d’intérêt des participants, tous des interve-nants majeurs dans cette industrie. Parmi les autres centres d’intérêt, on comptait des clini-ques et des ateliers sur les voitures hybrides, les techniques de diagnostic avec des nou-veaux équipements de détection des fuites et le toujours populaire salon des exposants, une occasion appréciée de s’informer sur les nou-velles pièces, équipements ou services.

Le salon des expo-sants est toujours

une occasion de prendre connaissan-

ce des nouveautés en climatisation.

La sixième convention européenne

(EAAC) sur la climatisation qui s’est

tenue à Francfort en Allemagne immé-

diatement après le salon International

Automechanika en septembre denier a

attiré plus de 300 participants de tous

les coins du globe.

Les tendances de l’industrie

Convention européenne sur la climatisation

François Charron [email protected]

Comme le vieux dicton le dit : «Chaque chose à sa place»! Les huiles, filtres et contenants d’huile usagés ont maintenant leur place.

Il ne faut pas jeter ces produits à la poubelle mais les déposer dans un des nombreux Pointsde Collecte de la SOGHU.

Pour trouver le Point de Collectele plus près de chez vous, visitez le www.soghu.com ou composez le 1 877 98-SOGHU (987-6448).

La Société de Gestion des HuilesUsagées (SOGHU) a mis en place un système de récupération et de valorisation de ces matières dangereuses pour notre environnement. Avec plus de 700 Points de Collecte à travers leQuébec, il est maintenant plus facileque jamais de récupérer vos huiles,filtres et contenants usagés (incluantles aérosols)… vous n’avez doncplus d’excuses de ne pas respecterl’environnement!

Non mais ça va pas?

Organisme agréé par RECYC-QUÉBEC

7742_SOGHU_PharmFr_MASTER_4,5x7,25:7742_SOGHU_PharmFr_MASTER_4,5x7,25 11/1


De récentes études de l’AIA confir-ment que de nombreux véhicules en

service ont besoin d’un entretien régulier. « Les Canadiens conduisent la même voiture plus longtemps, et cela entraîne une augmentation de la demande pour

l’entretien et la réparation », dit Marc, qui fait al-lusion aux quel-que 20 millions d e v é h i c u l e s âgés de 8 ans en moyenne qui parcourent nos routes. « C’est une occas ion pour notre in-dustrie de révi-ser et réparer un grand nom-

bre de véhicules ayant dépassé la garan-tie du constructeur. En tant qu’acteurs d’un secteur qui contribue à la sécurité des Canadiens au volant, nos membres sont prêts à continuer de satisfaire les consommateurs qui choisissent un atelier du marché secondaire pour l’entretien de leur véhicule. »

De l’avis de Marc, la force du marché secondaire réside dans « le service per-sonnalisé et le dévouement de ses em-ployés. »

Une industrie imposanteLe marché secondaire canadien emploie actuellement plus de 410 000 travailleurs.

« Le Conseil du Service d’entretien et de réparation automobiles du Canada (CARS) a compilé et diffusé de l’information très utile concernant nos besoins en main-d’œuvre », dit Marc. Un travail important pour l’AIA et l’industrie entière, car « il est nécessaire que nos employeurs et nos gé-rants aient régulièrement accès à des don-nées actualisées sur le marché du travail, afi n qu’ils puissent s’organiser et planifi er leurs besoins futurs en main-d’œuvre. »

La démographie changeante du marché du travail intéresse Marc, principalement à cause de la nécessité pour l’industrie d’attirer de nouveaux talents. « De nos jours, les jeunes gens et futurs chefs de fi le qui entrent dans nos effectifs arrivent avec des idées novatrices sur la façon de mieux satisfaire les clients et de profi ter des oc-casions d’affaires. Ils pensent et agissent différemment, mais ont toujours le goût du succès, tout comme les générations précédentes de leaders. De l’information, ils en mangent et ils n’ont pas peur d’ap-prendre et de se lancer dans l’inconnu, ce qui augure bien pour l’adaptation du marché secondaire aux technologies auto-mobiles qui évoluent constamment. »

PartenariatsMarc pense que l’AIA et les autres asso-ciations membres de CARS ont le besoin commun et la chance de renforcer leur longue et fructueuse collaboration. Ceci dans le but de faire de leur secteur un employeur motivant et enrichissant qui permettra aux jeunes d’apporter une

contribution importante à la croissance de l’industrie de façon responsable et innova-trice. En appuyant les stratégies de CARS et en participant à son succès en tant que membre du Conseil d’administration de CARS, Marc « appuie aussi indirectement le plan stratégique de l’AIA en favorisant l’atteinte d’objectifs directement liés à la mission de CARS. »

« Les formations techniques pour les tech-niciens et les compétences en gestion d’entreprise pour les gérants et proprié-taires d’ateliers seront toujours une prio-rité et une nécessité. Le défi pour CARS sera d’offrir de façon fl exible et pratique les meilleures formations possibles à un coût raisonnable. »

L’AIA, qui a déjà offert des formations à ses clients et membres, connaît les diffi -cultés que cela comporte. La formation doit être vue comme un investissement et non une dépense. « Nous devons mo-tiver les employeurs et les travailleurs à continuellement se perfectionner et je crois que CARS est bien placé autant pour servir cette cause que pour fournir de la formation. Il est simple d’expliquer ce que CARS fait : il offre de l’information actuali-sée sur la formation et des outils tels que CARSability et CARS sur demande pour aider les employés du secteur automobile canadien à être les meilleurs. Je le pense vraiment, » conclut Marc, qui a démontré que ce qui donne sa force à l’industrie, ce sont les gens.

Les gens au cœur de l’industrie« Si on met de côté la technologie et les pièces, les avancées les plus signifi catives [dans le marché

secondaire], selon moi, sont de nature humaine », a déclaré Marc Brazeau, président de l’Association des

Industries de l’Automobile du Canada (AIA). « Les consommateurs commencent à comprendre les bienfaits

d’un entretien préventif de leur véhicule, à cause de préoccupations écologiques plus présentes, de la

fi abilité et de la sécurité accrues des véhicules, mais aussi des économies que cela leur permet. »

Par : Le Conseil CARS www.cars-council.ca

Marc Brazeau, président de AIA Canada

SUCCÈS D’AFFAIRES ET PROFITABILITÉ!

GRAND FORUM de l’AIA – Édition 200918 MARS 2009 – HÔTEL DES SEIGNEURS, SAINT-HYACINTHE

Un GRAND FORUM qui offre aux dirigeants d’ateliers des moyens concrets pour améliorer leur rentabilité. Un événement qui permettra de favoriser les échanges entre les différents partenaires du marché secondaire de l’automobile. Un lieu de rencontres où seront communiqués par l’entremise de conférenciers de prestige les enjeux de notre industrie, les changements, ainsi que les tendances à venir.

Conférences, ateliers, expositions, échanges et nouvelles technologies.Venez partager nos solutions avec les experts du marché.

AU PROGRAMME7 h 30 . . . . . . . Accueil et visite de la salle d’exposition8 h 30 . . . . . . . Allocution des dignitaires et conférenciers9 h 30 . . . . . . . Séminaires – Bloc I10 h 30 . . . . . . Pause-café et visite de la salle d’exposition11 h . . . . . . . . Séminaires – Bloc II 12 h . . . . . . . . Dîner et visite de la salle d’exposition13 h 30 . . . . . . Séminaires – Bloc III14 h 30 . . . . . . Pause-café et visite de la salle d’exposition14 h 45 . . . . . . Séminaires – Bloc IV15 h 45 . . . . . . Conférence de clôture et visite de la salle d’exposition16 h 30 . . . . . . Cocktail

Un événement unique au Québec où seront réunis plus de 500 décideurs de l’industrie de l’après-marché de l’automobile.

RÉSERVEZ MAINTENANT !INSCRIPTIONRéservez auprès de Wendy Allain au 450-448-2220, [email protected] ou remplissez ce formulaire et télécopiez-le au 450-448-1041.

Libellez votre chèque à l’ordre de Publications Rousseau, ou contactez-nous pour effectuer votre paiement par carte de crédit.

TPS # 139133268TVQ # 1017103632

ENTREPRISE

NOM COURRIEL

ADRESSE TÉLÉPHONE ( )

TÉLÉCOPIEUR ( )

VILLE PROVINCE CODE POSTAL

NOMBRE DE PERSONNES TARIF PAR PERSONNE X 150.00 $ (incluant les taxes)

TOTAL=

FRAIS D’INSCRIPTION

150.00 $taxes incluses

Lunch et cocktail inclus

Publications Rousseau2938, terrasse Abénaquis,bureau 110, Longueuil (Québec)J4M 2B3

[email protected]

Tél. : 450-448-2220Téléc. : 450-448-1041

FORMULAIRE D’INSCRIPTION

Feuille vente AIA.indd 3 9/8/08 11:16:23 AM

LC-Decembre2008.indd 31 11/11/08 11:21:17 AM


SUCCÈS D’AFFAIRES ET PROFITABILITÉ!

GRAND FORUM de l’AIA – Édition 200918 MARS 2009 – HÔTEL DES SEIGNEURS, SAINT-HYACINTHE

Un GRAND FORUM qui offre aux dirigeants d’ateliers des moyens concrets pour améliorer leur rentabilité. Un événement qui permettra de favoriser les échanges entre les différents partenaires du marché secondaire de l’automobile. Un lieu de rencontres où seront communiqués par l’entremise de conférenciers de prestige les enjeux de notre industrie, les changements, ainsi que les tendances à venir.

Conférences, ateliers, expositions, échanges et nouvelles technologies.Venez partager nos solutions avec les experts du marché.

AU PROGRAMME7 h 30 . . . . . . . Accueil et visite de la salle d’exposition8 h 30 . . . . . . . Allocution des dignitaires et conférenciers9 h 30 . . . . . . . Séminaires – Bloc I10 h 30 . . . . . . Pause-café et visite de la salle d’exposition11 h . . . . . . . . Séminaires – Bloc II 12 h . . . . . . . . Dîner et visite de la salle d’exposition13 h 30 . . . . . . Séminaires – Bloc III14 h 30 . . . . . . Pause-café et visite de la salle d’exposition14 h 45 . . . . . . Séminaires – Bloc IV15 h 45 . . . . . . Conférence de clôture et visite de la salle d’exposition16 h 30 . . . . . . Cocktail

Un événement unique au Québec où seront réunis plus de 500 décideurs de l’industrie de l’après-marché de l’automobile.

RÉSERVEZ MAINTENANT !INSCRIPTIONRéservez auprès de Wendy Allain au 450-448-2220, [email protected] ou remplissez ce formulaire et télécopiez-le au 450-448-1041.

Libellez votre chèque à l’ordre de Publications Rousseau, ou contactez-nous pour effectuer votre paiement par carte de crédit.

TPS # 139133268TVQ # 1017103632

ENTREPRISE

NOM COURRIEL

ADRESSE TÉLÉPHONE ( )

TÉLÉCOPIEUR ( )

VILLE PROVINCE CODE POSTAL

NOMBRE DE PERSONNES TARIF PAR PERSONNE X 150.00 $ (incluant les taxes)

TOTAL=

FRAIS D’INSCRIPTION

150.00 $taxes incluses

Lunch et cocktail inclus

Publications Rousseau2938, terrasse Abénaquis,bureau 110, Longueuil (Québec)J4M 2B3

[email protected]

Tél. : 450-448-2220Téléc. : 450-448-1041

FORMULAIRE D’INSCRIPTION

Feuille vente AIA.indd 3 9/8/08 11:16:23 AM

LC-Decembre2008.indd 31 11/11/08 11:21:17 AM

Côté nord-est, le coup d’oeil étonne. Envahi de toutes parts par les véhicu-

les en attente d’entretien ou de livraison, se découpe en fond de scène ce typique atelier de quartier qu’est le Garage Mario

Barthold.

Comme il est parfaitement incrusté dans son environnement de Rosemont, on comprend qu’on puisse y rencontrer de ces clients avec qui son propriétaire entre-tient une telle relation, qu’ils s’y arrêtent uniquement pour le saluer et s’y sentir appréciés.

Un Tiger WoodsDans ce milieu où vivent des gens de toutes sphères, dont des professeurs d’université et des comédiens très connus, Mario est une vedette du coin pour plus d’une raison, dont la simplicité de l’ac-cueil, ainsi qu’une propreté et un ordre presque stupéfi ants.

Pour tous, ce spécialiste de l’électronique qui fait partie du groupe Élite Or de la ban-nière UNIPRO et qui est un fanatique des

autos classiques, est aussi un Tiger Woods bien particulier de la profession, comme de l’initiation à l’entretien automobile.

Homme de public, de lecture et de ré-flexion, qui inscrit tous les matins une pensée sur son tableau, il jouit entre autres de la notoriété que lui valent Les Conseils de Mario jadis présentés à la télé, et ses sessions tenues depuis 3 ans pour les femmes.

Les femmes et la radioL’importance et l’intérêt portés par cel-les-ci sont tels, que cette initiative venue d’une de ses clientes, Carmelle Lecompte, du Centre des femmes du Plateau Mont-

Royal, l’a amené l’an dernier à être entendu à l’émission radiocanadienne Macadam tribus.

Avec son franc-parler il dit aux femmes, qui forment près de 70 % de sa clientèle, ce qu’il est essentiel de savoir sur le com-portement d’un véhicule et ce qu’il faut faire en situations critiques, comme ce qui caractérise les garagistes fi ables.

Mario affi rme sans ambages que les fem-mes en savent généralement bien autant que les hommes, et qu’elles surprennent même par tout le savoir qu’elles ont ac-quis en lisant attentivement ce manuel du propriétaire que peu feuillette.

À coeur grand ouvertMalgré une charge de travail qu’il gère avec un calme enviable, il n’hésite par ailleurs jamais à rendre des services pour lesquels on l’appelle pour lui faire part de sa gratitude; ce dont j’ai été témoin lors de ma visite.

C’est avec cette même gratuité qu’il ac-cueille chaque année à coeur grand ouvert un élève de l’école du quartier afi n de l’ini-tier au monde du travail. Pas surprenant qu’un jour un client lui ait laissé un papier sur lequel il a découvert un superbe fusain affi ché dans son bureau.

On peut l’entendre à l’émission Macadam

tribus de Radio-Canada en cliquant sur l’onglet du reportage de Stéphane Leclair. Qui le fréquente l’adopte.

P U B L I R E P O R T A G E


Mario Barthold

Le favori des femmesBeaucoup de villages et de quartiers ont encore de ces lieux de

prédilection dont les gens sont heureux de bénéfi cier. C’est le cas à

Montréal à l’angle des rues Bellechasse et Chambord.

Une adaptation marquante« Mario Barthold se

démarque carrément

par la façon novatrice

avec laquelle il s’est

adapté à la croissance

de la clientèle féminine.

Un garagiste inspirant. »


José Mejias, Mario Barthold, Jacques

Ouellette, Henri Racine, Nestor Alberto, Kevin Andrade, stagiaire, et

Jean-Roch Goyette

– Raymond Linteau, directeur Programmes installateurs, Uni-Sélect


Valeur nutritivePar tranche de 2000 lecteurs*

Catégories de lecteurs % au Québec

* Selon un sondage de Léger Marketing commandé par Magazines du Québec.

S’en servent :pour se forger une opinion 84 %comme source d’information fiable 63 %pour utiliser les trucs et conseils 92 %pour obtenir un sentiment de bien-être 69 %

Ne pourraient s’en passer 21 %

Sont engagés envers lui 73 %

Regardent les publicités 79 %

Heures consacrées par moisà la lecture (en moyenne) 4 h 54

Magazines lus chaque moispar lecteur (en moyenne) 2,6

LE CONTENU, UN ÉLÉMENT ESSENTIEL : SELON UNE MAJORITÉ DE QUÉBÉCOIS, LA VALEUR DE LEURS MAGAZINESREPOSE SUR LA QUALITÉ ET LA VARIÉTÉ DES CONTENUS QU’ILS PROPOSENT. MAGAZINES DU QUÉBEC EN TÉMOIGNEANNUELLEMENT EN ORGANISANT LE CONCOURS DES GRANDS PRIX ET LA JOURNÉE MAGAZINE.

Mettez-vous sous la dent la liste des lauréats des Grands prix 2008en visitant le www.magazinesquebec.com

»NOURRISSENT MON ESPRITET MON SENS CRITIQUE.

«LES MAGAZINES

magazine:Layout 1 11/3/08 10:46 AM Page 1

Martin Belval occupe depuis 8 ans un poste d’enseignant à l’École

des Métiers de l’Équipement Motorisé de

Montréal, mais c’est surtout son affecta-tion au Centre de formation de General

Motors de Pointe-Claire, qui retient l’at-tention.

Fanatique de tout fi l relié à un système électronique ou informatisé, et situé aux toutes premières loges des systèmes les plus raffi nés de ce grand constructeur, il

y est devenu en 5 ans un véritable gourou de la haute technologie.

Tout enviable qu’elle soit, sa réputation n’est pas attribuable à son seul titre d’en-seignant. Bien qu’élève exemplaire, c’est dans les ateliers de mécanique qu’il a fait ses vraies classes, et en tirant le meilleur des cours auxquels il s’est ensuite inscrit.

Un homme de défi sTenté de vérifi er ses acquis, Martin a de

plus choisi de se mesurer aux meilleurs techniciens du réseau canadien de GM, grand partenaire des Olympiades, en participant 6 fois aux prestigieuses compéti-tions des Grands Maîtres et en y relevant chaque fois le suprême défi .

Extrêmement attiré par l’électrici-té, peu s’en est fallu toutefois qu’il opte pour cette discipline bien

que deux de ses frères aient choisi la mé-canique automobile, mais c’est fi nalement le Programme professionnel long qui l’a conduit sur sa voie de prédilection.

Étant alors monté sur les podiums des Olympiades après des épreuves lui ayant prouvé que ce sont la compréhension des systèmes et le savoir-naviguer dans le dédale des références des constructeurs qui font foi de tout, Martin a su qu’il était dans son élément.

La technoscience en vueBien qu’il ait toujours été à l’avant-garde, il admet qu’il est maintenant aux anti-podes de ce qui l’avait originellement amené dans l’automobile, à l’époque de la station-service d’un oncle, soulignant que le monde de l’entretien a fait depuis un gigantesque pas.

Pour entretenir les véhicules de nouvelle génération et les hybrides, auxquels il ini-

Six fois Grand Maître

Entre présent et futurComptant parmi les premiers médaillés des Olympiades québécoises Martin Belval a continué sur la lancée

de l’Argent et du Bronze qu’il y a obtenus en 1993 et de 1994 dans la catégorie Travailleurs. Répondant à

notre invitation, il a volontiers parlé de son cheminement.

M E R C I À N O S C O M M A N D I TA I R E S


« Je suis très privilégié d’avoir accès aux innovations et d’en

transmettre les caractéristiques avant même que les véhicules soient

sur le marché, mais pour le faire il me faut en apprendre toujours plus;

ce qui m’enthousiasme encore plus qu’il y a 25 ans », dit Martin Belval.

www.competencesquebec.com

tie les techniciens de GM, il soutient que l’industrie a besoin d’une relève à la fois folle de voitures et passionnée de hauts défi s et de science appliquée. Elle existe; il faut savoir aller la chercher.


Nouveau magasin

2 en 1 à Acton ValeEn pleine tourmente de la crise fi nancière mondiale, on inaugurait le 24 septembre le nouveau magasin de NAPA Acton Roxton : un événement qui a attiré quelque 400 personnes.


Des magasins NAPA de Roxton et d’Acton Vale, jadis situés à moins de 10 minutes, l’associé Gaetan Croteau n’en a fait

qu’un seul d’une superfi cie de 6000 pi.

Dirigé par Mélanie Croteau, sa fi lle, le commerce compte une dizaine d’employés et 6 véhicules avec lesquels on dessert le même territoire, mais avec un inventaire accru et de nouvelles gammes.

La décision de fusionner les deux commerces pour n’en faire qu’une entité d’avant-garde a été prise en fonction de la relève familiale et d’un marché en croissance.

Outre Mélanie, Maxime et Michael assistent également leur père dans la gestion de cet autre magasin NAPA qu’il exploite rue Sicotte à Saint-Hyacinthe.

André Morin, Jacques Boisvert, Jonathan Roy-Pratte, Mario Roy, Juliette Dupuis, mairesse, Maxime Croteau, Nicole D’Assylvas, Michael Croteau, Gaetan Croteau, propriétaire, Lucien Bourbeau, Pierre Vocelle, vice-président Québec NAPA Pièces d’auto, Michel Tessier, Robert Lebeau, Mélanie Croteau et Steve Charbonneau


S ’ i l est de nouveau question du Programme d’inspection obligatoire

des véhicules de 8 ans et plus proposé par cette Table, c’est en raison d’une étape récemment franchie en vue de sa mise sur pied.

Deux semaines avant le déclenchement de cette deuxième campagne depuis les premières démarches faites à ce sujet sui-vant un souhait formulé par le titulaire de l’Environnement de l’époque, un premier pas a été fait.

Le 22 octobre, se tenait au Ministère du

Développement durable, de l’Environne-

ment et des Parcs la première réunion du comité consultatif formé à la demande de

la ministre Line Beauchamp pour réviser le projet et proposer une structure de mise en place.

Une équipe prêteCe comité était composé de représentants de la Table de concertation sur l’Envi-

ronnement et les Véhicules routiers, de l’Agence de l’efficacité énergétique, de la Société de l’assurance automobile du

Québec et de l’Association de lutte contre

la pollution atmosphérique.

Le groupe a eu pour mandat d’en analyser la faisabilité en tenant compte de l’ensem-ble de ses volets, de son éventuelle por-tée, et de tous les aspects de sa gestion; ce qui en inclut l’inspection mécanique aussi bien que le contrôle à tous égards, et la sensibilisation.

Il y a été entendu que le plan de travail comprendrait la création de comités spé-cifi ques, de même que l’étude de diverses avenues pour que le Programme touche éventuellement l’ensemble des véhicules

8 ans et plus, soit un peu plus d’un million déjà présents sur nos routes du Québec.

Des habitudes à changerComme on estime que dans ce créneau près de 400 000 véhicules sont annuel-lement revendus, soit à peine la moitié du nombre total que compte cette catégorie, et que le plus grand nombre ne serait pas visé par la mesure, on anticipe aller plus loin.

Sachant par conséquent que les émissions du quart des véhicules roulant sur nos rou-tes causent 50 % de la pollution automo-bile, et que le parc ne cessera de vieillir, il a été envisagé dès cette rencontre de prévoir des mesures complé-mentaires.

Celles-ci auraient trait non pas à l’imposition générale d’une inspection obligatoire, mais à une cam-pagne visant à ce que les automobilistes adoptent des habitudes d’entretien aussi rentables pour eux que positives pour l’environnement.

Que feront les élus ?Il reste à savoir si le nouveau gouverne-ment continuera sur une lancée attendue par la Table de concertation sur l’Environ-

nement et les Véhicules routiers depuis déjà trois ans.

Pollution et inspections obligatoires

Le point après 2 électionsLe Québec aura-t-il ou non son Programme d’inspection à la revente des véhicules de 8 ans et plus ?

Pierre Beaudoin, président de la Table de concertation sur l’Environnement et les Véhicules routiers,

a fait le point.

« Comme l’analyse des observations faites aux États-Unis

dans le cadre des 52 programmes de contrôle des émissions

correspond à nos propres données, il est impératif que le

Québec adopte à son tour les mesures qui s’imposent »,

soutient Pierre Beaudoin.




Nouvelles D E L ’ I N D U S T R I ENouvellesD E L ’ I N D U S T R I E

LUSSIER et CLÉ VERTEAffi lié au tout nouveau programme de certifi ca-

tion environnementale CLÉ VERTE, qui s’adresse de façon spécifi que aux ateliers d’entretien et de réparation automobile, LUSSIER Cabinet d’as-surances offre un rabais de 10 % à tout atelier accrédité qui optera pour la police d’assurance de son Programme Mercure. 1-800-363-5521, ext. 2057 • www.lussierassurance.com

NominationChez Carrus Technologies, Marc St-Jacques a

été nommé au poste de v i ce -prés ident Ventes et Marketing. Bachelier en commu-nication de l’Universi-té Concordia, celui-ci a une vaste expérience en technologies de l’information et en pu-blicité, et une compré-hension des enjeux de l’industrie automobile

acquise chez Fjord Interactif à titre de directeur du volet des réseaux d’affaires transactionnels. www.carrustechnologies.com

Nouveau site MaremontMaremont a récemment rénové son nouveau

site Internet. On y retrouve des milliers de pièces et d’accessoires répertoriés dans un catalogue électronique illustré et facile à consulter. Il est dé-sormais encore plus facile d’identifi er rapidement la pièce recherchée et de la commander en quel-ques clics. Simple d’utilisation et convivial, le nou-veau site de Maremont constitue une ressource fi able qui accélérera le processus de commande. www.maremont.com

Hausse de 20,4 %Uni-Sélect a enregistré un chiffre d’affaires de

328 728 000 $ au troisième trimestre 2008, en hausse de 10 % sur le chiffre d’affaires de 298 756 000 $ obtenu en 2007 : une augmen-tation refl étant principalement les acquisitions des derniers trimestres. Quant au bénéfi ce net, il s’est élevé à 12 354 000 $ à 63¢ par action com-parativement à 10 258 000 $ ou 52 ¢ par action l’an dernier; ce qui correspond à une hausse de 20,4 % du bénéfi ce. www.uni-select.com

Convention MACS 2009La 29e convention annuelle de MACS, intitulée

New Frontiers in Mobile A/C Service, se tiendra du 5 au 7 février 2009 au Hilton Anatole de Dallas, au Texas. La programmation du salon comporte des présentations autant sur les technologies que sur les affaires. Ce sera une excellente occasion d’apprendre sur les outils d’analyse, les façons d’éliminer les retours sur vos réparations, d’amé-liorer vos diagnostics GM et BCM, d’étudier les liquides et systèmes de refroidissement, les véri-fi cations électriques essentielles et l’analyse des véhicules hybrides. www.macsw.org

Pneus d’hiver Continental à faible résistancePar ses efforts en recherche et innovation, Continental a réussi à fabriquer des

pneus d’hiver avec une résistance de roulement aussi faible que les pneus d’été, grâce aux matériaux utilisés, à leur légèreté et au design de leur bande de roule-ment. Ces améliorations structurelles minimisent la déformation du pneu pendant la conduite, ce qui a pour effet de réduire également la résistance au roulement. Dorénavant, il est donc inadéquat d’imputer à ces pneus une plus grande consom-mation d’essence en hiver. www.conti-online.com

Visibilité accrue et site Internet

En 2009, dans la grande région métropolitaine de Québec, les ateliers membres de la bannière Mécano Clé et Mécano Clé Élite du Groupe Du-So augmenteront leur visibilité auprès de la clientèle actuelle et future. Comme garagistes de proximi-té, ils démontreront collectivement leur accessibi-lité et leur professionnalisme, et le feront par un nouveau site Internet et des outils de marketing appropriés. À surveiller.

Pneus d’hiver Continental à faible résistancePar ses efforts en recherche et innovation, Continental a réussi à fabriquer des

pneus d’hiver avec une résistance de roulement aussi faible que les pneus d’été, grâce aux matériaux utilisés, à leur légèreté et au design de leur bande de roule-ment. Ces améliorations structurelles minimisent la déformation du pneu pendant la conduite, ce qui a pour effet de réduire également la résistance au roulement. Dorénavant, il est donc inadéquat d’imputer à ces pneus une plus grande consom-mation d’essence en hiver.

Toute la région immédiate de Saint-Jérôme a eu connaissance de l’événe-

ment qui a souligné les deux jours de célé-bration du nouveau et plus grand magasin de Pièces d’autos R. Thérien.

Fort en vue sur le boulevard des Lauren-tides, dans le secteur Saint-Antoine, le commerce a doublement attiré l’attention puisqu’on y a alors fait entendre le tir d’un canon de la dernière guerre mondiale.

Outre une soirée exceptionnelle à laquelle ont assisté quelque 250 invités, dont les élus régionaux, deux jours de fête attirant environ 600 personnes y ont été tenus avec la participation de 25 fournisseurs.

À géométrie variableDirigé par Nicolas Bérard, ce nouveau ma-gasin et ses 8000 pi2, qui compte 8 em-ployés et 6 véhicules, est aussi l’entrepôt dont s’est doté Pièces d’autos R. Thérien.

Faite sur mesure pour ce type de commer-ce, cette ancienne concession automobile offre tous les avantages, tant sur le plan de sa confi guration que d’un terrain sur lequel il est possible d’agrandir à volonté.

L’espace est tel, qu’on y trouve sur place des produits industriels, de l’équipement d’atelier et une panoplie d’articles tou-chant à la santé et à la sécurité des pro-fessionnels. Le tout, en sus du soutien à la clientèle.

Grossiste de tailleL’entreprise R. Thérien se caractérise par un service personnalisé, un professionna-lisme, un dynamisme et une originalité remarquables, comme l’atteste le camion-remorque dont on se sert pour les tour-nées estivales.

Fondé il y a 23 ans, Pièces d’autos R.

Thérien a 4 magasins qui sont situés à Sainte-Sophie, Saint-Jérôme, Saint-Sauveur et Saint-Antoine; plus de 35 em-ployés, une fl otte impressionnante de vé-hicules de livraison et une imposante force d’inventaire qui leur permet sans nul doute d’être La Référence des Laurentides !

Pièces d’autos R. Thérien

Magasin-phare à Saint-AntoineÀ Saint-Jérôme, l’automne a été marqué par l’inauguration du quatrième et plus imposant magasin de

Pièces d’autos R. Thérien, associé au réseau IAPA.

Le Groupe Monaco Automotive – Entrepôt de Montréal est très fi er de compter Pièces

d’autos R. Thérien dans son réseau de distribution IAPA qui, de Blainville à Mont-

Laurier, renforce sans nul doute la croissance et l’évolution de l’organisation.

Pièces d’autos R. ThérienGilles Demers, Daniel Boyer, Yvan Domingue, Dominic Monaco, Pascal Cardinal, Marie-Josée,

Francine, Ronald et Karine Thérien, Raphaël Juteau-Thérien, Benoit Juteau, Monique Guay, députée, Marc Gascon, maire de Saint-Jérôme, et Yvon Brière, maire de Sainte-Sophie

Guy O’Bomsawin [email protected] U B L I R E P O R T A G E


La porte-parole de Mon auto,

j’en prends soin reçoit un prix

dans le cadre du Mois de l’histoire

des femmes

L ors d’un atelier de formation en entre-tien automobile s’adressant aux fem-mes, le 24 octobre 2008, Kelly Williams a

été honorée d’un certifi cat de reconnaissance décerné par le centre Women’s Place situé à Scarborough, en Ontario.

« Ce certifi cat est attribué à des femmes qui choisissent activement d’exceller et qui, par leur détermination, ont atteint leurs buts et surpassé les attentes, affi rme Cathy Mwanza, directrice, Women’s Place. Ce certifi cat rend aussi hommage à Kelly à titre de modèle pour

les femmes. Le thème du Mois de l’histoire des femmes de 2008 e s t « Fe m m e s e n tête » et Kelly a réa-lisé de grands pro-grès dans le monde de l’automobile, dé-

montrant que les femmes peuvent sortir des sentiers battus et remporter du succès. »

Plus de 40 femmes qui souhaitaient se ren-seigner sur l’entretien préventif des véhicules participaient à l’activité. Bas Balkissoon, dé-puté de Scarborough Rouge River, assistait aussi à l’événement qui s’inscrivait dans les activités du Mois de la sécurité automobile du programme Mon auto, j’en prends soin. Kelly a donné des conseils pour que les femmes soient préparées pour les routes d’hiver, a répondu à des questions et a discuté de questions géné-rales d’entretien de véhicules.

« C’est un véritable plaisir pour moi d’utili-ser ma passion pour les voitures d’une façon qui donne du pouvoir aux femmes, déclare Kelly Williams, porte-parole de Mon auto, j’en prends soin. En renseignant les femmes et en les sensibilisant aux avantages de l’entretien préventif, leurs voitures dureront plus long-temps, nos routes seront plus sécuritaires et nous réduirons l’impact de nos automobiles sur l’environnement. »

À propos de Kelly WilliamsDe plusieurs façons, Kelly Williams est comme l’une de ses

voitures de course, pilotant stratégiquement sa vie à grande vitesse. À titre de porte-parole de la campagne Mon auto, j’en prends soin du Conseil Entretien Auto, elle met à contribution son expérience à titre de pilote automobile en jouant des rôles de formation, de préconisation et de promotion de la sécurité auprès du public canadien.

Williams pilote des voitures de course depuis plus de 15 ans, ayant débuté à 17 ans. Après avoir décroché son diplôme du Teacher’s College de l’Université de Toronto en 1994, elle a dé-cidé de consacrer toute son énergie à la course automobile. Grâce à sa détermination et à son habileté, elle a rapidement progressé dans les rangs du sport motorisé canadien. En peu de temps, elle s’est mise à courser dans ce qui est maintenant la série NASCAR Canadian Tire, la plus prestigieuse division de course de stock-cars au Canada.

Aujourd’hui, Williams est porte-parole du programme Mon auto, j’en prends soin, donne des cours de conduite pour BMW et anime des ateliers de formation sur l’entretien automobile partout au pays.

Récemment, elle a :

• voyagé à travers le monde pour conduire la voiture pilote de la série Champcar • fait l’essai de véhicules de course de la série de camionnettes Craftsman • couru dans la course One Lap of America • animé l’émission Mechanical Chicks de la chaîne de télévision Global • fait partie d’un groupe d’experts d’une série du Discovery Channel intitulée

Canada’s Worst Driver (saison un) • été porte-parole du programme Mon auto, j’en prends soin du

Conseil Entretien Auto depuis octobre 2004.

Williams met à profi t sa formation en éducation pour enseigner des techniques avancées de conduite pour différents constructeurs de véhicules, en mettant l’accent sur la conduite prudente. Hors piste, elle se consacre à l’enseignement, à la présentation d’allo-cutions, à la visite d’écoles et à la participation à des expositions commerciales.

À propos du programme Mon auto, j’en prends soin et du Conseil Entretien Auto

Mon auto, j’en prends soin, c’est une campagne qui renseigne les automobilistes canadiens au su-jet des avantages de l’entretien régulier et de la réparation des véhicules. La campagne vise à habiliter les automobilistes à prendre des décisions avisées au sujet de leurs véhicules et à éviter les coûteuses réparations découlant de la négligence. Encadrée par le Conseil Entretien Auto, la campagne s’articule sur trois messages clés – la sécurité, la protection de l’environnement et la maximisation de la valeur obtenue de l’investisse-ment dans l’entretien et la réparation des véhicules.

Le Conseil Entretien Auto est un regroupement sans but lucratif de défense d’intérêts offrant des services de recherche, d’édu-cation des consommateurs et d’information au sujet de l’industrie canadienne du marché secondaire de l’automobile. Depuis plus de 15 ans, le Conseil Entretien Auto œuvre pour que les automobilistes comprennent mieux l’impor-tance vitale de l’entretien régulier des véhicules et sachent comment, en adoptant une approche pré-ventive d’entretien et de bonnes habitudes de conduite, les automobilistes peuvent réduire leurs frais d’entretien et rehausser la sécurité.

Pour en savoir plus, visiter www.entretienautocanada.ca.


Notes sur l'entretien des systèmes / composants du véhicule

Feux et pharesRemplacer l'ampoule immédiatement si un feu ou phare ne fonctionne pas. Vérifier d'abord les fusibles.

Lavage et polissagePour éviter d'enlever la cire de la peinture d'un véhicule, utiliser uniquement des produits de lavage d'automobile, et non du détergent à vaisselle. Polir au moins deux fois par année pour maintenir et protéger la finition. (Des produits écologiques sont offerts sur le marché.)

FreinsVérifier tout le système de freinage tous les ans, y compris les garnitures, disques et tambours.

ÉchappementInspecter pour détecter les fuites, l'endommagement ou le bris de supports, en cas de bruit inhabituel. Une fuite d'échappement peut poser un danger et doit être corrigée sans délai.

Lubrification du châssisDe nombreux véhicules plus récents sont lubrifiés à vie. Certains requièrent encore ce service. Consulter le manuel du propriétaire. Les composants de rechange de la direction et de la suspension peuvent nécessiter une lubrification régulière.

Direction et suspensionInspecter les systèmes tous les ans, y compris les amortisseurs, les jambes de force et les pièces du châssis comme les joints à rotule, les embouts de biellette de direction et autres pièces connexes. Remplacer en cas de fuite, d'endommagement et de desserrement des éléments de montage. Les symptômes d'une suspension usée comprennent l'usure inégale des pneus et un rebondissement excessif après des cahots.

Pression de gonflage et état des pneusMesurer tous les mois la pression de gonflage de tous les pneus, y compris le pneu de secours. Vérifier la bande de roulement pour déceler toute usure inégale ou irrégulière, ainsi que toute coupure ou tout endommagement des flancs. Remplacer les pneus usés ou endommagés. La conduite d'un véhicule dont un seul pneu est sous-gonflé de 8 psi (56 kPa) peut réduire de 15 000 kilomètres la durée utile du pneu et faire augmenter de 4 pour cent la consommation d'essence.

Batterie d'accumulateurs et câblesLa batterie doit être solidement ancrée. Les connexions doivent être propres, serrées et libres de corrosion. Si la batterie a trois ans ou plus, elle doit être vérifiée et, au besoin, remplacée.

Filtre à air du moteurInspecter le filtre lors de chaque vidange d'huile. Le remplacer tous les ans ou en cas de fuite, de déchirure, de contamination par l'eau ou l'huile ou d'usure. Un filtre à air obstrué peut faire augmenter de 10 pour cent la consommation de carburant.

Liquide de transmission automatiqueVérifier le niveau du liquide lorsque le moteur est en marche et que la transmission est au point mort. Si le niveau est bas, ajouter le type de liquide de transmission automatique recommandé dans le manuel du propriétaire ou sur la jauge. Pour un rendement maximal, vidanger l'huile tous les deux ans ou tous les 40 000 km, ou selon le manuel du propriétaire.

Liquide de refroidissement (antigel)Vérifier le niveau dans le réservoir. Ne JAMAIS ouvrir un bouchon de radiateur chaud. Si le niveau est bas, ajouter un mélange moitié-moitié d'antigel homologué et d'eau distillée. Pour la majorité des véhicules, vidanger le liquide tous les ans.

Huile moteur et filtre à l'huileVérifier le niveau lorsque le moteur est coupé, à chaque plein d'essence. Pour maximiser la durée du moteur, vidanger l'huile et remplacer le filtre tous les trois mois ou tous les 5 000 km, ou selon le manuel du propriétaire. Utiliser le grade et le poids d'huile recommandés.

Sonde d'oxygèneRemplacer selon l'intervalle recommandé dans le manuel du propriétaire ou lorsque d'autres conditions le dictent, comme l'échec à une analyse de gaz d'échappement. Certains véhicules sont dotés d'un témoin de remplacement de la sonde d'oxygène qui s'allume au besoin. Depuis 1996, les voitures comportent plus d'une sonde d'oxygène.

Durites et tuyauxInspecter les durites et tuyaux lors de chaque vidange d'huile et les remplacer en cas de fuite, de fragilité, de craquelures, de corrosion, d'enflement ou d'obstruction.

Liquide lave-glaceVérifier le liquide tous les mois. Certains véhicules sont dotés de deux réservoirs. Ne pas utiliser d'eau, mais uniquement du liquide lave-glace. L'hiver, utiliser un liquide adapté au froid.

CourroiesVérifier le serrage et l'état des courroies en V et multifonctions. Les remplacer en cas de craquelures, d'effilochage, de glaçage ou d'usure excessive. Remplacer la courroie de distribution selon l'intervalle recommandé dans le manuel du propriétaire, soit à 100 000 ou 150 000 km. L'omission de remplacer la courroie selon les recommandations peut provoquer une panne ou endommager gravement le moteur.

BougiesL'intervalle typique de remplacement s'échelonne entre 50 000 et 160 000 km, selon le véhicule et le type de bougies. Toujours consulter le manuel du propriétaire.

Liquide de servodirectionVérifier le liquide lorsque le véhicule est réchauffé. Si le niveau est bas, ajouter le type de liquide recommandé. Si un remplissage fréquent est nécessaire, inspecter pour déceler toute fuite et remplacer le liquide s'il est contaminé.

Balais d'essuie-glaceLes remplacer tous les six mois ou s'ils sont craquelés ou déchirés, s'ils laissent des stries ou s'ils sautillent.

Témoin d'anomalie du moteurSi le témoin s'allume pendant la conduite ou s'il demeure allumé, votre véhicule peut avoir un problème d'émissions ou de sonde. Il faut analyser la situation. Si le témoin clignote, la situation est plus grave et doit être vérifiée immédiatement pour prévenir l'endommagement du convertisseur catalytique. Presque tous les systèmes mécaniques d'un véhicule peuvent affecter le rendement du carburant s'ils ne sont pas bien entretenus.

Filtre à air pour habitacleLe remplacer tous les ans, plus fréquemment dans les régions où il y beaucoup de contaminants atmosphériques, ou encore lorsque l'efficacité de chauffage ou de refroidissement diminue.

Feux et phares

Feux et phares

Lavage et polissage

Freins

Freins

Filtre à carburant

Échappement

Lubrification du châssis

Direction et suspension

Pression de gonflage et état des pneus Batterie d'accumulateurs et câbles

Filtre à air du moteur

Liquide de transmission automatique

Liquide derefroidissement (antigel)

Huile moteur et filtre à l'huile

Sonde d'oxygène

Durites et tuyaux

Liquide lave-glace

Courroies

Bougies

Liquide de servodirection

Balais d'essuie-glace

Témoin d'anomalie du moteur

Filtre à air pour habitacle

Filtre à l'huile

Filtre à carburantInspecter le filtre lors de chaque vidange d'huile. Le remplacer en cas d'obstruction ou de contamination par l'eau, ou encore une fois par an si le véhicule a un carburateur. Dans le cas d'un véhicule à moteur à injection, remplacer le filtre tous les ans ou tous les 40 000 km.

www.entretienautocanada.ca

Notes sur l'entretien des systèmes / composants du véhicule

Feux et pharesRemplacer l'ampoule immédiatement si un feu ou phare ne fonctionne pas. Vérifier d'abord les fusibles.

Lavage et polissagePour éviter d'enlever la cire de la peinture d'un véhicule, utiliser uniquement des produits de lavage d'automobile, et non du détergent à vaisselle. Polir au moins deux fois par année pour maintenir et protéger la finition. (Des produits écologiques sont offerts sur le marché.)

FreinsVérifier tout le système de freinage tous les ans, y compris les garnitures, disques et tambours.

ÉchappementInspecter pour détecter les fuites, l'endommagement ou le bris de supports, en cas de bruit inhabituel. Une fuite d'échappement peut poser un danger et doit être corrigée sans délai.

Lubrification du châssisDe nombreux véhicules plus récents sont lubrifiés à vie. Certains requièrent encore ce service. Consulter le manuel du propriétaire. Les composants de rechange de la direction et de la suspension peuvent nécessiter une lubrification régulière.

Direction et suspensionInspecter les systèmes tous les ans, y compris les amortisseurs, les jambes de force et les pièces du châssis comme les joints à rotule, les embouts de biellette de direction et autres pièces connexes. Remplacer en cas de fuite, d'endommagement et de desserrement des éléments de montage. Les symptômes d'une suspension usée comprennent l'usure inégale des pneus et un rebondissement excessif après des cahots.

Pression de gonflage et état des pneusMesurer tous les mois la pression de gonflage de tous les pneus, y compris le pneu de secours. Vérifier la bande de roulement pour déceler toute usure inégale ou irrégulière, ainsi que toute coupure ou tout endommagement des flancs. Remplacer les pneus usés ou endommagés. La conduite d'un véhicule dont un seul pneu est sous-gonflé de 8 psi (56 kPa) peut réduire de 15 000 kilomètres la durée utile du pneu et faire augmenter de 4 pour cent la consommation d'essence.

Batterie d'accumulateurs et câblesLa batterie doit être solidement ancrée. Les connexions doivent être propres, serrées et libres de corrosion. Si la batterie a trois ans ou plus, elle doit être vérifiée et, au besoin, remplacée.

Filtre à air du moteurInspecter le filtre lors de chaque vidange d'huile. Le remplacer tous les ans ou en cas de fuite, de déchirure, de contamination par l'eau ou l'huile ou d'usure. Un filtre à air obstrué peut faire augmenter de 10 pour cent la consommation de carburant.

Liquide de transmission automatiqueVérifier le niveau du liquide lorsque le moteur est en marche et que la transmission est au point mort. Si le niveau est bas, ajouter le type de liquide de transmission automatique recommandé dans le manuel du propriétaire ou sur la jauge. Pour un rendement maximal, vidanger l'huile tous les deux ans ou tous les 40 000 km, ou selon le manuel du propriétaire.

Liquide de refroidissement (antigel)Vérifier le niveau dans le réservoir. Ne JAMAIS ouvrir un bouchon de radiateur chaud. Si le niveau est bas, ajouter un mélange moitié-moitié d'antigel homologué et d'eau distillée. Pour la majorité des véhicules, vidanger le liquide tous les ans.

Huile moteur et filtre à l'huileVérifier le niveau lorsque le moteur est coupé, à chaque plein d'essence. Pour maximiser la durée du moteur, vidanger l'huile et remplacer le filtre tous les trois mois ou tous les 5 000 km, ou selon le manuel du propriétaire. Utiliser le grade et le poids d'huile recommandés.

Sonde d'oxygèneRemplacer selon l'intervalle recommandé dans le manuel du propriétaire ou lorsque d'autres conditions le dictent, comme l'échec à une analyse de gaz d'échappement. Certains véhicules sont dotés d'un témoin de remplacement de la sonde d'oxygène qui s'allume au besoin. Depuis 1996, les voitures comportent plus d'une sonde d'oxygène.

Durites et tuyauxInspecter les durites et tuyaux lors de chaque vidange d'huile et les remplacer en cas de fuite, de fragilité, de craquelures, de corrosion, d'enflement ou d'obstruction.

Liquide lave-glaceVérifier le liquide tous les mois. Certains véhicules sont dotés de deux réservoirs. Ne pas utiliser d'eau, mais uniquement du liquide lave-glace. L'hiver, utiliser un liquide adapté au froid.

CourroiesVérifier le serrage et l'état des courroies en V et multifonctions. Les remplacer en cas de craquelures, d'effilochage, de glaçage ou d'usure excessive. Remplacer la courroie de distribution selon l'intervalle recommandé dans le manuel du propriétaire, soit à 100 000 ou 150 000 km. L'omission de remplacer la courroie selon les recommandations peut provoquer une panne ou endommager gravement le moteur.

BougiesL'intervalle typique de remplacement s'échelonne entre 50 000 et 160 000 km, selon le véhicule et le type de bougies. Toujours consulter le manuel du propriétaire.

Liquide de servodirectionVérifier le liquide lorsque le véhicule est réchauffé. Si le niveau est bas, ajouter le type de liquide recommandé. Si un remplissage fréquent est nécessaire, inspecter pour déceler toute fuite et remplacer le liquide s'il est contaminé.

Balais d'essuie-glaceLes remplacer tous les six mois ou s'ils sont craquelés ou déchirés, s'ils laissent des stries ou s'ils sautillent.

Témoin d'anomalie du moteurSi le témoin s'allume pendant la conduite ou s'il demeure allumé, votre véhicule peut avoir un problème d'émissions ou de sonde. Il faut analyser la situation. Si le témoin clignote, la situation est plus grave et doit être vérifiée immédiatement pour prévenir l'endommagement du convertisseur catalytique. Presque tous les systèmes mécaniques d'un véhicule peuvent affecter le rendement du carburant s'ils ne sont pas bien entretenus.

Filtre à air pour habitacleLe remplacer tous les ans, plus fréquemment dans les régions où il y beaucoup de contaminants atmosphériques, ou encore lorsque l'efficacité de chauffage ou de refroidissement diminue.

Feux et phares

Feux et phares

Lavage et polissage

Freins

Freins

Filtre à carburant

Échappement

Lubrification du châssis

Direction et suspension

Pression de gonflage et état des pneus Batterie d'accumulateurs et câbles

Filtre à air du moteur

Liquide de transmission automatique

Liquide derefroidissement (antigel)

Huile moteur et filtre à l'huile

Sonde d'oxygène

Durites et tuyaux

Liquide lave-glace

Courroies

Bougies

Liquide de servodirection

Balais d'essuie-glace

Témoin d'anomalie du moteur

Filtre à air pour habitacle

Filtre à l'huile

Filtre à carburantInspecter le filtre lors de chaque vidange d'huile. Le remplacer en cas d'obstruction ou de contamination par l'eau, ou encore une fois par an si le véhicule a un carburateur. Dans le cas d'un véhicule à moteur à injection, remplacer le filtre tous les ans ou tous les 40 000 km.

www.entretienautocanada.ca

FREINS ABSCO LTÉE(418) 627-3113

1 800 463-4394www.absco.ca

365, rue Dupuy, Québec Canada G1L 1P2

DES CÂBLESplus que

...dessabotsFixations identiques

à celles del'équipement d'origine

(OEM)

Pensons simplement au système OnStar de GM qui offre au conduc-

teur l’assistance routière d’urgence et d’autres services connexes, comme la détection d’un impact, le déploiement du coussin gonfl able, le système de dé-verrouillage à distance des portières, un système d’appels téléphoniques sans fi l et même une possibilité de diagnostiquer à distance une défaillance du moteur à même cette technologie.

La tendance se maintientMais nombreux sont ceux dans l’industrie de l’après-marché qui craignent que ces liens à vie sans fi l avec les constructeurs de voitures – grâce à la télématique – puissent devenir une menace à ce seg-ment de l’industrie automobile. Selon une étude de l’AAIA (Automotive Aftermarket

Industry Association) aux États-Unis, environ 280 millions de voitures sont actuellement équipées de tels systèmes, qui peuvent d’ailleurs accepter des mises à niveau. Au pays de l’Oncle Sam, 28 % des véhicules ont un système utilisant la télématique, et on prévoit que ce chiffre passera à 40 % en 2012. Les systèmes de télématique sans surveillance comptent pour 7,5 %, mais on s’attend à un bond jusqu’à 30 % sous peu.

Les systèmes de navigation GPS sont maintenant des plus abordables, géné-rant un marché de 2,4 G$ aux États-Unis et de 9,3 G$ mondialement. On anticipe une augmentation de 10 % des ventes de voitures en Asie et en Inde, alors qu’en Europe et en Amérique elles stagneront. Toutes ces voitures seront en grande partie équipées de systèmes utilisant la télématique.

Bouger au bon moment Les gourous de l’après-marché voient dans cette tendance une opportunité d’af-faires évidente. Reste à voir comment se fera la répartition de ce segment de mar-ché au niveau de la distribution. À coup sûr, il y aura de la place sur le marché secondaire pour compléter les initiatives de chaque fabricant de voitures dans ce domaine. Il faudra être capable de déceler rapidement les grandes tendances qui se dessineront à l’aide des technologies mo-dernes de communications et d’analyses de données, afi n de réagir adéquatement avec un plan stratégique qui tient la route et génère des revenus bien sûr !

La télématique

Une aide ou une menace ?Les systèmes de navigation GPS et autres technologies sans fi l embarqués qui équipent les voitures récentes ont vraiment la cote de nos jours. On est loin de la carte géographique ou même de l’itinéraire détaillé fourni par MapQuest ou Google Maps.



A vant même de penser à une straté-gie de gestion, soyons à l’affût de ce

que recherchent les candidats. Rappelons-nous l’article Gérer les jeunes au travail paru en février dernier dans Auto-jobs.ca (www.auto-jobs.ca/info-jobs/Février2008/

lesjeunesautravail.html). Les travailleurs de moins de trente ans accordent une grande importance :

• À la reconnaissance que leur porte leur employeur

• Aux échanges d’idées, à la participation aux décisions et à la qualité des relations interpersonnelles

• Aux défi s et à l’autonomie au travail

• À la conciliation travail-famille-loisirs.

Et bien, de nouvelles recherches confi r-ment à nouveau l’importance d’implanter au sein de son organisation des pratiques de gestion qui répondent à certaines de ces attentes. En effet, une étude* menée auprès de 27 000 jeunes diplômés post-secondaires révèle que les principaux critères utilisés lorsqu’ils choisissent un emploi à temps plein sont l’équilibre tra-

vail/vie personnelle, la bonne entente au travail et un bon salaire de base. Ces constats n’ont rien d’étonnant, mais en-core une fois, ils servent à sensibiliser les employeurs et à sonner l’alarme.

Des compromis pour l’avancementCette enquête révèle aussi que les trois quarts de ces jeunes accepteraient quand même un emploi qui ne répond pas tout à fait à leurs exigences s’il s’agit d’un tremplin pour leur carrière. Autre fait marquant du sondage : beaucoup de jeunes diplômés recherchent la stabilité en emploi. Près de 55 % des répondants souhaitent un emploi stable dans lequel ils aimeraient évoluer toute leur carrière. L’idée préconçue que les jeunes ne recher-chent plus la stabilité d’emploi est remise en question ! Il y a effectivement de l’es-poir en matière de rétention du personnel pour les employeurs qui sauront être stra-tégiques dans leur gestion des ressources humaines.

L’enquête nous confirme que les Sites Web des employeurs et les sites Internet d’emplois sont les outils les plus utilisés par les chercheurs d’emplois. Côté recru-tement, le « marketing » est maintenant à l’honneur ! Prenez le temps de revoir votre site web et de vous assurer qu’il soit conçu de façon à vous mettre en valeur comme employeur.

Ça s’applique à tousOn fait référence aux jeunes, mais les constats sont les mêmes pour les candi-dats de tout âge. Les experts en ressour-ces humaines et les résultats de plusieurs sondages dont ceux réalisés par l’Ordre des conseillers en ressources humaines (CRHA) du Québec confirment qu’une entreprise qui se démarque comme em-ployeur de choix bénéfi cie d’un avantage concurrentiel important à la fois pour le recrutement que la rétention et la fi déli-sation du personnel. Encore une fois, les notions telles que la reconnaissance, le climat de travail ou la communication sont de retour !

Ressources humaines

Les candidats (es) : que recherchent-ils?Les candidats qualifi és se font rares… On le sait, on le vit et on nous le répète sans cesse. S.V.P., changeons

de CD ! Que voulez-vous, c’est impossible ! Dans un contexte de forte concurrence, les entreprises n’ont

d’autres choix que de se démarquer comme employeur de choix et d’adopter de nouvelles pratiques de

gestion. Puisqu’il s’agit d’un sujet complexe qui ne peut être traité en quelques lignes, nous ne ferons qu’un

petit retour sur les attentes des chercheurs d’emplois.

Suzanne Mercier compte plus de 20 années d’ex-périence à titre de gestionnaire de projets touchant les ressources humaines, notamment dans le sec-teur automobile et fi nancier. Membre de l’Ordre des conseillers en ressources humaines et en relations in-dustrielles agréés du Québec et diplômée de l’Univer-sité McGill, elle est à l’affût des meilleures pratiques en gestion des ressources humaines. Sa mission est claire : proposer à ses clients des solutions pratiques, simples et concrètes adaptées à leurs besoins.

* Étude « From learning to work : Canada’s Campus Recruitment Report » menée par Decode, Brainstorm Consulting et Universum. – Communiqué de Presse du 24 septembre 2008.

Suzanne Mercier CRHA – Consultante en gestion des ressources humaines


Les visiteurs ont été initiés à Spectra

Premium par une présentation de la gamme complète de ses produits et de leurs caractéristiques, avant que ne s’amorce la tournée de la chaîne de pro-duction de radiateurs.

Cette présentation comprenait les nou-veaux produits que sont des modules à essence, des réservoirs avec modules préassemblés accompagnés de courroies pour en faciliter l’installation, de même que des tuyaux de remplissage.

Du nouveau bientôtOn y a précisé que Spectra Premium lan-cera bientôt une gamme de ces tuyaux pour suppléer aux cas problématiques

des réservoirs en plastique et en acier pour lesquels les pièces d’origine sont très chères ou non disponibles chez les recycleurs.

Spectra Premium, qui fabrique 55 % des radiateurs qu’elle vend, les teste indivi-duellement et valide tous les produits qu’elle fait fabriquer en Chine selon ses propres spécifi cations, investit annuelle-ment de 3 à 5 millions en recherche et développement.

Sylvain Lacroix, de Pièces d’auto Lacroix,

a désormais en inventaire dans ses trois magasins tous les produits du manufactu-rier québécois.

Chez Spectra Premium

130 visiteurs à LavalMi-septembre, la grande usine lavalloise de Spectra Premium a reçu quel-que 130 garagistes, techniciens et installateurs qui répondaient ainsi à l’invitation de Pièces d’auto Lacroix.


Scott Cléroux de Spectra Premium, Richard Roy et Sylvain Lacroix de Pièces d’auto Lacroix, Robert Angrignon, directeur de l’usine de Laval


TOUJOURS AUSSI COURUS

Cette Dodge Challenger au

stand des pièces de performance

de Chrysler a été conduite au Rally

de Terre-Neuve par Ralph Gilles,

le designer montréalais

au service du constructeur.

Quelque part sous toute cette

plomberie, il y a un gros V8 HEMI !

Gates avait un grand stand à l’entrée même de l’expo AAPEX. Le gros cube y était fascinant avec ses messages différents à chaque face.

Kerry Best et Max Carter avaient de nou-veaux produits à présenter à leurs multiples clients au stand Spectra Premium.

Ford a profi té du salonde SEMA pour y dévoiler son nouveau pick-up SVT Raptor de production destiné aux excursions hors route.

Vous souvenez-vous du temps où les « Funny Cars » avaient vraiment l’air… drôle ?

Las Vegas, Nevada. Il fallait être aux grandes

expositions de SEMA (Specialty Equipment Market

Association) et d’AAPEX (Automotive Aftermarket

Products Expo) qui se sont déroulées au début de

novembre dernier pour comprendre que, malgré

les baisses de ventes de voitures aux États-

Unis, le marché des pièces de remplacement

d’autos, qu’elles soient originales ou modifi ées,

est toujours aussi vivant. On y avait anticipé une

baisse des exposants et des visiteurs, mais, si

c’en fut le cas, c’était à peine perceptible. En effet,

il y avait moins de monde le mardi – mais alors,

c’était journée d’élections aux États-Unis – mais

les jours suivants, il y était diffi cile de circuler tant

la foule était dense. Et les multiples exposants

nous ont tous exprimé leur grande satisfaction

quant au nombre de visiteurs à leur stand.

Évidemment, il y avait parmi les milliers d’articles

en exposition, de nombreuses automobiles et

camionnettes modifi ées qui ne manquaient pas

d’attirer l’attention des visiteurs.


Maintenant offerte dans notre bouteille pratique facile à utiliser.

#22065Bouteille pratique de 85 g

Essayez également la graisse diélectrique

Nouveaux Produits

Scellant RTVConçu spécialement pour les carters de boîte de vitesses, ce scellant RTV résiste aux détergents pour liquide à transmission automatique et aux modificateurs de friction. Il n'endommage pas les capteurs, est non corrosif et offre une résistance maximale à l'huile de transmission. Conçu pour les carters de boîte de vitesses, les sections du carter ou les couvercles intérieurs.

Pour Transmission Automatique

Commandez-le dès aujourd'hui:#31870 – Tube de 85 g

Pour obtenir de plus amples renseignements, rendez-vous au www.permatex.com ou faites le 1 800 924-6994

Permatex et le design sont des marques déposées de Illinois Tool Works Inc. © Copyright 2008. Permatex. Tous droits réservés. 0805-091C

MD

(PHOTOS : ÉRIC DESCARRIES ET SHIRLEY BROWN)

Éric Descarries [email protected]

TOUJOURS AUSSI COURUS

JoAnn McKeow, vice-présidente aux ventes et au marketing, et Rolf Muench, directeur national des comptes de l’automobile, étaient agréablement surpris du nombre de visiteurs canadiens qui se sont présentés à leur stand Sylvania.

Brad Sharrick, directeur exécutif des ventes pour le Canada, et Lou Kafantaris, directeur des marques de Federal-Mogul ont profi té d’une courte pause pour cette photo.

Au stand de Hella, on pouvait voir Alfredo Vargas, Anke Tigges, Siggy Tigges et Tony Barolin de Barolin et Spencer des relations publiques de Hella.

Bill Hay de Dayco Canada a pris quelques minutes de son horaire occupé pour nous montrer de nouveaux articles.

Ces quatre visiteurs canadiens ont été croqués au stand Dorman alors qu’ils voulaient en savoir plus sur de nouveaux produits. Ken Morrison de Lyman Agencies, Ed Coates de Lordco, Andrew Connor de Dorman et Doug Coates aussi de Lordco ont apprécié ce qu’ils y ont vu.

Cette Chrysler fortement modifi ée est le travail d’un jeune carrossier canadien, Jean-François Lausnier de la Colombie-Britannique. Origina-lement de Montréal, le jeune créateur parle très bien le français et il réussit également à s’illustrer sur la scène américaine.

Le constructeur japonais Toyota présentait des versions modifi ées de sa

nouvelle Venza à l’expo de SEMA.

Sean Keogh, vice-président du développement d’affaires, et Jim Bouchard, président de East Penn Canada, sont à côté du tout récent succès d’East Penn Batteries… la marque Duracell !

Claude Dussault, directeur des ventes chez ABSCO, a indiqué que les visites à son stand étaient bonnes à l’expo AAPEX.

Permatex célèbre cette année son 100e anniversaire et il n’y avait pas d’endroit mieux choisi que l’expo d’AAPEX pour le faire. Wynn’s Permatex commandite cette auto de type « Funny Car » de l’équipe Follow A Dream dont on voit le propriétaire et chef d’équipe Jay Blake et le pilote Marty Nothstein. Le soir précédant l’expo, Permatex recevait ses invités à une piste de karting intérieur de Las Vegas.


Comme chaque automne, plusieurs de ses clients l’appellent pour combiner

le rendez-vous de pose de pneus et leur changement d’huile. Sous les directives de Robert, son conseiller technique prend un maximum de rendez-vous afi n de servir le plus de clients et occuper ses techniciens avec les réparations urgentes qui sont à faire : freins, joints à rotule, etc. Des répa-rations rentables, selon Robert.

Depuis qu’il est en affaires, Robert voit ses revenus et son profi t net augmenter pendant la période des pneus, mais à plusieurs reprises, il a vu ses profi ts fon-dre pendant les mois moins occupés.

Robert a suivi 4 cours de ges-tion et il avoue avoir réussi à mettre en pratique seulement 20 % des notions apprises. Il sait très bien que les véhicules ont des besoins réguliers pen-dant toute l’année et qu’il est possible de répartir le travail, mais il ne sait pas comment retourner la situation et faire progresser sa moyenne de 1,5 heure de main-d’œuvre par facture à 2 heures. Ses ur-gences quotidiennes le limitent à « étein-dre des feux » !

Pistes de réfl exionPourquoi Robert vit-il des hauts et des bas au cours de l’année ? Pourquoi les clients ne viennent que deux fois par année ?

Est-il rentable de privilégier les grosses réparations dans la période des pneus ?

Analyse de la situation de Robert L’horaire de rendez-vous surchargé est la cause du surtemps et du stress de l’équipe; le conseiller technique n’a pas le temps nécessaire pour faire le suivi de l’entretien des véhicules, et la pression à « sortir les véhicules » rapidement force les techniciens à réaliser des inspections visuelles qui ne permettent d’identifier

très partiellement les besoins des véhi-cules. La conséquence est que les clients ne reviennent qu’uniquement pour leur changement d’huile ce qui renforce leur perception que l’entretien se fait unique-ment chez les concessionnaires et les ré-parations chez les garages indépendants.

De plus, en privilégiant une réparation importante (ex. : 4 h), l’atelier est moins rentable en comparaison avec les 4 à 6 inspections (saisonnières, recomman-dées par km ou de courtoisie) qui auraient pu s’effectuer, générant ainsi des suivis, des rendez-vous ultérieurs dans une pé-riode moins occupée, et des entretiens et des réparations, il y a donc un manque à gagner important.

Le tableau ci-contre donne un aperçu des conseils possibles pour Robert et l’impact sur l’atelier.

Décider et construire l’avenirPris dans le cercle vicieux du manque de temps, le stress de Robert est conti-nuel et sa passion du mé-tier s’affaiblit. Ses choix : le statu quo actuel ou dé-cider d’une meilleure qua-lité de vie pour lui et son équipe.

Une histoire pas comme les autres ?

Les hauts et les bas de RobertÉtabli depuis 10 ans, Robert a un atelier de trois baies qui emploie un conseiller technique et trois techniciens.

Il a un nombre impressionnant de clients qu’il dit fi dèles, car plusieurs d’entre eux reviennent tous les

automnes et printemps.

Jean Boudreau [email protected]

Jean Boudreau est président de NEXO, Solutions en gestion et formation, et il est coach en implantation pour le programme de formation avancée en gestion NAPA PROShop. Fort d’une expérience de 12 ans en développe-ment organisationnel, en gestion de projets et en formation dans divers secteurs, il développe des solutions pratiques pour les entreprises de tailles variées. Vous pouvez le join-dre au 514-754-8006.

Des conseils pour Robert Impact sur l’atelier

• Maintenir le conseiller technique à temps plein

• Planifi er un nombre adéquat de rendez-vous par jour

• Privilégier des inspections écrites sur chaque véhicule (saisonnières, km) et mettre en valeur l’expertise de l’atelier

• Effectuer le suivi des réparations non urgentes en prévoyant des rendez-vous ultérieurs dès la facturation

• Conseiller les clients face à l’entretien régulier afi n de minimiser le risque de bris

• Diminution du stress de l’équipe et plus grande satisfaction du travail accompli de l’équipe

• Bons de travail refl étant les besoins réels des véhicules

• Augmentation des heures de main-d’œuvre vendues par jour par technicien

• Suivi de l’entretien des véhicules

• Plus grande satisfaction des clients qui par l’entretien régulier de leur véhicule économisent du temps et de l’argent (46 % de moins que les réparations selon J.D. Power and Associates)

Source : Groupe de performance NAPA PROShop


Les représentants de Vast-Auto ont bé-néfi cié d’une tournée des installations,

d’informations-clés sur la qualité de la fabrication, comme sur la gamme complète des produits ainsi que sur l’engagement de Spectra Premium envers sa clientèle.

Testés à l’extrêmeOn y a souligné l’extrême importance accordée à la qualité, à la validation, à la recherche et au développement, ainsi qu’à ce qui caractérise les produits de Spectra

Premium par rapport à la concurrence, in-cluant ce qui est fabriqué en Chine suivant des normes tout aussi rigoureuses.

Un accent particulier a été mis sur le fait que, pour s’assurer que le produit soit sans retour, chaque unité produite à ses usines et prête à être installée sans ajus-

tements est vérifi ée et validée après des tests qui dépassent largement les condi-tions d’utilisation les plus diffi ciles.

Des produits sans retourCette visite des usines ultramodernes et par-faitement robotisées de Spectra Premium a permis aux représentants de Vast-Auto de tout savoir sur le haut niveau de qualité et la spécifi cité des produits portant le sceau de cette entreprise québécoise.

Sous certification ISO 9001, 14001 et 16949, Spectra Premium, qui fabrique ce qui est destiné au marché secondaire avec le même soin que celles qu’il manufacture pour les constructeurs, offre un choix de quelque 2500 pièces, dont plusieurs en exclusivité pour les voitures classiques.


André Lapierre de Spectra Premium, Stéphane Giroux, Wilson Almeida, Antoine Janisse, Scott Cleroux et Jean-Paul Trudeau de Spectra Premium, Yvon Jutras, Mario Iacovone, Ginette Parent et Jean Robitaille

À Laval et Boucherville

Vast-Auto chez Spectra PremiumMi-septembre, un groupe des réseaux de Vast-Auto visitait chez Spectra Premium les grandes usines de Laval et de Boucherville.


Partenaires majeursLe tout a débuté par une nouvelle choc qui a ravi les membres présents. Grâce au nouveau partenariat avec le réseau Uni-Sélect/Palmar, tous les membres de l’asso-ciation bénéfi cient dorénavant d’escomp-tes de volume, qu’ils soient propriétaires d’une ou de plusieurs dépanneuses, ex-plique Réjean Breton, président de l’APDQ. « Uni-Sélect/Palmar était d’ailleurs omni-présent lors de l’évè-nement, avec 23 kios-ques su r 60 , l e s autres étant occupés par des fournisseurs de produits et servi-ces reliés à notre in-dustrie. On comptait également sur place 23 dépanneuses et/ou avec diverses ap-plications dédiées au remorquage ou à la récupération. »

L’APDQ compte également depuis long-temps la compagnie d’assurances Chevrier Laporte de Granby au nombre de ses par-tenaires majeurs, ce qui permet des tarifs d’assurance privilégiés pour les entrepri-ses de dépannage.

Que des élogesLes échos et louanges sur l’évènement résonnent encore aux oreilles de tous, rapporte Pierre Laberge, trésorier de l’association et président du congrès pour

cette 14e édition. « Les éloges sur la qualité des conférenciers et la pertinence de leurs propos, le nombre d’exposants présents et l’ampleur qu’a pris le congrès ont surpris tout le monde. Les congressis-tes ont apprécié le passeport exposant que les gens devaient faire valider aux kiosques visités et qui donnait droit à des

tirages de toutes sortes. » Parmi les prix ainsi décernés, une bonne vingtaine, il y avait entre autres des GPS, des billets de hockey, des accessoires de dépannage, des équipements de survoltage, un gyro-phare, etc.

Une kyrielle de commanditaires« On ne peut passer sous silence le sup-port de nos 35 commanditaires, dont les Industries NRC – commanditaire offi ciel – sans qui un tel succès n’aurait pas été possible. Le congrès de l’APDQ a pris une

dimension d’allure nationale avec les an-nées et compte maintenant parmi les plus prestigieux au pays. L’an prochain, nous prévoyons inviter des visiteurs d’autres provinces et d’Europe pour la 15e édi-tion », souligne le président en terminant.

www.apdq.ca

Association des Professionnels du Dépannage au Québec (APDQ)

14e congrès annuelL’industrie du dépannage se porte bien au Québec, comme ont pu le constater les 425 participants au

14e congrès annuel de l’organisme, qui se tenait du 16 au 18 octobre dernier à l’Hôtel des Seigneurs de

Saint-Hyacinthe. Les membres et représentants de plus de 190 entreprises sont venus discuter sur les

enjeux de l’heure, s’informer sur les nouvelles tendances, réglementations et équipements dans un esprit

d’échange vraiment convivial.

François Charron [email protected]çois Charron [email protected]

Le nouveau conseil d’administration de l’APDQ pour l’année 2008 : Pierre Charette, administrateur; Pierre Laberge, président du congrès 2008; Mike Burstall, vice-président; Réjean Breton, président; Jean-Paul Larouche, vice-président; Mario Mayer, secrétaire; Marcel Ouellet, administrateur; Sylvain Oligny, administrateur et Réal Grand’maison, administrateur.

Le congrès de

l’APDQ a pris

une dimension

d’allure nationale.

On aperçoit sur cette photo le comité de bénévoles de l’association : Pierre Laberge, Sylvie Mayer, Nicole Laroche, Jean-Paul Larouche, Annie Ouellet, Mario Mayer et Réjean Breton.

Porte-paroles et conférenciersClaude Larose • Ministère des Transports du Québec

Yannick Blouin

Michel Lachance

René Desaulniers • Société de l’Assurance Automobile du Québec

Guy Mailhot • Commission des Transports du Québec

Yves Charette • Contrôle routier Québec

Yves Bouchard • Sûreté du Québec

Marcel Chamberland • Démonstrations techniques de récupération


Nouvelles D E L ’ I N D U S T R I ENouvellesD E L ’ I N D U S T R I E

Tournoi de golf mémorablePlus de 470 personnes s’étaient donné rendez-vous pour une bonne

cause et pour « croiser le fer » en bonne compagnie sur le parcours du club de golf Elm Ridge de l’Île-Bizard, témoin d’un élan de générosité sans précédent de la part de tous les participants.

À l’occasion de cette 18e édition du tournoi de golf annuel, les orga-nisateurs ont en effet recueilli la somme record de 602 000 $ pour la Fondation Canadian Tire du Québec. L’originalité des moyens employés pour inciter les gens à faire un don n’avait d’égal que l’enthousiasme de tous pour la Fondation, que ce soit en achetant des affi ches publicitaires à prix fort le long du parcours, par un encan silencieux pour l’achat d’ob-jets d’art ou un encan crié pour des billets de spectacle ou un voyage donné par un commanditaire.

L’organisme pourra entre autres continuer à offrir des vacances inou-bliables à des centaines de jeunes de partout au Québec. Une partie de ces fonds permettra à des centaines de jeunes de partout au Québec de séjourner durant l’été à la Base de plein air Perce-Neige située à Wentworth dans les Laurentides.

Michel Choinière, marchand associé à Valleyfi eld et président de la Fondation; Jici Lauzon, l’artiste invité de la soirée et le porte-parole de l’organisme; la chanteuse Laurence Jalbert; l’animatrice Jacynthe René; et Jean Paquette, marchand associé à Beauport et directeur du tournoi, posent devant le chèque symbolique de 602 000 $, un record sans précédent dans l’histoire de la Fondation Canadian Tire du Québec

À l’extrême droite...Il arrive que se glissent des erreurs quasi parentales. Sous cette

photo prise à Terrebonne et parue dans la précédente édition, vous vous êtes sûrement rendu compte que les doigts de notre journaliste s’étaient trompés de Roy. Celui qui se tient à l’extrême droite, à gau-che de Kevin Lacroix, n’est pas Bernard mais bien Richard Roy, main-tenant directeur des ven-tes chez Pièces d’auto Lacroix et bras droit de Sylvain Lacroix. Désolés.

À l’Expo Vente de septembre

Clin d’oeil à Richard RoyLe départ de Richard Roy, père de l’Expo Vente d’Uni-Sélect, ne pouvait laisser coi. Lors du Brunch Reconnaissance, un vif hommage lui a été rendu de-vant une foule de professionnels.


Après 17 ans chez Uni-Sélect Richard Roy, voyage en poche, a repris du service chez Pièces d’auto Lacroix où il seconde Sylvain Lacroix.

Ben Michaud, qui occupe en vente et marketing une fonction qu’il a longtemps exercée, a avoué le grand respect qu’il lui

voue pour ce qu’il a accompli comme mentor de premier plan et mordu de dépassement.

Dans le même sens, Carol Chartrand a fait valoir à quel point Richard connaissait à fond tout le champ québécois d’Uni-Sélect, et y accumulait les heures, sans compter, pour l’atteinte de ni-veaux toujours plus élevés.

On lui doit entre autres de légendaires tournées, d’ambi-tieux plans d’affaires, la réforme complète de la bannière Le

Spécialiste, un intensif programme de recrutement, et de mé-morables congrès.

Un meneur admiréChez les fournisseurs, Charles Touchette a rappelé son grand souci du détail, qu’il s’agisse de langue ou d’administration, son intégrité absolue, comme ses messages du vendredi soir et son agréable compagnie.

Membre majeur du réseau de grossistes d’Uni-Sélect, Roger Letendre a renchéri en parlant des messages du samedi soir, mais également d’une disponibilité, de conseils et d’un sens de la détente tout à fait légendaires.

Son ex-collègue Gilles Rathé a rap-pelé avec humour que Richard, qu’il a toujours vu très imaginatif et ultraacharné, aura su autant transformer la relation avec les membres, que livrer et faire livrer. Un remarquable pilier.


L e bilan de la première année du Centre

d’Excellence NAPA, le guichet unique du réseau NAPA en matière de formation, est à couper le souffl e. Son site enregistre 500 000 visites par semaine.

Lancé en octobre 2007, le Centre d’Excel-

lence NAPA se révèle donc par son univer-salité dans le domaine des pièces et des services connexes, une véritable université de la connaissance et de l’expertise.

Des tonnes de coursSa formule est si pertinente, que 5000 uti-lisateurs de plus de 700 entreprises, s’y branchent en moyenne 200 fois par jour pour y bénéfi cier des multiples formations qu’on y offre notamment en partenariat avec CARS.

La demande est telle, que les cours origi-nellement au programme touchant à l’en-tretien sous le capot ou sous l’auto voire à l’ensemble des aspects de la profession

ont doublé, passant à plus de 400.

Tout y est abordé, de la révolutionnaire technologie des hybrides aux camions légers et de taille moyenne pour lesquels le réseau a aussi des pièces, à la gestion proprement dite.

Nouveautés et précieux outilsDébut 2009 d’autres volets seront au pro-gramme, qu’il s’agisse des sessions en ligne concernant l’accueil et l’initiation du nou-veau personnel à ce qu’est NAPA, ou de la planifi cation des horaires.

Volet outils, le Centre d’Excellence NAPA

propose par ailleurs l’approche de la qua-lifi cation et de la promotion pour contrer la pénurie de personnel, en se servant des formules d’évaluation de CARSability.

À cette adresse, 34 grilles d’évaluation comprenant une centaine de questions auxquelles il faut généralement une heure

pour y répondre sont d’un soutien pré-cieux pour le perfectionnement comme pour l’embauche.

Un guide magistralOn a sans frais un aperçu des services du Centre d’Excellence NAPA en consultant le tutoriel qu’il y a sur son portail, et en se livrant à un excellent exercice de planifi -cation de la formation, comme on le ferait pour des vacances.

Ce tutoriel de très haut de gamme dé-montre magistralement l’impressionnant service de soutien de ce Programme de NAPA qui amorce tout juste sa deuxième année.

L’accueil du site www.napaexcellence.ca

présente de plus le calendrier des ses-sions conventionnelles de formation, les-quelles comprendront bientôt celles des fournisseurs du réseau NAPA... et l’avenir réserve encore plus !

Bilan de première année A+

Populaire à millions !À peine terminée, la première année du Centre d’Excellence NAPA s’annonce comme une initiative qui

comble les attentes. Plus que parfaite, sa note ne saurait être affi chée sans le + qui signale une performance

exceptionnelle.



Nathalie et Jacynthe, respectivement directrice

et coordonnatrice du Centre d’Excellence NAPA,

estiment que seul ceux qui veilleront d’ici à 5 ans

à leur perfectionnement continu et à celui de leur

personnel auront une ferme garantie d’avenir.


Vous gagnez votre vie grâce à « At the Fender ». Et cela vous permet de rester productif en obtenant les diagnostics pertinents au bon moment. Faites connaissance avec Pegisys – l'outil de balayage à main le plus évolué – conçu pour vous permettre plus de liberté pour un travail productif. Notre technologie sans fil AirBridge™ exclusive signifie que vous êtes maintenant complètement autonome du véhicule (même lorsqu'il est hissé), et avez l'accès par Internet* sur-le-champ aux atouts de diagnostic en temps réel incluant le Direct Hit Technician™ de Identifix®

(disponible dès l'automne 2008). Pegisys déclenche votre potentiel à travailler plus intelligemment et rapidement à côté du véhicule (At the Fender), ce qui est bon pour l'atelier et pour vous. Pegisys est un appareil de productivité vous procurant une liberté de diagnostic, et il est issu de la compagnie OTC, compagnie à laquelle les techniciens professionnels font confiance. Pour plus de renseignements sur Pegisys, composez le 1-800-533-6127 ou visitez-nous en ligne.

www.pegisysotc.com

Source d'information de bande passante At the Fender™:

• Plus de 27 ans de champ d'application automobile (25 constructeurs EO différents et 44 marques de véhicules)

• Préinstallé avec balayage intégré (Pathfinder™) et affichage (Infotech™) de diagnostic, conseils techniques Repair-Trac™ et test de système automatisé™

• DTCs, capacité de test bidirectionnel et flux de données

• Affichage haute vitesse à deux voies

• Sélection sur écran tactile

• Connexion véhicule sans fil

• Connectivité Internet

• Commande super rapide SpeedScroll™

• Capacité audio et vidéo

© 2008 SPX CorporationSPX et OTC sont des marques déposées de SPX Corporation. Pegisys, Automated System Test, AirBridge, Pathfinder, DTC Scan, At the Fender et SpeedScroll sont des marques de commerce de SPX Corporation. Tous les autres logos et noms de constructeurs automobiles EO sont les marques déposées de ces entreprises. L'usage des logos et des noms est à des fins d'identification et n'indique aucunement l'endossement ou l'appartenance auxdites entreprises avec SPX.

* Connexion WIFI requise.

Productivité de diagnostic...

déchaînée !Voici Pegisys™

Sécurité hivernale

Vérifi er les freins pour la conduite en hiverL’hiver sera-t-il doux ou connaîtrons-nous un hiver canadien typique

avec beaucoup de neige, temps froid et glace ?

Pierre Lalonde

www.affi niagroup.com

La saison froide a débuté dans plu-sieurs régions et la sécurité hivernale

se doit d’être une priorité. Si votre coin de pays est froid et enneigé, les consomma-teurs se précipiteront pour voir à l’installa-tion de pneus d’hiver. Qu’à cela ne tienne, ce qui permet au véhicule de s’immobiliser c’est le système de freinage, système es-sentiel à la sécurité.

Les freins en hiver Le système de freinage doit-il subir une mise au point avant l’hiver ? La réponse est oui; la conduite hivernale avec un mau-vais système peut s’avérer dangereuse.

En tant que technicien d’expérience, votre client vous confi e son véhicule pour l’en-tretien et pour s’assurer que le système de freinage fonctionne parfaitement. Voici une liste des éléments à vérifi er. N’oubliez pas, il n’y a pas de prix pour la sécurité, donc faites le travail minutieusement.

Vérifi cation des freinsTout d’abord, faites un essai sur route afi n de déterminer si les freins, incluant l’ABS, fonctionnent adéquatement. Le système antiblocage est considéré comme

un appareil de sauvetage potentiel, car il aide le chauffeur à maintenir le contrôle de la direction et réduire le dérapage en situation d’urgence. C’est très impor-tant d’entretenir l’ABS; le liquide de frein sale ou contaminé peut endommager les éléments de l’ABS. Personne n’aime les mauvaises surprises et les modulateurs ABS sont très coûteux. Un bon conseil – remplacez le liquide de frein à tous les 24 000 km. De plus :

• Avec les freins ABS, la lumière devrait s’allumer pendant quelques secondes lors du démarrage, puis s’éteindre.

• Si la lumière reste allumée, procédez à d’autres diagnostics afi n d’assurer que le système de freinage ABS fonctionne effi ca-cement.

• Le circuit d’éclairage des freins arrière doit faire partie de l’inspection régulière.

• Ensuite, la pédale de frein doit être vérifi ée – est-elle ferme ou spongieuse ?

• Vérifi ez le fonctionnement de l’étrier afi n de vous assurer que les tiges soient dégagées et qu’elles bougent bien. En tant que techni-cien compétent, voyez à ce que les pistons ne collent pas, vérifi ez s’il y a des fuites, et sachez que les joints des étriers ne sont pas éternels. Examinez les tiges et les douilles, et suggérez qu’elles soient lubrifi ées – la neige

mouillée et les produits chimiques sur nos rou-tes affectent les composants de frein en métal.

• Faites une inspection visuelle du maître-cylin-dre, des tuyaux fl exibles, et des raccords afi n de détecter les fuites. Toute fuite dans le sys-tème de freinage présente un risque d’accident.

• Inspectez les disques pour détecter les rainures, la décoloration, ou tous les signes de fi ssures indiquant que les disques doivent être surfacés à nouveau ou remplacés.

• L’usure inégale des plaquettes est à vérifi er.

• Les freins arrière demandent aussi votre atten-tion – vérifi ez l’usure des sabots et les ferrures en plus des cylindres récepteurs pour détecter les fuites, et les tambours pour les fi ssures ou faux rond.

Fonctionnement des freins arrièreVoici quelques astuces pour le fonctionne-ment effi cace des tambours arrière :

• Les plateaux des sabots arrière doivent être nettoyés et lubrifi és avec du silicone haute température.

• Vérifi ez l’ajustement du plateau de frein à la surface intérieure du tambour.

• Vérifi ez et remplacez les ressorts de rappel usés.

• Vérifi ez s’il y a des fuites dans les cylindres de roues et tuyaux de freins arrière.

• Réglez les sabots selon les spécifi cations É.O.

• Lorsque vous avez engagé le frein de station-nement, a-t-il retenu le véhicule ? N’oubliez pas que la plupart des gens aujourd’hui n’utilisent pas le frein de stationnement, mais la loi requiert que cet équipement sécuritaire fonctionne adéquatement.

• Remplissez le maître-cylindre de liquide pour frein approuvé DOT.

Avisez le client…Suite à l’inspection des freins, notez et recommandez à votre client les pièces à changer afi n que le système de freinage soit comme neuf. Avisez votre client de l’impor-tance de la vérifi cation dudit système.


«Cette année, nous avons décidé d’organiser un marathon de mar-

che comme activité de fi nancement », dit Alex Trichas, un des partenaires. « Grâce à l’appui généreux des clients, fournisseurs, employés, amis, et familles, nous avons dépassé notre objectif de 10 000 $. Nous avons été en mesure de verser 26 000 $, et nous sommes fi ers de ce résultat pour une première année.

« Nous avons fourni beaucoup d’efforts afi n d’assurer la réussite de cette activité. La réaction de tous les gens à qui nous avons fait appel a été fantastique. Cent personnes ont participé à la marche cette journée-là ! Nous avons terminé l’après-midi avec un barbecue. L’événement fut un énorme succès grâce à la collaboration de l’Hôtel de Ville, des pompiers et de la police. Ginette Legault Bernier, conseillère municipale à Laval, est venue nous encou-rager. Nous avons planifi é un événement convivial qui nous servira de base pour voir plus grand l’an prochain. »

L’espoir, c’est la vieLes partenaires ont affirmé que l’argent était destiné à l’organisme L’espoir, c’est la

vie, qui fait partie de l’Hôpital général juif.

Cet organisme, fondé par Sheila Kussner, est reconnu mondialement pour son appro-che singulière à l’amélioration de la qualité de vie des patients atteints du cancer.

« Ce chèque fut remis à l’organisme L’espoir, c’est la vie récemment, et par la même occasion, il nous a été permis de vi-siter les installations. Ils nous ont expliqué comment ils viennent en aide aux person-nes atteintes du cancer et à leurs familles afi n qu’ils puissent affronter les moments diffi ciles », a confi é Alex.

Un événement réussi« Comme je l’ai mentionné, l’événement fut très réussi grâce à l’aide et l’appui de tous les intervenants. Nos sincères remer-ciements à tous nos clients, fournisseurs, employés, amis et familles. Étant une ac-tivité de fi nancement pour une œuvre de charité, tous les donateurs recevront un reçu aux fi ns d’impôt.

« Ce fut notre première tentative pour un tel événement, et nous sommes très fi ers du montant de 26 000 $ que nous avons versé à cette noble cause. L’an prochain, nous espérons faire encore mieux », indi-que Alex en terminant.

Don de charité

Donner fait du bienPièces d’auto Dorval et ses succursales sur des Sources et à St-Henri est une entreprise familiale de trois

magasins, faisant des affaires depuis vingt-cinq ans. La compagnie est distributrice de produits ACDelco

et BESTBUY ainsi que grossiste et détaillant de pièces d’auto et camion sur l’île de Montréal. Cette année,

ils ont trouvé une idée originale afi n d’amasser des fonds pour un hôpital de la métropole.


C’était une belle journée ensoleillée pour le marathon de marche.

Un fi er membre www.bestbuyautoparts.ca

DISTRIBUTEURDISTRIBUTEUR

Mel Peress, Dimitrios Dimopoulos, Nick Dimopoulos, Sheila Kussner – fondatrice et présidents de L’espoir, c’est la vie, Suzanne O’Brien – directrice administrative de l’organisme, Alex Trichas, Chris Dimopoulos, et André Dimopoulos étaient présents lors de la remise du chèque de 26 000 $.

TRAD

UIT

DE

L’AN

GLAI

S PA

R M

ARC-

ALAI

N N

ANTE

L

Costa Anagnostaras, Kevork Manoukian, Alex Trichas, Emmanuel Katerelos, Chris Dimopoulos, Zannis Rafeletos, Vic Basmadjian, and Nick Dimopoulos étaient à la marche.

Shirley Brown [email protected]


Les transmissions à variation continue (CVT ou Continuously Variable Trans-

mission en anglais) font de plus en plus la manchette. Alors que vous étiez occupés à comprendre et réparer ces Powerglide et Fordomatic à deux vitesses, puis les transmissions à trois, quatre et même cinq vitesses, certains constructeurs jouaient déjà avec le principe CVT. Parmi ceux-ci, il y a eu un tout petit constructeur hol-landais, van Doorne Automobiel Fabriek (DAF) qui, en 1958, lançait la DAF 600, fort probablement la toute première auto de production à utiliser une transmission CVT. Ce ne fut pas un succès. Il faudra at-tendre à 1987 avant de voir, en Amérique du Nord, une autre voiture à boîte CVT, la Subaru Justy. Mais encore une fois, cette innovation mécanique ne fi t pas l’unani-mité.

En fait, un des plus importants construc-teurs d’autos à vraiment s’impliquer dans la commercialisation de la boîte CVT est le Japonais Nissan lorsqu’il a lancé en 2003 son VUS multisegment Murano disponible seulement avec la CVT. Aujourd’hui, Nissan propose des boîtes CVT sur plusieurs de ses véhicules incluant la Murano récem-

ment redessinée, l’Altima, la Maxima, le Rogue, la Sentra et la Versa.

D’autre part, on retrouvera des boîtes CVT sur certains modèles Audi, sur des modè-les Chrysler comme les Dodge Caliber et les Jeep Compass et Patriot, sur la Ford Escape Hybrid (et sur les Five-Hundred et Freestyle du passé), sur les Mini de BMW, sur la Mercedes-Benz B200, sur certaines Honda Civic Hybrid, sur les Mitsubishi Lancer et même sur les Toyota Camry et Highlander Hybrides.

Qu’est-ce qu’une boîte à variation continue (CVT) ?Comment peut-on décrire une boîte CVT ? Alors que la plupart des boîtes de vitesses automatiques fonctionnent grâce à des engrenages standard, la boîte CVT ne fait appel qu’à peu de pièces. En fait, les boîtes CVT actuellement en production utilisent le système de poulies variables combinées à une courroie d’acier pour fonctionner. La première est faite de deux « assiettes » in-versées connectées au moteur. La deuxiè-me poulie est aussi composée de deux « assiettes » inversées et variables qui sont combinées à l’arbre de transmission. Ces

deux poulies sont reliées par une « cour-roie » faite de petits maillons de chaîne interreliés ou de fi nes plaques d’acier très résistant montées sur des bandes d’acier (certains constructeurs comme GM ont expérimenté des bandes de caoutchouc ré-sistantes sur ses autos et VUS Saturn mais ce fut un échec qui a obligé GM à se retirer de cette technologie). Lorsque la poulie « motrice » (combinée au moteur) écarte ses moitiés inversées, la « poulie de sortie » (celle connectée à l’arbre de transmission) resserre les siennes pour conserver la ten-sion de la courroie. Lorsque le régime du moteur augmente, la poulie motrice voit ses moitiés (assiettes) s’éloigner alors qu’à l’opposé, la poulie de sortie voit les siennes se refermer. Au départ, alors que la poulie motrice a des moitiés refermées et que la poulie de sortie a les siennes éloignées, la transmission est considérée en rapport inférieur (low). Au fur et à mesure que le régime du moteur augmente, les moitiés inversées de la poulie motrice s’éloignent, celles de la poulie de sortie se rapprochent et la transmission passe en « grande ». Mais vu qu’il est question de poulies qui se séparent ici, vous comprendrez qu’il n’y a pas d’engrenages.

Les boîtes CVT font la manchette

Les transmissions à variation continue gagnent en popularité Presque tous ceux qui travaillent dans le monde de l’auto connaissent les boîtes de vitesses automatiques. En général, on reconnaît que les premières transmissions automatiques produites à la chaîne ont été proposées par General Motors à la fi n de 1939. Mais si l’on fait un peu de recherche, on verra que les premières expérimentations à ce niveau ont été faites au début du vingtième siècle, à moins que vous acceptiez la théorie que Leonardo da Vinci avait fait un dessin qui ressemblait beaucoup à une transmission quelconque. En fait, ce dessin pourrait bien être l’ébauche de la transmission à variation continue.

Éric Descarries [email protected]

Lorsque Ford a lancé la Freestyle en 2005, on pouvait y obtenir une boîte CVT.

Ford s’est fi é à la boîte ZF-Batavia.

La boîte CVT fonctionne grâce à deux poulies à géométrie

variable. (PHOTO : NISSAN)


La boîte CVT est comme une transmission automatique qui aurait quelques 60 à 80 rapports. En ce qui a trait au mouve-ment des poulies, leurs moitiés peuvent s’éloigner ou se rapprocher par pression hydraulique, force centrifuge ou ressort de tension. C’est le même principe que l’on retrouve sur des perceuses à colonnes, certains tracteurs, des scooters, les moto-neiges et les quads. Mais ces véhicules ou outils utilisent une courroie de caoutchouc Les autos, comme nous l’expliquions plus haut, ont des courroies à pièces d’acier.

Quels en sont les avantages ?Donc, si les boîtes automatiques ont si bien fonctionné depuis les cinquante der-nières années, pourquoi passer à la CVT ? En fait, les preuves sont faites que la CVT économise beaucoup de carburant com-parativement aux boîtes de vitesses auto-matiques traditionnelles. Elles y arrivent en faisant appel à la courbe maximale du couple de moteur avec le moins de friction possible. La boîte CVT produit le moins de friction tout simplement parce qu’il y a moins de pièces en mouvement. Ses « rapports » de vitesses sont presque infi nis donc elle est plus économique. Et vu qu’il n’y a pas de « changement de vitesses » mécaniques, on n’y sentira pas de coups saccadés. Les accélérations seront linéai-res et constantes. Évidemment, certains conducteurs se sentiront dépaysés sans ces mouvements traditionnels. Par consé-quent, certains constructeurs ajoutent une forme de changements perceptibles à leurs boîtes CVT afi n qu’elles réagissent un peu comme une automatique courante.

La conduite d’une voiture avec CVTLa conduite d’une voiture avec CVT de-mande une certaine forme d’adaptation.

Pour la plupart des conducteurs habitués à une boîte automatique conventionnelle, la conduite d’une auto avec CVT sera une expérience toute nouvelle. Le son du mo-teur ira en montant, mais ne retombera pas comme il le fait avec une automatique pour reprendre par la suite. Lors des dé-passements, le conducteur qui met son pied au plancher entendra le régime du moteur s’élever sans cesse jusqu’à ce qu’il relâche lui-même l’accélérateur. S’il ne le fait pas, l’auto ira de plus en plus vite jusqu’à ce que le limiteur électronique la bloque.

Est-ce fi able ?Comme toute pièce mécanique courante, la boîte CVT peut connaître des pan-nes. Mais jusqu’ici, la plupart des études auprès des consommateurs démontrent que les boîtes CVT sont relativement fi a-bles. Mais il semble que leur application est plus effi cace sur les petites voitures que sur les grandes, ce qui explique pour-quoi Ford n’a pas reconduit l’utilisation de la CVT de ses Five Hundred et Freestyle à moteur de 3,0 litres lorsque ces autos ont été transformées en Taurus et Taurus X avec des moteurs de 3,5 litres plus puis-sants. Soulignons que la chaleur est le pire ennemi de la boîte CVT, ce qui explique le besoin d’huiles spécifiques à ce type de boîte de vitesses. Un des plus impor-tants manufacturiers de boîtes CVT est le Japonais JATCO qui fabrique ce genre de boîte pour Chrysler, Nissan et Mitsubishi. Ford compte sur les produits ZF-Batavia. Cependant, il faut s’attendre à ce que, sous peu, plusieurs autres véhicules et manufacturiers de boîtes CVT viennent s’ajouter à l’actuel groupe qui se fie à cette nouvelle technologie.

La boîte CVT fonctionne grâce à deux poulies à géométrie variable. (PHOTO : NISSAN)

La Nissan Murano 2009 représente peut-être l’application la plus effi cace de la boîte CVT.

Contrairement à la concurrence,AUCUN module optionnel n’est

proposé, car tout est inclus !

Pour installer sans frais le démonstrateur du logiciel,

contactez-nous au :

1 800 268 4044 ou au 450 963 8940. 1 800 268 4044 ou au 450 963 8940.

W W W . V L C O M . C O M

La solution préférée de milliers d'ateliers et distributeurs de pièces

et pneus au Canada !

Chef de file depuis 22 ans !!


Ce n’est pas par hasard que Nature-Action Québec (NAQ), promoteur du

programme, avait choisi le Centre Auto Beaumont comme site de cet événement qui s’adressait dans un premier temps aux quelque 12 000 entreprises de services automobiles que compte le Québec. Cet atelier de Ville Mont-Royal est en effet le tout premier à avoir obtenu la certifi cation environnementale CLÉ VERTE.

Approche coordonnée du secteurÀ ce jour, toutes les initiatives environne-mentales mêmes les plus prometteuses,

comme le contrôle des émissions et la récupération des pneus et des huiles usa-gées, étaient élaborées en silo. Le mérite de CLÉ VERTE est d’intégrer l’ensemble de ces initiatives en un tout cohérent en te-nant compte des réglementations gouver-nementales et des meilleures pratiques à

observer pour l’amélioration de la qualité de l’air, la réduction des déchets et celle des risques de pollution de l’eau.

CAA-Québec sonne la chargeÀ la suite du résultat positif du projet pilote mené le printemps dernier auprès de 16 ateliers au Québec, une entente vient d’être conclue avec CAA-Québec qui exigera d’ici deux ans que chacun de ses 454 garages recommandés détienne la certifi cation CLÉ VERTE. « Le programme est un geste concret et signifi catif qui vise à relever la barre auprès de l’industrie en

se dotant de normes et prati-ques adaptées aux contraintes environnementales », de souli-gner Pierre Beaudoin, président de la Table de concertation et directeur principal des Services techniques à CAA-Québec.

À noter que plusieurs propriétai-res d’ateliers de carrosserie, de

mécanique et de pneus ont déjà entrepris des démarches pour obtenir leur certifi -cation.

Effet d’entraînementNAQ fait le pari que, d’ici quelques an-nées, la moitié des ateliers au Québec

détienne sur une base volontaire cette certifi cation. Pour son directeur général, Pascal Bigras, « tout ce qui est écologique dans l’exploitation d’un commerce prend beaucoup de valeur aux yeux des clients. Le programme de certifi cation permettra non seulement de rendre les ateliers plus performants en matière d’environnement, mais aussi de communiquer aux automo-bilistes des informations sur les gestes qu’ils peuvent poser individuellement en vue de contribuer aux objectifs de CLÉ VERTE. »

On mise donc sur un effet d’entraînement nourri par la collaboration des propriétai-res d’ateliers et la sensibilité grandissante des Québécois aux questions environne-mentales.

Volet grand public à l’hiver 2009Le programme de certifi cation est perma-nent. Son développement a été fi nancé par le Fonds d’action québécois pour le développement durable (FAQDD) et plu-sieurs grands partenaires, tous présents au lancement du volet Industrie. Pour les premiers mois, les droits d’inscription unitaires ont été fi xés à 375 $ par ate-lier. Le certificat émis sera valide pour deux à trois ans, selon l’atelier. Quant au volet Grand public, Nature-Action Québec prévoit effectuer un lancement offi ciel au cours des prochains mois avec le support d’activités promotionnelles et médiati-ques.

www.nature-action.qc.ca/cleverte

Certifi cation environnementale des ateliers de services automobilesCertifi cation environnementale des ateliers de services automobiles

Le programme CLÉ VERTE Le programme CLÉ VERTE offi ciellement sur les railsoffi ciellement sur les railsEn gestation depuis quelques années à la Table de concertation sur l’en-En gestation depuis quelques années à la Table de concertation sur l’en-

vironnement et les véhicules routiers, cette importante initiative vient de vironnement et les véhicules routiers, cette importante initiative vient de

connaître son premier aboutissement avec le lancement de CLÉ VERTE.connaître son premier aboutissement avec le lancement de CLÉ VERTE.

Pascal Bigras et Robert Comtois, respectivement directeur général et chargé de projet NAQ, Véronique Jampierre, directrice générale FAQDD, Pierre Beaudoin, président de la Table de

concertation, Ginette Bureau, présidente-directrice générale RECYC-QUÉBEC, Jean-Guy Trottier, Véronique Jampierre, directrice générale FAQDD, Pierre Beaudoin, président de la Table de

concertation, Ginette Bureau, présidente-directrice générale RECYC-QUÉBEC, Jean-Guy Trottier, Véronique Jampierre, directrice générale FAQDD, Pierre Beaudoin, président de la Table de

directeur général d’AUTO-Prévention et Carolle Larose, consultante et initiatrice du projet

Raynald Bouchard [email protected]

Pierre Beaudoin, président de la Table de concertation sur l’environnement et les véhicules routiers et directeur

principal des Services techniques à CAA-Québec

On mise sur un effet d’entraînement nourri par la collaboration

des propriétaires d’ateliers et de la sensibilité grandissante

des Québécois aux questions environnementales.


L es 26 et 27 septembre, la direction d’Uni-Sélect avait réservé le fin du

fin aux propriétaires et personnel des 420 ateliers UNIPRO et Le Spécialiste.

L’essentiel, qui comprenait le plan mar-keting et la stra-tégie ayant trait aux pièces pour véhicules impor-tés, a porté sur la relation avec le consomma-teur. L’aspect technique n’a cependant pas été omis avec des sessions sur les lubrifi ants de haute technologie ainsi que les fi ltres à particules des moteurs diesel.

Tour d’horizon completLe service à la clientèle a donc été traité sous différents angles par Pierre Desmarchais, Raymond Linteau, Betty Binette, Aida Benzakour, Guy Frenette, Carol Allain et l’humoriste Marc Dupré, qui a clôturé l’événement dans la même veine.

Ils ont proposé différents moyens d’assu-rer que le consommateur soit bien com-

pris et que le service soit intégral : ce qui implique que l’atelier doit offrir ses servi-ces et non s’en tenir à de la simple prise de commande. La rétention de client ainsi que le développement du marché furent également des sujets-clés.

En bref, il a été question des attentes du client, de l’amalgame de volets qu’en comporte une bonne gestion, de l’atti-tude active à adopter et des retombées d’affaires qui en découlent, des occasions d’entretien des véhicules commerciaux, mais aussi du soutien direct qu’offre le département du marketing.

Obélisques et hommageEn outre, un Obélisque a été remis à plus de 40 garagistes, membres depuis au moins une décennie de l’une ou l’autre des bannières, et présentation a été faite des nouveaux membres. En somme, ce fut un congrès très rempli.

Congrès UNIPRO et Le Spécialiste

Objectif ClientChez les banniérés UNIPRO et Le Spécialiste, l’automne a commencé de plain-pied par le tour complet d’un

service à la clientèle intégré, et de créneaux spécifi ques de l’entretien.

Avant le prix > Linda Donnini, directrice du Marketing, souligne

que ce qu’il y a lieu de retenir est que la relation de confi ance avec

le garagiste est plus importante que le prix à lui seul.

PHOTOS : LUC CHAMPAGNE

10 ans• Centre d’Entretien Automobile Rive-Sud • G.E.S.• Garage A.D. Leblanc• Garage Champboisé• Les Pneus Vincent Guay• Mont St-Pierre Auto Électrique• Station des Ponts

• Atelier Mécanique J.M.• Garage Benoît Gariépy• Garage D.D.L.• Garage Lahaie• Garage Transport Guillot• Garage Vic Lapointe• Létourno Service de Pneus• Mécanique Alain Boucher• Station Service Jocelyn Pilon

15 ans• Garage Ronald Vaillancourt• Le Petit Gars du Silencieux

• Fafard Alignement• Garage Daniel Plamondon• J.M. Pro Air Service• L. Perreault & fi ls• Pierreville Auto Suspension

20 ans• Mécanique Danauto

25 ans• Centre de l’Auto Denis Pelletier• Garage Gérald Gauthier• Garage Pierre Lessard

• Atelier Mécanique René Therrien• Auto-Technic M.M.B.• Garage Jean Bureau• Clinique de l’Auto et du Camion Ouellet• Service B. Ouellet• Service de réparations Autocam• Auto Spec Mécanique S.B.

• Centre du Pneu & Mécanique R.S.R.• Garage Yvon Desrosiers• Handi Service• Garage St-Félix• Garage Claude Roy• Garage Julien Ross• Garage D.F.J.• Les Automobiles J.P.D.• Réjean Joncas Mécanique• Garage Stéphane Belhumeur

Pierre Desmarchais et Raymond Linteau Betty Binette et Aida Benzakour Une plaque a été remise à Pièces d’auto Lacroix de Terrebonne par Éric Lépine, du Centre de l’Auto Ste-Marie de Mascouche pour remercier ce grossiste et son équipe, dont Dany Lacroix et Yves Gagnon, pour le précieux appui dont il a fait preuve en 2008 alors qu’il était en croissance accélérée.


Obélisques 2008

Les inscrits de 2008


Tous les domaines de cette industrie étaient représentés, et chacun a pu y

trouver son compte, que ce soit dans les nouvelles technologies, équipements, ap-pareils et outils, pièces de rechange, pro-duits et services, applications informati-ques, etc. Une occasion unique également pour élargir son réseau ou se lancer dans l’aventure du commerce international.

Cette année, le salon Automechanika Frankfurt a établi de nouveaux records de participation. Plus de 166 000 par-ticipants venus de 146 pays pouvaient visiter pas moins de 4680 kiosques re-présentant 80 pays. Sur une superfi cie de 322 000 m2 (50 terrains de football) se

succédaient exposants et idiomes de tou-tes nations, et l’allure hétéroclite générale des lieux n’avait d’égale que la diversité des produits et services que chacun pro-mouvait.

Pour tous les goûtsLes organisateurs de l ’exposit ion, conscients que dorénavant tout passe par la protection de l’environnement, avaient préparé un guide spécial des exposants qui proposait des produits et services écologiques. Les plus innovateurs pou-vaient se mériter une mention d’honneur et recevoir un trophée présenté par la Fédération allemande de l’industrie. Au nombre des autres centres d’intérêt, on

Tout ce que vous n’avez pu imaginerLa 20e édition de ce salon international consacré exclusivement à l’in-

dustrie automobile a confi rmé le pôle position mondial de cet événe-

ment qui prend l’allure d’un marathon si on veut tout voir, ou si on a

manqué de bien planifi er sa visite à l’avance.

pouvait assister ou participer à l’un des évé-nements suivants :

• Une étude sur l’effet des changements climatiques sur l’industrie d’ici 2020

• L’exposition des produits gagnants de lauréats en innovations technologiques

• Des panels de discussion et des forums sur les enjeux de l’heure dans l’après-marché

• Des présentations, démonstrations et des séminaires sur de nouveaux équipements, outils, techniques de réparation, etc.

• Une nouvelle section de kiosques consacrés exclusivement à la gestion du savoir (IT) et aux outils informatiques de pointe.

• Une campagne d’information internationale sur le droit à la réparation

• Un séminaire informatif sur la contrefaçon des pièces

Plusieurs groupes ou associations offraient également leurs avis et recommandations gracieusement sur les nouvelles technolo-gies, les tendances majeures, les nouveaux procédés de réparation en mécanique et en carrosserie. automechanika.messefrankfurt.com

La compagnie Silvertronic a introduit cette nouvelle trousse

de diagnostic (ADK Automotive Diagnostic

Kit) qui s’adapte à toutes les marques de

voitures grâce à une variété de connecteurs, de fi ls de branchement et de pinces de toutes

dimensions et formes. Il est offert avec ou sans

l’outil de diagnostic (multimètre).

www.mactools.com

Voici un appareil pour identifi er rapidement les fuites de dépression provenant du moteur, du système d’échappement ou de tout système fermé. Fabriqué par Redline Detection, le Smoke Pro vous fera économiser du temps en accélérant le temps de diagnostic, grâce à une source de fumée sans danger produite par l’échauffement d’huile minérale. La soupape de contrôle située à l’avant permet de confi rmer une fuite aussi bien que le succès de la réparation en se référant directement au cadran indicateur. L’appareil, très simple d’utilisation, se branche directement sur la batterie de l’auto. www.redlinedetection.com

Nous voilà rendus à l’ère des chargeurs à batteries compacts à rendement élevé avec en prime un prix des plus abordables. La ligne de chargeurs CTEK s’adapte à tous vos besoins avec des voltages pouvant varier de 6 à 24 volts, une échelle d’ampérage de 0,8A jusqu’à 25A et un système de protection contre les erreurs de branchement. Plusieurs accessoires sont également disponibles pour un usage intensif. www.ctek.com

Du 16 au 21 septembre dernier, les immenses infrastructures du Groupe Messe Frankfurt dans la ville du même nom en Allemagne ont attiré des visiteurs de partout dans le monde.

Frankfurt 2008



Rôle clé du CSMO dans votre secteur d’activités

Danielle Le Chasseur et ses défi s

Danielle a été pendant neuf ans conseillè-re en formation et chargée de projet pour le CSMO avant d’en assumer la direction générale. « Le rapprochement avec les intervenants commence par la promotion sur le terrain, dans les écoles et les foires de carrières, des métiers de l’automobile. Nous devons également effectuer une plus grande conscientisation auprès des inter-venants dans les centres d’apprentissage afi n qu’ils présentent ces métiers de façon positive en mettant en évidence la qualité des emplois, le travail d’équipe, la pro-tection de l’environnement et les possi-bilités d’avancement. Ce sont des valeurs auxquelles les jeunes s’identifi ent. Nous devons enfi n inciter les chefs d’entreprise à manifester leurs besoins en participant activement aux journées portes ouvertes dans les CFP et en acceptant de plus en plus de stagiaires dans leurs ateliers. »

La contribution des grandes associationsLes nombreux partenaires du CSMO ont un rôle majeur à jouer pour changer la perception encore négative qui entoure les métiers de l’automobile. « Il faut que ces organisations mettent toutes l’épaule à la roue afi n de présenter de façon hon-

Ce recentrage passe, pour Danielle Le Chasseur, par un rapprochement avec

les quelque 12 500 entreprises ayant pignon sur rue pour offrir aux consom-mateurs québécois des services complets d’entretien et de réparation automobiles. Cette collaboration est primordiale pour mieux répondre à leurs besoins.

Le diagnostic a déjà été posé en ce qui concerne la pénurie criante de personnel spécialisé au Québec, particulièrement dans ce secteur. Pourquoi la situation persiste-t-elle toujours ? « Nos entreprises sont pour la plupart de petite et moyenne envergure et ne constituent pas une force d’attraction auprès des étudiants qui entretiennent toujours des préjugés au sujet des conditions de travail et des sa-laires dans les ateliers. Les liens entre ces employeurs et les quelque 45 centres de formation professionnelle (CFP) doivent se resserrer pour briser ce mur de mécon-naissance envers la variété des métiers intéressants qui y sont offerts. »

Valoriser la formation professionnelleDétentrice d’une Maîtrise en gestion de la formation de l’Université de Sherbrooke,

Depuis son arrivée en poste en avril 2007, elle s’est

appliquée à recentrer la mission du CSMO. Son principal

objectif est de s’assurer que son rôle soit bien connu de

tous : soutenir et développer la main-d’œuvre et favoriser

l’émergence de la relève.

Survol de l’organismeLe CSMO est un organisme à but non lucra-tif, fi nancé par Emploi-Québec, dont le rôle est d’intervenir en priorité au niveau de l’adaptation des compétences et de la promotion des métiers dans les services automobiles.

Les acteurs de l’industrie sont regroupés dans plusieurs associations patronales et syndicales fort actives dont les missions respectives assu-rent la représentation et la mise en valeur des intérêts de leurs membres. Ils s’impliquent à une même table, au sein du Comité sectoriel, pour identifi er des pistes communes en matière de développement de la main-d’œuvre.

www.csmo-auto.com

Une équipe au service de l’industrie > Le CSMO, c’est une équipe qui investit temps et argent à réaliser des projets qui

visent à développer des outils de gestion effi caces pour soutenir les entreprises, élaborer des formations et des normes pour assurer

les compétences des travailleurs et promouvoir les métiers en vue de favoriser la relève.

nête et réaliste la qualité des emplois dans leurs domaines respectifs, non seulement auprès des jeunes générations, mais aussi auprès de ceux qui les forment. »

Raynald Bouchard [email protected]

Danielle Le Chasseur, directrice générale, Comité sectoriel de main-d’œuvre des

services automobiles (CSMO)


Dans l’édition hivernale de cette revue, Pierre Beaudoin fait carrément la

relance du chauffe-moteur après avoir constaté à quel point on entretient l’idée que cet accessoire n’a plus d’utilité sur les véhicules neufs ou récents.

Or, ce qu’il nous a révélé quant à la per-tinence de le réadopter et à la priorité de l’offrir aux automobilistes dépasse de loin la fonc-tion pourtant majeure de garantir le démarrage d’un véhicule normale-ment entretenu.

Fin de l’hémorragiePlutôt tenu jusqu’à pré-sent comme une assurance démarrage, ce qui est quand même important vu les quelque 100 $ à 200 $ que peuvent coûter un survoltage, un remorquage ou un remplacement de batterie, le chauffe-moteur est capital.

Au CAA-Québec, on a noté par des ordi-nateurs de bord qu’un moteur très froid peut, selon son gabarit, consommer tous les matins jusqu’au-delà de 20 à 30 litres

aux 100 km dans les 10 premiers kilomè-tres, même sous –5 ºC.

Les tests prouvent ainsi que sous notre climat le chauffe-moteur réduit facilement de 10 % l’hémorragie de carburant ob-servée pour de courtes distances, et que cette réduction peut-être bien supérieure dans le cas des plus gros véhicules.

Bon pour l’air et le systèmeMême si cet avantage immédiatement quantifi able justifi e à lui seul son instal-lation et surtout son utilisation, le chauf-fe-moteur a d’autres atouts loin d’être négligeables.

En portant en 3 heures la température d’un moteur congelé à la moitié de sa température normale, il est aussi une

source importante de réduction des gaz polluants, puisque le mélange s’en trouve nettement moins enrichi.

Autre bénéfi ce majeur. En réduisant aussi jusqu’à trois fois la demande d’énergie électrique du démarreur lorsque la tempé-rature est égale ou inférieure à – 20 ºC, il ménage nettement les composantes

du système de démarrage et de charge.

Chauffe-bloc à privilégierComme l’usage d’un chauffe-mo-teur coûte moins de 20 $ pour 16 semaines, s’il est relié à une minuterie qui l’enclenchera trois heures avant le départ, il fait énor-

mément épargner, souligne Pierre, et rend l’habitacle beaucoup plus rapidement confortable.

Il existe deux types de chauffe-moteur, mais le plus effi cace, ajoute-t-il, est celui qu’on installe dans le bloc-moteur par l’orifi ce d’un bouchon de dilatation. Loin des prises, l’huile synthétique est par ailleurs le meilleur compromis. De bonnes recommandations à faire.

Contre les démarrages infernaux

Chauffe-moteur pour tousDepuis novembre, le mot chauffe-moteur circule

plus souvent que d’habitude, puisqu’une page lui

est consacrée dans le dernier Touring adressé aux

membres de CAA-Québec.

Antigel et thermostat > Pour que l’effi cacité du système

de chauffage et de refroidissement soit optimale, il est bon de

s’assurer que le liquide de refroidissement n’ait pas été enrichi

par un appoint qui aurait été fait avec de l’antigel pur, et que le

thermostat des véhicules plus âgés fonctionne bien.

Pierre Beaudoin soutient qu’en sus d’un chauffe-moteur, le garagiste qui recommande une huile entièrement synthétique et une vérifi cation du système de charge est le meilleur service qu’il puisse rendre à son client. Pierre est directeur principal des Services techniques et des Services conseils de CAA-Québec.




Entente avec les dépanneurs

Lors du 14e congrès de l’APDQ tenu mi-octobre à Saint-Hyacinthe, Pierre Laberge du Groupe Laberge et président de l’événement confir-mait à Mario Comtois la signature d’une en-tente de service de 3 ans par laquelle les quelque 400 membres de l’Association des Professionnels du Dépannage du Québec, dont un certain nom-bre possède plusieurs unités de remorquage, auront avantage à s’approvisionner auprès des grossistes et des magasins Palmar du réseau Uni-Sélect.

Mario Comtois et Pierre Laberge

Uni-Sélect adopte CarrusLe logiciel de gestion JMS de Technologies

Carrus, un outil informatique entièrement bilin-gue, sera implanté dans les 700 magasins québé-cois et canadiens affi chant la bannière Uni-Sélect. Membres et affi liés bénéfi cieront ainsi d’un accès direct à la liste de prix d’Uni-Sélect et pourront commander les produits des entrepôts régionaux par voie électronique en permettant également à leur clientèle des garages de le faire. Déjà en cours, il faudra quelques années pour compléter l’opération de migration.

Centre de ressources WORLDPAC

WORLDPAC annonce que son Centre de res-sources documentaires est maintenant disponi-ble. Il sera désormais plus facile et rapide d’ac-céder à toute la documentation de WORLDPAC concernant l’entreprise, ses produits et ses servi-ces. Les plus récents ajouts incluent la brochure de WORLDPAC sur les solutions de marketing client (CMS). Celle-ci a été conçue pour aider le spécialiste de la réparation indépendant à posi-tionner son entreprise sur le marché et traite de sujets tels que le marketing d’acquisition et de rétention, l’allocation de budgets et l’évaluation de programmes de marketing.

www.worldpac.com/literature

Mise en garde d’Affi niaAffi nia a publié une mise en garde contre cer-

tains disques de freins « plus légers » du marché secondaire, où l’espace latéral entre les ailettes de ventilation a été augmenté au détriment de l’épaisseur utile, réduisant ainsi la surface de dissipation de chaleur. Qui plus est, le fabri-cant ajoute que les matériaux sont de qualité inférieure, hors-normes avec les spécifications des constructeurs, ce qui peut entraîner un cra-quelage sur la surface du disque ou autour du collet. De telles altérations peuvent évidemment affecter l’effi cacité de freinage et la sécurité des passagers. www.affi niagroup.com

Transbec en EuropeLes Pièces d’autos Transbec était représen-

tée en la personne de Philippe Desjardins, di-recteur général, lors de l’exposition internatio-nale Automechanika à Francfort en Allemagne. Fondée en 1974, l’entreprise de Laval distribue des pièces de remplacement pour la direction et la suspension, les freins, la climatisation, les com-posantes d’éclairage, les accessoires d’essuie-glace et des fi ltres à l’huile. Depuis janvier 2008, ses produits sont maintenant disponibles sur le continent européen. www.transbec.ca

3 millions $ et nouveau nomDébut octobre, Gérard et Jocelyn Bernard inau-

guraient à Boucherville une nouvelle succursale construite au coût de 3 millions $, et lançaient du coup leurs nouvelles couleurs sous la raison sociale Robert Bernard Pneus et Mécanique, qui identifi e désormais leurs 12 ateliers.

Ce changement de nom allié à un élargissement des services correspond à la volonté d’insuffl er un nouvel élan à cette compagnie qui, membre d’UNIPNEU depuis un an, célébrera ses 60 ans en 2010 ainsi que l’arrivée dans ses rangs d’une troisième génération.

Par son avant-gardisme l’atelier de Boucherville, situé sur le boulevard de Montarville à proximité des anciennes installations, est le porte-fl ambeau d’une nouvelle ère qui a commencé en 2005 par la rénovation et l’agrandissement graduels des 11 autres centres de l’entreprise.

Comprenant 13 baies, ce vaste atelier mul-tiservice de 15 260 pi2 est desservi par plus d’une vingtaine de techniciens et de préposés. L’événement a eu lieu en présence de nombreux représentants et fournisseurs d’UNIPNEU, de même que des élus de Boucherville.

Pierre Lefebvre, gérant de la succursale, Gérard Bernard, président, Francine Gadbois, mairesse de Bou-cherville, Jocelyn Bernard, vice-président et directeur général, Pierre Beauregard, directeur général adjoint

Disque OEM Disque altéré

NominationRandall A. Moore a été nommé président

et chef de l’Exploitation de Mister Transmission International, entreprise canadienne fondée en 1963 par Bruce Brillinger, qu’il remplace à ce poste. Le nouveau PDG, connu pour son impli-cation dans l’AIA à titre d’ancien président et de membre émérite, est au sein de cette entreprise depuis plus de 30 ans.


De tous les coins de la province, collègues de travail, colla-borateurs, amis et famille se sont déplacés afi n de rendre

un vibrant hommage à Jacques, coordonnateur AUTOPRO et AutoCare de l’Est du Québec.

Cette soirée, organisée par Jean-Claude Bergeron, ex-gérant des ventes de NAPA et ancien patron de Jacques, regorgeait de surprises. C’est à travers de chaleureux témoignages que fut éprouvée la grande sensibilité de Jacques. Pierre Gingras, chro-niqueur au Journal de Québec, a animé cette soirée remplie de personnalités de l’après-marché de l’automobile.

TémoignagesAu menu, Marcel Leclerc, garagiste arborant la bannière AUTOPRO de Charlesbourg, Jean-Guy Roy, gérant-général de Desharnais Pneus et Mécanique, Claude Drouin de St-Georges de Beauce, ex-propriétaire de magasins NAPA, suivi de Jean-Guy Savard, retraité, ex-cadre chez NAPA, qui a délecté l’auditoire d’anecdotes explosives, et Marcel Dionne, retraité, ex-vice-pré-sident NAPA, venu rappeler l’important apport de Jacques au développement des magasins UAP-NAPA et de ses bannières.

Pierre Vocelle a clôturé en remerciant Jacques pour le travail ac-compli au cours de ces 36 années en relatant les faits marquants de sa carrière chez UAP-NAPA.

Cette fête s’est terminée par les remerciements d’usage du jubi-laire, dont les sentiments ont été rudement mis à épreuve tout au long de la soirée. Une fête dont il se souviendra longtemps !

Tournoi de golf NAPA AUTOPRO et soirée Jacques RattéLa 19e Classique de golf NAPA AUTOPRO s’est déroulée en septembre dernier, au Club de golf Alpin, en banlieue de Québec. Pierre Vocelle, vice-président de NAPA Pièces d’auto – division du Québec, avait profi té de l’occasion pour lancer une invitation à venir célébrer la retraite de Jacques Ratté.

Pierre Vocelle, Jacques Ratté et Jean-Claude Bergeron

Marie-Josée Rousseau [email protected]


Décembre16 Raymond, André, Groupe Perspective17 Duchesneau, Jean, Centre de l’Auto

Beaumont17 Gagnon, Michel, Auto Prévention17 Thibodeau, Robert, Pirelli18 Bertrand, Richard, Gunk18 Betournay, Gérard, Gestion Lika18 Larose, Nathalie, Service d’outils F.G.L.18 Sauvé, Luc, Vétronix Sales18 Tétrault, Michel, Le Groupe Harnois19 Blanchard, Stéphane, Lapointe

Système19 Houle, Alain, Auto Sense19 Klimov, Serge, NAPA20 Pelletier, Jacques, Mécanique Auto D.R.21 Potvin, Martine, Vast-Auto22 Demers, Yvon, Agence de ventes

Stéphane Carré22 Drolet, Mario, Pirelli22 Duchesneau, Caroline22 Houde, Serge, Retraité23 Bourgages, François, Jos St-Mars24 Bisson, Nadia, A. Bisson et fi ls 25 Dubé, Gérard, Retraité25 Lambert, Jacques, Auto Prévention26 Michaud, Paul, Groupe Financier

Laplante28 Boily, Margot, Retraité29 Lebreux, Sylvie, Agence de l’effi cacité

énergétique30 Barrette, Cyril, Rousseau Métal30 Martin, Sylvain, Grote31 Felteau, Michel, Agence de ventes

Stéphane Carré31 Rey, Adriana, ChevronTexaco

Janvier2 Carter, Max, Spectra Premium Industries2 Lachance, Sylvie, Promark3 Courchesne, Serge3 Monaco, Ernesto, Groupe Monaco3 Ricard, Denis, Contact Delage3 Roberge, Michèle, Ministère du Travail6 Thorne, Chris, NAPA7 Lépine, Gizèle, CARQUEST7 Lévesque, Jean-Pierre, Unipro9 Maillet, Alain, Groupimage9 Ouellet, Wilfrid, Wilfrid Ouellet9 Robert, Jean10 Bergeron, Normand10 Demers, René, Retraité10 Longpré, Marcel, NGK11 Manzo, Tony, Dayco11 Primeau, René, Retraité12 Dufour, Michel, Corporation Eaton12 Gingras, Jean-François, NAPA12 Marcotte, Jean-Louis, Retraité12 Nadeau, Yves, NAPA13 Defoy, Stéphane, Kleen-Flo13 Maquet, Michel, Blue Streak14 Philip-Panet, Raymond, Reese

Products15 Amiri, Ray, Pièces d’autos NDG

15 Breton, Serge, Fondation des maladies du cœur du Québec

15 Lafrance, Benoit, VL Communications15 Savard, Raymond, CARQUEST16 McLean, Nathalie, CARQUEST17 Grenier, Michel, Prolab18 Tétrault, Michel L., Oil-Dri-Canada19 Ouellet, Serge, Affi nia21 Armour, Herb, Clien-tel21 Brisebois, Céline21 Frappier, Jean-Claude, Le Groupe

A.R.T. Internationnal21 Robitaille, Maxime, Acvion23 Masson, Christian, VL Communications24 Caron, Grégoire, Delphi24 Légaré, Gérard, Westward24 Lévesque, Mario, Unipro25 Beaudoin, Gilles, Groupe Maska26 Bacon, Armand26 Tatoulian, Patil, Publicité MBS27 Chevrier, Gaétan, SS&M29 Beaudry, Daniel, Mitchell29 Hardy, André, Consultant30 Bisson, Robert, Reese Products30 Laplante, Pierre, Laplante Radiateur31 Couture, Guy, Kleen-Flo31 Turner, Calvin, ACDelco31 Veilleux, Jean-François, AIA-Canada

Février1 Boucher, Jacques, Gagnon1 Leroux, Patrick, Séminaires Patrick

Leroux2 Germain, Paul2 Veilleux, René, Entreprises René

Veilleux3 Laganière, François, Tactix3 Lech, Gabriel, Équipement & Outillage

Jet3 Nault, Guy, Auto Value4 Béchard, Jacques, CCAQ4 Lemay, Marc, Hainault & Gravel5 Gauthier, Gérald, Auto Prévention5 Landry, Paula, CAA-Québec5 Rousseau, Pascale6 Desroches, Denis, Affi nia7 Gheoca, Catalina, BOC Canada8 Beaulieu, Jacques, CFP de l’automobile

de Ste-Thérèse8 Guénette, Jean, Retraité8 Massé, Gilles, Entrepôt de Montréal8 Poupel, Jean-Yves, Walter9 Michaud, Ben, Uni-Select9 Proulx, Ronald, Klub Palmer10 Bélanger, Guy, Pennzoil-Quaker State10 Brault, Marc, Garage Simard & Fils10 Puig, Marc, VL Communications11 Nantel, Daniel, Prolab13 Tardif, Bert, NGK13 Turcotte, Michel, CFAQ14 Blanchard, Marc, Tenneco Automotive14 Vinet, Louise, Centre de l’auto

Beaumont15 Robitaille, Steve, JSR Vente et Service

AnnonceursJoyeux A N N I V E R S A I R E

www.absco.ca Absco 31

www.acdelcocanada.com ACDelco 11

www.aiacanada.com AIA Canada 23, 27-30

www.auto-jobs.ca auto-jobs.ca 32

www.autosphere.ca autosphere.ca 55

www.bestbuyautoparts.ca BestBuy / Pièces d’auto Dorval 43

www.bendixbrakes.com Bendix/Honeywell 7

www.bluestreak.ca Blue Streak 3

www.carquest.ca CARQUEST Canada 5

www.napaexcellence.ca Centre d’excellence NAPA 40

www.eurorotor.com Entrepôt de Montréal 26

www.idealperfor.com Ideal Perfor 8

www.jourdelaterre.org Jour de la Terre 13

www.kevinlacroix.com Kevin Lacroix 10

www.observateur.qc.ca L’Observateur 52

www.magazinesquebec.com Magazines du Québec 21

www.napaonlinecanada.com NAPA Pièces d’autos 2, 14, 15

www.ngksparkplugs.ca NGK Spark Plugs 56

www.permatex.com Permatex 35

www.soghu.com SOGHU 17

www.spx.com SPX 41

www.carrus.ca Technologies Carrus 25, 33, 37

www.uni-select.com Uni-Select 20

www.vastauto.qc.ca Vast-Auto Distribution 9

www.vlcom.com VL Communications 45

Kevin Lacroix


En prévision d’une hausse de la demande prévue de

20 à 30 % cette année et pour éviter les ruptures de stock, il aura d’abord fallu planifier votre inventaire pendant l’été et commander vos pneus d’hiver à l’avance. Selon les spécialis-tes, les pneus pour les VUS de-vraient être plus diffi ciles à se procurer.

Quand faut-il les remplacer ?Au moment de l’installation, l’épaisseur de la semelle des pneus d’hiver ne doit pas être inférieure à 6/32 ou 7/32 et le gonflage devrait être effectué avec une jauge de précision en respectant les spécifi cations du fabricant de la voiture (autocol-lant dans la porte ou dans le coffre à gants). Les pneus dont

l’épaisseur de la semelle est inférieure à 2/32 (1,6 mm) ou dont l’usure est dange-reusement inégale ou a atteint la bande d’usure visible sont bons pour le recy-clage. N’oubliez pas d’aviser vos clients de vérifi er la pression au moins une fois par mois; vous pouvez même leur offrir ce service pour un montant minimum ou gra-tuitement, question de les revoir ! Après l’installation, un essai routier s’impose

pour vérifi er l’équilibrage et la condition de la géométrie du train avant.

Installation et permutationSi votre client prévoit parcourir plus de 10 000 km cet hiver, invitez-le à revenir pour une permutation et apposez même un autocollant en guise d’aide-mémoire. Il est préférable d’installer les pneus d’hiver dès que la température est inférieure à

10 °C et de les enlever au printemps dès qu’elle est au-dessus de ce chiffre.

Un deuxième jeu de jantes ?Plusieurs consommateurs choisissent cette alternative pour couper dans les frais d’installation et récupèrent la dé-pense encourue par l’achat de 4 jan-tes sur lesquelles est monté un jeu de pneus pour l’hiver. Recommandez-lui alors de diminuer la pression de moitié pendant la période d’entreposage, afi n de retarder l’apparition de craquelures.

Pour les voitures munies de SSPP (sys-tème de surveillance de la pression des pneus), ce deuxième jeu de roues devra être muni de capteurs également, une dépense non négligeable si on consi-dère que chaque capteur coûte entre 50 et 80 $, sans compter les frais de reprogrammation.

Symboles sur les pneusLes spécialistes en pneus affirment que les pneus cotés Q (160 km/h) ou T (190 km/h) sont suffisants pour la saison hivernale. Pour être certains que vous achetez ou installez à coup

sûr des pneus d’hiver, il faut rechercher le pictogramme d’homologation de l’ACIC (Association canadienne de l’industrie du caoutchouc). Le pictogramme de fl ocon à neige au centre d’une montagne doit aussi être visible.

Les pneus d’hiver

Un nouveau marchéSuite à l’adoption du projet de loi obligeant tous les automobilistes québécois à rouler avec quatre pneus

d’hiver entre le 15 décembre et le 15 mars, vous avez sûrement connu une recrudescence des ventes cet

automne. Savez-vous quels types de pneus vous pouvez installer sur les voitures de vos clients ? Connaissez-

vous les meilleures pratiques en ce sens ?

Le pictogramme de fl ocon à neige au centre d’une montagne doit aussi être visible.

Pierre Bissonnette [email protected]

Pierre Bissonnette a été instructeur technique pour Fede-ral-Mogul et a un brevet d’enseignement en andragogie, qui est la science et la pratique de l’aide éducative à l’ap-prentissage pour des adultes dont la formation générale a été de courte durée.

L’installation de pneus à neige approuvés en début d’hiver garantit une adhérence maximum et augmente le facteur sécurité pour les passagers. (PHOTO : ÉRIC DESCARRIES)


www.autosphere.cawww.autosphere.caMÉCANIQUE CARROSSERIE PNEUMATIQUE PARC-AUTOS

autosphere.caSeul site canadien multisegments bilingue

(mécanique, carrosserie, pneumatique

et parc-autos)

CONTENU+ Dernières actualités et nouvelles exclusives

+ Entrevues, profi ls et dossiers exclusifs

+ Sondages, ressources et promotions en ligne

PROFIL DES VISITEURS+ Propriétaires d’atelier, leurs associés et employés

+ Manufacturiers, distributeurs, grossistes

+ Gestionnaires et professionnels

Incluant une SECTION

dédiée à la MÉCANIQUE !

www.autosphere.cawww.autosphere.caautosphere.caautosphere.ca

Seul site canadien multisegments bilingueSeul site canadien multisegments bilingue

(mécanique, carrosserie, pneumatique (mécanique, carrosserie, pneumatique

et parc-autos)et parc-autos)

CONTENUCONTENU+ Dernières actualités et nouvelles exclusives+ Dernières actualités et nouvelles exclusives

+ Entrevues, profi ls et dossiers exclusifs+ Entrevues, profi ls et dossiers exclusifs

+ Sondages, ressources et promotions en ligne+ Sondages, ressources et promotions en ligne

PROFIL DES VISITEURSPROFIL DES VISITEURS+ Propriétaires d’atelier, leurs associés et employés+ Propriétaires d’atelier, leurs associés et employés

+ Manufacturiers, distributeurs, grossistes + Manufacturiers, distributeurs, grossistes

+ Gestionnaires et professionnels+ Gestionnaires et professionnels

Incluant une SECTION

dédiée à la MÉCANIQUE !

dédiée à la

En ligne, visitez-nous maintenant !

PubAutoSphereTeaser.indd 8 11/18/08 12:47:06 PM

L’ÉTINCELLE DE GÉNIE

ngksparkplugs.ca

®

Les bougies NGK

Pour la fiabilité et la performance, vous ne pouvez faireconfiance qu’à un seul nom - Les bougies NGK.

NGK 161 LeGaragiste SPi:Layout 1 4/24/08 10:00 AM Page 1

Documents

À l’ère de NAPA Autocare · Faites l’analogie avec une automobile sou-mise à des diagnostics de réparation qui n’auraient pas trouvé une solution instantanée. En bout