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« Victor Hugo, mon amour » ou « Aimer, c’est plus que vivre » d’après la correspondance de Juliette Drouet et Victor Hugo Un spectacle d'Anthéa Sogno, mis en scène par Jacques Décombe avec Anthéa Sogno et Sacha Petronijevic Comédie Bastille 5 rue Nicolas Appert, 75012 Paris Du mercredi au samedi à 19 h 30 et le dimanche à 17 h 30 À partir du 16 octobre 2008 et prolongations jusqu’au 29 mars 2009 Durée du spectacle : 1h 20 Réservations :01 48 07 52 07 Pour tout contact Anthéa Sogno : 06.03.67.20.50 [email protected] Site de la compagnie : www.antheasogno.com Site du spectacle : www.victor-hugo-mon-amour.fr Attachée de presse Monique Dupont : 06.19.15.04.72/ 01 43 20 51 38 [email protected]

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« Victor Hugo, mon amour »

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« A ime r , c ’e st plus que vivre » d ’ a p r è s l a c o r r e s p o n d a n c e d e J u l i e t t e D r o u e t e t V i c t o r H u g o

Un spectacle d'Anthéa Sogno,

mis en scène par Jacques Décombe

avec Anthéa Sogno et Sacha Petronijevic

Comédie Bastille

5 rue Nicolas Appert, 75012 Paris

Du mercredi au samedi à 19 h 30 et le dimanche à 17 h 30

À partir du 16 octobre 2008 et prolongations jusqu’au 29 mars 2009

Durée du spectacle : 1h 20

Réservations :01 48 07 52 07

Pour tout contact Anthéa Sogno : 06.03.67.20.50 [email protected]

Site de la compagnie : www.antheasogno.com

Site du spectacle : www.victor-hugo-mon-amour.fr

Attachée de presse Monique Dupont : 06.19.15.04.72/ 01 43 20 51 38 [email protected]

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Sujet de la pièce

Rencontre, désir, passion, jalousie, exil, c’est l’histoire de ce couple mythique et mémorable qu’ont formé Juliette Drouet et Victor Hugo. Une vie d’amour que la fiction n’aurait pas osé imaginer, ou la véritable histoire d’un demi-siècle de passion ponctuée par vingt trois mille lettres échangées. À partir de cette monumentale correspondance, Anthéa Sogno a composé ce spectacle qui illustre les grands moments de leur vie amoureuse, littéraire et politique.

Résumé

En 1833, un jeune dramaturge tombe amoureux d’une princesse de théâtre. Jaloux, il lui demande d’abandonner la scène. Par amour, elle accepte, et comme elle s’ennuie : « Ecris-moi, lui dit-il, écris-moi tout ce qui te trottera par la tête, tout ce qui te fera battre le cœur. » Telle est l’origine de la merveilleuse correspondance que Juliette et Victor nous ont laissée en héritage de leur amour. De leur histoire il fallait tout raconter, de leur rencontre en 1833, lors de la lecture de « Lucrèce Borgia », jusqu'au 11 mai 1883, date à laquelle, après l’avoir adoré au point de lui avoir tout sacrifié, elle ferme les yeux. Ce jour-là il se passa une chose inouïe, Victor Hugo cessa d'écrire, il ferma son encrier pour toujours. Cela prouve bien que Juliette était non seulement le grand amour de sa vie mais aussi la muse absolue.

Note d'intention

Le premier tour de force a été de choisir parmi leurs nombreux écrits, tous plus beaux les uns que les autres, de quoi recréer de véritables dialogues. Comme pour chacune des adaptations que j’ai faite auparavant, la même exigence m’a saisie, je voulais que tout soit authentique, que tout ait été dit, susurré ou hurlé. Ainsi, l’enfilade de scènes qui racontent leur vie, à été construite ainsi : une phrase écrite par Juliette répond parfaitement à une question extraite d'une des lettres de Victor et ainsi de suite. Puis, quelques extraits de pièces, de leurs journaux intimes, ou de la presse, tout devait être historique.

Nous avons fait tout cela pour faire du théâtre, disais-je plus haut. En jouant la pièce, nous nous sommes aperçus que nous étions au-delà, car nous n'interprétons pas des personnages de théâtre, nous incarnons des personnes qui ont vécu, et nous ne disons pas des dialogues inventés par un dramaturge, les mots que nous nous disons sont les leurs.

Comment ne pas penser que ces deux-là ne sourient pas tendrement au-dessus de la Comédie Bastille, comme ils ont sourient au dessus du Théâtre des amants, lors de la création en Avignon et profitent de notre passage sur terre pour continuer à se dire, 125 ans après leur mort, combien ils s'aiment encore ?

Anthéa S o gno

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Victor Hugo

À trente ans, Hugo s'est fabriqué un personnage. Les journaux le traitent comme, de nos jours, en rocker à succès. On parle de lui en périphrases : « l'auteur d'Hernani », « l'auteur de Notre-Dame de Paris ». Il a des fans. On le hait ou on l’adore, forcé de reconnaître qu’avec ses allures de grand d'Espagne, il est le chef de file du romantisme.

Aux premiers jours de 1833, au Théâtre de la Porte Saint-Martin, on répète « Lucrèce Borgia » qu’il met lui-même en scène. Sur scène, une jeune femme éblouissante qui joue un petit rôle, celui de la princesse Négroni, lance sa réplique : « Mon Dieu, qu'est-ce qui remplit tout le cœur ? » Lorsque le jeune seigneur vénitien répond : « l'amour », elle est, tournée vers l'auteur et le regarde. Sans doute, est-ce sa manière de donner un sens à la question, et peut-être à la réponse.

L'auteur n'a encore rien du luxurieux que ses appétits tyrannisent. Plus riche de fantasmes que d'expérience, il tient à distance ses admiratrices, et se refuse aux princesses de théâtre. Peut-être même a-t-il besoin, en ce moment précis, de croire à la vertu car il souffre d’une double déception, sa femme, se refuse à lui, et file avec Sainte-Beuve, son meilleur ami, un amour parfumé d'odeurs de fiacres.

Il n'est pas question de céder aux avances de Mademoiselle Juliette qui devra donc faire le premier pas puis le suivant et tous les autres. Acculée par les dettes, elle finit par lui demander de l’aider, ce qu’il accepte. Et quinze jours après la première représentation, elle écrira : « Oh ! Ce soir ce sera tout ! Je me donnerai à toi toute entière. » Elle ne croyait pas si bien dire.

Dans la nuit du 16 au 17 février 1833, jour de Mardi gras, ils deviennent amants.

Dans le chapitre des « Misérables », intitulé le « 16 février 1833 » Victor raconte la nuit de noces de Cosette et de Marius et donne à ses futurs biographes, une double leçon d'écriture et de maintien : « Sur le seuil des nuits de noces, un ange est debout, souriant, un doigt sur la bouche. L'âme entre en contemplation devant un sanctuaire où se fait la célébration de l'amour. »

Est-ce déjà, ce soir-là, « ce qui remplit tout le cœur» ? Elle est pour lui un révélateur, et l'on peut bien dire que de cette nuit-là découle toute une vie. Vie d'amour et d'esclavage entre ces deux êtres, car Victor se révèle petit à petit d’une jalousie féroce et pathologique. Il faut dire qu’elle a sans doute beaucoup à cacher de ses amours qui ont frôlé la prostitution, et ses dettes de bêtes de luxe l’entraînent vers le gouffre, la mettant à la merci des protecteurs les plus fortunés. Il la veut toute entière et pas seulement comme elle croyait le dire. Bien entendu, il voudrait la délivrer de ses créanciers mais les sommes à débourser sont telles que les recettes de Lucrèce Borgia et de Marie Tudor, même s’il n’avait pas quatre enfants et une maison à tenir, n’y suffiraient pas.

D’autres part, il ne peut d’un coup de baguette magique transformer cette croqueuse de diamants en une jeune femme prête à attendre son amant, au coin du feu en raccommodant ses vêtements. Bien que la situation le révolte et le dépasse il y fait face, souffre et tempête. Ils se quittent, constatent qu’ils ne peuvent plus vivre l’un sans l’autre et petit à petit, Juliette renonce à la scène et Victor l’entretien ; voilà, elle lui appartient et ne sortira bientôt plus de chez elle sans lui. Cet enfermement durera douze ans, le temps nécessaire pour que l’éblouissante beauté de Juliette s’estompe, et que s’achève aussi une autre relation amoureuse. En juillet 1845, le vicomte Hugo, nouvellement nommé pair de France est pris en « conversation criminelle » avec la jeune et blonde Léonie Biard qu’il fréquentera pendant sept ans à l’insu de Juliette. Après elle, il en viendra d’autres, car Victor ne résiste plus, si bien que cette passion des femmes tournerait presque en maladie du bas ventre, mais elles ne font que passer ; Juliette reste et suit son Victor jusqu’au fond de l’exil. Ce n’est qu’après leur retour à Paris en 1870 qu’ils vivront sous le même toit.

C’est par Juliette que s’est révélée une sensualité dont elle fut la victime mais c’est en elle aussi que s’accomplit la soif d’éternité, cette autre forme du désir dont il fait preuve dans toutes les lettres de cette fin de vie : « Entrer dans l’éternité avec toi, si Dieu le veut et il le voudra, c’est là mon bonheur. »

Au dernier soupir de Juliette, Victor Hugo cessa d’écrire, il ferma son encrier pour toujours.

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Juliette Drouet

Quand Victor Hugo devient son amant, pendant les représentations de « Lucrèce Borgia », Julienne Gauvain, dite Mademoiselle Juliette, n'a pas encore vingt-sept ans.

Née à Fougères le 10 avril 1806, orpheline avant l'âge de deux ans, cette petite Bretonne d'origine très modeste, reçoit des sœurs de l’Adoration perpétuelle une véritable éducation. Ce qu'elle fit en sortant du couvent, nul ne le sait. Quand elle débute au théâtre, elle a une petite fille de trois ans, que lui a « donnée » comme on dit, Pradier, sculpteur à la mode, qui ne lui a pas donné grand-chose d'autre.

Bien qu’on la reconnût professionnellement davantage pour sa grande beauté que pour son talent de comédienne, elle interpréta grand nombre de pièces dans de petits rôles. Tout ce que Victor dit d’elle laisse penser qu’elle avait tout pour être une grande comédienne : la grâce, l’écoute et une sensibilité à fleur de peau. C’est peut-être cette grande sensibilité qui lui joua des tours dans les moments cruciaux de sa carrière. Comment surmonter la peur et résister à la pression des premières représentations quand tout le monde était contre elle. N’y avait-il pas dans la salle les partisans de Dumas pour la siffler parce qu’elle était la maîtresse d’Hugo, les hugoliens animés par Adèle pour la huer et, sur scène, d’autres actrices pour la jalouser.

Théophile Gautier n’hésite pas à encenser la princesse de théâtre : « Ses épaules de marbre blanc, ses longs cheveux noirs, ses courbes suaves et cette carnation laiteuse des brunes, ne sont pas tout, Juliette a, dans les yeux, une flamme, et dans le sourire tant de promesses. »

On lui prête des amants à foison, jeunes gens désargentés qui la ruinent, princes russes qui l’entretiennent richement. Il lui arrive de vivre dans une espèce de faste, l’escarcelle vide. Elle a une garde-robe de courtisane et des dettes abyssales. L’entrée en scène de Victor va tout changer. Pour la première fois dans sa vie, Juliette va aimer.

La jalousie d'Hugo s'avère plus insupportable encore que les dettes dont elle est accablée. En rentrant chez elle, il fouille dans les placards et ouvre son courrier. Ils se blessent, se déchirent, esquissent des ruptures comme d'autres se suicident, en laissant derrière eux ce qu'il faut pour qu'au dernier moment, la tragédie tourne court et se transforme en assurance d'amour.

Finalement, non sans mal, Juliette renonce à la scène et Victor l’entretien dans un petit appartement duquel elle ne peut plus sortir sans lui, ne serait-ce que pour aller s’acheter une brosse à dents. Ce qui va contribuer aussi à les rendre inséparables c’est le même drame qu’ils rencontrent tous deux, en perdant presque simultanément leur filles respectives Léopoldine et Claire.

Tout le monde connaît très bien Victor Hugo. Il est temps de découvrir Juliette qui vécut dans l'ombre de son grand homme car on s'est plu à ne voir en elle que la courtisane, la comédienne ratée, la maîtresse passive et captive, le miroir du soleil. Les lettres qu'ils se sont écrites révèlent l'autre face du miroir. Ainsi apparaît celle qui fut sans doute l'une des plus grandes amoureuses et l’une des femmes de lettres les plus prolifiques de son siècle.

Il faut aussi rendre grâce à Juliette sans qui nous n’aurions pas eu un Victor Hugo si éblouissant. Il est évident que l’amour quelle avait pour lui était la source inépuisable de son talent. Toujours là pour le servir et prête à tout pour le protéger ; elle lui sauve la vie pendant le coup d’état de Napoléon III et par la même occasion, sauve la malle du manuscrit des Misérables ; elle le suit en exil pendant dix neuf ans, aime ses enfants comme s’ils étaient les siens, passe sur toutes ses infidélités et recopie la majeure partie de son œuvre.

Elle lui disait : « Si vous avez du génie, moi j'ai de l'amour et pour seule ambition d’être aimée de vous. Nous faisons chacun de notre côté notre petit travail, toi tu composes un chef-d'œuvre, moi je t'aime. Il me semble toute modestie mise à part que mon œuvre ne sera pas inférieure à la vôtre». Et comme elle a eu raison !

Grâce à ses lettres, Juliette est reconnue aujourd'hui, comme l'une des femmes écrivains les plus brillantes de son siècle.

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Jacques Décombe

La carrière de Metteur en scène de Jacques Décombe débute en janvier 1982 alors qu'il est encore élève au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique.

Son spectacle, « Amusez-vous », une comédie musicale sur les années 30, qu'il a conçu, écrit et mis en scène dans le cadre des « Journées du Conservatoire », est repris en exploitation professionnelle au Théâtre de la Michodière. (1982)

En 1985, Didier Bourdon, son ami du C.N.S.A.D, lui propose d'être le « Metteur en scène » d'un groupe qui s'appelle encore « Les Quatre Quarts » et qui va se faire connaître sous le nom des « Inconnus ». Dix ans durant, il collabore à tous leurs spectacles au Splendid (1985), au Fontaine (1988), au Palais Royal (1989), au Théâtre de Paris (1991), au Casino de Paris (1994). Avec eux, il gravit les marches de la reconnaissance et du succès et est couronné en 1991 par le Molière du Meilleur Spectacle Comique.

A partir de 1988, sollicité par d'autres humoristes, Jacques Décombe dirige : Charlotte de Turckheim dans « Une journée chez ma mère » à la Michodière, et dans « Ma journée à moi » au Théâtre Antoine. Chevallier et Laspalès dans « Les Solex » aux Théâtres des Nouveautés et La Comédie des Champs Elysées. Chantal Gallia au Théâtre Michel. Les Chevaliers du Fiel à L'Olympia, à la Cigale, au Gymnase, au Théâtre des Variétés. Patrick Timsit au Palais des Glaces et au Théâtre Tristan Bernard.

A partir de 1993, il enchaîne une série de comédies modernes à succès : « Charité bien ordonnée » au Théâtre Tristan Bernard, (les débuts au Théâtre de Roland Marchisio, Didier Caron, Pascal Elbé, Eric Laborie), pièce reprise au Splendid (400 représentations). « Tout Baigne » au Théâtre Grévin, prolongée un an au Théâtre du Splendid, reprise au Palais des Glaces, puis reprise encore au Café de la Gare (650 représentations et adaptée au cinéma). « Success Story» créée en 1996, au Théâtre de Dix Heures et adaptée pour la télévision.

« Une nuit avec Sacha Guitry» d'Anthéa Sogno (avec Olivier Marchal) créée au Festival d'Avignon, jouée au Théâtre Rive Gauche et reprise au Petit Marigny (700 représentations) « Court Sucré ou Long sans Sucre » de Bruno Chapelle, D. Basant, O. Yéni créée en 1999, au Théâtre Montmartre Galabru, prolongée deux ans au Café de la Gare (800 représentations) « Les acteurs sont fatigués » en 2000, d'Eric Assous, à la Comédie Caumartin, (450 représentations) « Frou Frou les Bains » de Patrick Haudecoeur, en 2001, au Théâtre Daunou, (1090 représentations) lui vaut en 2002, de partager avec la troupe Le Molière du Meilleur Spectacle Musical. En 2006, il signe la mise en scène de « La Valse des Pingouins » dernièrement molièrisée.

Cette année, en 2007, il retrouve Patrick Haudecoeur et sa troupe dans leur nouveau spectacle : « La Valse des Pingouins » au Théâtre des Nouveautés (spectacle en cours).

Tout ce temps consacré au divertissement n'empêche pas Jacques Décombe de mettre en scène régulièrement une « Pièce d'Auteur » ou d'adapter un classique de la littérature.

Après, PIERRE LOUYS, VICTOR HUGO, MONTESQUIEU, PREVERT, DIDEROT, ROUSSEAU, VIALATTE.

En 2003 : BALZAC « Mémoire de Jeunes Mariées » d'Isab. Coulombe, (avec Julie Depardieu) à la Pépinière Opéra.

En 2004: VICTOR HUGO « Le Dernier Jour d'un Condamné » de J.P Savinaud au Théâtre Montansier de Versailles.

En 2006: SAIDA JAWAD « Monsieur Accordéon » au Théâtre du Splendid.

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Anthéa Sogno

THÉÂTRE (écriture, mise en scène, interprétation) 2007-2009 Victor Hugo, mon Amour, ou Aimer c’est plus que vivre. Mise en scène de Jacques Décombe Théâtre de La Comédie Bastille après Le théâtre des amants d’Avignon.

2005-2008 LA MAIN PASSE de Georges Feydeau Mise en scène Mitch Hooper. Rôle de Francine Théâtre Mouffetard, Théâtre Michel (200 représentations) 2003-2005. LA DOUBLE INCONSTANCE de Marivaux. Mise en scène et interprétation des rôles de Lisette et de Flaminia, en alternance

2001-2005. CIEL ! MON FEYDEAU ! Adaptation originale du « Dindon » de Georges Feydeau et mise en scène Comédie Bastille, Théâtre de La Michodière, en tournée (500 représentations). Rôles de Lucienne et du groom

2000. LENCLOS OU LA LIBERTÉ d'Hippolyte Wouters Mise en scène. Création Circuit des Châteaux de France et de Belgique.

1999. ET GUITRY CREA LA FEMME... Montage de pièces en un acte et d'aphorismes de Sacha Guitry Théâtre Marigny, salle Popesco (73 représentations) Rôles de 4 femmes.

1996-2000. UNE NUIT AVEC SACHA GUITRY... Pièce originale composée des plus belles scènes de Sacha Guitry, mise en scène de Jacques Décombe Mélo d'Amélie, Théâtre Grévin, Rive Gauche, Théâtre Marigny. En province et à l'étranger (700 représentations)

1993-1999. QUOI DE NEUF ? SACHA GUITRY ! Quatre comédies en un acte de Sacha Guitry. M.e.s de M. Galabru, J. François, F. Perrot, et C. Luthringer Mélo d'Amélie, Petit Théâtre de Paris (400 représentations) En province et à l'étranger (90 représentations) Rôle de 5 femmes.

1996. 1994. MONSIEUR DE POURCEAUGNAC de Molière (Mise en scène de Christophe Luthringer)

1988-2000. Au théâtre de l’Alphabet : LA PUTAIN RESPECTUEUSE, LE MALADE IMAGINAIRE, LES FOURBERIES DE SCAPIN, L'AVARE, TARTUFFE, LE MEDECIN MALGRE LUI, LA CANTATRICE CHAUVE, LE FOU-RIRE DES LILIPUTIENS d’ Arrabal. MINUTES D'ARRÊT de Claire Legendre (Mise en scène Henri Legendre)

AU CINÉMA, elle tourne dans LA CLASSE DE NEIGE de Claude Miller, ON NE VOUS L'A JAMAIS DIT (rôle principal), puis PAR AMOUR d'Yvon Marciano (rôle principal)

À LA TÉLÉVISION, on a pu la voir dans : L'HOMME DE MON CHOIX, TAPAGE NOCTURNE, BŒUF CAROTTES de G. Cuq, UNE FEMME D’HONNEUR, L'AMOUR DANS LE DÉSORDRE d'E. Rappeneau

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Sacha Petronijevic THÉÂTRE

2008 Quelqu’un Pour Veiller Sur Moi Ŕ F.Mcguiness Théâtre Mouffetard Ŕ Paris

rôle : Adam Canning mise en scène : Sophie Lorotte La Main Passe Ŕ G.Feydeau Théâtre Michel Ŕ Paris rôle : Coustouillu mise en scène : Mitch Hooper

2007 Un Air De Famille - A.Jaoui & J.P.Bacri Théâtre Essaïon Ŕ Paris rôle : Denis mise en scène: Michel Laliberté Feu La Mère de Madame Ŕ G.Feydeau Théâtre Aktéon Ŕ Paris rôle : Lucien mise en scène: Pascal Guignard La Belle et La Bête Ŕ adaptation du conte Théâtre Essaïon Ŕ Paris rôle : La Bête mise en scène: Michel Laliberté Don Juan Ŕ H.de Montherlant Théâtre du Nord-Ouest Ŕ Paris rôle : Don Juan mise en scène: Sylvain Ledda

2006 Du Roi Philippe…-E.Charney Espace Cœur de Ville Ŕ Vincennes rôle : Enguerran de Marigny mise en scène : Evelyne Charnet Celui Qui Ecoutait… Ŕ A.Tchekhov Théâtre des Cinq Diamants Ŕ Paris rôle : Khrouchtchev mise en scène: Catherine Brieux

2005 La Main Passe Ŕ G.Feydeau Théâtre Mouffetard Ŕ Paris rôle : Coustouillu mise en scène : Mitch Hooper Les Caprices de Marianne Ŕ A. de Musset Théâtre des Cinq Diamants Ŕ Paris rôle : Octave mise en scène : Catherine Brieux Une Mauvaise Rencontre Ŕ C. De Gaulle Théâtre du Nord Ouest Ŕ Paris rôle : Le Brigand mise en scène : J.L.Jeener

2004 Départ et arrivée - K.Shahryari & D.Bolger Art Studio Théâtre Ŕ Paris rôle : Michael-Vedat mise en scène : K.Shahryari Torquemada - V.Hugo Théâtre du Nord-Ouest - Paris rôle : Torquemada mise en scène : J.L.Jeener

2003 Médée - M.Azama Théâtre National - Belgrade rôle: Créon mise en scène : F.Jacob La Trahison - J.L.Jeener Théâtre du Nord-Ouest - Paris rôle: J.M.Lezvoelt mise en scène : F.Tosi Le Véritable St Genest - J.Rotrou Théâtre du Nord-Ouest - Paris rôle: Genest mise en scène : C.Gloeckner

2002 Marie Tudor - V.Hugo Théâtre du Nord-Ouest - Paris rôle: Simon Renard mise en scène : P.Faber & J.L.Sarrato Mahomet - Voltaire Théâtre du Nord-Ouest - Paris rôle: Mahomet mise en scène : J.L.Jeener

2001 Œdipe - P.Corneille Théâtre du Nord-Ouest - Paris rôle: Œdipe mise en scène : S.Ledda 1999 Le Procès des Femmes - F.Leclerc Salle Lumière - Paris rôle: Monsieur A mise en scène : C.Garcia 1998 Le Voyage de M. Périchon - E.Labiche Théâtre de Krusevac rôle: A.Deroche mise en scène : M.Karadzic Hasanaginica - LJ.Simovic Théâtre de Krusevac rôle: beg Pintorovic mise en scène : LJ.Majera 1997 La Cantatrice Chauve - E.Ionesco Kult Théâtre - Belgrade rôle: Mary mise en scène : J.Markovic Derviche et la Mort - M.Selimovic Théâtre de Krusevac rôle: Mula Youssouf mise en scène : N.Bradic

Dom Juan - Molière Théâtre de Krusevac rôle: Dom Juan mise en scène : M.Karadzic CINÉMA 2007 Sur Ta Joue Ennemie - long-métrage de Jean-Xavier de Lestrade - rôle : Zijad 2006 Noir Total - court-métrage de F. Jamin - rôle : Rudolphe

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La Compagnie Anthéa Sogno

La Compagnie Anthéa Sogno est une Association Loi 1901 créée en 1999. UNE NUIT AVEC SACHA GUITRY... (1995) D'après l'œuvre de Sacha Guitry, mise en scène : Jacques Décombe. Ce spectacle s'est joué 700 fois, à Paris (Théâtre Grévin, Théâtre Rive-Gauche), en Avignon (Festival Off), en tournée en province et à l'étranger. ET GUITRY CREA LA FEMME (1999) Conçu à partir de quatre pièces en un acte de Sacha Guitry. Ce spectacle s'est joué plus de 600 fois, à Paris (Théâtre Marigny, Salle Popesco), en tournée en province et à l'étranger. ENCLOS OU LA LIBERTE (2000) D'Hippolyte Wouters. Création théâtre de chambre. CIEL ! MON FEYDEAU ! (2001) D'après l'œuvre de Georges Feydeau. Ce spectacle s'est joué 433 fois, à Paris (Comédie-Bastille, Théâtre de la Michodière), et en Avignon (Festival Off 2001 et 2002), en tournée en province et à l'étranger. LA DOUBLE INCONSTANCE (2003) de Marivaux. Ce spectacle créé en Avignon, se joue actuellement en tournée en province et à l'étranger. LA MAIN PASSE (2005) De Georges Feydeau créée à Paris au Théâtre Mouffetard, et repris au Théâtre Michel. 200 représentations. AIMER, C’EST PLUS QUE VIVRE (2007-2008) Adaptation d’Anthéa Sogno d’après la correspondance de Juliette Drouet et Victor Hugo. (Théâtre ses Amants) Victor Hugo, Mon Amour 2008 Adaptation d’Aimer, c’est plus que Vivre (Théâtre de la Comédie Bastille) En dehors de ces réalisations, La Compagnie accomplit régulièrement un travail d'animation dans les Collèges et Lycées des Hauts-de-Seine, en accord avec le Conseil Régional des Hauts-de-Seine. Elle anime aussi des ateliers-théâtre pour adultes et adolescents, au Théâtre André Malraux de Rueil-Malmaison où la Compagnie est en résidence.

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La presse en parle

Le Point : * * *« Ils se sont rencontrés en 1833 : elle est actrice, il sera bientôt le chef de file des Romantiques ; elle joue un petit rôle dans « Lucrèce Borgia », elle ignore encore qu’elle va jouer un grand rôle dans la vie du poète. Pendant cinquante ans, Juliette Drouet et Victor Hugo vont échanger vingt-trois-mille-six-cent-cinquante lettres et quelques secousses. Anthea Sogno y a puisé la matière d’un spectacle intense, rare, palpitant. « Tu es la nécessité de ma vie… tes caresses me font aimer la terre », écrit le vieil Olympio. Juliette recopiera la majeure partie de son œuvre, sauvera le manuscrit des « Misérables » pendant la proscription, accompagnera son amant dans son exil de dix-neuf ans, aimera ses enfants comme les siens et lui pardonnera toutes ses infidélités. A lui, « mon Toto », le génie ; à elle, l’amour. Il fallait une passionnée pour incarner Juliette : Anthea Sogno est celle-là. Qu’elle s’attache à Feydeau ou Guitry, cette comédienne met du feu et des flammes dans tout ce qu’elle touche. Enthousiasmant ! Frédéric Ferney

Le Figaro : Anthéa Sogno a concocté une pièce vibrante de passion basée sur la correspondance de Victor Hugo et Juliette Drouet. Le défi était risqué, mais Anthéa Sogno le relève haut la main, avec poésie et humour, et cela donne une pièce enthousiasmante qui réjouira les amateurs de littérature et de sentiments enflammés. Anthéa Sogno compose une Juliette inoubliable, et Sacha Petronijevic un Victor Hugo plein de retenue, très juste et attachant. En sortant de la salle, le spectateur garde en mémoire le visage des interprètes. Nathalie Simon

Pariscope : Juliette Drouet fait la connaissance de Victor Hugo au théâtre de la porte Saint-Martin. Elle est une jeune comédienne débutante, lui un auteur déjà célèbre et reconnu. Elle rêve de grands rôles, comme jouer dans « Marion Delorme », « Lucrèce Borgia » et pourquoi pas la reine d'Espagne dans « Ruy Blas ». Embûches, cabales, complots et jalousies, ces rôles très convoités lui échapperont. Sa rencontre avec Victor Hugo deviendra une passion dévorante, torturée, tendre ou cruelle, ponctuée par quarante mille lettres échangées entre les deux amants. Correspondance qui illustre les grands moments de leur vie amoureuse, littéraire ou politique. Juliette suivra, bien sûr, son grand homme en exil à Guernesey, quand il deviendra l'ennemi redoutable de Napoléon III, qu'il baptisera pour la postérité « Napoléon le petit ». A partir de ces lettres magnifiques, Anthéa Sogno a composé un très beau spectacle où tout est raffiné, les décors, un boudoir pour elle, un bureau pour lui, les costumes superbes et la musique. Sans oublier la mise en scène soignée de Jacques Décombe. Pour illustrer et restituer ce couple mythique, deux excellents comédiens. Anthéa Sogno, belle brune à forte personnalité, vive, sensuelle, amoureuse, passionnée, face à Sacha Petronijevic, qui incarne un Victor Hugo toujours en mouvements, toujours occupé par mille idées en tête, souvent absent, mais qui jamais ne renoncera à cet amour hors du commun qui durera un demi-siècle. Le spectacle est drôle, bouleversant, on rit, on pleure, on s'amuse. Une fête pour l'œil et l'oreille, et une belle réussite. Arlette Frazier

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l’Express : **« Jamais l’amour d’une femme n’a donné un spectacle si

bouleversant. On est charmé par la plume de Juliette, ému par tant de dévouement. Voici comment l’on créer de l’inoubliable avec de l’éphémère. » Christophe Barbier

Figaroscope 2 cœurs et Figaro-Magazine : Le résultat est des plus agréables : Un très beau spectacle, très soigné. Les comédiens sont excellents, Sacha Petronijevic compose un Victor Hugo des plus crédibles et la très belle Anthéa Sogno est plus sensuelle que jamais. Jean-luc Geener

Télérama : TT « Toi, tu composes un chef d’œuvre, moi, je t’aime ». Ces mots de Juliette Drouet s’adresse à Victor Hugo, son amant, son grand homme. Le fil que tire Anthéa Sogno à travers les quelques quarante mille lettres échangées par le couple mythique dessine avec sensibilité, émotion et parfois humour, un amour fait de désir, de tendresse, de jalousie inquiète qui, durant cinquante ans a su résister aux brouilles, aux trahisons et aux deuils. Anthéa Sogno incarne une Juliette simple, fine mouche, sensuelle, parfois coquine. Le spectacle fait entendre les échos de la vie politique, sociale et littéraire du temps, entre bataille d’Hernani, journées révolutionnaires, coup d’état de Napoléon III, exil et retour du couple à l’avènement de la troisième république. Un très joli spectacle au ton juste et plaisant… » Sylviane Bernard-Gresh

Pariscope : …« Une belle réussite ! Le Spectacle est drôle, bouleversant, on rit, on pleure, on s’amuse. Une fête pour l’œil et l’oreille. Pour restituer et illustrer ce couple mythique, deux excellents comédiens, sans oublier la mise en scène soignée de Jacques Décombe. Tout est raffiné, les décors, la musique et les costumes sont superbes. »… Arlette Frazier

Le Nouvel observateur : Sacha Petronijevic et Anthéa Sogno forment un bien joli couple. Pas étonnant qu'ils soient amenés à jouer les prolongations jusqu'à la fin mars. Jacques Nerson

La Tribune : « Anthéa Sogno a conçu une pièce aujourd'hui mise en scène par Jacques Décombe avec vivacité, dans laquelle elle campe à merveille le personnage de Juliette Drouet, femme passionnée, plutôt très coquine. La muse d'un monstre sacré qu'elle n'a jamais cessé d'aimer. Quitte à mettre sa vie de côté. Sacha Petronijevic incarne avec autant de finesse l'homme politique que l'amoureux qu'était Hugo. »

La Croix : « Anthéa Sogno interprète Juliette avec pulsion Charnelle et sensuelle, un engagement total. Sublime ! » Jean-Claude Raspiengeas

Madame Figaro : « Parmi toutes les raisons d’aller voir la pièce il y a l’humour et la fougue avec lesquels sont résumés cinquante ans d’une passion entre désir et tyrannie, érotisme flamboyant et tragi-comédie du quotidien »M. C. Delacroix

Fémina : « Un hommage drôle et émouvant, un beau portrait de femme engagée, amoureuse, et fidèle, très justement interprété. »

Le Midi libre : « Un pari d'ores et déjà gagné : les acteurs restituent toutes les facettes d'une passion tour à tour vive, torturée, sensuelle, cruelle et tendre. Le décor, les costumes, la musique, tout participe à mettre en valeur des textes magnifiques et ce pour notre plus grand plaisir. »

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Vaucluse-Matin : « Un des, si ce n'est le plus fort des spectacles de ce festival d'Avignon 2008. Bouleversant et inoubliable. Une histoire d'amour que la fiction n'oserait pas imaginer. Loin d'être une simple lecture, c'est un spectacle où l’on rit où l’on pleure, où l’on se bat, où l’on se baise sans relâche... » La Marseillaise : « Passionnée et fervente, cette transposition théâtrale est une réussite qui ne peut qu'attirer l'attention. Les comédiens n'interprètent pas, ils incarnent véritablement Hugo et Drouet. »

Nice Matin : « Pleurs, émotions à tout rompre pour un auditoire enchanté, tant par l'incroyable histoire d'amour de Victor Hugo et Juliette Drouet, que par le jeu des acteurs, passionnés et généreux. »

Sur le web :

« Cette adaptation fine et enlevée nous brosse un tableau aussi fidèle que possible de ce qu'était la relation du couple Hugo-Drouet. Les évènements y sont clairement racontés, et ce mélange de vie, de lettres et d'œuvres nous projette dans l'atmosphère intellectuelle et romantique des personnages. Destin de deux amants éperdus, qui sont parvenus au-delà de tous les obstacles à vivre ensemble. » Les trois coups

« Transposition théâtrale rythmée et dynamique, intelligente et pleine d'émotion et mise en scène avec beaucoup de soin, de précision et de rythme par Jacques Décombe. Les comédiens sont d'une intensité et d'une vérité qui nous transporte du rire aux larmes. Anthéa Sogno, comédienne vive et talentueuse, pétillante et sensuelle, prête à Juliette Drouet sa beauté rayonnante et sa maitrise d'une belle palette d'émotions pour restituer son caractère romantique, attachant et dévoué. Elle virevolte, trépigne, s'enthousiasme, aime avec une fraîcheur extrême, et une pétulance à laquelle rien ni personne ne saurait résister. Dire que le public est conquis et n'a d'yeux que pour elle relève de l'évidence. » Froggy's Delight

« Un petit joyau ! Le travail d'adaptation, le choix éclairé des lettres et surtout leur agencement sous forme de dialogues reconstitués produisent une authentique œuvre théâtrale. Les deux comédiens interprètent avec fougue et sensibilité ces deux amants. La flamme qui illumine le regard de Juliette tout au long de la représentation est un réel bonheur. Elle donne une grande intensité à ce personnage qui a voué sa vie à son amour. Quel magnifique spectacle ! » Passage à l’acte

« Anthéa Sogno, a plongé dans cet océan de mots d'amour pour en faire surgir ce spectacle à deux voix, habile et sensible. L'intelligence de cette pièce est d'abord qu'elle en est une. De ces lettres échangées sans relâche naît un dialogue qui retrace l'histoire des deux amants dont chaque étape marquante est jouée avec entrain, humour, colère ou désespoir. Les changements de toilette, les empoignades, les embrassades se succèdent sur un mode virevoltant. Anthéa est une Juliette qui emporte tout sur son passage, joyeuse, émouvante et généreuse. C'est un pari plus que réussi. » Théatrothèque

Les spectateurs aussi

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- J'ai eu le privilège d'assister à Avignon à votre spectacle.

J'ai bien dit le privilège, c'en fut un de vous voir, avec votre partenaire, ressusciter Victor et Juliette et de faire revivre pour nous leur extraordinaire correspondance.

J'ai aimé retrouver au travers de votre composition, une Juliette aussi vive, pétulante et sensuelle. Emportée par la justesse de votre interprétation, vous avez su tous les deux susciter beaucoup d'émotion, je voulais vous en remercier, même si, personnellement, celle-ci m'a submergée à la fin du spectacle. Merci pour ce moment d'émotion.

Marie-Pierre

- Rien à dire... sinon BRAVO!!! j'ai été subjuguée par les acteurs ... je pense qu'il y a réincarnation... Vous m'avez tellement émue que mes larmes ont coulé doucement et c'était tellement bon d'avoir un moment si intime, en osmose complète avec vous. Si je vous écris, c'est pour vous dire enfin combien j'ai été touchée car à l'issue du spectacle, j'étais trop émue pour pouvoir parler. Merci pour ce moment de bonheur intense.

Béatrice

- Je suis sorti ébloui, un peu hébété. Mon dieu c'était formidable ! Une fois de plus, vous avez trouvé un terrain d'expression qui met en valeur la diversité de votre talent. Rien à redire, tout était merveilleux d'intelligence et de jeu juste. J'étais embarqué. Et votre partenaire était à la hauteur. J'en étais tout retourné encore plusieurs heures après.

Eric

- Sûr et certain que cette création aura une belle destinée. C'est une création à marquer d'un diamant sur le parcours de l’ Amour. Ce reflet de l’Amour fidèle, de l’Amour esclave, de l’Amour passion, donne de nouvelles dimensions à ce mot magique qu'est l’AMOUR; elle sera, sans aucun doute, un tout aussi grand succès que vos spectacles précédents. Que dis-je, ça l'est déjà !

Marianne & Robert

- Chère Anthéa, ou devrais-je dire Chère Juliette ? Nous ne pouvons que vous remercier de nous avoir offert nos meilleurs souvenirs d’Avignon 2007. "Victor Hugo, mon amour", de par la justesse de son texte choisi, de sa mise en scène dynamique et surtout du jeu magnifique de ses interprètes, nous a surpris, émus et conquis. MERCI pour cette heure passée en votre compagnie. Elle fut précieuse et restera gravée dans nos esprits encore longtemps.

Anonyme - Les comédiens sont merveilleux. Une sensation de grande complicité avec son

personnage se dégage de la comédienne qui interprète Juliette. Elle s'approprie les lettres de son aînée et les fait revivre avec tellement de ferveur et de naturel, à croire que... À croire que cette comédienne nous livre sa propre vie, voire ses propres désirs. Merci de tant de générosité, merci, comme ça fait du bien, merci pour ton jeu d'actrice, merci d'avoir offert tant de ta personnalité à travers ce personnage. Après la salve d'applaudissements méritée, comme l'homme qui vient de

recevoir le premier baiser tant attendu de celle qu'il aime, j'ai le cœur étourdi d'amour. Quelle femme cette Juliette que tu nous as fait découvrir, si libre et si sensible ! Quelle dévotion pour un homme déjà engagé. Cinquante ans d'un amour fidèle et qui ne faiblit jamais. C'en est presque chimérique.

Depuis, je ne cesse de penser à cette jeune femme au joli nom - née dans une ère où la patience, le romantisme, l'engagement, la passion Ŕqui a tenu à nous rappeler, qu'aimer c'est plus que vivre, c'est plus que tout, qu'aimer sans filet est franc, courageux, optimiste.

Emmanuel

J'ai eu le privilège d'assister ce soir à votre spectacle sur les amours d'Hugo et de Juliette Drouet et je tenais à vous dire combien cet instant m'a ému par sa délicatesse et transporté par sa force.

$ul

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L'entièreté, la fougue et le romantisme de Victor Hugo m'ont toujours fasciné. J'étais loin d'avoir réalisé à quel point l'amour de Juliette Drouet pouvait avoir été encore plus intense, encore plus vrai, au-delà même de tous les mots. Nul doute que son histoire amoureuse avait cette beauté des amours désespérées, cette sincérité des passions dévorantes. Grâce à votre interprétation divine (ainsi bien sûr qu'à celle de Sacha Petronijevic) et à cette merveille d'écriture, j'ai enfin compris où ce grand homme pouvait puiser une telle énergie amoureuse, un si beau sentiment romantique. Peut-être n'aurait-il finalement jamais été s'il n'avait croisé le destin de Juliette. J'aimais Victor Hugo pour son art de dire l'amour. Je vénérerai Juliette Drouet pour sa façon de le vivre. Encore merci de m'avoir permis de partager cette émotion amoureuse.

Vous êtes brillante.

Thierry Besse

Extraits de presse des spectacles de la Compagnie Anthéa Sogno

UNE NUIT AVEC SACHA GUITRY... 700 représentations, Théâtre Marigny, Théâtre Grévin, Théâtre Rive Gauche...

« Anthéa Sogno a tricoté, d’après l’œuvre de Saha Guitry, un spectacle délicieux, subtil et intelligent. » LE

POINT - « 90 minutes de vacheries élevées au rang d’art. « TÉLÉRAMA »

Un des plus agréables spectacle de la saison. En fait, une vraie pièce de théâtre, Guitry est là tout entier. »

FIGARO MAGAZINE. - Toujours prêts à rebondir, les acteurs ne nous laissent pas une minute de répit. »

JDD – « Cette nuit frivole et délicieuse se passe dans la plus grande bonne humeur. » L’EXPRESS –

« Brillant, inattendu, drôlissime. » FRANCE SOIR « Pétillant comme le champagne des grandes occasions. »

LE PARISIEN – 2 heures de Guitry qui vous rendront pleinement heureux » FIGAROSCOPE

QUOI DE NEUF ? SACHA GUITRY ! 600 représentations, Théâtre Marigny, Petit théâtre de Paris... et tournée

« Anthéa Sogno a beaucoup, beaucoup de charme. » FIGAROSCOPE « Anthéa Sogno incarne l’idéal

féminin cher à Guitry, elle fait revivre sur scène et ce, depuis des années, toute la fantaisie de l’esprit d’un

auteur dont l’écriture n’a pas pris une ride ! » PARISCOPE – « Anthéa possède le talent et la passion

nécessaires pour nous faire partager sa découverte. » LE PARISIEN – « Elle qui se rapproche de l’idéal

féminin cher à Sacha Guitry, mélange d’élégance de rouerie, d’adorable mauvaise foi, n’hésite pas à taper du

poing quand il le faut ! » LE FIGARO – Un quintête de comédiens très doué sert ces quatre délicieuses

pièces en un acte. « LES ÉCHOS – « Anthéa Sogno a encore frappé. Après 600 représentations d’une nuit

avec Sacha Guitry, son nouveau spectacle est inattendu, drôle et très enlevé. » LE POINT – « Anthéa Sogno

ne s’y trompe pas. Elle a réuni quatre petits bijoux de pièces en un acte rondement menées qu’on écoute

sourire aux lèvres, accélération, mouvement, impétuosité, fantaisie, brio. Un divertissement séduisant à

consommer sans modération. » LE FIGARO MADAME

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« CIEL ! MON FEYDEAU ! » d’après Georges Feydeau 433 représentations, Comédie Bastille, Théâtre de la Michodière

« Un acte d’amour, un hommage à Feydeau... C’est un régal, un vrai bonheur ! » FIGAROSCOPE – « La

scène du lit est irrésistible et funambulesque. » L’EXPRESS – « 8 comédiens brillants, enthousiastes et

passionnés, incarnent leur rôle à la perfection. » LE DAUPHINÉ - Dans une mise en scène astucieusement

rythmée, les acteurs se déchaînent pour la plus grande joie du public ! » TÉLÉRAMA– « Le résultat est

parfait ! : l’original mais en mieux. Traité avec respect, dopé, lifté, maquillé, elle rend son actualité à la

pièce.» THÉÂTRES – « Du Feydeau mieux que du Feydeau, puisque c’est le meilleur de Feydeau ! »

VALEURS ACTUELLES – « Un cocktail irrésistible qui vous entraîne dans un monde un peu fou avec des

comédiens aussi déjantés que bien dirigés. » LE PARISIEN - « Excellence des comédiens, modernité du

propos, rythme endiablé et soutenu : du théâtre plaisir. » OUEST FRANCE – « Deux heures de franche

rigolade, une cascade de bons mots, des éclats de rire à n’en plus finir pour des applaudissements à tout

rompre. Bref, du Feydeau dans les règles de l’art. » LIBRE BELGIQUE. - Le talent d’Anthéa Sogno

s’affirme d’année en année. En compagnie de ses comédiens, tous excellents, elle insuffle à la pièce un

rythme et un enthousiasme qui colle parfaitement à une action débridée et gentiment déshabillée... » LA

DÉPÊCHE DU MIDI - « Leur performance est à inscrire sur les tablettes de la comédie » MIDI LIBRE -

« Le genre de spectacle à conseiller si l’on veut encore se faire des amis » FIGARO MAGAZINE- « Pour le

meilleur et pour le rire ! Que dire de plus si ce n’est que ce Ciel ! mon Feydeau est un véritable monument du

rire et que la troupe fait en sorte que le l’esprit de Feydeau frappe encore. » CORSE-MATIN - « Deux heures

de divertissement savoureux au huitième ciel ! » NICE MATIN

« LA DOUBLE INCONSTANCE » de Marivaux Création 2003 et Tournée

« Un des Fleurons du Festival » LE PARISIEN – « On doit rendre Hommage à la compagnie Anthéa Sogno

qui a apporté une touche « mille et une nuits à la pièce et a donné un ton primesautier à la mise en scène. »

LE DAUPHINÉ « Sous la baguette d’Anthéa Sogno, toutes les dimensions du jeu s’harmonisent. Il y a ce jeu

pur déployé par les comédiens, ce jeu à grandes enjambées où ils semblent tant s’amuser à nous amuser.

Vifs, légers ils dansent l’histoire de ce Prince amoureux. Anthéa a offert des vacances à Marivaux dans un

sultanat idéal aux jardins ombragés. C’est l’orient compliqué des sentiments. » Christophe Barbier pour

l’EXPRESS - ‘Une invitation au rêve. Un bassin au milieu de la scène, de magnifiques costumes, une

lumière soignée et des sonorités orientales : tout à été pensé pour emmener très vite le spectateur dans un

monde imaginaire. » VAR MATIN « Cette double inconstance a ravie le public. » OUEST FRANCE – Cette

double histoire d’amour ne manquant pas d’humour a passionné la salle au complet. » HAUT-ANJOU

« LA MAIN PASSE » de Georges Feydeau Théâtre Mouffetard, Théâtre Michel

« Du Feydeau encore mais du meilleur ! Plus rare encore, voici un Feydeau modernisé sans bassesse ! Une

mise en scène aérée ; un zeste de douleur dans le rire, un érotique chic dans la caleçonnade d’Antan. « La

main passe mais pas le cousu main ! De la vraie belle ouvrage ! La Compagnie de la succulente Anthéa

Sogno galope et tourbillonne. Toute la troupe époustoufle. Bonne soirée garantie ! » Claude Imbert pour LE

POINT- On rit plus subtilement qu'à un vaudeville classique... Les comédiens défendent avec enthousiasme

cette moderne et piquante comédie de mœurs !..." TÉLÉRAMA - « De la vraie, fine comédie, de la gaieté

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folle piquée d’inventions surréalistes. On rit sans lourdeur, heureux des trouvailles de l’auteur, relayées par

l’ironie narquoise d’Anthéa Sogno qui prête à Francine son galbe heureux et son esprit. » LE FIGARO -

« Un Feydeau de plus ? Non, un Feydeau très réussi, monté avec plus de passion que de subventions, plus

d’idées que de moyens, il offre une lecture moderne et pleine de fantaisie. On rit beaucoup à ce Feydeau que

la brillante troupe défend avec son cœur. LE FIGAROSCOPE - « L’essentiel, c’est que Hooper concentre ses

efforts sur les acteurs. Pas question de cabotiner. Seul effet autorisé, l’effet de vérité. Les personnages n’ont

pas le cœur à rire, c’est aux spectateurs qu’il revient de s’esclaffer. Grâce à de jeunes comédiens comme

Anatole de Bodinat ou Anthéa Sogno, il ne s’en prive pas. » VALEURS ACTUELLES - « Le rythme de la

pièce est un tambour battant sur le rythme de l’amour battant. La Compagnie Anthéa Sogno allume une

réjouissante bacchanale d’émotions. Rires et applaudissements accompagnent ce pétillant spectacle. » SUD

OUEST - « Rien de tel qu’un Feydeau de bonne cuvée servi par une troupe de spécilalistes très talentueux ! »

NICE MATIN - « Anthéa Sogno, belle brune piaffante, mène la danse. Elle est le fer de lance d’une

distribution très honnête. » FIGARO MADAME Délicieuse vision de « La main passe » que cette

adaptation de Mitch Hooper. Mention spéciale pour Anthéa Sogno qui, avec son jeu éclairé par une

sensualité romantique et éthérée, présente toutes les qualités des femmes telles que nous les aimons. ILLICO