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Résumé du cours de biologie générale (Plantes, Animaux et Etres humains)
Chapitre I : Réalités microbiologique dans les cellules
Atomes principaux de biologies : H, C, N, O
Atomes secondaires de biologie : Na, Mg, P, S, Cl, K, Ca et Fe
Composition principale des molécules biologiques ( dit éventuellement Sous-cellules ) :
1)Sucres (saccharoses) CnH2nOn (dénomination officielle ***ose)
Ex : lactose = galactose + glucose
2)Lipides (acide gras) :
Graisse : acide gras + glycérol
Graisse animale solide (saturés)
Graisse végétale solide (insaturés + exept : huile palmitique saturés)
Phospholipide (micelle : huile et bilame : cellule)
Micelle
tête hydrophile (eau passe) (glycérol + phosphate)
queue hydrophobe (eau bloquée) (chaînes aliphatiques)
Bilame
Stéroïde : un exemple cholestérol
3) Acides Aminés : 20 acides aminés dont les formules brutes sont données page suivante
Par des chaînes de plusieurs acides aminés, on forme les peptides (nombre 20n) ou les polypeptides (ex. digestion)
Qui eux-mêmes forment les protéines ou on forme l’ADN et l’ARN
(nucléotides : voir plus loin)
Structure des peptides : primaire : linéaire
Secondaire : en hélice α ou feuillet
Tertiaire : configuration tridimensionnelle
Quaternaire : association plusieurs chaînes tertiaires
Fonctions des protéines : -enzymes
-hormones
-toxines
-protéines structurales
-protéines contractiles
-protéines de transports
-protéines immunologiques
Ensemble avec décodeur chimique associé des ADN et ARN
Source Wikipedia : acides aminés
De mon intuition pour tous tous les équivalents acides aminés, il existe un tout petit peu plus de molécules de ce type à l’intérieur du noyau qui ne comprennent ni la liaison équivalente carboxylique (COOH) (relativement ductile dû à sa probable stable position RELATIVE de son centre de masse C et dit imaginaire comme suit en venant du dessous des atomes : Theo C équivalent (neutre ?), Theo H+ équivalent (constructeur et/ou acide) et Theo OH- équivalent(nettoyant et réducteur)) et ni la liaison équivalente presque ammoniac gelé (NH3) (très probablement longue vie dans le temps espérée et dit imaginaire comme suit en venant du dessous des atomes : avec tous stable mécaniquement en position dû à l’asymétricité (5 électrons initialement de la couche externe de N et les autres au nombre de 3 (ou 4) des atomes adjacents qui forment la dynamique correcte et très très stable autour du centre de masse de ce sous-ensemble moléculaire en N , Theo N équivalent (neutre et stable, certainement très très très lentement évolutif à long terme …car capable à long terme par le tableau de Mendeleïev de nombreux passages en transitoire rapide par des étages d’oxydations ?dits électriques des électrons ?) et Theo H+équivalent (constructeur et/ou acide)
PS : raisonnement intelligent déduit de mon inconscient proche CHAT (nature)
Pour étudier l’ADN ou l’ARN en biologie, on ne dispose que d‘un outil actuellement, c’est l’analyse chimique avec CGTA et U
(Cytosine, Guanine, Thymine, Adénine ou Uracile) clés actuelles de décodage
Les codes sont donnés ci-après
S – Base1=-=Base2 – S
P P
S – Base3=-=Base4– S
Double helices imbriquées par dit carbone 5’ et carbone 3’
Avec S: Sucre
P: Phosphate
=-= : liaison hydrogène
Selon source ULB où il faut, il me semble remplacer U faux par le vrai T (majorité des cas) et accepter que l’on ne sait pas mesurer la dynamique biochimique des ARN normalement toujours en transitoire
Différentes sortes : ADN :1 sorte
ARN : 3 sortes (messager, transfert et ribosomial)
3 propriétés : redondance, sens de lecture et unicité du code
Réplication ADN : selon vraie hypothèse conservatrice :
Séparations des brins puis duplication selon segments d’Okasaki
Synthèse des protéines par transcription :
Initiation (ARNm , ARNt), élongation (ARNt ,ARNm ), terminaison (ARNt )
ADN codant(->protéine) dit exon, ADN non codant (environnement) dit intron
Nb : nucléosome : « perles » : observation au microscope de brins d’ADN ?normalement codante ?
Chromosome = 2 brins complets d’ADN ?normalement redondant ?
Extrémités : télomère (vieillissement principal non codant)
Centromère : non codant pour tenue mécanique
Chapitre II : Réalité de chaque cellule
Structure générale d’une cellule soit procaryote (sans noyau) soit eucaryote(avec noyau)
Procaryote : ex. courant : bactérie et petite feuille végétale par certains de ses chloroplastes autotrophes
Ex à étudier un thylakoïde d’auto croissance et de photosynthèse chlorophyllienne
Standard ?avec stroma ?
Ex type Composition muréine (paroi)
Capsule ou glycolalyx
Membrane plasmique
Ribosomes
ADN bactérien
Hyaloplasme
Autres organites
Structure de l’ADN circulaire
Réplication par « œil de réplication » unique
Division cellulaire bactérienne -> mitose (scissiparité)
Eucaryote : enveloppe nucléaire
ADN noyau et y afférent
Réticulum endoplasmique (ADN->ARN)
L’appareil de Golgi (identif. ARN et protéine)
+ Lysosome (dissolution de certaines graisses) cytoplasme
Peroxysome (catalyse des réactions d’O2)
Vacuoles
Membrane plasmique
Chromatique : nom de famille de l’ADN dans le noyau
Empreinte génétique : ADN hautement répété et analyse des fragments
Intercinèse : période entre 2 divisions cellulaires successives
Réplication bidirectionnelle et en plusieurs points « œil de réplication »
Caryotype : représentation ordonnée des chromosomes d’une cellule
Homme = 46 : XX : femme hétérosomes
XY : homme
Taille relative : X grand, Ypetit
Division cellulaire : cellule somatique cellule germinale
Mitoses méiose (sexué)
Prophase prophase
Métaphase métaphase
Anaphase division réductionnelle
Télophase division équationnelle
Cytosines
Crossing over : échange chromatide chromosomes identiques
Variabilité génétique :
a)échange de matériel génétique avec gène identique
centimorgan : distance entre gène 1 et 2
b)association indépendante des chromosomes
Chapitre III : Vie des cellules et historique
VIE = organismes font des échanges
Consomment de l’énergie
S’auto reproduisent
Dans la meilleure classification d’évolution dont alimentaire des cellules ce qui ne se fait pas
En biologie universitaire, il me semble, car il se pose en précision de tout que les dites brutalement organites en essai thématique d’ensemble cellulaire normalisé « modèles classiques biologiques » sont le modèle général hypothétique lysosome qui mange beaucoup, le modèle mitochondrie qui ne fait que respirer et sans doute pas manger, le modèle de l’enveloppe du noyau qui ne doit pas beaucoup évoluer en statique et donc assez peu manger, le modèle des chromosomes par les ADN qui évoluent très lentement et ne mange ?pas ?, le modèle des ribosomes qui lui mange probablement très souvent dans l’évolution de la croissance générale, les modèles du réticulum endoplasmique et celui mouvant de Golgi qui agissent par et sur les 3 types d’ARN qui eux (sous-œufs élémentaires dignes d’évolutions, de réactions et contreréactions (automatique biochimique de seconde pointe) ) ne doivent manger que du bon, le modèle des protéines que l’on sent, au mieux, ou qui agit , en muet décidant indispensable qui eux (sous-œufs élémentaires actifs certains responsables d’évolutions, de réactions et contreréactions (automatique biochimique de première pointe)) mangent de tout (ex. calmoduline qui ‘mange’ du calcium pour la croissance), l’enveloppe du déclaré cytoplasme qui lui ne mange pas ou peu dans la croissance cellulaire, et il reste les autres composants biochimiques dont des équivalents-enzymes (ex. : l’insuline, l’éthanol…probablement vitamines…), des équivalents coenzymes (ex. : la nicotine,…), des hormones (ex. : voir secret médical, pharmacies, vétérinaires et botanistes, ?L-carnitine ?,l’aldostérone, dopamine à ne modifier qu’avec l’accord certain du patient et/ou de l’animal, l’adrénaline, certains dits complexes acides gastriques sans doute…commandés des dits nouvellement nommés hormones neurologiques d’alimentation ( ?issus principalement du cervelet ?) et les autres où bien des indispensables existent.
, on retrouve
Soit des cellules autotrophes (auto alimentation),
Soit des cellules hétérotrophes (alimentation externe)
Soit autre type de cellule à définir précisément en exception.
PS : raisonnement déduit intelligemment de mon inconscient profond OURS (tout)
1ère hypothèse d’Oparine : formation des acides aminés et autres molécules chimiques
Initialisation des composants de base : H2O, CO, CO2, H2, SO2, H2S, CH4
Réalité de Miller : chauffage
Électrification
Refroidissement
2ième hypothèse d’Oparine : création de la vie proprement dite
Monomères : Abiotique
Fusion de polymères
Molécules d’autoréplications
Agrégats protobiontes
Chapitre IV : Evolution génétique parasite s’écartant du nominal naturel : Mutation
Soit évolution d’espèces sur les êtres complets
Soit très lent vieillissement progressif LOCAL
Soit variabilité parasite générale ou locale : ex cancer des os ou œdème pulmonaire, kyste
Définition : Mutation : modification de l’information génétique (10-5 chez les êtres vivants : rare)
1ère vue scientifique vue sur drosophile par Devries en 1900
Différentes sortes de mutation :
1) Mutations génomiques
1) polyploïdie
2) aneuploïdie
3) mosaïcisme
2) Mutations chromosomiques
1) délétion
2) duplication
3) inversion
4) translocation
3) Mutations ponctuelles
1) tautomère
2) mutation par substitution
3) mutation par délétion
4) mutation par insertion
Allèles : formes possible d’un gène
Causes : effet de position
Effet de dose
Evénements aléatoires : - caractère imprévisible
- Pas individuellement prévisible- Dans conditions définies donc évitable
Agents mutagènes : -chimique
-physique (UV, RX, gamma (Rem))
- ?environnementaux ->biochimique
- ?vieillissement -> entropique de chimie de base
Diagnostiques prénataux :
Amniocentèse, choriocentèse ou cordocentèse
Chapitre V : L’évolution des espèces par sélection naturelle selon Darwin
Sélection naturelle -> processus de reproduction de certains individus avec caractères
Particuliers favorisés vus les conditions d’ensemble de la population
D’où évolution adaptative -> prédominance des caractères héréditaires selon les
Environnements
(Phénotype donne +/- d’enfants utiles)
Aptitude : rapport du nombre de descendants de l’organisme considéré sur le nombre moyen de descendants des membres de la population
Darwin et sélection naturelle :
- Organismes se reproduisent- Génération filiale semblable aux parents (hérédité)- Polymorphisme des caractères héréditaires de la population- Différentes aptitude des organismes (avec certaine
prédominance)
Exemple historique : Phalène du bouleau
Adaptation remarquée dans la multiplication des bactéries :
Latence, croissance exponentielle, décélération puis stagnation
Nt = N0 2rt <-> Log2 (Nt/N0) = r t <-> d N / d t = r N
Culture des bactéries : type de milieux : milieux minimum
Milieux complets
Milieux spéciaux
Forme physique : milieux liquide
Milieux consolidés
(dilution bactéries puis tampon de velours)
Coefficient de sélection : w = nombre moyen d’enfants qui atteignent l’âge de la reproduction
Différents agents de sélection naturelle
- Adaptation au milieu : sécheresse, froid, prédation, camouflage, résistance toxique
- Sélection sexuelle- Sélection parentèle
Chapitre VI : Génétique Mendélienne
Hérédité de Mendel : lois d’associations et de dissociations de caractéristiques génétiques
Gène : caractéristique d’un brin d’ADN défini
Locus : site qu’occupe le gène choisi
Homozygote : gène identique du père et de la mère
Hétérozygote : gène de père et mère de différentes caractéristiques
Phénotype d’un hétérozygote attaché au père ou à la mère dominant(e) et l’autre récessif(ve)
Phénotype représenté par [ ]
Exemple : vg+ : gène non muté
Vg : gène muté ----voir exercices
1ière loi de Mendel : Quand on croise 2 individus qui ne diffèrent que par un caractère, tous les descendants de première génération sont tous identiques entre eux et diffèrent des parents
2ième loi de Mendel : Les hybrides de seconde génération croisés entre eux donne des répartitions de probabilité
3ième loi de Mendel : Si l’on croise des individus de plusieurs caractères, ces caractères sont indépendants et s’attardent selon les lois de probabilités, loi du hasard
Épistasie interaction entre 2 gènes situés sur des locus différents
Résumé médical de Mendel selon la transmission héréditaire :
Maladies à un gène dominant :
Achondroplasie 2/100000
Chorée de Hastington 4/10000
Rétinoblastome 1/10000
Maladies due à un gène récessif
Mucoviscidose (porteur 1/20 malades 1/200)
Albinisme par la mélanine
Phénylcétonurie 1/10000
Hérédité liée au chromosome sexuel : ex daltonisme, hémophilie, etc.…
Chapitre VII : Génie génétique
Instruments :
Études des « liaisons » : linkage
Hybridation cellule in vitro
Enzyme de restriction
Sondes génétiques (marquées radioactivement)
Vecteurs génétiques
Amplification génétique (PCR : Polymerase Chain Reaction)
Banque génomique
Séquençage
Applications actuelles du génie génétique
Empreinte génétique
Diagnostic et thérapie des maladies héréditaires
Prévention (vaccins)
Biotechnologie : amélioration des gènes par bioréacteurs
Chapitre VIII : Trop dangereuse génétique évolutive
Application à la population de tous ses individus
Base conseillée : gènes d’un couple et de sa descendance par la génétique mendélienne
Paramètre important : fréquence d’apparition d’un allèle (par mutation, sélection ou migration)
Modélisation : Tous les allèles forment un pool génique
POLYMORPHISME : modèle par facteur temps et sélection
1908 : modèle de Hardy et Weinberg
Hypothèses conservatrices : -Population nombreuse
-Panmixie : mariages au hasard
-Isolée
-Ne subit pas de mutation
-Aucune forme de sélection
Calcul d’approche dit correcte : - fa+ + fa = 1
- fa+ = p et fa= q
- fa+/a
+ = p2 fa/a = q2 et fa+/a = 2 p q
1 reproduction : a+ = p2 + pq = p
a = pq + q2 = q
-D’où : p2 + q2 +2 pq = 1
Ecarts faibles des hypothèses qui amènent sa validité peut-être dangereuse
Panmixie (endogamie, consanguinité, sélection sexuelle choisie dans le chaos extérieur,…)
Selon calculs de probabilité plus avancé
Mutation : en cas de reproduction
Essentiellement stable et fortement récessif vu son faible taux d’occurrence (10 -5)
En cas de vieillissement
Vu le nombre important de cellules considérées d’un individu hors condition
Naturelle de maintient de vie représente tous les cancers humains
Sélection : Stabilisante, directionnelle ou diversifiant
Isolation (sociologique) : géographique, à caractère culturel ou religieux
Petite population : -dérive génétique
-effet du fondateur
-effet d’étranglement
Chapitre IX : Les jumeaux
Def : Polyembryonie : formation de plusieurs individus à partir d’un seul zygote
MZ : vrais jumeaux (1 seul ovule) NB : toujours pour les tatous
DZ : faux jumeaux (deux ovules)
Exception MZ non complètements séparés : siamois
MZ ~ constante dans le monde entier : 48762/4644496 ~ 1/100 : jumeaux vrais
Loi de Hellin(1895) 496/4644496 ~ 1/10000 : triplés vrais
6/4644496 ~1/1000000 : quadruplés vrais
DZ variable dans le monde (traitement stérilité féminine,
Production hormone FSH de l’hypophyse de la mère)
Age de la mère augmente -> DZ augmente et MZ = constante
Détermination vrais ou faux jumeaux : analyse placenta, amnios et/ou chorion à la naissance
Méthode de l’ambiguïté : étude phénotypique
Similarité génétique statistique
Phénotype : hérédité nature et acquise (appelé nurture)
Chapitre X : Clonage et/ou division ovule fécondé
Ensemble de cellules toutes identiques entre elles provenant avant la manipulation génétique d’un ovule (normalement fécondé)
Nota Bene : De mooiste voorbeeld voor de actuele wereld staat in het periodiek PLAY BOY, The Brazilian Issue van augustus 2016 in de NL versie. Aan de bladzijde 116 en de volgende, kunnen jullie verwonden 3 meisjes geboren hetzelfde dag van hun enkel moeder zoals iedereen, enkele jaren vooraf het jaar sleutel voor de mensheid 2000 met generale telepathie in de wereld. Door een waarschijnelijk benoemd en discreet “division ovule”(division qui d’une vie cellulaire de source, en divise deux puis en procrée trois : dans notre cas amoureux du Play : une, d’ovule fécondé originel ayant été manipé par la biologie médicale correcte , vie agréable d’une belle modèle châtain {dont génome partiel commun des châtain} et vies agréables de deux belles modèles brunes {dont génome partiel commun des brunes} puis à la conception par l’autre cellule [résumé estimé manipes : originelle scindée une fois, puis sur une des entités biologiques par l’évolution naturelle dirigée en scission une deuxièmes fois ce qui donne trois entités distinctes en vie et quasi équivalentes ] en procrée encore deux ,en étant ?très ?, vite manipé par la biologie médicale correcte. Il en a résulté trois cellules humaines filles d’une base génétique quasi identique associée au papa unique et à la maman unique, à la conception en science moderne)en na de fertilisatie die afkomstig van hun enkel bekend vader, door hen geneesdokter en waarscijnlijk hen biologist
in het geheim van het hospital, is.Dit bestaat hence door een enkel spermatozoïde afkomstig van ongever een milloen in een sperm door een klassieke dagelijkse of weekse ejaculatie van een man met zijn physieke vrouw of van een man door (medische onbekend) discreet biologische relatie met, altijd, vrouw in de wereld, met latere interressante discussie door hetzelfde electro-manetic golven zonder geen electronisch aparaat met iedereen zijn eigen natuur darna.
Pour une explication vers la technique biomédicale de division cellulaire d’une cellule humaine de création d’une vie toujours protégée dans la nature ou presque :
Modèle essayé en science des vies : Nouage central par brin de fil que l’on serre progressivement jusqu’à la miraculeuse scission (avec …fourniture… de tous les atomes dit dupliqués par l’environnement de la cellule fécondée) atomes en deux parties quasi identiques d’ADN et ?autres ?, appelée deux ovules fécondés avec la séparation plus rapide et naturellement correcte des 23 brins de chromosomes puis duplication identique ( ?vu la pression hydrostatique cellulaire interne ?) selon équivalent-segments d’Okasaki
Clonage humain reproducteur interdit à partir de 15 jours
Chapitre XI : Les virus
Objet biologique : virus composition même que les cellules vivantes (acides nucléiques et
Protéines)
Inacceptable de s’auto reproduire car pas de métabolisme propre
Parasite intracellulaire
Caractéristique : ADN et ARN central + capside (enveloppe) faites de protéine(s)
Sans capside : virus nus
Lutte contre les virus : système immunitaire
2 types de transmission du virus :
Cycle lytique : multiplication virale après entrée dans la cellule
Cycle lysogène : phase latente ou tempérée après entrée dans cellule
SIDA : syndrome de l’immunodéficience acquise
VIH : virus immunodéficience humaine (infecte lymphocytes T par CD4 puis T4)
Transmission : -rapports sexuels
-infection sang contaminé
-par voie périnatale
Médicaments AZT, trithérapie
Cas particuliers virus :
Prions : particules infectieuses protéiques agissant comme agent infectieux et
Pouvant causer diverses maladies cerveau (ESB : vaches, Creutzfeldt-Jacob)
viroïde : petites molécules nues d’ARN est un agent important des maladies des
Plantes
Chapitre XII : Approche de toutes les bactéries (procaryotes)
-bactéries symbiotiques : la plupart des bactéries non pathogènes qui jouent en science complète de
Presque tout un rôle capital et/ou existentiel pour la vie
Ex : E. Coli dans la merde animale
-bactéries fixatrices d’azote
Transformation N2 de l’air en NO2-, NO3
-, NH3-
Ex : trèfle, luzerne incapable d’utiliser l’azote moléculaire
-bactéries de recyclage
Décomposition des déchets organiques : plantes et animaux morts
Fermentation organique : dégradation bactérienne des polysaccharides en alcool et CO2
Putréfaction : dégradation bactérienne des protéines et acides nucléiques
-bactéries pathogènes
Provoquent des maladies comme la pneumonie, la peste, la syphilis, etc…
Grandes épidémies passées solutionnées par la biochimie :
Asepsie et antisepsie en médecine (1885)
Sérum (1890)
Antibiotique (Fleming 1929) et sulfamide (1932)
Chapitre XII : Essai sur une cellule eucaryote moyenne
Composants standardisés
-Membrane plasmique :
Bilame de phospholipides et protéines
(Ex : Cholestérol comme stérol)
Échange passif : par phospholipide et canaux protéiniques
Diffusion simple : osmose = égalité de pression de part et d’autres de membrane
Diffusion par transporteur (perméases) : ex. : glucose non intéressant)
Transports actifs : exemple ATP
Endocytose très très rare : transports de grosses molécules au travers de membrane par viscoélasticité de celle-ci
Phagocytose : chez les animaux pour bactéries et débris cellulaires
Par les globules blancs pas assez étudiés
Pinocytose : endocytose liquide
Exocytose : dont et seulement ? par les inconnues en biochimie appelée vacuoles (syst. Lymphatique généralisé)
Microvillosité : prolongement de forme pour le cytosquelette
Glycolalyx : association par liaison covalente pour les protéines
-Protéines
-Cytoplasme
-Lysosomes : « mangeur » de sucres, graisses, etc…
Appelé Hétérophagie
Autophagie (Mange ses propres molécules (maigrir))
-Ribosomes : création des protéines
-Réticulum endoplasmique :
Réticulum REG granulaire : vers protéine standard
Réticulum Lisse REL : lipides, cholestérol, … formés
-Appareil de Golgi
Donne de l’identité (définition d’implantation favorite) aux protéines formées
Mitochondries : respiration d’O2
-Cytosquelette et mobilité cellulaire
Tissulaire
Cellulaire
Intracellulaire
Formé de 3 fibres microtubules, filaments intermédiaires et micro filaments
Centrioles 9 X 3
Cils et flagelles
Dans familles des cellules végétales :
Membrane plasmique + paroi de polysaccharides
Vacuole associée aux cellules végétales
Imprécision généralisée de connaissance précise de vraie biologie botanique recorrélée par observation par microscope systématique et accessible facilement (gratuit) ou de manière très compliquée (coût important d’observation)
Dans familles des cellules animales et végétales
Jonction cellulaire : tissus conjonctif (matrice extracellulaire)
Tissus épithéliaux (tissus de revêtement)
Pour spécialistes et études futures intéressantes
Desmosome
Jonction étanche
Jonction communicantes
Plasmodesme
Remarque générale : catabolisme phase du métabolisme qui comprend la destruction des composés organiques
Anabolisme phase dont métabolique qui comprend la destruction et l’assimilation (croissance) des composés organiques
Chapitre XIII : Complexité approchée de biochimie d’un composant du lait maternel et animal : Lactose
Rappel : enzyme : substance protéinique qui accroit, facilite une réaction chimique (jargon chimie : catalyse)
Enzyme constitutive : toujours présente
Enzyme inductible : modèle correct et complet avec latence
Composition organique du lait : lactose : galactose + glucose
Lactate
Pigment(s) de couleur blanchâtre
? Domaine d’application non connu de moi de ces enzymes : β galactosidase
β galactoside perméase
?β autres (nouveaux nés et jeunes animaux)
?nom d’enzymes humains et animaux du lactose (surtout dans estomacs)
qui digèrent le lait ( ?estomac, ?? intestin ??,…, bactéries)
REMARQUES : non présent dans le sein maternel, dans le pis des animaux comme la vache, et dans l’industrie agro-alimentaire du lait
Lactate produite par le sein maternel dans un muscle strié (à majorité actine ? sans attache fixe) à force appliquée petite et anaérobie
Lactose produit par le sein naturel par une(des) petites unités de réactions biochimiques de régulation et de production
Pigment produit et régulé par le sein naturel par des petites unités de réactions en biochimie répartie complètement en volume
Production et régulation de lait non repris dans ce résumé
1)BO théorique : rien que des bactéries -un gène inhibiteur (i) ?
-un gène promoteur (p) ?
-un site opérateur (o) ?
-3 gènes de structure ? adjacente ?
2)BF théorique : régulation théorique ?impossible ? : gène (TRP) Tryptophaine
3)bactéries et systèmes immunitaires (immuno-défenses)
La sélection remarquée dans les bactéries amène des phénomènes génétiques vrais de mutations
Nb : des souches résistantes de bactéries peuvent exister
4)Equilibre moléculaire :
Pancréas et insuline fabriquée par cet organe (Syst. Digestif partiel)
Muscle composé d’actine et de myosine
Erythrocyte est composée d’hémoglobine (4) du sang
Chapitre XIV : Les grandes voies métaboliques des animaux
Métabolisme = ensemble des réactions biochimiques de l’organisme
Avec énergie = capacité de fournir un travail
Énergie libre = fourniture d’un travail à p = cste et t = cste
Couplage d’énergie : énergie dégagée par réaction
Enzyme -> augm. Vitesse de réaction et/ou dim. Eactivation
Muscles et cœur dans leur plus élémentaire équilibre
Apport O2 local mioglobine
ATP de travail cellulaire : ATP phosphoryle des protéines intermembranaires
ATP phosphoryle des protéines mobiles
ATP phosphoryle des réactions clés
ADP, ATP détail : voir atlas de biochimie pages muscles et biologie cellulaire ATPase
Na+/K+/Cl-
Molécules organiques +O2 -> H2O + CO2+ATP (ADP)
Mitochondries et lysosomes : vers toutes les cellules hors muscles
Respiration cellulaire : oxydation de molécules nutritives en fournissant l’énergie cellulaire
type ATP
5 coenzymes pour respiration : voir Campbell
Autres métabolisme : transport de O2 par hémoglobine, etc…
Chapitre XV : la photosynthèse chlorophyllienne
1) Biologie verte générale :
Organites principales racontées : chloroplaste par thylakoïde, stroma,…
PS : les thylakoïdes se placent latéralement en surface des végétaux ce n’est qu’exceptionnellement que 2 se superposent (jamais 3 ?). Le stroma si présent, est son enveloppe extérieure qui capte le co2 et renvoie l’o2 et le protège ainsi que réalise la biochimie interne de croissance et production. Le maximum d’un chloroplaste effectif est alors d’environ 82 Angstrom. Ces couches identiques peuvent ainsi se superposer et réaliser l’épaisseur latérale d’une feuille vue à l’œil nu
Chloroplaste : organite propre aux cellules eucaryotes et procaryotes autotrophes avec captation
D’énergie solaire qui amènent l’énergie biochimique par photosynthèse
Selon des équations chimiques similaires à 6 CO2 + 12 H2O -> C6H12O6 + 6O2+6H2O
Le chloroplaste comprend 2 membranes ou zones : l’externe ou stroma (lisse interne : conversion de CO2) puis plus en interne le
Thylakoïde siège des molécules de chlorophylle de type dit a (ν = 700 nm) ,
De type b (ν = 680 nm) et autres principalement dans le vert
Fleurs et racines : pas de pigment chlorophyllien
Facteurs importants de la photosynthèse :
-lumière et production d’O2
-Chlorophylles
-Lumière et synthèse d’amidons et associés par des complexes enzymatiques
Un modèle presque général : phase 1 (thylakoïde et associés ?) codé avec NADP+ vers ATP principalement sucre à partir des chlorophylles : monoose et acide gras végétaux comme l’huile palmitique à partir de l’enveloppe du fruit dont stroma, feuille végétale théorique simple avec sa croissance sans ADN pour toute une partie principale
Phase 2 (stroma) comprenant, conversion CO2, transfert O2,… : cycle de Calvin
Cycle C4 par probable très belle symétrie visuelle pour donner le glucose (canne à sucre)
Cycle CAM : assèchement des thylakoïde pour préserver l’eau presque tout le temps (génétique temporelle) au centre de la plante : cactus
Blackman techniques et procédures de limitation par CO2, T°,et ,enzymes
Vers les exceptions animalières et végétales ensemble : Enzymes pyruvates (de statut dangereux et toxique) (source glycolyse)->oxydations pyruvates dans mitochondrie réduite avec respiration : ex : C3H3O3 : cytosol par coenzyme principal NAD+->NADH, nicotinamide
2) Biologie verte approfondie
En faisant un schéma graphique en 3D des molécules de chlorophylles, on remarque que leurs parties centrales en rotation symétrique font comme 2 ciseaux de chacun une molécule d’eau H2O, la captation de l’énergie lumineuse se faisant par la petite chaîne diverse d’atomes et ensuite l’assemblage par la dynamique organisée de la biochimie avec le stroma
Expériences de preuve de Van Niel vers 1930 :
CO2 + 2 H2O* -> [CH2O]+O*2
Probablement dans stroma : CO*2 + 2 H2O -> [CH2O*] +H2O* + O2
3) Essai biologie verte totale
Dans le stroma et par les tylakoïdes formation monoose et suite comme amidon dont acide palmitique (6C) et autres acides gras jusqu’aux phospho- et glico-lipides par et avec acides aminés ADN
Équivalent vie des chlorophylles (reproduction bio-pharmaco-chimie non sexuée (reproduction de molécules symétriques complexes : plusieurs dont 8 parents du règne végétal sont nécessaire pour faire un enfant indépendant), consommation d’énergie lumineuse diverse et centrée sur le vert(par les attaches complémentaires d’électrochimie qui règlent la répartition d’absorption lumineuse),échange biochimique de l’air courant(avec CO2 ),de l’eau indispensable à la vie vers de l’air standard un tout petit peu enrichi en O2 et production de sous-molécule de monoose (C,H2,O) qui sont traitées par la chaîne standard de traitement biochimique)
Molécules standards de chlorophylles (partie centrale) :
Tentatives de formules approchées :
Pour feuilles classiques et planctons : environ 25 atomes centraux de carbone symétriques en double ciseaux vus de l’extérieur, Les liaisons chimiques sont de type benzène et glucose : 8 pentagones à l’extérieur et au centre une rotation de 4 molécules avec un renforcement de cette cohésion, comme glucose, central par un atome présent et non le vide
Essai de chiffrage de l’épaisseur d’une molécule pure de chlorophylle standard : 18 Angstrom
Essai de chiffrage maximum d’épaisseur thylakoïde complet : 2 x 18 = 36 Angstrom (10-10m)
Essai de chiffrage de chloroplaste complet : 50 Angstrom
Sous-essai énergétique :
Φsoleil : 1500 W/m2
Couleur 1 ->6 : total 9 ( 2 Ir et 1 UV)
Φmoy toutes couleurs : 1500 W/m2 / Л ~ 500 W/m2 jour et nuit
Φmoy vert : 500 W/m2 /9 = 55 W/m2
Φminimun total avec croissance : 30 W/m2
Φminimum vert : 30/9 W/m2 [BIOQUANTIQUE physique]
Avec enthalpie correcte en inversée :
6(2H2O + CO2 -> O2 +C H2O + H2O)+17 Mj/kgsucre
Dynamique biochimique appliqué dans toute la biosphère de le terre
440 μgr/m2 de CO2 transformé en O2 avec soleil nominal et nuage
Chapitre XvI : le système respiratoire et ses réalités existentielles
Conditions toujours existantes de réalisation
EAU AIR courant
Concentration en O2 À 0*C : 10 ml/l 0.210ml/l soit ? 0.2 % air
Vitesse de diffusion unité ??? 10-6 1
Masse volumique 1013 gr/l 1.3 gr/l
Viscosité ( inconnu SAE) 50 1
Humidité 100% Estimée à qcq %
Pour les organismes de faible complexité dont les diploblastiques, il existe un rapport Srespiratoire /Vtotale petit qui leur permet leur existence ancestrale et qui va vers eux (cnidase : polype, méduse). Ce rapport mathématique leur permet de vivre et de se développer sans complexité organique. Dans l‘évolution vers la complexité et l’intelligence, il y a ce rapport inverse de la taille qui a du se placer en constante en créant des surfaces respiratoires internes partielles du volume total en créant des sortes de vacuoles internes aux animaux qui connaissaient alors leur poumons ou leurs branchies existentielles. Cela s’est fait, dans le temps et inexorablement dans le temps (endoblaste impossible pour toujours, il me semble, de croissance de cellules souches avec environnement l’eau et la température ambiante). La divine nature a donc imposé.
Cette optimisation d’êtres vivants s’est traduite par la race humaine et ses adjuvants (animaux ; chats, chiens, singes, poissons,…) par - la création de surface respiratoire localisée (poumons après branchies)
- La protection organique d’espace de ces surfaces respiratoires
Dans la réalité, il existe des poissons avec de branchies come organes respiratoire qui est optimisé par le rendement respiratoire que nous étudierons ci-après puis des êtres vivants animaux dans l’air avec des poumons. Ces espèces de poissons et de singes coexistent sans avoir de relations prédateurs-proies d’équilibre qu’impose une limitation de Darwin par la sélection naturelle.
En entrant plus loin vers les organites et leurs fonctionnements dans le même système avec des unités indépendantes proches de Mendeleïev, on arrive à l’hémoglobine sanguine et à la myoglobine musculaire (différence de sexe remarquée) que les spécialistes en biologie correcte doivent étudier et définir les courbes d’équilibre de pression partielle de O2.
Dans le règne animal actuel et complet, il existe en annexe des évolués hommes et poissons ainsi que leurs congénères, les insectes de tailles plus petites et d’origine plus ancienne probable qui ne possèdent pas de système cardiaque et de système respiratoire complet
développé mais qui compensent cela en biologie animale réduite par des systèmes localisés de respiration locale que sont les trachées.
Pour les organismes évolués comme notamment les poumons, il existe des limitations connues des spécialistes que devraient être les cyanures, les dits neurotoxiques, etc…
Chapitre XVII : De l’unicellulaire au pluricellulaire
L’histoire de la biologie presque complète a commencer par des bactéries primitives eucaryotes (consommation O2 ) avec ?peut-être du plancton ou des herbes procaryote(consommation CO2) . Les cyanobactéries (ou algues bleues) font parties des bactéries eucaryotes. A suivi les champignons terrestres puis les plantes, animaux et enfin l’homme (avec la femme et les enfants) pour diriger le tout à tout jamais.
Certains ont déclarés que le phagocyte a été la première cellule eucaryote(ADN et membrane eucaryote).
On dit que l’endosymbiose (respiration et photosynthèse en équilibre) s’est passée par la formation de mitochondries et chloroplastes dans des cellules toujours séparées et distinctes, il faut alors définir les organismes biologiques ou bactéries qui ont été créées séparément. On dit sans expliquer en détail qu’avant une bactérie eucaryote autotrophe, il y a eu une bactérie ?etherdrophe ?. Il y a eu des bactéries ?euglaines ? dans l’eau croupie et des paramécies dans l’eau claire .
On définit les premiers protistes (procaryotes) :
-protozoaires : hétérotrophes sans air : Ex. Stentor
-Mycetozoaires : hétérotrophe sans air
-Algues : hétérotrophes avec air
On définit une évolution inéluctable vers la complexité par l’augmentation de la taille. Sans trop définir, on dit les infusoires (sortes de bactéries), les myxomycètes (champignons) puis des pluricellulaires (jusqu’aux animaux).
Il est définit dans l’histoire d’abord les bactéries, puis les archéobactéries et ensuite les eucaryotes complets.
Il existerait mais cela reste à prouver qu’il y a eu des unicellulaires vivants dans le sol (observable dans les grottes sans doute) appelés acrasiales qui ont sporulés et créé les premiers champignons (multicellulaires).
Par laboratoire, mais je ne l’aime pas en revue, on réalise des procédures de nutriments ségrégués et organisés on a des amibes soumises puis grex, puis sporange qui font spores (autres amibes) en se suicidant ce qui est interdit.
La plupart (hors plantes courantes sans graines) des cellules sont d’abord des mycètes(champignons) puis des végétaux(plantes complètes avec graines dont ADN) et ensuite des animaux(avec ADN).
Dans la complexité croissante et l’évolution des cellules y compris l’ADN estimé car couteux à faire, on a des éponges (reproduction monoblastique ?), puis des cnidases (reproduction diploblastique) par les éponges et les polypes et enfin la quasi-totalité des animaux sont dits triploblastiques. L’évolution et l’analyse de l’ADN avec son évolution définit pour les diploblastiques l’ectoderme et l’endoderme que l’on peut observer en laboratoire et qui sont
des systèmes primitifs. L’évolution et l’analyse de l’ADN avec son évolution définit pour tous les animaux qui sont triploblastiques l’ectoderme (système nerveux et épiderme), puis le mésoderme (autres systèmes évolués) puis l’endoderme (système digestif et respiratoire).
Pour l’observation globale d’animaux complets en laboratoire, on définit les 3 axes de la vision possible qui donnent des plans de vue de l’animal complet : plan sagittal, plan frontal et plan transversal qui sont connus seulement des spécialistes.
Chapitre XVIII : Reproduction et développement embryonnaire
Pour les organismes monocellulaires (ex. paramécie) jusqu’au pluricellulaires(dont tous les animaux)
On décide pour toutes les plantes et tous les animaux de définir les types de cycle d’évolution donc de reproduction (par développement embryonnaire pour les animaux) :
-(haplophasique) pour les unicellulaires
-haplodiplophasique pour les plantes
-(dipophasique) : essai peu chanceux pour tous les animaux
Définition existentielle considérée comme plus probable mais jamais mesurée précisément
Vu l’impossibilité matérielle actuelle de mesure de dynamique biochimique des cellules élémentaires qui composent les spermatozoïdes et les ovules
Male Femelle
Spermatogonie ? ovogonie ? : essai de mitose
Spermatocytes ? ovocytes ? :essai de meiose
Spermatozoïdes globule polaire ? ovules : réalité mesurée en laboratoire
Spermatogenèse dans les testicules de la plus probable création et multiplication de cellules souches(inconnu des laboratoires) jusqu’aux spermatozoïdes complets étudiés en détail jusqu’à l’ADN en laboratoire
Ovogenèse dans les ovaires de la plus probable création de cellules souches(limitées en nombre pour le femme) (approché par la médecine) jusqu’aux ovules (400 au total par femme pour toute sa vie). On définit par la biologie interne à l’ovule le vitellus qui est sa réserve de nourriture qui est observée en laboratoire
La fécondation s’effectue par rapprochement physique puis union de spermatozoïde(s) et de l’ovule considéré
Observation en laboratoire d’un exemple d’embryogenèse de grenouille avec comme résultat visible de l’extérieur une illusion de partie animale(complexité de la dynamique de la biochimie) et une réalité probable de la partie végétative dite vitellus.
On définit la croissance de l’œuf fécondé par blastomères, blastula(plusieurs milliers de blastomère presque tous différents) puis gastrulation (Important 3 feuillets(endoblaste, mésoblaste puis endoblaste))
Endoblaste avec epiblaste (syst.par la peau)
Neuroblaste (syst.nerveux)
Cordo-mésoblaste avec corde (syst.osseux)
Autres systèmes
Endoblaste syst.respiratoire
Syst.digestif
Réalités embryonnaires de toutes les espèces animales
Vertébrés anamniotes (poissons) : pas besoin d’amnios (sac liquide)
A la gastrulation il y a création d’un sac vitellin (réserve nourriture des embryons)
Vertébrés amniotes (oiseaux) amnios réserve d’eau en embryon
Sac vitellin constaté en embryon
Séreuse avec vitellin en embryon
Allantoïde en embryon
Vertébrés type mammifères
On observe successivement nidation puis gastrulation
Cavité amniotique
Sac vitellin(vide) avec allantoïde->cordon ombilical
Chorion ou séreuse
Techniques de biologie en embryologie expérimentale
Séparation, recombinaison des blastomères : observation
Greffes et transplantation de fragments d’embryon : dangereuxculture « in vivo » de matériel embryonnaire : étude de cas isolé
Analyses biologiques, biochimiques et génétiques : observation
…..
Jusqu’à cellules souches et leur souvent illusoire croissance escomptée
Chapitre XIX : Espèces , Evolution, histoire et classification : recueil de définitions littéraires en biologie
HISTOIRE
Fixisme : Cuvier : anatomie comparée des vertébrés et paléontologie stratigraphique
1er évolutionniste : Lanmarck : Evolution vue par une tendance vers une complexité plus grande
Usage (développement, renforcement) et non-usage (vers atrophie)
Hérédité des caractères acquis
Taxinomie : Linne : nommer et classifier les formes vivantes
Hutton et Lyell : géologue d’évolution
Malthus : sociologue économique : augmentation de population homme et femmes implique danger
Darwin : naturaliste : évolution et sélection naturelle
….
CLASSIFICATION DES ETRES VIVANTS
Taxon : groupe comprenant même individu(genre, classe,…)
Mécanisme : on se base sur le présent mais aussi sur les fossiles
Préadaptation : structure avec différentes fonctions qui évolue vers des nouvelles fonctions
Glissement naturel : évolutions organiques
Croissance allostérique : différentes parties du corps au rythme de croissance différentes
Taxinomie : science de la loi de classification par reconnaître, nommer et classer les diversités en faisant une hiérarchisation des êtres vivants
Phylogénie : étude du développement animal ou végétal au cours de l’évolution
Arbre phylogénique : voir cours
Méthode de classification
Cladistique : basée évolution des lignes d’ascendance des espèces
Phénétique : critère phénotype des organismes
Évolutionniste : base spéciation et évolution des espèces
Vers biologie moléculaire : jusqu’à comparaison des protéines et de l’ADN
ESPECES D’ANIMAUX
Résumé littéraire trop limitatif
Déf morphologique : accent sur la notion de ressemblance
Déf biologique : ensemble des individus capable d’engendrer par procréation sexuée une descendance fœtale
Début de la complexe classification des espèces
Lime : regrouper
Cuvier : jusqu’aux fossiles
Isolement reproductif : voir cours
Barrière de reproduction (jusqu’à biologie moléculaire) appelé postzygotique
Viabilité réduite des hybrides
Fécondité des hybrides
Déchéance des hybrides
Spéciation intéressante:
Anagenèse : complexité vers une nouvelle espèce
Cladogénèse : ( ?eugénisme ?) évolution divergente d’une petite population
Autre mode de spéciation ( ?eugénisme ?)
->allopatrique suite à isolement géographique ou imaginaire progressive
->sympathique par génétique
Par sauts prévus et réalisés intelligeament en science biologie complète
EVOLUTION PASSEE ET ACTUELLE
Théorie passée de macroévolution : apparition de nouvelles espèces (Darwin)
Jusqu’à la paléontologie : explication fossiles, explication os longs sans stries(->dinosaures disparus), cheval et son évolution estimée des sabots venant en histoire d’une patte à 3 doigts
RESUME EVOLUTION ANIMALE :
POISSON -> AMPHIBIEN -> REPTILE -> MAMIFERE
Ressemblance entre espèces par des parties d’organes (homologue ou analogue) :
Bras homme, patte chat et cheval, nageoire baleine, aile chauve souris
Organes vestigiaux (ne sert plus à rien donc venant de son histoire d’espèce) :
Os du bassin pour baleine
Homme et femme : appendice, coccyx et muscle de l’oreille
Etude du développement embryonnaire surtout par homologie pour spécialistes en biologie
Etude provenant de variation de géographie : IL existe le goéland cagoulé et le goéland noir