08/10/201008/10/2010SAIO

13 576 14 795

7 0266 446

1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009

BEG

BTn

20 602 21 241TOTAL

Évolution en 10 ans des effectifs de bacheliers : part des BEG et des Btn

ADES 1999 à 2009 - académie de Grenoble

La population totale de bacheliers a progressé de 3 %, celle des bacheliers généraux de 9 %, tandis que celle des bacheliers technologiques diminuaient de 8 %, ce qui constitue un renversement de tendance par rapport à la décennie précédente, qui avait vu les séries technologiques progresser de39 % (entre 1989 et 1999).

Évolution en 10 ans des effectifs de bacheliers généraux

ADES 1999 à 2009 - académie de Grenoble

La population totale de bacheliers généraux a progressé de 9 %, celle des S de 12 %, celle des ES de 29 %, tandis que celle des L diminuaient de 25 %.

2 2332 972

3 860 4 986

6 744

7 576

1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009

L

S

ES

13 576 TOTAL14 795

Ensemble des bacheliersUn arrêt du déclin de la filière universitaire ?

7,1 4,9

6,7

10,6

20,3

13,8

36,7

En %

Université (hors IUT)

STS (+ DCG)

IUT

CPGE + EI

Arrêt

Autres écoles

FC

ADES 2009 - académie de Grenoble

On observe un timide renversement de tendance, avec une très légère remontée de la filière universitaire longue par rapport à 2007 (de 36,2 à 36,7 %). Mais ce frémissement à la hausse est essentiellement imputable aux bacheliers technologiques. Et on est loin des 52 % enregistrés 15 ans plus tôt (en 1994 ) !

Bacheliers technologiquesUne hausse des poursuites à l’université

 

ADES 2009 - académie de Grenoble

13,8 1,6

5,4

7,5

12,212,1

47,3

En %

Université (hors IUT)

STS (+ DCG)

IUT

CPGE + EIArrêt

Autres écoles

FC

Pour la première fois depuis de nombreuses années, les poursuites d'études universitaires longues des bacheliers technologiques opèrent un revirement à la hausse (+ 1,5 point par rapport à 2007), alors que leur taux de

poursuite en IUT ne progresse que timidement (+ 0,8 point). 

Bacheliers générauxUn ralentissement du déclin des poursuites d'études universitaires longues

 

 

ADES 2009 - académie de Grenoble

Le déclin des poursuites d’études longues universitaires semble freiné. En 2 ans, le taux de poursuite dans cette filière n'a perdu que 0,6 point, alors qu‘il en avait perdu près de 10 dans les huit années précédentes. En revanche, la filière IUT apparaît en progression sensible depuis 2007 (+ 1,2 point).  

4,3 3,8

7,2

8,9

14,4

14,3

47,0

En %

Université (hors IUT)

STS (+ DCG)

IUT

CPGE + EI

Arrêt

Autres écoles

FC

7,3

7,87,5

7,17,06,46,6

5,96,4

6,06,3

7,0

7,87,5

6,86,5

7,2

9,1

6,6

7,9

8,6

7,7

1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009

taux d'arrêt d'études

En %

taux de chômage *

Evolution comparée du taux d’arrêt d’études et du taux de chômage

 

 

* Taux de chômage en Rhône-Alpes au 3ème trimestre de chaque année, INSEE  ADES 1999 à 2009 - académie de Grenoble

Le taux d’arrêt d’études suit une courbe quasiment inverse de celle du taux de chômage : quand le chômage baisse, les bacheliers ont tendance à arrêter leurs études, quand il monte, à les poursuivre.En dépit de ces fluctuations conjoncturelles, la tendance est à la hausse du taux d’arrêt des études sur les 10 années d’observation (voir courbe de tendance linéaire).

Evolution comparée du taux d’alternance et du taux de chômage

 

 

* Taux de chômage en Rhône-Alpes au 3ème trimestre de chaque année, INSEE  ADES 1999 à 2009 - académie de Grenoble

4,0

5,6

4,44,54,3

3,0

9,1

6,5

7,5

8,6

7,0

7,9

2,0

10,0

1999 2001 2003 2005 2007 2009

En %

alternance

chômage *

Le taux d’alternance est lui aussi inversement lié au du taux de chômage : quand le chômage baisse, l’alternance progresse, quand il monte, l’alternance recule, même si elle suit depuis dix ans une courbe plutôt ascendante (voir courbe de tendance linéaire).Cette ascension ne suffit cependant pas à compenser la baisse des études à temps plein, ce qui explique au total un taux de poursuite d’études en baisse sur la période d’observation.

8,6

7,0

7,9

7,5

6,5

9,1

8,3

9,4

7,6

8,0

6,7

6,4

1999 2001 2003 2005 2007 2009

PH/C

chômage *

En %

Evolution comparée du taux de chômage * et de la part du "privé hors contrat" dans les

inscriptions en STS à temps plein

* Taux de chômage en Rhône-Alpes au 3ème trimestre de chaque année, INSEE  ADES 1999 à 2009 - académie de Grenoble

La part du « privé hors contrat » est elle aussi inversement lié au du taux de chômage * : quand le chômage baisse, cette part augmente, quand il monte, elle recule, même si elle suit depuis dix ans une courbe plutôt ascendante (voir courbe de tendance linéaire).

8,3

8,9

9,5

10,5

12,3

11,6

9,1

6,5

7,57,9

7,0

8,6

1999 2001 2003 2005 2007 2009

écoles spécialisées *

En %

chômage **

Evolution comparée du taux de poursuite d'études en écoles spécialisées * et du taux

de chômage **

* Taux de chômage en Rhône-Alpes au 3ème trimestre de chaque année, INSEE   ADES 1999 à 2009 - académie de Grenoble

* écoles des secteurs paramédical et social (y compris années préparatoires), commercial, artistique, communication... et FCIL ou autres formations complémentaires d'un an

N.B. : les écoles spécialisées relèvent dans 69 % des cas du « privé » et dans 38 % des cas du seul « hors contrat ».

1,7 1,62,3

-10,1

3,4

0,91,4

0,3 0,3

-7,0

3,01,9

-12,0

-10,0

-8,0

-6,0

-4,0

-2,0

0,0

2,0

4,0

6,0

STS IUT CPGE/EI UNIV AUTRES ARRET

BEG

BTn

Evolution 1999-2009 des taux de poursuite d’études dans les différentes filières (en

nombre de points)Comparaison bacheliers généraux / bacheliers

technologiques

ADES 1999 à 2009 - académie de Grenoble

Lire ainsi : de 1999 à 2009, le taux de poursuite d’études en STS des bacheliers généraux a augmenté de + 1,7 point (il est passé de 7,2 à 8,9 %), contre une augmentation de + 1,4 point chez les bacheliers technologiques (de 45,9 à 47,3 %).

IUTSTS

Evolution 1999-2009 des effectifs de BEG et Btnentrant en STS et IUT (base 100 en 1999)

ADES 1999 à 2009 - académie de Grenoble

136

100

95

1999 2009

BTn

BEG

Base 100 en 1999

100

95

124

1999 2009

BTn

BEG

Base 100 en 1999

Lire ainsi : pour 100 bacheliers généraux poursuivant leurs études en STS en 1999, il y en a 136 en 2009, contre 95 pour les bacheliers technologiques

Lire ainsi : pour 100 bacheliers généraux poursuivant leurs études en IUT en 1999, il y en a 124 en 2009, contre 95 pour les bacheliers technologiques

80,3

67,7

14,3 24,0

5,4 8,3

0%

100%

1995 1998 2002 2005 2007 2009

GRENOBLE

LYON

Autres académies

Évolution en 14 ans de la mobilité inter-académique

(sans poursuites d'études en alternance ni poursuites d'études à l’étranger)

ADES 1995 à 2009 - académie de Grenoble

NB : les poursuites d’études à l’étranger n’ont été mesurées qu’à partir d’ADES 2001 ; en 2009, 2,4 % des bacheliers de l’académie poursuivant des études le font à l’étranger (contre 1,0 % huit ans auparavant).

85 % des bacheliers ardéchois poursuivant des études quittent leur département. Cette mobilité est à peu près stable depuis 2005.Même dans la filière STS, présente dans leur département, les ardéchois affichent une forte mobilité : 62 % (contre 38 % de moyenne académique *).62 % des bacheliers drômois poursuivant des études quittent leur département. Cette mobilité est en hausse depuis 2005 (56 %).Même dans la filière universitaire longue, présente dans leur département, les drômois affichent une forte mobilité : 69 % (contre 34 % chez les isérois et 59 % chez les savoyards).

Mobilité des ardéchois et des

drômois

* proportion, tous départements d’origine confondus, de bacheliers qui quittent leur département, suivant la filière de poursuite d’études

Mobilité des isérois37 % des

bacheliers isérois poursuivant des études quittent leur département. Cette mobilité est en hausse depuis 2005 (32 %).Quelle que soit la filière, les isérois affichent une mobilité inférieure (STS, écoles spécialisées) ou très inférieure (IUT, CPGE/EI et surtout filière longue universitaire) à la moyenne académique.

Mobilité des savoyards et

haut-savoyards62 % des bacheliers savoyards poursuivant des études quittent leur département. Cette mobilité est en hausse depuis 2005 (56 %).Les savoyards sont notamment très mobiles pour la filière CPGE/EI (85 % contre 62 % de moyenne académique).61 % des bacheliers haut-savoyards poursuivant des études quittent leur département. Cette mobilité est à peu près stable depuis 2005.Les haut-savoyards sont les bacheliers de l’académie qui sortent le moins fréquemment de leur département pour une entrée en STS (30 % contre une moyenne académique de 38 %) et en IUT (31 % contre 47 %).