1 - Le Champ Subquantique Generalité

7/23/2019 1 - Le Champ Subquantique Generalit

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LE CHAMP SUBQUANTIQUE

GENERALITES

Les sciences dites exactes voluent en fonction des rsultats de lexprimentation et jamais

nous ne pouvons avoir la certitude de possder la bonne conception du phnomne. Prenons

pour seul exemple celui de la lumire. Newton la prsente comme une mission de

particules. Huyhens! balayant cette conception! la proclame comme une propaation

dondes. "axwell! dtruisant # son tour cette assertion! la rattache aux ondes

lectromanti$ues. %t aujourdhui nous admettons $uil peut sair dun aspect ondulatoire

du phnomne li # lmission dnerie ou photons! selon la thorie des $uantas. &uen sera

t'il demain(

LES ENIGMES

)e rcentes exprimentations de physi$ue nous offrent des nimes dconcertantes. )ans

lexprience de la double fente! bien connue des physiciens modernes! un photon passe en

m*me temps # travers deux orifices. )ans celle des faisceaux spars les photons mis sont

des corpuscules et ils interfrent comme des ondes. Ni le temps! ni lespace ne semblent avoir

daction contrainante sur leffet dinterfrence. Nous sommes dans lobliation de dire $ue

les photons empruntent plusieurs trajectoires # la fois ou bien $ue cha$ue photon sait ce $ue

font les autres! $uelle $ue soit la distance $ui les spare lors de leur mission. +l semble alors

$ue! soit dans le temps! soit dans lespace! des vnements loins sont interconnects et ces

connexions sont $uasi instantanes. %lles vont au'del# de ce $ui est permis par la thorie de la

relativit.

,lors! $uelle sera la prochaine tape de notre conception $ui nous permettra de pntrer plus

avant dans les secrets de lunivers et de concevoir des moyens technoloi$ues nouveaux

dune ampleur insoup-onne(

es expriences rcentes! mais aussi les travaux de certains chercheurs dont nous allons

parler! nous prouvent $uil va falloir revenir sur la conception actuelle dun espace vide et

reconna/tre une erreur commise pendant plus d0un sicle.

1n certain nombre de physiciens reconnaissent lerreur d %instein $ui affirmait $ue lther

nexistait pas et $ue la ravitation tait une cons$uence des courbures de lespace.

+ls reconnaissent en effet lvidente contradiction $ue le nant puisse avoir des courbures! car

cette affirmation! si elle satisfait un mathmaticien dans labstrait! peut difficilement satisfaire

un physicien. )e plus! $uand nous posons la $uestion de savoir pour$uoi la matire dforme

les odsi$ues de lespace temps! personne ne rpond. Nous sommes alors en droit de nous

poser la $uestion de savoir si ce nest pas le milieu contenu dans cet espace $ui est dform.

L'EXPERIENCE DE MICHELSON ET MORLEY

La $uestion tant pose! nous allons essayer de comprendre comment les physiciens de la fin

du 23 me sicle taient venus # concevoir un espace vide.


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, la fin du sicle dernier! ils essayaient de dmontrer lexistence de lther! support! selon

eux! des ondes lectromanti$ues. +ls pensaient $uil devait exister un courant au niveau de

la surface de la terre! provo$u par le mouvement de celle'ci autour du soleil. )e m*me $uun

naeur se trouve ralenti $uand il remonte le courant dune rivire et acclr $uand il le

descend! de m*me la vitesse de la lumire devait *tre acclre dans le sens du vent dther et

diminue dans lautre sens.

Le montae dopti$ue ralis par les physiciens "ichelson et "orley! $ui donnrent leurs

noms # lexprience! permettait de calculer les vitesses de la lumire dans le sens de

dplacement de la terre et de son oppos. +l fut prouv! de manire irrfutable! $ue la vitesse

tait strictement identi$ue dans les deux sens et les physiciens de lpo$ue conclurent $ue

lther nexistait pas.

%t cest l# lerreur fondamentale! car cette exprience ne prouve pas la non'existence de

lther. )eux hypothses auraient dues *tre mises 4

2' 5u lther nexiste pas.

6' 5u lther existe! mais nest pas entra/n au niveau du sol par le mouvement de la terre

autour du soleil. %n dautres termes! la terre orbite autour du soleil et l0ther aussi.

Lexprience de "ichelson et "orley est donc impuissante # prouver l0existence ou

l0inexistence d0un ther...Tout ce qu'elle peret !e prou"er# c'e$t $% ou% ou &o& l Terre $e

!(plce pr rpport ) cet (t*er+

+l est vraiment incroyable $ue les physiciens de lpo$ue naient pas pens # ce $ui relve du

simple bon sens et conclurent $ue sil ny avait pas de vent dther! il ny avait pas dther

non plus.

Pour les comprendre! il faut savoir $u# lpo$ue les thories d0%instein anaient un trs fort

appui auprs des milieux scientifi$ues! r#ce # des observations clestes $ui concordaient de

prs avec les valeurs $u0%istein avait prvues. Les physiciens de l0po$ue se sont alors cru

devoir rallier ses thses. %instein affirma en effet $ue lespace tait vide pour asseoir sa

thorie! alors $uelle eut aussi t valable s0il lavait appli$ue # un milieu dont nous

rvlerons plus loin les caractristi$ues. ,u lieu de dire $ue la matire courbait lespace

temps! il lui suffisait de dire $ue la matire modifiait la pression du milieu et $ue les lines

isobares de celui'ci! habituellement rectilines! se courbaient par la prsence de la matire.

Nous verrons dans notre expos sur l0oriine de la force de ravitation $u0il y a identit entrele rayon de courbure de l0espace temps et l0inverse du radient de la pression du champ et $u0il

n0y a pas d0opposition entre l0existence d0un tel champ et les thories de la relativit.

)ans une bioraphie crite $uel$ue temps avant sa mort! %instein admit dailleurs $u0il y avait

une erreur fondamentale dans sa 7elativit 4 il s0aissait pour lui d0une erreur $ui! une fois

corrie! expli$uerait comment la lumire! une forme ondulatoire vidente! pouvait se

propaer # travers un espace apparemment non'inertiel. "ais jamais il ne soup-onna $uil

puisse exister un champ sub$uanti$ue! $ue les rcentes expriences de physi$ue permettent

aujourdhui dapprhender.

REPONSE AUX ENIGMES


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omment une simple particule ou rain de lumire pourrait'il passer par deux fentes en m*me

temps! si ce rain de lumire ntait aussi une onde se propaeant dans un milieu. )e m*me

dans lexprience des particules jumelles! si ces particules taient de simples rains se

propaeant dans le vide! comment la particule pourrait'elle *tre informe des mesures

effectues sur sa jumelle. Par contre! si nous avons affaire # des rains $ui se dplacent dans

un champ sub$uanti$ue! les ondes latrales produites par le dplacement du rain dans lechamp mettent les deux particules en relation et une modification apporte sur une particule

sera per-u par lautre! r#ce # linteraction des ondes latrales.

"aintenant $ue nous percevons la possibilit d0existence d0un milieu cosmi$ue ou champ

sub$uanti$ue! nous allons aborder la passionnante $uestion de la structure m*me de ce milieu.

Pour cela! nous ferons rfrence aux travaux de deux chercheurs dont lun est fran-ais et

lautre amricain.

LE PRO,ESSEUR PAGES

8e citerai $uel$ues passaes crits par le professeur "arcel Pas! dans la revue toute

officielle dastronauti$ue fran-aise! en juin 239:.

Le problme de la suppression de la pesanteur et de l0inertie fait l0objet! nous dit Pas! de

recherches dans $uel$ues rares laboratoires appartenant # des pays volus.

;outefois les rsultats thori$ues et prati$ues tant tenus ultra'secrets! il est difficile d0exposer

d0autres conceptions $ue celles $ue j0exprime depuis plus de dix ans! aussi bien en %urope

$u0aux 1 m0ayant confirm leur accord confidentiellement.

)irac! )e ?rolie! ?ohm! @iier! AartBef! Aieiner! Cexier! ?ourbon et plus d0un autre

admettent aujourd0hui la ncessit d0un retour # $uel$ue substratum peuplant l0espace.

80avais moi'm*me en 23D3! au onrs +nternational des fuses # Paris et plus tard #

l0occasion de ma campane de diffusion aux 1


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Le calcul des caractristi$ues de ces lments a t fait en partant de diverses donnes

thori$ues! et la surprise a t rande d0arriver # des rsultats trs sensiblement identi$ues.

)e ?rolie! ?ohm et @iier ont donn! en partant de l0nerie rsiduelle au Bro Aelvin! la

valeur de 2E puissance 6: 8oules au centimtre cubeF

Personnellement j0avais antrieurement annonc cette valeur en dterminant la pression

ncessaire pour maintenir la stabilit de l0lectron et du proton.

;raduite en units de masse cette valeur de l0nerie donne 4 dix millions de tonnes'masse au

centimtre cubeF

,insi donc l0espace vide d0%instein se voit actuellement attribu une densit massi$ue

fantasti$uement leve! et il est intressant de la comparer # celle des particules lmentaires!

$ui sont respectivement pour l0lectron de GE EEE tonnes et pour le proton de 6DE EEE EEE de

tonnes.

Nous constatons immdiatement $ue la densit de l0lectron tant infrieure # celle de l0espace

nerti$ue ravitationnel! cette particule se prsente comme un trou dans l0nerie! alors $ue

le proton en est une condensation.

es donnes de base tant exprimes! on voit poindre # l0horiBon l0aurore du sicle de

l0antiravit et de la vritable astronauti$ue.

%n effet! si nous admettons la similitude d0une atmosphre arienne et d0un substratum

nerti$ue ravitationnel! il est loi$ue de penser $ue l0antiravit dans le champ cosmi$ue

doit accepter des solutions trs voisines! de celles $ui ont donn # l0homme la possibilit de

s0lever dans le champ arien.

La premire! tant bien entendu l0oeuvre de "ontolfier! consistait # crer un effet anti'

pondral archimdien en diminuant soit par le feu soit par la spcificit m*me de aB plus

lers $ue l0air la densit d0un milieu! celle plus leve de l0atmosphre arienne amenant un

dplacement ascensionnel.

&ue nous faudra't'il faire # priori pour obtenir ces m*mes effets mais dans un milieu

autrement dimensionn $ue l0air prs de la terre(

+l suffira de diminuer la densit locale de l0nerie et de trouver les lments matrielspermettant de crer une liaison mcani$ue supportant l0effet archimdien rsultant dans cette

nerie.

Nous arr*terons l# les citations du professeur Pas. +l a surtout tudi la possibilit de

supprimer la pesanteur par un effet comparable # la pousse darchimde et dposa un brevet

oI il traite de cette $uestion. "ais! de m*me $u0il est prfrable de se dplacer dans un avion #

raction $ue dans un aronef! de m*me est'il prfrable d0tudier lapproche du problme faite

par un autre chercheur 4 ;owsend ?rown.

TO-SEND BRO-N


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?rown na$uit aux %tats'1nis en 23ED. +l se passionna de bonne heure pour les voyaes

spatiaux. Le monde vivait alors les exploits de Louis ?lriot et des frres Criht. )s l0Je de

29 ans ?rown fit une dcouverte fondamentale. Kascin par le tube # rayons ! le$uel fut

dcouvert en 232G par oolide et 7oenten! le jeune chercheur eut l0ide de monter son tube

en $uilibre instable et de lui appli$uer de fortes tensions lectri$ues Mde l0ordre de 2E EEE

volts. Le tube eut un ler sursaut! un peu comme s0il essayait de dcoller. ?rown venait detrouver le principe fondamental au$uel il allait consacrer son existence.

ette dcouverte ne fut homoloue $u0en 236G! lors$ue ?rown rencontra le Professeur

?iefeld! ancien condisciple d0%instein en


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)-u! et on le serait # moins! ;.;. ?rown reana les 1.


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La nature native des particules du champ permettent aussi! comme nous le verrons dans les

autres chapitres! d0expli$uer les rsultats de l0exprience de "ichelson et "orley! et de fournir

une explication tout # fait plausible # la force de ravitation.

EXPERIENCES

Les hypothses $ue nous formulons devraient redonner toute leur importance aux expriences

de ;. ?rown. Les expriences $ue nous proposons plus loin doivent apporter la preuve de

l0interaction d0un champ lectri$ue et du champ sub$uanti$ue! de l0existence de ce champ et de

ses caractristi$ues. %lles sont simples # raliser et peuvent ouvrir la voie # des applications

prati$ues de rande importance! non seulement dans le domaine du dplacement! mais aussi

dans celui de l0nerie.

Nou$ %&"%to&$ !o&c tout c*erc*eur qu% !%$po$er%e&t !e$ o/e&$ &(ce$$%re$ ) cette

e0p(r%e&tt%o !e proc(!er ) celle1c% et !e 2%re prt ) l cou&ut( $c%e&t%2%que !e$

r($ultt$ o3te&u$ ou# $elo& le$ !(cou"erte$ e22ectu(e$# !e !(po$er le$ 3re"et$

corre$po&!&t$.

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