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LES CRITERES MORPHOLOGIQUESUN ESCLAVAGISME FATALITAIRE???
2
EVALUATION DE L’ETAT CORPOREL
La composition corporelle de l’homme
Les méthodes de mesures
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LA COMPOSITION CORPORELLEDE L’HOMME
Le poids c'est l'addition de la Masse Grasse
et de la Masse Maigre
P = MG + MMP = MG + MM
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LA MASSE GRASSE
La masse grasse est constituée de lipides
Représentant en moyenne
- 15% du poids du corps chez l'homme
- 23% du poids du corps chez la femme
La densité des lipides est de 900 grs par litre
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LA MASSE MAIGRE
La masse maigre est constituée d'un ensemble complexe, représentant 80% du poids du corps
Environ 60% d'eau
- 25% d'eau extra-cellulaire
- 37% d'eau intra-cellulaire
16% de protéines
6% de minéraux
La densité de la masse maigre est de 1100 grs par litre
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LES COMPARTIMENTSCORPORELS
Eau extra-cellulaire
Eau intra-cellulaire
Protéines
Minéraux
Graisse
Masse grasse
Masse maigre
25 %
37 %
16 %
6 %
10 à 30 %
100
90
80
70
60
50
40
30
20
10
0
Les glucides ne figurent pas.; La quantité de glycogène hépatique et musculaire n’est que de 300 à 600 grammes : 1 % de la masse corporelle.
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EXEMPLE D’UN HOMME DE 70 KG
Poids = Masse grasse + Masse maigre
Masse grasseEau Extra cellulaireEau intra cellulaireMinérauxProtéinesPoids
10 Kg22 litres26 litres4 Kg8 Kg70 Kg
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LES METHODES DE MESURESCLASSIQUES
Indice de Quetelet
Rapport circonférence Taille/Hanche
Les plis cutanés
10
INDICE DE QUETELET
La masse grasse d'un individu se mesurede plusieurs manières
Le plus simple est d'utiliser l'indice de Quetelet
Indice de masse corporelle : IMC Ou Body Mass Index : BMI
Poids en Kg
Taille2 en métreBMI =
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INDICE DE QUETELET Suite
L'indice théorique est dit normal entre les valeurs18 et 25
Cette fourchette doit être sensiblement modifiée
- En fonction de l'age (augmente après 20 ans)
- En fonction du sexe (18-22 pour les femmes, 20-25 pour les hommes)
Exemple d'une femme de 20 ans de 1,63 m
- 18 2,66= 48 Kg
- 22 2,66= 58,5 Kg
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INDICE DE QUETELET Suite
MAIS
IMC ne reflète pas la distribution corporelle du tissu adipeux
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RAPPORT CIRCONFERENCETAILLE/HANCHE
INDEX SIMPLE(1980 équipe Suédoise)C’est un bon marqueur de la répartition abdominale des graisses
Tour de taille : circonférence minimale du tronc
Tour de hanche : circonférence maximale à la hauteur
des fesses
Normal :
Tour de taille
Tour de hanche≤ 1
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RAPPORT CIRCONFERENCETAILLE/HANCHE
Obésité Androïde:
T/H Supérieur à O,95 pour les hommes
T/H Supérieur à 0,85 pour les femmes
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LE PERIMETRE ABDOMINAL
Reflète bien l’importance du tissu adipeux adipeux
viscéral
Mesure simple un simple centimètre placé mi-
distance entre la dernière côte et la crête iliaque
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LE PERIMETRE ABDOMINAL
Seuils initialement retenu 102 cm pour l’homme
88 cm pour la femme
Depuis avril 2005 le risque cardio vasculaire devient considérable si supérieur à 94 cm homme et 80 cm femme
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LES PLIS CUTANES
Mesure de l’épaisseur cutanée avec un compas spécial
- Type Harpenden
On utilise en général
- Le pli bicipital
- Le pli tricipital
- Le pli sous scapulaire
- Le pli supra iliaque
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LES METHODES DE MESURESRECENTES
Impédancemétrie
La résonance magnétique nucléaire
Tomodensitométrie ou scanner
Absorption biphotonique(Dexa)
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RESULTATS
En fonction du sexe
- Chez la femme la masse grasse est beaucoup plus développée que chz l’homme
• 15 % chez l’homme• 23% chez la femme
Chez le sportif
- Masse maigre très développée
- Masse grasse beaucoup plus faible
20
RESULTATS
Chez l’enfant et l’adolescent
- La masse maigre et la masse grasse croit régulièrement jusqu’à 20 ans
- La masse maigre croit de façon identique chez le garçon et chez la fille jusqu’à la puberté puis plus rapidement chez le garçon
- Le poids maigre est maximum à 20 ans
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VARIATION DE LA CORPULENCE AU COURS DE LA VIE
Le pourcentage de masse grasse augmente de manière inéxorable après l'âge de 20 ans :
3,6% par an chez la femme
2,4% par an chez l'homme
La masse maigre suit l'évolution inverse
L'eau corporelle diminue avec l'âge
- De manière très importante après 60 ans
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VARIATION DE LA CORPULENCE AU COURS DE LA VIE (P/T2)
1 an 6 ans 20 ans
Trois phases :Augmentation de la corpulence jusqu’à 1 ansDiminution jusqu’à 6 ansNouvelle augmentation
10
50
23
CONCLUSIONS
Tranche d’âge (ans) Tranche d’âge (ans)
20 21-30 31-40 41-50 >50 20 21-30 31-40 41-50 >6051-60
Hom
me %
de m
asse g
rasse
Fem
me %
de m
asse g
rasse
0
10
20
30
10
20
30
40
25
LA DEPENSE ENERGETIQUE
La dépense énergétique de l'organisme dépend de trois composantes :
Le métabolisme de base
La thermogénèse
l'activité physique
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LE METABOLISME BASAL
Il représente 70% de la dépense énergétique totale
Le métabolisme de base varie en fonction :
Du sexe, de l'age
Des hormones
De la masse musculaire
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LE METABOLISME BASAL Selon l’âge
Le métabolisme de base diminue progressivementLe métabolisme de base diminue progressivement
- Inférieur de 20% à 35% à 70 ans par rapport à 20 ans
- Ménopause jusqu’à -10%
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LE METABOLISME BASAL Selon le sexe
La différence entre un homme et une femme s'explique principalement par la notion de masse maigre
- Si on compare un homme et une femme de même taille de même âge et de même poids, l'homme aura un métabolisme supérieur de 8%
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LE METABOLISME BASAL Selon le poids
Chez les obèses
La composition du poids corporel peut totalement s'inverser
- 75% de masse grasse
- 25% de masse maigre
Le métabolisme basal du sujet obèse en valeur absolue est supérieur à celui du sujet normal
30
LE METABOLISME BASAL Selon les hormones Thyroïdiennes
Chez les sujets athyréotiques, le métabolisme basal est abaissé de 30%
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LA THERMOGENESE
La thermogénèse représente environ 15% de la dépense énergétique totale
Nous distinguons deux composantes distinctes
- La composante dit obligatoire de la thermogénèse postprandiale
- La composante dit facultative de la thermogénèse postprandiale
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LA THERMOGENESE La composante obligatoire
La composante obligatoire de la thermogénèse dépend des voies métaboliques impliquées
Il s'agit de prendre en compte la quantité d'énergie nécessaire à l'organisme pour assimiler les
aliments
Transformation du glucose en glycogène ; 5%
L'ingestion de protéines ; de 25% à 50%
l'oxydation des lipides ; 2 à 3%
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LA THERMOGENESE La composante obligatoire
La composante obligatoire de la thermogénèseAutrement dit si nous ingérons 10 grs de protéines, de glucides et de lipides que reste -t-il à l'organisme?
10 grs de protéines
10 grs de glucides
10 grs de lipides
Energiefournie40 Kcal
40 Kcal
90 Kcal
Energiedépensée10 Kcal
2 Kcal
2 Kcal
Energiedisponible30 Kcal
38 Kcal
88 Kcal
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LA THERMOGENESE La composante facultative
Induite principalement par une sur-alimentation
Par des substances thermogéniques
- La caféine
- La nicotine
- Les amphétamines (Mécanismes non connus)
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L’ACTIVITE PHYSIQUE VOLONTAIRE
C'est la composante la plus variable
Elle dépend
- Du comportement de l'individu
- Du mode de vie
- De l'activité professionnelle
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L’ACTIVITE PHYSIQUE VOLONTAIRE
Repassage, conduite auto,lecture, écriture
Bricolage, jardinage, couture,travaux ménager
Marche rapide, natation,tennis, cyclisme à 20 Km
Course à pied, ski de fond,foot-ball, basket
Effort très léger < à 144 Kcal/h
Effort léger de 144 à 288 Kcal/h
Effort modéré de 300 à 432 Kcal/h
Effort pénible > 432 Kcal/h
Activité corporelle Degré d’intensité/heure
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CONTRIBUTION DES ORGANES ET TISSUS A LA DEPENSE D’ENERGIE
FoieCerveauCœurReinsMusclesTissus adipeuxDivers (os, peau, intestin)
Homme(30 ans)21%20%9%8%
22%4%
16%
Femme(30 ans)21%21%8%9%16%6%19%
Enfant(6
mois)14%44%4%6%6%2%
24%
38
CONTRIBUTION DES ORGANES ET TISSUS A LA DEPENSE D’ENERGIE
On note
60 % du métabolisme basal est due à la dépense énergétique d’organes tel que :
- Le foie
- Le cerveau
- Le cœur
- Le rein
Ces organes représentent 5% du poids corporel
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VARIABILITE INTERINDIVIDUELLE DE LA DEPENSE ENERGETIQUE CHEZ L’ADULTE
Le RAPPORT MASSE GRASSE/MASSE MAIGRE explique 80% de la variance métabolique entre les individus
Le reste est dû à :
- L’activité physique spontanée
- Une variance génétique du métabolisme
40
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUX
ANCESTRALEMENT : LA FEMME STOCKE 2 FOIS PLUS FACILEMENT LES GRAISSESCAR ELLE PERPETUE L’ESPECEPERPETUE L’ESPECE
ANCESTRALEMENT :L’HOMME EST MUSCLE LE GRAS HANDICAP SA FONCTION DE
CHASSEUR GUERRIERCHASSEUR GUERRIER
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PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUX
Les adipocytes stockent et déstockent des triglycérides
Le stockage trop importantDes triglycérides entraineUne HYPERTROPHIE ADIPOCYTAIREHYPERTROPHIE ADIPOCYTAIRE
PUIS EMISSION D’UN SIGNAL
Pour les préadipocytes entraineune HYPERPLASIE ADIPOCYTAIREHYPERPLASIE ADIPOCYTAIRE
42
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUX
3 PERIODES MAJEURS de CONSTITUTION des Adipocytes
-Les trois derniers mois de la Les trois derniers mois de la grossessegrossesse
-La première année post natale-La première année post natale
-Le début de l’adolescence-Le début de l’adolescence
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PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUX
L’Adipocyte est une cellule sphérique avec de nombreux récepteurs SympatiquesSympatiques
ALPHA2 (lipogéniquesALPHA2 (lipogéniques)
et BETA (lipolytiqueset BETA (lipolytiques)
57
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone Superficielle
La zone superficielle ou
hypoderme est
composé de lobules
graisseux ou se situent les
glandes sudoripares et les
racines des follicules pileux
58
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone Superficielle
Ces lobules sont séparés
par des travées
conjonctivo-élastiques
axes de passages des
vaisseaux et des nerfs
La taille varie en fonction
de l’embompoint
59
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUX La Zone Superficielle
L’hypoderme se situe entre le derme et le fascia superficialis
60
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUX
61
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone ProfondeLa Zone Profonde
La zone profonde ou
graisse profonde est
Constitué de loges:
les stéatomères ou stéatomères ou
lipodystrophieslipodystrophies
siége de l’hyperplasie
hypertrophie
62
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXZone Profonde Zone Superficielle
Elle est délimité par :
L’APONEVROSE MUSCULAIRE QUI
SE CONFOND en certaines
régions AVEC
LE FASCIA SUPERFICIALIS
63
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUX Zone Profonde Zone Superficielle
La CELLULITE intéresse le La CELLULITE intéresse le
panicule adipeux ou panicule adipeux ou
hypoderme hypoderme
La STEATOMERIELa STEATOMERIE
intéresseintéresse
le tissu cellulo-adipeuxle tissu cellulo-adipeux
sous cutanésous cutané
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PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone ProfondeLa Zone Profonde
-Au niveau des hanches:-Au niveau des hanches:
.localisation :
sus-trochanterienne
Bourrelet de graisse limité
sous-tochanterienne:
Déformation en culotte de
cheval (la plus fréquente)
65
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone ProfondeLa Zone Profonde
-Stéatomérie crurale:-Stéatomérie crurale:
Siège à la racine interne de la
cuisse.
Fréquente,parfois volumineuse,
réalisant :
une besace du pli interne de
l’aine
66
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone ProfondeLa Zone Profonde
- - Les GenouxLes Genoux
.Lipomérie de la face interne du
genou avec un prolongement
antero-externe et parfois
postérieur dans le creux
poplité,gênante responsable
d’un genu valgum.
- Les Jambes:- Les Jambes:
La lipomérie prédomine à la face
postérieure c’est la jambe
« en poteau »
67
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone ProfondeLa Zone Profonde
- - Les bras:Les bras:
.Couche profonde peu épaisse
dans la partie postérieur et
deltoïdienne
68
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone ProfondeLa Zone Profonde
L’abdomen:L’abdomen:.partie sous-ombilicale:la
couche profonde s’arrête au niveau d’une ligne passant par l’ombilic et les crêtes iliaques
.partie sus ombilicale:pas de couche profonde,seule existe une couche superficielle très fibreuse et très vascularisée
69
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone ProfondeLa Zone Profonde
_Chez l’homme:Il n’y a pas de couche profonde
SAUF au niveau de la partie sous-
ombilicale de l’abdomen
70
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone ProfondeLa Zone Profonde
ETIOLOGIES DES STEATOMES-facteurs héréditairesOn retrouve des lignées de stéatoméries de mères en filles ou de grands mères à petites filles
71
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone ProfondeLa Zone Profonde
Facteurs ethniques
- le type méditérranéen:le type méditérranéen:
Classique déformation en violon:
bourrelets au niveau des hanches
associés à la culotte de cheval
72
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone ProfondeLa Zone Profonde
-Le type Nordique ou Anglo saxon-Le type Nordique ou Anglo saxon
Bourrelet autour du bassin et de
l’abdomen,
« en pneu » ou en bouée de
sauvetage »
73
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone ProfondeLa Zone Profonde
-Le type asiatique:-Le type asiatique:
déformation en « Kimono »
avec accumulation au nivau du thorax
et des bras
74
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone ProfondeLa Zone Profonde
-Le type noire -Le type noire
la lipodysrophie prédomine dans la
région fessière
75
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXLa Zone ProfondeLa Zone Profonde
Facteurs hormonaux:
Le type gynoîde: le plus fréquent avec
un thorax étroit et un bassin
large
Le type androide avec une obésité
tronculaire et des extrèmités
normales
76
REPARTITION CLINIQUE DES STEATOMES
Les Stéatoméries
surajoutées à la graisse
superficielle hypertophiée
peuvent se localiser isolément
ou le plus souvent regroupés en
unité métamérique classés en
syndromes
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REPARTITION CLINIQUE DES STEATOMES
SYNDROME DES TIERS
.Tiers supérieur: plutôt masculin
.Tiers moyen typiquement féminin
.Tiers inférieur souvent associé chez la femme au tiers moyen donnant le syndome de la moitié inférieure
Syndrome des tiers
.moitié sup :(surtout androïde)
.moitié Inf : (surtout gynoïde)
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PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXHOMME
L’obésité masculine type
androïde stocke les amas au
dessus d’une ligne passant par
les épines iliaques supérieures et épines iliaques supérieures et
antérieuresantérieures
Elle affecte d’abord l’abdomenabdomen
puis le trontronc la ceinture ceinture
scapulairescapulaire le coucou la nuquenuque et la
faceface
Elle est caractérisé par une
augmentation de la testostérone testostérone
libre et de sa globuline vectrice libre et de sa globuline vectrice
(S.H.B.(S.H.B.G)
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PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUX HOMME
Elle entraine des complications complications
métaboliques gravesmétaboliques graves
Diabéte
artériosclérose hyperlipédémie
hyperuricémie
cardiopathie
Elle affecte la longévité mais
reste facilement réversible
80
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXFEMME
La graisse est accumulée La graisse est accumulée
par les oestrogènes sur la par les oestrogènes sur la
moitié inférieur du corpsmoitié inférieur du corps
Au dessous de la ligne Au dessous de la ligne
passant par l’ombilicpassant par l’ombilic
81
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUX FEMME
L’obésité gynoïde est L’obésité gynoïde est essentiellement essentiellement hyperplasiquehyperplasique
Les adipocytes abdominaux Les adipocytes abdominaux sont a prédominance betasont a prédominance beta
Les adypocytes glutéaux à Les adypocytes glutéaux à prédominance alphaprédominance alpha
L’obésité gynoïde est donc L’obésité gynoïde est donc plus difficile a réduire que plus difficile a réduire que l’obésité androïdel’obésité androïde
82
PHYSIOLOGIE DU TISSU GRAISSEUX Les récepteurs de l ’adipocyte
Région fessière Région abdominale
Récepteur alpha 2
Récepteur Béta
Récepteurneuropeptide Y
84
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXFEMME
AVEC L’AGE:AVEC L’AGE:
La baisse des oestrogènes La baisse des oestrogènes et l’augmentation des et l’augmentation des androgènes surrénaux androgènes surrénaux transfère la surcharge transfère la surcharge graisseuse vers la moitié graisseuse vers la moitié supérieur du corpssupérieur du corps
L’obésité devient de type L’obésité devient de type androïde et provoque les androïde et provoque les complications complications métaboliques métaboliques correspondantescorrespondantes
85
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXRappel Cellulite
Il faut différencier Il faut différencier
obésité et celluliteobésité et cellulite
Cellulite est une Cellulite est une
dermo-hypodermo dermo-hypodermo
panniculopathie panniculopathie
oedémato fibro oedémato fibro
sclérotiquesclérotique
86
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXRappel Cellulite
Chez la femme la pression verticale fait saillir les lobules graisseux vers la surface
C’est le phénomène du matelas
87
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUX Chez la Femme
88
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUXRappel Cellulite
Chez l’homme la pression latérale repousse les lobules graisseux vers la profondeur
89
PHYSIOLOGIE DU TISSU ADIPEUX Chez l ’Homme
90
LOCALISATION DE LA CELLULITE
91
MISE EN PLACE DES TISSUS ADIPEUX SOUS-CUTANES CHEZ LE PORC
FACTEURS DE VARIATION QUANTITATIFS ET QUALITATIFS
92
MISE EN PLACE DES TISSUS ADIPEUX SOUS-CUTANES CHEZ LE PORC
Les études concernant la qualité de la viande abordent les aspects :
- Technologiques
- Organoleptiques
- Nutritionnel
- Économique
- HygiéniqueIl faut concilier souhaits consommateurs et
nutritionnistes
93
MISE EN PLACE DES TISSUS ADIPEUX SOUS-CUTANES CHEZ LE PORC
Les qualités organoleptiques et nutritionnelsdépendent totalement des facteurs nutritionnels
Les acides gras déposés dans les tissus adipeux sont le reflet des matiéres grasses alimentaires(Boone et al 2000)
De nombreuses études sont en expérimentationafin que les viandes soit plus riche en n-3
94
Effet des matières grasses alimentaires Effet des matières grasses alimentaires sur la composition en acide gras du sur la composition en acide gras du
tissu adipeux chez le porc en %tissu adipeux chez le porc en %
MATIERESGRASSES
SUIF MAÏS COLZA
C16:0 24,25 23,95 22,16
C18:1 44,55 39,47 43,75
C18:2 12,62 19,63 14,84
C18:3 0,76 0,81 1,86
POLYSATURÉS/SATURÉS
0,37 0,56 0,49
95
Effet des matières grasses sur la truie en gestation
Alimentation isocalorique contenant 2,5% et 5% de lipides
Le poids moyen des porcelets est équivalent
MAIS le nombre de précurseurs adipocytaires et le diamétre des adipocytes est netement supérieurdans le groupe 5% Hyperplasie et Hypertrophie
96
EFFET IN VITRO DES ACIDES GRAS SUR L’ADIPOCONVERSION
Ce sont les médiateurs importants de la différenciation
Les acides gras saturés induisent l’expression des gènes impliqués plus efficacement sur la prolifération des adipocytes
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
C12 C18 C18:1 C18:2
Est
97
rosace des acides gras de type 3 et 6 le dosage de ces acides gras dans les membranes des globules rouges : un reflet plus
fidèle de l’apport nutritionnel d’un individu en matière de consommation de lipides
Rapport n6/n3
ALA 18:3, n3
EPA 20:5, n3
DPA 22:5, n3
DHA 22:6, n3AA 20:4, n6
DGLA 20:3, n6
GLA 18:3, n6
LA 18:2, n6
6 désaturase +élongase +
5 désaturase6 désaturase
4 désaturase
élongase
élongase
5 désaturase
eicosanoïdes de type 3anti-inflammatoires
eicosanoïdes de type 2
pro-inflammatoires
eicosanoïdes de type 1
anti-inflammatoires
n3n6
