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AU DEBUT ETAIENT LES TRIANGLES * * * par Raymond TERRASSE * * * Il était une fois deux triangles qui ne se connaissaient pas, car n’ayant aucun rapport direct entre eux. Et pourtant, bien des années après leur naissance , ces deux triangles, que tout séparait, allaient être à l’origine de la super-géométrie présentée ici. Le premier appartient à un chercheur de la Loire-Atlantique, Michel Barbot. De ses travaux sur les mystères de la forêt d’Ecouves, il avait extrait trois sommets portant le même nom : Domfront. Le plus connu dans l’Orne, et l’autre dans l’Oise ; le dernier, spécifié ‘’ en Champagne ‘’, étant dans la Sarthe. A remarquer que nous sommes loin de Troyes, cette dénomination paraît donc curieuse, à première vue. Mais moins évidemment, au deuxième regard, si on se rappelle que le château de Chambord, à l’origine, appartenait aux Comtes de Blois…de la Maison de Champagne. Ce rapprochement n’est pas une vaine digression, puisque Chambord apparaîtra dans le deuxième triangle. Ne sachant trop quoi tirer de cette triangulation insolite, Michel Barbot demanda à deux correspondants de lui calculer le centre de ces trois sommets. Patrick Berlier lui communiqua un centre ‘’ un peu plus secret ‘’, sans rapport avec le centre géographique que je lui présentai, et situé à l’Aigle. Il s’avéra aussi que la hauteur aboutissant à Domfront dans l’Oise, passe par Gisors. Au début étaient les triangles. 1

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AU DEBUT ETAIENT LES TRIANGLES* * *

par Raymond TERRASSE * * *

Il était une fois deux triangles qui ne se connaissaient pas, car n’ayant aucun rapport direct entre eux.

Et pourtant, bien des années après leur naissance , ces deux triangles, que tout séparait, allaient être à l’origine de la super-géométrie présentée ici.

Le premier appartient à un chercheur de la Loire-Atlantique, Michel Barbot. De ses travaux sur les mystères de la forêt d’Ecouves, il avait extrait trois sommets portant le même nom : Domfront. Le plus connu dans l’Orne, et l’autre dans l’Oise ; le dernier, spécifié ‘’ en Champagne ‘’, étant dans la Sarthe. A remarquer que nous sommes loin de Troyes, cette dénomination paraît donc curieuse, à première vue. Mais moins évidemment, au deuxième regard, si on se rappelle que le château de Chambord, à l’origine, appartenait aux Comtes de Blois…de la Maison de Champagne.

Ce rapprochement n’est pas une vaine digression, puisque Chambord apparaîtra dans le deuxième triangle.

Ne sachant trop quoi tirer de cette triangulation insolite, Michel Barbot demanda à deux correspondants de lui calculer le centre de ces trois sommets. Patrick Berlier lui communiqua un centre ‘’ un peu plus secret ‘’, sans rapport avec le centre géographique que je lui présentai, et situé à l’Aigle. Il s’avéra aussi que la hauteur aboutissant à Domfront dans l’Oise, passe par Gisors.

Croquis N° 1 :

Triangle de Michel Barbot, publié dans SUN N° 32.

Tout est lié ; quelles que soient les recherches effectuées par des chercheurs indépendants les uns des autres, on retombe toujours sur les mêmes points-clés.

Personnellement, j’en étais resté là, Michel Barbot faisant ce qu’il voulait de mes renseignements envoyés en 1999 ou 2000. Par contre, poursuivant mes études orthogéométriques, qui ne portaient pas encore ce nom

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en ce temps-là, je dénichais un triangle isocèle faisant partie d’un groupe dont le sommet commun était les grottes d’Altamira, en Espagne.

Croquis N° 2 :

Vue d’ensemble à l’échelle 1 / 10.000.000 des triangles ayant Altamira comme sommet commun.

Le triangle qui intervient dans notre conte de fées a pour base Gué-D’Hossus et Stenay. C’est une mince tranche qui mesure 70 kilomètres à la base pour 980 de longueur. Le côté Stenay-Altamira a ceci de particulier, qu’il se prolonge au nord-est vers Remagen en Allemagne, apparition mariale de 1950. Et vers le sud-ouest, jusqu’à Fatima, en passant par les atterrissages de Vouneuil-sur-Vienne, et Castello-Branco au Portugal. Quant à Fatima, elle démontre, si l’on en doutait encore, que les apparitions mariales ne sont, et n’ont jamais été aléatoires. Au total, la distance séparant Remagen de Fatima, affiche un kilométrage impressionnant : 1720 ; belle ligne orthoténique à travers quatre pays.

En partant de Gué-D’Hossus, nous traversons L’Ile Bouchard, qui reçut la visite de la Vierge, le 8 décembre 1947, et qui fut détaillée par ailleurs. Puis nous coupons le centre d’une droite que nous allons revoir : Stonehenge- Rennes-le-Château. Ici, et sans paraître extravagant, je peux avancer que la Noble Dame, en se déplaçant à l’Ile Bouchard, préparait le posé de Gué-D’Hossus, 46 ans et quelques mois plus tard ( 6 mars 1994 ).

La hauteur est également remarquable, car elle passe par le posé de Villers-le-Tilleul, et surtout le château de Chambord. Puis elle longe le château de Chenonceaux à 1000 mètres au sud-est. Le centre se place sur cette ligne à 5 kilomètres au-dessus de Chambord.

Croquis N° 3 :

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Le château de Chambord est au cœur de l’orthogéométrie. Mais c’est l’article de Michel Barbot paru dans Sentinel Ufo News N° 32 du premier trimestre 2006, et faisant état de ce que je lui avais transmis, qui m’a soufflé une idée, qui aurait pu conduire à une impasse..

Il s’agissait de relier, non pas les deux centres géographiques, ce qui n’apportait rien, mais les deux centres d’intérêt, avec un prolongement de part et d’autre. Que le lecteur fasse la grimace, mais soit indulgent, car je vais écrire que l’Aigle de l’orthogéométrie, c’est Chambord.

Bien qu’étant habitué à ce qu’une ligne en générât une autre, qui elle-même…, je ne m’attendais pas à ce déferlement de surprises.

La première vint de ce que la ligne descendant vers le sud-est, passait très près du centre de Mont-Saint-Michel / Trans-en-Provence, à 184 kilomètres de Chambord. Confirmé par la ligne principale N° 1, le croisement se place à 2 kilomètres au nord-ouest. Cependant, il en fallait plus pour qu’une étude sérieuse puisse voir le jour.

C’est alors qu’intervinrent trois autres triangles, dont la présence s’avèrera indiscutablement logique et précieuse.

Le premier, le plus grand, à la fois par sa taille et sa contribution, est isocèle. Sa base est au sud de la France, en s’étendant sur 334 kilomètres, entre Rennes-Le-Château, cher à Guy Mouny, et Théopolis, la Dardanus de

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Roger Corréard, bénie par les visites d’OVNI, et dont le fleuron est l’apparition mariale de 1656, à un pâtre nommé Honoré Masse ; homonyme ou ancêtre du témoin-acteur de Valensole. La pointe de ce triangle se situe 961 kilomètres plus haut, en Grande-Bretagne, très précisément sur Stonehenge. Nous venons de constater que Stonehenge- Rennes-le-Château, était coupé au milieu par Gué-D’Hossus / Altamira. Le côté Théopolis-Stonehenge passe par la localité de Loury à proximité d’Orléans.

J’ai déjà parlé de son château dont le donjon porte une plaque datée en principe de 1527, et vantant les amours de François 1 er et de Diane de Poitiers, mariée à cette époque à Louis de Brézé. Plaque énigmatique à plus d’un titre, et complètement occultée par les historiens ; allez savoir pourquoi. Mais il est bien connu que l’Histoire écrite par les historiens, n’est justement pas celle qu’ils devraient écrire. Heureusement que Didier Coilhac a sorti cette plaque de l’oubli, et en a tiré des renseignements qu’il ne faut surtout pas manquer de lire dans son ouvrage ‘’ les mystères des châteaux ‘’.

La hauteur du triangle partant de la base, traverse évidemment toute la métropole. Elle réussit le remarquable exploit d’être absolument parallèle à 23 kilomètres de la ligne initiale l’Aigle / Chambord. Premier encouragement à poursuivre.

Croquis N° 4 :

Le couloir de 23 kilomètres se dirige sur Stonehenge.

Un triangle, qui au début, paraissait isocèle vint ajouter sa partition. La base part toujours de Rennes-le-Château, mais se dirige cette fois

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vers Cotignac, l’apparition mariale de 1519, à 320 kilomètres. Malheureusement, il manque 2 kilomètres au côté Rennes-N-D de Paris – 652 contre 654 à Cotignac-N-D de Paris – pour que son isocélie soit justifiée.

Cependant, tout en devenant scalène par cette petite infirmité, ce triangle reste malgré tout : indispensable.

Croquis N° 5 :

En effet, le côté Rennes-le-château / N-D de Paris coupe en plein milieu : Théopolis-Stonehenge. Et son intersection avec la hauteur du triangle Stonehenge / Rennes / Cotignac, détermine le centre de celui-ci.

Au surplus, sur sa lancée, son croisement avec la ligne N° 1 Mont-Saint-Michel / Trans-en-Provence, se fait exactement au centre du couloir de 23 kilomètres.

Curieusement, ce point situé à 25 kilomètres environ au sud-ouest du centre officiel de l’IGN pour la seule métropole, donne l’impression d’être plus crédible que son confrère.

Croquis N° 6 :

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Si l’on mesure ce couloir d’un bout à l’autre de la France, c’est à dire de Houlgate aux Saintes-Maries de la Mer, il y a 365 kilomètres de part et d’autre.

Horizontalement, nous comptons 290 kilomètres à égalité.Verticalement, depuis Dunkerque, 510 kilomètres, contre

seulement 430 à la frontière espagnole.De Saint-Brieuc à Nice, il y a 930 kilomètres, partagés en 445 et

485.De la Belgique à l’Espagne, entre Charleville-Mézières et après

Lourdes, c’est presque la parité avec 430 et 440 kilomètres.Proportionnellement, le centre officiel de la Coucière, dans

l’Indre, est plus excentré. Les Responsables des OVNI voudraient-ils jouer avec l’IGN ?

Précisons que ce point-clé se positionne sur la commune de Saint-Sauvier, dans l’Allier, à la limite de la frontière avec la Creuse.

Et comme si les Responsables des OVNI avaient voulu le personnaliser par une garde d’honneur, cet emplacement est encadré par trois atterrissages, et un quasi posé, sur les dix répertoriés sur le sol français, dans cette tranche de 23 kilomètres. Ce sont Toulx-sainte-croix ( 1930 ), Trois-fonds ( 1954 ), tous les deux dans la Creuse, et que nous connaissons déjà. Le troisième

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de 1975, est Chambérat au nord-est, à côté qu quasi atterrissage de Mesplé. Deux autres posés, à peu de distance à l’extérieur du couloir, apportent aussi leur caution de part et d’autre ; Montluçon, et surtout La Celle sous Gouzon, le patriarche de 1906. Ce qui pourrait laisser supposer une fois encore, et toujours dans le cadre du conte de fées, que cette super géométrie était préparée longtemps à l’avance.

Autre point en faveur de ce triangle qui mériterait d’être isocèle : en partant de la grotte de Lascaux, encore présente, une ligne passe successivement par Mourièras-bisou de l’ufonaute, le milieu du côté N-D de Paris / Rennes-le-château, pour aboutir en M, croisement de L’Aigle-Chambord avec Mont-Saint-Michel / Trans-en-Provence.

Croquis N° 7 :

Guy Mouny et Guy Gruais seront certainement ravis d’apprendre que le méridien intermédiaire : Belleville-sur-Mer / Lascaux, dont ils sont les pères, est rigoureusement parallèle à N-D de Paris / Rennes-le-Château ; 86 kilomètres les séparent.

Croquis N° 8 :

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Enfin un argument, qui est provisoirement le dernier, même s’il n’a pas la portée du précédent : du milieu de Rennes- Cotignac, on remonte vers le milieu du côté Cotignac- N-D de Paris. Evidemment, en pareil cas, la ligne est parallèle au côté opposé ; ici l’écart est de 156 kilomètres ; donc rien d’extraordinaire. Sauf qu’en poursuivant vers le nord, la trajectoire partage en deux moitiés le lac du Temple de la forêt d’Orient, ce qui peut être considéré comme une coïncidence. Mais celle-ci tire sa révérence lorsque le terminus s’appelle Gué-D’Hossus.

Puisque j’ai abordé la relation des milieux d’un triangle, voyons ce que donne celle du grand triangle : Stonehenge-Rennes-Théopolis, dont les deux côtés jumeaux sont recoupés en leur centre.. Eh bien, calmement et sans un battement de cœur supplémentaire, nous constatons que cette droite coupe la hauteur du triangle Altamira-Stenay / Gué-D’Hossus, au sud ouest de Chambord, pile sur le méridien Gruais-Mouny, qui descend de Belleville-sur-Mer à Lascaux.

C’est du bon travail, et mon émerveillement est sans cesse renouvelé pour les créateurs de cette super-géométrie à travers le temps et l’espace. Même si je ne suis pas toujours d’accord sur les manières d’agir de la ‘’ Sainte Vierge ‘’, que je trouve parfois autoritaires, sinon dictatoriales. Mais je suppose que c’est le prix à payer pour que les Dieux s’occupent de nos petites destinées. Bien que nous n’ayons rien demandé !

Le troisième et dernier triangle à entrer en lice, est lui bien isocèle. Son côté commun avec son frère malchanceux est Cotignac- N-D de Paris. Le nouveau compagnon est Celles près de Foix, l’apparition mariale de 1686, situé à 364 kilomètres de Cotignac.

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Le côté Celles / N-D-de Paris passe par Montlevicq, au-dessus de laquelle le grand cigare des nuées stationna en octobre 1954.

Mais c’est le point central de la base Cotignac-Celles, qui déborde de largesses.

Croquis N° 8 :

La trajectoire partant de ce point, et conduisant à Riec-sur-Belon, transite par la grotte de Lascaux . Dans l’autre sens, c’est Prémanon le point de chute, le pied de la hauteur de Rennes- Théopolis servant de guide.

La base Cotignac-Celles est également le petit côté de l’angle droit sur Celles, d’un triangle rectangle, dont la pointe est encore une fois l’Ile Bouchard, omniprésente. Ce triangle n’a pas lieu de figurer ici, mais il est bon de le mentionner, d’autant que le côté L’Ile Bouchard-Cotignac passe par le Puy en Velay.

Mais surtout, et comme le montre le croquis N° 9, parce que la ligne allant de L’Ile Bouchard à La Salette ( AM 1846 ), réussit le double exploit de recouper précisément au même point non seulement les droites Stonehenge / Rennes-le-château et N-D Paris / Celles, mais aussi Stonehenge-Théopolis et Cotignac-N-D- Paris !

Autrement dit, les deux triangles isocèles sont chapeautés, baptisés, confirmés par les visites de la Sainte-Vierge à ces deux endroits à 101 ans et trois mois d’intervalle. Que de préparatifs pour aboutir à une telle précision ! quelles sont les probabilités pour que les quatre côtés et la ligne se rencontrent aussi parfaitement par hasard ?: nulles, archi-nulles.

Comme l’écrirait Guy Mouny, tout est verrouillé. Et ce qu’il ne préciserait pas, car très prudent en la matière, c’est que les apparitions mariales se taillent la part du lion.

croquis N° 9 :

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Croquis N° 10 :

La rencontre au point P entre la hauteur et la ligne principale N° 1, autorise Tournai à dépêcher une parallèle au côté N-D de Paris / Celles, à la distance de 73 kilomètres. Par ailleurs, et de Tournai encore, une droite file sur Celles, en coupant en plein milieu ce bon vieux côté N-D de Paris / Rennes.

Croquis N° 11 :

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Restons sur ces parallèles, pour constater que Tournai-P prolongée rejoint Lascaux- Riec-sur-Belon en N. Cette rencontre est mise à profit par Lourdes ( A. M. 1858 ) pour envoyer un émissaire à Théopolis.

Croquis N° 12 :

Ici, nous avons trois carrefours ; nous connaissons déjà M sur la ligne L’Aigle-Chambord et Mont-Saint-Michel / Trans-en-Provence.

R, c’est le croisement de Riec-Lascaux avec N-D Paris / Rennes. Tandis que T est le résultat de la rencontre des hauteurs de Rennes-Théopolis et Celles-Cotignac.

De R, promus chef d’orchestre, deux lignes partent vers M et T, pour aboutir respectivement à Quarouble et Théopolis.

Si nous récapitulons, nous avons eu l’aide de dix apparitions mariales, en comptant pour une seule les trois de Paris, dont la plus importante

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est celle du 18 juillet 1830. Quant aux atterrissage d’OVNI, ils ont été presque aussi généreux ; pas moins de huit.

En conclusion, nous nous trouvons face à quatre couloirs absolument rectilignes, ayant pour largeurs : 23, 86, et 156 kilomètres. Le quatrième étant l’intermédiaire de 73 kilomètres, inclus dans celui de 156.

C’est donc un véritable boulevard de 242 kilomètres ( 156 + 86 ), qui pose une véritable énigme ; à quoi sert-il, à quoi servent-ils tous ?

La seule certitude en ma possession actuellement est qu’ils font le tour de la Terre. Y aurait-il un rapport quelconque avec des anneaux spatiaux, du genre ceinture de Van Allen, ou cercles de rayonnement électro-magnétique non encore découverts ?

A moins que la réponse ne soit tout simplement sur la Terre. Indiscutablement, ils suivent l’axe des méridiens, puisqu’ils sont parallèles à celui de Gruais-Mouny. Mais la mappemonde interrogée, ne donne aucune raison satisfaisante.

En effectuant quelques calculs, je me suis aperçu que ces largeurs de couloirs étaient en rapport avec les 251 kilomètres qui émaillent les tracés de l’orthogéométrie, et dont j’ai fait état par ailleurs ; Stonehenge-Belleville-sur-Mer, Chambord-Mont-Saint-Michel, Marliens-Stenay, voire Lascaux-Rennes-le-Château ( 250, 6 kms ). Dans sa lettre, Guy Tarade faisait le rapprochement avec le rythme planétaire, à savoir 7, 5 hertz, en comptant 160 fois 250 kilomètres ( les 1000 mètres d’écart seraient la différence avec la courbure du terrain )..

Si je divise 251 par 156, j’obtiens 1, 608, dans les parages du nombre d’Or, ce qui me donne une base de départ. Le quotient de 156 sur 23 = 6,78. Or ce nombre est très proche de PHI carré + PHI ( 2.618 X 2 + 1.618 = 6.85 ).

Curieux, vraiment curieux : si je reprends cette division par 6.85, le couloir de 23 kilomètres devient alors : 22.774 mètres. Impossible à déceler sur la carte pour deux dixièmes de millimètre. Ce kilométrage serait alors contenu 11 fois environ ( 11, 02 ) dans les 251 kilomètres. Au total : 22.774 X 11 X 160 = 40082 kilomètres de diamètre équatorial contre 40053 officiels.

Si cette extrapolation s’avérait exacte, il y aurait donc : 11 X 160 = 1760 couloirs polaires de 22.774 mètres encerclant la planète ; en rapport direct avec le nombre d’Or, ce qui évidemment, ne m’étonnerait pas.

Toutefois, afin d’affiner cette étude, j’ai tenté une approche avec l’encyclopédie Microsoft encarta ;

Ce fut un fiasco, car aboutissant à une impasse, dont le mystère reste insondable pour moi.

En effet, il y a accord total pour les distances mesurées entre deux points, sur encarta et sur la carte générale au. millionnième.

Par exemple : Paris / Châlons-en-Champagne : 150 kilomètresCelles / Rennes-le-Château : 47 kilomètres.Rennes-le-château / Rennes-les-Bains : 4 kilomètres.

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Ce qui me rassure, et apporte une garantie que mes tracés ne sont pas vaseux. Chaque pièce est bien à sa place, sans aucune distorsion.

Par contre, lorsque l’on part des longitudes, les écarts indiqués par encarta, sont tels que sur la carte générale, les parallèles ne devraient plus l’être !

Le méridien Gruais-Mouny servant de repère, fut vérifié du nord au sud de la France. Il est constant à un degré 10 minutes de Greenwich.

N-D de Paris, tête de pont du méridien, en est à 2 degrés 20 minutes ; Rennes-le-Château n’en n’est plus qu’à 2 degrés 16. Sur la carte au 50.000è, ces quatre minutes représentent 6 kilomètres, soit six millimètres sur la carte générale. Plus important encore : Gué-D’Hossus, est annoncé à 4 degrés 31 minutes, alors que la parallèle descend droit sur Aigues-Mortes, à la longitude de 4 degrés 11 minutes. La différence kilométrique, cinq fois plus élevée que Rennes, et qui avoisinerait les trente kilomètres, n’apparaît pas sur la carte générale.

Or, que ce soit six ou trente millimètres, à moins d’être aveugle ou de mauvaise foi, cet écart ne pourrait passer inaperçu, et faire prendre pour des parallèles ce qui n’en serait pas.

* * *

Raymond TERRASSE, juillet 2006

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