Nu 18

MENSUEL 10 Féviier 1970

CRE

2. ;

7

mensuel pour la jeunesse

Rédaction Administration 6, Rue Émile-Zola — LYON

Lu ABONNEMENTS :

FRANCE et AFRIQUE du NORD 1 an seulement : 12,50 F

COMMUNAUTÉ et ÉTRANGER : 1 an seulement : 15,30 F

Correspondance Éditions LUG, 6. rüe Émile-Zola, LYON-2° C. C. P. LYON 1418 89

JOINDRE : — Pour toute réponse à une lettre, un

timbre français à 0,30 F. — Pour changement d'adresse à un abon-

nement, 2 timbres français à 0,30 F. *x

Vous trouverez dans ce numéro :

LE PETIT TRAPPEUR. LES ANGES DE L'ENFER.

8 lb SW u À

BETETE 0

LE MASQUE

Be LE ROC $E TROUVE AU QUARTIER GÉNÉRAL DE VOULU LE FÉLICITER MAÎTRE CONNOLLY QUI A

POUR LE SUCCÈS DE SA MISSION _ EN FRANCE 2.

MACHEUREUSEMENT, CES ARMES NE NOUS SERVIRONT PAS DE TÔT, CAR LES PARES- SEUX QUE J'AI LE MALHEUR DE COMMANDER. NESE DÉCIDENT PAS À ATTAQUER LES

ANGLAIS À 222

AS si D RP RLT 24, N CRLRRRÈS EL LT ÉCRIS

\ mr me

QUELQUES . LUNS DES FATRIOTES PRÉSENTS

SE REBIFFENT, MAIS CONNOLLY /RE PREND LA PAROLE,

À où L'ET CROIS . MO, BLEK LS = À

SÉLASSENT DAMER h p71 RE UOUR Se 5 LE PAON PAR LES FEM 2

MES ! /

> SUIVANT UN DE MES SON AUDACE ET DE ; INFORMATEURS DIGNE BILETÉ À SE TRANS DE FOI, MASQUE EST MER | MAIS QU'EST_, UNE. FEMME !

RETOURNER AU TU NE DEVRAIS PAI CAMP DES TRAP- TA QUE DEMAIN

PEURS! ATINI

MAIS REVENONS W À NOS MOUTONS |

ns 4 TENANT?

D'ACCORD, MON CHER. MATTRE |

SERONS MIEUX TEST LE MO- QU'A NEW MENT ! YORK!

CEPENDANT, DEUX CHA: RIOTS SE.

DIRIGENT

VERS FORT SPRING 1] Fi S'AGIT dE)

CROS_ TU QUE NOUS GAGNERONS / 3€ L'ESPÈRE! EN UN PEU D'ARGENT À FORT SPRING?/ TOUT CAS , NOUS Y

GEORGE CSBCRNE Qui VA PRENDRE POSSES - S/ON DE LA CANTI- NE,

F —1 ET REUESIT À ENTRER DANS CHARIOTDE OSBORNE

ET LE JEUNE HOMME QUI ÉTAIT F:| | CACHÉ DANS LES ROCHERS SAU- TE on ù

DE

D'ABORD , VOUS De. GASIN

AIRE INSPECTER LES DEUX CHARIOTS |

QUES MINUTES ! PEN = DANT CE TEMPS, VOL RC

QUE DES SOLDATS SE ur PENDANT. PRE RACENT À /INSPECTER LE VÉ.

(

; AN? POURL/CEST UN De QUOI? FORMAL -

li À TÉ QUI NE VOUS a } PRENDRA QUE QUEL.-

TA ‘

ë.

Css MAIS A ME FALT RIEN MAINTENANT, JE SUIS TAN: QUE

€}

AUSQU/À CE SOU!

BIEN IL N'y À

J'AVAIS POURTANT RECOM- MANDE À OSBORNE. DE SURVEIL LER SES GOSSES ET DE LES LREMPÈCHER DE SAPPRÔ- FLNQHER DE UARML -

—

MAIS IL EN A EE ROP\ IL NE PEL PAS Y ARRI-

VER!

HÉ MON

Er EE ue 000

BQUS vel MENT, LE JEUNE HOMME jl PERD SONT ||] CHAPEAU ET Ter Abercoir| |!àS UNE BELLE]

MAIS... MAG, CEST MASQUE.

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2 A

NOUS POUVONS ATTENDORE. DE. MAIN MATIN

! #

br L LE 3 ARE

Fer 4 NA

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SN NS 1

KR

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MAIS MON COLONEL ,ET ST TA VOITURE = S'ENFONÇEAIT

DANS CE CAS-LÀ, NOUS) LÉOMPLÈTE PERDRIONS L'OCCASION MENT 2 Ë CAPTURER BLEK, MAIS NOUS SE. KA NS. AR. $ ë

JE NE CROIS PAS QUE LA VOITURE SERA ENGLOU-

TE

ELLE S'ENFONCERA DUUN PRÈS ET = METRE À PEU PRÈ.

PUIS ELLE S'ARRÊTERANT,

PS F |

VOILÀ NOTRE. NOUS ALLONS VOIRE! , POUR PRISONNIÈRE SAUVER SA VIE , ELLE CONSEN NE COURT VRAIMENT À NOUS AIDER À PLUS DE CAPTURER BLEK ! RISQUES!

MAIS IL FAU DRA QU'ELLE

TEMPS AVANT QUE QUELQU'UN LIENTENDE!

QUI, CIEST LUI TMAIS CA NEUTRALITÉ DES SHAWNIES NE. DURE.

PARCE QUE FENOB ET WUSCO, DEUX SHAWNIES DE NOS AMIS, ENTENDENT ÉLIMINER TISSE.

WOH ET ENSUITE ENTRER

DANS LA GUERRE A NOS CÔTES! È

TOUTEFOIS ; Qui VOUS ASSU- RE QUE. , St UN INDIEN OÙ UN TRAPPEUR APERÇOIT LA VOI FTURE , IL IRA APPELER

BLEkI?

C'EST SIMPLE : UN SEUL HOM. | 2 MASAME EST CAPABLE DE TRAVERSER

LE MARAIS POUR ALLER RP PORTER SECOURS À Ci MASQUE.. C'EST BLEK

5 - LE ROC! q Ÿ sn

C'EST TISSEWON, LE CHEF DES ÊME UN MIRATLE SHAWNIES,,.. QUE LES SABLES MOU- fm VANTS NE L'AIENT

PAS ENGLOUTIE!

PAR MANITOU! CETTE FEMME EST EN DAN-

GER!

AUVEZ. © MOI! SORTEZ . Mot D'ici!

CEPENDANT. JDE NE PEUX PAS]

VOUS REJOINDRE. JE PEUX KR SEULEMENT ALLER CHERCHER]

CELUI CAPABLE DE

QU cu Î

MENT_SI FORT LE DT? DE BLEK , NATURELLE EN EFFET.

MENT LIL VA VERS TISSEWO4 Ni LE CAMP DES A DÉCIDE |[# TRAPPEURS| DE FAIRE |")

Si APPEL À | BLEK QU'ILNE l'NN CONNAÎT LS FAS ,»

TRAPPEURS, BOST “ CAS | SE. TOUT" ET BUUM “LE PACI- FIQUE *,..

TU N'AURAIS JAMAIS CRU QUE J'ÉTAIS CA-

FORMER EN FONTAINE !

L

He

nt S'ABAISSE SLISQU'ÀA ESSAYER DE FA ’e CHET. MON BIDON!

FORMIDAB LE! FORMIDABLEI

MAIS CE QUI M'ÉTONNE, C'EST à QU UN SAVANT COMME À

US

NON] C'EST VOUS QU'EST-CE Li ut ÊTES Fou

FOU DE DÉFIER MA TERRIBLE 4 COLE. ULG:

SE LE FAIS AÉSISTER À UN VÉRITABLE MIRACLE ET QU'EST-CE UE 308... VIENS EN Et 2 RIEN!

QU'EST-CE QUE VOUS AVEZ À MARMONNER.

VOULEZ . YOU: E JE. VOUS CRE LA, FIGURE?

UN AMI DE BENTAMIN FRANELIN!

TU NAS PAS HONTE sg DE TRAITER. DE LA SORTE

VOYONS T'OCCUUTIS V JA MENT FAR RE

QULAIT SEULE- UNE INNOCENT PLAISANTE

Lie!

MAIS LA PROCHAINE FOIS QUE VOUS VOLIDREZ PLAISANTER , ADRESSEZ. VOUS EPRUE QUELQU'UN D'AUTRE

AU COUTET-MOI MSAGES PALES TV ATEN Ni HN, PARMI VOUS UN HOMME CAPABLE DE À 4 à Shi VAÏNCRE TISSEWOH LUN:

ANS USER DES/|\Y ARMES ea ? ë

LA CET NS TANT, LA DISCUS SION EST INTE RROM- PUE PAR UNE VOIX.

AVEC MON PETIT DOIGT, JETE REÉDUIRAI EN MORCEAUX !

HQE. N'AI PAS BESOIN Dar WU MES CONTRE TOI, FACE ROUA|

EN ES-TU SÛR?

PAR MILLE BISONS ! JE NE

PEUX PLUS AVANCER!

ÉVIDEMMENT ETES T PARGE QUE LA'FACE, OUGE ” TA ARRÊTÉ

> ”

NOR JE NE PEUX | | [,, ET APRES AVOIR FAIT UN TOUR Y CROIRE! COMPLET ne

ES SN

ARRÈTE RODOY! Sn) NE EAIS PAS DE

à \E*

UNE BRANCHE,

hs à) NES MAIS RODDY S'EST ACCROCHÉ À

AH GALSE NE JC'EST BIEN, MON L'AUMÈME PAS/JEUNE ADVERSAI- Ÿ TOUCHE! RE D'iCI QUELQU

Ke SRNK \ 4

} ie > NÉES TU

ND Fg =

LE La RATE JE UE) D

ASSEZ MILLE CORNUES')} MAIS MAINTENANT , VA: VERT

T'EN| L'AIGLE, NE SE. BAT C'EST MOI ES € PAS CONTRE LE MOINEAU//

7 RM de, SA À

MT ATTAQUE. CE. PEAU BL QUOI? LE CROYAIS

QUE VOUS VOULIEZ NY ALLER VOUS - MÈME.!

BON ?ILNE rs M'A FAIT AU.

BIEN SUR,,J'AUT cu RAIS D Y PENSER! KL MAL BLUM LE PACIFIQUE NE SE MET PAS FACI- [LEMENS EN CQLE-

ET PUIS, À QUOI >

MAIS JE CONNALS UN SYSTÈME POUR LE FAIRE sou DE SES

EN EFFET, AU COMBLE DE LA COLÈ BLUM SE JETTE SUR L'ALLIÉ SUP

=A 3 CUT CT Sa

NE

PAR MILLE CORNLES ! MAIN - TENANT ,OUJE ME FAIS MASSAY

ICRER. À MON TOUR. OÙ JE PERDS LA

ALLONS PROFESS UR!TÂCHEZ PLU

ira an Eee

Ne PI es ee 2 {

TU AS RAISON , RODDV Î MAIS MAINTENANT QUE DE N'AVAIS PAS PENSE TU ME LAS RAPPELÉ PRÉ FEMES POUVOIRS | PARE TOI À EN VOIR DE 4

LÉVITATION ET PLANE À QUELQUES] |SON DERRIÈRE MÈTRES DE TERRE, TISSEWOH SE BORNE À SOURURE... FEW : de 6

MAIS LORSQUE OCCULTIS ENTRE EN mn TOMBER LE PROFESSEUR SUR

PUTOS PUANTS!

COMMENT]JE NE VOUDRAIS PASS ASTU, JTUUUMILIER VISA. ES |! FALT ÇA? A 2/GE PÂLE POUR - | TANT CE QUE J'Ai AN } FAUT ÉSTTRES A

D SIMPLE | AUSSH SIMPLE. QUE CECI

’ À PRONONCER À SON TOUR JM FORMULE MAGIQUE Qui À POUR RÉ. SULTAT DE FAIRE,

ET TOUT NATURELLEMENT, LIN DIEN SE MET Lu AUSSI EN LÉVITA TION, MAIS LA TÊTE EN BAS Fu

pe He *RCROYABCEN|\È

SAIT AVOIR. FAIT SES} ÉTUDES À OX-

FORD!

UGH I ET MAINTENANT QUE L'HOMME. BLANC ME DISE UNE CHOSE : CONNAÎT.IL UN ZÆ GUERRIER .DU

NOM DE GLEI

J'ESPÈRE QUE VOUS ALLEZ M'EXPLIQUER CE QUI SE PASSE ET POURQLOI

LUN PEU PLUS AE AINSI, TU VOULAS / JE T'EXPLIQUERAT RTS ae = 1 Te te ME. PARLER?

ur TU SERAS VITE | urnes L

4 RAMASSE EN PASSANT LINE GROSSE PIERRE QUIL. JETTE DONTMRE TISSE)

J'At COMPRiG Tru es [RON Pas DA PNE CRAINS RIENTULE UN ADVERSAIRE DIF. A ba COUTEAU COUTEAU N'EST PAS FICILE MAS PEU 4 POUR TO! IMPORTE !

de M U

ET FROFITANT DE CETTE DIS- TRACTION , BLEK LANCE SON POING EN AVANT...

AIGUT LE VISAGE, PÂLE. A FAIT CE QUE PERSONNE N'AVAIT REUSSL

AÇÂET PUISQUE C'EST AINSSE] [IL NV À BAS À DIET OAI Jl T'AUTORISE À M'AIDER! FAIT UNE BELLE

ÿ1 PA PAIE FOUR, ÇA \S DÉFI

MAIS DIS.MOI D'ABORD UNE. CHOSE : QUE C'EST VRAIT MAIS IN FAIS TL DANS CETTE. RÉGION? TU HABITAIS) POUR NE. PAS

à BIEN PLUS LOI

JE M'EN SUIS APERÇU | ICI MAIS NOUS PARLE RONS AUSSI LES ANGLAIS SONT NOM | DE ÇA UNE AUTRE FOIS! BREUX ET, DE PLU CE QUE. TU DOIS APPREN.

DRE EST PLUS LIRGENT!

QU'ILS N'ONT PAS FAIT

ET, LORSQUE LE SHAWNIE À DON- NÉ SES EXPLICATIONS. Il 7: NOUS PAR 1)

TONS 7 /H

TJ'AS ENTENDU, RODOV! /# ÉPÈCHE -TOI JE TE

PU suis" pe

Léger De

NUS NE RISQUENT RIENTIL NV À PERSONNE PAR el

À BLUM ET À BOST, VEZ-VOUS PRIS CES BIEN ENTENDU JE NE / DEUX GOURDES2// POUVAIS PAS LEUR.

à REFUSER CE SER-

BIEN SÛR | EMPE- BON, JE VEUX BIEN | SEULEMENT, CHER QUE QUEL - A VOUS AVEZ DES HISTOIRES AVEC

OST, . NE VENEZ PAS DEMAN -

$ & | 1 Fr ERA DER MON

IJ

MILLE CORNUES ALAM - BIQUÉES ! MON

DANS QUEL GUET. ÂAPENS NOUS A8 TU ENTRAT.

L NES ?

POURSUIVRE L'AGRES - ISEUR.,BLEK EXTRAIT BIEN SON PISTOLET MAIS IL LE

POINTE CONTRE TISSEWOH

TU NE COMPRENDS PAS ET Tu N'AS SANS DOU. TE PAS COMPRIS QUE CETTE FLÈCHE EST UNE. FLÈCHE SHAWNIE)

ù VIT ON AR

Au

JE VAIS TÂCHER DE JD'AC - DÉCOUVRIR CELUI QULA TENTÉ DE

mu ET QUE TISSEWOH, AVEC SON HISTOIRE DE VOITURE TOMBÉE. DANS LE MARAIS N'EST QU'UN MENTEUR:,

oe

BLEK EST EN EFFET CONVAINCU QUE LA FLÈCHE QUI A PERCÉ LA GOURDE LU LÉTAIT DESTINE. 1

Se

ET LAISSE L MOI BOIRE LIN COUP TRANQUILLEMENT |

ST TU FAIS UN SEUL. GESTE. , VISAGE PÂLE,

DE TIRE ! DEA,

AUSSITOT, RODDY PLONGE ET) SAISIT LE PISTOLET:

AG SN be

fre

1 QUIL BRÂQUE SUR TIESE NO [7 F TA Ike ME PAS LIN GESTE | HE,

? = 4 CA

TU M'ACCUSES INOUSTE - MENT ET JE VAR TE LE

IT ET SV PENSE MAIN TENANT . BOST ET ent BLUM N'AVALENT

PAS DE CORNES À

in CELA PROUVE QU'ILS TENAIENTI LEUR POUDRE DANS LEURS

L GOURDES! DOMMAGE TOUT

Si BOST , AU LIEU DE SE FÂCHER., VOUS AVAIT LAISSÉ BOIRE VOUS AURIEZ LE SAVANT

1 LANCE "

ÉTQU'EST.CE QUI Ÿ BA VOUS ARRIVE?

POURQUOI AS. JE VOULAIS MEN ACT fBEAL DISCOURST TU KAUTMARAS TU TENTE DE /LER PARCE QUE VOUS / D TENFUR?/ N'AVEZ PAS CONFIAN.

A LIHISTOURE, DE CETTE CROIRE . MAIS JE NE PEUX FEMME EN DANGER | JE PAS LU DONNER TORT VEUX QUE TU ME. CONDUISES D. CHE CELUI QUI és B T'A PAYÉ

NONTJENECROS PAS Ÿ { rl (rl ALORS BLEK NE VEUT PAS ME 600

TES

b

PT CAR. A) 7 TAT DONT NOUS 4}

f AVONS ÉTÉ UOB. ff JET MACQUBE |

DAGA NE FAIT RIENT JE CONDCIRA QUAND MÊME BLEK AU MA.

AS NOIR" PAR LIN CHEMIN 4 LIL NE CONNAÏT PAS..AINS } a |

SIL VI A QUEJE N'Aÿ "Y PAS MENT!

UNE DEMI-HEURE PLUS TARD,TISSE] WOH S'ARRÈTE BRRUSQUEMEN Tru

CETTE FLÈCHE à AUSSI M'ÈTAIT

CON VAINCU QUE CETTE: FOIS AUSSI, IL ÉTAIT LA VICTIME DE: SIGNÉE BLEK S'É. LANCE À LA POUR. - SUITE Du MVYSTÉ - PRIEUX AR.

We

cal

ILETAIT PEUT- ÊTRE DANS UN ARBRE | DU RESTE LA DIRECTION DE LA FLÈ - CHE LE CONFIRME !

ERRE ET LAISSER DES EMPREINTES!

MAS IL AURAIT D SAUTER ‘ À MOINS QUE, MAIS OU ne À | in ÉTAIT PEUT.

ET AU LIEU DE S'ENFUR, IL A DO SE CACHER !

he (ON VERRA BIEN | SI ACET ARBRE EST VRAL-

TREMENT

TE TRONC D'ARBRE ETAIT EFFEC] PR Pa ESPÈRE SEULEMENT TIVEMENT CREUX, MAIS 14 ÉTAIT) SEA QUIL ABANDONNERA TISSE) CONSOLIDÉ PAR UNE ARMATURE pal MOH , CE QUI ME PER.

Ÿ METTRA DE. U'ACHEVERI

E. N'AI ENCORE. RIEN TROUVÉ PROFESSEUR QE T LSSEWOH,

LES MENT VA

J'AI EXTRAIT LA FLÈCUE ET J'AI PANSE SON ÉPAULE! LA BLESGU

EST LUI | C'EST Ni LEK LE ROC! WA

TOUT DE SUITE MON COLONEL !

CEPENDANT, BLEK LREVENU SLR |, AVEC LESQUELLESI CONSTRUIT SES PAS, COMMENCE À COUPER DES| | DELIX PETITS RADEAUIX LIANES ET DES BRANCHES 9 en

m PUIS IL SOULÈVE LE. PREMIER ET LE POSE À LA SUITE DU DEUXÈ-

EN SOMME VOTRE SERVITEUR.

DE CETTE FAÇON JE Fi- NRA PAR ARRIVEZ JUSQU'À LA VOITURE!

QU'EST-CÉ QUE JE VOUS p\ DISAIS FOSTER. ? LL N/ Y

AVAIT QUIUN HÔMME CA- PABLE: DE. TRAVERSE!

L'AVETZ VU À L'ŒUVRE |

C'EST CELA | ET APRÈS VOUS AVOIR VOLÉE VOUS A| [SANS GET INDIEN ENFERMÉE ICI ET VOUS À JETÉE DANS LE MARAIS ?

ET SURTOUT SANS VOUS, 'AURAIS FIN

PROFITANT DU TROUBLE DE BLEK, ÇA Y EST ! vous MASQUE LUI SUBTILISE SON COU POUVEZ YŸ

= BLEI NE. NOUS JMILLE TASTORS! ÉCHAPPERA BLUSLIQUE SE Pie &; = 7 val A =

DICTIONT M PISTOLET? MON

COUTEAU ©?

C'EST VOUS QUI ALORS C'ÉTAIT RME LESAVEZ Z [TOUT UN COUP

MONTÉ |! VOUS AVEZ VOULU

ue IL FAUT AFFIRONTE COMBAT SANS ARMES on

LC: ÈS 2

2 \

à Œ E

\ 4 7 A

FA CONTINUE ET. MASQUE EST EN AD. RATION in

TU ES TOMBE BARS LE PAN-

FAÇONS DE TOMBER... SUI2 LES PIEDS, COMME

MOI:

EMMENEZ [LE | AU FORT | QU'IL SOIT Ne DE. UMAIRE RAA =

CACTIN

SOS TRANQUILLE MIGNON NE SIJE PEUX. DANS QUELS QUES INSTANT'S,JE VIEN

GE AUX LSO/NFD'OC. CULTIS

VOYANT,,

MIEUX VAUT LES CONDUIT ARE JUS QU'AL SAUT DE 4x

QUE TIÉSEWOU 1, Y LT MAIS PAS ICT CAR

R. \

PEL APRÈS OCCLLTIÉ ET &ODDY.| SOUTE - NANT TISSEWO AVANCE) DANS LA FORÊT, SUIS DES DEUX SHA- NIES Qui ONT

} ET SI JE ME SERVAIS DE LA À GOURDE DE BOST POUR FAI-

RE COMME LE PETIT

[SANS SE FAIRE REMARQUER, 0C- CULTIS LAISSE TOMBER UN PEU DA

SPOUDRE 0

mn ET RECOMMENCE L'OPÉRATION À MESURE Qu'il AVANCE.

ET LIN INSTANT PLUS 7ARD,

E QUAIS FAIRE LINE PE:

TT É fi Cz

TT

M'ATTENDAIS LE CCŒUR. BATTANT |

LE CŒUR NON MAIS LE PISTOLET OUI!

En JE VAIS LVOIe|

LU PRENDRE SON UNIFOR.

NANT LA BA RAQUE, MASQUE ARPRIVE g DERRIÈRE] À LES DEUX SENTINEL LES Qu, GARDENT BLEK,»

CONTOUR. ETGE: eue Qu! RE. GAP . DAIT

DISTRAI. TEMEINT|

LES DEUX AN. GLAIS,

BOND/F) SUR. PRIE,

en |

DERRIÈRE LES SENTINELLES EST APPARIL, UN PISTOLET TE- NU PAR LE CANON.

LA STUPEUR DE BLEK|= AUGMENTE LORS - LIL VOIT UN TROI. |2 Vue ANGLAIS PRENE DRE LES CLÉS DAN! LÀ POCHE DE LA SENTINELLE ».

APE br ZA

SUIS UN ANGLAIS? EH BIEN

nn ON DE SUIS CE nt)

OUR PAS MON PAREIL AU BISTO

SE RETOUR) NER LES DEUX FUIGITIFE : C'EST LE] COLONEL QUI A ALERTÉ LE RESTA PE LA TROUPE,

QUE FAIRE?) OCCUPEZ . VOUS Dou-

D Ver LA Por. ET BEMM” LEE

TT MARTENGNT)

VOIR PER - SONNE, LES TRACES DE

EN SUIVANT LES PETITS TAS DE POUDRE, LE TRAPPEUR ET SA COMPA GNE ÉARVIENNENT AU SAUT DE L'OURS, LE PRÉCIPICE OÙ PENOB ETIVUSCO VEU. LENT FAIRE TOMBER TISSEWO4 ET NOS

VDU CALME ,ROPDY ! OYONS DIGNES DEVANT]

BLEK N'EST) PAS LA!

DEUX AMIS,

SU VOUS NE SAUTEZ PAS DE Y NOUS_MÊMES , NOUS VOUS Y CONTRAINDRONS AVEC DES FLÈCUES!

LACHES | ; Vous N'ETES NS

AFFRONTONS NOTRE SORT DANS UN SILENCE, DÉDAIQNEUX | Du RESTE, PUISQUE BLEK N'EST PAS LA NOUS NE y POUVONS PAS FAI-

RODDY ! JE TE Dis DE TE COM. PORTER AVEC DIGNITÉ ET TOUT CE QUE TU TROUVES À DIRE CIEST ! SAPERLIPOPETTE "| PEN. SES-TU QUE C'EST DE MISE Poui

N HOMME QUI VA MOURIR FOUT JUSTE

Ÿ Roresseur!| < w

k VAS es

RC'ESTQUE JE NE ÉTIME CONSIDÈRE

BLEK ! OH SAPERLIPOPETTE ! TU AVAIS RAISON

} /NE CRANS REN! LES boite VISAGE PÂLE N'ÉCHAPPE , anse RA PAS À NOS FLÈCHES! #

A

\

AL EAN [y ET LE BRISE NET

r NF ANS

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PENDANT QUE MASQUE VA LI BÉRER OCCULTIS ET RODDY,

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QUOI ? ICS ONT LIBÈRE TISSEWOH?

. 0] À ©

ATTENDS, BLEK ..TISSEWONH N'EST PAS LÉ TRAIÎTRE QUE

TU CROIS , MAIS LA VIC— TIME DÉSIGNÉE DE

AYANT MIS LES CHO-

SES AU POINT

SHAWNIES]| S'ADRES- SE AUX DEUX

TRAÎTRES

ELOIGNEZ- VOUS TE VOUS LAISSE LA VIE SAUVE MAIS NE REVENEZ. DAMAIS AU eV LLAGE ÿ

a Ca

MILLE TORNUES ALAMBIQUEES! C'EST DONC ELLE " MASGUE”

TERREUR DES F ANGLAIS?

PAS NE ME nue

,

BLEK, CE SEAT INT: ajS SOUVIENS-TO! AIS

LE. 14 ; CHAQUE FOIS] AURAS BESOIW)

DE MOI, TU LR Q ErRAS À TE: 5

W TÉS uv

ELLE FUIT COMME St ELLE ME CRAIGNAIT ET EN MÊME TEMPS QU'UNE EXPLICATION, Æ

BLEI LILYA DEUX PER

= BSONNALITESDANS MAS -

QUE: LE

TE PATRIOTE VOIT EN TOI UN RIVAL, ALLONS , AL- MAIS LA FEMME VOIT EN TOI UN HOMME: LONS | NE FAI

NH QUE L SOULAGE MENT NOUS VOICI ENFIN AR

2 # RIVES!

De

OUS REPOSER? SE

JE CASSERAL TOUT , MAI NOUS JE VOUS CASSERAI Z

PAUVRE PROFESSEUR ! J'AI BUEN PEUR QUE “TOUT CE QUI EST ARRIVÉ. AU -

OURD'HUL" NE SOÛT

ZAR ce ? F1. / 1208 FIN DE L' SE DE À SNVRE

COURRIER DES LECTEURS < Pourquoi n'y a-t-il pas d'albums

reliés de BLEK? » (Tabir ABPERWA- HIP, Casablanca. F. HUE, Clerbec.)

En effet, il n'y en a pas, Mais nous comblerons cette lacune dès la fin de l'année.

« Pourquoi ne pas mettre « LES AN- GES DE L'ENFER » dans ZEMBLA ? > (Robert LETARD.)

À chaque revue des histoires qui ui sont propres, ne pensez-vous pas ?

« Formidable, sublime, épatant, sen- sationnel, incomparable, fantastique, Peu d’adjectifs peuvent exprimer la joie que j'ai eue, et de nombreux lec- teurs aussi, en ouvrant leur journal mensuel de KIWI, en découvrant en- fin l.. le courrier des lecteurs. Je l'ai lu avec attention et les femmes ne sont pas toutes antipathiques comme vous le dites, car l'exemple du dernier numéro, je trouve au contraire Anna très sympathique et elle montre beau- coup d'amitié envers Blek qui est pour- tant son ennemi, Elle lui donne son trésor et lui prouve son amitié, Je vous’ félicite aussi pour les pages sup- plémentalres. du Petit Trappeur. Je n'y reste pas indifférente et je vous remercie mille fois et les lecteurs avec moi, LES ANGES DE L'ENFER devien- nent de plus en plus passionnants. Vito s'est enfin aperçu vraiment de l'amour de Mary. » (Marie-Claude Danussat, »)

Merci Marie-Claude pour cet encou- ragement. Vous savez maintenant que votre cher Zagor paraît dans YUMA et qu'il n'a pas perdu en déménageant. Le Voici à quatre-vingts pages au lieu de trente-sept. On ne peut pas nous reprocher de tricher Cette réponse s'adresse également à Philippe PON- THOREAU, jacques PANEVEL,

Désolés de ne pouvoir envoyer de photos de BLEK à Régent POIRIER, Arsène Wasse et à tant d'autres qui nous les demandent, et pour cause. BLEK est un personnage du passé et il ne peut y avoir de photo de votre héros préféré, même s'il avait existé.

Michel HUDER est un raffiné, il découvre qu'il y a deux dessinateurs pour l'histoire OMBRAX et il a rai- son, comme il a raison d'écrire que le dessinateur du PETIT TRAPPEUR a changé depuis trois ans, Mais nous sommes d'avis, tous, que les derniers ne sont pas inférieurs aux premiers. Songez à la difficulté qu'il y a à imiter un autre dessinateur | Désolés, Michel, il n'y a plus aucun exemplaire de premiere numéros de KIWI ou de

Didier nous pose tout de go la ques- tion : « Quelle est la revue la plus vendue des Editions LUG ? » Eh bien! Didier, c'est précisément KIWI ,ton livre préféré,

AVENTURE :

BLEK RODEO ZEMBLA OMBRAX NEVADA

Les Super-Productions “ LG” de ce mois YUMA

COMIQUE : PIM, PAM, POUM, PIPO

FANTASTIQUE : STRANGE

53 —

DIFFICILE BATAILLE POUR HERVE VILARD

« Sayonara ». Ce refrain a pour Hervé Vilard une importance capi- tale. Grâce à lui, il figure en bonne place des Hits. Le gentil Hervé a réussi son difficile « come back ».

La carrière d'Hervé Vilard a dé- marré il y a quatre ans, en 1965, Un bon matin, un dise jockey pro- gramma un disque Inconnu chanté par un inconnu. Sur ce disque, il y avait « Capri, c'est fini » et ce re- frain mélodramatique allait devenir le « tube » de l'été et le rester de longs mois encore.

Derrière ces couplets larmoyants, se cachait un adolescent aimable et timide : Hervé Vilard. D'un coup, les trompettes de la renommée procla- mèrent sa gloire à tous les échos. On se mit à raconter sa vie en long et en large. Il est vrai (et pour les gens chargés de sa « promotion », c'était une aubaine |) que son exis- tence était un véritable « filon ». Hervé, en effet, avant d’être décou- vert, avait souffert, avait pleuré.

Très jeune, ses parents l'avait abandonné. On le confia done à l'Assistance Publique. Entouré de gamins de son âge, Hervé fit alors l'apprentissage de la solitude et de la. peur.

Les nuits sont longues qui ne sont pas ouvertes par le baiser d'une mère. Aujourd'hui encore, Hervé confesse : — A l'orphelinat, sans savoir pour-

quoi exactement, j'avais toujours peur. Cette peur, même après ma réussite, ne m'a jamais totalement abandonné.

Sensible et secret, il grandit. C'est une « lapalissade » heureux ou malheureux, il faut vieillir, mais il est notoire que les enfances mé-

lancoliques ou amères sont un han- dicap difficile à combler.

Hervé a 14 ans. On le « place » dans une imprimerie, On a prévu qu'il deviendra typographe. Beau métier. Hélas, le plomb, les mains sales, l'encre n'attirent pas le jeune garçon. Il voudrait faire autre chose. Convocation chez le directeur. Ques- tion : 5 — Que voudriez-vous faire ? — Chanter. — Mon pauvre garçon! ce n'est

pas sérieux | Un métier de crève-la- faim. Pas d'avenir. Soyez raison- nable. Vous êtes seul au monde, mon garçon. :

L'APOGEE Raisonnable, Hervé ne l'est pas.

C'est une qualité qui vient en même temps que le ventre. |! quitte l'im- primerie, retourne à l'Assistance. || à toujours la même obsession : chan- ter, mais il sait qu'il ne pourra vala- blement le faire que s'il prend des cours chez Un professeur sérieux.

. Or, pour prendre des cours, il faut de l'argent, il n'en a pas. À moins que la chance s'en mêle.

En l'occurrence, c'est ce qui se pro- duit. Hervé rencontre un richissime marchand de tableaux et ce « mar- chand » qui a du cœur se prend d'affection pour le jeune orphelin. Il lui trouve une place chez le plus grand disquaire des Champs-Ely- sées. C'est déjà du bonheur pour Hervé. II a la possibilité de se saou- ler à grands coups de Sinatra Et puis, l'inconnu d'hier fait mieux en- core : il devient le tuteur légal d'Hervé et lui offre les fameuses le- gons dont il rêvait.

Cours de chant donc et très vite ss 54

HERVÉ VILARD (suite) derrière, parce que c'est la mode, il enregistre son premier disque. Rien d'extraordinaire. Suit « Capri, c'est fini » et c'est le miracle. Voilà le ga- min d'hier, sacré en quelques mois « super grand de la chanson » ve- dette à part entière. De. quoi avoir

le vertige. Il l'a et c'est naturel, excusable, sympathique.

Il à sa petite « cour » comme

toutes les « stars ». On le chou- choute, on l'adule, on lui « mange son argent ».

Les disques s'enchaînent. Les suc- cès aussi. Hervé a trouvé en Da- nyel Gérard un faiseur de « tubes » sur mesure.

Il y a « Mourir ou vivre », « Fais- la rire », « Jolie ou pas jolie », « Il faut croire en demain », « Viens la nuit nous appelle », etc,

Et puis c'est le septième disque d'Hervé. On dit que le « 7 » est un chiffre porte-bonheur. Hervé n'est pas d'accord, car c'est à partir de ce disque là que les choses ont commencer à se gâter pour lui.

Les passages radio deviennent moins nombreux. Les auditeurs ne réclament plus ses titres. Les ventes s'en ressentent. C'est le creux de la vague. D'autres ont connu ça, mais Hervé est jeune. Jeune à tous les points de vue. Jeune par. l'âge et jeune dans le métier. Alors, il s'af- fole, se ronge et se rend malade.

LE FOND DU TROU

Hervé se refuse à admettre qu'il traverse. une mauvaise passe, que d'autres -sont passés par là avant lui. Il rage ét tempête, et souffre. La peur, qu'il croyait avoir « se- mée », se rappelle à lui. ll essaie de la fuir en « faisant la fête » comme disaient nas grand-mères et le ré- sultat n'est pas brillant. Des gens « bien intentionnés » se proposent alors pour prendre en main sa car- rière. Orgueilleux il refuse :

— Je ne suis pas une + Sheila ». Le vent de la défaite le rend har-

gneux. Il se fâche avec des copains et puis aussi avec des gens impor- tants.

Ses idées noires ne le quittent plus. Sur ce, le petit monde clos du show business est secoué par une nouvelle : « Dalida a voulu se tuër, » Pour Hervé, déjà fortement ébranlé, c'est la fameuse goutte qui. etc. Un matin, les gazettes annoncent que lui aussi a voulu en finir avec la vie.

On le sauve et il y a la convales- cence. Lorsqu'il en sort, il est déjà presque gommé dans la mémoire du public. !| tente de refaire surface, mais n'y parvient pas. Pourtant il n'abandonne pas. Comme il est ma- lin {il le reconnait lui-même, tout en

précisant « malin, mais pas business- man pour un sou ») il décide d’en- gager la bataille sur un autre terrain. Il choisit l'Amérique du Sud.

Justement un concours se déroule en Argentine, Hervé y participe et enlève la première place. Le voilà lancé. 11 fait des tournées, des galas où l'on se presse pour applaudir « le petit Français si mignon ». C'est le succès à nouveau. Aujourd'hui, à Rio, Hervé possède une villa avec piscine et une grande auto avec air conditionné.

Oui, mais, mais il est loin de Paris. Les «+ bravos » équatoriens n'ont pas la même saveur que ceux que l'on récolte à Rouen ou à Nice. Il décide de revenir en France.

De retour à Paris, après avoir confié à l'ex-comptable dé M. Pom- pidou le soin de veiller sur la bonne marche de ses affairés, il enregistre un nouveau disque. Le disque de « Sayonara »,

J'ai joué ma carrière en France à pile ou face, commente Hervé. || faut croire que son coup d'audace s'est avéré payant, puisqu'il a lancé un 33 tours.

Un 33 tours qui est sorti en France.

56 —

| LES ANGES DE L'ENFER | He Eire à ZanS La

AZ LIN BEL. APRÈS. ME D'OCTOERE, LES ANGES

DE L' HA FEI ë, MENT DANS La MATIRE, À VITESSE RÉDUITE : À PEINE EN PETIT 160.

PAS MOYEN DE SE BALADER

Vs SANS RENCONTRER UN

Len a) CORTÈGE DE GROSSES N'ÉTAIT HUILES ! GILBERT LINDAY

PAS FEAT LE 7788 ÉTAIT AVEC LUI } GOUVERNEUR DE 4 à

ALLER VISITER LE BARRAGE

DE BAR - RAGES?/ AU-DESSUS

À PROPOS, MMOTER LIN LAY, QUE PENSEZMOUS DES ÆRUITS ŒUI COURENT SELON LÉS@UELS LE GREEN PRINT, MENACE - ET DELÀ, or

AIS PaIT EN. RAIT DE $S/ÉCROULER ©

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LE FAIT ESTQU'IL NE VEUT PAS | |/EH BIEN, NOUS ALLONS REVENIR À RÉCONNAÎTRE QUE _L'ENDROIT LA CHARGE TOUS LES DEUX , AU. N'ÉTAIT PAS FAVORABLE À LA CONSTRUOTION D'UN BARRAGE]

SI PRÈS OÙ GR£EN MINT QUI QC EST NOTOIREMENT FRABLE |

IL FAUDRA BIEN ŒU'IL RÉPENDE QUELQUE

CHOSE POUR NE PAS PERDRE La FACE DEVANT LE GOUVERNEUR. |

en Lu ENOANT QUE CONWAY, LE GE: CLOGLIE CE LA PINS ET OAN. VIL, L'INGÉNEUR EN EF. DON.

NENT LES RENSEIGNEMENTS TECHINLIES.

VENEZ DONC: JE

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ce MAG, ENCORE LINE FOUS, LIN.

DAŸ LEY CXCAMAE LA PAROLE.

EXCUSEZ NLAISSEZ DONC, MOT MONS.) EUR 22/270/JÈ

PRENDS CETTE AF- SUR Moi |

CE N'EGTQLE LORSQUE HET À POAMINE LE LIOS QUE LE LUE. VRE RUPE SE SOALVENT DE CE GI VOLLAIT NES …

MOUS VOULEZ DEMANDER AU ALLONS, ALLONS, NE ME OÙVERNEUR DES CRÉDITS REMERCIEZ PAS... IL EST

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LIT EN TENCANT LINE CARTE. À GAUELQUE CHOSE DE BARNEGAT

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FT, SANS ATTENDRE LA RÉACTION DE JE ME SUIS LANESSÉ BARNEGAT , LINDAY MONTE ET AIT A AVONT DONNE LIN BONE AL CHALFFELR DE PARTIR

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CES TE. ‘MAT: SUR LA ROUTE

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L'ALERTE PASSÉE, Nos ANUS JTEINQTÉEENT, EN LES.

DOLISLANT DE LLITENCE, VERRE ELVERSION

NE TÉLÉPHONEZ PAS À LA POLICE AVANT UNE DEMI - HEURE. VOUS POURREZ. TOLUIQURS DIRE QUE VELS AVES ÊTE RETARDÉ PAR

CETIT CRÉTIN/ JE N LT LES MIET ALL COLLRANT CE CE @L/'HL VENT D'ACPREN. |

LE. ARE, LAISSANT HEAT ÆW COMER- SA7/CN

AVEC LUZ, LINDAY LETOINT PANVIL , CONWAY ÆT PETER LINE EN

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LORE MA PLAGE ! SELLE. APRÈS L'AVOIR FAIT SIGNER. MENT, J'AI RÉDIGÉ UN PAR UN TÉMOIN: CAM ZL A COMPTE .RENDL DL PETIT CHANTASE QUE VOUS AVEZ. BXERCÉ SUR MOI ETQUE JE GARDE EN LIEU SUR...

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ÉTEINS LES PHARES ET _APLATIS-TEI. BAUT PAS QU'ILS PUISSENT NOUS RECONNAÎTRE,

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SPAS LA PORTE RÉSISTE ALES, BEN ALX COLIS DE BUTEUR DE P'TIT JESUS @L/ AL FL DE FER DE PERCOLSSO

VOUS ALLEZ LA |

el FERMER, 7ROLLLARES IL VENT Ce IL LE SAIT BIEN, QUE

C'EST COTON | MAG AVEC LU, GUAND YA DU COTON, YA DE

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RESTE EN ARRIÈRE ET GAFFE LES. FENÈÊTRES

PENDANT CRUE NOUS DEUX , ON ESSAIE D'ENFONCER LA

VOYONS S’ILY A UNE ENTRÉE DERRIÈRE

C'EST ANS QUE TOUT LE GROLRE, GLESLES MINTTES BARNEGAT £7 BLOODY. MARY COMPRISE, LE SLENCE, Lys. GE TRRANE DEVANT LE GARAGE ONERT ner

SORTEZ !/ SINON NOUS ALLONS APPE LER LA mue |

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TRIQUEMENT PORTILLON , LS D'EN {

C'EST mn / / FN if HAUT PAREIL !

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4 CENSGÉE AUX DEUX PIOPNTES À Æ 4

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