24502684 Les Mysteres de l Antigravite Man Made UFOs

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Man-made UFOs Les mystres de l'antigravitQui manuvre les Ovnis ? Est-ce exclusivement un phnomne extraterrestre ou bien des hommes sont-ils derrire ces tranges et fantomatiques vaisseaux capables de disparatre sous nos yeux et de manuvrer des vitesses indescriptibles ? Des militaires amricains pilotaient-ils les triangles lumineux qui composaient la vague belge de ces Ovnis qui avaient envahi les cieux de lEst de ce petit pays ? Le problme des Ovnis nest sans doute pas exclusivement extraterrestre et nous allons tenter dapporter quelques hypothses, indices, faits matriels et rponses ces questions. Avez-vous dj vu un objet volant non identifi ? Avez-vous dj rencontr quelquun qui en a aperu un ? Ou encore, avez-vous remarqu que les tmoins visuels qui se manifestent, les livres qui sont rdigs, sont de moins en moins hermtiques ou sotriques et tendent mme normaliser ou banaliser lexprience ? Dune certaine manire, les Ovnis sextirpent du gros classeur libell paranormal occulte pour tre plutt perus comme des phnomnes aronautiques rels regardant la scurit militaire. Les observateurs attentifs auront remarqu que, depuis 1947, ce penchant manipulateur quont les militaires se mler du problme Ovni a tendance saccentuer au point que certains officiers la retraite -dans un dernier geste dhonntet relle ou feinte, allez savoir- livrent dans des ouvrages et des interviews confessions, leurs petits secrets sur les origines de ces engins. Les hauts grads amricains sont de plus en plus nombreux vouloir soulever un coin du voile et expliquer que lUS Air Force est mouille jusquau cou dans cette daffaire. Par consquent, lUfologie a acquis, depuis la fin du 20e sicle, un dbut daura de crdibilit auprs des passionns de la question. Lhomme de la rue nest pas encore inform ; mais imperceptiblement, une partie certes encore marginale de lopinion publique change sa perception de ces objets volants non identifis dont les comportements dfient les lois aronautiques habituellement admises. Nous nen sommes plus vraiment nous poser la question basique de savoir si de tels engins existent sur un plan matriel mais bien de se demander ce quils sont vraiment et qui les pilote. Signe des temps, le rapport franais Cometa reprsente une pierre angulaire encore trs lacunaire mais nanmoins une vraie base de rflexion dans ce dbat puisque les spcialistes et scientifiques qui avaient t consults la fin des annes 90 pour livrer, par le biais de ce rapport, leur analyse du phnomne Ovnis aux plus hautes instances du gouvernement franais, avaient conclu que non seulement, ces tranges vaisseaux taient des manifestations physiques tangibles qui laissaient des traces exploitables (sur les radars par exemple) mais quen plus, ces appareils pouvaient peut-tre constituer terme un danger pour la scurit de lEtat. Des hypothses contradictoires ou complmentaires ? Avant donc de nous intresser la description, au contexte historique et au mode de propulsion de ces engins top secret que sont les Ovnis militaires (ou Black Programs), il est capital de prendre en considration un certain nombre dhypothses dfendues par diffrents auteurs sur lorigine des Ovnis en gnral et sur les connaissances technologiques que supposent leur mode de propulsion. Et de ce fait, ces connaissances sont-elles notre porte ? -Soit, tous ces engins et les connaissances de leur mode de propulsion sont purement extraterrestres et chappent compltement lentendement et au contrle humain, une thse qui,

aujourdhui, nest pratiquement plus dfendue par personne. Les auteurs semblent plus hsitants pour confrer un monopole extraterrestre lorigine de tels aronefs. Nombre douvrages et de tmoignages voquent en termes clairs que les Ovnis ont entretenu et entretiennent encore aujourdhui des rapports troits avec ltre humain (voir hypothse suivante). Des hommes auraient pilot de tels engins, ont su et savent comment les concevoir et ces 60 dernires annes au moins, le cartel militaro industriel amricain aurait dvelopp un certain nombre de programmes et de prototypes diffrents. -Autre hypothse : ces engins sont dorigine extraterrestre et les technologies ont t donnes aux humains ou changes contre du matriel humain dans le cadre de programmes trs prcis, une hypothse largement ravitaille par un nombre croissant de tmoignages manant principalement dabducts mais galement de militaires et de scientifiques, en majorit amricains que lon retrouve rassembls autour de diverses associations comme le projet Rvlation du Dr. Greer qui exige du gouvernement US une transparence totale sur les dossiers Ovnis et extraterrestres. Sur Internet par exemple, Branton et ses improbables Omega Files (http://www.think-aboutit.com/aliens/omega_file_txt.htm et http://www.anomalousimages.com/text/omega.html) dtaillent longueur de pages les programmes Top Secret dchanges entre une ou plusieurs races extraterrestres (des Gris, des Reptiliens) et des hauts grads et des scientifiques, membres dune sorte dEtat-major secret et la mise en place dune dictature militaro-extraterrestre. Les extraterrestres livrent des technologies permettant de construire des prototypes antigravit et reoivent en change du matriel humain pour pratiquer leurs sinistres expriences. Le tout se droule dans dimmenses bases secrtes situes au Nouveau Mexique, en Utah, au Colorado ou au Nevada, toutes ces bases tant relies entre elles par des lignes souterraines de trains trs grande vitesse. Chaque anne, ce scnario senrichit dautres dtails, de nouveaux tmoignages, de documents dits secrets, voire mme de photos et de vido de pitre qualit montrant lintrieur de ces bases souterraines comme par exemple les cuves dans lesquelles sont conservs des monstres hybrides mi-humain, mi-extraterrestre. Jean-Marc Roeder se montre assez sceptique vis--vis de ce scnario, vous le verrez dans linterview, car il semble plutt privilgier le scnario de la confrontation hostile entre des aliens et des militaires et leurs programmes darmement. -Cette hypothse de la confrontation est par ailleurs galement illustres par certains tmoignages comme celui du Colonel Corso (ancien responsable du programme technologie trangre au Pentagone) mais aussi par certains tmoins du type gorge profonde qui justifient la reprise du programme Guerre des toiles de Ronald Reagan, non pour des raisons de lutte contre le terrorisme mais pour tre capable dinterdire notre ciel des aronefs extraterrestres. -Avant dernire hypothse : il existe trs certainement des Ovnis dorigine extraterrestre mais les humains ont eu dans un trs lointain pass et ont retrouv aujourdhui les connaissances pour construire et faire voler ces engins. Pire encore : des pans entiers de notre histoire auraient t manipuls et occults pour nous faire croire que nous ne sommes pas capables de crer et de matrialiser un tel niveau de connaissance physique et technologique. Cest en quelque sorte la conception gnostique du problme pos par les Ovnis. John Lash, crivain et chercheur dans le domaine des textes gnostiques mais galement des philosophies et cultes remontant avant lavnement des religions monothistes estime que lhomme avait et a encore en lui tout le gnie pour raliser ses rves et objectifs. Selon Lash, lhomme possde toute la connaissance ncessaire mais une intervention trangre la terre, une intervention extraterrestre, nous a coups de nos capacits anciennes en nous induisant en erreur et en manipulant notre perception de lhistoire. Nous naurions pas besoin de religions, dextraterrestres et de leur inspiration pour nous raliser. Par consquent, on peut en dduire que certains extraterrestres se prsentant comme nos matres et nos guides nont rien nous apprendre sauf nous persuader que nous aurions besoin deux pour tre sauvs. -Il existe enfin une lgre variante lhistoire : les informations qui nous ont permis de

construire ces disques volants nous auraient t donnes par chanelling, comme par exemple linspiration du groupe Vril dont nous parlerons plus loin. Cette histoire dinspiration, de sources dinformations qui auraient permis lhomme de construire des engins antigravitation est assez significative car elle laisse sous-entendre que ltre humain na pas les capacits intellectuelles de concevoir seul une nouvelle physique do serait issue lantigravitation. Lhomme aurait eu besoin, selon certains auteurs (Van Helsing etc), dentrer en contact avec des entits suprieures, voire pire, de rcuprer des paves de soucoupes, dabattre ces engins pour faire siennes ces technologies. Dans cette optique, ltre humain naurait pas encore la maturit ncessaire et est une sorte de sous produit dune intelligence suprieure, celle des extraterrestres. Mais lon peut galement concevoir le fait que toutes les tentatives de perces scientifiques effectues par divers chercheurs indpendants comme Tesla ou Shauberger dans les domaines de lantigravitation et de lnergie libre, sans recevoir laide daucune entit, ont t freines, voire museles et censures puis rcupres dans le plus grand secret pour des raisons politiques, conomiques et gostratgiques par les gens qui nous gouvernent

Tesla et l'installation de Colorado Spring

Lhypothse hybride Dans le cadre dune hypothse hybride, certainement la plus logique et intressante (car riche en consquences) o les Ovnis sont des engins tantt extraterrestres, tantt humains, on peut se poser valablement la question de savoir quelle est la proportion dOvnis extraterrestres et dOvnis pilots par des militaires. L encore, on peut tomber sur des avis trs contradictoires. Jean-Marc Roeder est davis que la plupart des observations, lorsque celles-ci sont pertinentes, sont des cas dappareils extraterrestres. Ce qui recoupe certains tmoignages dofficiers de larme amricaine qui se sont exprims dans le cadre du fameux projet Rvlation (Disclosure) du Dr Greer. Par exemple, le Colonel Ross Dedrickson, au cours de ses auditions effectues devant lune des Commission Disclosure en septembre 2000, soulignait avec intrt le fait que la plupart des installations stratgiques de larme amricaine faisait lobjet de survols frquents dappareils dorigine extraterrestre, surtout les bases abritant des silos pour missiles nuclaires. Le Colonel a rapport des incidents de survols de bases abritant des missiles Minuteman I, II et III au cours des annes 60. Certaines de ces installations ont t mises hors service par les extraterrestres, affirme Dedrickson. Mieux encore, il parle de destruction de missiles envoys dans lespace, sans doute au cours dexercices longue porte (Dedrickson nest pas trs clair sur ce point). En tout tat de cause, chaque fois, des Ovnis taient reprs sur radars et les avions qui taient en tat dalerte ont tous t incapables de les intercepter. Larme amricaine est donc entre en confrontation directe avec ces extraterrestres. Le plus tonnant dans le discours du Colonel Dedrickson, cest quil affirme que les extraterrestres taient trs perturbs et opposs aux essais nuclaires, ce qui laisse sous-entendre quil a du y avoir changes dinformations entre humains et aliens. Les essais nuclaires taient perus comme un grand danger par ces aliens : - cela inquitait vraiment les extraterrestres, parce que cela (ces essais nuclaires) affectait notre

ionosphre et que la pollution ayant envahi le champ magntique, leurs vaisseaux ne pouvaient plus fonctionner. Daprs ce que jai compris, nous avons essay de placer une arme nuclaire sur la Lune et de la faire exploser pour effectuer, entre autres, des relevs scientifiques, choses inacceptables aux yeux des extraterrestres Les extraterrestres ont dtruit larme tandis quelle se dirigeait vers la lune. Pour les extraterrestres, lide quun gouvernement puisse faire exploser une arme nuclaire dans lespace tait inadmissible et cela a t dmontr maintes reprises. (tir Nexus Magazine, dition franaise, Les extraterrestres surveillent nos installations nuclaires, janvier et fvrier 2006 et de Steven M.Greer, Rvlations Tome 1, Editions Nouvelle Terre)

A quoi nous intressons-nous ? Cet article se focalisera quasi exclusivement sur lhypothse selon laquelle des Ovnis certains dentre eux du moins- ont une origine humaine, ce qui nimplique en aucune manire que nous prfrons une hypothse une autre. Cest un autre dbat. Nous naffirmons donc pas avec vhmence que les Ovnis ont une origine strictement extraterrestre ou bien que ceux-ci sont uniquement des projets top secret fabriqus par un cartel militaro industriel non contrl par les gouvernements officiels comme par exemple laffirme Jim Keith dans son livre Saucers of the Illuminati. Consquence de cette hypothse : les enlvements extraterrestres seraient des mises en scne de haute technologie conues par des units militaires dans le cadre dopration de manipulation du comportement et de guerre psychologique. Plutt que de poser le problme en ces termes, nous avons prfr nous demander do proviennent les connaissances techniques qui permettent ces engins daccomplir de tels prodiges ? Nous nous contenterons donc de prsenter ici la thse selon laquelle certains Ovnis ont t conus par un cartel militaro-industriel (dabord allemand puis amricain) sans carter pour autant la possibilit que des Ovnis extraterrestres sillonnent nos cieux. En fin de compte, lenjeu principal est de savoir comment ces groupes occultes qui fabriquent de tels engins ont pu se procurer de telles informations, une telle qualit de connaissances scientifiques ? Mais galement pourquoi ces lobbies nous cachent lexistence de tels aronefs? Quelles sont leurs performances, comment fonctionnent-ils ? Cest donc ces questions que nous allons nous efforcer de trouver des rponses via cet article et surtout linterview exclusive de Jean Marc Roeder, un physicien autodidacte, passionn de lantigravitation et des solutions soi-disant non conventionnelles de propulsion daronefs. Roeder a non seulement des rponses prcises, surtout dans le domaine technologique mais il a eu la chance de rencontrer certains tmoins directs de la question. On peut rsumer son background en ces quelques lignes : Physicien dans l'me, Roeder se forme en autodidacte la physique, principalement arodynamique, optique non-linaire et relativit spciale et gnrale. Sa compagne l'aide acqurir un bagage mathmatique rigoureux et utilisable, bien que plus limit que celui que donne un cursus universitaire. Il n'acquiert que les outils mathmatiques qui lui sont indispensables (calcul diffrentiel et gomtrie Riemannienne principalement), laissant de grande lacunes par rapport un tudiant universitaire, mais ne l'empchant pas de russir les expriences qu'il entreprend en physique. Dans les annes 80, il devient chercheur de plein droit avec laide du Professeur Grossmann de lUniversit Louis Pasteur de Starsbourg, prsente sa thse et accde de plein pied divers projets relatifs diverses expriences en physique relatives lantigravitation. Mais avant dentrer dans le vif du sujet, nous allons installer un contexte historique, un pass ce dossier car nous pouvons remonter loin dans le temps. Les trois priodes Nous pouvons grossirement et pour la facilit subdiviser lhistoire de ces Ovnis dorigine humaine en trois priodes distinctes: -la priode antique, voire antdiluvienne puisque un nombre impressionnant de textes

sacrs, de bas-reliefs et duvres artisanales nous montrent que ceux que lon appelle les Anciens, des tres mythiques appartenant de hautes civilisations qui ont prcd la ntre taient en possession de bijoux technologiques qui rendraient jaloux certains ingnieurs de la Nasa ; -les priodes de lentre-deux guerres et de la seconde guerre mondiale au cours desquelles le rgime national socialiste allemand semble avoir lanc des projets darmements, davions et dengins volants totalement originaux. Nous avons dj longuement crit sur ce chapitre dans Karmapolis et nous ne nous y attarderons pas dans le dtail sauf lorsque nous mettrons en vidence certaines nouveauts et nuances par rapport notre ancien dossier sur les Ovnis nazis car de nouvelles informations ont retenu notre attention. Ces nouveauts proviennent des recherches de lauteur Henry Stevens. Prcisons demble que certains lments mis en relief par Stevens ne cadrent pas avec les conceptions que Jean-Marc Roeder a de ces Ovnis nazis propulsion plus conventionnelle. Nous ne prendrons pas ncessairement parti pour lune ou lautre thse mme si nous avons notre petite opinion sur la question ; - enfin, les Black Programs essentiellement amricains de laprs-guerre sur lesquels JeanMarc Roeder sest pench dans le dtail. Il a donc saisi et dcrit trs prcisment le fonctionnement de certains disques volants, mettant en vidence lexistence quasi incontestable de prototypes de lUS Air Force, et dont le mode de propulsion fait appel des solutions rvolutionnaires. Roeder prsente une facult de porter en lui une passion et un dsir de recherche ayant pour trait un projet : unifier la physique, ce qui prsente lavantage doffrir au lecteur une vision plus originale et moins paranormale du problme Ovni. Car pour lintress, il nexiste quune seule science, la science physique, c'est--dire la discipline qui tente de comprendre et de dcrire les lois qui rgissent le comportement et la mcanique des constituants de ce que nous percevons comme tant la matire ; savoir spcifiquement de lnergie prsente dans lespace et le temps. De ce fait, ce dossier, qui a pour but de montrer que les Blacks Programs humains sur les Ovnis existent, qui a galement pour vocation dillustrer comment a fonctionne ouvrira des perspectives sur notre reprsentation de lunivers. Les Ovnis des anciens Des extraterrestres (les Archontes des gnostiques) ou encore les Anunna(ki) mis en vidence par les tablettes sumriennes nous auraient tout apport : lcriture, le langage, lagriculture, larchitecture, le commerce, la science, bref tout ce qui fait une civilisation. Les tablettes sumriennes mais galement des textes apocryphes comme le livre dEnoch ou certains livres sacrs dInde sont sans ambiguts cet gard : nous avons reu dentits extraterrestres soit disant bienveillantes la civilisation, la technologie mais galement laccs des vaisseaux spatiaux qui sont dcrits dans le dtail dans certains textes. John Lash, nous lavons bien compris est en rupture avec cette thse et estime que lintervention de ces extraterrestres a eu pour consquence de nous faire croire, par la manipulation et lintimidation, quils nous ont enseigns les bases de la civilisation et de la technologie. Nos textes anciens sont donc manipuls et leurs forces belliqueuse et leurs technologies offensives ont fait de lhomme un animal docile dont le pass, en matire de civilisation, a connu des res glorieuses, donc en mesure de produire une technologie suprieure. Pour les gnostiques, il y a eu certes une intervention extraterrestre ou plutt ; comme laffirme Nigel Kerner, une interception extraterrestre de notre histoire, des nombreux cycles de notre histoire. Dailleurs des auteurs comme Erich von Dniken, Michael Cremo et dautres croient que notre civilisation judo-chrtienne nest que le dernier avatar dautres cycles de civilisations parfois extrmement avances connus par lhomme. . Une question de point de vue Depuis quand possderions nous ces technologies hors normes bases sur des principes comme lantigravitation ou le vol MFD (Magnetic Field Disruption) ?

Tout dpend du point de vue que lon a de lhistoire. Si nous adoptons un point de vue au sens large et si nous tenons compte de certains textes trs anciens ou des reprsentations artistiques, il est possible que des tres humains aient pu piloter des engins spatiaux se propulsant des vitesses incroyables comme par exemple, les fameux Vimanas, des appareils antigravitationnels qui fonctionneraient au mercure (ou vapeurs de mercure ?), selon les descriptions quen ont fait des textes indiens antiques. Certes, ces Ovnis et autres fuses sont dcrites comme tant la proprit exclusive des dieux, de ces astronautes venus des trfonds du cosmos mais certains hommes des prtres ou encore la trs haute aristocratie qui taient le fruit de lhybridation entre ces Dieux et des hommes ont eu accs ces machines dont le comportement aronautique ferait plir denvie des pilotes de lAir Force. Les chroniques sumriennes narrant les us et les coutumes des Anunna(ki), textes qui ont t traduits et placs dans un autre contexte par des gens comme Zecharia Sitchin, David Childress ou Anton Parks, voquent clairement lexistence de diffrents types de vaisseaux : des appareils permettant des vols autour de la terre ou proximit de la plante et dautres permettant des vols longues distances, bref des vols interplantaires, voire intergalactiques. Mais nous nallons pas nous attarder plus longtemps sur cette priode antique laquelle nombre dauteurs ont consacrs des ouvrages plus ou moins pertinents faisant tat des descriptions dOvnis dans des passages de la Bible, dans des textes sumriens ou encore indiens. Certains tranges tableaux de la Renaissance montrant des sujets classiques (sujets religieux, portraits de nobles) reprsentent, comme une sorte de clin dil, des objets volants qui ressemblent traits pour traits des Ovnis. Nous pourrions consacrer un dossier complet cette perception du problme Ovni en tant que phnomne remontant la nuit des temps. Les Ovnis humains Nous allons adopter un autre regard sur lhistoire, un regard qui se focalise sur une actualit plus contemporaine. Nous pourrions faire remonter les prmisses des Ovnis fabriqus de la main de lhomme (Man Made UFO) lentre-deux guerres et plus particulirement aux technologies dveloppes sous les auspices de lidologie nazie. Le dossier des Ovnis nazis est certes un sujet extrmement polmique sur lequel Karmapolis sest dj concentr. Certains auteurs et spcialistes en Black Programs amricains -ces programmes aronautiques top secret qui chappent la vigilance budgtaire du Congrs- tablissent des liens patents entre les technologies captures par les allis aux Nazis et les progrs fracassants de laronautiques et larospatiale des Amricains et dans une autre mesure, des Sovitiques juste aprs la guerre. Nous allons donc passer en revue brivement certains prototypes et certaines technologies dveloppes par une socit secrte lie la monte du nazisme mais aussi par le dpartement recherche et dveloppement de la SS qui avait russi crer un vritable cartel industriel cloisonn et occulte qui se consacrait la mise sur pied dun programme darmement trs exotique. Ces informations, nous les devons donc principalement trois auteurs spcialiss en ces sujets : JeanMarc Roeder qui a rdig une srie darticles sur les Black Programs pour le magazine franais Top Secret, Henry Stevens, un auteur qui a publi un ouvrage spcialis sur les disques volants allemands de la seconde guerre mondiale (Hitlers Flying Saucers : A Guide to German Flying Discs of the Second World War) et un journaliste britannique, consultant pour le Janes Defense Weekly, Nick Cook, qui a surtout enqut sur les activits de lquipe du gnral SS Hans Kammler, par ailleurs lun des organisateurs principaux du systme concentrationnaire au service de lindustrie allemande. Ovnis Nazis : les sources du savoir ? Comment les nazis sont-ils arrivs un tel saut cratif dans leur conception de la science physique et par consquent de diverses technologies lies larmement ? Certains auteurs srieux ou plus polmiques (comme Jan van Helsing ou Peter Moon du groupe Montauk) mettent en avant le rle jou par des socits secrtes : la socit VriI, celle de Thul, celle du Soleil Noir et celle des chevaliers noirs (descendant des templiers). Thul s'avrait tre le pendant matriel et

politique des nazis et occultistes allemands tandis que Vril s'occupait surtout "de l'au del" et des affaires occultes ou sotriques, souligne van Helsing. Derrire Vril (anciennement la Loge Lumineuse ou Frres de la Lumire) cre en 1919, on retrouve la figure bien connue de Karl Haushoffer qui en serait le fondateur, affili galement la fameuse Golden Dawn (l'aube dore). Et autour de Haushoffer volueront des gens comme le chef du gouvernement de Dantzig, un certain Hermann Rausching, ami d'Adolf Hitler. Rausching passera chez les Anglais par la suite pour leur fournir des informations sur la psychologie dHitler, devenant le principal informateur de Winston Churchill qui voulait comprendre la psychologie et les motivations du dictateur. Autres personnalits prsumes de la socit Vril : Rudolf Hess (qui fut le dauphin du Fhrer, le plus mystique dans le cercle des proches de Hitler) et bien entendu Hans Horbiger, un trange crateur dune science nazie qui croyait dans les thories de la terre creuse et des mondes glacs. Plusieurs films sur les Ovnis nazis voquent galement lexistence de deux femmes ayant servi de mdium puisque le mythe nous raconte que les principes fondamentaux de fonctionnement de ces machines de lau-del auraient t transmis par channeling. C'est dans ces cercles qu'auraient t difis les piliers mystico-racistes du nazisme qui ont inspir l'idologie et le mode de fonctionnement de la SS. Mais dans un trange film aux origines obscures UFO of the third Reich, information reprise par Van Helsing, la socit Vril aurait servi d'autres choses: elle aurait permis ces mdiums, ces deux femmes, de rentrer en contact avec des entits extraterrestres d'Aldbaran (entits subdivises en deux groupes: les matres qui sont des hommes-dieu Aryens dune part et d'autre part, diffrentes races "humaines infrieures dorigine extraterrestre. Ces divers extraterrestres auraient inspir la civilisation sumrienne). Ce seraient ces "hommes-dieu" qui auraient inspir aux nazis et aux membres du Vril, "l'ide la plus fantastique jamais conue par l'homme: la construction de la machine vers l'au-del!". Jusqu preuve du contraire, comme laffirme Roeder dans son interview, rien nindique que ce groupe soit vraiment lorigine des principes de base de lantigravitation car on a jamais mis la main sur les dessins, croquis et textes inspirs sans doute par criture automatique ces deux voyantes et qui contiendraient lesdites informations. Il n'aurait alors fallu que trois ans selon Van Helsing pour que le premier projet soit mis en place et que le Dr W.O.Schumann, membre des socits Thul et Vril expose Munich devant la Facult des Sciences les premiers principes de la propulsion par implosion (par opposition au moteur explosion tant considr comme satanique).

Emblme de la socit Thul

Selon la lgende rapporte par Van Helsing dans son livre sur les socits secrtes, une histoire par consquent totalement fabrique selon les sceptiques; cest en juin 1934 que le premier Ovni nazi aurait vu le jour, un avion circulaire exprimental, le RFZ1 sorti de la fabrique d'avions Arado, dot d'abord d'une hlice puis d'une turbine et aussi d'un racteur. Les autres modles du RFZ2 au RFZ7 se succderont jusqu la fin de la guerre. L'un des engins les plus au point tait le Haunebu 2 qui sedplaait grce lantigravitation, tait oprationnel la fin 1942 et d'un diamtre, suivant le modle, allant de 26m 32m, (de 9 11m de hauteur). Il pouvait se propulser plus de 9000 km/h. Le nec plus ultra de l'affaire aurait t le Haunebu III de 71m de diamtre qui pouvait transporter, parat-il, 32 personnes une vitesse d'au moins 7000. Km/h avec une autonomie de vol de 8 semaines. Le premier vaisseau mre en quelque sorte, construit pour des vols spatiaux interplantaire (et dont la vitesse maxi rpertorie dans les archives de la SS serait de 40.000 km/h, nous prcise Van Helsing). L'engin en vol aurait t film du ct de la frontire tchque. Mais de plus en plus dauteurs remettent en question lexistence des Haunebus qui sont apparus dans les articles et les informations sur le sujet que trs tardivement et par des sources finalement toujours trs proches des nostalgiques du 3ime Reich, des gens comme Zundle ou Van Helsing. La plupart des auteurs semblent daccord pour attester de lexistence de plusieurs modles de vaisseaux de type Vril mais pas vraiment des Haunebus, de bien plus grande taille. Sans doute aussi parce que de rares tmoins, vtrans de la SS et parfois de la Wermacht, ont vu des prototypes Vril voler lors de divers essais et se sont exprims auprs de certains auteurs ces dernires annes. Jamais, ma connaissance ont-ils parl de Haunebus !

Vril

Jean-Marc Roeder voque dans le cadre dun article rdig pour le magazine franais Top Secret n9 , sa manire, limportance de cette socit secrte du Vril comme tant une sorte de Think Tank, un vivier intellectuel et spirituel dont les conceptions moins orthodoxes de la physique classique aboutirent la cration de modes de propulsion rvolutionnaire : nous tions aux dbuts de lantigravitation avec des ingnieurs trs imaginatifs et sans aucun priori scientifique pour mettre un frein leur lan. Il voque dans un article intitul larme ultime du 3ime Reich cette priode cl en ces termes : -En 1922, la Thul Gesellshaft, un groupe pr-nazi occulte, cre en son sein, un groupe dtude de lantigravit, la Vril Gesellshaft. Ils font voler de lt 1922 1924 un dmonstrateur antigravitationnel non pilot, baptis Jenseitsflugmashine (JFM) qui signifie machine volante de lautre ct. Par la suite, le dmonstrateur sera dmont et stock dans les usines Messerschmitt. Ce systme antigravitationnel lectromcanique sinspire largement des travaux de Nicolas Tesla et du physicien allemand Levetow et des thories implosives de Shauberger. Le systme comprend deux disques contra-rotatifs (diamtre de 6,5m et 7 m) encadrant un troisime disque fixe (diamtre de 8m). Les trois disques sont percs en leur centre dun orifice (diamtre 1,8m) occup par un cylindre surmont dun cne contenant le systme de mise en rotation et de charge magntique des disques. Le systme sera plus tard simplifi un seul disque puis passera vers 1934 de ltat de drone (aronef sans pilote) ltat dappareil pilot par un homme. Ce type de programme

dantigravitation sera compltement cloisonn et strictement plac sous le contrle de la SS de Himmler. Une section spciale aurait t cre au sein de la Vril Gesellshaft, nous prcise JeanMarc Roeder : le groupe de dveloppement numro quatre ou Entvloklungsstelle IV. Il semble donc, aux yeux de Roeder quil ne faille pas exclusivement percevoir le groupe Vril comme une socit sotrique ayant reu son inspiration dentits extraterrestres ou interdimensionnelles mais bien comme un groupe cratif dingnieurs particulirement ouverts des solutions innovantes. Roeder ncarte pas totalement lhypothse que ces techniciens aient pu tre inspirs ni mme que des vaisseaux dorigine extraterrestre aient pu tre rcuprs mme sil semble plus que sceptique sur ce dernier point. En ralit, rien ne mtonnerait dans ce dossier maffirma Roeder lors dune conversation tlphonique :il peut aussi bien y avoir de la dsinformation et quune grande surprise dans le cadre les sources dinspiration des nazis sur lantigravitation. Quant Jean Robin, un autre auteur franais qui sest intress aux racines sotriques du nazisme, il parle lui dun Ordre du Dragon (ou Ordre du Dragon Vert), manation de 72 suprieurs inconnus, une socit secrte fascine par les mystres du Tibet, des forces du Vril et de lHyperbore, ce continent mythique et perdu do seraient issus une race de gants, de Dieux. (Jean Robin, Hitler, llu du Dragon, Guy Trdaniel Editeur, 1987).Ce groupe serait la source non seulement des armes secrtes des nazis (et donc, des disques volants) mais aussi de la fuite de cadres et de troupes dlite de la SS et de leur tablissement en Antarctique et en Argentine. Que croire ? Cette multiplication des sources et des informations ne fait que semer plus de troubles et confrent une aura de mystre un dossier qui devient plus un mythe usage rvisionniste quune srie dlments de preuves sur lhistoire de lantigravitation. Les mines de Wenceslas Nick Cook, journaliste spcialis dans laronautique auprs du prestigieux Janes Defense Weekly, dans son livre The Hunt For Zero Point a mis en vidence lexistence dun centre de recherche ultra secret et ultra spcialis enterr profondment dans les mines Wenceslas, en Pologne, prs du camp de Nordhausen ainsi que dune quipe dirige par le gnral Hans Kammler dont nous avons dj longuement parl (Les sombres menes du SS Kammler). Une des ruines des structures en bton appele la Cloche (opration Kronos) aurait abrit une installation de recherche sur lantigravit, fonde sans doute sur lemploi dun rsonateur acclrateur aux vapeurs de mercure. Selon certains tmoignages, ceux qui travaillaient sur la cloche souffrirent dintenses problmes de pertes de connaissances et de manque de sommeils. Cinq des sept ingnieurs dcdrent dans le cadre de ces expriences. Ici, Un court-mtrage disponible sur le Web en anglais dresse un rsum fascinant de cet pisode. Le fait quune centrale lectrique attenante la cloche tait suppose fournir les normes besoins en nergie pour faire fonctionner linstallation dmontre peut-tre quen dpit des rapport optimistes rdigs par Kammler sur ces travaux, les rsultats relatifs la dcouverte de lantigravitation lie lnergie libre ntaient pas encore satisfaisants puisquil fallait faire appel un apport extrieur dnergie. Il est trange de constater que les solutions plus simples comme les Vrils et les tornades implosives de Shauberger apportant des rponses directes aux problmes lis aux quantits dnergie tire du vide quantique pour faire fonctionner lantigravitation existaient et que dautres travaux, comme ceux-ci, ne semblaient pas en tenir compte. Sans doute tait-ce la consquence du cloisonnement strict entre les divers projets et quipes qui travaillaient en stricte autarcie pour des raisons de scurit. A moins que le projet Kronos poursuivait un autre but que lantigravitation et lnergie libre. Explorons maintenant quelques-uns des prototypes plus conventionnels ou antigravitation que les nazis auraient dvelopps. Ovnis Nazisconventionnels ou antigravitation : remarques pralables Henry Stevens distingue deux grandes familles de disques volants nazis. Les projets

conventionnels de soucoupes volantes dune part et les projets de propulsion de champs magntiques (Magnetic Fields Propulsion projects) dautre part. Les premiers sont en fait le prolongement de plusieurs types de technologies qui dbouchrent sur de nouvelles applications : les ailes volantes conues entre autre chose pour des raisons de furtivit (AS 6 de Sachs), selon certains auteurs, se murent en disque volant et la technologie des rotors et des pales rotatives aboutirent au dveloppement de lames ou de pales rotatives orientables qui composent le disque. Disons-le tout de suite : ce concept de pales rotatives dcrit par Stevens serait une comprhension errone du mode de fonctionnement de ce genre dengins, nous a affirm Roeder dans son interview, les Amricains prfrant induire en erreur le public sur les vritables proprits de ces prototypes. Je ne suis pas en mesure de donner raison ou tort Stevens mais malgr tout, je prfre exposer brivement mais le plus fidlement le contenu des recherches de Stevens ; le lecteur averti pourra juger et surtout comprendre pourquoi Jean-Marc Roeder ne croit pas dans la thse de disques mus par des pales orientables. Le dveloppement de lantigravitation par les ingnieurs allemands aurait suscit lapparition de prototypes bien plus rapides et fiables que les projets conventionnels. Il sagit des fameux Vrils et Haunebus de Schumann et Kohler dont lexistence a t rudement remise en question par certains auteurs et enquteurs comme Kevin Mc Lure. Jean-Marc Roeder a luimme chang davis sur lexistence du Haunebu puisque sil acceptait dans son premier article sur les Ovnis nazis lhypothse selon laquelle les Haunebus ont pu exister, ses recherches plus pousses linclinent aujourdhui tre nettement plus rserv sur laffaire des Haunebus et des clichs que lon nous exhibent. JeanMarc Troadec, journaliste qui sest longuement intress aux socits secrtes et aux ordres de chevalerie a effectu une enqute sur le phnomne des Ovnis nazis dans le magazine Top Secret n24. Il sest, entre autre chose, focalis sur les sources de toutes ces informations et des clichs de Vrils et surtout des Haunebus qui sont apparus au cours des annes 90. Il estime que ces rvlations sur les Ovnis nazis sont arrives aprs la fin de la guerre froide, ce conflit Est-Ouest au cours duquel lenjeu des technologies dorigines nazies tait encore un secret stratgique primordial pour les deux grandes puissances. Aujourdhui que le contexte a chang, que lon a dautres rapports de force, ces informations peuvent tre rvles au grand public homopatiquement, peut-tre pour laccommoder de telles ralits, peut-tre aussi des fins de dsinformations et de manipulations. Troadec stonne en outre et avec raison de labondance de clichs plus ou moins mdiocres mais de linexistence de films montrant des Ovnis nazis arborant les runes de la SS comme lindiquent certaines lgendes. Certes, il existe certains mauvais films o lon voit des soucoupes de type Adamski, donc, proches des modles Haunebus, mais pas un seul court-mtrage exhibant un authentique Ovnis nazis en tant que tel.

Haunebu

La tendance gnrale a mme t daffirmer que les Nazis navaient jamais t capables de dvelopper un modle oprationnel, quil soit conventionnel ou propuls par lantigravit. Ces auteurs sceptiques admettent quil y a eu des plans et des projets dans des cartons mais rien de

concret parce que Hitler lui-mme ny croyait pas et quil prfrait investir dans la croissance darmes plus traditionnelles qui avaient fait leurs preuves sur les champs de bataille : une production massive dartilleries, de chars lourds, davions plus puissants que les armes des allis. Les dtracteurs des Ovnis nazis soulignent par exemple que le Fhrer ne croyait mme pas au succs des premiers chasseurs raction, raison pour laquelle les premiers Jets Messerschmitt ne furent construits quen peu dexemplaires et la toute fin du conflit. Pourtant, un nombre apprciable de journalistes et de chercheurs spcialiss en aronautique ont mis la main sur des indices et des tmoignages au demeurant crdibles indiquant que des groupes de chercheurs trs secrets et trs bien encadrs et cloisonns ont construit divers modles de disques volants aux performances trs intressantes. Les prototypes nazis conventionnels de disques volants Ainsi, lauteur Henry Stevens range dans la classification des engins conventionnels plusieurs appareils (au moins 4) aux modes de propulsions dj rvolutionnaires pour lpoque : les projets de Schriever-Habbermohl, celui du couple de chercheurs Miethe-Belluzzo, les Foo Fighters et le projet de disque de Peenemunde (nom dune immense base sise dans la Baltique qui a abrit les usines de construction du V2).

Le projet Miethe-Belluzzo (vue d'artiste)

Prenons par exemple les prototypes baptiss Schriever-Habbermohl dcrits par Henry Stevens. Les principales sources de Stevens sur ce sujet seraient Joseph Andreas Epp, un ingnieur qui a servi de consultant aussi bien sur le projet Schriever-Habbermohl que celui de Miethe et Belluzzo ainsi que Rudolph Lusar, galement ingnieur qui a travaill dans le secteur des brevets du Reich. Il y aurait eu prs de 15 versions de ces deux types dappareils. Andreas Epp serait en ralit lhomme qui aurait mis au point les principes de base, prcise Stevens. Synthtiquement, selon les crits de Stevens, ces types dengins sont constitus dun cockpit central entour de larges pales ou ailettes orientables formant une sorte de grosse turbine tournant autour du cockpit central. En ce qui concerne les prototypes de Schriever et Habbermohl, cela fonctionne sur le mme principe que lhlicoptre souligne Henry Stevens.Les ailettes ou pales sont maintenues ensemble par un dispositif spcial dajustement situ la priphrie de ce montage qui forme une sorte de disque Langle des pales peut tre ajust de faon ce que, durant le dcollage, une plus grande pousse peut tre gnre en augmentant leur angle par rapport une position plus horizontale passant une position plus verticale. A une certaine altitude, langle des pales diminue vers une position horizontale nous affirme Stevens pour passer en vol horizontal. Ces pales sont mises en rotation par de petits racteurs ou de petites fuses situes prs des bords extrieurs du disque qui enferme les pales. Une fois que la vitesse de rotation atteint un facteur suffisant, lappareil dcolle. Aprs avoir atteint laltitude dsire, les racteurs ou fuses destines la pousse pour le vol horizontal prennent la relve et les petits racteurs steignent. Ces racteurs ou fuses sont eux-mmes orientables pour augmenter la pousse de lappareil. Le pilote peut faire varier la vitesse de rotation des pales et la pousse de lengin en donnant plus ou moins de puissance aux racteurs orientables. En ce qui concerne le type de racteurs, Stevens retient deux candidats probables : les Junkers Jumo 004 Jet engines qui auraient t employs sur lavion raction Messerschmitt 262 dune part et le BMW 003 qui serait moins puissant. Pour les fuses employes pour la propulsion de ces disques, Stevens retient le Walter HWK 109 qui quipait lappareil dinterception Messerschmitt 163. On a mme voqu le fait que le principe de propulsion du V1 (la fameuse bombe volante qui a ravag Londres) a t essay sur ce type de disque volant. Les

performances des disques de Schriever Habbermohl quoi que modestes par rapport aux modles antigravitationnels laissent quand mme rveurs pour lpoque puisque lengin pourrait atteindre des vitesses frlant Mach 1, soit prs de 1200 km/h et grimper une altitude de 12.400 mtres en 3 minutes. Au del de Mach 1, le pilote dessai rapporte avoir t effray par les fortes vibrations mais Epp et Lusard attestent tous deux que le prototype aurait dpass loccasion dun vol daot 1944, les 2000 km/h. Henry Stevens se pose nanmoins la question de savoir si ces essais des vitesses aussi leves ont t raliss avec un prototype pilot par un tre humain ou bien sil sagissait dun drone, c'est--dire un vol command distance. Les derniers essais eurent lieu en avril 45 prs de Prague et selon Stevens, le dernier prototype fut vraisemblablement embarqu comme butin par les troupes sovitiques. Les ingnieurs tchques qui avaient travaill sur le projet auraient pris la fuite en semparant des plans et des donnes techniques. Le projet Miethe Belluzzo Mme si ces projets ressemblent sous certains aspects aux projets prcdents, le concept savre quelque peu diffrent. Le Dr Heinrich Miethe est un ingnieur allemand tandis que le professeur Guiseppe Belluzzo est un ingnieur italien, snateur et proche de Mussolini. Selon Stevens et Andreas Epp, lquipe Miethe-Belluzzo a galement travaill en Tchcoslovaquie du ct de Prague (rejoignant ainsi lquipe de Schriever et Habbermohl) mais aussi dans des installations prs de Dresde (Allemagne) et de Breslau (Pologne) sous le patronage de Walter Dornberger, le haut directeur du centre de Peenemnde. Les prototypes conus par cette seconde quipe sont galement en forme de soucoupe mais dont la priphrie -des pales orientables- nentrent pas en rotation, nous affirme Stevens. Cette quipe aurait travaill sur au moins trois designs diffrents. Le premier projet navait pas t conu pour un dcollage vertical mais bien pour un dcollage par palier en respectant un certain angle comme le ferait un avion. Douze racteurs sont monts lextrieur de lappareil pour assurer sa propulsion. Le cockpit est plac larrire du disque et un priscope permet au pilote de mieux sorienter. Un gros gyroscope est install au centre de lengin pour assurer sa stabilit. Le diamtre de lappareil serait de 42 mtres. Il sagit donc ici dun autre concept qui ressemble plus une aile volante en forme de disque. Les donnes sur les positions des racteurs (en priphrie ou au centre) et leurs fonctions relles sont contradictoires et lon possde moins dinformations techniques fiables sur cet appareil. Une seconde version des disques dvelopps par le couple germano-italien consisterait en un aronef en forme de disque avec un cockpit central qui se situe au dessus et en dessous du centre de la soucoupe. Quatre racteurs situs de part et dautre du cockpit ventral font office de mode de propulsion. Un troisime modle est suppos avoir t construit par Miethe et Belluzzo, un modle capable, lui, de faire des dcollages verticaux dont la conception serait proche de celle conue par linventeur franais Ren Leduc. Aucune partie rotative nest visible de lextrieur car les pales rotatives sont caches lintrieur de lenveloppe du disque. Il sagirait selon Stevens dun moteur jet flux radial. Deux sries de pales contrarotatives installes lune au dessus de lautre et abrite par lenveloppe du disque sont fixes en dessous du cockpit central. Un total de 12 racteurs orientables cachs galement lintrieur du disque mais situs sur sa priphrie permettrait lappareil de tourner et de sorienter suivant que le pilote donne plus ou moins de puissance certains des racteurs orientables. Les premiers modles conus par Miethe et Belluzzo aurait pris leur essor en 1943. En dcembre 1944, un essai avec pilote du nom de Hans Joachim Roehlicke aurait eu lieu, un pilote qui appartenait lquipe du gnral SS Hans Kammler, patron des black projects allemands (voir larticle sur les Ovnis nazis sur Karmapolis). Les performances des engins conus par Miethe et Belluzzo ne sont pas vraiment connues. Stevens voque dans son enqute lexistence dautres type de disques volants comme le projet de soucoupe volante de Peenemunde ou les Foo Fighters et dautres prototypes assez exotiques mlangeant une propulsion par racteurs ou encore via des systmes mlangeant lhydrogne et loxygne liquide et des systmes lectromagntiques de servo-moteurs et des

gyroscopes pour la stabilit mais nous nen somme pas encore lantigravitation proprement dite. Les projets non conventionnels nazis : la srie des Vril et les appareils implosion Les projets de disques volants non conventionnels auraient t conus par deux quipes, nous rapporte Jean-Marc Roeder dans un article consacr aux Ovnis du 3ime Reich publi par le magazine Top Secret n9. Selon la version de Roeder, les recherches dmarrent ds le dbut des annes 20 au sein dun groupe secret, la Vril Gesellschaft. Une premire quipe dirige par le capitaine de la SS Han Kohler est mise en place par le docteur Walter.O.Schumann. Himmler accorde cette quipe les moyens techniques et logistiques du constructeur aronautique Arado Brandebourg. Une seconde quipe dveloppera des prototypes dun autre genre sous limpulsion du clbre physicien et ingnieur autrichien Victor Shauberger, forte personnalit (dot dune barbe le faisant ressembler au Roi des belges, Lopold II), passionn par les phnomnes lis lhydraulique, aux flux liquides et gazeux et surtout aux vortex. Ce sera lusine aronautique Dornier qui abritera les travaux de lquipe Shauberger, quipe dans laquelle on retrouve galement, selon Roeder, les ingnieurs Miethe et Belluzzo ainsi que Schriever et Habermohl (Stevens ne fait pas vraiment mention de ces 4 chercheurs dans la partie de son ouvrage consacr lantigravitation. Il souligne leur rle dans le cadre des projets conventionnels). Les deux quipes travaillent sur des concepts diffrents : Shauberger, totalement ddi aux phnomnes de vortex et autres tourbillons met au point un systme de tornade implosive qui tire parti des forces colossales qui peuvent tre captes la sortie dun vortex dair ou de gaz, c'est--dire la sortie dun tourbillon correctement canalis. Grce un ingnieux systme dailettes torodales, de rotor ; de compresseur et de canalisation de lair en forme de vortex, 24 petites tornades dair axe horizontal sont conduites par un autre dispositif via un compresseur pour former, une tornade verticale dune force colossale qui schappe dune tuyre conique. Ce phnomne saccompagne de fortes diffrences de tempratures et de pression entre la partie infrieure et suprieure du gnrateur mais aussi dimportants dgagements dnergie thermique et lectrique. Linjection dalcool brler enflamm lentre du racteur fournit une nergie thermique qui entretien la tornade et la rotation du compresseur lectrique. La quantit dalcool consomm est ngligeable et comme le souligne bien Jean-Marc Roeder, les racteurs et gnrateurs de Shauberger atteignent des rendement de 99% contre 60% pour des moteurs thermiques classiques. Autant dire quil sagit dun type de propulsion comportant des pertes dnergie quasi nulle et qui sauto entretien. La quantit dnergie mise en place pour dmarrer lengin et pour entretenir le mouvement est galement ngligeable. Cest un systme des plus ingnieux parce que sinspirant dun modle offert par la nature, celui des tourbillons. Selon la lgende, Shauberger aurait conu ses premiers modles de gnrateurs dnergie libre en observant les tourbillons que lon peut trouver proximit des cascades, dans les rivires. Il ne sagit pas encore dantigravit puisque la masse et linertie de lengin ne sont pas supprimes mais bien dun moyen totalement innovant et naturel de tirer de lnergie par le biais dun systme qui est philosophiquement oppos aux systmes classiques dexplosion. En ralit, la rotation du systme doit tre bien suprieure pour arriver au phnomne antigravitationnel (voir interview).

Vril 1

Shauberger va par la suite combiner son gnrateur avec des ides conues par le Dr Schumann pour arriver au moteur antigravitationnel. A la place de lair, on utilisera des vapeurs de mercure qui seront confines dans un systme denceinte tanche et on remplace le compresseur dorigine par des bobines lectromagntiques qui vont mettre en rotation les vapeurs de mercure et les acclrer des vitesses formidables. Le systme est certes plus complexe car il combine les forces dgages par les vortex avec lnergie lectromagntique. La moins puissante des bobines tant place au sommet de lenceinte et la plus puissance prs de sa base. La diffrence de puissance du champ magntique des bobines introduit une acclration lectromagntique de la tornade plus rapide en bas quen haut. Dautre part, lintrieur de lenceinte est tapisse dun empilement daimants permanent de forme annulaire dont le ple positif est tourn vers le centre de lenceinte, crant ainsi un champ magntique permanent lintrieur de celle-ci explique Roeder. Et cette mme enceinte est contenue dans une enceinte plus grande, servant de rsonateur, damplificateur (NDR : La troisime partie du dossier, celle des annexes thoriques rsume en quoi ces enceintes, ces cavits sous vide sont capitales dans lamplification des forces que lon veut gnrer). Le rsonateur tend le champ antigravitationnel afin quil inclue lensemble des lments du vhicule entourant le moteur prcise encore Roeder. Par consquent, le cockpit et de ce fait lquipage fait partie du champ antigravitationnel, en est solidaire et ne subira pas les dsagrments des forces G que les pilotes sont supposs encaisser haute vitesse, en acclration, dclration, dans des virages serrs etc... En modulant la puissance des lectroaimants, on donne une autre forme la tornade, ce qui permet de piloter lengin dans les sens horizontaux et verticaux. Selon Roeder, 5 prototypes de Vril qui ne sont que des variantes du mme principe ont t construits. Ce sont tous des engins monoplaces capables datteindre des vitesses tout fait tonnante : 2.900km/h pour le Vril 1 (environ 11 mtre de diamtre) avec une autonomie de 5h (premier vol en automne 1941), le Vril 2 aurait atteint plus de 6000 km/h. Aprs le Vril 3 et 4 qui ne bnficient que de lgres amliorations, le Vril 5 aurait atteint ds ses premiers vols en 1944 la vitesse de 12.000 km/h tout en pratiquant des vols hors atmosphre. Le Vril 6 ne sera jamais finalis et le Vril 7 tait un projet massif de 120 mtres de diamtre, sorte de premier mothership de lhistoire qui restera dans les cartons projets. Quant aux fameux Haunebu qui seraient des variantes plus sophistiques et surtout plus volumineuses des Vrils capables de transporter plusieurs membres dquipage, ils nauraient sans

doute jamais exist. Les sources et les documents relatifs ces prototypes sont bien plus douteux. Paradoxalement, les photos des Haunebus semblent de meilleure qualit et plus nombreuses. Alors, que penser ? Les principes de l'antigravit Avant de poursuivre le fil de ce survol des disques volants, appareils antigravitation et autres programmes aronautiques top secret amricains cette fois, il convient d'expliquer trs brivement, intuitivement et de faon la plus concise possible les principes gnraux de l'antigravitation. Je vous conseille vivement de lire galement la troisime partie de ce dossier qui vous fournira des explications plus orthodoxes et surtout plus pertinentes que ces brves lignes de vulgarisation maladroite. D'autant plus que pour compliquer les choses, il y a plusieurs mthodes pour gnrer l'antigravitation, pour pomper de l'nergie quantique du vide, pour tirer de la puissance de ce que Jean-Marc Roeder appelle des Atomions (voir annexe). Ce qui m'a surpris, c'est que ces systmes et mthodes ont t dcouverts presque par hasard, par ttonnements, pendant que des ingnieurs se livraient diverses expriences alors qu'on pourrait croire que l'antigravitation serait issue, priori, de calculs et de recherches physiques thoriques. Il n'en fut rien. Les modles physiques classiques sont bien en peine d'expliquer comment on parvient tirer de l'nergie libre du vide quantique. Pour comprendre ces principes, il faut recourir d'autres concepts trs diffrents de ceux qu'on nous a enseigns propos, ne fut-ce que des atomes, des thories des quantas et des particules lmentaires. En ralit, la physique a t bien en peine d'expliquer comment fonctionnait l'antigravitation, ce que Jean Marc Roeder explique parfaitement dans son interview. Cela fait penser Albert Hofmann qui a dcouvert le LSD par hasard alors qu'il tait en ralit investi par des recherches d'une toute autre nature sur l'ergot du seigle. Ces tranges montages d'aimants, d'enceintes lectromagntiques, d'usage des nergies dgages par des vortex poursuivent un but : dgager une certaine forme d'nergie, dgage de notre monde physique par des systmes catalyseurs, des ondes particulires que l'on appellera ondes scalaires. Pour Jean-Marc Roeder, ces appareils antigravit sont en ralit bien moins complexes et sophistiqus que ne le sont les avions en ce qui concerne les montages technologiques mis en uvre. En termes encore plus clair, les pices ncessaires pour construire un jet sont plus compliques monter que les systmes permettant d'annuler la masse et l'inertie d'un objet, bref, l'antigravitation. Tout est affaire de longueur d'onde, de rsonances, de formes et de proportions de certaines pices. Ce qui semble abstrait et difficile apprhender, ce sont les conceptions que l'on doit avoir de la physique pour comprendre comment cela marche. Mais une fois le principe correctement saisi, tout cela n'est qu'un jeu d'enfant pour reprendre les termes de Roeder. Une fois ces principes dgags, on comprendra donc comment volent certains des autres prototypes amricains. Les explications donnes ici ne sont que les principes donns par les thories reposant sur la conviction d'un univers vide peupl de particules, qui prvaut encore dans la physique "officielle... Ces explications doivent tre mises jour par celles qui sont contenues dans la troisime partie du dossier dans laquelle on met en vidence les notions d'atomions et d'lastons. Mais nous partirons dans cette explication d'une autre notion, celle de graviton. Cette approche est celle de beaucoup de chercheurs actuels en nergie libre et en antigravit. Toute la matire est en fait contenue dans un espace vide rempli de particules virtuelles appeles gravitons. Telle est l'hypothse dominante de l'antigravit jusqu' prsent. Si l'on veut aller au cur mme des constituants de notre univers physiques, il faut admettre dans ces thories que tout est fait, par essence, de particules virtuelles, c'est--dire que ce ne sont pas des particules proprement parler mais qu'elles en ont le potentiel, tant plus petites que la limite de Planck. Dans le vide, elles n'ont aucune masse apparente ou relle et par consquent, ne sont pas une nergie (encore) manifeste. Le graviton se compose d'un photon (ou particule lmentaire de lumire) et d'un antiphoton virtuels et lis entre eux. En mme temps, cette particule de lumire le graviton-

s'avre receler une nergie temporelle. Le temps est alors une nergie, au mme titre que la lumire. Le photon est li un sens temporel qui va du pass vers l'avenir et l'antiphoton, par consquent a un sens temporel qui va de l'avenir vers le pass. (ce qui ne signifie pas que l'on peut renverser les systmes de causalit et d'aller de l'avenir vers le pass, de supprimer le lien de cause effet dans le sens radical du terme). Il y a, dans ce processus, cration d'ondes stationnaires. Une image pour saisir ce que sont ces ondes stationnaires serait celle de deux voitures de mme puissance luttant l'une contre l'autre, capot contre capot. Toutes deux, tout en dgageant de la force, de l'nergie, feront de ce fait du sur place. De lextrieur, tout semble immobile. Il en va de mme pour le photon et l'antiphoton qui vont dgager des ondes lectromagntiques stationnaires dans le vide. Ces deux ondes superposes qui forment l'onde stationnaire contiennent donc un potentiel d'nergie ou potentiel scalaire. Ces ondes ont t dcouvertes en 1904 par le physicien Whittaker. C'est dire si c'est une vieille histoire. Des couples d'ondes temporellement inverses sont appeles ondes longitudinales scalaires. Ces ondes sont donc une nergie faite de temps On peut donc dire en simplifiant beaucoup que dans le vide, l'nergie, c'est le temps et dans la matire, c'est de l'espace affirme le principal thoricien moderne de ce modle, l'amricain Thomas Bearden. Pour crer de l'nergie scalaire temporelle, nergie qui va annuler la masse et l'inertie de l'appareil, il existe un moyen : celui de la mise en rotation ultra rapide. Nous avons vu justement que ces appareils comme les Vrils et autres prototypes de Shauberger ont pour but de mettre en rotation certaines parties du vaisseaux par divers moyens : lectroaimants, champs lectromagntiques, vortex etc Pour simplifier l'extrme la thorie de Bearden nous dit Jean-Marc Roeder on peut dire que tout mouvement rotatif rapide transforme l'nergie spatiale en nergie temporelle. Ce qu'il faut mettre en rotation, c'est de la matire ou des champs lectromagntiques ou une combinaison des deux. ( ) Lorsque l'on annule la masse d'un corps, le vide restitue en retour des quantits normes d'nergie lectromagntique que l'on peut rcuprer facilement afin d'alimenter le moteur antigravitationnel. Par consquent, ce type de systme s'auto entretient et il ne faut trouver qu'une certaine quantit d'nergie pour la mise en marche du gnrateur dnergie. Les vitesses atteintes sont trs importantes puisque le vaisseau se trouve enferm dans une sorte de bulle anti-gravitationnelle et n'est pas soumis des pertes d'nergie causes par les frottements de l'air. Au plus l'engin va vite, au plus il produit de l'nergie, au plus il ira vite et ainsi de suite. Le pilote quant lui ne subit aucun inconfort caus par la gravit et donc par l'augmentation de son propre poids lors des acclrations. L'engin idal ? Oui. L'arme idale? Sans doute pas. Car l'engin est isol dans sa bulle. De ce fait, il constitue une trs mauvaise base de feu, un trs mauvais support pour des mitrailleuses, des canons ou des missiles classiques. Les Black Programs US : lhistorique Aprs la dfaite des nazis, il y eut toute une srie de marchandages entre les Allemands et les allis ainsi quune comptition entre Russes et Amricains pour celui qui mettrait le premier la main sur les usines, les richesses technologiques et les personnalits scientifiques qui avaient travaill dans divers domaines, allant de laronautique la psychiatrie, de la chimie aux renseignements. Lexfiltration de ces personnalits scientifiques et militaires qui reurent une forme dimpunit quasi complte sil y avait lieu de les poursuivre pour crimes de guerre, prit le nom dopration Paperclip (Trombone ou presse-papiers selon les traducteurs) auprs des services de renseignements US. Et selon certains tmoignages, il y a fort parier que les allis, surtout les Amricains, ont pu mettre la main sur divers prototypes, engins en pices dtachs qui reprsentaient bien souvent des solutions trs originales en matire daronautique ou darospatiale. Mais ont-ils compris la vraie nature de tous les plans, projets, pices dtaches etc. qui leurs sont parvenus est un autre problme et selon certains auteurs, les Amricains se sont surtout gars, peut tre par enttement, ne pas comprendre les solutions offertes pas lantigravitation.

On sait par exemple que les divers programmes de fuses des allis ont bnfici des travaux sur les V2, de certains engins et ingnieurs qui ont t exports sur le territoire US. Il en alla de mme pour les fameuses ailes volantes des frres Horten qui ont du inspirer des programmes comme ceux du B2 ou du F117. Et il est fort probable que les divers disques volants et plans qui firent partie du butin de guerre des forces armes amricaines inspirrent en partie les futurs blacks programs de lAir Force en matire dengins la conception non classique. Mais il semble galement acquis que les Amricains, au contraire des Allemands, mirent un certain temps percer les secrets de lantigravit, parce que leur conception classique de la physique ne le permettait pas et excluait tout simplement lexistence de tels phnomnes. Daprs Roeder, les ingnieurs amricains refusaient intellectuellement dadmettre lexistence dune autre physique que celle de la physique quantique, ce qui les a mens la construction dengins antigravitationnels faisant usage de solutions plus compliques que celles prconises au dbut par les ingnieurs qui avaient travaill sur les projets des Nazis. Les sources des Black Programs Maintenant, lorsquil faut percer les sources dinspiration relles des responsables des Black Porgrams et autres Skunk Works (travaux putois oupuants) commandits par lAir Force divers gants de laronautiques comme Lockeed Martin, Boeing, Northrop Grumman et dautres, nous ne pouvons recourir qu des hypothses. Les histoires et commentaires sur le sujet sont lgions et sont issus le plus souvent de tmoignages anonymes ou de seconde main, de rumeurs et de dsinformations et il serait hasardeux de privilgier une hypothse plutt quune autre. Le projet Disclosure du Dr. Greer, le magazine Nexus et une myriades de livres plus ou moins pertinents ont mis en vidence le fait que les sources dinspiration de ces Black Programs reposaient essentiellement sur des engins extraterrestres rcuprs loccasion daccidents ou dincidents comme le clbre crash de Roswell. Le Colonel Corso ou encore des gens comme David Adair (et son moteur vivant fusion lectromagntique) ou le Major Wilson (qui comptabilisa 8 sortes dOvnis dans les hangars de lAire 51) voquent, chacun leur manire, linextricable influence des extraterrestres (certaines espces sont voques, surtout les Gris) dans les progrs scientifiques des militaires. Ou par exemple, Charles Hall, cet ancien militaire observateur mto pour lAir Force qui a t bas dans une zone voisine de lAire 51 et qui voque sans ambigut les programmes dchanges entre les militaires et des extraterrestres tranges et rudes appels Tall Whites. Ces aliens auraient donn lAir Force des lments technologiques pour construire des navettes, tout le moins une technologie exotique base sur autre chose que les moteurs explosion, fuses, racteurs mais qui ne permettait pas des voyages interplantaires. Corso ou Adair soulignent, pour leur part, que les ingnieurs et autres scientifiques travaillant dans le cadre de ces Skunk Works, ces projets totalement occultes, secrets et trs compartiments, se seraient inspirs de divers lments technologiques capturs sur ces vaisseaux aliens mais ont mis de trs nombreuses annes pour en comprendre que fort partiellement le fonctionnement. La puce lectronique, la vision nocturne ou la fibre optique ne seraient que quelques unes des nouveauts qui nous auraient t inspires par ce processus de dmontage dune technologie qui nous est trangre, des technologies qui ont fait irruption trs brutalement sur le march civil par la suite. Nous aurions mme eu un certain mal comprendre et admettre comment lantigravit dveloppe par les nazis fonctionnait, surtout que les prototypes seraient arrivs entre les mains des allis en pices dtaches. Pour dautres comme Jim Keith, la technologie de lantigravitation par exemple est dorigine purement humaine, copie des prototypes nazis et laffaire des Ovnis extraterrestres capturs ne seraient que de la dsinformation pour noyer le poisson et dsorienter le grand public qui naurait pas savoir quelle est la vritable source de la puissance du cartel militaroindustriel et la nature de leurs projets. Une origine nazie, cela faisait mauvais genre. Le programme Aquarius et lARV Flux Liner

Selon Jean Marc Roeder, les premires tudes prliminaires sur lantigravit entreprises par larme amricaine remontent 1943 et ce nest quen 1947 quelle aurait russi construire un petit drone antigravitationnel de 3 mtres de diamtre et command distance. Les projets qui furent exploits sur base de ce prototype de drone moteur antigravitationnel magnto lectrostatique furent dsigns par lappellation dAquarius. Ce programme Aquarius, inspir des dcouvertes des processus physiques mis en vidence par Tesla aurait donn naissance deux autres sous projets (toujours ce besoin de compartimenter !) : les projets Magnet et Winterhaven avaient pour but de mieux comprendre lantigravit en tant que phnomne naturel et surtout, les zones dantigravit particulire que lon peut trouver ltat naturel en certains points du globe, notamment au Canada. Pour Roeder, linspiration des prototypes dvelopps dans le cadre du projet Aquarius est purement humaine. Pas question ici dchanges dinformations avec des aliens et de dbris de vaisseaux capturs. Les recherches menes dans le cadre du programme Aquarius aboutirent au moins la construction dune srie de prototypes pilots et baptiss ARV Flux Liner ou Antigravity Research Vehicle Flux Liner.

Dans le cadre des informations prsentes par le projet Disclosure ou Rvlations du Dr. Greer, les termes A.R.V ont une toute autre signification : Alien Reproduction Vehicle et dsignent exactement le mme vaisseau de forme conique, surmont par une sorte de cloche. La partie conique abrite un systme de 48 modules condensateurs qui tapissent littralement la base de lappareil ; des modules disposs comme des tranches de pizzas. Chaque module dun poids de 5 tonnes est compos de 4 condensateurs superposs de polarit lectrique ngative en bas et positive en haut. Dans le cas de lARV, il ny a aucune pice mobile et lantigravit ne sobtient donc pas suite la mise en rotation de certaines pices mobiles mais bien par la diffrence de potentiel lectrique. La plaque suprieure tant charge positivement et la plaque infrieure ngativement, une force de pousse apparat du ngatif vers le positif, ce qui aura pour effet dannuler la masse et linertie. Ici, bien entendu, on parle de millions de volts. Qui plus est, ce type de montage, comme nous lexpliquerons un peu plus bas, va gnrer sa propre nergie en crant un puit dnergie dans le vide quantique pour reprendre les termes de Roeder. Egalement dans la partie infrieure de lappareil se trouvent des grandes bouteilles doxygne, disposes symtriquement au dessus des condensateurs afin dalimenter le cockpit. Dans le Tome 2 de ldition franaise des tmoignages des protgs du Dr. Greer, il est fait mention de lARV dans le cadre des tmoignages de Brad Sorensen, un illustrateur qui a travaill dans le domaine de laronautique et qui sest retrouv impliqu dans le travail dune

quipe spciale installe sur la base arienne de Norton. Lhomme a eu la chance de pouvoir pntrer dans le plus grand hangar de la base en novembre 1988, le hangar le plus mystrieux qui abritait trois soucoupes, en fait trois prototypes de tailles diffrentes de lARV Flux Liner. Sorensen a galement eu le loisir de pouvoir examiner de trs prs lintrieur du plus petit des appareils qui tait partiellement dmont mais il a pu galement visionner des plans et des films montrant les prestations en vol de cet ARV quil estime comme tant totalement oprationnel. En entrant dans ce hangar, il a pu constater que les 3 appareils ne reposaient sur aucune structure mais se trouvait en lvitation une trs faible distance du sol. Cet appareil volerait sur base de leffet Biefield-Brown, souligne ce tmoin qui prcise en outre que la technologie a t copie sur base dun engin extraterrestre captur par les militaires. Dans le mme tmoignage concernant Sorensen et McCandlish, Sorensen affirme avoir galement aperu dans un autre coin du hangar le projet Aurora appel galement Lockheed Pulsar. Roeder voque aussi le tmoignage du designer Brad Sorensen mais souligne le fait que les ARV dcoulent de recherches totalement humaines. Qui plus est, les informations quil a fourni dans un article rdig pour le magazine Top Secret sont bien plus prcises et riches en dtails que le tmoignage de Sorensen dans Rvlations. Les Flux Liner nont jamais t construits des fins purement militaires et ne disposent par consquent daucun armement. Ils servent exclusivement des voyages dans notre atmosphre mais aussi et surtout dans lespace puisque les performances de ces engins sont tout bonnement fantastiques puisque lARV peut atteindre nimporte quelle vitesse, y compris les vitesses suprieures celle de la lumire. Toutefois, un voyage vitesse supraluminique devra se faire par bons successifs de longueur limite, afin de ne pas risquer de percuter un obstacle sur le trajet, ce qui dsintgrerait instantanment le vaisseau affirme Roeder. Afin dtre encore plus fidle la description du fonctionnement de ces appareils, nous allons reprendre littralement certains passages explicatifs rdigs par Roeder. Comme nous lavons dj affirm, lantigravitation sobtient non pas avec la mise en rotation de pices mobiles mais par la mise en uvre dun autre procd : le moteur antigravitationnel lectrostatique qui comprend un champ lectrostatique horizontal entour et travers par un champ magntique vertical. Le champ magntique est gnr par un ensemble de deux bobinages remplissant une double fonction : gnrer une haute tension pour charger le condensateur (les fameuses tranches de pizzas) et crer un champ magntique. La combinaison dun champ lectrostatique et dun champ magntique gnre un flux dynamique complexe dlectrons lintrieur du champ Il se cre deux vortex lectromagntiques contrarotatifs. Pas besoin de ce fait de mettre en rotation des pices mobiles qui entreraient en rotation. Ces vortex ont pour effet entre autre chose de crer le fameux puit dnergie quantique dans le vide qui restituera dans les bobines du transformateur lectroaimant une nergie lectrique quivalente celle consomme par le systme. Donc, une fois de plus, le systme sauto entretient . Il suffit dun apport dnergie externe pour le dmarrage, donc pour amorcer le cycle. Roeder explique galement quil existe deux variantes de ce systme de propulsion mais nous nallons pas entrer dans ces dtails afin de ne pas compliquer des concepts qui sont dj intuitivement difficiles saisir. Le TR3A Sportster Autre prototype de disque volant made in USA : le TR3 A Sportster (modle Sport). Dune forme moins trapue et plus lance que lARV Flux Liner, le TR3 A Sportster est un disque volant dont laspect voque lide que lon se fait dune soucoupe volante. Dailleurs, la forme et les proportions de lengin ont t conues pour piger et guider les ondes scalaires, ces fameuses ondes qui sont la base des principes de lantigravitation. En effet, le TR 3 A est un modle double coques, un peu comme la notion de double coques des navires ptroliers, mais entre les deux coques de la soucoupe, il y a du vide, un vide qui savre fondamental pour instrumentaliser les ondes stationnaires puis scalaires qui seront gnres, guides et focalises pour permettre lengin de se dplacer. Le design gnral de cette soucoupe double coques est galement important car il est question, dans cette technologie, dutiliser le concept de cavit

rsonnante pour permettre aux ondes de se focaliser correctement (voir interview).

Selon Roeder, le Sportster a t inspir par un modle extraterrestre qui a t retrouv intact le 20 mai 1953 Kingman dans lArizona. Si les informations en possession de Roeder ne parlent pas du fait que des entits extraterrestres mortes ou vivantes ont t rcupres cette occasion, elles mettent en relief le fait que cet engin et cette technologie appartenaient une race daliens sapparentant aux Gris, savoir la version classique d1m20 revtu dune combinaison trs moulante de la mme couleur grise que leur piderme. Roeder met lhypothse que les militaires US ont sans doute pu mettre la main sur dautres vaisseaux de ce type (ce que Corso affirme aussi) mais il tient pour certain que la technologie qui lquipait a t suffisamment tudie et comprise pour que lengin fut reproduit lidentique ou sous une forme simplifie la fin des annes 80. Roeder prcise galement que la dnomination TR3A dsigne un autre engin top secret de larsenal militaire amricain, savoir un missile hypersonique propulsion EMHD dont la vitesse et le rayon daction sont bien suprieurs aux missiles classiques. Pour la facilit du propos, ce modle de disque volant dinspiration extraterrestre pouvant se mouvoir des vitesses supraluminiques, sera baptis TR3A Sportster (modle sport). Il a t conu dans le cadre dun programme dit Redlight. Si la date de capture du Sportster remonte 1953, il naura t possible pour les militaires de piloter lun des engins capturs que ds le dbut de lanne 1971. Pourquoi un tel dlai entre la date de capture et les premiers vols dessai, c'est--dire un peu moins de 20 ans ? Sans doute quil aura fallu tout ce temps aux ingnieurs pour comprendre comment le vaisseau fonctionnait et surtout, comment adapter le poste de pilotage aux mensurations humaines nettement plus imposantes que celles des petits Gris. Les ingnieurs auraient t capables dinstaller deux siges dans un espace de pilotage qui se trouve en dessous de lespace de pilotage dorigine. Celui-ci aurait t configur pour adapter les camras, capteurs etc qui permettent aux pilotes davoir une vue extrieure de leur environnement puisque le Sportster tout comme lARV ne disposent pas de hublots et autres verrires permettant de voir extrieur. En ce qui concerne le pilotage proprement dit, lappareil se manie avec le mme procd de pilotage manuel que lARV Flux Liner, le Track Ball, une interface lectronique, sorte de sphre

munie de capteurs dont le pilote contrle les mouvements avec la paume de la main, lappareil obissant aux mouvements transmis au systme par la main du pilote. Au dpart, il semble que le systme de pilotage du Sportster tait indissociable du pilote extraterrestre puisque les ondes crbrales de lAlien manoeuvraient lengin. Lentit extraterrestre tait en quelque sorte le pilote, lordinateur et lme de lengin. Cette assertion de Jean Marc Roeder ressemble aux propos dautres tmoins et militaires qui se sont exprimes sur certains des Ovnis extraterrestres rcuprs par les militaires (comme David Adair). Par exemple, le Colonel Corso affirma que les Gris ne pouvaient tre spares de leurs vaisseaux puisquils en taient la pice centrale, lintelligence, lme. Raison pour laquelle les ingnieurs ne parvenaient pas faire fonctionner certains des Ovnis pourtant rcuprs intacts. Pour la petite histoire, il est piquant de constater que les scnaristes de la srie Taken produite par Steven Spielberg, suppose retracer la manire dont un groupe occulte de militaires se sont appropris la technologie des extraterrestres firent galement allusion au fait que lun des engins rcuprs restait totalement inactif malgr les efforts des ingnieurs. Ils avaient donc besoin dun extraterrestre vivant. Ils firent diverses expriences, notamment avec un couple de jumelles mdium, une exprience infructueuse qui aboutit leurs dcs. Il y a fort parier que les scnaristes ont trs certainement surfer entre mythes et ralits. En ce qui concerne le gnrateur dnergie et le mode de fonctionnement du Sportster, on se trouve face un systme dantigravitation totalement diffrent de tout ce que nous avons dj voqu auparavant. Un systme plutt complexe que Jean-Marc Roeder explique dans le dtail mais quil nous semble trop ardu de restituer en quelques lignes pour en saisir intuitivement le mcanisme. Ce que nous pouvons en dire, cest que la forme de la coque, ses structures internes, les alliages de mtaux (inconnus pour Roeder) participent fortement la mise en route des proprits antigravitationnelles du TR3A Sportster. Ensuite, lnergie ncessaire est tire par un gnrateur de protons dont la fonction est de bombarder une cible.de quelques millimtres, de forme triangulaire, dun poids de 223 grammes et compose par un matriau ultra lourd, llment 115 qui est un quasi cristal dont on va tirer la fameuse fusion froide. Il sagit donc dune alimentation lectrique haute frquence tire de ce fameux lment 115, qui se prsente comme un cristal apriodique. Le deuxime lment essentiel du Sportster est un ensemble de trois guides dondes orientables situ dans le compartiment infrieur du vaisseau. Chaque guide donde comprend un empilement de six lentilles de focalisation lectromagntiques permettant de faire converger un front dondes une distance quelconque du guide dondes. Ces ondes lectromagntiques gnres par le guide dondes ne sont pas des ondes lectromagntiques classiques mais des ondes scalaires Ces fameuses ondes scalaires qui sont indispensables lantigravitation. Chaque guide dondes, chaque empilement de lentilles est orientable indpendamment ou en association, ce qui permet, de ce fait, dorienter le vaisseau volont. La combinaison de ces deux systmes (Elment 115 et guides dondes) permet lengin de trouver son nergie, de se dplacer volont. Pour reprendre ce quen dit Roeder, le gnrateur de Sportster cre tout dabord entre les deux coques une pellicule uniforme dondes stationnaires qui annulent la masse et linertie du vaisseau. Les trois guides dondes crent ensuite un ou plusieurs axes de pousse assurant la propulsion et lorientation du vaisseau. Le systme de propulsion du Sportster a quelques inconvnients lorsquil est en mode rpulsif (et non en champ de torsion) basse altitude : il ne fonctionne qu proximit de la plante, est instable basse vitesse et est sensible aux conditions mto. Cest dailleurs pour attnuer cette instabilit que le Sportster tourne sur lui-mme environ trois tours par seconde lorsquil vole trs basse vitesse. Pour voler vitesse supraluminique, le Sportster fait converger ses trois guides dondes vers un point distant afin deffectuer un bond instantan vers ce point en crant un champ de torsion. Le vaisseau, en vitesse supraluminique ne peut se dplacer que par petit bonds successifs pour ne pas entrer en collision avec un objet, un obstacle quelconque de plus grande taille que la soucoupe. Au moment o il fait converger ses trois guides dondes en un seul point (comme trois spots de lumire convergeant vers une seule cible) et passe en vitesse supraluminique, lengin devient transparent, presque invisible.

Cet appareil aurait t employ pendant la Guerre du Golfe Desert Storm en 1991 dans le cadre dune opration de destructions de chars irakiens. Le TR3B Astra de Lockeed Martin Cet appareil est sans doute celui dont laspect caractristique aura le plus retenu lattention des tmoins qui lont aperu : il sagirait du triangle volant la base duquel quatre sources lumineuse dintensit variable se dessinent : lune au centre et les autres chacune des pointes du triangle. Les premiers tmoignages relatant lexistence de ce type dOvni remonteraient, selon Jean-Marc Roeder, 1967-1968, priode au cours de laquelle on commence percevoir dans le ciel des objets de formes diffrentes des trs classiques disques ou cigares volants. Mais cest surtout au cours de la vague belge de la fin des annes 80 que ce genre dengins sillustra. Et de nombreux autres tmoignages attestent que ce type dappareil a t longuement vu du ct de Groom Lake dans le Nevada, lieu de la fameuse base de lAire 51 de lAir Force .

TR3B ASTRA Ce triangle volant serait en ralit de le TR3B Astra fabriqu par la firme en armement Lockeed Martin et qui aurait t conu pour incarner le rle dappareil de reconnaissance tactique. Selon le site darkgovernment.com, le TR3B aurait t oprationnel ds le dbut des annes 90. Selon Jean-Marc Roeder, le premier vol eut lieu en 1987 sur la base de Groom Lake. Ce programme, camoufl derrire le programme Aurora et le SDI (Space Defence Initiative), aurait cot au minimum 3 milliards de dollars (jusquen 1994). Ses initiateurs, toujours selon cette mme source, seraient la trs mystrieuse et trs occulte NRO (National Reconnaissance Office), la NSA et la CIA, le classique triumvirat tout puissant du monde du renseignement amricain. LAir Force, les concepteurs du projet et les agences de renseignement se sont amuss jouer avec les dnominations TR3 A, TR3B, les combinant avec diffrents autres suffixes pour semer le trouble auprs du grand public et ainsi mieux camoufler lexistence de cet appareil rvolutionnaire. Comme laffirme le site Dark Government, il y a autant de diffrences entre le TR3A Astra et le TR3B Astra quentre des bananes et des raisins. Le TR3 A ressemble plutt une sorte daile volante au design proche de B2 Spirit de Northrop Grunman. Pour le TR3 B, il sagit techniquement parlant, en termes militaires dune plateforme furtive de reconnaissance de haute altitude rayon daction infini (Note TR signifie Tactic Reconnaissance). A partir de 1988, soit un an aprs son vol inaugural, il semble que lAir Force employa lappareil des fins de reconnaissance et despionnage sur le territoire sovitique et il effectua ses premires missions de combat en Irak durant la premire guerre du Golfe. A cette occasion, il aurait t employ comme arme offensive puisque ses terrifiants canons plasma auraient dtruit plusieurs rampes mobiles de missiles Scud bombardant Isral Ses performances sont assez impressionnantes mais tout dpend de laltitude et si lappareil se trouve en vol vertical ou horizontal car sa technologie au demeurant fort complexe, surtout pour des nophytes comme nous le sommes, savre tre la combinaison de plusieurs modes de propulsion : un mlange de propulsion MFD (Magnetic Field Disruptor), c'est--dire 4

propulseurs antigravitationnels de type MFD qui soccupent de la propulsion verticale et de propulsion EMHD, soit 3 cavits rsonnantes ondes millimtriques qui cre la pousse horizontale et qui se trouvent sur les bords, les arrtes de lengin. Selon donc son altitude et son allure, la vitesse maximale de lAstra serait tantt de 9000 km/h (en basse atmosphre), tantt de 20.000 km/h en propulsion verticale, voire 100.000 km/h dans le vide. Seule limite de la technologie du vaisseau : il ne peut sloigner de plus de quelques dizaines de milliers de kilomtres de la terre car ses moteurs antigravitationnels fonctionnent par rpulsion dune masse locale, en loccurrence la terre, ce qui fait que sa pousse antigravitationnelle diminue rapidement en sloignant de celle-ci rsume parfaitement Jean-Marc Roeder. Bref, ce nest pas avec le TR3B Astra que lon va se livrer des voyages interplantaires. Do son rle trs prcis dappareil furtif de reconnaissance. Le TR3B Astra ne marche donc qu proximit dun astre et donc dune masse gravitationnelle dune certaine ampleur. Comment fonctionnent ces modes de propulsion ? Nous nallons pas nous y attarder dans le dtail tout simplement parce que nous ne possdons pas la formation en physique qui nous permet de bien comprendre et donc de vulgariser au maximum certains concepts qui prsident aux dveloppement des forces qui propulsent lengin. En termes brefs, nous dirons que la propulsion MFD (Magnetic Field Disruptor) gnre un champ magntique qui influence ou neutralise les effets de la gravit sur la masse. Comment produit-on ce phnomne ? Grce un plasma de vapeur de mercure qui est comprim dans une boucle torodale (c'est--dire en forme de vortex ou de tourbillon) et sur lequel on inverse plusieurs milliers de fois par seconde le sens de leur champ magntique. Cette opration a pour consquence de gnrer une inversion de la masse et de linertie, donc de lantigravit. Trs sommairement, ces propulseurs antigravit au mercure se prsente comme de massives bobines disposes horizontalement autour dun axe qui est galement un empilement de bobines de compression de rupture de champ. Toujours selon Roeder, lutilisation de vapeurs de mercure a sans doute inspir aux concepteurs le nom dAstra qui est un terme sanskrit qui dsigne un modle deVimana, les clbres appareils antigravitationnels dont le mode de fonctionnement est soigneusement dcrit dans dantiques textes hindous. De manire trs fascinante, ces textes trs anciens qui remontent aux aubes des civilisations dcrivent des engins volants ultra puissant dont le systme de propulsion, lui-mme dtaill, faisait appel au mercure. Curieux, non ?! Grce aux 4 propulseurs MFD, lAstra peut donc se mouvoir verticalement des vitesses trs importantes.

Vimana (vue d'artiste)

Reste alors la propulsion horizontale qui se fonde sur des concepts un peu plus complexe rsumer et vulgariser que les mordus pourront apprhender sur Internet sur les sites consacrs la propulsion EMHD. La source dnergie est fournie par un systme de trois racteurs nuclaires fournissant chacun un maximum de 220 mgawatts. Ces trois racteurs sont placs lun la suite de lautre dans une enceinte en forme danneau torique. De la vapeur de sodium issue dun premier racteur pntre dans un deuxime racteur o elle est nouveau chauffe et acclre. En restituant son nergie sous forme dlectricit dans le tunnel MHD du second racteur, la vapeur de sodium se refroidit et ralentit avant de pntrer dans le troisime racteur. Lenceinte contenant les 3 racteurs tant un circuit ferm, le processus se rpte indfiniment. Comme dans tout racteur nuclaire, il est possible de moduler la puissance du systme en enclenchant plus ou moins profondment les tubes de ralentissement du racteur. Ces racteurs fournissent donc lnergie de la propulsion EMHD horizontale ainsi que larmement. Lengin se dplace par la combinaison des deux modes de propulsion (MFD et EMHD) et par la concentration dune norme charge lectrique au point focal dun faisceau laser. Il se forme alors ce point focal une boule de plasma de charge lectrique ngative. Lnorme diffrence de potentiel existant entre la ligne de charge lectrique positive de la cavit rsonnante (situe sur les arrtes de lengin) et le point, de charge lectrique ngative de la boule de plasma cre une acclration lectrocintique de lair entre le fuselage et la boule de plasma. En dplaant le faisceau laser et donc la boule de plasma form son point de focalisation, on oriente la direction de la propulsion lectrocintique. En vol stationnaire, le systme decavit rsonnante boule de plasma nest pas employ et lorsque lappareil se met en mouvement, le laser se focalise sur une cible virtuelle, dans la direction que lappareil veut emprunter. On utilise aussi ce systme comme armement, un armement extrmement puissant et destructeur. Enfin, cette technologie explique sans doute le

contenu de certains tmoignages relatifs la mobilit des points lumineux qui se trouvent sous ces fameux triangles volants. Ses dimensions sont assez imposantes puisque chaque ct du triangle mesure 34 mtres et lpaisseur maximale du triangle est de 6 mtres, le tout pour un poids de 150 tonnes. La structure de lappareil serait faite principalement de titane et de quelques lments composites comme le carbure de silicium. LAstra peut voyager et se mettre en orbite basse mais ses moteurs antigravitationnels ne fonctionnent que par rpulsion dune masse locale, ce qui interdit lAstra des voyages dans lespace lointain. Dans le cadre de missions militaires, nous affirment Roeder, le TR3B Astra emporte un quipage de 4 hommes, soit un pilote, un ingnieur charg des systmes de combat et de contre-mesures, un ingnieur soccupe lui des propulseurs et un dernier homme a pour mission de surveiller le systme denceinte des racteurs nuclaires. Roeder suppose que le poste de pilotage tant assez vaste, lAstra peut emmener pas mal de monde. Une fois de plus, la visibilit est assure pour le pilote par un systme de rendu de ralit virtuelle dans un casque high tech puisquil ny a aucun hublot ni fentre. LAurora entre mythe et ralit Lavion hypersonique spatial XR 7 Aurora est sans doute lappareil qui aura fait couler le plus dencre, susciter le plus de mystres dans les cercles conspirationnistes et ufologiques. Dune part parce que certains, tort, le prenait pour un engin propulsion exotique, le nec plus ultra de lantigravitation, un de ces triangles volants qui brillaient et disparaissaient dans le ciel du dsert du Nevada. Ensuite, parce que cet appareil, qui se trouve en ralit, dans le troisime cercle du secret, le cercle le moins secret des projets clandestins darmement des Amricains, est celui sur lequel on a eu assez tt un certain nombre de donnes dans diverses revues aronautiques. La manoeuvre tait habile puisquen entretenant la polmique et lambigut sur le nom dAurora , en lchant au compte gouttes des informations, on dtournait les regards des curieux, dautres projets bien plus secrets comme la propulsion MFD, les armes antimatires, mais surtout, les vhicules antigravitation, le pompage de lnergie quantique du vide et les vhicules se dplaant plus vite que la vitesse de la lumire, bref les projets darmements qui se situent dans les deux cercles les plus secrets. LAurora tait n pour devenir une star, une toile miraculeuse et distrayante dans les cieux des ufologues. Par exemple, en 1996-1997, un ufologue qui nest pas des moindres, Nick Pope faisait le point sur le projet Aurora, ajoutant un peu p