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**? *> a 4 a* jua «tusiMfctf ififfiSS ********* üiiasaeü» ip Ae*t tegg LE COURRIER DE .L’OISE Paraissant le Dimanche JOURNAL DE SENLIS A B O W N E 3VC E 3ST T S Oise et liuiitr. 8 fr. Antres dép. 10 rr. On s’abonne aux Bureaux du Journal et dans tous les bureaux de poste. — réabonnement est payable devance et continue de plein droit jusqu'à réception Z>s Abonnements partent du i ,T de chaque mois bureaux , rédaction & administration SE N L IS 11. Place 11 SE N L IS TÉLÉ A B RA ND DIRECTEUR : j>. - Ii’ŒÜVRE DE liA MAJORITÉ DE 1919-1324 Si l’on prête une oreille complaisante aux bonimenteurs de tout ordre qui ont assume la mission de décrier l’œuvre de la majorité parlementaire constituée par le scrutin du 16 novembre 1919, et présen tement groupée autour de M. Poincaré, cette majorité serait tout à fait inintelli gente et incapable, et n’aurait, pour l’ordre social, pour la sécurité et la pros périté du pays, rien fait de plus que les majorités radicales-socialistes d’avant guerre pour la défense nationale et la sauvegarde de la Patrie. On finirait par croire qu’en bloquant l’offensive de 1917, M. Painievé a précipité la fini de la guerre, et qui, au lieu d’arrêter le bon républi cain Caillaux, auteur du plan du coup d’Etat, dit le Rubicon, Clemenceau l’eût laissé agir, ainsi que tous les défaitistes, nous aurions tout de mêrrre redressé le moral de la France et gagné la guerre. Contre le défaitisme Se rappelle-t-on la propagande débili tante à laquelle coupa court l’avènement de Clemenceau : la paix immédiate sans vainqueurs ni vaincus, sans réparations, sans indemnités ? Depuis l’armistice du 11 novembre 1918, qui brisa les ailes de notre victoire, les pacifistes de 1917 ont à peine changé de langage : les socialistes, dont l’un avait tout de suite parlé du « boulet de la victoire », n’ont cessé de soutenir l’Allemagne récalcitrante, et les journaux radicaux-socialistes mènent une campagne féroce contre le président Poincaré, coupable d’avoir rompu net avec le régime lamentable des conces sions successives, et d’avoir enfin hau tement, énergiquement, revendiqué le droit de la France aux réparations et l’application des traités. Si Poincaré n’était pas à la tête du Gouvernement, soutenu par une majorité fidèle â ses engagements, interprète réso lue de la volonté du Pays, que serait devenu le traité de Versailles, et, si nous n’avons pu encore obtenir les réparations, quels gages aurions-nous donc et quelle garantie d’en réaliser un centime ? La question vitale Avec un autre que ce Lorrain de haute intelligence et de forte ténacité, nous ne tiendrions plus un lambeau du fameux traité qui devait être, suivant les gouver nements, <( un perpétue] devenir », où tend à s’effacer la signature de la princi pale alliée, et dont on nous chicane, avec l’approbation odieuse de Français germa nophiles, les prochains avantagés. Le Français paiera-t-il pour le Hoche ? Aux politiciens qui, sous de fallacieux prétextes, critiquent le rôle du Gouverne ment et s’efforcent à provoquer l’atten- drisseinent craintif au profit de l’agres seur impitoyable, dont la haine est impla cable et inextinguible, nous n’avons qu’une chose à répondre : Ce que l’Allemagne ne paiera pus, ts-’est le Français qui le paiera; il a commencé depuis longtemps à payer, lui le vain queur, pour le vaincu. Parlons du budget des dépenses dites recouvrables. Vous dites, messieurs les radicaux-socialistes, que le Bloc national a mis en danger les finances françaises et n’a pas su assurer l’équilibre de nos budgets ! Il ne s’en est fallu, pour équilibrer, dès janvier, celui de 1923, que des milliards à avancer par nous à l’Allemagne; êtes-vous plus malins que d’autres, et votre Caillaux lui-même a-t-il trouvé moyen de libérer le Boche sans accabler le Français ? Des impôts inéluctables Ah ! dans la propagande sournoise que vous faites, de même que vous paraissiez, à un moment donné, rejeter sur la majo rité actuelle l’impopularité de l’impôt per sonnel sur le revenu, cet impôt d’inquisi tion institué par vous à la faveur de la guerre, de même vous voudriez faire por ter sur ce que vous appelez le Bloc natio nal, la responsabilité des énormes impôts qu’il a fallu voter pour couvrir les dépen ses de la guerre. Ces impôts, vous les avez votés, pour tant, et M. Herriot lui-même eut le cou rage’ de déclarer qu’il en assumait résolu ment avec nous la responsabilité — et, peut-on dire, l’honneur. Mais si vous critiquez le rôle de ceux qui, ayant vaillamment fait leur devoir devant l’ennemi, n’ont pas reculé devant la nécessité d’entreprendre l’œuvre de salut public que la Chambre radicale- socialiste de 1914-1919 n’avait pas osé aborder en temps opportun, par quels moyens inconnus auriez-vous entendu ré gler les frais et les gabegies d’une guerre à laquelle vous nous aviez si mal prépa rés ? . ... Il est aisé d’insinuer que la majorité de 1919 ait ménagé les profiteurs ; une commission parlementaire, dans laquelle notre ami Henri Fougère a joué un rôle très actif, n’a-t-elle pas vérifié tous les marchés de guerre, dénoncé au Gouver nement toutes les irrégularités, toutes les responsabilités ? Le travail parlementaire et l’obstruction La majorité a fait son devoir, tout son devoir. Si son œuvre est restreinte, encore qu’au 1" janvier 1923 il ait fallu trois volumes de 300 pages pour enregistrer les lois d’intérêt général devenues défi nitives depuis novembre 1919, l’obstruc tion systématique des éternels bavards d’extrême-gauche, qui parlent toujours, sans jamais voter seulement le budget qu’ils broutent, est pour quelque chose dans cette paralysie qu’il leur plait de dénoncer. La Chambre de 1919 a tenu plus de séances que celle qui l’a précédée, bien que la majorité radicale-socialiste de 1914 ait obtenu du Gouvernement, dans le but d’épargner ceux des représentants du peuple que leur vaillance eût précipités vers les dangers du front, de siéger sans interruption, c’est-à-dire sans vacances véritables qui eussent provoqué d’inévi tables enrôlements. Si, en 1919, sur l’invitation de certains de nos amis, la majorité avait seulement consenti à museler l’obstruction oratoire.. elle eût pu épuiser des sujets importants qu’à peine a-t-elle abordés. Mais, en met tant un frein à la fureur des.... mots, quel joli motif de récrimination elle eût four ni contre un système d’oppression qui supprimerait ou restreindrait la liperté de la parole ! Le bâton dans les roues Se souvient-on du régimje des chemins de fer, dont la discussion fut prolongée outre mesure à la Chambre par les ora teurs d’extrême-gauche, et retardée en suite par le Sénat sans nul profit pour la nation ? Veut-on considérer les délibérations sans fin sur les divers budgets de la légis lature, et faut-il mentionner, ici encore, que le Sénat n’a rien fait pour compenser la perte de temps causée par des bavar dages intempestifs ? On peut sans doute reprocher à la Chambre de n’avoir pas ose couper court à certains débats trop oiseux : c’est qu’elle a, plus que le public, le juste souci de la liberté de discussion. Problèmes nouveaux Mais, si elle a consacré tant de temps encore à l’examen des diverses lois sur l’inépuisable question des loyers, si elle a longuement, démesurément discuté cer taines réformes (formules d’impôts directs, propriété commerciale : sur ce dernier point, et malgré certaines criti ques de dogme, il semble que l’on ait trouvé la solution d’un problème délicat), c’est qu’elle tenait à régler minutieuse ment des problèmes nouveaux d’une sin gulière complexité. Cela ne l’a point empêchée de voter et de retoucher la loi des pensions, d’avanta ger la petite propriété, de favoriser la construction d’habitations à bon mqrctié, de protéger, contre les abus de la saisie- arrêt par vendeurs à tempérament, les petits salaires et les jietits traitements, dp réformer généreusement le sort des fonc tionnaires et particulièrement des mem bres de l’enseignement, d’assurer la pro tection des œuvres d’art, (Détendre les bienfaits de la législation sur les accidents aux travailleurs de l’agriculture, et der nièrement aux gens de maison, (le réduire, dans la mesure du possible — à dix-huit mois — la durée du service militaire. Rappelons encore toutes les mesures prises pour le relèvement de la natalité, telles que la correctionnalisation du crime d’avortement, l’aide sociale aux familles nombreuses (loi Dclachcnal), les réductions de tarif de chemins de fer au profit des mêmes familles, les avantages accordés aux fonctionnaires pères de famtille dans la loi des retraites et dans celle sur les indemnités de cherté de vie. N’avez-vous pas entendu le bruit fait, l’an dernier, autour d’une économie de 50.000 fonctionnaires inutiles, dont la gauche critiquait la disparition ? Qu’eussent fait de mieux ceux qui mènent en ce moment la campagne de dénigrement ? Rien, sans doute, à moins qu’ils n’eussent capitulé devant l’Allema gne pour liquider plus- tôt une situation irritante, à moins encore que, complai sants à l’égard des révolutionnaires, ils n’eussent laissé compromettre l’ordre et troubler l’œuvre de relèvement du pays. Quoi qu’on dise, le redressement de la France est sensible; les radicaux-socialis tes voudraient faire accroire qu’ils ont un secret pour l’accentuer sans rien briser, pour supprimer notamment la vie chère, en restituant au franc, rapidement, sa valeur. Voilà des promesses démagogiques que l’on s’efforce d’envelopper sous la forme trompeuse d’une critique contre ceux qui n’ont pas encore rendu sa valeur à l’ar gent, ni rétabli les tarifs d’autrefois. Les badauds seuls se laissent prendre à ces facétieux mais grossiers procédés. Deux choses sont essentielles à la vie nationale : que le Français n’ait pas à payer pour le Boche, ce qui diminuera nos charges ; que notre production devienne de plus en plus intense, ce qui diminuera le prix de la vie. Il nous semble que la majorité qui sou tient Poincaré obtiendra de l’Allemagne plus que les radicaux-socialistes et les socialistes; il est certain, d’autre part, que l’ordre, maintenu grâce à elle, après l’affreux bouleversement de la guerre, et malgré les menées révolutionnaires, a grandement favorisé le rétablisement de la production française. F. R. INFORMATIONS • Changements de classe de mobilisation des réservistes pères de famille L’article 58 de la loi du 1 " avril 1923 accorde à tout réserviste le bénéfice d’un r/ bonification de deux classes pour chaqnf enfant vivant, et prévoit, en outre, le pas-) sage dans la deuxième réserve des réser vistes pères de quatre enfants vivants , et l’affectation à la dernière classe, de la deuxième réserve, des réservistes pères de six enfants vivants. Pour pouvoir bénéficier, sans délai, de ces dispositions, les réservistes des classes 1921 à 1895, pères de famille, devront se présenter, munis de leur livret militaire, a la mairie de leur domicile ou résidence, entre le 25 août et le 5 septembre 1923, pour y faire une déclaration relative à leur situation de famille. Par la suite, à chaque naissance d’en fant, comme aussi dans le cas de mariage avec une femme ayant des enfants d’un premier lit, les intéressés, en disponibi lité ou en réserve, devront demander à lcur_ mairie do signaler, leur nouvelle si tuation de famille au recrutement. Les nouveaux débitants de bois- sons doivent faire sans retard leur déclaration à la mairie. Un arrêt intéressant tous les nouveaux débitants de boissons vient d’être rendu par la Cour d’appel de Rennes, dans les conditions suivantes : En vertu de la loi du 9 novembre 1915, toute mutation dans la personne du pro priétaire ou du gérant d’un débit de bois sons doit être suivie, dans les quinze jours, d’une déclaration écrite à la mai rie, qui en donne un récépissé. Or, ces temps derniers, des débitants de la région, qui venaient d’acheter des fonds de commerce, se présentèrent deux fois au secrétariat d’une mairie, où il leur fut répondu une première fois de reve nir, parce que les imprimés nécessaires à l’établissement de la déclaration man quaient. Le secrétaire de la mairie leur déclara même qu’ils n’avaient pas à s’in quiéter, le délai fixé étant d’un mois. Sur cette déclaration, les habitants ne remplirent les formalités voulues que quelques jours plus tard. Il était trop tard, et ils furent poursuivis en correc tionnelle. Le tribunal les acquitta, leur bonne foi ayant été reconnue. Sur appel du ministère public, les dé- ült'tÔTts ont com paru clcvunt la CK»ui ui-up pci. La Cour a arrêté que la bonne foi ne devait pas être mise en cause, et elle a condamné les débitants à 16 francs d’a mende avec sursis. DANS L OISE L’ouverture ée la chasse L’ouverture de la chasse, dans le dépar tement de l’Oise, est fixée au dimanche 2 septembre. Statistique de la population dans l’Oise La statistique suivante vient d’être établie en ce qui concerne le mouvement de la population dans notre département pour le premier trimestre de 1923. Arrondissement de Beauvais. — Ma riages 219, divorces 27, naissances 627, décès 617. Arrondissement . de Clermont. — Ma riages 141, divorces 21, naissances 406, décès 402. Arrondissement de Compiègne- — Ma riages 157, divorces 17, naissances 547, décès 373. Arrondissement de Senlis. Mariages 185 divorces 27, naissances 597, décès 467! Soit un total pour le département de 702 mariages, 92 divorces, 2.171 nais sances et 1.859 décès. D’où il résulte un excédent de naissances de 312 sur les décès. TRIBUNE LIBRE LE PRIXOU PAIN DANS L’OISE Pourquoi cette différence ? Tout le monde a pu lire dans les grands quotidiens de cette semaine les infor mations suivantes : Valence, 7 août. — Les autorités muni cipale et préfectorale, en parfait accord avec le syndicat de ia boulangerie, ont décidé qu’à partir de dimanche 12 août, le prix du pain sera ramené à 1 fr. 15 le kilo. Beauvais, 7 août. -— Le prix de la fa rine ayant baissé de 4 francs par quintal depuis huit jours, le prix du pain est fixé à 1 fr. 20 le kilo, à dater du 16 août prochain, par décision de l’Union des syndicats patronaux de la boulangerie de l’Oise. Par ailleurs, les mêmes journaux ont annoncé qu’à Paris le prix du pain se rait (vraisemblablement à partir de lundi prochain) abaissé à 1 franc 15. pÉ/'ci pcf parfait et ne peut <|«o nous n-jouir, niais quelqu’un, parmi MM, les boulangers de la fédération, pourrait-il nous dire pourquoi à Valence, comme à Paris et dans beaucoup d’autres endroits (lu reste, le pain est vendu un sou moins cher que dans l’Oise, Est-ce parce que nous sommes en plein centre de production et que dans notre région la farine est côtee moins cher qu’à Paris ? (à titre d’exemple qu’il vous suffise de savoir qu’un boulanger ayant quitté notre ville et établi à Paris rece vait et reçoit peut-être encore sa farine d’un meunier des environs). Et, puisque nous parlons d’une dimi nution, nous serait-il possible de savoir pourquoi, lorsque l’Union des syndicats patronaux décide que le pain sera aug menté à partir d’une date déterminée, le nouveau tarif est appliqué exactement à la date indiquée, alors que lorsqu’il s’agit d’une diminution le bénéfice n’est accor dé aux consommateurs que le lendemain ou même plusieurs jours après la date fixée. Le fait n’est pas unique et il nous re vient que dans beaucoup de communes et notamment à Villeneuve-sur-Verberie, pour ne citer que celle-là, la diminution n’est jamais appliquée à sa date, sous prétexte que la feuille avertissant M. le boulanger de l’endroit ne lui parvient pas en temps utile ; ceci peut être vrai, mais pourquoi alors quand il s’agit d’une aug mentation cette même feuille arrive-t-elle *■— «IS.nc journée, ce même boulanger prend-il la peine d’enfourcher sa bécane pour se rendre à Senlis, chez M. le Président, la réclamer ? Ne croyez pas que la chose soit parti culière aux petits pays ; nullement le mê me fait s’est produit à Senlis même lors de la dernière diminution de 2 centimes 1/2 consentie, pour quelques jours seu lement il est vrai, à la demande de l’Union des Salariés de Senlis (qui avait jirotesté alors qu’on avait augmenté le pain dans notre région avant même qu’il en soit question à Paris). Dans certaines boulan geries la diminution ne fut consentie que le 2 ” et, dans d’autres, le 3' jour après la date convenue, et pourtant le Président du Syndicat habite notre Ville. Nous laissons les consommateurs juges de tels procédés, mais nous tenions sur tout à signaler le cas afin que MM. les maires des communes du département prennent les mesures utiles, qui sont en leur pouvoir, pour que les diminutions (et nous espérons bien qu’elles ne font que commencer) aussi bien que les aug mentations soient appliquées aux dates fixées. Un groupe de salariés. Revue Syndicat dr ia r'eurerle de l’Oise COURS FARINE : 123 francs. Avis aux jeunes gens de la classe 1924 L’Administration de la Guerre, dési reuse de faciliter l’instruction au pilotage des jeunes gens de la clase 1924 retenus jusqu’à présent par leurs études, leur a réservé un certain nombre de places de boursiers de pilotage d’avion. Une série d’examens va avpir lieu en août. Les jeunes gens titulaires du brevet élémentaire ou d’un diplôme supérieur sont dispensés d’examen d’instruction générale, sur production d’une copie, certifiée conforme par le Maire, du titre entre leurs mains. Les jeunes gens de la classe 1924 dé sireux de devenir pilotes aux frais de l’Etat dans une école civile et de ne faire ensuite que dix-huit mois de service dans l’aviation militaire, doivent se hâter et demander tous les renseignements uti les au Ministère de la Guerre. — Direc tion de l’Aréonautique — 4° bureau, 231, Boulevard Saint-Germain, Paris. xiLE BON CIRAGECREME^ La session du Conseil général Aux termes de la loi du 10 août 1871, la session d’été des Conseils généraux, la plus importante des deux sesions annuel les, doit s’ouvrir le premier lundi sui vant le 15 août. Cette année, c’est le 20 août qu’elle devrait commencer. Mais une loi postérieure a donné aux assemblées départementales la faculté de reporter l’ouverture à une date plus éloignée sans toutefois dépasser le 1 " octobre. Un assez grand nombre de conseils généraux ont usé de cette faculté «t ajourné leur réunion à des dates diver ses, échelonnées entre le 20 août et le 1 " octobre. Le département de l’Oise a fixé la date d’ouverture de sa session au lundi 24 septembre. ^ ^ Concours pour le recrutement de dames-employees Un concours pour le recrutement de dames-emlployées dans la région de Paris aura lieu au chef-lieu du département les 3 et 4 septembre 1923. Peuvent prendre part à ce concours les candidates domiciliées dank le dépar tement de l’Oise, âgées de 17 ans au moins et de 25 ans au plus, de nationalité fran çaise, exemptes Me toute infirmité, non atteintes de tuberculose confirmée ou douteuse et avoir au moins la taille de 1 mètre 50. La limite d’âge est de 25 ans, mais re portée jusqu’à 30 ans pour les veuves ou orphelins de militaires tués à l'ennemi et dont l’acte de décès remonte à moins de 5 ans. La liste d’inscription sera close le. 26 août 1923, à 18 heures, et aucune de mande de participation aux épreuves ne sera reçue après cette date. Les candidates peuvent s’adresser pour tous renseignements au receveur des I • T. 1. de leur résidence ou au Direc teur départemental. Paraissant le Dimanche Annonces légales ........... Annonces Volontaire». B B IX D ES U STSHBTIO N S ................. 1 fr* la ligne* | RÉCLAMES : ............. 1 fr: la ligne. | 2" ou S* p a g e .. ............................ Les mk^nscritSi insères ou non, ne sont pas rendus 1 fr. U la ligne. des Journaux DE L OISE A propos de la loi électorale Du Moniteur de l’Oise, sous la signature de M- Reverdy de Salvalgère : Région électorale, région adminis trative : Rien ne fut plus fâcheux pour le Pays que l’abjecte domination des comités vaseux et radicaux de l’arrondisement. Ces marécages croupissants convenaient aux moyens d’action et à la beauté de M. Boucandeau, ou de tel autre, dont M. André Paisant prit la place. Sourdes luttes par le moyen des fiches, inouchardat dans chacun de nos villages, puissance maintenue des radicaux, voilà ce que nous valut le scrutin d’arrondis- ment, auquel M, Jemmy Schmidt voudrait nous ramener. Bien qu’elle soit abâtardie et défigurée, par la prime à la moyenne la plus forte, la réforme actuelle n’en a pas moins quel ques mérites. Par elle, les électeurs com prennent mieux ce que réclame l’intérêt général, et l’élu, moinaen coupe réglée, se dégage des combinaisons alimentaires et des disciples de comités. Confondons les intérêts régionaux et les intérêts généraux, nous verrons les magnifiques résultats de cette méthode et quels courants salubres et puissants peuvent conduire la masse électorale. C’est de belles régions que se compose t;, France et non pdint de mares sta- ipantes. (( La Gazette de l’Oise » contre M. Poincaré Contentons-nous de souligner la der nière infamie parue dans la Gazette de l’Oise du 1 er août contre M. Poincaré : « Un procès retentissant vient de démontrer, à Munich, que la France, à l’aide des fonds secrets du ministère des Affaires étrangères, M. Poincaré étant ministre, concourt à entretenir l’agitation pangermaniste en Bavière, et y pousse au rétablissement de la monarchie. » Tout commentaire serait superflu de vant cet abominable mensonge. Ajoutons que dans son numéro de jeudi, la République de l’Oise publie également une longue et violente diatribe contre M. Poincaré- L’opinion publique jugera. Bloc ouvrier ' et Cartel des gauches Du Progrès de l’Oise, sous la signature de M. Mermet : Dans le second cas, les conclusions de M. Uhry nous paraissent moins certaines. Il additionne socialistes, radicaux eK communistes, oubliant cette règle de mathématique, qui veut que l’on ne puisse additionner que de* unités de même nature. Cette addition peut très bien se faire sur le papier. Dans les urnes, elle devient plus difficile. Lorsque l’on présentera aux radicaux la fameuse liste du Bloc des gauches, com prenant 3 radicaux et 3 socialistes et com munistes, ils feront la grimace. Ils vote ront tout naturellement pour les trois candidats de leur parti, mais ils réfléchi ront avant de porter sur leur bulletin les noms des candidats socialistes et commu nistes. Ils compareront à ces noms ceux •qu’ils trouveront sur la liste d’Union républicaine et sociale et ils se diront que tel ou tel des candidats de cette liste leur inspire plus de confiance que les noms socialistes et communistes. Le résultat, à peu près certain, c’est que la liste du Bloc des gauches n’aura pas la m ajorité nllKDlllP quo la rynon .r» do «oHu liste sera battue. Or, cette queue de liste sera précisément formée de M. Uhry et de ses amis. L’expérience a été faite et elle a donné des résultats absolument conformes à ce que nous avançons. Jaurès au Panthéon De La Semaine de l’Oise, sous le pseu donyme de M. Jean-Bernard : Ces révolutionnaires s’occupent surtout d’agitations, et le gouvernement a reçu, des groupes socialistes, une demande pour que les restes de Jaurès soient transpor tés au Panthéon. Le Cabinet ayant simple ment accusé réception de cette demande et ne qaraissant par vouloir lui donner une solution aussi rapide que le désirent les promoteurs, M. Paul Boncour sera chargé de déposer, à la rentrée, une pro position de loi à ce sujet. Jaurès au Panthéon 1 C’est une ques tion sur laquelle peu de républicains seront d’accord. Lénine a fait élever en plein Moscou une statue à Jaurès ; cela se comprend, mais ouvrir à ce mort les caveaux du Panthéon, il faudrait oublier ses agitations révolutionnaires qui firent tant de tort au pays. Tout le monde n’y est pas disposé, loin de là. ---------------------------------------------------------------- Ouverture des gares de grande vitesse Un arrêté de M. le Ministre des Travaux Publics en date du 30 juin 1923, a réglé ainsi qu’il suit les conditions d’ouverture des gares G- V. lorque deux jours fériés se présentent consécutivement : « Les gares seijpnt fermées les diman ches et jours fériés tant à la réception cru’à la livraison ries nmi’rl,.n,(îe., -( — grande vitesse. « Lorsque deux jours fériés se présen teront consécutivement, les gares seront ouvertes le second jour jusqu’à dix heu res à la réception et la livraison d» toutes les marchandises; en outre, ce même se cond jour, les gares de Paris seront ou vertes jusqu’à 12 heures à la réception de toutes les marchandises. Dans le cas où le second jour férié se trouverait être le 14 juillet, les gares seraient ouvertes à la livraison des marchandises le premier jour férié jusqu’à 10 heures ». A travers Senlis VELODROME DE SENLIS Grands critériums d’athlétisme Dimanche 12 août 1923, à 13 heures 30, au Vélodrome de Senlis, Grands Crité riums d’Athlétisme de 2” et 3” catégories, organisés par la ligue de l’IIe-de-F'rance avec le concours du Sport Vélocipédique Senlisien, sous la présidence d’honneur de M. Gâté, sous-préfet, de M. Escavy, maire de Senlis, de M. le Colonel d’Epe- noux, commandant le 5" chasseurs, et la présidence effective de M. Georges-Pi- cot, présiüent Ue la ligue de l’Ile-de- France. Epreuves 2e'1 catégories : 100, 400, 1.500, 5,000 mètres plats; sauts en hau teur et longueur avec élan; lancements du poids et du disque; 110 mètres haies. Epreuves 3es catégories : 80, 300, 1.000, 3.000 mètres plats; sauts en hauteur et longueur avec élan; lancements du E oids (5 kilogs) et du disque; 83 mètres aies. La Musique Municipale de Senlis fera entendre son brillant répertoire au cours de la réunion. Une course cycliste sur route de 110 kilomètres organisée par un groupe de commerçants, aura lieu le même jour, le départ et l’arrivée se fera au Vélodrome. Il est a espérer que ce programme soit un régal sportif pour le public senlisien, auquel nous pouvons assurer que, vu le nombre d’engagements que ces épreuves réunissent, elles ont l’importance d’un championnat, et sont la consécration de la saison d’athlétisme. Une course cycliste sur route avec départ et arrivée au Vélodrome, ne man quera pas d’intéresser vivement le pu blic et nous verrons nos coureurs dé fendre avec autant d’entrain que sur la piste, les couleurs de la Société sur les 110 kilomètres du parcours. Le Secrétaire, J. ROLLAND. On nous annonce, que la réunion athlé tique de demain dimanche, organisée par le Sport Vélocipédique Senlisien, réunira plus de 200 athlètes. La course cycliste organisée par un groupe de commerçants, compte déjà plus de 50 engagements. Souhaitons le plus grand succès à ces deux réunions sportives. AVIS A l’occasion de la fête de l’Assomption, M.- le Préfet de l’Oise autorise les débits de boissons et autres lieux publics, à rester ouverts dans la nuit du 15 au 16 Août, jusqu’à 2 heures du matin. La Fête de la Porte Compiègne Nous rappelons à nos lecteurs que c’est demfain dimanche et mercredi 15 août, qu’aura lieu la traditionnelle fête de la Porte Comlpiègne. Elle aura cette année un grand succès, si nous en jugeons par les nombreux forains qui se sont déjà installés, chevaux de bois, tir à la carabine, confiseries, lote ries diverses ; il y en aura suffisamment pour contenter petits et grands. •Chaque soir, un excellent orchestre permettra à la jeunesse de danser en l’honneur de la « Fête à Maroux. » « Une Incroyable Odyssée » Nous avons appris avec plaisir que l’ouvrage très connu du comte Arnauld Doria, Une Incroyable Odyssée, vient d’être couronné en juillet par l’Acadé mie des Sciences Morales et Politiques, et que le prix Audiffred a été décerné à son auteur. Cette captivante histoire d’un raid de cavalerie dans l’Oise est d’ail leurs actuellement à sa sixième édition et nous ne pouvons qu’adresser nos fé licitations au comte Doria pour ces suc cès, ,bien mérités d’ailleurs, d’une œuvre très vivante et dont les péripéties se dé roulent dans notre région. Audiences de vacations Mardi 14 août, à 9 heures, audiences civile et correctionnelle, Place Notre- Dame. Vendredi 17 août, à 13 heures 30, au dience correctionnelle, Place du Marché Saint-Pierre. Boxing Club Senlisien Les membres fondateurs et honoraires du S. V. S., ainsi que ceux du Boxing Club Senlisien, sont invités à la séance de boxe et d’escrime qui aura lieu au Vélodrome de Senlis, le dimanche 19 août. Pour l’entrée gratuite de ces mem bres, leur carte sera exigée. Le vice-Président : G. Tribout. M. Victor Goedorp Officier de la Légion d’Honneur Nous apprenons avec plaisir que pas décret du Président de la République, rendu sur la proposition de M. Léon Bérard, ministre de l’Instruction publi que et des Beaux-Arts, notre excellent et distingué confrère, M. Victor Goedorp, secrétaire général de la rédaction du Temps, vient d’être nommé officier de la Légion d’honneur. Notre ami Victor Goedorp était che valier de notre ordre national depuis 1919 et avait été nommé par le ministre de l’Intérieur. C’est, cette fois, non au pu- bliciste politique qu’est donné la rosette, mais à l’ecrivain réputé qu’il a su devenir. Nous lui adressons, ainsi qu’à sa famille, toutes nos félicitations, Le Concours de gymnastique des Patronages de France Le journal de la Fédération Les Jeu nes, publie le palmarès des récompenses accordées aux nombreuses sociétés qui ont pris part à la grande manifestation sportive de Paris, qui fut présidée par M. Raiberti, ministre de la Marine. Nous en extrayons pour l’arrondisse ment de Senlis : CONCOURS DE SECTION Adultes Première division 2’ prix, La Jeunesse de Crépy. Deuxième division 3' prix, Le patronage de Gouvieux. Sociétés débutantes 3' prix. L’Avant-garde Saint-Médard de Creil. Pupilles Première division 2* prix, La Jeunesse de Crépy. Division débutante Prix d’excellence, Le patronage de Gouvieux. 1" prix, L’Avant-garde Saint-Médard de Creil. Société débutante Prix d’honneur. La Jeanne d’Arc de Neuilly-en-Thelle. BOXE ANCIENNE Première division 2' prix, La Jeunesse de Crépy. PYRAMIDES SANS ENGINS Prix d’honneur, Le patronage de Gou vieux. CONCOURS INTERNATIONAL DE MUSIQUE Groupe J. — Troisième division Le patronage de Gouvieux : Sonnerie : 1" prix ; Exécution : 1" prix ; Honneur : 1" prix ; Classement général : 1" prix. Sociétés débutantes La Jeunesse de Crépy : Sonnerie : 1" prix ; Exécution : prix d’honneur ; Honneur : prix d’honneur : Classement général : prix d’honneur. LISTE des Candidats individuels ayant obtenu la moyenne des points : Tambours : MM. Robert Tanguy et Pierre Rey, de la Jeunesse de Crépy- * Clairons : MM. Guillet, Emile Bauhan, Amour et Baujard, de la Jeunesse de Crépy. Nos félicitations aux lauréats et à leurs dirigeants. _ _____ _ _

4 LE COURRIER DE .L’OISEüiiasaeü» ip Ae*t teggbmsenlis.com/data/pdf/js/1923-1924/bms_js_1923_08_19_MRC.pdf · joli motif de récrimination elle eût four

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LE COURRIER DE .L’OISEParaissant le Dimanche JOURNAL DE SENLIS

A B O W N E 3VC E 3ST T SOise et liuiitr.

8 f r .A ntres dép.

10 rr.On s’abonne aux Bureaux du Journal et dans tous

les bureaux de poste. — réabonnem ent est payable devance et continue de plein dro it jusqu 'à réception

Z >s A b o n n e m e n ts p a r t e n t du i ,T d e c h a q u e m o is

b u r e a u x , r é d a c t i o n & a d m i n i s t r a t i o nS E N L I S — 1 1 . P l a c e 11 — S E N L I S

TÉLÉ .«

A B R A N DD I R E C T E U R : j>.

-

Ii’ŒÜVRE DE liA MAJORITÉD E 1 9 1 9 - 1 3 2 4

Si l’on prête une oreille com plaisante aux bonim enteurs de tout ordre qui ont assume la mission de décrier l’œuvre de la majorité parlem entaire constituée par le scrutin du 16 novembre 1919, et présen­tem ent groupée autour de M. Poincaré, cette m ajorité serait tout à fait in in telli­gente et incapable, et n ’aurait, pour l’ordre social, pour la sécurité et la pros­périté du pays, rien fait de plus que les m ajorités radicales-socialistes d’avant guerre pour la défense nationale et la sauvegarde de la Patrie. On finirait par croire qu’en bloquant l’offensive de 1917, M. Painievé a précip ité la fini de la guerre, et qui, au lieu d’arrê te r le bon républi­cain Caillaux, auteur du p lan du coup d’Etat, dit le Rubicon, Clemenceau l’eût laissé agir, ainsi que tous les défaitistes, nous aurions tout de mêrrre redressé le m oral de la F rance et gagné la guerre.

Contre le défaitismeSe r a p p e l l e - t - o n la p r o p a g a n d e d é b i l i ­

t a n t e à l a q u e l l e c o u p a c o u r t l ’a v è n e m e n t de Clemenceau : la paix im m édiate sans vainqueurs ni vaincus, sans réparations, sans indem nités ? Depuis l’arm istice du 11 novembre 1918, qui brisa les ailes de notre victoire, les pacifistes de 1917 ont à peine changé de langage : les socialistes, don t l’un avait tout de suite parlé du « boulet de la victoire », n ’ont cessé de soutenir l’Allemagne récalcitrante, et les journaux radicaux-socialistes m ènent une campagne féroce contre le président Poincaré, coupable d ’avoir rom pu net avec le régime lam entable des conces­sions successives, et d ’avoir enfin hau­tem ent, énergiquem ent, revendiqué le droit de la F rance aux réparations et l ’application des traités.

Si Poincaré n ’était pas à la tête du Gouvernement, soutenu p ar une m ajorité fidèle â ses engagements, in terprète réso­lue de la volonté du Pays, que serait devenu le traité de Versailles, et, si nous n ’avons pu encore obtenir les réparations, quels gages aurions-nous donc et quelle garantie d’en réaliser un centim e ?

La question vitaleAvec un autre que ce Lorrain de haute

intelligence et de forte ténacité, nous ne tiendrions plus un lambeau du fameux tra ité qui devait être, suivant les gouver­nem ents, <( un perpétue] devenir », où tend à s’effacer la signature de la p rin c i­pale alliée, et dont on nous chicane, avec l’approbation odieuse de Français germa­nophiles, les prochains avantagés.Le Français paiera-t-il pour le Hoche ?

Aux politiciens qui, sous de fallacieux prétextes, critiquen t le rôle du Gouverne­m ent et s’efforcent à provoquer l’atten- drisseinent crain tif au profit de l’agres­seur im pitoyable, dont la haine est im pla­cable et inextinguible, nous n ’avons qu’une chose à répondre :

Ce que l’Allemagne ne paiera pus, ts-’est le Français qui le paiera; il a commencé depuis longtemps à payer, lui le vain­queur, pour le vaincu. Parlons du budget des dépenses dites recouvrables. Vous dites, messieurs les radicaux-socialistes, que le Bloc national a mis en danger les finances françaises et n ’a pas su assurer l’équilibre de nos budgets ! Il ne s’en est fallu, pour équilibrer, dès janvier, celui de 1923, que des m illiards à avancer par nous à l’Allemagne; êtes-vous plus m alins que d’autres, et votre Caillaux lui-même a-t-il trouvé moyen de libérer le Boche sans accabler le Français ?

Des impôts inéluctablesAh ! dans la propagande sournoise que

vous faites, de même que vous paraissiez, à un moment donné, rejeter sur la majo­rité actuelle l’im popularité de l’im pôt per­sonnel sur le revenu, cet im pôt d’inquisi­tion institué p a r vous à la faveur de la guerre, de même vous voudriez faire por­te r sur ce que vous appelez le Bloc natio­nal, la responsabilité des énormes impôts q u ’il a fa l l u voter pour couvrir les dépen­ses de la guerre.

Ces impôts, vous les avez votés, pour­tant, et M. H erriot lui-même eut le cou­rage’ de déclarer qu’il en assumait résolu­m ent avec nous la responsabilité — et, peut-on dire, l’honneur.

Mais si vous critiquez le rôle de ceux qui, ayant vaillam m ent fa it leur devoir devant l’ennemi, n ’ont pas reculé devant la nécessité d’entreprendre l’œuvre de salut public que la Chambre radicale- socialiste de 1914-1919 n ’avait pas osé aborder en temps opportun, p a r quels moyens inconnus auriez-vous entendu ré­gler les frais e t les gabegies d ’une guerre à laquelle vous nous aviez si mal prépa­rés ? . . . .

Il est aisé d ’insinuer que la m ajorité de 1919 ait ménagé les profiteurs ; une commission parlem entaire, dans laquelle notre ami Henri Fougère a joué un rôle très actif, n’a-t-elle pas vérifié tous les m archés de guerre, dénoncé au Gouver­nement toutes les irrégularités, toutes les responsabilités ?Le travail parlementaire et l’obstruction

La m ajorité a fait son devoir, tout son devoir.

Si son œuvre est restreinte, encore qu’au 1" janvier 1923 il ait fallu trois volumes de 300 pages pour enregistrer les lois d’intérêt général devenues d é f i ­n i t i v e s depuis novembre 1919, l’obstruc­

tion systématique des éternels bavards d’extrême-gauche, qui parlen t toujours, sans jamais voter seulement le budget qu’ils broutent, est pour quelque chose dans cette paralysie qu’il leur p lait de dénoncer.

La Chambre de 1919 a tenu plus de séances que celle qui l’a précédée, bien que la m ajorité radicale-socialiste de 1914 ait obtenu du Gouvernement, dans le but d’épargner ceux des représentants du peuple que leur vaillance eût précipités vers les dangers du front, de siéger sans in terrup tion , c’est-à-dire sans vacances véritables qui eussent provoqué d ’inévi­tables enrôlements.

Si, en 1919, sur l’invitation de certains de nos amis, la m ajorité avait seulement consenti à m useler l’obstruction oratoire.. elle eût pu épuiser des sujets im portants qu’à peine a-t-elle abordés. Mais, en met­tant un frein à la fureur des.... mots, quel joli m otif de récrim ination elle eût four­ni contre un système d ’oppression qui supprim erait ou restre ind ra it la liperté de la parole !

Le bâton dans les rouesSe souvient-on du régimje des chemins

de fer, dont la discussion fut prolongée outre mesure à la Chambre p a r les ora­teurs d ’extrême-gauche, et retardée en­suite p a r le Sénat sans nul profit pour la nation ?

Veut-on considérer les délibérations sans fin sur les divers budgets de la légis­lature, et faut-il m entionner, ici encore, que le Sénat n ’a rien fait pour com penser la perte de temps causée p a r des bavar­dages intem pestifs ?

On peut sans doute rep rocher à la Chambre de n’avoir pas ose couper court à certains débats trop oiseux : c’est qu’elle a, plus que le public, le juste souci de la liberté de discussion.

Problèmes nouveauxMais, si elle a consacré tant de temps

encore à l’examen des diverses lois sur l’inépuisable question des loyers, si elle a longuement, dém esurém ent discuté cer­taines réform es (formules d’impôts directs, propriété commerciale : sur ce dern ier point, et malgré certaines c riti­ques de dogme, il semble que l’on ait trouvé la solution d’un problèm e délicat), c’est qu’elle tenait à régler m inutieuse­ment des problèm es nouveaux d ’une sin­gulière complexité.

C e la n e l ’a p o i n t e m p ê c h é e d e v o t e r e tde retoucher la loi des pensions, d’avanta­ger la petite propriété, de favoriser la construction d’habitations à bon mqrctié, de protéger, contre les abus de la saisie- arrêt p ar vendeurs à tem péram ent, les petits salaires et les jietits traitem ents, dp réform er généreusement le sort des fonc­tionnaires et particulièrem ent des m em ­bres de l’enseignement, d ’assurer la pro­tection des œuvres d’art, (Détendre les bienfaits de la législation sur les accidents aux travailleurs de l’agriculture, et d er­nièrem ent aux gens de maison, (le réduire, dans la mesure du possible — à dix-huit mois — la durée du service m ilitaire. Rappelons encore toutes les mesures prises pour le relèvem ent de la natalité, telles que la correctionnalisation du crim e d’avortem ent, l’aide sociale aux familles nombreuses (loi Dclachcnal), les réductions de tarif de chem ins de fer au profit des mêmes familles, les avantages accordés aux fonctionnaires pères de famtille dans la loi des retraites et dans celle sur les indem nités de cherté de vie.

N’avez-vous pas entendu le b ru it fait, l’an dernier, autour d’une économie de 50.000 fonctionnaires inutiles, dont la gauche critiquait la d isparition ?

Qu’eussent fait de mieux ceux qui mènent en ce moment la campagne de dénigrem ent ? Rien, sans doute, à moins qu’ils n ’eussent capitulé devant l’Allema­g n e pour liquider plus- tôt une situation irritan te , à moins encore que, com plai­sants à l’égard des révolutionnaires, ils n ’eussent laissé com prom ettre l’ordre et troubler l’œuvre de relèvem ent du pays.

Quoi qu’on dise, le redressem ent de la F rance est sensible; les radicaux-socialis­tes voudraient faire accroire qu’ils ont un secret pour l’accentuer sans rien briser, pour supprim er notam m ent la vie chère, en restituant au franc, rapidem ent, sa valeur.

Voilà des promesses démagogiques que l’on s’efforce d ’envelopper sous la forme trom peuse d’une critique contre ceux qui n ’ont pas encore rendu sa valeur à l’ar­gent, ni rétabli les tarifs d’autrefois. Les badauds seuls se laissent p rendre à ces facétieux mais grossiers procédés.

Deux choses sont essentielles à la vie nationale : que le Français n’ait pas à payer pour le Boche, ce qui dim inuera nos charges ; que notre production devienne de plus en plus intense, ce qui dim inuera le p rix de la vie.

Il nous semble que la majorité qui sou­tient Poincaré obtiendra de l’Allemagne plus que les radicaux-socialistes et les socialistes; il est certain, d ’autre part, que l’ordre, m aintenu grâce à elle, après l’affreux bouleversement de la guerre, et malgré les menées révolutionnaires, a grandem ent favorisé le rétablisem ent de la production française.

F. R.

INFORMATIONS• Changements de classe

de mobilisation des réservistes pères de famille

L’article 58 de la loi du 1" avril 1923 accorde à tout réserviste le bénéfice d’un r/ bonification de deux classes pour chaqnf enfant vivant, et prévoit, en outre, le pas-) sage dans la deuxième réserve des réser­vistes pères de quatre enfants vivants, et l’affectation à la dernière classe, de la deuxième réserve, des réservistes pères de six enfants vivants.

Pour pouvoir bénéficier, sans délai, de ces dispositions, les réservistes des classes 1921 à 1895, pères de famille, devront se présenter, munis de leur livret m ilitaire, a la m airie de leur domicile ou résidence, entre le 25 août et le 5 septem bre 1923, pour y faire une déclaration relative à leur situation de famille.

P a r la suite, à chaque naissance d ’en­fant, comme aussi dans le cas de mariage avec une femme ayant des enfants d’un prem ier lit, les intéressés, en disponibi­lité ou en réserve, devront dem ander àlcur_ m a i r i e d o s i g n a l e r , l e u r n o u v e l l e s i ­tuation de famille au recrutem ent.

Les nouveaux débitants de bois- sons doivent faire sans retard leur déclaration à la mairie.Un arrêt intéressant tous les nouveaux

débitants de boissons vient d ’être rendu p a r la Cour d ’appel de Rennes, dans les conditions suivantes :

En vertu de la loi du 9 novembre 1915, toute mutation dans la personne du pro­p rié ta ire ou du gérant d ’un débit de bois­sons doit être suivie, dans les quinze jours, d’une déclaration écrite à la mai­rie, qui en donne un récépissé.

Or, ces temps derniers, des débitants de la région, qui venaient d ’acheter des fonds de commerce, se présentèrent deux fois au secrétariat d’une m airie, où il leur fut répondu une prem ière fois de reve­nir, parce que les im prim és nécessaires à l’établissement de la déclaration man­quaient. Le secrétaire de la m airie leur déclara même qu’ils n ’avaient pas à s’in­quiéter, le délai fixé étant d ’un mois.

Sur cette déclaration, les habitants ne rem plirent les form alités voulues que quelques jours plus tard. Il était trop tard , et ils furent poursuivis en correc­tionnelle.

Le tribunal les acquitta, leur bonne foi ayant été reconnue.

S u r a p p e l d u m i n i s t è r e p u b l i c , l e s d é - ült'tÔTts on t co m p aru clcvunt la CK»ui ui-uppci.

La Cour a arrêté que la bonne foi ne devait pas être mise en cause, et elle a condam né les débitants à 16 francs d’a­mende avec sursis.

D A N S L O I S EL’ouverture ée la chasse

L ’ouverture de la chasse, dans le dépar­tem ent de l’Oise, est fixée au dimanche 2 septembre.

Statistique de la population dans l’Oise

La statistique suivante vient d’être établie en ce qui concerne le mouvement de la population dans notre départem ent pour le prem ier trim estre de 1923.

Arrondissem ent de Beauvais. — Ma­riages 219, divorces 27, naissances 627, décès 617.

Arrondissem ent . de Clermont. — Ma­riages 141, divorces 21, naissances 406, décès 402.

Arrondissem ent de Compiègne- — Ma­riages 157, divorces 17, naissances 547, décès 373.

A r r o n d i s s e m e n t d e S e n l i s . — Mariages 185 divorces 27, naissances 597, décès 467!

Soit un total pour le départem ent de 702 mariages, 92 divorces, 2.171 nais­sances et 1.859 décès. D’où il résulte un excédent de naissances de 312 sur les décès.

T R I B U N E L IB R E

LE PRIX OU PAIN DANS L’OISEPourquoi cette différence ?Tout le monde a pu lire dans les grands

quotidiens de cette semaine les infor­mations suivantes :

Valence, 7 août. — Les autorités m uni­cipale et préfectorale, en parfa it accord avec le syndicat de ia boulangerie, ont décidé qu’à p a r tir de dim anche 12 août, le prix du pain sera ram ené à 1 fr. 15 le kilo.

Beauvais, 7 août. -— Le p rix de la fa­rine ayant baissé de 4 francs p ar quintal depuis huit jours, le p rix du pain est fixé à 1 fr. 20 le kilo, à dater du 16 août prochain, p ar décision de l’Union des syndicats patronaux de la boulangerie de l’Oise.

Par ailleurs, les mêmes journaux ont annoncé qu’à Paris le p rix du pain se­rait (vraisemblablement à p a rtir de lundi prochain) abaissé à 1 franc 15.

pÉ/'ci pcf parfa it et ne peut <|«o nousn-jouir, niais quelqu’un, parm i MM, les boulangers de la fédéra tion , pourrait-il nous dire pourquoi à Valence, comme à Paris et dans beaucoup d’autres endroits (lu reste, le pain est vendu un sou moins cher que dans l’Oise,

Est-ce parce que nous sommes en plein centre de production et que dans notre région la farine est côtee moins cher qu’à Paris ? (à titre d’exemple qu’il vous suffise de savoir qu’un boulanger ayant quitté notre ville et établi à Paris rece­vait et reçoit peut-être encore sa farine d’un meunier des environs).

Et, puisque nous parlons d ’une dim i­nution, nous serait-il possible de savoir pourquoi, lorsque l’Union des syndicats patronaux décide que le pain sera aug­menté à p a rtir d ’une date déterm inée, le nouveau ta rif est appliqué exactem ent à la date indiquée, alors que lorsqu’il s’agit d’une dim inution le bénéfice n’est accor­dé aux consommateurs que le lendem ain ou même plusieurs jours après la date fixée.

Le fait n ’est pas unique et il nous re­vient que dans beaucoup de communes et notamment à Villeneuve-sur-Verberie, pour ne citer que celle-là, la dim inution n’est jamais appliquée à sa date, sous prétexte que la feuille avertissant M. le boulanger de l’endro it ne lui parvient pas en temps utile ; ceci peut être vrai, mais pourquoi alors quand il s’agit d’une aug­mentation cette même feuille arrive-t-elle*■— «I S. nc j o u r n é e ,ce même boulanger prend-il la peine d’enfourcher sa bécane pour se rendre à Senlis, chez M. le Président, la réclam er ?

Ne croyez pas que la chose soit parti­culière aux petits pays ; nullem ent le mê­me fait s’est produit à Senlis même lors de la dernière dim inution de 2 centimes 1 /2 consentie, pour quelques jours seu­lement il est vrai, à la demande de l’Union des Salariés de Senlis (qui avait jirotesté alors qu’on avait augmenté le pain dans notre région avant même qu’il en soit question à Paris). Dans certaines boulan­geries la dim inution ne fut consentie que le 2” et, dans d ’autres, le 3' jour après la date convenue, et pourtant le P résident du Syndicat habite notre Ville.

Nous laissons les consommateurs juges de tels procédés, mais nous tenions sur­tout à signaler le cas afin que MM. les maires des communes du départem ent prennent les mesures utiles, qui sont en leur pouvoir, pour que les dim inutions (et nous espérons bien qu’elles ne font que commencer) aussi bien que les aug­mentations soient appliquées aux dates fixées.

Un groupe de salariés.

Revue

S y n d i c a t d r ia r ' e u r e r l ed e l’Oise

COURS FARINE : 1 2 3 f rancs .

Avis aux jeunes gens de la classe 1924L’Adm inistration de la Guerre, dési­

reuse de faciliter l’instruction au pilotage des jeunes gens de la clase 1924 retenus jusqu’à présent p a r leurs études, leur a réservé un certain nombre de places de boursiers de pilotage d’avion.

Une série d’examens va avpir lieu en août. Les jeunes gens titulaires du brevet élém entaire ou d ’un diplôm e supérieur sont dispensés d’examen d ’instruction générale, sur production d ’une copie,

c e r t i f i é e c o n f o r m e p a r le M a i re , du t i t r e entre leurs mains.

Les jeunes gens de la classe 1924 dé­sireux de devenir pilotes aux frais de l’Etat dans une école civile et de ne faire ensuite que dix-huit mois de service dans l’aviation m ilitaire, doivent se hâter et dem ander tous les renseignements uti­les au Ministère de la Guerre. — Direc­tion de l’Aréonautique — 4° bureau, 231, Boulevard Saint-Germain, Paris.

xiLE BON C IR A G EC R EM E^

La session du Conseil généralAux termes de la loi du 10 août 1871,

la session d’été des Conseils généraux, la plus im portante des deux sesions annuel­les, doit s’ouvrir le p rem ier lundi sui­vant le 15 août. Cette année, c’est le 20 août qu’elle devrait commencer. Mais une loi postérieure a donné aux assemblées départem entales la faculté de reporter l’ouverture à une date plus éloignée sans toutefois dépasser le 1" octobre.

Un assez grand nombre de conseils généraux ont usé de cette faculté «t ajourné leur réunion à des dates diver­ses, échelonnées entre le 20 août et le 1" octobre.

Le départem ent de l’Oise a fixé la date d’ouverture de sa session au lundi 24 septembre. ^ ^

Concours pour le recrutement de dames-employees

Un concours pour le recrutem ent de dames-emlployées dans la région de Paris aura lieu au chef-lieu du département les 3 et 4 septem bre 1923.

Peuvent p rend re p a rt à ce concours les candidates domiciliées dank le dépar­tement de l’Oise, âgées de 17 ans au moins et de 25 ans au plus, de nationalité fran­çaise, exemptes Me toute infirmité, non atteintes de tuberculose confirmée ou douteuse et avoir au moins la taille de 1 mètre 50.

La limite d’âge est de 25 ans, mais re­portée jusqu’à 30 ans pour les veuves ou orphelins de m ilitaires tués à l'ennemi et dont l’acte de décès remonte à moins de 5 ans.

La liste d ’inscription sera close le. 26 août 1923, à 18 heures, et aucune de­mande de participation aux épreuves ne sera reçue après cette date.

Les can d id a tes p eu v en t s’adresser p o u r tous renseignem ents au receveu r des I • T. 1 . de leu r résidence ou au D irec­te u r départem en ta l.

Paraissant le Dimanche

A n n o n c e s lé g a le s ...........

A nnonces Volontaire».

B B I X D E S U S T S H B T I O N S................. 1 fr* la ligne* | RÉCLAMES :

............. 1 fr: la ligne. | 2" ou S* p a g e . . ............................

Les mk^nscritSi insères ou non, ne sont pas rendus

1 fr. U la ligne.

des JournauxD E L O ISE

A propos de la loi électoraleDu Moniteur de l’Oise, sous la signature

de M- Reverdy de Salvalgère :Région électorale, région adm inis­

trative :Rien ne fut plus fâcheux pour le Pays

que l’abjecte dom ination des comités vaseux et radicaux de l’arrondisem ent. Ces marécages croupissants convenaient aux moyens d’action et à la beauté de M. Boucandeau, ou de tel autre, dont M. André Paisant p rit la place.

Sourdes luttes p ar le moyen des fiches, inouchardat dans chacun de nos villages, puissance m aintenue des radicaux, voilà ce que nous valut le scrutin d ’arrondis- ment, auquel M, Jemmy Schm idt voudrait nous ram ener.

Bien qu’elle soit abâtardie et défigurée, par la prim e à la moyenne la plus forte, la réforme actuelle n’en a pas moins quel­ques mérites. P a r elle, les électeurs com­prennent mieux ce que réclam e l’in térêt général, et l’élu, m oinaen coupe réglée, se dégage des combinaisons alim entaires et des disciples de comités.

Confondons les in térêts régionaux et les intérêts généraux, nous verrons les magnifiques résultats de cette méthode et quels courants salubres et puissants peuvent conduire la masse électorale.

C’est de belles régions que se compose t;, France et non pdint de mares sta- ipantes.

(( La Gazette de l’Oise » contre M. Poincaré

Contentons-nous de souligner la der­nière infam ie parue dans la Gazette de l’Oise du 1er août contre M. Poincaré :

« Un procès retentissant vient de dém ontrer, à Munich, que la France, à l’aide des fonds secrets du m inistère des Affaires étrangères, M. Poincaré étant m inistre, concourt à en treten ir l’agitation pangerm aniste en Bavière, et y pousse au rétablissem ent de la m onarchie. »

Tout com m entaire serait superflu de­vant cet abominable mensonge.

Ajoutons que dans son numéro de jeudi, la République de l’Oise publie également une longue et violente d iatribe contre M. Poincaré-

L’opinion publique jugera.

Bloc ouvrier ' et Cartel des gauches

Du Progrès de l’Oise, sous la signature de M. Mermet :

Dans le second cas, les conclusions de M. Uhry nous paraissent moins certaines. Il additionne socialistes, radicaux eK communistes, oubliant cette règle de mathém atique, qui veut que l’on ne puisse additionner que de* unités de même nature.

Cette addition peut très bien se faire sur le papier. Dans les urnes, elle devient plus difficile.

Lorsque l’on présentera aux radicaux la fameuse liste du Bloc des gauches, com­prenan t 3 radicaux et 3 socialistes et com­munistes, ils feront la grimace. Ils vote­ront tout naturellem ent pour les trois candidats de leur parti, mais ils réfléchi­ront avant de po rter sur leur bulletin les noms des candidats socialistes et commu­nistes. Ils com pareront à ces noms ceux •qu’ils trouveront sur la liste d’Union républicaine et sociale et ils se d iront que tel ou tel des candidats de cette liste leur inspire plus de confiance que les noms socialistes et communistes.

Le résultat, à peu près certain , c’est que la liste du Bloc des gauches n ’aura pas lam ajorité nllKDlllP quo la ryn on .r» do «oHuliste sera battue. Or, cette queue de liste sera précisém ent formée de M. Uhry et de ses amis.

L’expérience a été faite et elle a donné des résultats absolument conformes à ce que nous avançons.

Jaurès au PanthéonDe La Semaine de l’Oise, sous le pseu­

donyme de M. Jean-Bernard :Ces révolutionnaires s’occupent surtout

d’agitations, et le gouvernement a reçu,

des groupes socialistes, une demande pour que les restes de Jaurès soient transpor­tés au Panthéon. Le Cabinet ayant simple­m ent accusé réception de cette demande et ne qaraissant p a r vouloir lu i donner une solution aussi rapide que le désirent les prom oteurs, M. Paul Boncour sera chargé de déposer, à la rentrée, une pro­position de loi à ce sujet.

Jaurès au Panthéon 1 C’est une ques­tion sur laquelle peu de républicains seront d’accord. Lénine a fa it élever en plein Moscou une statue à Jaurès ; cela se com prend, mais ouvrir à ce m ort les caveaux du Panthéon, il faudrait oublier ses agitations révolutionnaires qui firent tan t de to rt au pays. Tout le monde n ’y est pas disposé, loin de là. — — — ----------------------------------------------------------------

Ouverture des gares de grande vitesseUn arrêté de M. le M inistre des Travaux

Publics en date du 30 juin 1923, a réglé ainsi qu’il suit les conditions d’ouverture des gares G- V. lorque deux jours fériés se présentent consécutivem ent :

« Les gares seijpnt fermées les dim an­ches et jours fériés tan t à la réceptioncru’à la livraison ries nmi’r l , .n ,( îe ., -( —grande vitesse.

« Lorsque deux jours fériés se présen­teront consécutivem ent, les gares seront ouvertes le second jour jusqu’à dix heu­res à la réception et la livraison d» toutes les m archandises; en outre, ce même se­cond jour, les gares de Paris seront ou­vertes jusqu’à 12 heures à la réception de toutes les m archandises. Dans le cas où le second jour férié se trouverait être le 14 juillet, les gares seraient ouvertes à la livraison des m archandises le p rem ier jour férié jusqu’à 10 heures ».

A travers SenlisVELODROME DE SENLIS

Grands critériums d’athlétismeDimanche 12 août 1923, à 13 heures 30,

au Vélodrome de Senlis, Grands Crité­riums d ’Athlétism e de 2” et 3” catégories, organisés p a r la ligue de l’IIe-de-F'rance avec le concours du Sport Vélocipédique Senlisien, sous la présidence d’honneur de M. Gâté, sous-préfet, de M. Escavy, m aire de Senlis, de M. le Colonel d’Epe- noux, com m andant le 5" chasseurs, et la présidence effective de M. Georges-Pi- cot, présiüent Ue la ligue de l’Ile-de- France.

Epreuves 2e'1 catégories : 100, 400, 1.500, 5,000 mètres p lats; sauts en hau­teur et longueur avec élan; lancem ents du po ids et du disque; 110 mètres haies.

Epreuves 3es catégories : 80, 300, 1.000, 3.000 mètres p lats; sauts en hauteur et longueur avec élan; lancem ents du

Eoids (5 kilogs) et du disque; 83 m ètres aies.La Musique M unicipale de Senlis fera

entendre son brillan t réperto ire au cours de la réunion.

Une course cycliste sur route de 110 kilom ètres organisée p ar un groupe de com m erçants, aura lieu le même jour, le départ et l’arrivée se fera au Vélodrome.

Il est a espérer que ce program m e soit un régal sportif pour le public senlisien, auquel nous pouvons assurer que, vu le nom bre d’engagements que ces épreuves réunissent, elles ont l’im portance d ’un cham pionnat, et sont la consécration de la saison d’athlétisme.

Une course cycliste sur route avec départ et arrivée au Vélodrome, ne man­quera pas d’intéresser vivement le pu­blic et nous verrons nos coureurs dé­fendre avec autant d’entrain que sur la piste, les couleurs de la Société sur les 110 kilom ètres du parcours.

Le Secrétaire,J. ROLLAND.

On nous annonce, que la réunion athlé­tique de demain dim anche, organisée p a r le Sport Vélocipédique Senlisien, réunira plus de 200 athlètes.

La course cycliste organisée p ar un groupe de commerçants, compte déjà plus de 50 engagements.

Souhaitons le plus grand succès à ces deux réunions sportives.

AVISA l’occasion de la fête de l’Assomption,

M.- le Préfet de l’Oise autorise les débits de boissons et autres lieux publics, à rester ouverts dans la nu it du 15 au 16 Août, jusqu’à 2 heures du m atin.

La Fête de la Porte CompiègneNous rappelons à nos lecteurs que c’est

demfain dim anche et m ercredi 15 août, qu’aura lieu la traditionnelle fête de la Porte Comlpiègne.

Elle aura cette année un grand succès, si nous en jugeons p ar les nombreux forains qui se sont déjà installés, chevaux de bois, tir à la carabine, confiseries, lote­ries diverses ; il y en aura suffisamment p our contenter petits et grands.

•Chaque soir, un excellent orchestre perm ettra à la jeunesse de danser en l’honneur de la « Fête à Maroux. »

« Une Incroyable Odyssée »Nous avons appris avec p la isir que

l’ouvrage très connu du comte Arnauld Doria, Une Incroyable Odyssée, vient d ’être couronné en juillet p a r l’Acadé­mie des Sciences Morales et Politiques, et que le p rix Audiffred a été décerné à son auteur. Cette captivante histoire d ’un ra id de cavalerie dans l’Oise est d’ail­leurs actuellem ent à sa sixième édition et nous ne pouvons qu’adresser nos fé­licitations au comte Doria pour ces suc­cès, ,bien m érités d’ailleurs, d’une œuvre très vivante et dont les péripéties se dé­roulent dans notre région.

Audiences de vacationsMardi 14 août, à 9 heures, audiences

civile et correctionnelle, P lace Notre- Dame.

V endredi 17 août, à 13 heures 30, au­dience correctionnelle, P lace du Marché Saint-Pierre.

Boxing Club SenlisienLes m embres fondateurs et honoraires

du S. V. S., ainsi que ceux du Boxing Club Senlisien, sont invités à la séance de boxe et d ’escrime qui aura lieu au Vélodrome de Senlis, le dim anche 19 août. Pour l’entrée gratuite de ces mem­bres, leur carte sera exigée.

Le vice-Président : G. Tribout.

M. Victor Goedorp Officier de la Légion d’Honneur

Nous apprenons avec p laisir que pas décret du Président de la République, rendu sur la proposition de M. Léon Bérard, m inistre de l’Instruction publi­que et des Beaux-Arts, notre excellent et distingué confrère, M. Victor Goedorp, secrétaire général de la rédaction du Temps, v ient d’être nommé officier de la Légion d’honneur.

Notre ami Victor Goedorp était che­valier de notre ordre national depuis 1919 et avait été nommé p ar le m inistre de l’In térieur. C’est, cette fois, non au pu- bliciste politique qu’est donné la rosette, mais à l’ecrivain réputé qu’il a su devenir. Nous lui adressons, ainsi qu’à sa famille, toutes nos félicitations,

Le Concours de gymnastique des Patronages de France

Le journal de la Fédération Les Jeu­nes, publie le palm arès des récom penses accordées aux nom breuses sociétés qui ont p ris p art à la grande m anifestation sportive de Paris, qui fut présidée p ar M. Raiberti, m inistre de la Marine.

Nous en extrayons pour l’arrondisse­m ent de Senlis :

CONCOURS DE SECTION Adultes

Prem ière division 2’ prix , La Jeunesse de Crépy.

Deuxième division 3' p rix , Le patronage de Gouvieux.

Sociétés débutantes 3' prix . L’Avant-garde Saint-M édard de

Creil.Pupilles

Prem ière division 2* p rix , La Jeunesse de Crépy.

Division débutante P rix d’excellence, Le patronage de

Gouvieux.1" prix , L’Avant-garde Saint-Médard

de Creil.Société débutante

P rix d’honneur. La Jeanne d’Arc de Neuilly-en-Thelle.

BOXE ANCIENNE Prem ière division

2' prix , La Jeunesse de Crépy.PYRAMIDES SANS ENGINS

P rix d’honneur, Le patronage de Gou­vieux.

CONCOURS INTERNATIONAL D E M U S I Q U E

Groupe J. — Troisième division Le patronage de Gouvieux : Sonnerie :

1" p rix ; Exécution : 1" p rix ; H onneur : 1" p rix ; Classement général : 1" prix .

Sociétés débutantes La Jeunesse de Crépy : Sonnerie :

1" prix ; Exécution : p rix d’honneur ; H onneur : p rix d ’honneur : Classement général : p rix d ’honneur.

LISTEdes Candidats individuels ayant obtenu

la moyenne des points :Tambours : MM. Robert Tanguy et

P ierre Rey, de la Jeunesse de Crépy- * Clairons : MM. Guillet, Emile Bauhan, Amour et Baujard, de la Jeunesse de Crépy.

Nos félicitations aux lauréats et à leurs dirigeants. _ _____ _ _

Page 2: 4 LE COURRIER DE .L’OISEüiiasaeü» ip Ae*t teggbmsenlis.com/data/pdf/js/1923-1924/bms_js_1923_08_19_MRC.pdf · joli motif de récrimination elle eût four

Mutation dans le Personnel des écoles primaires

de l’arrrondissement pourle 1er Octobre 1

nt pc9 2 3

D irectrice «le l’Ecole communale de . {Saint-Just-des-Marais, Mme Leroux, insti- • tu trice à Neuilly-en-Thelle.& Mi Ram bourt, d ’Antilly, à Pontpoint»

M. Gorenllot, de Dieudonne, à Rully.Mlle Jean, de Saint-Crépin, d irectrice à

Neuilly-en-Thelle.Mlle Branbard, de Crépy, adjointe à

Feigneux.Mme Ulrich, de lla ray , à Crépy (ad­

jointe). „M. Dulac, de Thury-en-Valois, à Néry,

garçons.Mme Dulac, de Thury-en-Valois, à Néry,

filles.Mlle Hestin, de Gouvieux (adjointe), à

Lamorlaye (adjointe).M . B r i s s e t , d e P o n t , a d j o i n t à T h u r y -

e n -V a lo is .Mme Brisset, de Pont, adjointe à La

Villeneuve-sous-Thury.Mlle Sinibaldi, de la Boisslère, il Or-

ry-la-Ville (Montgrésin).M. Charpentier, de Fontenay, à Dieu­

donne.iM. Portier, de Cruuy-en-Thelle, à Am-

blainville.Mme Demouy, en congé, à Crouy-en-

Thelle.M. Dumaine, de Verberie, adjoint à St-

Thibault.Mine Dumaine, de Verberie, adjointe à

St-Thibault.Mme Foui, de M ontataire, adjointe à

Nogent-sur-Oise (m aternelle), adjointe.M. Mesnard, de Crépy, adjoint à Neuf-

chelles.Mme Mesnard, de Crépy, adjointe à

Rouvres,M. Siron, de la Boissellc, à Cires-les-

Mello.Mr Serrain, du Çgudray, à Le Mesnil-

en-Thclle.IM. Moquet, de Roquemont, à Antilly.Mme H ochard, de Lorm aison. à Chain»

bly.Mlle Okoileski, de Bury, à M ontataire,

adjointe, filles.Mme Fiében, de M ontataire (adjointe),

passe directrice de l ’école m aternelle, rue de l’Eglise.

Non adjudicationL’adjudication pour le convertissem ent

en em pierrem ent 'de la chaussée pavée du chemin de grande com m unication 123, aux territo ires de Saint-Vaast-les-Mcllo et de M ontataire, n’a donné aucun résultat, aucune soumission n’ayant été déposée.

Conseil d’arrondissement'L’abondance des m atières nous oblige

à renvoyer à n o tre . prochain num éro le com|pt« rendu de la réunion du Conseil d ’arrondissem ent qui a eu lieu m ardi dernier.

R éparations de Meubles anciens

Charles LEBLANC3 et 5, rue du Puits-T iphaine, SENLIS

5201

Baisse du prix du painUnion des Syndicats Patronaux

de la Boulangerie de l’Oise En raison de la dim inution du cour,

des farines, et suivant le barêm e établi, le prix maximum du pain est fixé pour le départem ent à 1 fr. 20 le kilo à p a r tir du Iti août prochain.

Le Président, D k sdortjes . Enfin, le p rix du pain va donc baisser .

et si dans quelques jours le cours des farines diminue, le kilo de pain sera de 1 fr, 15.

Donc attendons !

Au Réveil de Sentis'Les S e c t i o n s F é m i n i n e s , d e Du-pilies et

de Gymnastes du Réveil p rend ron t part aux épreuves qui leur sont réservées à L iancourt, le dim anche 12 courant, à l’oc­casion du 29e concoui's départem ental de l’Oise. ■ 1

Départ de Senlis à 7 heures 15.Retour p a r le tra in (le 9 heures 20.Nul doute que notre jeunesse sportive

du Réveil, revienne de ce concours avec des réeonipénses qui seront l’œuvre de leurs dévoués directeurs, MM. Grim bert et Boulet.

Le Président : G. J.

Réorganisation de l’Amicale de Senlis

L Amicale de Senlis, se réorganisant pour la saison d’hiver, invite les jeunes gens et jeunes filles, qui seraient désireux de faire partie de la Société, d ’assister a la réunion du lundi 13 août, à 21 heures, au Siège Social, Hôtel Henri-lV.

But de la Société : D ivertissem ent par 'danses, concerts, etc.

Les' Membres actifs sont également priés de se rendre à cette réunion, où leur présence est indispensable, pour Té lection d ’un nouveau comité.

RemerciementsMadame Burgunder rem ercie les p er­

sonnes qui ont assisté aux obsèques de M. Léopold Degroote, décédé à Senlis, le l ”r Août 1923. 520(1

*----------A V I S

M. SCHECHT, H orloger, 9, rue deV A p port-au -P a in , a l’honneur d’informer ses Clients que son m agasin sera fermé du 15 au 27 A o û t. 5207

La bicyclette est envolée IUn employé auxiliaire de la Compagnie

du Nord, M. E tienne Peigneau, âgé de 32 ans, dem eurant à Villcrs-Saint-Fram bourg, avait placé dans un local du ser­vice affecté au service de la voie, dans J in térieur de la gare, à 25 m ètres du hall de la petite vitesse, sa bécane m ar que Peugeot, ainsi qu’il en avait l’habi tinte chaque m atin, lors de son dépari pour Chantilly, pour la reprendre le soir a l’arrivée du tra in de 6 heures 50.

Mais qu’elle ne fut pas sa surprise de constater que sa m achine avait d isparu : la porte du local n ’avait pas été fracturée.

M. Peigneau, qui éprouve de ce fait un préjudice de 500 francs, a porté p lain te a la gendarm erie de Senlis, qui enquête.

■»---------

Il faut que cela cesseUn nous prie de nous faire l’écho de

critiques pleinem ent justifiées, contre cer­tains pédards, qui ont p ris l’habitude de quitter les chaussées, même celles de terre non crevassées, ni cahotiques, pour rouler avec un certain sans-gêne sur nos prom enades, au risque de culbuter fem­mes et enfants.

Cette m anière de faire semble p laire tout spécialem ent à plusieurs cyclistes qui paraissent avoir vu le jour sous d’autres cieux.

Il est temps de mettre un frein à ces m anières désinvoltes et dangeureuses pour les prom eneurs, surtout pour les en­fants pendant cette période de vacances. Nos prom enades ne sont pas morbleu ! des tro tto irs cyclables. Les pédards en sont avertis p ar Jes pancartes; ils sont donc inexcusables- Quelques contr.# ventions leur serviraient opportuném ent de douche.

Nous savons que notre police locale et notre gendarm erie veillent activem ent et qui les prom eneurs peuvent com pter sur leur vigilance.

ÉTAT CIVIL D Ê S E N L I S* du 3 juillet au io août

NaissanceB. Thérèse-Marie- Simone - Georgette Ami

de Saint-Didier, 11, rue de la Chancellerie.

Publication de mariage4 . M. Jean-Emile (^esage, capitaine d’in­

fanterie, chevalier de la Légion d’honneur, demeurant à Senlis, rue aux Flageards, et Mlle Yvonne-Jeanne-Henriette Vincent, sansp ro fe s s io n , d e m e u ra n t à P a r i s , 21, a v e n u e T r u d a i n e .

PHARMACIE OUVERTE :

Dimanche 12 Août ; M. Lesage, place Henri-IV.

Mercredi / y 1 M. Morcrette, place de la Halle.

Dimanche 19 : M. Bardou, rue de l’Apport- au-Pain.

G R E I LExposition Canine. — N ous som m es h e u ­

re u x de fa ire connaî t re q u e l’Exposition Canine que n o u s avions o rgan isée les 15 et16 ju i l le t de rn ie r , a p ro d u i t un bénéfice de mille so ixante f ran c s qui 011I é té v e rsés à la Caisse des Ecoles de la Ville.

N ous a u r io n s réal isé d av an tag e si le m a u ­vais tem p s n ’é ta i t v e n u p e n d an t ces deux j o u r s n ous en lever de no m b reu x v is i teu rs .

Le su ccès o b ten u a é té c e p e n d an t . t rè s g ra n d e t t r è s e n c o u ra g ea n t p o u r nous. S a ­c h a n t q u e n o t re Exposition (Janine a laissé un bon souven ir auss i b ien p rè s des ex­p o san ts q u e des v is i teu rs , nous en p ré p a ­rons u n e a u t r e p o u r l ’année p rochaine , e t

' no u s avons, le plaisir d ’ind iquer que to u t se ra mis en œ u v re p o u r en a s s u r e r la r é u s ­site.

Monument, aux M orts. — • Le J u r y du Con­co u rs du M o n u m e n t aux Morts a ren d u le d im anche 5 a o û t sa se n ten c e définitive con •»™ »«( U’s u n a t r ç nvo je ts uni ava ien t é té r e te n u s à l ’é lim ina to ire (lu lu ju in dern ier , le sque ls p o r ta ien t comm e d e v is e :

N um éro 3. — La P a ix se ré v é lan t à la P o s té r i té .

N um éro 4. — Aux Artisans de la Paix.N um éro L -— Paix e t Travail .N um éro 2. — Sobre m ais Grand.Aux te rm e s du r è g le m e n t du C oncours ,

l ’a u te u r du p ro je t c lassé p rem ier se voit a t t r ib u é l ’exécu tion du M onum en t, à c o n c u r ­re n ce de 75 .000 f rancs .

Le v a in q u e u r de ce tournoi (l’A rt e s t M. G. Verez, s ta tu a i re , 2, impas.se Ronsin, à Pa r i s , qui l ’e m p o r te au p rem ier sc ru t in pa r17 voix co n tre 3 avec son p ro je t ayan t p o u r

devise : « La Pa ix se rév é lan t à la P o s té r i té ».■M. Verez es t P r e m ie r second P r ix de

Rome, Médaille d ’Or au Salon des A r t is te s F rança is , M em bre du J u r y a u Salon des Ar­t is tes Français .

Le 2 ' sc ru t in a t t r ib u e la p r im e de t . 500 f rancs à M. R. Couvègnes , sc u lp te u r , pour s a ' m a q u e t te a yan t com m e devise (Sobre mais G ran d ) .

Cet a r t i s te aux r é fé re n c e s n o m b reu s es Habite ég a lem e n t Par is , 8, cité de la C ha­pelle. Le p re m ie r to u r de vo te lui a donné10 voix co n tre 10, e t le deux ièm e to u r 13 c o n t r e 6.

Au 3° sc ru t in l 'a rc h i t e c te Henri Giraud, de Vouziers, n a t i f de M onta faire, a u t e u r de n o m b reu x plans de ré fec t io n des Régions l ibérées, qui c o n co u ra i t avec la co llabora t ion de MM. L o u d o t e t J . Decliin. s ’es t v u a t t r i ­buée la p r im e de 1.000 f ran c s avec son œ uvre ayan t p o u r devise : « Pa ix e t T rava il », par 14 voix co n tre 0.

La 3e e t de rn iè re , p r im e, d ’une v a le u r de 500 f rancs , e s t éga lem en t éch u e à M. Verez. p our son travail p o r ta n t la dev ise ; « Aux A r­t i s a n s (le la P a ix ».

Ces nouvelles m a q u e t te s sorii visUnes a la Mairie , où les h a b i t a n ts p e u v e n t les a d ­m ire r e t se re n d re com pte d u choix du Ju ry , p o u r h o n o re r la m ém oire des 350 oreil lois m o r ts à la G uerre .

Attaque nocturne. — P a n s la soirée du 30 ju i l le t écoulé , p lu s ieu rs indiv idus r e s té s j u s q u ’a lo rs in connus son t • e n tré s d a n s la can t ine des ouvriers , vue (les Usines, ten u e par M. Zibiri M o ham ed ben Boujeina , s u je t arabe,” et on t f rap p é ce. de rn ie r , puis ils s ’a t t a q u è r e n t au m até r ie l de l ’E tab l is sem en t qui se t ro u v a i t à l eu r p o r tée . Un o uvr ie r du nom de D aehouche v o u lu t in te rven ir , m ais11 fu t fo r t m alm ené pa r les .m a l f a i te u r s ; il a déc laré en o u t r e avoir été l e s té d ’un b ille t de 100 f ra n c s qui se t ro u v a i t dans son gilet. Non c o n ten ts des d é g â ts c au sés d ans l ’E ta ­b l is sem en t , les m al fa i teu rs se m iren t à c a s ­se r des car reaux .

P la in te a é té déposée à la gend arm er ie , qui a o u v e r t u n e enquête- afin de r e t ro u v e r les dé l inquan ts .

Vol. — M. Fon leeave Aristide, domicilié à H onschoote (N o rd ) , de passage à Greil. se ren d a i t à la ga re p o u r p re n d re 1m b ille t nécessa i re à son r e to u r : ayan t beso in de m onnaie il posa son porte feu il le su r la t a b le t ­te du Guichet , mais l o r s q u ’il vou lu le r e ­p re n d re il co n s ta ta sa d ispar it ion e t celle de son con tenu . La g e n d a rm er ie enquê te p our r e t ro u v e r l ’audac ieu x vo leur .

Plainte pour coups. — P la in te a été dé ­posée p a r M me C our le l lem on t , d e m e u ra n t au Quai d ’Aval. co n tre sa voisine M me M ain- goy. qui, paraî t- i l , l ’a u ra i t f rap p ée A coups de balai.

L ’e n q u ê te é tab l ira les re sponsab i l i tés .P ro c è s -v e rb a l . — Le nom m é C ere ia t G eor­

ges, a lo rs q u ’il é ta i t ivre, dans la n u i t du 5 au 6 aoû t, 11e p u t re g a g n e r son domicile e t s ’endorm it su r un b anc de la place Alliert- H ugué . Les g e n d a rm es p a sse n t , e t lui d r e s ­sen t u n p ro cès-v e rb a l .

C ontraventions. — - Des c o n trav en t io n s son t d re ssé es aux n o m m és G a u th e ro t Victor, Guilmin R oger e t Se t im it t R obert , to u s tro is de Greil, p o u r d é fau t d ’éc la i rage à leu rs vélos.

NOGENT-SUR-OISEContravention. — Mme veuve F ra m ery

r u e de L iancourt , j e t t e des eaux sa les è t du p u r in s u r la voie publ ique . Les g e n d a r ­m es p a sse n t et lui d re s s e n t u n e c o n tra v en ­tion.

P rocès-verbal. — Le dom iné Vaudhainm eFranço is , h ab itan t une ro u lo t t e au P o n t Royal, é ta n t ivre, s ’e s t p r is de q u e re l le avec sa voisine q u ’il a. m enacée d ’une fou rche . Les ' g e n d a rm es p ré v en u s a r r ê t è r e n t V and- l iamme, e t c ondu it au violon il n ’en so r t i t q u ’avec un p ro cès-v e rb a l .

H o C i V e l l e sP E S

C o n j r p û Q e sA U M O N T

S u i t e s d « la c o u r s e . — D im anche 5 aoû t Marlière et EngeJ, tous d e u x de GreiL étaienta llés h la fê te d ’Aum ont, e t ava ien t p r is p a r t à une co u rse cycliste , ou u n e dizaine de c o u ­re u r s é ta ien t engagés, p a rm i le sque ls un I ta ­lien: à la su i te de ce t te c o u rse , les d eux Oreillois se c la s sè re n t p rem ier e t second, puis ay an t reçu les prix ils r e v in re n t à Greil en b icyc le t te . S u r la ro u te le c o u r e u r I tal ien in te rpel la Marlière e t lui d em an d a une ciga­r e t t e ; M arl iè re qui é ta i t d e sc en d u seu l de sa m ach ine a lla it a ccéd e r au dés i r de l ’I talien, lo rsq u e celu i-c i lui p o r ta un v io len t coup de cou teau dans le dos, pu is se sauva. Marlière. m a lg ré sa b le s su re , p u t re jo in d re sou cam arade Engel, mais a r r iv é à Greil, il é ta i t épu isé et à b o u t de fo rce , 11 tom ba de sa m achine ru e M au r ice -B e r te au x . Son cam arade E ngel fit p rév en ir la police e t le b lessé f u t t r an s p o r te p a r les a g e n t s à l ’h ô - pilnl, dans un é ta t a la rm an t .

Une enq u ê te es t o u v e r te p o u r r e t ro u v e r 'I talien, qui e sp é ro n s - le se ra puni sé v è ­

re m e n t de l ’acte q u ’il a com m is p a r pu re jalousie .

AWTMI6UHv''SN™yAl,OthSu eeès scolaire, — Nous apprenons avec

plais ir que M. Loir R ober t , é lève de l'école p ro fess ionnel le de F o u rn e s (N o rd ) , vient de su b i r avec su c c ès les ép reu v e s du brevet d ’e n se ig n e m e n t p r im aire s u p é r ie u r et uu b re v e t é lém en ta ire .

Nos félici tat ions.

CHAMBLYE d en -P a lace -C in ém a . — Soirée de Uah

—- La Direct ion l iu m b e r t , de 1 E den- iJaia.-è_!Uinenm, a o ffert au public le samedi 4 auul a s h e u r e s 4 0 du soir, une m agnifique aUUut; de gala, av ec, le g rac ieux eonculirs de i o r7 c h e s t r e de la f a n ia re de Güambly toutm, t rè s appréc ié .

Le p ro g ram m e é ta i t le su iv an t :« L11 j o u rn a l d a c tu a l i té s t rès in té res­

sant . »« K onakry » (P le in a i r ) , in s truct if .P u i s un des films les p lus sensationnels

e t des p lu s é m o u v an ts qui a ien t été éduej j u s q u ’à p ré sen t , avec d e s 'v u e s de certaines scènes v écu es au co u rs de ce l te guerre , et in ti tu lé « P o u r l ’h u m an i té », enUèi^tüMpfkV p ré se n té en ce t te séance.

N ous ne vou lons pas dépeind re les quatre p a r t ie s de ce t rè s joli dram e , mais nous pouvons d ire que ce n ’e s t pas un film fait pour évo q u er la g u e r re , au con tra ire . Au m o m e n t ou les a l lem ands o rgan isen t des m ee t in g s de p ro te s ta t io n co n tre celle-ci,

a i P o u r l ’h u m an i té » e s t un d o cu m en t que l’on doit voir f ro id em en t e t b ien en face. Il 11e s ’ag it pas d ’e n tre te n i r ici des passions et de ra l lu m e r des ha ines ; il faut, , au contra i­re, q u e ce t te ém ouvan te évoca tion soit un é lo q u en t p la idoyer con tre les h o r r e u r s de la g u e r re e t fa sse c om prendre combien c ’est un lléau q u e n o u s devons n ous em ployer à évi­te r dans l ’avenir.

Le su ccès de ce film es t sans précédent.« C hario t e t le Comte », fo u - r i re en deux

par ties , a mis le délire dans la v as te salle ou p lu s de 500 perso n n es on t pu apprécier la v a le u r d ’une telle rep ré sen ta t io n .

R eprésentation Ciném atographique à l’E den-P alace. — La Direct ion de l ’Eden- Pa lace-G iném a, rou te de Beaum onl, nous in form e q u ’elle donnera au P u b l ic les v en ­dredi 10 e t sam edi 11 aoû t, à 8 h e u re s 45 p récises , le p ro g ram m e su ivan t :

« Les F jo rd s de Norvège », voyage.Une g ra n d e ac tual i té , » L ’E rup tion de l ’Et­

na ».« MON GOSSE », im m ense su ccès in te r ­

p ré té p a r Jack ie Coogan, adap ta t ion d e 'P o u l - bot. :

« La Conscience du M ineur », d ram e chef- d ’œ uvre en 1 partie .

« Dédé m ari m odèle », fo u - r i re en 2 par­ties.

P r ix 'des p laces : P r e m iè r e s : 2 fr. 50 ; D euxièm es : 2 f ran c s ; T ro is ièm es : 1 franc 50 ; d e m i- ta r i f à to u te s les places pour les en fan ts .

CHANTILLYFêto Patronale de l’Assomption du

dim anche 19 au d im anche 2G a o û t 1923.

Sam edi 18 aoû t, à 21 h eu res ,Retraite aux flambeaux

par la M usique M unicipale, la Compagnie de S a p e u r s -P o m p ie r s e t la Section de tam­b o u r s et c la irons de l ’Union Sportive.

D im anche 19 aoû t, place de la Fête Grande Fête A thlétique

O rgan isée p a r l ’Union Sport ive de Chantilly Interclubs réservé aux coureurs de

l’Ile-de-F rance

Lundi 20 aoû t, à 14 h e u re s , place de la Fêle Grand Tourno i ( J e u de B agues à cheval)

Mardi 21 aoû t , à 14 h. 30, a llée du Réservoir Fête Enfantine

Je u d i , 23 aoû t , à 14 h e u re s , place de la Fête Jeux divers pour les enfants de Chantilly

A 1(5 h e u r e s , so u s la ten te Bal d’Enfants (E n tr é e : 1 franc)

A 21 h e u re s , sous la tente Concert pa r des A r t i s te s de Paris

D im anche 26 aoû t, s u r la p e t i te Pelouse Tournoi de six te - Football-A ssociation

N o m b reu x pr ix d ’une v a le u r to ta le de 500 fr.A 14 h e u re s , place de la Fê te

ÉêtA de GvmnastlniifiO rganisée p a r l ’Union Sport ive de Chantilly

A 15 h e u re s , p lace de la Fê te Fête Colom bophile

O rgan isée p a r la Sooiété Colombophile deChantil ly (L âc h e r (le pigeons)

A 17 h e u re s , avenue du Réservoir Concert par la M usique Municipale

Les d im anche 19, lundi 20 e t dimanche 2(5 aoû t , Bals c h a m p ê t re s e t Illuminations é loe tr iques . ,

Grands Bals de Nuitsous une len te p a rq u e tée , avec un Orchestre n o m b reu x e t choisi. P r ix u.’E n lre e : 2 fr. et O fr. 50 p a r danse. A b o nnem en t pour la nuit : 5 francs.Jeu d’Arc (P re m iè re e t Deuxième Compa­

g n ies ) P r ix G énéraux e t P r ix d ’Amateurs.

Com m encem ent d'incendie. — ; Un com­mencement, d m eenuie s e s t déclaré à l ’Usine a gaz. e t de d is t r ibu t ion de fo rce électrique dans un b â t im en t c o n s t ru i t au milieu de .a co u r e t dans leq u e l son t ins ta l les les appa­re ils de lavage. Grâce aux seco u rs rapides a p p o r té s p a r le p e rsonnel , sous la direction de M. G érard , d i rec te u r , l ’incendie a pu être c irconsc r i t . L incendie p a ra i t dû à ceci ; Une g a rd e h y d ra u l iq u e ay an t lâché, un ouvrier a in s tan ta n é m e n t a r rê té i ’inLerrupteur qui com m ande le m o te u r , une étincelle é le c t r i ­que a dû se d é g ag e r au m o m e n t de l’arrê t co m m u n iq u an t le fèu au gaz qui emplissait non s e u lem en t la pièce, m ais auss i les com­bles .

Les pom pie rs de Chantil ly , a r r ivés sur les lieux, n ’o n t pas eu à in terven ir .

E ncore un esc roc . — Dans un llôtel ue la ru e de Gouvieux, u n individu se présen­tan t b ien avait loué u n e ch am b re p o u r quel­q u e s j o u r s e t s ’é ta i t fa i t in sc r ire sous le nom de Fren to n , s u j e t américa in , âgé de 3 G ans. Il disa it ven ir p o u r p h o to g rap h ie r des s i lh o u e t te s de chevaux de co u rse e t en mê­m e tem p s fa ire des a r t ic les p o u r un grand jo u r n a l sport if .

Au b o u t de q u e lq u e s jo u rs , le propriétaire de l’h ô te l lui ayan t dem andé de régler ic m o n ta n t de ce qui é ta i t dû, celu i-c i lui fit connaî t re q u ’il allait p a r t i r le lendemain à P a r i s c h e r c h e r son appare i l photographique e t en m êm e tem'ps c h an g e r de l ’a rg en t amé­ricain p o u r le payer. 1] pa r t i t , mais depuis, il n ’es t pas r e te n u .

P a r con tre , le p ro p r ié ta i re de l ’hôtel a c o n s ta té la d isparit ion (lu r e g is t r e de logeur qui se t ro u v a i t au r e z -d e -c h a u s sé e e t d une som m e de 2 .8 0 0 fr. qui se trouvait placée d ans l ’a rm oire à glace de sa c h a m b re à cou­c h e r du p rem ier étage.

La g e n d arm er ie enquête . Voici son signa­lem en t : taille 1 m. 68, cheveux b r u n s longs r e je té s en a r r iè re , c o m p lè tem en t rasé, fi­g u r e ovale, belle denti t ion , y eux b leus , com ­p le t grisail le, c a s q u e t te g en re jockey , deux sty los dans la poche gauche de son veston.

A* la perception. — Dans la l is te d 'apti­tude à l ’emploi de p rem ier comm is de pe rcep tion , figure*; avec le n u m é r o , 14, M. Gouin, com m is principal de deuxièm e clas­se à Chantilly .

R enversée par un attelage. — Mile Isaure B e r lran d , âgée de 23 ans, d e m e u ran t à Lille, se t ro u v a n t a c tu e l lem e n t dans sa famille à Chantil ly , 15, av enue Aum ont, venait de qu i t ­te r avec- les siens l ’A venue d ’Aumale , aprèf avoir t r av e rsé l ’A venue de la Gare, se t rou, vait ru e de l ’E m a rca d è m , q u an d 1 ■• r iè re un a t te la g e de la. Société Coopérative d ’Epicerie de l ’avenue de la Gare vint la r e n v e r se r ; i ’une des ro u e s lui pa ssa sur le th o rax e t l ’a u t r e su r les jam b es .

Aux c r is p o u ssé s p a r la v ictime, le con d u c te u r , M. André .Tulliart, âgé de 25 an- fit a r r ê t e r son a t te la g e et se p o r ta au sp c o u r s de la dem oise l le B er trand , qui ï.,7 t r a n s p o r té e de su ite à l ’h ô te l du P a rc , où dpu soins lui f u r e n t dounés en a t te n d a n t r»,.’ r ivée du d o c te u r M aura t , appelé en toute hâ te .

In te r ro g é , le c o n d u c te u r a reconnu qu’il n ’avait pu se ren d re m aî t re de son cheval que celu i-c i s ’é ta i t engagé co n tre sa volonté r u e de l ’E m b a rca d è re au l ieu de suivre di r e c t e m e n t l ’Avenue d e la Gare p o u r se ren d re à la gare .

Mlle B e r trn n d a dû s 'a l i te r .La g en d arm er ie de Chantil ly a procédé

à une enquête . A jou tons que le conducteu r s ’es t em p re ssé de p o r t e r s e c o u rs à la vie- l ime. __

Ferm eture tardive. — La gendarm erieverba l isé co n tre un cafe tie r , M. R ........ qui

BV(dt encore o u v e r t »on e ia f th a œ m si i t â m i ­nuit 25, a insi que co n tre les h u i t co n so m ­m ate u rs qui s ’y é ta ien t a t ta rd é s .

COURTEUILNécrologie. — N o u s avons a p p r is avec

beaucoup de r e g re t s la m o r t de M. le l ieu- n an t-co lone l en re t r a i t e P i e r r e Henrio t décédé en sa p ro p r ié té de Courteu il , m uni des sac rem en ts de l ’église, dans sa 73 e année.

Ses o b sèq u es t rès s im ples, com m e l ’avait été e l le -m êm e la vie du d é fu n t , on t été cé lé ­brées m ard i d e rn ie r en l ’église de C ourteu il au milieu de la famille et d ’amis, Selon là volonté fo rm elle du d é fu n t , a u cu n e le t t re d invita tion n ’avait é té ad ressée .

Après la m esse de Requim dite p a r Ml'abbe Audiffred, vica ire à la C a th éd ra le d e sse rv an t Courteu il , le cercueil , p lacé su r un corbil lard t rès simple, a é té d ir igé su rSain t-L éonard , où l ' in h u m a tio n a eu lieudans u n caveau de famille .

En c e t te d o u lo u reu se c irco n s tan ce , nous prions les familles Viet, M u s sa t e t llallo, que cet te m o r t m e t en deuil , de vouloir bien ag rée r l’express ion de nos p lu s v ives et

■•respectueuses condoléances.

C R E P Y - E N i V A L O I SFrappé et pas content. — L ’o uvr ie r a g r i -

( le André de Wilk, 24 ans, du h a m e au de ,’ ermont, p ré te n d q u ’en se r e n d a n t à Bouil- 1 i l , chez des Po lona is c h e r c h e r du linge lui 4 p a r ten u n t , il a é té v io lem m ent f rap p é à la tfe. par Michel Losinski, 25 ans. On en- qiête. v

Legs veuve Normand-M agnan. — Lesj u n e s filles d é s i ran t p o s tu le r p o u r le legé é u v e N orm and-M agnan , son t invitées a

« t re s se r leu r dem ande éc r i te à la Mairie.

Legs Béloy. — Le legs Béloy d ev an t ê tre p ro ch a in em en t a t t r ib u é , les p o s tu lan ts sont invités éga lem en t à. a d r e s s e r leu r dem ande t e n t e à la Mairie.

/ Ce legs est r é se rv é à u n e famille indi­g e n te de Crépy. «

FLEURINESM. Louis Jouvone l le e s t nom m e so u s - l ie u ­

tenan t à la subdivision des sap e u rs -p o m p ie rs .

Cambriolage. — Un mécanic ien , M. Louis Hurier, r e n t r a v e rs 2 2 h. 3U.de ta répé t i t ion de la m usique , sans r ien r e m a rq u e r d ’a n o r ­mal. Quelle ne f u t pas sa s tu p é fac t io n , à cinq h eu res du malin , de s e n ten d re a p p e le r par son p è re qui lui annonça q u ’un cam brio lage avait eu lieu la nuit.

Les t iro irs du b u re a u e t des buffe ts avaient été fouillés de fond en comble. On a so u s tra i t un po r te feu il le en cu ir r e n fe r m a n t 50U l'r., un rasoir , un l iv re t m ili ta ire , une a ll iance en or, un pe rm is de conduire . Dans le b u re a u au tre po r te feu il le co n te n an t 500 fr., s tylo ; dans ta cuis ine, une ce r ta ine som m e et une b o u te i i i e .d e vin b lanc . Dans l ’a p p a r te m e n t dos p(arenis, 011 p o r te -m o n aa i« con tenan t que lque a rgen t , des f a c tu re s , une b icyc le t te , etc.

La g e n d arm er ie e t la b r ig ad e mobile e n ­q u ê ten t . t

GOUVIEUXTrouvé mort en plaine, — Des o u v r ie r s de

la Sablière de Tou tevdye , en se r e n d a n t à leu r travail , ont d é co u v e r t non loin de la ro u te de Toulovoye à P ré c y , s u r un las de ferra ille , le cadavre d ’un individu que le ga rde ch am p ê t re avait r e m a rq u é q u e lq u e s jo u r s a u p a ra v an t dans la localité. Dans ses poches on a trouvé un co u teau , un p o r te -m o n n a ie avec 0 fr . 80( un p o r te feu il le avec d ivers pap ie rs d ’iden t i té ind iquan t q u ’il s ’appelai t Charles T huil l ie r , né le 20 ju in 1866, à Greil. H avaij déoaré au g a rd e c h a m p ê t re q u ’il avait q u i t té Greil depu is une quinzaine d ’années.

Le d o c te u r V incen t a conclu à u n e m o r t n a tu re l le due à une lés ion rénale .

P a t ro n a g e t S a in t- J ac q u es . — Les jeu n e s gens du p a tro n ag e S a in t - J a c q u e s o rgan isen t p our d im anche p rochain 12 aoû t , u n im p o r ­tant Fes t iva l de g y m n as t iq u e et. u n e g ran d e K erm esse . Ils a u ro n t lu p la is ir de recevoif les exce llen tes Socié tés de L iancourt , de R antigny, de Noyon e t de S a in t-M ar t in -d u - T er t re .

A 10 heures ’. M esse en plein air.14 heures 30 : Festival e t K erm esse .

A t t rac t ions n o m b reu s es et variées.Le soir à 21 heures : G rande Fê te de nuit .

R e tra i te aux f lam beaux. C oncer t avec le concours de l ’Union M usica le de Gouvieux. T h é â tr e de v e rd u re , i l lum inations , etc ., etc.

LA C H A P E L L E - E N - S E R V A L‘«■•‘oinao- _*v tors ' i1-* ' o 11 o travuimuil

SOS ap p a r tem e n ts , une p r u p n é ta i t e , M ,,,u veuve u ineau , nue B audet , o s ans, f u t s u r ­prise de c o n s ta te r qu un inconnu sê t rouvai t uans une ch am b re en tra in de fou ille r dans les tiroirs d u n e comm ode.

EJie s avança v e rs lui e t l ' in te r ro g a sur ea p ré sen ce a . ce t e n d ro it : « Voyez, jefou ine », lui répond it - i l , i n te r lo q u ée de ce l te réponse, M,"1' B ineau lui d em an d a de quel droit il, é ta i t là. L 'inconnu, sans p e rd re son sang-fro id , r ép o n d i t to u t s im p lem en t : « Je vais vous m o n tre r que j en ai le droit. »

il se leva, fil mine de c h e rc h e r des pap iers dans ses poches e t com m e à c e m o m en t Al”'” Bineau a r r iva i t p rè s d ’une sonnerie é lec ­tr ique, l ’inconnu, c ra ig n an t sans do u te q u ’elle appuya su r le b o u to n p o u r appe le r son p e rsonnel à son se co u rs , s ' e m p re s sa de se sauver p a r l ’escalier , de g a g n e r la sa lie de b illard, puis d ’en ja m b er la b a lu s t r a d e du p e r ro n p o u r a r r iv e r dans le pa rc e t fa ire p e rd re ainsi sa trace.

Les r e c h e rc h é s e n tr e p r is e s j u s q u ’ici pou» d écouvr ir ce cam brio leu r , so n t r e s té e s sans ré su l tâ t . On p o ssèd e un vague s ig n a lem en t : âge de 2U à 25 ans, l ig u re pâle, im berbe, taille 1. m. 66 ; il é ta i t vê tu d ’une v a reu se b leue e t coiffé d ’une c asq u e t te .

Un a cons ta té q u ’il avait fouillé les m e u ­bles e t dérobé dans le sa lon u n o b je t d ’a r t en a rg en t « Le F lâ n e u r », u n p re se -p a p ie r avec p laq u e t te en a rg en t , u n c en d r ie r en b ronze a rg en té . Dans la c h am b re de M me veu v e Maz de Pa r i s , qui v i l lég ia tu ra i t chez M m” Bineau! on a également, enlevé u n sac à main, un po r te -m onna ie , etc.

La g en d arm er ie de Senlis enquête .

LAMORLAYEOù est-il ? •— A la su i te d ’une légère

re m o n tran c e de son père , m a ré c h a l - f e r r a n t , le je u n e P a u l Graux, âgé de 14 ans, a qu i lle le domicile p a te rn e l c i d epu is le 24 ju i l le t d e rn ie r 011 n ’a pas eu de ses nouvelles . 11 sem ble tou te fo is q u ’il a u ra i t c lé vu dans la G ra n d e -R u e à Coye. u n sup p o se q u ’il su sera i t engagé com m e c h a r re t i e r dans une fe rm e de s e in e -e t -O is e ’. Voici son signa-, lem en t : taille 1 m . 6U, f igure pleine, vê tu d 'u n pan ta lo n de ve lou rs , g i le t de lu s t r in e noire, c h e m ise 'k a k i , c a sq u e t te grise , c h a u s ­sé de brodequ ins .

NANTEUIL-LE-HAUDOUINAutour d’un décès. — MM. Gauss in , s u b s ­

titut, Bringard , j u g e d ’in s t ru c t io n , et Garpen- lier, com m is-g ref f ie r , se so n t t r an s p o r té s à « a n te u i t au su j e t du décès d 'u n e dam e M ur- Oie Saba tie r , m ariée an m an o u v r ie r P a u l Leeot, âgé de 48 ans.

Le m édecin ay an t délivré 1111 cer t if icat m é ­dical c irconstancie l , l ’officier de l ’é ta t-c iv il cru t devoir p rév en ir la g en d arm er ie , laquelle informa im m éd ia tem en t le p a r q u e t de S en ­lis.

Pa u l Leoot , r e n t r a n t à s o n ’ domicile ru e du Puiseau , avait t ro u v é le so ir sa fem m e d tns un fau teu il . Le lendem ain m atin , il d é ­couvrit ce l le-c i to u te habil lée dans son lit, ne donnan t p lus signe de vie ; lui avai t passé la nuit d ans la cu is ine p o u r ne pas d é ran g e r sa , compagne, qui pa ra issa i t q u e lq u e peu m aa d e .

L’exam en m édical a conclu q u e la m o r t é l a l due à une h ém o rh ag ie cé réb ra le . Mais cojime la fem m e p o r ta i l deux p la ies à la tel; . Leeo t a expliqué q u ’il avait rem a rq u é delà celles-c i la veil le, m ais q u ’il n ’y avait p u n i pris garde, car sa fem m e é ta i t un peu piflse de boisson.I L’e n q u ê te continue.

NEUILLY-EN-THELLELe sac a disparu ! — Une re n t iè re de la

localité, M"" veu v e Dem ouy, née Arm andine Pam iens, âgé de 74 ans, d e m e u ra n t rue de Paris, ayant besoin d ’a rg en t , se re n d i t dans su cham bre e t fu t to u te su rp r i se de c o n s ta te r q u ’un sae à main en cu ir jau n e avec c h a în e t te dans lequel elle dép o sa it ses économ ies avait d isparu p e n d an t une c o u r te a b sen ce q u ’elle avait faite dans le c o u ra n t de la jo u rn ée .

La g en d arm er ie de Neuillv a o u v e r t une enquête. Une piste e s t suivie.

PONT-SAINTE-MAXENCEUn suicide au cim etière. — Une ren tiè re

ed Sarron . M”*-' Veuve Fencau , née Louise Couteau, 68 ans. avai t p e rd u son m ari au mois de décem bre d e rn ie r e t d epu is ce t te date , elle pa ra issa i t v ivem en t p réo ccu p ée de cette disparit ion.

L ’a u tr e jou r , elle vint au r rm et iè re de Po n t -S a in te -M a x en e e et se ren d it su r la tombe de son mari, d ev an t Iaouelle elle res ta un cer ta in tem ps, p u is so r ta n t de sa poche un p e t i t revo lver du calibre 7 milli-

a iô irès , elle se t i ra une ba lte Clans le bas de la poitr ine .

Des p e r so n n e s se t r o u v a n t dans ce lieu de repos, se p o r t è r e n t im m éd ia tem en t à son s e c o u r s e t une b rave sœ u r , SCeur Delphine, ten ta p a r to u s les m oyens de la sauve r . T ran s p o r té e à l ’hôpita l de P o n t , l ' in fo r tu n é e veuve , m a lg ré les soins em p re ssé s du d o c te u r Gugliemi, ne ta rda pas à su c c o m b e r à la b le s ­su re qui avait in té re s sé l 'ao r te .

Jam ais ce t te fem m e n ’avait m an ifes té l ’in len tion d ’en finir avec l ’exis tence.

Rixe avenue de la Gare, — Une rixe est su rv e n u e avenue de la Gare, m otivée p a r u n e q ue re l le d ’a te l ie r su rv e n u e en tre la fem m e Gallant e t la sœ u r d ’Olive, t rava i l lan t to u te s deux à la Société C éram ique de P o n t , en tre les nom m és A r th u r B rasseu r , âgé de 19 ahs, o uvr ie r c o u v reu r , 2, r u e B as-d es-T u f fe s , à Creil, Olive E tienne, 22 ans, o u v r ie r d ’usine, ru e du P l e s s i s -P o m m e ra y e , à Creil, et A lbert Gallant, 22 ans, chiffonnier, r u e de l ’Aubier, à N o g e n t - su r -O ise .

B ra sse u r p r é te n d avoir re ç u un coup de câble é lec tr iq u e su r la tê te p a r Gallant, Olive p ré te n d avoir re ç u un coup de câble aux re ins e t Gallant dit q u ’il a été f rappé parles d eux a u t r e s . La genda’rm er ie enquête .

D’a u tr e p a r t , com m e Gallant n ’avait pas de p laque d ’iden t i té à sa bécane , il a réco l té unecon traven t ion .

Mort aocldentelle. — Une équipe d ’ou v r ie rs i ta liens trava il le e n .e e m o m e n t ‘a u x travaux de ren o u v e l le m en t des voies s u r la ligne de P o n t -S a in te -M a x en c e , à 400 m è tre s environ de la ga re , su r le t e r ro i r de Sarron .

A u n m o m e n t donné, une tren ta iner d ’#p- t re eux ch arg e a ie n t su r u n e p la te - fo rm e des ra ils de 12 m è t re s de long ; ils é ta ien t o ccupés à m e t t r e le d e rn ie r rail d ’u n lot de 15, quand à l ’in s tan t où ils lançaien t ce rail su r la voi­tu re , ce lu i-c i r eb o n d i t e t glissa. T o u s les ou v r ie rs v oyan t le d a n g e r p u re n t se sauver, sau f F ranc isco Rouzani, su j e t italien, âgé de 15 ans, m oins h e u reu x , tomba et r e ç u t le rail su r la poitr ine , qui f u t défoncée. Dégagé dans un é t a t d é se sp éré , il f u t t r an s p o r té dans un w ag o n voisin p e n d an t que le d o c te u r M ule tte , de P o n t , é ta i t appelé d ’u rg en ce , mais le m a lh eu reu x , qui n ’avait pu p ro n o n c e r une parole , succo m b a p re sq u e auss i tô t ,

é té transiSon. co rp s a é té t r a n s p o r té à l’hôp ita l de « o n t . La famille du d é fu n t a été avisée par les soins de son f rère qui t rava il la i t avec lui.

Le S p o r l i f ’Club Gotlerezien o rgan ise pour le 15 aoû t, u n e co u rse de G h e u re s , d ans le m agnif ique p a rc de V i l le rs-G o tte rê ts , a u to u r de la v a s te pe louse q u i r e p ré se n te un p o u r ­to u r de 1 .030 m è t re s et qui donne u n e t rè s jolie p is te b ien om bragée , où les c o u re u r s qui s o n t -d é jà in sc r i ts en t rè s g ra n d nom bre, ainsi q u e les n o m b reu x sp e c ta te u r s y t r o u ­v e ro n t une f r a îc h e u r ainsi q u ’u n joli coup d ’œil, que Ton ne t ro u v e pas dans to u te s les v i l lég ia tu re s e t ce qui ne n u i ra pas. La M usique m un ic ipa le de V i l le rs -C o t te rê ts , sous la d i rec tion de M. Angot, c h e f d ’o r ­c h es tre , d o n n e ra u n c o n c e r t p e n d an t tou te la d u ré e de c e t t e cou rse , qui s ’annonce com ­me la p lus be lle r éu n io n sport ive de l ’année e t qui, r ap p e lo n s- le , e s t do tée de n o m b reu x prix e t s e ra p ré s id ée p a r M1M. Moufl ier, co n ­seiller généra l , cheva lie r de la Légion d ’h o n - ' neu r , m aire de V i l le r s -C o t te rê ts ; J. Louis Grevln, cheva lie r de la Légion d ’h o n n e u r , m aire de R ise leux ; L evêque , cheva lie r de la Légion d ’hon n eu r , m aire de M o n tg r u - S t -HHalre ; Brlarnl, cTicvalier rte la. Légionl 'h o n n e u r ; Gaston D reyfus , cheva lie r du

Méri te Agricole, p ré s id en t de la Socié té .Nous rap p e lo n s ég a lem en t que les e n g a ­

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DES DERNIERS TARIFS AUTORISÉS

F ête nautique, sportive et acrobatique,organ isée par le Syndica t d ’in it iative, le 15 ao û t 1923.

C ourse de nata t ion .G randes a t t rac t io n s n a u t iq u e s s u r l ’Oise.G rande pan tom ine n a u t iq u e comique .D é m o n stra t io n s de to u te s les nages .G rand m a tc h de boxe su r r ing flo ttant.D é m o n stra t io n s de sauve tage .« Le sac de M onte -C r is to . »Concert .G rande fê te fo ra in e .Grand bal public et g ra tu i t .

PONTARMEM édaille du travail. —- La médaille en

a r g e n t v ien t d ’ê t re déce rn ée à M. Clota ire P ré v o s t , 31 ans de se rv ices chez MM. Dupuis e t Guille t , à P o n ta rm é ,

Nos félici tat ions.

PRECY-SUR-OISEUne m auvaise farce. — Alors q u ’il r e n tra i t

chez lui v e n an t de sa pension de famille , le p h a rm ac ien Vincent P ing r jn , 40 ans, d e m e u ­r a n t place de l ’Eglise, à environ 23 h eu res , u n g ro u p e de j e u n e s gens de la localité, n ’oni r ien trouvé de m ieux que de l ’e n to u re r e t de se l iv re r à des p la isan ter ies de m auva is goût . Le p h a rm a c ie n a dû c h e rc h e r m o m e n tan é ­m en t u n re fu g e e t a t t e n d re q u e lq u e s in s ­tan ts p o u r r e n t r e r e n su i te chez lui.

Les a u te u r s de c e t te m auvaise fa rce , les- j e u n e s D., B„ F., Q„ fe ro n t bien de se ten ir t r an q u i l le s à l ’avenir , s ’ils v e u le n t à leu r to u r n 'ê t r e pas ennuyés .

SERY-MAGNEVALAu Conseil m unicipal. -— Un no u s an n o n ­

ce que M)M. Descourt, ad jo in t au Maire, et C labaut , conse il ler m unicipal, a u ra ien t r é s i ­gné leu rs fonctions.

D’a u t r e p a r t , MM. Anézo Louis , Gervais Henri e t Sa lu au x E rn es t , conse il lers m u n i ­cipaux, on t annoncé l eu r démiss ion au P r é ­fet.

THURY-EN-VALOISLa ga lette a disparu. -— M adame Bier

P ie r re , co m m erçan te , a s ignalé à la g e n d a r ­m erie que p e n d an t le co u rs de la jo u rn ée , un inconnu avait d é ro b é dans son t i ro i r -ca isse , une som m e de deux c en t dix f ran c s coin-posée de deux b ille ts de cen t f ran c s e t une c o u p u re de 1.0 f rancs .

On re c h e rc h e le vo leur ,

VAUCIENNESGarde Particulier. -— M. le S o u s - P r é f e t a

ag réé M. Félix T h io u x com m e g a rd e p a r t i ­cu lie r de M1M. de Oornois e t Oie.

VINEUIL-SAINT-FtRMINPartis sans laisser d’adresse. — Un pal-

f ren ie r , Jo s e p h Faker , âgé de 21 ans, d e ­m e u r a n t à Vineuil, s ’é la i t re n d u comm e d ’hab itu d e à son travail citez i ’e n tr a în e u r Guunt, avenue de ia ga re à Ghantil ly.

V e rs 17. h e u re s , il se s e n t i t ie beso in de se re n d re au x w a te r ’- c lo se ts et, à c e t effet, déposa sa c e in tu re c o n te n an t sa m o n tre en

•or s u r une p lan c h e t te au dehors . M a lh eu ­re u se m e n t , en so r ta n t , il oublia de s ’occu p e r de sa m o n tre e t p a r t i t à Vineuil . Ce n ’est q u ’en a r r iv a n t à son domicile q u ’il pensa , q u ’il avai t oublié sa m on tre . En compagnie de sa fem m e, il r e to u r n a à Ghantil ly, mais la m o n tre avait d ispa ru avec la ceinture .

C ’e s t un p ré ju d ice de p lus de 500 f ran cs p our leque l il a p o r té p e in t e .

Les habitations ouvrières. •—■ P a r a r rê té d u Ministre de. l 'Hygiène e t do la P révoyance sociale, en da te du 31 ju i l l e t 1923. o n t été a d o p té s les s t a tu t s de la société anonyme- Coopérat ive d ’Habita t ions à bon m arc h é de V ineu il -Sa in l-F irm in , d o n t le siège se trouve en c e t te com m une .

VILUERS-SOUS-StAINT-LEUArrestation. — Les g e n d a rm es de Creil,

on t a r rê té le nom m é Delannoy Henri, qui é ta i t r e c h e rc h é en v e r tu d 'u n e x tra i t de ju g e m e n t du t r ibuna l de Senlis .

VILLERS-SAINT-PAULP rocès-verbal. -— Mme Dominique, née

Rozier Adèle, logeuse , n ’a pas tenu son r e ­g is t re de lo g eu rs en règ le ; les g e n d a rm es p a sse n t e t lui d re s se n t u n p ro cès-v e rb a l .

La Compagnie d ’A ssurances Géné­rales sur la Vie, pour une somme de 10 .000 francs qui lui est versé, donne actuellem ent ;

A soixante-six a n s . . . . 1.161 fr.A soixante dix a n s . . , . 1.361 fr.A quatre-vingts a n s . . . 1.870 fr.A quatre-vingt-dix ans 2.230 fr.(Arrérages payables par semestre).

L a Com pagnie d ’A ssurances Géné­rales sur la V ie, entreprise privée assu­jettie au Contrôle de l’E ta t, fondée en 1819, est la plus ancienne des Compagnies similaires.

Depuis l ’origine de la Com pagnie le total des capitaux assures est de 4 Mil­liards 216 M illions ; celui des Rentes constituées, 153 M illions. Pendant l’exer­cice 1922, le chiffre des capitaux assurés s’est élevé à 183 M illions 349.343 francs; celui des Rentes constituées à 5 M illions 434.119 francs.

Envoi gratu it de notices et tarifs sur demande adressée soit au Siège Social de la Compagnie, 87, rue de R ichelieu, à Paris, soit à l’un de ses représentants dans les départem ents, notam m ent à :

,M. Paul CONTANT, directeur particulier, i i , rue du Prévôt, à Bpauvais.

M. L. DAELMAN fÜ5 , t6 , rue d'Alger, àCompiègne.

M. A. BL.AISON, boulevard Ernest-Noël, à Noyon.

M, Lucien^ BAZOT, 13, rue du Puits- Tiphaine, à Senlis.

LA H E R N I E$ÉÉLet les AFFECTIONS ABDOMINALES mü

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CREIL, Lundi 13 Août, Hôtel du Chemin de Fer.

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la Gare.

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Im prim eries Kéunies de Senlis11, p lace tfen ri t V,

La Loi de 8 heuresdans les entreprises d’assurances

et les banques

Le Journal officiel du 1" août publie les décre ts p o r ta n t règ lem en t d ’ad m in is­tra tio n pub lique en ce qu i concerne l’ap ­p lica tio n de la loi de 8 heures d an s les en trep rises d ’assu rances, les banques et tous étab lissem ents de finances, de c ré d it et de change.

L A B E U R A F F t C H E S

T R A V A U X DE VILLE

Le Gérant, S. Botïxtll.

Imprimerie* Réunies de SenlisH , Place Henri-iv.

y

Page 3: 4 LE COURRIER DE .L’OISEüiiasaeü» ip Ae*t teggbmsenlis.com/data/pdf/js/1923-1924/bms_js_1923_08_19_MRC.pdf · joli motif de récrimination elle eût four

ANNONCES JUDICIAIRESA r t i c l e I .

E tu d e s de M' Louis ESCAVY,avoué, d o c te u r en droi t ,

d e m e u r a n t à Senlis , 7, ru e de Vil levert .

e t de W” P ierre FABIQNON, n o taire à N eu i l ly -en -T h e l le (O ise ) .

Lbi d u 15 Décembre 1921.

Vente sur Licitationaux p lus offrants et derniers

enchérisseurs E N T R E N T E E T U N L O t S

DE :

UNE MAISONs i s e à C R O U Y - E N - T H E L L E

q u a r t i e r du P e t i t - O r o u y l i c u d i t la M a la d r e r ie

avec C irconstances e t Dépendances

2 8 P iè c e s de T e r r e & V erg e rs i s e s t e r r o i r d e

C R O U Y - E N - T H E L L E

Une Pièce de Terres i s e t e r r o i r de

P R É C Y - S U R - O I S E

Une Pièce de Terres i se t e r r o i r d ’E R C U I S (Oise).

I- 'ad jud ica t ion a u ra lieu le Lun dl 3 Septem bre 1 9 2 3 , à 2 heures de relevée, en la Mairie de C rouy e n -T h e l l e e t p a r le m in is tè re de .M* Fabignon , n o ta i re à N eu i l ly -eh T helle , com m is à c e t effet.

On fa it savoir à to u s ceux q u ’il a p p a r t ie n d ra q u ’en v e r tu e t en exé­c u tio n d ’u n j u g e m e n t s u r re q u ê te re n d u p a r le T r ib u n a l civil de S e n ­lis, en d a te du onze ju i l le t mil n e u f c e n t v in g t- t ro is , e n re g is t ré ; aux r e q u ê te , p o u r su i te e t d i ligence de

1° M. P e rn a n d -V ic to r B erge, einployé de co m m erce , d e m e u ra n t à P r é c y -s u r - O is e .

oo jjm« A d é n ise -P a lm y re Sodo- ÿer , d e m e u ra n t à C r o u y -e n -T h e l l e veuve de M. Loufs-V ic to r B o u c h e r ;

« A g issan t t a n t en son nom per sonnel q u ’au n om e t com m e t u ­tr ice n a tu re l le e t légale de se s deux e n fan ts m in e u r s is su s de son union avec son d é f u n t m ar i ; 1 L o u is -O c tav e-G ab r ie l B o u c h er , né à C rouy , le 9 décem bre . 1904 ; 2 M a rc e l -A lb e r t -E rn e s t B oucher , né au di t lieu, le 13 fév r ie r 1913 . »

3“ M. A lb e r t D ro co u r t , d e m e u ­r a n t à N eu i l ly -en -T h e lle .

« A g issan t au n om e t comm e su b ro g é tu t e u r a d -h o c d es deux unineiurs B o u c h e r s u s -n o m m é s , n om m é à c e t te fonc tion , su ivan t dé l ibé ra t ion du Conseil de famille des di ts m in eu rs , ten u e sous la p r é ­s idence de M. le J u g e de P a ix du C anton de N eu i l ly -en -T h e lle , le c inq a o û t mil n e u f c en t v in g t -d e u x ;

P o u rs u iv a n t s la v e n te , ay an t M ' Escavy, p o u r avoué.

Il s e ra le I-undi 3 S ep tem b re 1923, à 2 h e u r e s de re levée , en la Mairie de G ro u y -c n -T h e l le , e t p a r le m in is tè re de M” Fabignon, n o ta i ­re à.’ N eu i l ly -en -T h e lle , com m is à c e t effet, p ro céd é à la v en te su r ici lal ion aux p lus o ffran ts e t d e r ­n iers e n ch é r is se u rs , en t r e n t e e t un lots , des im m eub les d o n t la dés i ­g na tion s u i t :

DESIGNATION

Commune de C rouy-en-T helleArt. 1 " . — Une m aison, sise à

C ro u y -e n -T h e l le , q u a r t i e r d u P e t i t Crouy, l ieud it la M aladrer ie , c o n ­s i s t a n t en : u n e cuis ine , deux ch a m b re s à côté , g r e n ie r a u - d e s - sd s , b â t im e n t à côté e t g ran g e , le to u t c o u v e r t en a rdo ises , cave d e s ­sous e t to it à p o rc s , en su i te g ran g e s u r la ru e c o u v er te en pail le, cour de v an t ces b â t im e n ts e t ja rd in d e r r iè re .

Le t o u t c o n te n a n t d ’a p rè s les t i t r e s 17 a r e s 01 cen t ia re , p our ten i r d ’u n cô té Arsac , d ’a u t r e côté aux h é r i t ie r s d e M “" Vacquez , de P ré e y , e t p a r h a ch e à M“ « Veuve S tan is la s Bloy, d ’u n b o u t M. Arsac , d 'a u t r e b o u t la R ue .

C a d as tré s sec t io n A, n°“ G95, 098 p. a i a a ,

Mise à prix : 3 .6 0 0 francs

Terroir de C rouy-en-T h elleArt. 2. — 10 a re s 21 cen t ia re s

d 'a p rè s les t i t re s , e t 11 a res 80 cen t ia re s d ’a p rè s le c ad as t re , de te r re , l ieud i t le Fossé.. L ecom te , te n a n t d ’u n cô té P e t i t , d ’a u tr e c ô té p lu s ieu rs , d ’u n b o u t Veuve (lapon, -d’a u t r e b o u t G ranger .

C ad as tré s sec t ion A, n° 3.Mise à prix : 1 0 0 francs

Aart. 3. — 12 a re s 77 cen t ia re s d 'a p r è s le s t i t re s , e t 13 a r e s 65 c en t ia re s d ’a p rè s le cad as tre , de v e rg e r , l ieud i t Les V eaux ou Le Fo n d des Veaux , t e n a n t d ’u n côté F rançois E dm ond , d ’a u t r e côté Veuve Morel, d 'u n b o u t C œ u rd e roy, d ’a u t r e b o u t le Ravin.

Ladite pièce p lan té e de dix p om ­m iers .

C ad as tré s sec t ion A, n° 71..Mise à prix ; 1 0 0 francs

Art. 4. — 12 a r e s 76 cen t ia ré s d 'a p r è s les t i t re s , e t 14 a res 70 cen t ia re s d 'a p rè s le c ad as t re , de terre , l ieud it le Fo n d d es Veaux, ten a n t d ’un cô té Deslile Louis , d ’a u t r e côté d e Vezian, d ’un b o u t le bois d ’E rcu is , d ’a u t r e b o u t NVaquet.

C ad as tré s sec tion A, n° 99.Mise à p rix : 1 6 0 francs

Art. 5. — 12 a re s 76 cen t ia res d ’ap rè s les t i t re s , e t 12 a res 75 c en t ia re s d’ap rè s le c ad as t re , de t e r r e , l ieud i t le P o t e a u ou le Vieux C hem in de P ré c y , t e n a n t d ’u n côté B ra q u e t , d ’a u t r e côté Leleu , d ’u n b o u t B raq u e t , d ’a u t r e b o u t Heller.

C ad as tré s sec t ion A, n° 636Alise à p rix : 2 0 0 francs

Aart. 6. —. 7 a r e s 98 cen t ia re s d 'a p rè s les t i t res , e t 8 a re s 90 c e n ­t ia re s d ’a p r è s le c ad as t re , de t e r r e l ieud i t les C h a m p a r ts ou le Cul de Sac, ten a n t d ’u n cô té de Vézian, d ’a u t r e côté h é r i t ie r s Varé , d 'u n b o u t la sen te , d ’a u t r e b o u t N aquet .

La dite pièce p lan tée d 'u n pom m ier.

C ad as tré s sec tion B, n° 24.M ise à p r ix : 8 0 francs

Art. 7. •— 6 a re s 88 cen t ia re s d 'a p rè s les t i t re s , e t 6 a res 90 c e n ­t ia res d ’a p rè s le cad a s t re , de te r re , l ieud i t le Chem in de Boran ou la. Folie, ten a n t d ’u n côté Veuve Capon", d 'a u t r e côté Vacquez, d ’un b o u t V euve Capon. d 'a u t r e b o u t le chem in de P ré c y . — B, 109.

Mise à prix : 20 fran cs.

Art. 8. — 21 a res 94 cen t ia res d ap rès les t i t re s , e t 22 a res

30 c en t ia re s d ’a p rè s le c ad a s t re de t e r r e , l ieud i t B u l leçe r t ou Bul cer f , t e n a n t d ’un cô té de Vézian d ’a u t r e cô té Vacquez, d ’u n b o u t le chem in, d ’a u t r e b o u t F ranço is . —■ B, 317.

Mise à prix : 1 0 0 francs

Art. 9. ■— 1 a re 79 cen t ia re sd ’ap rè s les t i t re s , e t 1 a re 50 cen t ia res d ’a p rè s le c ad as t re , de t e r re l ieud it le Clos Boival, t en a n t d ’un côté Gravelâ t, d ’a u t r e côté Ometz. d ’un b o u t F ro m e n t , d 'a u t r e b o u t L eb ru n Achille. —= B, 475.

Mise à p r ix : 2 fran cs.

Art. 10. — 1 a re 53 cen t ia re d ’a p rè s les t i t re s , e t 1 a re 70 cen t ia res d ’a p rè s le cad a s t re , de t e r re l ieudit le Clos Boival, t en a n t d ’un côté le chem in de Boran, d 'a u t r ecôté Veuve Marais, d ’un bout lec h em in de Boran, d ’a u t r e b o u t S tan is las Eloy. — B, 526.

Mise à prix ; 20 francs

Art. 11. — 10 a r e s 72 cen t ia res d ’ap rè s les t i t re s , e t 11 a res 65 c en t ia re s d ’a p r è s le c ad a s t re de t e r re , l ieud it les B ru y è re s ou les R iches P e in es , ten a n t d ’u n côté la ro u te de Boran, d ’a u t r e côté M erc ie r L a u re n t , d ’u n b o u t T hi b a u t , d ’a u t r e b o u t N aque t . — B 554, 555.

Mise à p r ix : 60 francs

Art. 12. — 16 a r e s 21 cen t ia re s d ’ap rè s les t i t re s , e t 12 a res 95 cen t ia re s d ’a p rè s le c ad as t re , de te r re , l ieud i t R ichepeigne , ten a n t d ’u n cô té C uquem elle , d ’a u t r e oôté J e a n -B a p t i s t e Delaville, d ’u n b o u t le chem in , d ’a u t r e b o u t la ro u te de Boran. — B, 604 p. , 605 p., 607 p. 609, 611.

Mise à p r ix ; 1 7 francs

Art. 13. — 6 a r e s 38 cen t ia res d 'a p rè s le s t i t r e s , e t 6 a r e s 20 cen tia res d ’a p r è s le c ad as t re , de te r re , l ieudit R ichepeigne , ten a n t d ’un côté F ran ço is A lphonse , d ’a u tr e côté C œ urde roy , d ’u n b o u t la ro u te , d ’a u t r e b o u t C œ urderoy .B, 647.

Mise à p r ix : 2 0 francsArt. 14. — G a re s 38 cen t ia re s

d ’a p rè s les t i t re s , e t 10 a re s 50 c en t ia re s d 'a p rè s le c ad as t re , de t e r re , l ieud it R ichepeigne , tenan t d ’u n côté Veuve Capon, d ’a u t r e oôté F ran ço is A lphonse e t a u t r e s d ’un b o u t la ro u t e de Boran d ’a u t r e b o u t la sen te . — B, 707.

Mise à p r ix : 3 0 francs

Art. 15. — 8 a r e s 16 cen t ia re s d ’a p rè s les t i t re s , e t 8 a re s d ’ap rè s le c ad a s t re , de te r re , l ieudit la Vallée de B eàuce, t e n a t d ’un oôté Vacquez , d ’a u t r e côté h é r i t ie rs Fo u rc ro y , d ’un b o u t Vacquez, d ’a u t r e b o u t V euve M ore l . — B, 751, 752.

Mise à p r ix : 1 0 francs

Art. 16. —• 33 a re s 18 c en t ia re s d ’a p rè s les t i t re s , e t 34 a res 50 cen t ia re s d ’a p r è s le cad as tre , de te r re , l ieud it la Vallée de B eau- ce, ten an t d ’u n cô té J a r l e t , d ’a u tr e côté p lu s ieu rs , d ’u n b o u t Vaquez, d’a u t r e b o u t M erc ie r L au re n t . •—B, 779, 780, 781. 783, 791, 858.

Mise à prix ; 4 0 francs

Art. 17. — 17 a r e s 02 cen t ia re s 'a p rè s les t i t r e s , e t 16 a res 5 c en t ia re s d ’a p rè s le cad a s t re , de

terre , l ieud it les M anneaux, ten a n t d ’u n côté Veuve Capon, d ’a u t r e oôté L am o u eh c , d ’un b o u t Ouiur-deroy, d ’a u t r e b o u t P ic a rd . ---- C.19.

Mise â prix : 2 5 francs

Art. 18. — 2 a r e s 15 cen t ia re s d ’ap rè s le s t i t re s e t le cad as tre , de te r re , l ieud it les C loquel tes , ten an t d ’un cô té M ercier , d ’a u t r e côté C œ urderoy , d ’u n b o u t la sen te . —C, 254.

Mise à prix : 10 francs

A rt , 19. — 6 a r e s 38 c en t ia re s d ’ap rè s les t i t res , e t 6 a res 45 c e n ­t ia res d ’a p rè s le cad a s t re , de T e r re , l ieudit la G rande Sente , ten a n t d ’u n cô t£ Delis le Louis , d ’a u tr e côté C œ urderoy , d ’u n b o u t Veuve Ricard, d ’a u t r e b o u t la sen te . —r C, 308.

- Mise à prix : 1 6 francs

Art. 20. — 15 a re s d ’a p rè s les t i t res , e t 16 a r e s 20 cen t ia re s d ’a p rè s le c ad as t re , de t e r r e , l ieud it le Chem in de Chambly , ten a n t d ’un oôté M au m en é , d ’a u t r e cô té G u e r- lin, d ’u n b o u t la ro u te de M o ran - g les , d 'a u t r e b o u t la sen te d ’En H aut . — C, 392, 393, 394, 395.

Mise à p r ix ; 1 0 0 francs

de te r re , l ieud i t les (brouettes ,, t e - njfcnt d ’ufi côté P i e r r e - T o u s s a in l F ourc roy , d 'a u t r e cô té Louis C hé- ron, d ’un b o u t Pierre-TouSfcain t Fourc roy , d ’a u t r e b o u t la Grande Rue. —- C, 723.

Mise à prix : 2 francs

Art. 28. — 3 a re s 83 cen t ia res d ’a p rè s les t i t r é s , e t 3 a re s 25 cen t ia re s , d 'a p rè s le c ad as t re , de t e r re , l icudit les B ro u e t te s , ten an t d’u n côté Caron, d ’a u t r e côté p l u ­s ieu rs , d ’un b o u t la Sen te , d 'a u t r e b o u t Delisle . — C, 737, 738.

Mise à p r ix : 4 francs

Art. 29. -— 13 a res 1 cen t ia re d 'a p rè s les t i t r e s fet 13 a re s 30 cen t ia res , d ’a p rè s le c ad as t re , de te r re , l ieud it la vallée de Moran- gles , ten a n t d ’un côté F rançois Al-phonse, d ’au tre oôté Grioclie, d ’unb o u t M ercier , d ’a u t r e b o u t p lu ­sieu rs . — • C, 800, 854, 855, 856.

Mise à prix : 15 francs

Terroir de P récy-su r-O iseArt. 30. — 12 a res 76 cen t ia res

d 'a p rè s les t i t r e s e t 8 a r e s 72 cen t iares , d ’ap rè s le cad as t re , de t e r re , l ieudit le Chem in de la M ontagne, ten a n t d ’u n côté P e t i t J a r le t , d ’a u ­t re côté p lu s ieu rs , d ’u n b o u t B er- nier , d ’a u t r e b o u t Quillet. — F, 97.

Mise à p r ix ; 5 0 francs

Terroir d’ErcuisArt,. 31. — 12 a re s 77 cen tia res ,

d ’a p r è s l e s . t i t r e s e t 13 a res 35 cen t ia res , d ’a p rè s le c ad as t re , de te r re , l ieud it le chem in de la Val­ide d ’E rcu is ou le Fossé Leconte , ten an t d ’un côté M ercier L au ren t , d ’a u t r e côté P e t i t J a le t , d ’un b o u t le m êm e, d ’a u t r e b o u t Colas. —- C, 523.

Mise à prix : 1 0 0 francs

T o ta l d e s m is e s à prix : 4.732 francs.

P urge d’H ypothèques légales

Il e s t ici déclaré , c o n fo rm ém en t à l 'a r t ic le G96 du code de p ro c é ­d u re civile e t h la loi du (9 m ars 1917, que to u s ceux du c h e f d e s ­q u e ls il p o u r ra i t ê tre p r is in sc r ip ­tion p o u r ra iso n d ’h y p o th èq u e s légales s u r les im m eub le s ci- d e ssu s dés ignés , d ev ro n t r e q u é r i r sette insc r ip t ion av an t la t r a n s ­

cr ip t ion d u p ro c ès -v e rb a l d ’a d ju ­dicat ion , sous peine de déch éan ce .

oqm mis 4- cet effet, en Pr<̂ e. ° Iade M ' L ouât , qd ta i re à Senis, a 1 v e n te s u r l icitation, aux enchères pub l iques , au p lus offrant et de n ie r e n ch é r is s e u r e t â l ’extinctio des feux, de l ’im m eub le dont 18 désigna t ion su i t :

DÉSIGNATIONUne Maison, sise à La ChapelE

en-Serva l , ro u te Nationale de Pai'is à Lille, com posée de deux pièces ®u re z -d e -c h a u s sé e , deux ohambres an p re m ie r é tage, g re n ie r au-dessus^ ;cave dessous , cour à la suite avec c o m m u n s e t dépen d an ces , puits icommun.

Le t o u t ten a n t pa r devant à la rue , p a r d e r r iè re aux représentants L efèvre , d ’un côté aux représen­tan ts Savignac e t d ’a u t r e côté i M . G r o u z e t .

MISE A PRIX

O u tre les c h arg es , claus .conditions in sé rée s au cahi C harges d re ssé p a r M ” P e t i t â Senlis , e t d éposé en son é t1 c h ac u n p e u t en p re n d re co sance, les en ch è re s se ron t su r la m ise à prix de deuxknille f rancs , c i ................... 2 .000 tan c s

laChen,

dp~fa l0t' ’— arcs- 45 centiares la p ̂ Neufchelles, lieudit

prenne brûlée ou le chemin desous

‘hevières , t e n a n t d ’u n b o u t etd’.uh côté à M m” Laisem ent , d ’a u t r ec ô t é D a g b e r t e t d ’a u t r e b o u t lion A F r a n Ç0 is. C ad as tré s sec IUQ A. n °* 543 p. e t 544.

Mise à prix : 6 0 0 francs

clJuQ1Ôt; . ~ l ’n olos’ sis k Neufu s , l ieudit le chem in de B eau-

la Gavette , ten a n t d 'u n côté \ 6 v iCOUi o r ts A l la rd . d ’a u t r e -côté chenu B,:."v ra n d e, d 'u n b o u t au Cau, ? ’ d a u ^ 'e h o u t à p lu s ieu rs cadastre, sec tion B, n° 1082 p.

ï Mise à prix : 4 0 0 francs

p re n d re connaissance, les fm/psu-bles ç i-d e s s u s dés ignés se ro n t mis en v e n te s u r les m ises à prix su s - e nonçées fixées p a r le ju g e m e n t p réc i té .

awn é s-Fait e t réd igé p a r les p o u r su iv a n ts souss ignés .

A S e n l is , ’ le 10 Aoû t 1923. j Signé : L. CHASTAI?^.

G. MOHAIR).Et en reg is t ré .

S’adresser pourv les renseigie- m ents :

1" A M*“ Chastaing et Moraid,a voués à Senlis , p o u rsu iv a n t! la ven te ;

2° A M' Petit., no ta ire à Sciais, c h a rg é do la ven te e t déposi ta iredu c ah ie r d e s c h a rg e s ;

3° A M" Louât, no taire à Senjis, p ré se n t à la ven te .

Fait e t réd igé p a r l ’avoué p o u r ­suivant, souss igné.

Senlis , le 8 a o û t 1923.S ig n é : ; Louis ESCAVY.

E t e n reg is t ré .

p o u r les rense igne-S ’a d re s s e r m on ts à :

1” M* Louis ESCAVY, avoué à Senlis, p o u rsu iv a n t la ven té .

2“ M” FABIGNON. n o ta i re à N eu i l ly -en -T h e lle , r é d a c te u r e t dé ­posita ire du c ah ie r d e s charges .

A r t . 3.

E tu d e s de M" G eorges MORAÔD, avoué à -Senlis

et do M° Fernand MALEZIEUX,no ta i re à Betz

VENTE SUR LICITATIONDE

U N E M A I S O J Nsise à NEUFCHELLES

lieudit le Village

Un M i n , 20 ares 45 de Terreet un Clos

sis à NEUFCHELLES

A r t . 2

E tu d e s de M' L. CHASTAING,avoué à Senlis

M' G. MORAND, avoué à Senlis a d m in i s t r a te u r de l’é tu d e de feu

M” SAVARY, avoué E t de M” PETIT, notaire- à Senlis

Loi du 23 Octobre 1884

A V E N D R ES U R L I C I T A T I O N

Une Maisons i s e à LA CHAPELLE-EN-SERVAL

route nationale de Paris à Lille.

L ’ad ju d ica t io n a u ra lieu le Samedi 8 Septem bre 19 2 3 , à 14 heures,en la Mairie de la com m une de La Ç h ap e l le -en -Se rv a l , par le m inis­tè re de M" P E T IT , no ta i re à Senlis, com m is à ce t effet, en p ré sen c e de M ” LOUAT, no taire à Sentis .

Art . 21. — 2 are3 55 cen t ia re s d ’a p rè s les t i t r e s e t 2 a res 30 c en t ia re s d ’a p rè s le c a d a s t r e , de te r re , l ieud it la S e n te d ’en H a u t ou la Sen te des P ra v e a u x , t e n a n t d ’u n côté (Japon, d ’a u t r e côté Vée, d ’un b o u t Capon, d ’a u t r e b o u t la Sen te

On fa it savoir à tous ceux q u ’il a p p a r t ie n d ra ; q u ’en exécu tion d ’nu ju g e m e n t re n d u s u r r e q u ê te p a r le T r ib u n a l civil de Senlis le 20 fév rie r <1923, e n reg is t ré .

E t aux r e q u ê te , p o u r su i t e s e t dili g en ces de : 1” M adame Blanche L ouise-A déline V ougny, épouse de M. A lb e r t-X av ie r Valentin , ©égo c iàn t en v ins, avec leque l elle d e m e u re à Compiègne, place Saint Ja c q u e s , n" 8, e t ce d e rn ie r tan t eu son nom p e rso n n e l au beso in que p our a s s i s te r e t a u to r i s e r la dame

En exécu tion d ’un ju g e m e n t sur eq u ê te r e n d u p a r le T ribuna l civil

de Senlis , le 26 Ju in 1923, enre- is t ré ;

E t a u x re q u ê te , p o u rsu i te e t dili­gen ce de

1” M. Louis Mérioe, d e m e u ran t La Fer té -M ilo i j : « S u b ro g é -

t u t e u r fa is an t fonctionstu te u r de .Hrac Louise Hec,

Veuve de*M. Arnédée Allard; » ;- 2° M. A lber t Allard, d e m e u ran t M origny ; — 3° M " ' Pa lm yre

Allard, époüse a ss is tée e t a u to r i ­sée de Adam Artisson , avec lequel elle d e m e u re à P a r i s , 30, ru e de

Ourcq ; — 4° M. P a u l Allard, d e m e u ra n t ' à Versail les , 2, rue

ean -H o u d o n ; —- 5° Mm' B erthe Allard, épouse a ss is tée e t au tor isée de M. Louis Mérice, avup lequel elle de m e u re à La F e r té -M ilo n :

Mme L éon t ine-V alen t ine Renault , épouse a ss i s té e e t a u to r i sé e de M. A n d ré -A lb er t P l icque , avec le­que l elle d e m e u re à T orcy , M 1"' ’l icque veuve en p re m iè re s noces

de.M. E d o u ard Allard ; « A gissan t : « M"‘* P l icque , en son nom

p e rso n n e l e t com m e tu tr ice légale e t M. P l icq u e , en quali té d e c o - tu t e u r d e s m in e u rs René-

« A lphonse A llard e t Raymonde- « L éontine Allard » ; — 7° Mm* Vietorine Allard, veuve de M. Ver- gne, d e m e u ra n t à M elun ; — 8° : 1° M"’° E u g én ie -L o u ise Labé, de ­m e u ra n t à N eüfohel les , veu v e de M. Arnédée A llard ; « T u tr i c e de la « m in eu re O lg a -E u g én ie -L o u ise Al­

la rd ». 2° M. Am édée-Alexandre Allard, d e m e u ra n t à C ro u y -su r- O urcq ; 3° M. Pau l -A d o lp h e Al­lard, d e m e u ra n t à N eufche l le s ; 4‘

d ’en Haut . — G, 426 (P l a n té s de j son épouse su s -n o m m é e . -— 2”M. P a u l - J o s e p h - F r a n ç o i s Vougny n ég o c ian t en éponges , d e m e u ra n t à P a r i s , 50, r u e Sa in te -C ro ix -d e - la - B re tonnerie . — 3 “ M adam e L ou ise- A lphonsine D ru jon , épouse de M. G abrie l - Is idore L efèvre , p ro fe s e u r de m us ique , avec leque l elle dem eu re à B e au m o n t-su r -O ise , e t ce d e r ­n ier tan t en son nom p e rso n n e l au beso in q u e p o u r a s s i s te r e t a u to r i se r la dam e son épouse su s -n o m m é e . -— 4° M adame A n g è le -P au l in e D ru jon sa n s profession , d e m e u ra n t à P a n ­toise, p lace du P e t i t -M a r t ro y , 19, veuve de M. A r th u r - J e a n - J o s e p h B o rn e t-L ég e r . •— 5° M. J u l e s -L o u is—Léon Lenclos, employé à la Com pagnie d u chem in de f e r du Nord , d e m e u ra n t à Amiens, ru e de Beloy, 35. — 6° M adame Jean n e Sophie Corbelle , veu v e de M. M au- r ice -G a s to n G uére t , d e m e u ra n t B eck -P la g e , « A g issan t t a n t en son nom p e rso n n e l q u ’a u nom e t comme tu t r ice n a tu re l le e t légale de Hen r ie t te -A lb e r t in e G uére t , sa fille m in eu re née de son un io n avec son d é f u n t m ari , 7 ” M. P i e r r e Michaux, avoué, d e m e u ra n t à G le rm o n t (O ise ) , a g is san t au nom et comme m an d a ta i re ad l item de M. L ouis - Jo s e p h Bovenval, a liéné non in te rd i t placé à l ’asile d 'a l iénés de C e rm on t n om m é à. c e t te fonc tion p a r j u g e ­m e n t re n d u s u r r e q u ê te p a r le T r i ­b u n a l civil de C le rm o n t , ' l e 19 Ju in 1923.

P o u rs u iv a n t s , ayan t M* L. Chas taing p our avoué co n s t i tu é , d e m e u ­ra n t à Senlis , r u e Sa in te-Genevièvë

8° M. F e rn a n d Fieffé, comm is s iannaire , d e m e u ra n t à O r ry - - l a Ville.

P o u rs u iv a n t , ay an t M* M orandp o u r avoué com m e ad m in is t ra teu r de l’é tu d e de feu M* Savâry, avoué

E n p ré sen c e ou lui d û m en t appel

1 cer is ie r e t 3 p o m m ie r s ) .Mise à prix ; 1 5 francs

A rt . 22. — 2 a re s 04 cen t ia res , d ’a p rè s le s t i t r e s e t 2 a r e s 10 c en ­t ia res d ’aprè.s le c ad a s t r e de te r re , l ieud it la g ra n d e sen te , t e n a n t d ’un côté Bazin, d ’a u t r e côté Dem ouy, d ’u n b o û t P i e r r e - L o u is Delisle , d ’a u t r e b o u t Veuve M erc ie r — 0 , 524 .

Mise à prix : 3 francs

Art. 23. — i a re 53 cen t ia res d ’a p rè s les t i t r e s e t 1 a re d ’ap rè s le c ad a s t re de t e r r e , l ieud i t la

Grande Sen te ou les P ra v e au x , t e ­n an t d ’u n côté Caffin, d ’a u t r e côté Louis Pa l lin , d ’un b o u t Gravela t, d ’a u t r e b o u t la G rande Sen te . — C. 558.

Mise à p r ix : 2 francs

Art. 24. — 7 a re s 14 cen tia res , d ’a p rè s les l i t r e s e t 8 a res 15 c e n ­tia res d ’ap rè s le c ad as t re , de t e r ­re, l i e u d i t la G rande Sen te ou les Dimerons , t e n a n t d ’u n côté G u e r - lin, d ’a u t r e cô té F ranço is A lphon­se, d 'a u t r e c ô té la Sen te , d ’u n b o u t p lu s ieu rs . — C, 668, 674, G75, 624 (p lan tés de 1 p o m m ie r ) .

Mise à p r ix : 20 francs

Art. 25. — 1 a re 53 cen tiares , d ’ap rè s les t i t re s e t 1 a re 25 c en ­tiares , d ’ap rè s le c ad as t re , de t e r re , l iendit les D im erons , ten a n t 'd’u n côté Vaquez , d ’a u t r e côté Li- gn e reu x , d ’u n b o u t J . -B . Bricot, d ’a u t r e b o u t h é r i t ie r s Caurto is . — C, 673.

Mise à p r ix : 2 francs

Art. 26. — 9 a res 82 centiares, d 'a p rè s les t i t r e s e t 9 a res 35 c e n ­tia res , d ’ap rè s le c ad as t re , de t e r ­re , l ieud it les G ro u e t te s , ten a n t d ’un côté e t p a r h a ch e Michel D é­bat, d 'u n b o u t r e p ré s e n ta n t s Veuve C héron, d 'a u t r e b o u t P in s s o n e t a u tre s , d ’a u t r e b o u t la Sen te de Beaum ont. — C, 719. 728.

Mise à prix :. 20 francs

Art. 27. — 1 are 53 cen tiares , d 'a p rè s fès t i t re s , e t 1 a re 70 cen t ia res , d 'a p rè s le cadast re ,

■\: ( H

d eM. J u l e s J a r ray , ren t ie r , dem eu

r a n t à Pa r i s , 299, ru e des P y ré néps, p r is a u n om e t en qua li té de s u b r o g é - t u te u r ad hoe de la mi neu re G u é re t su s -n o m m ée .

N ’ayan t , pas d ’avoué const itué .I! se ra aux jo u r , h e u re e t lieu

su s - in d iq u és , p rocédé p a r le m in is­tè re de M* P e t i t , no ta i re â Senlis

L ’a d ju d ica t io n a u ra l ieu le Ven­dredi 31 Août 1 9 2 3 , à treize heures et dem ie, en la Mairie de N eufche l le s , pa r le m in is tè re de de M" MALEZIEUX, no taire à Betz, com m is à ce t effet.

m e u ra n t à N cufche l lê s ; — 9° Et-’; 1° M. M aurice Art isson, demeu­r a n t à P o m m e re u l ; 2° M. Emile ôr t is son , g en d arm e , d e m e u ran t à Douai ; 3° E t M. Georges Arlis- son, d e m e u ra n t à P a r i s , 2 bis, I ï i- passe du Maine.

P o u r s u iv a n t s la ven te ;

A yant p o u r avoué M ' Morand, d e m e u ra n t à Senlis .

E n p ré sen c e ou eux d û m en t ap­pe lés de :

1° M. J e a n Sire, d e m e u ra n t k N eufche l le s ; « S u b r o g é - tu te u r 4d-

hoc de M ”1” A llard-H ec » ; ; 2° M. P a u l Allard, d e m e u ran t V ersa il les ; » S u b r o g é - tu te u r des

m in e u rs R ené-A lphonse Allard e t R aym o n d e -L éo n t in e Allard » ;

3° E t M. A m édée-A lexandre Allard. d e m e u ra n t à C rouy-sur-O unpq;« S u b r o g é - t u t e u r d e la in in w re

Q lga-Eugén ie Allard.

Il se ra , le V endred i 31 Août 1923, à treize h e u re s e t demie, en ia mairie de N eufche l les , p i r le m in is tè re de M ' Malézielix,' no ­taire à Betz , com m is à cet effet, p rocédé à la ven te s u r licitation a u x e n ch è re s pub l iques , au .plus offrant e t d e rn ie r enchérisseiir , à l ’ex tinc tion d es feux, en quatre lots , des im m eub le s d o n t la dési­gna tion su i t

DESIGNATION ET MISES A PRIXDES IMMEUBLES A VENDRE

l ,r lot. — Une Maison sise è N eufche l les , ay an t accès par 1* ro u te na tiona le e t une é table dans une c o u r co m m u n e tan t à la dite m aison q u ’5 d e u x a u t r e s maisons, le to u t ten a n t de tro is cô tés 5 M- André e t d ’un q u a t r i è m e eôté è M™» veu v e Charles . C adas trée sec­tion A. 1287, 1282 p. e t 1283 P- p o u r u n e con ten an ce d ’environ 2 a res 50 cen t ia res .

Mise à p r ix : 3 .0 0 0 francs

2* lot. — Un ja rd in sis à Neuf-chelles , l ieud it le Village, d ’une co n tenance de 2 a res 65 centiares ten a n t d ’u n eôté à M m* veuve Charles , d 'a u t r e oôté au Canal etd ’un b o u t M. Godé. C adas tré sec tion A, n ” 1236 p.

M ise à prix : 6 0 francs

En o u t re des cha rg es , c lau ses e t (“IWlitions énoncées au cah ie r des

d re ssé p a r M» Malézieux, notaire à Betz, e t déposé en son Etude où to u te p e rso n n e p e u t en prendre connaissance, les im m e u ­bles o i -d essu s dés ig n és se ro n t mis en ven te s u r les m ises à prix su s - énonoées fixées p a r le j u g e m e n t précité.

Fait e t réd igé p a r l ’avoué p o u r ­suivant soussigné.

A Senlis , le 9 Août 1923. ' (S igné) : MORAND.

Et e n reg is t ré . _

S'adresser pour les renseigne• mente :

M* G eorges MORAND,Senlis , p o u rsu iv an t la

1” Aavoué à vente ;

E t à M" Fernand MALEZIEUX,notaire à Betz, r é d a c te u r e t d é p o ­sitaire du cah ie r des charges .

A r t . 4.

Etudes de M' G eorges MORAND, avoué à Senlis

et de M» Fernand MALEZIEUX,no ta ire à Betz

4/ente a u x en ch ères p u b liq u e sDE

& P i è c e s d e P r éPlanté de peupliers, plantation

et Clos planté de pommierss i s e s t e r r o i r s de

NEUFCHELLES & VARINFROY

L’adjudication a u ra lieu 1 e Ven­dredi 31 Août 1923 , à treize heures et dem ie, en la Mairie de Neufchelles , p a r le m in is tè re de M» MALEZIEUX, n o ta i re à Betz, comm is à c e t effet.

Fa i t e t réd igé p a r l ’avoué p o u r ­su iv a n t souss igné.

A Senlis , le n e u f a o û t 1923.Signé ; MORAND.

E t e n reg is t ré .

S'adresser pour les renseiane m ents : ' d

A M« G eorges MORAND, avoué a Senlis , p o u rsu iv a n t la v en te ;

E t à M” Fernand MALEZIEUX,no taire à Betz, r é d a c te u r e t dépo si ta ire du cah ie r des charges .

A r t . 5.E tu d e s de M" G eorges MORAND,

avoué à Senlis e t #e M’ Fernand MALEZIEUX,

no ta ire à Betz.

VENTE SUR LICITATIONDE : UN-PETIT

CORPS de FERMEs i s à B E T Z

à l’angle de la Grande Ru«i et de la rue des Jardins

plus amplement désigné ci-après

L ’ad ju d ica t io n a u r a lieu le J e u ­di 30 Août 1923 , à q u a to rz e h e u ­res , en l ’E tu d e e t p a r le m in is tè re de M ” Malézieux, no ta i re à Betz, com m is à ce t effet. •

En exécution d ’u n : ju g e m e n t su r requête re n d u p a r le T r ib u n a l civil de Senlis, Te 19 J u in 1923, e n re ­gistré ;

Et aux re q u ê te , p o u r su i te e t dili­gence de ;

M. Albert Allard, g é r a n t de sc ie ­rie, d e m e u ra n t à M origny ;

T u te u r d e M ” ’ Louise H ecvVeuve (lë M. A m édée Allard. »

P o u r s u iv a n t la v e n te ;Ayant p o u r avoué M" G eorges

Morand, d e m e u ra n t à Senlis .En p ré sen c e ou lui d û m en t

appelé de ;M. Louis Morice, employé de

chemin de fe r , d e m e u ra n t à La Fer té-M ilon ; « S u b r o g é - tu te u r - de- no m m <3 o .

Il se ra , le Vendred i 31 Août 1923, à treize h e u r e s e t demie, en la mairie de N eufche l les , p a r le. m inistè re de Malézieux, n o ­taire à Betz, commis à ce t effet, procédé à la ven te aux e n ch è re s publiques, au p lus offrant e t d e r ­nier e n ch é r is seu r , à l ’extinction des feux, en h u i t lots , des im m e u ­bles don t la dés ignation su i t ;

DESIGNATION ET MISES A PR IX DES IM MEUBLES A VENDRE

T err i to i re de N eufchelles1 " lot. -—, Aux M atiè res , 5 a res

19 cen tiares de' pré , ten a n t d ’un côté à Is idore Hec, d ’a u tr e côté à M"” veuve Coquele t , d ’u n b o u t à Paul ü u g la n d , d ’a u t r e b o u t à Sire , planté de dix pe u p l ie rs de douze ans. C adas tré sec tion B, n° 1193.

Mise à p r ix : 180 francs2” lot. — Au sen t ie r Sa in t-B r i -

co, 3 a res 58 cen t ia re s de p lan ta ­tion, ten an t d ’un côté à Ju l ien L e- nichë, d ’a u t r e a u sen tie r , d ’un b o u t a M. Briee C ha tr ie t , e t d ’a u t r e b o u t 4 M. Gibert de Betz. C adas tré s e c ­tion A, n° 1155.

Mise à p r ix : 120 f ran cs3” lot.- Aux m ines de May, 4

Et M. L o u is -E u g è n e Allard, ctar ~a,-’S£. 08 cen t ia re s de p lan ta tion , t e - ■ ■ — - ■ ” * -■ nunt âu n o rd à Sylvain S a n te r re , du

midi à P ré v o s t , du c o u ch a n t à u n sentier, e t du levan t à M me P i rn - parey, p lan té de qua to rze p eu p lie rs de quinze ans. C ad as tré sec tion A, nos 793 e t 793 bis. ..

Mise à prix : 180 francs

E n e xécu tion d ’u n ju g e m e n t su r r e q u ê te re n d u p a r le T r ib u n a l Civil de Senlis , le d ix -n eu f ju in 1923, e n reg is t ré ; „

E t a u x re q u ê te , p o u rsu i te e t d i ­l igence de :

1° M m* H e n r ie t te -M ar ie M outon- net, d e m e u ra n t à Betz, veUve de M. J u l e s D sr lon ; 2° E t M. F r a n ­çois Derlon, p ro p r ié ta i re , d em e u - a n t a Betz ; « A g issan t au nom et

com m e s u b r o g é - t u te u r fa isan t « fonc tions de tu te u r des m in e u rs « E t i e n n e t te - Ja u q u e l in e Derlon et « A lb e r t - J u le s D erlon ».

P o u r s u iv a n t s la v e n te ;Ayant pour avoué, M ” Georges

M orand , d e m e u ra n t à Senlis .En p ré sen c e ou lui dûment, a p ­

pelé de ; M. S té p h an e Depoilly. a g r ic u l te u r , d e m e u ra n t à E ta - v igny ; « A gissan t au nom e t com- « m e s u b r o g é - t u t e u r a d -h o c des « m in e u rs Derlon, su s - i îo m m é s ».

Il se ra , le Je u d i t r e n te Août 1923, à q u a to rze h e u re s , en l ’E tu d e e t p a r le m in is tè re de M” M alé ­zieux, no ta i re à Betz , com m is à cet effet,, p ro céd é à la v e n te s u r lici­tat ion, aux e n ch è res pub l iques , au p lus offrant e t d e rn ie r e n ch é r is ­seu r , à l ’extinc tion d es feux, ,1e l ’im m euble d o n t la dés ignation su i t :

DESIGNATION ET MISE A PRIXDE L’IMMEUBLE A VENDREUn p e ti t co rp s do fe rm e , sis à.

Betz, à l ’ang le de g ra n d e ru e e t de la r u e des J a rd in s , co m p re n an t : M aison d ’h ab ita t io n é levée su r cave e t so u s -so l de d eux pièces au re z -d e -c h a u s sé e , de d e u x a u t r e s au p rem ier é ta g e ^ g re n ie r au -dessus. A. la suite, une file deb â t im en ts , d o n t p a r t ie donne Grande Rue, r e n fe rm a n t p lu s ieu rs pièces avec g re n ie r a u -d e s s u s . Le to u t c o u v e r t en tuiles. Droit à . une c o u r coinlmuno ex is tan t d e r r i è r e tous ces b â t im en ts et b o rd a n t la Grande Rue, en fond de c e t te c o u r p o r te c o ch è re avec p a ssag e c o u v er t , g ra n g e à droite , hangar , é table , écurie, à gauche , c o u r pa r t icu l iè re avec u n p e t i t b â ­t im en t en ap p en t is e t u n pu its , j a r ­din, au b o u t p a ssag e co m m u n avec M. C ourteau , lo n g ean t la c o u r ot l’é table. L ’ensem ble t e n a n t d ’un côté à la ru e des J a rd in s à MM. L hom m e et Doyen, d ’a u t r e côté à la cour com m une e t M. C ourteau , d ’un b o u t à la g ran d e ru e e t d ’a u ­tre b o u t à M. Doyen. C adas tré s e c ­tion E, n os 33, 36 e t 37 p o û r une co n ten an ce de 9 a re s 35 cen tiares .

Mise à p r ix : 8 .0 0 0 francs

A r -r. T.

H ô p i t a l P r i v é d u C a n t o n d e C r e i l

A D JU D IC A T IO NDES

de C onstructiond ’u n P a v il lo n de C o n ta g ie u x ; d ’u n e B u a n d er ie -M éc a n iq u e h y g ié n iq u e ; d e t r a v a u x de t r a n s fo r m a t io n d e l ’h ô p ita l a c tu e l ; d ’a m é n a g e m ô n t d ’un s e r v ic e d ’e a u x ; É g o u ts ; É p u r a t io n b io lo g iq u e , e tc ...

travaux a ôxecuter à l'hôpital, me soumets et m ’o b l ig e à e x é c u t e r lesdits t r a v a u x , m o y e n n a n t u n rabais de p o u r cent sur l e sprix portés à la s é r i e d e la S o c ié té Centrale des Architectes, é d i t io n 1 iU'2, a v e c les ' coeff ic ien ts en c o u r s ; et je m’oblige, en outre, à l ’e x é c u ­tion des clauses et conditions d e s cahiers des charges, dont j'ai p r i s également connaissance.

A Creil, le 20 août 1923.(S ignature)

234.611 fr. 49

Lo L u n d i 2 7 A o û t 1 9 2 3 , i15 heures, à l’hôpital, il sera pro cédé, par M. le Président de la Commission administrative, as­sisté de deux membres, en présence Yi Receveur de l’hôpital et* de

M. Mahon Henri, architecte à Creil à l'adjudication au rabais, sur sou mission cachetées, des travaux ci-après désignés, suivant le devis dressé par M. Mahon et s'élevant à la somme de 53 7 .2 2 0 fr . 4-1, savoir :Terrasse, Maçonne­

rie, Ciment aTmé Egouts etEp'uration

Biologique ........Charpente et Esca­

liers .................Couverture et Plom­

berie .....................M enuiserie.. . . . . . .Terrazzolith........Serrurerie et Quin­

caillerie. ............Peinture e t V itrerieFum isterie .-.Chauffage cen tral et

Serv. eau chaude.

29.140 fr. »

47.770 fr. 81

61.627 fr. 1130.435 fr. 6213.044 fr. »

27.392 fr. 4149.897 fr. 97

8.310 fr. »

35.000 fr. »537.229 fr. 41

N o t a . — Pour les lots suivants : Epuration Biologique ; Terrazzo­lith ; Fumisterie ; Chauffage cen­tral et Service eau chaude, les c o n c u r r e n t s s o n t p r i é s de f o u r n i r un projet avec les conditions de prix, et le projet le mieux étudié et le plus avantageux sera adopté.

Les chiffres portés au projet ne sont qu’une prévision.

En o u t re des c h arg es , c lauses e t condit ions énon cées au cah ier des c h a rg e s d re s sé p a r M* M alé ­zieux, no ta i re à Betz e t déposé en son E tu d e où to u te pe rso n n e p eu t en p re n d re connaissance, l ’im m e u ­ble c i -d e ssu s désigné se ra m is en v e n te ’ s u r la m ise à prix su s -én o n - çée fixée p a r le ju g e m e n t p réci té .

4” lot. — Au g ra n d S u re t , 13 a res 99 cen t ia re s de p lanta tion , t e ­nant d ’un bout aux biens c o m m u ­naux, d ’a u t r e bout à MM. Hec et Angot, planté de vingt e t u n p e u ­pliers. C adas tré sec tion B, n° 1341 P-

"Mise à prix : 280 francs

5e lot. — Au chem in de Beauval,9 a res 35 cen t ia re s dè clos, ten an t d ’un côté o r ien t aux h é r i t ie rs D u ­bois, d ’a u t r e côté à Alaxis B ou- vrande, d ’un b o u t nord au elle min, d ’a u t r e b o u t à p lu s ieu rs , planté de pom m iers . C adas tré se c ­tion B, n° 1082 p.

Mise à prix : 400 francs

Territoire de Varinfroy

6* lot. — Dans la prair ie de V a­rinfroy, 9 a r e s 3 1> cen t ia re s de plantation, ten a n t d ’un cô té o r ien t M. P révos t , d ’a u t r e côté à Mm* L e- guere, d ’un b o u t à M. Ja c q u e s Jean , e t d’a u tr e b o u t a u g ra n d fossé d ’é- gout du m ara is , p lan té de v in g l-a x -n e u n l ic r s .

Mise à prix : 900 francs

7e lot. —. Au chem in du port , 2 a res 55 cen t ia re s de p lan ta tion , te - , nan t d ’un cô té à M. Badus, d ’a u tre côté au sen t ie r du P o r t , d ’u n b o u t nord o u e s t au sen t ie r , et d ’a u t r e b ou t au x r e p ré s e n ta n t s F landre , non planté .

Mise 4 prix : 6 0 francs

8 ” lot. — Au sen t ie r de la F o n ­taine, 2 a re s 53 cen t ia re s de p lan ­tation, ten a n t d ’u n b o u t à S a n te r re , d ’a u t r e b o u t à T h éo d o re Bernot, d un côté au S en t ie r e t d ’a u t r e côté à P ré v o s t , p lan té de n e u f p eup lie rs

Mise à prix ; 1 2 0 francs

Fai t e t réd igé p a r l ’avoué p o u r ­su iv an t souss igné .

A Senlis , le n e u f ao û t 1923.Signé : MORAND.

E t e n reg is t ré .

S ’adresser pour les renseigne­m ents :

A M" G eorges MORAND, avoué à Senlis, p o u rsu iv a n t la ven te ;

Et à M» Fe rn an d MALEZIEUX,n o taire à Betz, r é d a c te u r e t d é p o ­s itaire d u cah ier des charg es .

A r t . 6.

DEUXIEME INSERTION

FONDS de BOULANGERIEP aris - Banlieue - Province

G O U P IL , G I B I E R P è r e Fils LflFOHS & BARILLÈRE

4 2 , R u e d u L o u v r e , 4 2 P A R I S

Téléphone : Central 59-30

En ou tre des cha rges , c la u se s et conditions ênonçées au cah ier des charg es d re s sé pa r M* Malézieux, notaire à Betz. et déposé en son Etude, où to u te p e rso n n e p e u t en

Suivant acte sous signatures privées en date du 17 juillet. 1923, M. Alfred-Vietor MÀ1LLIER et Mme Louise-Alphonsiue R1DET, son épouse assistée e t'au to risée , ont vendu leur fonds 'de bou ­langerie situé à VAU MOISIR (Oise), e t cédé le droit au bail des lieux où est exploité ledit fonds à M. Maurice-Gustave HAUTION et à Mme Fidélie- Uranie DUQUE NOIS, son épouse assistée et au torisée, qui sont en possession.

Les oppositions seront reçues pour la validité au fonds, entre les mains des acquéreurs dans les dix jours qui suivront la présente publication et pour la correspondance entre les màlus de Messieurs :GQUPIL, GIBIER Père e t Fils

LAFONS et BARILLÈRE42, Rue du Louvre, PARIS.

5147

L'entrepreneur sera soumis à toutes les charges, clauses et conditions générales du cahier dos charges imposées aux entrepre-

eurs do travaux communaux, ressé par M. le Préfet de l’Oise,

le 24 septembre 1863, et de celui des charges particulières dressé par l’architecte.

Nul ne sera admis à concourir à adjudication s'il n’a h-s qualités equisos pour entreprendre les

travaux et en garantir la parfaite exécution. En conséquence chaque concurrent sera tenu de produire sous une prem ière enveloppé ca­chetée : 1° un certificat sur papier im bré, délivré p ar un architecte

attaché à un service public ou membre d'une Société d’Archi- tectes, constatant son aptitude à exécuter lesdits travaux, ce certi­ficat ne devra pas avoir plus de six mois de date ; 2” l’engagement de déposer, à titre de garantie, k la Caisse de l’Hôpital, une somme égale au trentième de son adjudi­cation. Chaque concurrent pro­duira en outre, sous une seconde enveloppe cachetée, une soum is­sion rédigée sur papier tim bré et conforma au modèle ci-dessous ; elle devra porter un rabais do tant pour eem sur les prix portés aux devis et bordereau.

Chaque envepoppe déposée por­tera le nom du soumissionnaire.

L’entrepreneur devra se confor­mer pour le commencement (les travaux et leur délai d’exécution aux ordres qui lui seront donnés par M. l’Architecte,

Les neuf dixièmes du montant des travaux seront payés à l’entre­preneur à l'achèvement de tous les corps d’état.

La réception définitive des tra ­vaux n’aura lieu qu’un an après la réception provisoire qui sera faite aussitôt après l’achèvement des­dits travaux.

Les paquets reront reçus ca­chetés, deux heures avant l'adju­dication. Ils seront rangés sur le bureau et recevront un numéro dans l’ordre de leur présentation.

A quinze heures le prem ier ca­chet sera rompu publiquement, et il sera dressé un état des pièces contenues sous ce prem ier cachet. L état dressé, lés concurrents se retireront de la salle d’adjudica­tion, et le Président, après avoir consulté la Commission d’adjudi­cation, arrêtera la liste des concur- ents agréés.

Immédiatement après, la séance redeviendra publique, le Président fera connaître la décision de la Commission ; les soumissions se­ront ouvertes publiquement, et les soumissionnaires qui auront fait les offres d 'exécuter les travaux aux conditions les plus avanta geuses, seront déclarés adjudi­cataires.

Dans le cas où plusieurs concur­rents offriraient le même rabais, si ce rabais est lo plus fort de ceux offerts, il sera procédé immé­diatement entre eux à une adju­dication au rabais do manière à donner la préférence à celui qui offrira lo rabais le plus élevé. Si aucun des concurrents ne voulait augmenter son rabais, le Président choisirait parmi eux celui qui sera adjudicataire.

Lorsqu’un certificat de capacité n’aura pas été admis, la soumis sion qui l’accompagnera ne sera pas om erte.

Les frais relatifs k l'adjudication seront payés comptant par les en­trepreneurs. Ces frais ne seront autres que ceux d’affiches, tim bres ot enregistrem ent du procès ver­bal, copie des plans, devis esti­matifs, bordereaux et cahiers des .charges.

Les entrepreneurs pourront prendre connaissance tous les jours, les samedis après-midi, les dimanches et fêtes exceptés, des .plajis.devis estimatifs, bordereaux et cahiers des charges, au bureau de 1 Architecte, à Creil.

Fait k l’hôpital de Creil, le 30 juillet 1923.

Le Président de la Commission administrative,

P a u l D r s a d i e .

A r t . 8.

E tu d o de M " L o u i s E S C A V Y ,av o u é , d o c t e u r e n d ro i t ,

» r ue d e V i l l e v e r t , S e n l i s (Oise).

Assistance Judiciaire du 23 A vril 1920.. %

DIVORCE

D’un jugem ent rendu par défaut par lo Tribunal civil de prem ière instance de Senlis, en date du vingt et un décembre rail neuf cent vingt, enregistré, confirmé par arrêt contradictoirem ent rendu par la Cour d'Appel d’Amiens, en date du vingt sept mars mil neuf cent vingt-deux, également enre­gistré.

J 'd tre : Madame Ëmilfe-Marie MENOUX, domestique, épouse de Monsieur VAN WYNSBERGHE, domiciliée de droit avec ce der­nier, mais résidant de fait à Paris, 6 , rue de Comaille, chez Madame Brotschy.

Demanderesse comparant par M» Escavy et appelante par M® Sauvage, avoué à Ta Cour.

D’une part ;E t : Monsieur Itémy VAN WINS-

BERGHE, ouvrier d usine, demeu­rant k Chantilly, quai de la Canar- dièrë, n° 17, chez M. Lagrange.

Défendeur défaillant et intimé comparant par Me Bellenguez, avoué à la Cour ;

D ’a u t r ë pari, .Il appert :

Que le divorce a été prononcé 'entre les époux VAN YVYNS-

BERGIIE-MËNOUX, k la requête e t au profit de la feriitne avec toutes suites et conséquences de droit.

Senlis, le 4 août 1923.Pour M* ESCAVY avoué.

194 MORAND.

Art . 9.

GÉRALD & MASSERONS P I R IT U E U X

BUREAUX i 1, Grand Préau — Halle aux Vins — Télép. 47.13.

CHAIS : 25, 31, 49, 51. Butte de la Loire — Halle aux Vins.

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9, r u e d e la Côte- d’Or - Halle aux Vins Téléph. Gobelins i(5.9*6'.

ÉTA BLISSEM EN TS RÉUNIS DES GRANDS VINS ET SPIRITU EUX

Société A nonym e au capital de 5.000.000 de francs

SUCCESSEUHS

Suivant actes sous signatures privées en date à Plailly, le 4 août 1923, Monsieur et Madame TEXIER, dem eurant à Plailly, 10, rue de Paris, ont vendu à Madame veuve CARMAGNAC (Claudine), dem eurant k Meudon, 4 bis, rue du Val, le fonds de com m erce de : hô tel - v ins - r e s ta u r a n t- tabac, sis k Plailly, 10, rue de Paris.

Domicile est élu au Service Commercial des Etablissements Réunis des Grands Vins et Spiri­tueux, Société anonyme au capital de 4.000.000 de francs. Siège so­cial ; 1, Grand Préau (Halle aux Vins).

Les oppositions seront reçues, jusqu’au dixième jour après la seconde publication, chez Madame veuve CARMAGNAC, 10, rue de Paris, à Plailly.

Pour extrait :5230 MASSERON.

Art. 10.

M aurice MARFAINGMembre de la Cie des Hommes

d’Affaires du Département de la Seine

8 , Rue de T urb igo , 8 - PARISTélép. Central 01-05

Gutenberg 62-68

DEUXIÈM E PUBLICATION

Suivant acte s. s. p. en date du 23 juillet 1923, la Société en nom collectif « GROSNON et Fils », dont le siège social est k Monta- taire (Oise), 10, rue Meftian,

A vendu le fonds de com m erce de v in s-liq u eu rs-c in ém a to g ra - phe., exploité audit liou,

A la Société en nom -collectif « DE GREEF & GAULTIER », dont le siège social est à Monta- taire (Oise), 10, rue Mertian.

Pour la validité, domicile est élu au fonds vendu, e t pour la correspondance et les oppositions, 8 , rue de Turbigo, à Paris, au Cabinet du soussigné, dans les dix jours de la présente publi­cation.51G6 Maurice MARFAING.

M O D È L E DE S O U M I S S I O Nà fa ire s u r p ap ie r tim b ré

Je soussigné (nom, prénoms, profession, dom icile), après avoir pris connaissance des devis et bordereau dressés par M. HenriM îhon, architecte, couceruaut les

A r t . H .

H A R D Y & Gio71 , Rue Saint-A ntoine - P a ris

PREMIÈRE PUBLICATION

Suivant acte sous signatures privées, Monsieur CAP (René) e t son épouse qu’il autorise, née GASPARD (Marceline),

Ont vendu leur fonds de v ln s- liq u eu rs-tab ac . sis à Crépy-en- Valois, 28, rue Nationale,

A Monsieur MELIN (Adrien), et sou épouse qu’il autorise, née Amélie PRIN ET, demeurant k Fismes (Marne), route de Merval.

Oppositions reçues dans les délais légaux- chez les mandataires soussignés et pour la validité au fonds de I'acqUéreur.5211 HARDY et C1*.

T

Page 4: 4 LE COURRIER DE .L’OISEüiiasaeü» ip Ae*t teggbmsenlis.com/data/pdf/js/1923-1924/bms_js_1923_08_19_MRC.pdf · joli motif de récrimination elle eût four

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Ar t . 1?,

Etudes de M*® BOILET et SOURDEL

notaires à Pont-Sainte-Maxence.

PREM IERE INSERTION

Suivant procès-verbal d'adjudi cation dressé par M®’ Boilet et Sourdel, le 30 juillet 1023, M. et Mme VASSEUR-MANSART ont acquis le fonds de com m erce de café sis à Pont-Sainte-Maxence, 4, place Saint-Pierre, et dépen­dant de la succession de Mme GIRAUT.

' Lesfaites eu x ______ _dans les dix jours de la deuxième insertion.

S ig n é :5204 BOILET et SOURDEL

Etude de M* Louis ESCAVYdocteur en droit, avoué

• à Senlis, 7, rue de V illevert.Vente sur surenchère du sixième

au plus offrant e t dernier enché­risseur, en 2 lots, de : une Mai­son sise à Chantilly, rue de la Faisanderie, n* 11 (libre de loca­tion) ; u n e a u tre Maison sise à Chantilly, rue de la Faisanderie, n° 9 (libre de location). L’adjudication, aura lieu le MARDI

28 AOUT 1 0 2 3 ,à n e u f heures du m u tin , en l’audience des criées du Tribunal civil de Senlis, au Palais de Justice de ladite ville, place Notre-Dame.

j i .oppositions devront être

en 1 Etude de M® BOILET,

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Etudes de M' Louis ESCAVYdocteur en droit, avoué à Senlis

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adm inistrateur de l'Etude de feu M® ROBERT, notaire

* - à Baron.Vente sur licitation, aux en­

chères publiques, de : une Maison sise à Montlognon (Oise), Grande Rue, et U Pièces de Ja rd in , P ré e t T e rre , terroirs de Montlo­gnon, Fontaine-Chaâlis e t Baron.

L'adjudication aura lieu le Sam edi 18 Août 1 9 2 3 , à 14 heures, à Baron, en l’Etude de feu M" ROBERT, par le ministère de M' GAZEAU, notairefà Senlis, cammis à cet effet.

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à M* D elim o g es commissaire- priseur, 14, rue de Beauvais, à Senlis. — Téléphone 150.

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Etudes de M‘ Lucien CHASTAINQ,avoué à Senlis

et de M* PETIT, notaire A Senlis.

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L’adjudication aura lieu le Sa­medi 26 Août 1823, à 14 heures, en la Mairie de la commune d’Apre­mont, par le ministère de M* PETIT, notaire à Senlis, commis à cet effet, en présence de M' BARBIER, notaire à Greil.

Etude de M= M a u ric e L E N O IRhuissier à Senlis.

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Consulter ou demander affiche à M® HETROY, huissier à Betz chargé de la vente. 5197

Etudes de M* CHASTAING,avoué-agréé à Senlis,

et de M* LOUAT, notaire à SenlisA vendre aux enchères publi

ques, un Fonds de Com m erce d’Epicerie Fine, Confiserie, Vins F ins e t A rtic les A nglais, exploité a Senlis, rue dé l’Apport-au-Pain n° 2) par M. E. Juge. L’adjudication aura lieu le MARDI

21 AOUT 1 9 2 3 , à quatorze heures trente, en l’Etude et par le ministère de M* LOUAT, no laire à Senlis, commis à cet effet,

Etudes de Me» LOUAT et LANGLOISnotaires à Senlis.

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Consulter le cahier des charges, tous les jours, au Secrétariat de la Mairie.51 <)3 Le Maire, A. CARLIER.

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