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FICHE ENSEIGNANT UN FILM POUR TOUS 2011/12 - Cycle 2 4,5,6 MELIE PAIN D’EPICES Un programme de 4 courts métrages / France / 2010 / 51 min Ancré dans un Moyen Âge enchanteur, Mélie Pain d’épice est la suite de 1, 2, 3 Léon qui s’inspirait du conte traditionnel provençal Jean de l’Ours. Parées de magnifiques enluminures médiévales, les aventures savoureuses de cette princesse pimpante et dégourdie donne leur nom à ce programme de quatre courts métrages. Il se compose de La Leçon de natation (les premiers pas de Jonas à la piscine municipale), Tôt ou tard (l’histoire d’un amour impossible entre un écureuil et une chauve-souris) et Le Joyeux petit canard (l’amitié improbable entre le fils d’une fine cuisinière de magret, et un canard affectueux). Quatre univers, quatre films, petits par leur durée mais grands par leur personnalité et leur richesse graphique. 4,5,6 Mélie pain d’épice, c’est quatre fois la preuve réjouissante de la bonne santé de l’animation française, et pour les jeunes spectateurs une parfaite initiation à la diversité de ton et de style du cinéma d’animation. Les thèmes et motifs du programme Si chaque court métrage peut être apprécié individuellement, on pourra regrouper ces quatre films autour de plusieurs thèmes, l’amitié bien sûr mais aussi la découverte du monde et l’acceptation de la différence. Ce programme est riche de la polyvalence des techniques d’animation (à plat, en volume, papier découpé), et des textures (aquarelle, pastel, image de synthèse). Enfin, des motifs de mise en scène permettront de tisser un lien entre chaque film du programme. On pourra ainsi travailler sur la notion de mécanique ou d’engrenage, sur les espaces contraires et complémentaires (dessus / dessous, à plat /en volume, visible/ caché), sur la notion de théâtre (Le printemps de Mélie, Le joyeux petit canard avec sa scène, ses spectateurs et son conteur)et sur le temps avec la chronologie des saisons, le temps au cinéma qui s’accélère (travail sur la notion d’ellipse) ou parfois se bloque, comme dans Tôt ou tard.

4,5,6 Mélie pain d'épice

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4,5,6 Mélie pain d'épice

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FICHE ENSEIGNANT UN FILM POUR TOUS 2011/12 - Cycle 2

4,5,6 MELIE PAIN D’EPICES Un programme de 4 courts métrages / France / 2010 / 51 min

Ancré dans un Moyen Âge enchanteur, Mélie Pain

d’épice est la suite de 1, 2, 3 Léon qui s’inspirait du

conte traditionnel provençal Jean de l’Ours . Parées

de magnifiques enluminures médiévales, les

aventures savoureuses de cette princesse pimpante

et dégourdie donne leur nom à ce programme de

quatre courts métrages. Il se compose de La Leçon

de natation (les premiers pas de Jonas à la piscine

municipale), Tôt ou tard (l’histoire d’un amour

impossible entre un écureuil et une chauve-souris) et

Le Joyeux petit canard (l’amitié improbable entre le

fils d’une fine cuisinière de magret, et un canard

affectueux). Quatre univers, quatre films, petits par

leur durée mais grands par leur personnalité et leur

richesse graphique. 4,5,6 Mélie pain d’épice , c’est

quatre fois la preuve réjouissante de la bonne santé

de l’animation française, et pour les jeunes

spectateurs une parfaite initiation à la diversité de ton

et de style du cinéma d’animation.

Les thèmes et motifs du programme

Si chaque court métrage peut être apprécié individuellement, on pourra regrouper ces quatre films

autour de plusieurs thèmes, l’amitié bien sûr mais aussi la découverte du monde et l’acceptation

de la différence . Ce programme est riche de la polyvalence des techniques d’animation (à plat,

en volume, papier découpé), et des textures (aquarelle, pastel, image de synthèse). Enfin, des

motifs de mise en scène permettront de tisser un lien entre chaque film du programme. On pourra

ainsi travailler sur la notion de mécanique ou d’engrenage , sur les espaces contraires et

complémentaires (dessus / dessous, à plat /en volume, visible/ caché), sur la notion de théâtre (Le

printemps de Mélie , Le joyeux petit canard avec sa scène, ses spectateurs et son conteur)et sur le

temps avec la chronologie des saisons, le temps au cinéma qui s’accélère (travail sur la notion

d’ellipse) ou parfois se bloque, comme dans Tôt ou tard .

LA LEÇON DE NATATION Un film de Danny de Vent / France /9 min / 2008 / P apier découpé et 3D

▪ L’histoire

Jonas, cinq ans, s’apprête à suivre son premier cours de

natation. Alors qu’il tente de fuir cet endroit qui l’effraie, il

tombe dans le grand bain. Retenu à flots par ses

brassards, Jonas découvre la piscine, lieu chaotique

peuplé d’étranges créatures. Dans cet espace inconnu

qu’il va falloir appréhender, Jonas devra seul trouver sa

place et ressortira de cette expérience grandi.

▪ La question du point de vue

En moins de 10 minute, cette leçon de vie nous fait partager le parcours semé d’embûches d’un

personnage haut comme trois pommes qui va expérimenter tout un panel d’émotions , de la peur de

l’inconnu au plaisir du jeu, avant de conquérir ce nouvel espace. De fait, l’histoire est uniquement

racontée du point de vue de l’enfant . Lorsqu’il se déplace, tout se situe à son niveau : les adultes

sont coupés au niveau des cuisses ou du bassin, la vision en contre-plongée induit un sentiment

d’inquiétude et de domination mais aussi d’émerveillement (lorsque Jonas, flottant sous le plongeoir,

regarde "le saut de l’ange" au-dessus de sa tête, avec un ralenti à la mesure de sa fascination).

▪ Un espace sonore à la mesure de l’angoisse de Jon as

Film quasiment sans paroles à l’exception d’un seul « maman !» en tout début, La leçon de

natation utilise tout le potentiel sonore du décor pour traduire les sentiments de Jonas , de

l’angoisse initiale à la possession de ce nouveau territoire. On entend ainsi les voix étouffées des

nageurs (rires, cris), les pas sur le carrelage, et un ensemble de bruits aquatiques (plongeons,

éclaboussures, clapotis) familiers à tous les nageurs. La bande son adopte également le point de

vue sonore de Jonas avec de réguliers changements de perception auditive parfois dans l’eau

(bruit sourd et étouffé) et sur l’eau (l’effet d’écho), nourrissant ainsi la forte connivence entre le

spectateur et l’apprenti nageur.

▪ Une technique d’animation mixte

La technique employée par Danny De Vent est un savant mélange entre l’artisanat et la 3 D. Le petit

Jonas, tout en pastel et papier découpé, est ainsi perdu dans l’univers froid de la piscine, unique

décor animé et dessiné à l’aide de la technologie 3D qui accentue les effets de réfraction. Cette

opposition de texture entre la chair rose de l’enfant et le rendu lumineux et métallique de l’eau

alimente le sentiment d’étrangeté et d’angoisse.

▪ Découvrir, grandir, trouver sa place : une réflex ion sur l’autonomie

Cette piscine est décidément habitée par de drôles de créatures : on y croise aux côtés de Jonas une

nageuse à deux têtes (qui cache en fait deux soeurs jumelles), un nageur mutique qui avance

inexorablement tel un cachalot, des plongeurs magnifiques, grands ou petits, gros ou maigres. La

piscine est le lieu de la découverte des corps et d e leurs différences . Dans cet espace

démesuré, tout est nouveau, tout est inquiétant, y compris les jeux des enfants au bord de la piscine

que Jonas regarde avec effroi. Lorsqu’il tombe à l’eau, on ne peut s’empêcher pendant quelques

secondes d’imaginer le pire. Mais le garçon se ressaisit vite. Après un premier moment de panique, il

se calme, maîtrise lentement ses gestes et sa respiration pour dépasser la ligne de flottaison et nous

donne par la même une véritable leçon de natation ! La tension tombe enfin lorsque, croyant

s’agripper au bord de la piscine, Jonas attrape et fait glisser le maillot d’un homme sous les rires et

les applaudissements des autres nageurs. Au terme du récit, fort de cette tumultueuse expérience qui

l’aura fait grandir, il rejoindra les bras protecteurs de sa maman.

TOT OU TARD Un film de Jadwiga Kowalska / Pologne / 5 min/ 2007 / aquarelle sur papier découpé

▪ À la rencontre de l’autre

Un écureuil et une chauve-souris solitaires partagent les

branches d’un même chêne, vénérable arbre du temps

régi par une mécanique souterraine, l’un le jour, l’autre la

nuit sans jamais se rencontrer. Jusqu’à ce qu’un gland se

glisse dans la mécanique et la bloque. A moins que ce

grain dans la machine ne soit l’amitié improbable entre ces

deux personnages l’un nocturne et l’autre diurne . Leur rencontre met littéralement le monde

sens dessus dessous : le monde se retourne, et le chêne tête en bas se retrouve noyé sous la

montée des eaux. Alors que nos deux amis malmènent la mécanique qui régit le temps pour

retrouver le fruit glissé dans les crans de l’engrenage, dehors, c’est la tempête ! Le cycle des

saisons devient fou et lorsque le cours du temps reprend son rythme normal, le petit l’écureuil

enraye cette fois ci volontairement la machine pour retrouver son voisin nocturne.

▪ Un temps bouleversé

Cette fable sur l’amitié qui transcende toute les différe nces est aussi une très belle réflexion sur

le temps . Les deux espaces temps, nocturne et diurne, sont reliés par le chêne, lieu de rencontre

entre les deux espèces qui abrite dans ses racines un étrange engrenage : celui du temps. Celui-ci

est représenté comme une mécanique dont les rouages ont chacun une fonction spécifique : l’un

gère l’alternance jour/nuit, l’autre fait pivoter l’arbre sur son axe, tandis qu’un troisième influence la

météo et fait pleuvoir. La rencontre des deux amis bouleversera le temps dans tous les sens du

terme, météo et chronologie . Entre le jour et la nuit, cet écureuil et cette chauve souris choisiront le

joli compromis du crépuscule, ce temps « entre chien et loup », mi jour, mi nuit. Faire l’expérience

de l’altérité tout en respectant sa propre nature , voilà le très beau message que distille la

réalisatrice polonaise Jadwiga Kowalska avec son dessin au crayon simple et naïf qui parlera aux

tout petits.

LE JOYEUX PETIT CANARD Un film de Gili Dolev / Grande Bretagne/ 9 min/ 20 08 / 3D numérique et

gouache sur papier

▪ L’histoire

Bienvenue dans un livre en volume , un livre « pop up » ,

pour une animation folle qui conte l’amitié improbable

entre un canard farceur et un enfant dont la mère,

cuisinière au bien nommé restaurant familial « The Happy

Duckling », aimerait bien passer ce nouvel ami à la

casserole !

▪ Un film qui s’ouvre et se referme comme un livre

Le premier plan du film nous offre un travelling-avant énigmatique vers un livre « The happy

Duckling » posé sur un rebord de fenêtre. Une feuille de platane vient délicatement ouvrir ce livre qui

s’avère être un livre en volume dont les décors se déplient soud ainement , faisant apparaître nos

deux héros. Dans ce livre animé dit livre « pop up », il suffit de tirer sur une languette et hop, un

décor apparaît, un œuf se brise, une échelle se déplie. On pourra apporter en classe un livre pop up

et découvrir avec les élèves le principe de ces livres magiques en volume dont la mécanique,

l’esthétique et le principe d’apparition/disparitio n sont employés par le réalisateur Gili Dolev qui

s’amuse avec toutes les possibilités du pop up.

▪ La technique d’animation

Pour conter cette histoire, Gili Dolev opte pour une animation de personnages en papier découpé

qui évoluent dans un univers en volume. Jouant sans cesse entre la 2D du papier plié et la 3D des

décors , il rend un très bel hommage au livre animé avec des personnages qui évoluent de page en

page, de décors en décors, dépliant sous nos yeux la lande anglaise comme un formidable mini

théâtre dans lequel évoluent nos marionnettes de papier.

Les tracés du dessin ont été faits au crayon, pour être ensuite numérisés et mis en couleur. La

majorité du travail de composition et de matière a été réalisée ensuite par ordinateur. Les décors et

personnages plats et pliés sont ainsi sans profil . Gili Dolev joue de cette platitude pour créer des

rebondissements fantaisistes lorsque par exemple l’enfant se glisse dans la fente du portail, ou

encore lorsque son absence de volume lui évite d’être écrasé par la grande roue. Tout comme le

lecteur du livre animé qui doit agir manuellement pour dérouler le récit, le petit héros du Joyeux petit

canard est maître du récit puisque c’est lui qui décide de faire avancer ou pas l’histoire en activant

lui-même les tirettes qui animent le décor et en décidant de passer d’une page à l’autre.

▪ Référence au cinéma burlesque

Puisant dans la veine burlesque, Gili Dolev enchaîne les effets expressif des visages et des

mécanismes pour initier rythme, compréhension et bien sûr sourire autour de cette amitié improbable.

On pourra ainsi s’amuser à retrouver tous les motifs du cinéma burlesque (film muet, course

poursuite, monde sens dessus dessous, détournement des décors…).

Plus généralement, on pourra tisser des liens entre ce court métrage et Le printemps de Mélie

autour de l’objet livre (animé, avec des enluminures) et du conte. L’amitié improbable entre deux

protagonistes que tout oppose et le jeu sur les mécanismes et les engrenages des languettes

fait, quant à lui, écho au délicieux univers de Tôt ou tard de Jadwiga Kowalska.

LE PRINTEMPS DE MELIE Un film de Pierre-Luc Granjon / 28 min/ 2009 / anim ation en volume

4,5,6 Mélie pain d'épice fait suite à 1,2,3 Léon , au

programme du Plan Ecole et Cinéma cette année dans

le Gers. Cette saga moyenâgeuse peut être vue

séparément, car même si les films s’enrichissent les

uns les autres, il n’est pas nécessaire d’avoir vu 1,2,3

Léon pour apprécier et comprendre 4,5,6 Mélie pain

d'épice. On retrouve ainsi les personnages de l’Hiver de Léon évoluant dans la même cité

médiévale: pour devenir Roi de la fête à la place de Léon et épouser sa Reine, qui n'est autre que la

princesse Mélie, Boniface le conteur va rendre Léon, l’enfant ours, responsable de la terrible

épidémie des ventres qui gonflent, une maladie qu'il a en réalité lui-même provoquée en

empoisonnant l'eau de la rivière.

▪ Animateur, un travail de titan !

Le tournage du Printemps de Mélie a duré 4 mois avec 4 animateurs. La technique employée est

celle du stop motion (vue entre autres dans Les Noces funèbres, Wallace et Gromit, Komaneko,

Max and Co ) qui consiste à animer chaque personnage, accessoire, élément du dé cors, image

par image pour un résultat de 6 secondes de film pa r jour et un total de 37 440 images (pour 26

minutes de film). Les effets de flamme, le vol des abeilles, la pluie de boudinettes (fleur médicinale)

ont été réalisés sur ordinateur puis incrustés dans le décor (on appelle cela le compositing ).

▪ Une enquête policière sur fond de carnaval

La carnaval en tant que fête, rite, symbole, sert de trame à l’histoire de Mélie. C’est un jour unique,

un jour de fête durant lequel il est permis de faire tout ce qui est interdit le reste de l’année. Le roi

devient sujet, les sujets sont couronnés, on se travestit, on se dissimule, on renverse toutes les

hiérarchies pour finalement brûler monsieur Carnaval au milieu de la place et célébrer ainsi l’arrivée

du printemps.

▪ Enluminures et fable moyenâgeuse

La notion d’espace au Moyen age n’est pas une réalité naturelle mais une construction sociale.

Pierre-Luc Granjon adopte cette construction et joue sans cesse avec la frontalité de l’espace . Il

pratique un savant irrespect des règles de perspective et nous propose un monde vu de face .

Les personnages sont doublement encadrés, par le cadre de la caméra mais aussi par celui des

enluminures qui place chaque scène dans un écrin éclatant. Comme sur les parchemins enluminés,

les couleurs viennent révéler les formes : bleu roi, rouge sang, effet de lumière (comme ce

magnifique lever de soleil sur le champ de boudinettes). La musique médiévale accompagne enfin

les fêtes de Baltazarville, nous plongeant avec allégresse dans l’esthétique mais aussi la narration

des fabliaux du Moyen Âge . N’oublions pas que Léon, fils d’un ours et d’une humaine, est un

personnage inspiré de la légende de Jean de l’ours , personnage légendaire du pays d’Oc né des

amours d’un ours et d’une bergère.

▪ Un conte comme une pièce jouée

Durant tout le film, la caméra placée face aux décors nous donne l’étrange illusion de pénétrer un

véritable théâtre de marionnettes ; on pourra noter les entrées et sorties des personnages, les

décors que l’on anime bruyamment avec des manivelles, les ressorts du théâtre de marionnettes.

Le personnage de Boniface le conteur affirme dès les premières secondes la matière théâtrale du

film : face caméra, il énonce le contexte (le carnaval pour fêter la fin de l’hiver) puis de narrateur se

transforme en acteur en se grimant avec un drôle de postiche. Comme tous les autres personnages,

il est fait de plasticine, ( environ 15 cm de haut). La forme biscornue et anguleuse de son visage

traduit sa nature mauvaise et son goût du pouvoir. D’ailleurs, avant de s’imaginer roi, ne se prend t-il

pas pour le metteur en scène, actionnant la manivelle en bois qui fait défiler les décors ?

▪ Jeu de mots : une histoire de ventres et de bidon

Il est beaucoup question de bidon et de bide dans ce Printemps de Mélie , au sens propre comme au

figuré : Boniface se rêve en roi Bidon , Mélie recueille de la boudinette pour soigner les ventres qui

gonflent, tandis que le roi du Carnaval se prénomme Bidodus . Ces jeux de mots savoureux autour du

bide et du bidonnage (référence à la duplicité de Boniface et à l’expression « se bidonner de rire »)

accompagnent une succession de chants et de textes rimés . Ainsi, le Printemps de Mélie compose

une symphonie joyeuse entre hommage aux fabliaux et conte moderne, avec son roi qui pète et son

héroïne intrépide qui n’attend pas son prince pour venir la sauver. Le film est à l‘image de Mélie. Aussi

bien dans les couleurs que dans le découpage, les voix et l’animation, il est plein d’énergie. Un

dynamisme tout féminin qui s’oppose à la méchanceté de Boniface et à la bêtise du roi Balthazar,

monarque peureux, incapable de gouverner, et sujet à de fâcheuses pertes de mémoire.

Avant la séance quelques idées d’ouvrages

Autour de TOT OU TARD Le temps chez Gallimard jeunesse, dans la collection mes premières découvertes (à partir de 4 ans)

A l’aide ! Une histoire d’amitié d’Holly Keller aux éditions kaléidoscope (à partir de 4 ans)

Autour du JOYEUX PETIT CANARD

Lecture d’un livre pop up et tout particulièrement ABC 3D de Marion Bataille

Autour du PRINTEMPS DE MELIE

Album pour enfants Jean de l’ours dans « Les plus beaux contes de Provence », éditions terre de brume

Le carnaval, la fête à l’envers , collection Découvertes chez Gallimard

L’hiver de Léon (DVD Folimage)

L’album Le printemps de Mélie est disponible aux éditions Nathan

Un film pour tous - année scolaire 2011/2012

Mon premier film

Son titre ________________________________

Composé de 4 courts métrages 1__________________________________________

2__________________________________________

3__________________________________________

4__________________________________________

La leçon de natation

Quelle est la couleur qui domine dans le film ?

______________________________________________ Pourquoi ?

______________________________________________

Le point de vue

Qui regarde cette nageuse?

______________________________________________

Comment le sais-tu ? ______________________________________________ ______________________________________________

Quelles sont les couleurs sur cette image ?

__________________________________________

Tôt ou tard

Quels sont les deux animaux héros de cette histoire ?

____________________________________________________________________________________________ Où vivent ils ? __________________________________________________________________________________________________________________________________________ Dessine ce qui se cache sous l’arbre

Le Joyeux petit canard

Avec quelles matières sont fabriqués les personnages ?

______________________________________________

______________________________________________ Quel est le métier de la maman du petit garçon ?

______________________________________________

______________________________________________ Pourquoi leur amitié est-elle très étonnante ?

______________________________________________

______________________________________________ Comment se termine l’histoire pour le canard?

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______________________________________________

Le printemps de Mélie A partir des images, décris les personnages :

s’il s’agit d’animal ou d’être humain, leur caractère, leur visage, leurs

accessoires, ce qu’ils aime ou ce dont ils ont peur.

Quel est ce fruit magique qui proute et qui pète ? ____________

Dessine-le :

Quel effet produit-il sur les ventres des habitants de Baltazarville ? ______________________________________________

Un ventre, cela s’appelle aussi un B__ __ __ __ et Baltazar est le roi du même nom ! Mais pourquoi met-il sa couronne à l’envers ?

_________________________________________________________________________________________________________