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1 alésoir-driller ø 1,20 mm bagues blanches

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Docteur Pierre MALEK

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Formation initiale – formation continue : je t’aime, moi non plusLa SOP à l’ADF : Studieux mais convivialLa chronique désopilante d’une vie ordinaire au cabinet dentaireFCL : un maillage géographique pour compter dans le paysagede la formationL’auteur d’une thèse sur le syndrome de Gorlin reçoit le prix de la SOP

ACTUALITÉS p. 6 à 14

PRATIQUE p. 16 à 18

LE CLUB DES PARTENAIRES p. 38

N° 2 – février 2007 S O M M A I R E

De l’acte médical à la vente : quand le droit rattrape le marketing dentaire… Entretien avec Marc Sabek

LE DROIT DU PRATICIEN p. 21

Les rendez-vous de la formation continue odontologique

Prothèse sur implants : clarifier la méthodologie, appréhender l’accastillageFacettes de céramique collées : quelle préparation pour quel cas clinique ?Composites postérieurs et antérieurs en méthode directe :l’efficacité des résines

DU PATIENT À LA PROTHÈSE,TROIS STRATÉGIES POUR TRAITERL’ÉDENTÉ TOTAL p. 23Le traitement prothétique améliore-t-il la qualité de vie de l’édenté total ? p. 24Le guide radiologique et chirurgical facteur du succès prothétique p. 28Bridge scellé implanto-porté sans implant antérieur :mode d’emploi p. 31

Agenda p. 34

3I FRANCE – ACTEON GROUP – AIREL – AMPLI – BISICO FRANCE – CDP ÉDITIONS :WOLTERS KLUWER – CNQAOS – CODIMED – COLTÈNE WHALEDENT –LABORATOIRES CRINEX – DEGRÉ K – DENTAID – DENTSPLY FRANCE – DEXTER –DISCUS DENTAL FRANCE – DMK – ELSODENT – EMS FRANCE – EUROTECDENTAL/ADEC – FABHER – FC MEDICAL DEVICE – FKG DENTAIRE – GABALABORATOIRES – GACD – GC FRANCE – GÉNÉRIQUE INTERNATIONAL – HENRYSCHEIN FRANCE – IDIM DENTAIRE – ITENA CLINICAL – IVOCLAR VIVADENTFRANCE – KAVO DENTAL FRANCE – KOMET FRANCE – KREUSSLER PHARMA –LABOCAST – LABORATOIRE PRED – MACSF – MEGA DENTAL – NICHROMINOX –NOBEL BIOCARE FRANCE – PROCTER & GAMBLE FRANCE – PROMODENTAIRE –SD2 – SIRONA FRANCE – SLBD – STRAUMANN FRANCE – SUNSTAR(MÉDICADENT/ PHARMADENT) – VET MICROSCOPIE DENTAIRE – ZIMMER DENTAL

LE CLUB DES PARTENAIRES

LISTE DES ANNONCEURS3MC CONCEPT p. 14ÉDITIONS CHABASSOL p. 33CNQAOS p. 15DENTSPLY FRANCE p. 4GC FRANCE p. 10GSK SANTÉ GRAND PUBLIC p. 22KREUSSLER PHARMA p. 7MAC CLAY p. 2MACSF p. 40MICRO MEGA p. 20PROCTER & GAMBLE FRANCE p. 36BISICO FRANCE p. 33

Dernière minute !FORMATION À LARADIOPROTECTION

La SOP organise uneformation validante à laradioprotection, le 23mai 2007, de 8h30 à

18h, au Rive GaucheSaint-Jacques Hôtel –

17 Bd Saint-Jacques – Paris 14e.Cette formation se déroulera laveille de la Journée TP afin depermettre aux confrères qui lesouhaitent d’assister aux deuxformations. Bulletin d’inscription et tarifs à la page 35.

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Société odontologique de Paris6, rue Jean-Hugues75116 ParisTél. : 01 42 09 29 13Fax : 01 42 09 29 08Tirage et diffusion :40 000 exemplairesAbonnement 1 an(10 numéros) : 10 eurosPrix au numéro : 1,55 euro

Rédacteurs en chef : Marc Roché, Meyer FitoussiDirecteur de la publication :Philippe ChalansetComité éditorialYvan BismuthDominique MartinPhilippe SafarBernard SchweitzConception, réalisation : Texto ÉditionsMaquette : Carine MontaillierPhotos :Photodisc : p.1G. Mandel : pp. 15, 17, 23, 24,26, 28, 31, 32, 38 S. Nardot : pp. 8, 11Fotolia : pp. 3, 6, 34Ariel Sebban : p. 18DR : pp. 5, 12, 16, 19, 21, 23, 24,25, 26, 28, 29, 30, 31, 34, 38, 39.

Internet :www.sop.asso.frSecrétariat :secré[email protected]ésidence :pré[email protected] : 1285-3933

Régie publicitaire :Philippe ChalansetLa Ngampis-Six01 42 09 29 [email protected]

Impression : ACTIS

Qu’il soit médecin ou chirurgien-dentiste, plus d’un praticien hésite à soumettre à son patient un document officiel qui se rapporte au « consentement éclairé » et à lui demander d’y apposer sa signature en bas de page. Contre l’obligation qui leur est faite de réclamer cette signature avant tout acte invasif, certains vont mêmejusqu’à s’insurger et rejettent cette contrainte. D’autres au contraire ne s’embarrassent pasde tant de scrupules et appliquent la règle.

Que faut-il en penser ?

À n’en pas douter il y a une évolution de la société. Celle-ci s’emploie à gommer les conflits en promulguant de nombreuses lois – alors même qu’il suffirait bien souventd’appliquer celles en vigueur. Elle encadre le pouvoir que représente la science médicalepar des normes et des règles qui compliquent les relations praticiens-patients et aboutissent à déresponsabiliser les acteurs de la santé. Les praticiens sont contraints,malgré eux, à se plier aux groupes de pression en quête de sécurité, et ce d’autant plus que les administrés en redemandent pour protéger leur santé. Tant et si bien que notredémocratie ne se contente plus de savoir si le malade a bien été averti.Elle ne se satisfait plus du principe de prévention. Elle en arrive allégrementà appliquer le principe de précaution.Et elle ne s’offusque pas alors du renversement des perspectives qui s’offrent à nous, en soulageantnotre conscience et en amputant notre capital confiance. Il est loin alorsl’objectif princeps qui est d’éviter que la tentation de l’argent ou du pouvoirne rendent confus ou ambigu le jugement du praticien. Comme si les praticiens n’étaientpas capables d’évaluer le sens et la portée de leurs actes. Cette dérive du consentementéclairé au nom du devoir d’information des patients – qui oblige, comme dans les contratsd’assurance automobile, à faire accepter toutes les clauses restrictives en bas de page et en caractères minuscules d’imprimerie, ce que personne ne prend la peine de lire ou de se faire expliquer – nous fait craindre une dévalorisation de plus en plus nette de tout acte médical ou chirurgical ramené à un acte de grande trivialité.

Le consentement, vu sous l’angle que nous dépeignons, ne nous paraît plus alors que l’expression de la peur du juge ou de la peur du risque. Et si la société insiste dans cette voie, ces peurs deviendront vite paralysantes et sclérosantes,car elles n’auront pas de limites.

Les honorairesde la peur

« LA DÉRIVE DU CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ

NOUS FAIT CRAINDRE

UNE DÉVALORISATION DE TOUT ACTE

MÉDICAL OU CHIRURGICAL

RAMENÉ À UN ACTE DE GRANDE TRIVIALITÉ. »

Dr Philippe SAFAR

É D I TON° 2 – février 2007

JSOP / n° 2 / février 2007 5

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«COMMENT SE FAIT-IL que, seulement quelques annéesaprès leur diplôme, de jeunes praticiens s’inscrivent

à des formations payantes alors qu’ils auraient pu en béné-ficier gratuitement au cours de leurs études ? » Nombred’enseignants se sont souvent posé la question devantun amphithéâtre de quatrième année où, clairsemée auxpremiers rangs, siège la seule représentation officielledes étudiants – responsables de la « ronéo » et éventuel« fan-club » de l’enseignant –, alors que, dans le mêmetemps, se pressent 600 à 1 200 confrères dans une salle(de la SOP par exemple) pour suivre la conférence dumême enseignant, cette fois dans le cadre de la forma-tion continue (FC)… Les protagonistes sont les mêmes, les contenus souventidentiques ! Mais un étudiant de sixième année peut-ilréellement être comparé à un praticien, même jeunediplômé ? Premier élément de réponse : l’objectif de l’étu-diant consiste à cumuler des validations de TP ou d’exa-mens les unes après les autres. Obnubilé par ces objectifs,il n’a pas de vision réaliste et globale de ce que sera sonfutur métier. D’autant que faire la synthèse de l’enseigne-ment qu’il reçoit ne lui est pas facilité par son éclatementen un puzzle de modules de spécialités. Il ne prendraconscience de ses éventuelles insuffisances que lorsque,devenu praticien, il sera sanctionné par des échecs, mêmerelatifs, ou qu’il ne maîtrisera pas certains paramètres deson activité ou encore, dans le meilleur des cas, lorsqu’ilvoudra redynamiser son exercice.La formation initiale, c’est cinq à sept années d’étudesaprès le concours du PCEM selon que l’on opte pour untroisième cycle court ou long (l’internat). Hors PCEM, celacorrespond à environ 3 600 heures de cours théoriques,d’enseignement dirigé et de travaux pratiques couvrantdes domaines très divers. Nous avons dit : l’informatique,les matériaux, la gestuelle et l’instrumentation, la physio-logie, l’anatomie, l’embryologie, l’immunologie, la pro-thèse fixée, la sémiologie, l’implantologie, l’endodontie,la virologie, la bactériologie, la biochimie, l’ergonomie,l’asepsie, la pharmacologie, l’ODF, l’odontologie restaura-trice, l’écosystème buccal, les prothèses partielles amovi-bles et totales, les biomatériaux, la pathologie médicale,

la chirurgie buccale, l’éthique, l’anatomie pathologique, lapathologie de la muqueuse buccale, la chirurgie parodon-tale… Stop !Bien sûr, en passant le difficile obstacle du PCEM 1, l’étu-diant semble à même d’intégrer la somme de connaissan-ces que supposent de tels programmes. Mais après les exa-mens et une fois passée au tamis du temps, il ne reste quepeu de chose de cette masse de savoir fondamental ou théo-rique : on ne retient que ce que l’on utilise régulièrement etque ce que l’on comprend. Et pourtant cette formation ini-tiale (FI) est fondamentale et indispensable car c’est le soclesur lequel sera édifiée une carrière de chirurgien-dentiste.

La pratique comme préoccupation immédiate« La formation continue […] ne peut en aucun cas pallier lesinsuffisances ou les lacunes de la formation initiale » écri-vaient Alain Trévelo et Patrick Missika dans un éditorialdu JSOP, en septembre 2003. Ils y rapportaient une chosequi avait causé grand émoi : le sentiment subjectif du fai-ble niveau des jeunes diplômés.Il faut dire, à la décharge de notre étudiant, que l’Univer-sité ne dispose que de 7 000 euros en moyenne par étudiantet par an là où 10 000 seraient nécessaires. Outre l’impo-sante masse de connaissances que notre étudiant doit assi-miler, il est d’emblée confronté à un univers « pratique »qui préfigure ce que sera son exercice professionnel, et quiconsiste en la réalisation d’actes dans un temps donné.

Formation initiale – formation continue :je t’aime, moi non plusÀ l’heure où la date de péremption des connaissances est de plus en plus proche

de leur acquisition, la formation initiale et la formation continue forment un couple uni

pour la vie professionnelle, mais où chacun s’observe de loin…

OÙ VA LA FORMATION CONTINUE ODONTOLOGIQUE ? (II)

Paradoxe : d’un côté,des amphis désertéspour cause de bachotage,de l’autre, les mêmesconférences en formation continuedevant des sallesremplies de jeunespraticiens diplômés…

A C T UA L I T É S

6 JSOP / n° 2 / février 2007

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A C T UA L I T É S

JSOP / n° 2 / février 2007 7

Les travaux pratiques sont obligatoires. Le topo fini, il restedeux heures et demie pour rendre à l’enseignant une pre-mière molaire mandibulaire droite montée en cire selon latechnique de Peter K. Thomas. Deux heures et demie detravail manuel au cours desquelles il faut parvenir à maî-triser l’écoulement, le long de l’instrument éponymechauffé sur un bec Bunsen, de gouttes de cires de différen-tes couleurs pour qu’elles se figent dans la forme deman-dée de cône ou de bulbe. Déjà, le stress et la gestion dustress. Cette épreuve pratique est le passage obligé de l’étu-diant afin qu’il s’approprie le contenu d’un cours théori-que et qu’au-delà d’une description toujours insuffisam-ment évocatrice émerge à sa conscience la visualisation del’objectif. La forme est comprise, le fond est appris. Lorsde la formation initiale, c’est la partie pratique qui consti-tue la préoccupation immédiate de l’étudiant. Il en ira ainsitout au long des études et au-delà car l’acquisition dessavoirs se fait par d’incessants allers-retours des cours théo-riques à la pratique clinique.

Diplôme n’égale pas compétence définitive !À tel point que la formation prodiguée après le diplôme,qui fut longtemps postuniversitaire, est devenue formationcontinue, puis formation continue obligatoire (FCO). Lasémantique a toute son importance puisqu’elle traduit un

glissement vers un concept qui reflète la nécessité de se for-mer tout au long d’une carrière et non plus d’exploiter undiplôme qui serait censé délivrer une compétence défini-tive. Une formation ne doit pas présenter de rupture. Alors,pourquoi ce continuum s’impose-t-il à tous ?Parce que de nouvelles procédures cliniques sont mises enplace tandis que des consensus se dégagent d’études scien-tifiques dans un monde où l’information circule de mieuxen mieux. Parce que les techniques progressent de plus enplus vite, faisant que la date de péremption des connais-sances est de plus en plus proche de leur acquisition. Parceque notre environnement professionnel a changé avec denouvelles contraintes et obligations qui prennent en comptel’environnement (traitement des déchets, récupération del’amalgame), la sécurité (hygiène, asepsie, traçabilité, radio-protection, prévention) ainsi que la demande des patients :consumérisme, esthétique, etc. De la même façon, les car-rières professionnelles s’allongent avec le recul de l’âge dela retraite des chirurgiens-dentistes. Enfin, la FC s’imposepour que l’on n’entende plus un jeune praticien répondreà la question qui lui était posée sur la façon dont travaillaitle praticien en partance pour la retraite auquel il succédaitpar : « Il travaillait comme il a appris… » ! ■

Marc Roché

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A C T UA L I T É S

UN ÎLOT DE SÉRÉNITÉ dans l’effervescence du congrès !Jamais le stand de la SOP au congrès de l’Associa-

tion dentaire française (ADF) n’aura connu une tellepopularité. La présence d’une masseuse y était certaine-ment pour quelque chose… Les visiteurs du stand ontpu vérifier que celui-ci était à l’image de notre associa-tion : studieux mais convivial.

Quel avenir pour la profession ?Les congressistes éprouvés par une journée dans les tra-vées du Palais des congrès pouvaient en effet bénéficierdes services d’une masseuse aguerrie aux techniques denaturopathie, de réflexologie plantaire et de shiatsu.

Détente et repos au programme donc, mais pas seule-ment… Membres du conseil d’administration de la SOP etconférenciers étaient au rendez-vous pour répondre auxinterrogations des praticiens. Les contraintes administra-tives, l’obligation de formation continue, le texte de la nou-velle convention, etc. : la plupart des questions des visi-teurs portaient sur l’avenir de la profession et les difficultésquotidiennes de l’exercice. Au total, le stand aura consti-tué un riche lieu d’échanges et de débats autour des grandsthèmes de la profession.

Invitation à un voyage-congrèsLe stand aura évidemment permis aux adhérents de la SOPde renouveler leur inscription et aux nouveaux venus derejoindre notre association. Par ailleurs, un tirage au sortétait organisé pour les sociétaires. Le lauréat est invité àparticiper au prochain voyage-congrès de la SOP (lire l’en-cadré ci-dessous). ■

Un îlot de sérénitédans l’agitation du congrès grâceaux services d’unemasseuse chargéede détendre les congressistes !

Cette année, les nouvellesdispositions en matière deformation continueobligatoire étaient au cœurdes discussions.

La SOP à l’ADF : studieux mais convivial

CONGRÈS ADF

Cette année, le stand de la SOP méritait la mention

« vaut le détour » grâce au service d’une masseuse

qui aura pu relaxer de nombreux congressistes…

1er prix : Paulo Torrès gagne une invitation pour le prochain voyage-congrès organisé par la SOP. 2e prix : les membres de la SOP ayant emporté le deuxième prix se verront invités à participergracieusement à la journée scientifique de leur choix au cours de l’année 2007 :Carole DEMARTY-COADIC – Annie BENZENO – Emmanuelle BERA – Estelle GAILLARDETXavier DOMENACH – Alain HUGUENIN – Paul DENTZ – Éric BENARDJean-Philippe TIEU – Henri COURTADE – Carol PETIT – Christian SORAIS

Les gagnants de la tombola

8 JSOP / n° 2 / février 2007

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En savoir plus sur la gestion du temps ?

Lire notre dossier dans le jsop n°1/2007.

B U L L E T I N D ’ I N S C R I P T I O N

Cinq conférences, cinq domaines clés de notre pratique où il est possible de réduire son temps de travail tout en maintenant une qualité des soins optimale.Une urgence à intégrer, des actes complexes à réaliser, un cahierde rendez-vous à honorer : le praticien est quotidiennementconfronté à une lutte contre le temps. • Quelle organisationrationnelle des soins mettre en œuvre pour optimiser son tempsde travail ? • Quelles techniques opératoires, quel outillage, quelproduit faut-il privilégier pour faire plus vite et mieux ? • Quels sontles domaines décisifs où il faut savoir consacrer du temps afin d’enperdre le moins possible au final ?

Dr Philippe De Jaegher : Organisation des soins.Dr Nicolas Lehmann : Dentisterie restauratrice.Dr Jacob Amor : Endodontie.Dr Bernard Schweitz : Parodontologie.Dr Éric Hazan : Prothèse fixée.

Tous les tarifs, toutes les formations en pages AGENDA

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A C T UA L I T É S

La chronique désopilante d’une vie ordinaire au cabinet dentaire

PARUTION

CONNAISSEZ-VOUS le Dr Pal ? Le Dr Pal est un spécialiste. Spé-cialiste en omnidentisterie, comme il aime à se décrire. Si

son nom ne vous dit rien, il ne vous est pas pour autant inconnu.Car le Dr Pal, c’est vous, c’est nous. Il peut être chacun (ou pres-que) des 36 000 praticiens libéraux de France et de Navarre. Età ce Dr Pal il arrive tous les jours des aventures professionnellestrépidantes, pour autant que ce qualificatif puisse être accolé àla chronique d’une vie professionnelle ordinaire. C’est avec unœil acéré, que le Dr Pal nous conte (compte ?) ses petites misè-res quotidiennes. Depuis la rombière qui se prend pour unegrande aristocrate à la gamine insupportable – à l’image de samère, du reste – en passant par des coups de griffes aux coachs,syndicats et autres vendeurs de tout poil qui, par quelques arti-fices miraculeux, prétendent augmenter notre chiffre d’affai-

Patrick Allereau réussit le tour de force de croquer l’exercice ordinaire d’un chirurgien-dentiste en le passant à la moulinette d’un humour jubilatoire.

res et transformer notre vie professionnelle en bonheur radieux.Bref vous l’aurez compris, le Dr Pal se raconte et nous raconte.Il croque un exercice fait de petits hauts et de petits bas, de cespetits riens qui gâchent la vie professionnelle ou, au contraire,la rendent si passionnante. Que du vécu ! Sauf que, et c’est làl’originalité du Dr Pal, ses chroniques sont narrées avec untalent et une verve qui n’ont pas beaucoup à envier à ceux d’unMichel Audiard ou d’un Frédéric Dard. Le Dr Pal en est le filsspirituel. Truculence, gouaillerie, gauloiseries : tous les ingré-dients sont là pour livrer des anecdotes, somme toute banales,mais qui deviennent, par la force du style, véritablement drô-les. Ces Chroniques z’et cas cliniques écrites par notre confrèrePatrick Allereau sont des vrais moments de plaisir à lire. ■

Ariel Sebban

Chroniques z’et cas cliniquesTomes 1 et 2Patrick AllereauOpéra Éditions73 pages – 21 €

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A C T UA L I T É S

U N RÉSEAU D’ORGANISMES SCIENTIFIQUES de formationcontinue indépendants, soucieux d’offrir à leurs pairs

chirurgiens-dentistes des formations adaptées à leursbesoins, libres dans le choix de leurs intervenants… pourautant que ces derniers soient reconnus dans le sérieuxde leur démarche. Voilà en quelques mots l’état d’espritqui préside aujourd’hui dans les quelque 70 organismesde formation que compte aujourd’hui la Formation conti-nue libre (FCL).

Mutualiser les moyensC’est animé d’une volonté de peser, en tant qu’acteur de laFCO, dans le paysage de la formation continue, que lesmembres de la FCL ont élu, le 23 novembre dernier, le nou-veau conseil d’administration de la FCL. Au-delà de cetteélection a été évoquée la possibilité d’une mutualisationdes moyens, à l’échelle régionale. Ainsi, les sociétés de for-mation continue du réseau réfléchissent à une organisationau niveau régional ou interrégional, consistant à épouserle découpage géographique des comités interrégionaux dela formation continue odontologique (CIRFCO). En outre,l’harmonisation des programmes de formation continue etla mise en commun de moyens matériels entre les différen-tes sociétés permettraient d’optimiser le déplacement desconférenciers dans les régions et d’améliorer encore la qua-lité de l’offre de formation proposée aux confrères. Mêmesi chaque organisme conservera évidemment sa personna-lité tirée de son histoire propre, il s’agit au total de mieuxrépondre aux attentes des praticiens en organisant un mail-lage sur tout le territoire national. ■

Un maillage géographique pour compter dans le paysage de la formation

FORMATION CONTINUE LIBRE

Le réseau Formation continue libre (FCL), auquel la SOP appartient,

vient d’élire son nouveau bureau.

Les membres du réseau FCL

Le bureau de la FCL

AAP, ADAFCOS 01, ADDA Rhône-Alpes, ADFOC 25, ADFOC 51, ADFOC de Savoie + ADDA, AÉO, AEOS, AFPP, Alpha Omega International Dental Fraternity Rhône-Alpes, AOO Normande, APCI, APDI, CAROM, CÉIOP, CEOVDM94, Cercle odonto-stomatologie du Bourbonnais, Collège hospitalier de recherche et d’études en implantologie, COSS,COVAL 95, ÉIP, FOC 62, FOC 88, GEAVOSS-ADFOC 67, GSSOS, Journées dentaires de Nice, ODFOC 42, ONFOC 36,ONFOC 77, SBRicketts, SFE, SFEROO, SFG, SFOP (Société française d’odontologie pédodontique), Société françaised’odontologie psychosomatique, SFPIO Paris, SOB, SOBHL, SOP, Société odonto-stomatologique d’Angers, SOSBN –Basse-Normandie, SOSNE, SSFBSI.

JSOP / n° 2 / février 2007 11

Président : Pascal Hyvernat (ADAFCOS 01)Trésorier : Hubert Ouvrard (AEOS)Secrétaire Général : André Heck (SOBHL)Membres : Jean Patrick Druo (SFOP GSSOS),Bernard Lapostolle (ADFOC Savoie et ADDA),Jean Philippe Mallet (SFE),Philippe Milcent (SOP).

De gauche à droite : Philippe Milcent, Hubert Ouvrard,Pascal Hyvernat, Bernard Lapostolle, André Heck, Jean-Patrick Druo.

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Du 11 au 22 avril 2007

Partez en congrès à l’île Maurice avec la SOP !

VOYAGE/CONGRÈS MAURICE➜ 8es Journées de chirurgie dentaire

Partez en congrès à l’île Maurice avec la SOP !

SOUS LE HAUT PATRONAGE du ministre de la Santé et dela Qualité de la vie de la république de Maurice,

M. Satish Faugoo, et de l’ambassadeur de France en répu-blique de Maurice, M. Dominique Renaux, les 8es Jour-nées de chirurgie dentaire se dérouleront sous la prési-dence du Dr Dhaneshwar Beeharry, président de l’Ordredes chirurgiens-dentistes de la république de Maurice.Six conférenciers interviendront lors de cette semaine deformation.• Hervé Choukroun traitera des reconstitutions corono-

radiculaires et en particulier des critères de choix entreles reconstitutions coulées et foulées. Il fera ensuite lepoint sur les différentes étapes cliniques et les protoco-les de réalisation.

• Éric Hazan, en prothèse fixée, traitera du recours au« tout céramique » en mettant l’accent sur la biomécani-que et son application clinique. Il traitera également dublanchiment des dents pulpées en faisant le point surles techniques et les précautions.

• Dominique Martin, en endodontie, traitera du compac-tage vertical, technique efficace qui ne mérite plus sa ré-putation de difficile et réservée à une supposée élite. Ilfera ensuite le point sur le retraitement en endodontie.

• Patrick Missika fera un point complet sur les bonnespratiques en implantologie, qui passent par une démar-che respectant neuf impératifs. Il traitera ensuite de lamise en place immédiate d’implants après extraction.

• Bernard Schweitz dressera un état de l’évolution desconcepts dans le traitement parodontal non chirurgicalet fera le point sur leur efficacité en fonction des cas cli-

niques. Il traitera également des différentes stratégiesthérapeutiques possibles et leurs indications lorsque lepatient présente un parodonte fin.

• Corinne Touboul interviendra sur les empreintes enprothèse sur implants, notamment avec deux techni-ques complémentaires, dont la maîtrise est indispensa-ble à la pratique de cette discipline. Elle dressera ensuiteun état des nouveaux concepts implantaires en rapportavec la stabilité des résultats esthétiques afin de démê-ler les réelles avancées thérapeutiques des innovationsmarketing. ■

Un programme scientifiquecomplet et ambitieuxSix conférenciers interviendront lors du voyage-congrès de la SOP à l’île Maurice.

L’ambition ? Actualiser nos connaissances dans des domaines clés de notre exercice.

MERCREDI 11 AVRILDépart : CDG/Maurice après-midi

DU JEUDI 12 AVRIL AU SAMEDI 21 AVRIL

Séjour à l’hôtel Le ParadisParticipation aux 8es Journées de chirurgie dentaire à l’île Maurice

SAMEDI 21 AVRILRetour : Maurice/CDGVOL N° 1 : vol de jour arrivée le 21 avril au soirVOL N° 2 : vol de nuitarrivée le 22 avril au matin

Préprogramme de voyage

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Je soussigné(e), Nom : ……………………………………………………… • Prénom : ............................................................Adresse : .........................................................................................................................................................Tél. : ………………………………… ..................• Adresse e-mail : ..............................................................................Accompagné(e) de : Nom : …………………………………………………… • Prénom : …...........................................

Nom : …………………………………………………… • Prénom : …...........................................Nom : …………………………………………………… • Prénom : ..............................................

Je vous adresse ci-joint un acompte de 1 000 € par personne ainsi que les droits d’inscription, soit :

Acompte : 1 000 € x ….. = ........... €

DDRROOIITTSS DD’’IINNSSCCRRIIPPTTIIOONN❏ Congressiste membre de la SOP

et de la FSSOSIF x ….. = ........... €❏ Congressiste non membre x ….. = ........... €❏ Accompagnant x ….. = ........... €

TTOOTTAALL = …........ €Si inscription avant le 1-2-2007 TTOOTTAALL — …....€ = …........ €Si vol de jour (–100 €/pers.) TTOOTTAALL — …....€ = …........ €

❏ MM’’iinnssccrriiss aauuxx 88eess JJOOUURRNNÉÉEESS DDEE CCHHIIRRUURRGGIIEE DDEENNTTAAIIRREE àà ll’’îîllee MMaauurriiccee

Je désire résider :❏ en chambre double ❏ en chambre singleEn chambre :❏ Supérieure ❏ Luxe ❏ Junior Suite

Je désire participer au tournoi de :❏ Tennis ❏ Golf

Je désire effectuer le retour en vol :❏ Jour ❏ Nuit

À RETOURNER À : CHAUMONT VOYAGES – M. PERRAULT9, rue principale du Port – 92638 Gennevilliers CedexTél. : 01 47 92 22 40 – Fax : 01 47 99 17 50

bulletin d’inscription

Je déclare avoir pris connaissance des conditions générales d’annulation

DATE : SIGNATURE

TARIFS ET CONDITIONS GÉNÉRALESPrix par adulte• Chambre double supérieure : 2 900 €

Suppl. single : 690 €

• Chambre double luxe : 3 150 €

Suppl. single : 770 €

• Chambre double junior suite : 3 500 €

Suppl. single : 860 €

Ces prix comprennent :• le trajet PARIS/MAURICE/PARIS sur vol régu-lier direct (classe vacances) • le transfert aéro-port/hôtel/aéroport • le séjour à l’hôtel LeParadis dans la catégorie de chambres confir-mées • les petits déjeuners buffet • les dîners(sans boissons) • les taxes d’aéroport* • les taxeset services • l’accès à tous les sports gratuits.Enfants : Les conditions pour les séjours desenfants vous seront adressées sur demande.Possibilité de prolongation de séjour : nousinterroger.Ces prix ne comprennent pas :les droits d’inscription au congrès, les excur-

sions facultatives, les dépenses d’ordre per-sonnel, les boissons, les repas non mention-nés au programme.AnnulationEn cas d’annulation, il sera retenu :• avant le 1er janvier 2007,une somme forfai-taire de 100 € pour frais de dossier ;• entre le 1er janvier et le 1er février 2007, unesomme équivalente à 30 % du montant totaldu voyage choisi ;• entre le 1er février et le 25 mars 2007, unesomme équivalente à 50 % du montant totaldu voyage choisi ;• après le 25 mars 2007, une somme équiva-

lente à 90 % du montant total du voyagechoisi.

IMPORTANT• *Les taxes sur les billets d’avion sontactuellement de 180 €,elles peuvent êtremodifiées au moment du voyage.• L’attribution des places d’avion (retourde jour ou nuit) ainsi que le type de cham-bre se fera en fonction des disponibilitésau moment de l’inscription.

Organisation technique :Chaumont Voyages – Lic. 075950311

DROITS D’INSCRIPTIONLes droits d’inscription, obligatoires pour tous les participants, comprennent :• La remise du dossier et du badge (congressiste)• L’accès aux séances scientifiques (congressiste)• Les pauses café (congressiste)

MEMBRES DE LA SOP ET DE LA FSSOSIF• Congressistes : 410 €

• Accompagnants et enfants de plus de 15 ans : 310 €

• Participants hors voyage (programme scientifique uniquement) : 405 €

AUTRES MEMBRES• Congressistes : 490 €

• Accompagnants et enfants de plus de 15 ans : 390 €

• Participants hors voyage(programme scientifique uniquement) : 485 €

Minoration inscriptionavant le 1-2-2007

➜ Les inscriptions au voyage-congrèsenregistrées avant le 1er février 2007

seront minorées :• de 60 € pour les congressistes

• de 40 € pour les accompagnants

Minoration Vol de jour du 21-4-2007➜ -100 €

Enfants :Les enfants de moins de 15 ans sont dispensésde droits d’inscription mais n’ont pas l’accès au programme social.

JSO

P02

07

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divisent la langue en plusieurs lobes. La thèse montre que,par la systématisation de la radiographie panoramique, lechirurgien-dentiste peut mettre en évidence les kératocy-tes et les délabrements importants qui y sont associés surdes temps extrêmement courts.Il existe également le plus souvent une fissure palatine,une fente vélo-palatine et des anomalies dentaires, ainsique des malformations du frontal et du malaire et uneouverture anormale de l’angle sphénoïdal. La SOP estparticulièrement heureuse du choix qui récompense cecandidat et lui adresse ses félicitations pour cette bril-lante promotion. ■

(1) Thèse pour le diplôme d’État de docteur en chirurgie dentaire,

Bordeaux 2, 2005.

LORS DE LA SÉANCE SOLENNELLE de l’Académie nationalede chirurgie dentaire (ANCD) au palais du Luxem-

bourg, le lundi 20 novembre 2006, le prix de la SOP a étédécerné au Dr Pierre Alexandre Viguier pour sa thèse inti-tulée « Syndrome de Gorlin : étude prospective d’une série de15 patients » (1).Ce prix lui a été remis par le Pr Louis Verchère, ancien pré-sident de l’ANCD et directeur de publication de la Revued’odonto-stomatologie (ROS). Cette thèse met en exerguele rôle que doit jouer le chirurgien-dentiste dans le dépis-tage de cette maladie rare. Rappelons que le syndrome deGorlin est un syndrome malformatif complexe décrit en1954 par Mme Papillon-Léage et Psaume. Il s’observe à peuprès exclusivement chez la femme et est caractérisé essen-tiellement par une hyperplasie des freins buccaux, qui

L’auteur d’une thèse sur le syndromede Gorlin reçoit le prix de la SOP

ACADÉMIE NATIONALE DE CHIRURGIE DENTAIRE

Le Dr Pierre Alexandre Viguier s’est vu remettre le prix de la SOP

par le Pr Louis Verchère, lors de la séance de l’ANCD au Sénat.

A C T UA L I T É S

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P R A T I Q U E

Bulletin d’inscription et tarifs en page

TRAVAUX PRATIQUESJeudi 24 mai 2007 – Paris 14e – Rive Gauche Saint-Jacques HôtelFORMATIONS

SOP 2007 AGENDABulletin d’inscription et tarifs en pages AGENDA

Inscrivez-vous !➜

SYSTÈME IMPLANTAIRE

En matière de prothèse sur im-plants, le praticien est confron-té à multitude de choix. Il doitsélectionner l’indication laplus adaptée au besoin dupatient : couronne unitaire,bridge ou prothèse amoviblecomplète stabilisée, etc. Il de-vra choisir le procédé de pri-ses d’empreintes (« à ciel ou-vert »ou « à ciel fermé »). Enfinet surtout, il doit égalementdéterminer quel système de

connexions implantaires pour-rait être le mieux maîtrisé pourla réhabilitation prothétiqueenvisagée : système Strau-mann® à connexion de typevis conique, système ZimmerDental® à connexion de typehexagone interne, système 3I®

à connexion de type hexa-gone interne… Mais chacunde ces dispositifs faisant ap-pel à un accastillage prothé-tique spécifique, comment

Évaluez-vous !• Vous arrive-t-il qu’un patient vous demande

un traitement implantaire ?• Avez-vous des patients se plaignant de prothèses

complètes amovibles mal stabilisées ?• Comment traitez-vous une édentation bordée

de dents parfaitement saines ?• Avez-vous déjà pratiqué une empreinte implantaire

de type direct ou indirect ?• Pilier implantaire, pilier de cicatrisation, transfert

d’empreinte sont-ils des termes familiers pour vous ?• Quel système implantaire choisiriez-vous ?

Objectif du TP : initier le praticien aux différentes étapescliniques de l’élaboration des prothèses implantaires.

choisir celui qui conviendrale mieux à la prothèse à po-ser ? Comment appréhenderau mieux le processus de ré-habilitation prothétique surimplant ?Pour répondre à ces inter-rogations et ainsi pouvoirdécider avec le confrère im-plantologiste, le praticiendoit se familiariser avec lesétapes cliniques de l’élabo-ration des différents types deprothèses implantaires, maiségalement maîtriser toutesles notions fondamentalesquant aux indications et auplan de traitement.Tel est l’enjeu de la journéede travaux pratiques organi-sée par la SOP sur le thème.Après un rappel des notionsessentielles pour élaborer et

mener à bien un traitementimplantaire, les participantspourront manipuler les piè-ces prothétiques, prendre uneempreinte implantaire et sefamiliariser avec deux grandssystèmes sur les trois propo-sés par les conférenciers. Del’édentation unitaire à laprothèse amovible stabiliséepar des implants, les prati-ciens seront en mesure d’appréhender et de clarifiernon seulement la méthodo-logie, mais aussi un accas-tillage dont la diversité peutrebuter.À l’issue de ces manipula-tions, un échange entre lesresponsables scientifiques etles praticiens permettra dedissiper les dernières éven-tuelles zones d’ombre. �

Face à une multitude de choix, le praticien doit

maîtriser les étapes cliniques de l’élaboration

des différents types de prothèses implantaires

et en maîtriser les notions fondamentales

quant aux indications et au plan de traitement.

Prothèse sur implants : clarifier la méthodologie, appréhender l’accastillage

16 JSOP / n° 2 / février 2007

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JSOP / n° 2 / février 2007 17

Facettes de céramique collées : quellepréparation pour quel cas clinique ?

PROTHÈSE ADHÉSIVE

La pose de facettes de céramique collées présente de réels avantages. Encore faut-il adapter

sa préparation au cas clinique tout en respectant les trois règles essentielles de la réussite.

Mylolyse, fracture d’angle,dysplasie, abrasion cuspi-dienne, dysmorphie… De-puis les années 1980, la posede facettes de céramique parcollage a trouvé son indica-tion dans le traitement denombreuses pathologies. Éga-lement éprouvée dans le trai-tement des défauts esthétiquesde la denture, cette techniqueprésente deux avantages : uneabsence de risque pour la vi-talité pulpaire, d’une part,une réalisation n’exigeantqu’une préparation minima-le, d’autre part.Tout le problème tient à cequ’il n’existe pas de prépara-tion type : c’est le cas cliniqueet seulement lui qui dicte laforme de la préparation à choi-sir (avec ou sans retour lin-gual, quantité amélo-denti-

naire à retirer, etc.). Afin d’ob-tenir un résultat probant, lepraticien doit donc prendreen considération plusieursfacteurs.Premièrement, il doit identi-fier les spécificités de chaquecas : retour lingual, exten-sion proximale esthétique,respect et conservation dupoint d’occlusion, etc. S’agis-sant du retour lingual, préci-sons que, en tant qu’élémentstabilisant pour éviter la dé-cohésion de la céramique, ilconstitue une obligation pourles facettes réalisées sur lesdents mandibulaires.Deuxièmement, le praticiendoit évidemment connaîtreles indications des différentsmatériaux disponibles sur lemarché. Ces dernières an-nées, la facette en céramique

est passée d’une forme pelli-culée à une facette-couronnepartielle, suivant en cela l’évo-lution de ces matériaux. Lepraticien sera d’autant plusvigilant à cette question dumatériau céramique à privi-légier que des interactions ré-ciproques existent entre cesnouveaux matériaux.Enfin, le praticien devra choi-sir le procédé de réalisationdes dents provisoires adaptéà son traitement : gouttièrethermoformée, moulage avecsilicone transparent aprèswax-up, coquille avec dentdu commerce. Se posera évi-

demment la question du col-lage, qui constitue une séquen-ce essentielle dans la réussitedes restaurations par facettede céramique. Là encore, lechoix de la colle (dual, auto-polymérisable ou photopo-lymérisable) dépendra dumatériau céramique utilisé.Ici, le chirurgien-dentiste de-vra parfaitement en maîtri-ser les différents protocolesd’utilisation. Ce n’est qu’auprix de ces connaissances etde ce savoir-faire qu’il pour-ra intégrer cette techniqueefficace dans sa panopliethérapeutique. �

Évaluez-vous !• Quels sont les risques de fracture de la céramique

et comment les limiter ?• Comment réaliser et fixer les facettes provisoires ?• Quels matériaux de fixation utiliser ?• Comment réaliser la protection dentinaire ?

Le praticien doit choisir le procédé de réalisationde dents provisoires adapté.

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18 JSOP / n° 2 / février 2007

DENTISTERIE RESTAURATRICE

Composites postérieurs et antérieurs enméthode directe : efficacité et innocuitéÀ l’heure du tout céramique, et pour autant que

l’on maîtrise la technique de stratification,

les composites ont encore toute leur place…

Depuis maintenant plusieursannées, les résines composi-tes photopolymérisables ontmontré leur capacité à se subs-tituer aux restaurations tra-ditionnelles pour les dentspostérieures. Avec ces maté-riaux, plusieurs possibilitéssont offertes en fonction dubut recherché. Les composi-tes microhybrides peuventêtre utilisés en technique di-recte pour l’obturation de mi-cro ou minicavités, en blocscombinés ou non avec uncomposite fluide pour cer-

tains composites spécifiques.Mais ils sont surtout destinésà être mis en œuvre par unetechnique de stratification ré-pondant aux exigences d’unrésultat esthétique immédiatet à plus long terme.Les principes de prépara-tion des cavités, l’utilisationdes substituts dentinaires etles techniques de condition-nement amélo-dentinaire(préparation de la couchehybride) c’est-à-dire le mor-dançage total, les adhésifsde cinquième génération ou

Évaluez-vous !• Le biseau amélaire périphérique est-il indispensable

pour les restaurations esthétiques antérieures ?• Les composites fluides peuvent-ils être utilisés

pour des restaurations postérieures ?• La crête marginale doit-elle être conservée pour

des restaurations proximales de moyenne étendue ?• La stratification en résine composite des dents

antérieures fait-elle appel à des masses d’opacité différentes ?

les adhésifs automordan-çants doivent être parfaite-ment maîtrisés par le prati-cien. Au cours du TP de laSOP consacré aux composi-tes postérieurs et antérieursen méthode directe, ces diffé-rentes techniques seront in-tégrées lors d’une séance demise en œuvre des compo-sites : manipulation, strati-fication, techniques simpli-fiées visant à compenser lacontraction de polymérisa-tion des matériaux et à obte-nir des résultats esthétiques,fonctionnels et de pérennitésatisfaisants.S’agissant de la restaurationesthétique des dents anté-rieures, le praticien doit éga-

lement maîtriser les princi-pes de préparation et leursspécificités, l’opportunité del’utilisation des automor-dançants et la sélection desdifférents composites dispo-nibles. Ces éléments seronttraités selon une approchespécifique au cours du TP.Par ailleurs, les propriétésoptiques des différents ma-tériaux seront discutées etles principes de stratifica-tion feront également l’ob-jet d’une analyse approfon-die à partir de situationscliniques diverses.À l’heure du tout cérami-que, on verra que les rési-nes composites ont encoretoute leur place ! �

Les composites actuels, associés à une technique de stratification rigoureuse, permettent d’obtenir des résultats fonctionnels et esthétiques remarquables (cas clinique : Ariel Sebban).

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24 mai 2007

Tous les tarifs, toutes les formations en pages

AGENDA

TRAVAUX PRATIQUES❏ TP 1 • Système ProTaperResponsables scientifiques : Pierre Machtou,Dominique Martin❏ TP 2 • Blanchiment et pose de digueResponsables scientifiques : Jean-Jacques Louis,Richard Kaleka❏ TP 3 • ParodontieResponsable scientifique : Bernard Schweitz❏ TP 4 • Composites postérieurs et antérieurs

méthode directeResponsable scientifique : Grégoire Kuhn❏ TP 5 • Facettes de céramique colléesResponsable scientifique : Claude Launois❏ TP 6 • Prothèse sur implantsResponsable scientifique : Corinne Touboul❏ TP 7 • Composites postérieurs

en méthode indirecteResponsable scientifique : Pascal Zyman

❏ TP 8 • Urgence-réanimationResponsable scientifique : Thérèse Arvis❏ TP 9 • Plan de traitement pluridisciplinaireResponsables scientifiques : Éric Hazan,Éric Serfaty❏ TP 10 • Orthèses mandibulaires

dans les ronflements et SAOSResponsable scientifique : Frédéric Chabolle❏ TP 11 • OcclusodontieResponsables scientifiques : Bernard Fleiter,Dominique Estrade❏ TP 12 • Prothèses fixéesResponsables scientifiques : Hervé Choukroun,Alain Trévelo❏ TP 13 • Instruments ultrasonoresResponsable scientifique : Gilles Gagnot❏ TP 14• L’aide microscopique au quotidienResponsables scientifiques : Franck Decup,Stéphane Simon

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14 travaux pratiques à la carte pour vous perfectionner. Au sein de chaque TP, des groupes de 5 à 10 praticiens animés par une équiped’enseignants. Une formation complète pour vous conduire au geste juste.

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(préciser journée SOP) Tél. : 01 40 78 78 40 – Fax : 01 40 78 78 04

* Inscription avant le 16 mars – membres SOP et FSSOSIF : 290 € ; autres : 350 €. Inscription après le 16 mars – membres SOP et FSSOSIF : 330 € ; autres : 390 €.

B U L L E T I N D ’ I N S C R I P T I O N

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exclusif :

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L E D R O I T D U P R AT I C I E N

Une consœur a été récemmentcondamnée en appel pour « tromperiessur les qualités substantielles de la prestation de services ». Quelle interprétation donnez-vous à cetarrêt de la cour d’appel de Paris ?Si cette jurisprudence était confirmée,elle aurait des conséquences directes

sur la relation médicale entre le chirurgien-dentiste et son patient. De quoi s’agit-il ? À la lecture de l’arrêt, on comprend que la patiente reprochait à notre consœurdes dépassements d’honoraires sur des actes opposables,une absence de devis ainsi qu’une absence de demanded’entente préalable, obligatoire à l’époque des faits. La lecture de l’arrêt laisse également supposer que la patienten’était pas satisfaite des soins. En somme, il apparaît que notre consœur a cumulé les manquements aux règlesdéontologiques, conventionnelles ainsi qu’aux obligationsqui découlent du contrat médical la liant à sa patiente.

D’où vient le problème si sa condamnation était justifiée ?Comme de nombreuses affaires similaires, celle-ci auraitdû être renvoyée devant les instances compétentes :juridiction disciplinaire, instance conventionnelle et/ou juridiction civile. La patiente y aurait obtenu gainde cause : sanction disciplinaire ou conventionnelle du praticien, condamnation à des dommages-intérêts par la juridiction civile, etc. Or, c’est le juge pénal qui a été saisi et qui a alors appliqué les règles du droit de la consommation pour condamner notre consœur. Il y a bien sûr l’aspect pénal, inhabituel, mais le problème central est que, en se fondant sur le droit de la consommation, le juge a requalifié le contrat médical en une prestation de services.

Faut-il interpréter cette qualification de « prestation de services » comme un virage du droit français ?On peut espérer qu’il s’agit là d’un cas d’espèce isolé et qu’il ne sera pas confirmé par d’autres décisions. Carnotre droit aménage une place particulière à la personnedans toutes les questions relatives à sa santé. Le contrat

De l’acte médical à la vente : quand le droit rattrape le marketing dentaire…

INTERVIEW

médical, qui lie le patient à son praticien, est le résultatd’un cheminement jurisprudentiel, législatif et réglementairequi a mis des décennies pour aboutir à la protection du patient – et de son corps. C’est, bien sûr, un contratcivil, mais avec des contours façonnés par l’humanismemédical qui interdit d’assimiler l’acte médical à une vente.Pour prendre un exemple, les juges ont toujours qualifiéla prothèse posée par le chirurgien-dentiste d’« insaisissable » même si le patient n’a pas payé les honoraires y afférents. Car il ne s’agit pas d’un « bien »,mais d’un dispositif médical intégré au corps humain. Or,dans cette affaire, en assimilant le traitement réalisé par notre consœur à une prestation de service, le jugeignore la philosophie qui sous-tend le droit médical et déforme les règles spécifiques de ce droit, instauréesdans l’intérêt du patient. En somme, si l’on admet la confusion entre la prestation de service et l’interventionsur le corps humain, ce dernier deviendrait alors un biende consommation et un objet d’échanges commerciaux !

Selon vous, peut-on expliquer cette approche« consumériste » des juges par capillarité avec un certain environnement professionnel qui met en avant une démarche marketing ?Les juges ne sont pas coupés du monde ! L’approche« commerciale » de la dentisterie, véhiculée par une certainepresse dentaire, trouve un écho chez les avocats, qui l’utilisent pour alimenter leurs dossiers, et les jugesne peuvent dès lors la méconnaître. Si nous-mêmes, en tant que professionnels, adoptons cette approche,pourquoi les juges l’ignoreraient-ils ? Bien sûr, l’évolutionde notre exercice nous incite à une gestion plus pragmatique,plus efficace, mais celle-ci doit se traduire par des solutionscentrées sur le patient. Faire croire que les techniquesmercantiles, labellisées « manageuriales », régleront les soucis du chirurgien-dentiste avec la sécurité sociale,la convention, les rendez-vous manqués, les impayés, etc.est un leurre. Cette affaire montre surtout la nuisance des méthodes propres au commerce que les promoteurs du « marketing dentaire » ont importées dans notre professionet qui ont bluffé plus d’un chirurgien-dentiste. ■

Dans une affaire opposant un praticien à une patiente, le juge requalifie le contrat

médical en une prestation de services. Entretien avec Marc Sabek (photo)

sur les conséquences de ce virage du droit français.

JSOP / n° 2 / février 2007 21

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Les rendez-vous de la formation continue odontologique

LES FORMATIONS SOPEN 2007

ET AUSSI…

> GAGNER DU TEMPS SANS COMPROMIS

22 mars 2007> RADIOPROTECTION23 mai 2007> TRAVAUX PRATIQUES24 mai 2007> QUESTIONS D’IMPLANTOLOGIE14 juin 2007> PLAN DE TRAITEMENT11 octobre 2007

> LES FORMATIONS DU RÉSEAU FCL

VOYAGE-CONGRÈS> ÎLE MAURICE 8es JOURNÉES DE CHIRURGIEDENTAIRE11-22 avril 2007

Du patientà la prothèse,trois stratégies pourtraiter l’édenté total

700PERSONNES ONT ASSISTÉ à lajournée de formation de la

SOP consacrée à l’édenté total. Nousen proposons un résumé synthétiquedans les pages suivantes. En ouver-ture de cette journée, Sandro Pallaaura bousculé – voire heurté – l’appro-che classique qui a cours dans noscabinets, consistant à donner uneréponse de spécialiste la plus efficacepossible en termes techniques, maispas nécessairement la plus efficienteen termes d’augmentation de laqualité de vie du patient… PaulMariani a quant à lui insisté, entreautres, sur la nécessité de réaliser,selon un protocole précis, un guide

radiologique et chirurgical avanttoute réalisation prothétique. Pourclore cette journée, Frédéric Chichea confirmé le consensus consistant,lorsqu’un enjeu esthétique est encause, à réaliser un bridge implanto-porté sans implant dans le secteurantérieur, afin de respecter esthéti-que et phonétique.�

Ce compte rendu de la formation SOP consacrée à l’édenté total,coordonné par Joël Dubreuil, a été réalisé avec le concoursdes Drs Hervé Choukroun,Corinne Touboul et Marc Roché.

JSOP / n° 2 / février 2007 23

Toutes les informations, tous les comptes rendus in extensosont consultables sur :

www.sop.asso.fr

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Le traitement prothétiqueaméliore-t-il vraimentla qualité de viede l’édenté total ?

Pr SANDRO PALLA

Université

de Zurich

L E SUCCÈS DU TRAITEMENT de l’édentétotal doit être considéré en ter-

mes d’amélioration de la santé et dela qualité de vie du patient. La qualitétechnique de la reconstruction pro-thétique ne garantit en aucun cas lasatisfaction du patient. L’améliorationde la mastication, élément certes im-portant,ne suffira pas à assurer le suc-cès de nos traitements.L’efficacité de la mastication dépend,d’une part, de l’importance des sur-faces occlusales en opposition car

elles permettent la réduction du bolalimentaire et, d’autre part, des joueset des lèvres, qui doivent pouvoirmaintenir ce bol alimentaire entreles faces occlusales. Le plus souvent,si la dimension verticale d’occlu-sion n’est pas modifiée, la réalisa-tion d’une nouvelle prothèse amélio-re la capacité masticatrice. En effet,une prothèse stable et « rétentive »permet aux organes périphériques( joues et langue) de remplir leur rôlesans avoir à maintenir en place laprothèse.

COMPENSER TOUTESLES PERTES DE DENTS ?La force maximale de masticationdiminue avec la perte des dents.Cependant, une fonction normalepeut être assurée avec 20 % de cemaximum. C’est le nombre et la dis-tribution des dents restantes quidétermineront la nécessité (ou non)d’un traitement prothétique. Il n’ya pas toujours un intérêt thérapeu-tique à compenser toutes les per-tes de dents. On pourrait penserque la perte de dents entraîne desproblèmes de digestion, des problè-mes gastro-intestinaux, ou encoredes problèmes de choix de nourri-ture. Qu’en est-il vraiment ?

Pour Sandro Palla, études à l’appui, une approche exclusivement techniqueet ne tenant pas compte des réelles attentes du patient édenté total n’améliore pas mécaniquement sa qualité de vie. Synthèse de son intervention.

1 – Enregistrement incorrectde la surface d’appui(signalé en noir).

2 – Bascule de la prothèse.

L’essentiel de la formation SOP/L’édenté total, 19 octobre 2006Les rendez-vous de la formation continue odontologique

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L’essentiel de la formation SOP/L’édenté total, 19 octobre 2006Les rendez-vous de la formation continue odontologique

3 et 4 – Pour Sandro Palla,le plan d’occlusiondoit être parallèleà la surface d’appui.

• Il n’existe pas de problème de di-gestion chez les patients jeunes ;

• La corrélation entre les problèmesgastro-intestinaux et la perte dedents concerne principalement lespatients âgés ;

• Bien que d’autres variables soient enjeu (milieu socio-économique, etc.),il existe probablement une cor-rélation entre le choix de la nour-riture et la perte de dents car lepatient édenté aura tendance àprivilégier une nourriture moinsdure et moins riche en fibres, ce quiaugmentera ses problèmes gastro-intestinaux.

Il existe une différence importanteentre la capacité à triturer le bol ali-mentaire – efficacité objective – et lasensation du patient à pouvoir mas-tiquer – efficacité subjective. Mais ilest impossible d’établir une corréla-tion entre ces deux notions. Au coursde l’évolution du sujet de l’état dentévers l’état édenté,on constate une évo-lution du type de nourriture consom-mée. Or, cette évolution ne s’inversepas quand le patient est ensuite ap-pareillé. Cela pose la question de l’uti-lité du traitement pour le patient :le traitement prothétique améliore-t-il la qualité de vie du patient ? C’estbien la raison pour laquelle il convientde ne pas se focaliser sur notre spé-cialité : c’est l’évolution de l’environ-nement de nos patients qui joue unrôle déterminant dans leur qualitéde vie.Trois études nous le montrent.

L’IMPACT RÉEL DU TRAITEMENT SUR LA QUALITÉ DE VIEUne première étude indique que laqualité de vie est indépendante dusexe ou du lieu de résidence des pa-tients, mais elle est en relation avecl’édentement. Cela s’accompagne defacto de problèmes causés par le vieil-lissement. L’âge est très important

dans la variation de la qualité de vie.Une deuxième étude porte sur la dif-férence de qualité de vie à l’issued’un traitement prothétique. Il n’y apas de différence significative pourles traitements de prothèse conjoin-te ou de prothèse adjointe partielle.Pour la prothèse complète, l’amé-lioration est beaucoup plus signi-ficative après la pose de nouvellesprothèses.Enfin, dans une troisième étude, lesmeilleurs résultats sont obtenus dansles cas de prothèse adjointe sansimplant chez les patients qui ne sol-licitaient pas de solution implantaire.A contrario, les traitements des pa-tients porteurs d’une simple prothè-se adjointe et qui réclament des im-plants donnent les résultats les moinsbons. Les traitements combinant pro-thèse adjointe et implants chez lespatients qui étaient demandeurs deces solutions donnent des résultatsintermédiaires. …

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5 et 6 – Le résultatesthétique estdû à l’animationnaturelle du blocincisivo-caninsupérieur.

L’essentiel de la formation SOP/L’édenté total, 19 octobre 2006Les rendez-vous de la formation continue odontologique

Vos questions, les réponses de Sandro Palla

Faut-il anticiper les doléances

du patient en proposant

de refaire les prothèses avant que

des difficultés plus importantes

ne surviennent ?

Le traitement doit être adapté à chaque patient. Il faut demanderau patient la raison pour laquelle il souhaite refaire ses prothèses.Cette demande émane-t-elle de lui-même ou bien de son entourage ?A-il un problème d’esthétique ou de mastication ? On peut d’ailleurs,en fonction de ses réponses, dissuaderun patient de refaire ses prothèses.

Pour les édentements

postérieurs non compensés,

vous dites que la capacité

masticatoire n’est pas affectée.

Mais les ATM ne risquent-elles

pas d’être affectées par l’absence

des dents postérieures ?

Il n’existe pas de corrélation entre les problèmes d’ATM et l’absence des dents postérieures. Il y a 20 ans,les études effectuées sur crânes secsavaient montré des atteintesd’arthrose. Mais rien ne dit que cettearthrose serait davantage due auxédentements postérieurs qu’à l’âge.

26 JSOP / n° 2 / février 2007

traîne pas forcément une améliora-tion de la nutrition. Il faut donc infor-mer son patient quant à cette éven-tuelle amélioration.S’agissant du choixdu traitement par le patient, il a un rap-port avec la rétention et la stabilitéofferte, mais surtout avec la possibi-lité de nettoyer correctement la pro-thèse et les implants.C’est ce qui expli-que que 50 % des choix portent surla prothèse adjointe sur implants et50 % sur la prothèse fixe sur implants.

LES CINQ CRITÈRES DU SUCCÈS THÉRAPEUTIQUEQuelle que soit la méthode utiliséepour la réalisation de la prothèsecomplète, on compte 80 % à 85 % depatients satisfaits. Cinq critères desuccès du traitement peuvent êtreidentifiés : l’adaptation parfaite dela base à l’os sous-jacent ; l’occlusion,avec une dimension verticale d’oc-clusion (DVO) correcte en relationcentrée ; la stabilité des secteurs cus-pidés pendant la mastication ; le po-

Cette dernière étude montre à quelpoint l’effet placebo est déterminant.Il réside dans la communication avecle patient, dans l’information qui luiest donnée. Cet effet placebo permetde stimuler les parties du cerveau quiluttent contre la douleur. Cela mon-tre qu’il convient d’expliquer ce quenous faisons au patient et ce qu’ildoit attendre de la prothèse puisquel’éducation du patient a des consé-quences sur l’analgésie.In fine, le but du traitement consisteen premier lieu à améliorer la nutri-tion. Malheureusement, l’améliora-tion de l’efficacité masticatrice n’en-

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L’essentiel de la formation SOP/L’édenté total, 19 octobre 2006Les rendez-vous de la formation continue odontologique

Quel est le temps d’adaptation

nécessaire pour retrouver une

fonction masticatrice normale ?

Au moins six mois. Il convient de dire au patient ce qu’il peut et ce qu’il doit attendre. J’insiste : le patient doit savoir ce qu’il peutattendre du traitement et, nous,praticiens, nous devons savoir ce que nous pouvons traiter.

Que se passe-t-il en l’absence

de traitement ?

Le plus important, c’est l’hygiènebuccale, puis la surveillance. Après

des avulsions dentaires, s’il doit y avoir des versions ou des égressions,elles auront lieu tout de suite et non au bout de dix ans.

Quelle technique

et quel matériau

préconisez-vous pour enregistrer

la zone neutre ?

Au stade de l’essayage du montagedes dents sur cire, on diminuel’extension de la base prothétique en cire avec pour objectif la stabilité.Lorsque vous laissez le patient parler,compter, lorsqu’il ouvre la bouche,

la prothèse ne doit pas bouger. Si on ne réussit pas à obtenir cela, on enlève une partie de la cire et on place une résine à priseretardée qui sera modelée lors de la fonction.

Toutes les questions des participants et lesréponses de Sandro Pallapeuvent être consultées sur le site Internet de la SOP :www.sop.asso.fr

JSOP / n° 2 / février 2007 27

sitionnement des arcades dentairesdans la zone neutre ; l’illusion parfai-te des dents naturelles données parles dents prothétiques.En premier lieu, une erreur lors de la prise d’empreinte peut conduire àun défaut d’application de la mu-queuse sur la base osseuse et provo-quer ainsi une bascule pendantla mastication . Cela montrel’importance du « marginage » desbords du porte-empreinte. Le patientne doit pas bouger pendant ces étapes. On insistera sur l’importance du joint paratubérositaire, etsur la nécessité de comprimer le palais mou.En deuxième lieu, il convient de dé-terminer une relation centrée cor-recte. Les bases doivent être parfai-tement stabilisées sur les arcades. Àce titre, la technique d’enregistre-ment de la relation intermaxillaireavec un point d’appui central sembleplus fiable que celle s’appuyant surdes bourrelets d’occlusion.

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Troisième élément, l’occlusion doitêtre stable : il est important d’obte-nir un parallélisme entre les faces oc-clusales et l’orientation de la baseosseuse .Quatrième élément, une empreintefonctionnelle de la zone neutre peutêtre réalisée avec une résine à priseretard. Cette zone aura une influencesur le choix des dents.Enfin, c’est l’ensemble du visage quidoit être pris en compte car le sourireest « rare ». L’objectif consiste à obte-nir un aspect naturel déterminé par laposition de la lèvre supérieure, la po-sition des dents, la DVO et l’orienta-tion de l’arcade dentaire . L’undes problèmes de la prothèse complè-te vient du fait que la taille des dentsdu commerce est trop étroite par rap-port à la taille moyenne des dents na-turelles. Ceci provient du fait que lesmontages se font habituellementdans des zones trop postérieures. Ilconviendra, dans tous les cas, de res-pecter la classe d’Angle du patient.�

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CE QU’IL FAUT RETENIR

• Le choix du type de prothèseque le patient souhaite est basé sur un éventail de critères beaucoupplus large que ce que l’on peutimaginer de prime abord.

• Le thérapeute se doit d’être le plusobjectif possible dans ses explicationset percevoir chez son patient ses attentes véritables.

• Un certain nombre de facteurspsychologiques sont probablementplus importants que les facteursprothétiques.

• Lors de l’animation du blocincisivo-canin en prothèse adjointetotale, si la recherche du beau est subordonnée à notre bagageculturel, la recherche du naturel est universelle.

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1 et 2 – Des plombs de chasseont été utilisés commematériaux radio-opaques.

Le guide radiologiqueet chirurgical facteurdu succès prothétique

Pr PAUL MARIANI

Chef

du département

de prothèses

et d’implantologie

à la faculté

d’odontologie

de Marseille

Pour Paul Mariani, la prothèse provisoire constitue un outil indispensable de validation de la prothèse, sous la forme d’un guide radiologique et chirurgical.À condition d’y matérialiser des repères répondant à des besoins précis.

L’essentiel de la formation SOP/L’édenté total, 19 octobre 2006Les rendez-vous de la formation continue odontologique

EN 2002, le consensus de Mc Gill aétabli que la « stabilisation d’une pro-

thèse totale mandibulaire par deux im-plants est un standard thérapeutiqueminimal ». Mais quels objectifs doitse fixer le praticien, quels sont sesmoyens d’y parvenir et, enfin, quellessont les techniques ?Il est fondamental de se fixer desobjectifs thérapeutiques avec le pa-tient. On peut diviser ces objectifs entrois classes. Premier objectif : rétablirla fonction, la surface d’occlusion etla dimension verticale. Deuxième ob-jectif : rétablir l’esthétique. CitonsJean-Claude Harter :« Les dents ne ser-vent pas qu’à manger, mais à vivre ensociété. » Enfin, troisième objectif :préserver l’anatomie résiduelle chezle patient. En effet, dès qu’une pro-thèse est stabilisée par des racines

artificielles, on préserve le volume os-seux résiduel. Quels sont les moyensthérapeutiques et quels sont leur in-dication ? S’agissant de la prothèseostéo-ancrée de type classique,ce sontles racines artificielles qui supportentdes bridges.

QUELLE PROTHÈSE SURSUPPORT OSSEUX RÉDUIT ?Pour la prothèse sur support osseuxréduit, on réalisera soit une recons-truction osseuse avant implantationet prothèse classique, soit une pro-thèse ostéo-ancrée de type Brane-mark avec fausse gencive à distancedes implants. Dans ce dernier cas,on peut envisager des extensions distales pouvant aller jusqu’à 18 mm.Restent les prothèses sur « overden-tures », qui présentent les avantagessuivants :• Un nombre d’implants nécessaires

moins important ;• Une chirurgie facilitée ;• Un coût moindre de la prothèse ;• Une hygiène simplifiée ;• Une esthétique plus facile à gérer ;• Une absence de problème de pho-

nétique.S’agissant de ce type de prothèse, leminimum d’implants est de deux,soli-darisés ou non à la mandibule, et de

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Vos questions, les réponses de Paul Mariani

Quand vous réalisez

une prothèse

avec quatre implants

à la mandibule, quelle est

la position idéale des implants ?

Si l’on met quatre implants, c’est en avant des canines qu’il faut les placer, le dernier implant au ras du foramen mentonnier.

Pourquoi faudrait-il placer

un implant médian

dans la symphyse alors que

la nature a toujours épargné

cette zone ?

Ce sont les concepts de Branemark,certains diront les dogmes. C’est vrai,je place très souvent un implantcentral. A priori cette zone est fixe et indéformable, alors qu’il y a une déformation de l’arc mandibulaire

dans les zones postérieures à la propulsion et à l’ouverturebuccale : les zones postérieuress’écartent. S’il existe un endroitdangereux, il se situe dans ces secteurspostérieurs. Le point fixe, qui ne variepas, est le milieu de la symphyse. En revanche, il ne faut jamais placerd’implant médian au maxillaire.

La mise en charge immédiate

que vous proposez avec

la barre de conjonction

est-elle permise au motif

qu’elle immobilise les implants ?

Est-elle possible également

avec des boules indépendantes ?

Ce qui est validé, c’est le « stabilisateurexterne ». Notre artifice prothétiquemétallique est un stabilisateurexterne qui rejoint tous les implants.

À la mandibule, certains, semble-t-il,ont une expérimentation avec des boules. Personnellement, je n’ai pas d’expérience et, de toute façon, sur le plan scientifique,cela n’est pas validé aujourd’hui.

Que doit-on faire lorsque l’on

ne peut pas placer deux implants

symétriques par rapport

au milieu pour des raisons

de configuration osseuse ?

Deux boules.

Toutes les questions des participants et lesréponses de Paul Marianipeuvent être consultées sur le site Internet de la SOP :www.sop.asso.fr

L’essentiel de la formation SOP/L’édenté total, 19 octobre 2006Les rendez-vous de la formation continue odontologique

quatre implants solidarisés au maxil-laire. Mais cette dernière solution atendance à être abandonnée car, avecquatre implants, on peut envisagerune prothèse fixe.

LE PROJET PROTHÉTIQUEET LES OBJECTIFS DU GUIDEVenons-en au projet prothétique, quipasse par la réalisation d’un guide.Quels sont les objectifs d’un guide ?Il s’agit de tester la cohérence entre lesouhait prothétique du patient et lespossibilités anatomiques. Ici, le projetprothétique permet la validation desfutures prothèses.Deuxième fonction du guide : le trans-fert radiologique avec marqueurs ra-dio-opaques, qui permet d’établirla cohérence avec l’anatomie osseu-se ainsi que l’orientation des futursimplants. Enfin, il s’agit de guider lachirurgie.

Les objectifs sont fixés, quels sont àprésent les moyens à la dispositiondu praticien ? Il en existe trois, recou-rant à la résine transparente, à la ré-sine radio-opaque et à l’assistanceinformatique.• Résine transparente. Il s’agit de réa-

liser un duplicata en résine transpa-rente de l’ancienne prothèse ou dumontage de la future prothèse. Ceduplicata doit être positionné sur lacrête, ce qui permet d’observer la

3 – Matérialisation du pointmédian de la mandibule.

4 – Equidistance desimplants.

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L’essentiel de la formation SOP/L’édenté total, 19 octobre 2006

CE QU’IL FAUT RETENIR

• Il est impératif de réaliser un projet prothétique et de le valideravant toute exécution de prothèsed’usage. Il permettra l’obtentiond’un duplicata en résine transparenteservant de guide radiologique et chirurgical.

• Il est prudent de matérialisersur ce guide un point central et la localisation idéale des implantspar des repères radio-opaquestransmissibles sur la radio et dans la phase chirurgicale.

position des crêtes par rapport à laprothèse. On localise sur le guide laplace des futurs implants que l’onmatérialise sur un matériau radio-opaque .

• Résine radio-opaque. On utilise larésine radio-opaque pour les dentset une résine transparente pour labase. Cette technique est particu-lièrement recommandée lorsquel’on envisage de réaliser une pro-thèse classique. On pourra ainsi po-ser les implants dans une situationidéale par rapport à la future émer-gence prothétique.

• Assistance informatique. Il existeune nouvelle approche recourant àl’assistance informatique. Ici,on réa-lise un projet prothétique et uneplanification informatique, laquellesera réalisée en fonction du volumeosseux et du projet prothétique.

DEUX TECHNIQUESCHIRURGICALESDeux techniques pourront être misesen œuvre : la technique classique aveclambeau,décollement et guide conven-tionnel,et la technique transmuqueu-se. Lorsque l’on recourt à la techniqueclassique au niveau symphysaire man-dibulaire, il est important de placer lesimplants de manière équidistante parrapport au point médian de la mandi-bule . On pointe le point mé-dian grâce au guide, puis les implantssont placés de part et d’autre de ce pointà égale distance de celui-ci. S’agissantde la technique transmuqueuse avecplanification informatique, relevonsqu’elle est peu invasive et permet laréalisation d’une prothèse immédiate.Contrairement à ce qui est communé-ment admis, la région symphysaire

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peut présenter des dangers. Le canalincisif chemine au niveau de la sym-physe. Il peut émerger soit au niveaumédian, soit au niveau latéral. Uneartère,une veine et un nerf incisif sontsitués dans ce canal.Les artères sublin-guale et incisive sont souvent anasto-mosées. Selon la morphologie de lamandibule, il existe un risque non né-gligeable de perforation dans la régionsublinguale,et donc un risque hémor-ragique grave. Le scanner est donc in-dispensable dans cette région.

CONCEPTS OCCLUSAUX :DEUX PRINCIPESS’agissant de la mise en fonction desprothèses, dans la plupart des cas, lesprothèses totales mandibulaires im-planto-portées peuvent être mises enfonction immédiatement. Mais atten-tion ! Les implants doivent être impé-rativement immobiles : le vissage doitse faire à 40 newtons. De même, lesprothèses totales maxillaires réaliséesavec la technique Nobelguide peuventégalement être mises en charge im-médiatement. Dans cette option, onpeut aussi envisager des prothèsestotales mandibulaires à complémentde rétention.Enfin, pour terminer, nous sortironsde l’oubli deux principes portant surdes concepts occlusaux. Le premierprincipe porte sur la protection desdents postérieures. Elle est possiblegrâce à une bonne courbe occlusale,en évitant les interférences en latéra-lité et en réalisant un guidage anté-rieur ainsi qu’une protection canine.La présence d’implants augmente lesforces occlusales, ce qui peut consti-tuer un facteur aggravant du fait d’uneplus grande sollicitation masticatoire.Second principe : c’est toujours la pro-thèse la moins stable qui guide leconcept prothétique. Si une prothèsecomplète fait face à une prothèseimplanto-portée, ce sont les conceptsocclusaux de la prothèse adjointetotale qui seront appliqués.�

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5 – De l’importance duparallélisme desimplants.

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Dr FRÉDÉRIC CHICHE

Attaché

de consultation

à la faculté

de Paris VII

L’essentiel de la formation SOP/L’édenté total, 19 octobre 2006

Bridge scelléimplanto-porté sans implant antérieur :mode d’emploi

Lorsqu’il y a nécessité esthétique, la réalisation d’un bridge implanto-porté sans implantdans le secteur antérieur s’impose. Synthèse de la démonstration de Frédéric Chiche.

I L N’EXISTE AUCUN SYSTÈME PROTHÉTIQUEqui ne comporterait que des avan-

tages. Pour les bridges de type Bra-nemark avec extensions distales seposent deux problèmes : la stabilisa-tion de l’occlusion lorsque l’on utilisede la résine pour les faces triturantes,d’une part, et la question de la frac-ture lorsqu’on utilise de la céramique,d’autre part.Au maxillaire, afin d’éviter les exten-sions distales,on pourra faire appel auximplants tubérositaires. L’autre solu-tion consistera à placer des implants au

niveau des premières et deuxièmesmolaires.Une reconstruction complète peutégalement s’envisager sur huit im-plants, sans extensions distales, enrespectant une esthétique aisée etreproductible. On ne place pas d’im-plant dans le secteur incisif maxil-laire pour faciliter la gestion de laphonétique. Les implants sont pla-cés au niveau canine, prémolaire,molaire, de sorte qu’ils soient le plusparallèles possible entre eux.Les édentés bimaxillaires totaux po-sent toutefois un gros problème carla résorption osseuse est centrifuge àla mandibule, et centripète au maxil-laire. La difficulté est donc de position-ner les implants de façon à sortir lesémergences maxillaires et rentrer lesémergences mandibulaires.Les reconstructions sont monoblocs,mais on pourrait les concevoir en troisparties : une partie antérieure et deuxparties latérales. On utilise des piliersen or de type UCLA surcoulés qui per-mettent des rattrapages d’axe impor-tants, jusqu’à 30°.Dans les secteurs postérieurs, on faittrès souvent appel aux techniquesde comblement sinusien avec diverstypes de matériaux : os autogène,substituts osseux,qui donnent d’excel-lents résultats (citons par exemple,

JSOP / n° 2 / février 2007 31

CE QU’IL FAUT RETENIR

• Lors de la réalisation d’un bridge implanto-porté, il est possible de s’affranchir de la pose d’implant dans le secteurantérieur – si l’esthétique l’exige – par la pose de huit implants répartis par moitiéau niveau des secteurs postérieurs.

1 – Positionnement desimplants dans les secteurslatéraux.

2 – L’absence d’implantdans le secteur antérieurpermet un résultatesthétique optimal.

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CE QUE VOUS EN AVEZ PENSÉ

« L’APPROCHE DUPATIENT : UNE VRAIENOUVEAUTÉ »

Kathy Atrak,39 ans, omnipraticienneà Courbevoie (92)« Cette journée a parfaitementrépondu à mes attentes grâceaux approches complémentai-res des conférenciers. Celle deSandro Palla, qui consiste à nepas imposer au patient un trai-tement, mais à le prendre enconsidération dans sa globalitépour éviter les incohérences auniveau esthétique ou de la posi-tion de la prothèse, était, pourmoi une véritable nouveauté. »

« DES RECETTESAPPLICABLES À MA PRATIQUE »

Marie-Claude Jannel,55 ans, omnipraticienneà Laudun (30)« Depuis 15 ans, je revienstoujours des formations SOPavec des recettes applicablesà ma pratique.Cette fois, je retiens que, pourla pose de prothèse, il fautnon seulement appliquer lesprotocoles validés, mais aus-si il convient d’installer l’ar-cade dentaire dans les zonesneutres et de bien stabiliserla prothèse. »

« UNE VISIONGLOBALE ETSYNTHÉTIQUE »

Éric Champleboux,48 ans, omnipraticienà Arpajon (91)« Le sujet est tellement vastequ’il ne pouvait malheureu-sement pas être épuisé.J’ai particulièrement appré-cié la présentation de Frédé-ric Chiche d’un système clini-que reposant sur la pose dehuit implants dans les sec-teurs postérieurs. La visionglobale et synthétique du thè-me a, pour moi, fait la riches-se de cette journée. »

« LES IMPLICATIONSEN MATIÈRED’ASSURANCE »

Guy Vibert,50 ans, omnipraticienà Lyon (69)« C’est la deuxième formationde la SOP à laquelle je parti-cipe. J’apprécie la démarchepédagogique, appuyée par lacompétence des modérateurs.La salle peut vraiment échan-ger avec les conférenciers. Et lorsque l’on vous indiquecomment réaliser une greffeosseuse, on vous alerte éga-lement sur les implicationsen matière d’assurance. »

L’essentiel de la formation SOP/L’édenté total, 19 octobre 2006Les rendez-vous de la formation continue odontologique

32 JSOP / n° 2 / février 2007

… le Bio-oss®). Selon Dennis Tarnow, leplacement d’une membrane permetune meilleure vitalité de la greffe.L’utilisation d’implants à surfacerugueuse permet d’augmenter en-core les taux de succès. Il existe deslimites aux comblements sinusiens,notamment quand on doit non seu-lement réaliser un comblement si-nusien, mais également une aug-mentation de volume au niveau dela crête, par une greffe autogèned’apposition.Ces chirurgies s’avèrent parfois compli-quées : on combine un abord sinusienpar voie latérale et une technique deSummers (dite « technique des osté-totomes »), ce qui peut poser pro-blème car il est impossible de contrô-ler une éventuelle déchirure de lamembrane sinusienne .�21

Vos questions, les réponses de Frédéric Chiche

Une formation d’implantologie

suffit-elle pour réaliser des

comblements de sinus ou faut-il

une formation particulière ?

Il faut une formation avancée. Des sociétés scientifiques proposentdes stages pour s’initier à l’implantologie, mais souvent, il y aun stage ou une formation n° 2 pour des techniques plus avancées de « haute précision » qui demandentune formation rigoureuse. Une formationpour les comblements de sinus consisteà apprendre lors de conférences, de stages, puis à voir au bloc opératoire,

en cabinet des praticiens qui réalisentces comblements. Ensuite, pour les premières interventions, il faut se faire guider et surtout, ne pas foncer ! Ce sont des interventionsqui restent très délicates, mais en même temps réalisables si l’on fait ce qu’il convient de faire.

Toutes les questions des participants et lesréponses de Frédéric Chichepeuvent être consultées sur le site Internet de la SOP :www.sop.asso.fr

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TARIFS

AGENDA

Les rendez-vous de la formation continue odontologique

GAGNER DU TEMPSSANS COMPROMIS➜ Dr PHILIPPE DE JAEGHER

Organisation des soins➜ Dr NICOLAS LEHMANN

Dentisterie restauratrice➜ Dr JACOB AMOR

Endodontie➜ Dr BERNARD SCHWEITZ

Parodontologie➜ Dr ÉRIC HAZAN

Prothèse fixée

FORMATION À LARADIOPROTECTION➜ Formation validante➜ Nombre de places limité

23 mai 200722 mars 2007

Les prochaines formations en un

• TARIF SPÉCIAL : 120 € • En vous inscrivant à l’avance, bénéficiez de l’offre spéciale annuelle réservée à tout membre de la SOP à jour de ses cotisations 2006 et 2007 et assistez en 2007 à une formation au choix pour 120 € seulement !QUESTIONS D’IMPLANTOLOGIE du 14/6/2007 : inscription avant le 30 avril 2007 et PLAN DE TRAITEMENT du 11/10/2007 : inscription avant le 31 juillet 2007

• TARIF SPÉCIAL 3 FORMATIONS : 700 € • Les nouveaux adhérents de la SOP ainsi que les membres de la SOP à jour de leur cotisation 2007 peuvent bénéficier d’un forfait de 700 € pour 3 journées scientifiques de leur choix (TP compris) au cours de cette année.

• TARIFS DES FORMATIONS (hors TP)Déjeuners et pauses café inclusINSCRIPTION 2 MOIS OU PLUS AVANT LA FORMATION(date mentionnée dans chaque bulletin d’inscription)

• Membres de la SOP et de la FSSOSIF : 250 €

• Autres : 310 €

INSCRIPTION MOINS DE 2 MOIS AVANT LA FORMATION(date mentionnée dans chaque bulletin d’inscription)

• Membres de la SOP et de la FSSOSIF : 290 €

• Autres : 350 €

• TARIFS TRAVAUX PRATIQUES – 24 MAI 2007Déjeuners et pauses café inclusINSCRIPTION AVANT LE 16 MARS 2007 :• Membres de la SOP

et de la FSSOSIF : 290 €

• Autres : 350 €

INSCRIPTION APRÈS LE 16 MARS 2007• Membres de la SOP

et de la FSSOSIF : 330 €

• Autres : 390 €

VOYAGE/CONGRÈSMAURICE➜ 8es JOURNÉES DE CHIRURGIE

DENTAIREMinoration pour touteinscription avant le 1-2-2007Bulletin d’inscription page 13

Du 11 au 22 avril 2007

34 JSOP / n° 2 / février 2007

Les droits d’inscription sont susceptibles d’être pris en charge par le FIF-PL sur la base de 100 €.

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AGENDA

Les rendez-vous de la formation continue odontologique

coup d’œil

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Inscription avant le 16 mars – membres SOP et FSSOSIF : 290 € ; autres : 350 €

Inscription après le 16 mars – membres SOP et FSSOSIF : 330 € ; autres : 390 €

JEUDI 22 MARS 2007GAGNER DU TEMPS SANS COMPROMISRive Gauche Saint-Jacques HôtelParis 14e – DE 9 HEURES À 18 HEURES

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Tarifs : membres SOP et FSSOSIF : 290 € ;autres : 350 €.

BULLETINS D’INSCRIPTIONà retourner accompagnés de votre règlement à :SOP – 6, RUE JEAN-HUGUES 75116 PARISRENSEIGNEMENTS Tél. : 01 42 09 29 13 Fax : 01 42 09 29 08www.sop.asso.fr

MERCREDI 23 MAI 2007RADIOPROTECTIONRive Gauche Saint-Jacques HôtelParis 14e – DE 8H30 À 18 HEURES

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Inscription avant le 15 mars – membres SOPet FSSOSIF : 255 € ; autres : 350 €Inscription après le 15 mars – membres SOPet FSSOSIF : 295 € ; autres : 350 €

JSOP / n° 2 / février 2007 35

❏ TP 1 • Système ProTaperResponsables scientifiques :Pierre Machtou, Dominique Martin❏ TP 2 • Blanchiment et pose de digueResponsables scientifiques :Jean-Jacques Louis, Richard Kaleka❏ TP 3 • ParodontieResponsable scientifique :Bernard Schweitz❏ TP 4 • Composites postérieurset antérieurs en méthode directeResponsable scientifique :Grégoire Kuhn❏ TP 5 • Facettes de céramiquecolléesResponsable scientifique :Claude Launois❏ TP 6 • Prothèse sur implantsResponsable scientifique :Corinne Touboul❏ TP 7 • Composites postérieurs en méthode indirecteResponsable scientifique :Pascal Zyman

❏ TP 8 • Urgence-réanimationResponsable scientifique :Thérèse Arvis❏ TP 9 • Plan de traitementpluridisciplinaireResponsables scientifiques :Éric Hazan, Éric Serfaty❏ TP 10 • Orthèses mandibulairesdans les ronflements et SAOSResponsable scientifique :Frédéric Chabolle❏ TP 11 • OcclusodontieResponsables scientifiques :Bernard Fleiter, Dominique Estrade❏ TP 12 • Prothèses fixéesResponsables scientifiques :Hervé Choukroun, Alain Trévelo❏ TP 13 • InstrumentsultrasonoresResponsable scientifique :Gilles Gagnot❏ TP 14 • L’aide microscopique au quotidienResponsables scientifiques :Franck Decup, Stéphane Simon

TRAVAUX PRATIQUES À LA CARTERive Gauche Saint-Jacques Hôtel – Paris 14e – de 9 heures à 16 heuresCOCHEZ LE TP CHOISI

24 mai 2007

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AGENDA

Les rendez-vous de la formation continue odontologique

Les formations du réseau Formation continue libre (FCL)

ADFOC de SavoieTél. : 04 79 62 42 67

Jeudi 22 mars 2007 – Aix-les-Bainsde 9 h à 18 h• Carte blanche à Eric Van Dooren

Anvers

AEOAssociation de l’école odontologiqueFormation AITEC (anatomie, imagerie,tête et cou)5, rue Garancière – 75006 ParisTél. : 01 43 29 37 65Fax : 01 40 46 96 67

Jeudi 22 mars 2007 – de 9 h à 17 h• Anat. chirurgicale maxillaire ;

anesthésies intraorales (I) ; Sinusmaxillaire – Dissection (cavitésnasales, sinus nerf maxillaire)

Vendredi 23 mars 2007 – de 9 h à 17 h• Anat. chirurgicale mandibule ;

anesthésies intraorales (II) –Dissection (cou larynx, pharynxvoile du palais)

AEOSAssociation d’enseignementd’odontologie et de stomatologie179, rue Saint-Honoré – 75001 ParisTél. : 01 42 61 71 [email protected]

Jeudi 15 mars 2007 – 19 h 30• Les parodontites,

des maladies pour le patientJEAN MEYER

ALPHA OMEGA13, rue de l’Hôtel-de-Ville – 26400 CrestTél. : 04 75 25 07 78

Jeudi 1er février – 20 h – Sofitel Lyon• Nouveaux concepts

de traitement en parodontieFRANCIS MORAJeudi 8 mars – 20 h – Sofitel Lyon• Stratification des composites

sur les secteurs antérieurset postérieurs

NICOLAS LEHMANN

CEIOPCercle d’étude d’implantologie orale et de parodontologie16, rue du Bocage – 33200 BordeauxTél. : 06 26 80 46 43- www.ceiop.com

Jeudi 1er mars 2007 – Bordeauxde 9 h à 17 h• Évolution du concept implantaire

– Aspect médico-légal de la pratique de l’implantologie

Dr PATRICK MISSIKAVendredi 30 et samedi 31 mars 2007Bordeaux – de 9 h à 17 h• Formation approfondie

en implantologie (3e et 4e sessions)

CÉIOP

FOC 6258, rue du 4-Juillet – 62300 LensTél. : 03 21 28 09 14

Jeudi 22 mars – de 9 h à 18 h – Lille• Quels exercices pour demain ?

Les solutionsDr SHERMAN, un avocat fiscaliste et un expert-comptable

ODFOC 4223, cours Victor-Hugo – 42000 Saint-Étiennewww.odfoc42.fr

Mercredi 14 mars 2007• Urgences au cabinet dentaireSDIS 42

ONFOC 36ChâteaurouxTél. : 02 54 84 15 15 – Jacqueline Bourgeois

Jeudi 15 février 2007 – Après-midiRelais Saint-Jacques – Châteauroux• Risques anatomiques

dans les gestes odontologiquesquotidiens

Dr MARIE-HÉLÈNE LAUJACJeudi 29 mars 2007 – Journée Relais Saint-Jacques – Châteauroux• Empreintes en prothèse conjointe

TP l’après-midiDr PASCAL AUROY

SBRSociété bioprogressive Ricketts18, avenue des Champs-Élysées75008 Paris – Tél. : 01 40 47 36 00

Lundi 5 mars – Lyon – de 9 h à 17 h 30• Les dysfonctions cranio-mandibulo-

posturales chez l’enfantANTONIO PATTILundi 19 mars 2007 – Marseille de 9 h à 17 h 30• Journée ORLANDRÉ CHAYS (ORL),MARTINE OSTORERO-BRUN (ORL),J-L FORCIOLLI (ORL),FRANÇOIS CHEYNET,RICHARDNICOLLAS (ORL),JOËLDENIAUD

SOBHLSociété odontologique du Bassinhouiller lorrain17, rue du Schlossberg – 57600 ForbachTél. : 03 87 85 15 46 – Dr André Heck

Vendredi 9 mars 2007 Saint-Avold – 19 h• Diagnostic et traitement

des kystes maxillairesDr JEAN-CLAUDE HARNET

SOSBNSociété odonto-stomatologique de Basse-Normandie83, rue Saint-Pierre – 14000 Caen

Jeudi 8 mars 2007• Techniques de collage

en pratique quotidienne,applications à la dentisterierestauratrice et à la prothèse

Pr MICHEL DEGRANGE

SOSNESociété odonto-stomatologique du Nord-Est25-29, rue de Saurupt – 54000 NancyTél. : 03 83 56 00 33Jeudi 29 mars – de 8 h 30 à 17 h 30Pont-à-Mousson• Traitement de l’édentement

unitaire aujourd’huiJEAN-PIERRE ATTAL et GIL TIRLET

JSOP / n° 2 / février 2007 37

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C L U B D E S PA RT E N A I R E S

LE DENTAIRE n’échappe pas à la croissance générale du domaine de l’esthétique. À l’écoute de leurs

patients, les chirurgiens-dentistes posentde plus en plus de prothèses céramiques,incluant les « tout céramique » en oxydede zirconium ou d’alumine. Les restaurationssont de plus en plus invisibles. Aujourd’hui,l’esthétique fiable existe.Le Clearfil Esthetic Cement a été conçupour répondre aux exigences de cette esthétique de haut niveau(inlays/onlays, facettes, prothèses tout céramique). Les teintes conviennent à tous les types de céramiques, mais aussi aux composites de laboratoire.

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Une remise de 60 €€ pour chaque journée de formation de la SOP* ;

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3 formations à 700 €€ ;

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L’abonnement à la Revue d’odonto-stomatologie (ROS) ;

Le prêt gratuit des cassettes vidéo de la SOP ;

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Les nouveaux adhérents de la SOP

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d’inscription reportée au 28 FEVRIER 2007

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Voilà pour vous un outil avantageux pour motiver et fidéliser vos salariés: le PEE, un placement

exonéré d’impôts tant pour vous, vos salariés que votre entreprise. Le PEE de la MACSF, c’est

de nombreux atouts : la prise en charge des formalités, un relevé des comptes à chaque

opération, un récapitulatif en fin d’année, les frais parmi les plus faibles du marché et aucun

frais d’ouverture de dossier, et surtout la qualité de gestion financière de la MACSF avec des

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à la santé des autres ont besoin

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fig. 15 - VOUS ÊTES PROFESSIONNEL DE LA SANTÉ, LE PLAN D ’ÉPARGNEENTREPRISE DE LA MACSF RENFORCE LA MOTIVATION DE VOSSALARIÉS ET VOUS FAIT PROFITER D’EXONÉRATION FISCALE.