7
• UNIVERS [email protected] Cédant aux amicales pressions de Dominique Voynet, Patrick Legrand devient conseiller de la ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement, au 1" septembre 1999. PL, directeur de la Mission environnement-société de l'INRA, nul ne l'ignore, fut secrétaire général de la Cellule environnement puis de la délégation permanente à l'Environnement (DPEnv.) de l'INRA, on s'en sou- vient. Il créa en 1986 le Courrier, c'est gravé dans l'ours de la 4 e de couv. Au MATE, PL aura la charge des domaines de la nature, des sites et paysages et de la formation, notamment. Il y aura affaire à des acteurs(trices) divers et variés : formateurs(trices), pol- lueurs(euses), défenseurs( ?) de la nature naturelle, prome- neurs(euses), nageurs(euses) et aménageurs(euses), agri- culteurs(trices), bétonneurs(euses), protecteurs(trices) et épingleurs(euses) de papillons, chercheurs(euses), végé- taliseurs(euses), pique-niqueurs(euses), promo- teurs(trices) du développement durable, promo- teurs(trices) tout court, contrôleurs(euses), râ- leurs(euses), électeurs(trices), conseilleurs(euses), payeurs(euses ?), populiculteurs(trices), chas- seurs(eresses), pêcheurs (euses ou eresses ?) et dé- fenseurs( ??) de la tradition. Bref, on peine avec tous ces féminins, mais pour PL, pas de problème, lui qui fut au cabinet d'Huguette Bouchardeau, ministre de l'en- vironnement, en 1983-1984. PL gardera un œil sur la ME&S, laquelle s'est vu assurer, par l'INRA comme par la ministre, la durabilité et même des renforts.

• UNIVERS [email protected]...• UNIVERS [email protected] Cédant aux amicales pressions de Dominique Voynet, Patrick Legrand devient conseiller

  • Upload
    others

  • View
    3

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: • UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv...• UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv.fr Cédant aux amicales pressions de Dominique Voynet, Patrick Legrand devient conseiller

[email protected]édant aux amicales pressions de Dominique Voynet, Patrick Legrand devient conseiller de laministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement, au 1" septembre 1999.PL, directeur de la Mission environnement-société de l'INRA, nul ne l'ignore,fut secrétaire général de la Cellule environnement puis de la délégationpermanente à l'Environnement (DPEnv.) de l'INRA, on s'en sou-vient. Il créa en 1986 le Courrier, c'est gravé dans l'ours de la 4e

de couv.Au MATE, PL aura la charge des domaines de la nature, des siteset paysages et de la formation, notamment. Il y aura affaire àdes acteurs(trices) divers et variés : formateurs(trices), pol-lueurs(euses), défenseurs( ?) de la nature naturelle, prome-neurs(euses), nageurs(euses) et aménageurs(euses), agri-culteurs(trices), bétonneurs(euses), protecteurs(trices) etépingleurs(euses) de papillons, chercheurs(euses), végé-taliseurs(euses), pique-niqueurs(euses), promo-teurs(trices) du développement durable, promo-teurs(trices) tout court, contrôleurs(euses), râ-leurs(euses), électeurs(trices), conseilleurs(euses),payeurs(euses ?), populiculteurs(trices), chas-seurs(eresses), pêcheurs (euses ou eresses ?) et dé-fenseurs( ??) de la tradition.Bref, on peine avec tous ces féminins, mais pourPL, pas de problème, lui qui fut au cabinetd'Huguette Bouchardeau, ministre de l'en-vironnement, en 1983-1984.PL gardera un œil sur la ME&S, laquelle s'estvu assurer, par l 'INRA comme par la ministre,la durabilité et même des renforts.

Page 2: • UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv...• UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv.fr Cédant aux amicales pressions de Dominique Voynet, Patrick Legrand devient conseiller

140 Courrier de l'environnement de l'INRA n°37, août 1999

• ETATS-UNIS$$$.Le traité signé à Kyoto, en novembre 1998, sur le changementclimatique pourrait conduire au développement d'un marché desdroits d'émission de gaz à effet de serre.En cultivant la biomasse, en adoptant le non-labour qui évite derelâcher dans l'atmosphère, sous forme de CO2 le carbone contenudans l'humus, en plantant des arbres, en laissant des champs enjachère, en produisant des biocarburants (etc.), les agriculteursréduiraient les émanations de CO2.Au prix de 20 à 30 $ (20 à 30 ) la tonne pour le droit d'émission,les agriculteurs états-uniens, capables d'épargner à l'atmosphère lerejet de 200 millions de tonnes (30% de la réduction annuelleprévue par Kyoto), pourraient voir le revenu de leur secteur ainsiaugmenter de 10%.D'après Phytonet du 14 avril 1999 (hébergé par Terre-Net www.terre-net.fr).

• FRANCEAOCNée en 1998, Y Association oser la controverse(AOC) s'est donnée pour objectif de définir,d'organiser et de promouvoir par tout moyen ettout support, le débat public et social autour desgrands choix scientifiques, techniques ousociétaux, et plus particulièrement ceuxconcernant la santé publique et l'environnement.La controverse organisée doit faire l'objetd'expérimentations et d'évaluation afin dedéfinir - pour les sujets complexes, évolutifs,pluridisciplinaires - ce qui serait à la fois uneméthode d'aide à la décision et une méthode devulgarisation au bénéfice d'un public élargi.AOC, Chabertière, 38760 Saint-Paul-de-Vence.Tél. : 04 76 73 23 23.

• ARGENTINELe Pingouin et les pingouinsL'écotourisme (en états-unien, ecotourism - visite des lieux « sauvages ») est devenu une activité trèsimportante, au chiffre d'affaire annuel dépassant les 300 milliards d'euros. L'engouement pour, parexemple, les colonies de pingouins ne risque-t-il pas de menacer ces oiseaux ? À Punta Tumbo, cesont 45 000 visiteurs qui défilent chaque année sur un sentier au ras des nids - avec quel impact ?Expérience d'ornithologie : compter les fois que les pingouins tournent la tête et mesurer leur tauxsanguin de corticostérone (deux indices de stress) chez, d'une part, des individus qui couvent le longdu sentier, soumis au « stress touristique », et, d'autre part, chez des congénères d'une zone reculée.Résultat : les premiers temps sont durs pour les seconds mais il ne leur faut pas plus de 10 jours pours'habituer. Bref, la cohabitation est possible.D'après la Society for Conservation Biology lu dans Science daily.

Page 3: • UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv...• UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv.fr Cédant aux amicales pressions de Dominique Voynet, Patrick Legrand devient conseiller

Courrier de l'environnement de l'INRA n°37, août 1999 141

• CANADAs

EpouvanteL'Union des producteurs agricoles a demandé et obtenu 40 000 $ (à peu près autant d'euros) pourprévenir les importants dégâts infligés aux cultures par un ravageur redoutable, dont les effectifscroissent régulièrement de 8% par an, l'Oie des neiges.La somme, versée par le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation et par celui des

Transports, ministre délégué aux Affairesautochtones et ministre responsable de laFaune et des Parcs, couvrira les dépenses«d'effarouchement actif», action coordon-née avec la chasse de conservation.D'après Le Bulletin agricole, rubrique Actualités de mai lu àhttp : Mebulletin.com/actualit/9905/990501p.html

• DANEMARKBouteilles à la merRepérer et confisquer le whisky decontrebande, tel est le travail des douaniers.Ouvrir les bouteilles (sous contrôle) et lesvider une par une, telle est la tâche nouvelledes techniciens de la station de traitementdes eaux usées d'Elseneur. L'alcool saisi yremplace en effet le glucose. L'économie estsubstantielle tant pour la douane que pour laville et l'efficacité est très satisfaisante. Leseaux usées ainsi traitées sont déversées dansle détroit de l'Oeresund.D'après une dépêche de l 'AFP du 19 mai 1999.

NDLR : un technicien-videur travaillantsans masque a fini, paraît-il, par voir unspectre sur les remparts.

• FRANCERiz amerUn groupe de manifestants a pénétré par effraction dansune serre du Centre de coopération international enrecherche agronomique pour le développement(CIRAD) à Montpellier, le samedi 5 juin, et a détruit desplants de riz en cours d'expérimentation.D'après le communiqué de presse du CIRAD 1999/8 du 7 juin 1999 ;benoit. catrisse @ cirad.fr

Page 4: • UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv...• UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv.fr Cédant aux amicales pressions de Dominique Voynet, Patrick Legrand devient conseiller

142 Courrier de l'environnement de l'INRA n°37, août 1999

• FRANCOPHONIELa recherche etl'environnementLa consultation de la liste des 100requêtes les plus souvent posées aumoteur de recherche Voilà (quirecense presque toutes les pagesweb en français de la Toile) nelaisse pas d'étonner !Primo, aucun mot pornographique-mais la notice précise qu'ils ontété retirés du palmarès où ilsfigurent en fait en très bonne place.Secundo, l'œil de l'analyste s'épuise à tenter de trouver parmi ces substantifs un quelconque qui soiten rapport avec des interrogations sur l'environnement ou sur l'agriculture. Toutefois, le mot air figureà la 45e place, coincé entre moto et logiciel, mais on peut soupçonner qu'il doit cette popularité à sapolysémie.D'après Le Journal du net du 21 mai 1999, www.joumaldunet.com

NDLR : à la question « L'environnement est-il une catégorie réticulaire ? », le Courrier n°32(décembre 1997) avait répondu, sur la base d'une enquête bien menée, bien sûr : « Bof... ».Ce n 'est en tous cas pas ce que l'internaute traque sur Internet. Deux hypothèses. Primo, ça nel'intéresse pas beaucoup et/ou pas souvent. Secundo, il n 'a nul besoin de moteur de recherche, car ilclique directement sur www.inra.fr/dpenv/pa.htm.

• ÉTATS-UNISSous les bombes bactériologiquesL'explosion du corps, du fait d'un dégagement brusque de chaleur, provoque la dispersion dansl'atmosphère des microorganismes internes (vivant dans le tube digestif) et externes (l'animal s'étantfrotté la trompe et les pattes sur des matières fécales), dont 1 sur 10 millions atteint et infecte unmangeur de saucisses grillées.D'après un travail de James Urban, Kansas State University ; lu sur Science Daily (www.sciencedaily.com).

NDLR : Une Brève abracadabrante ? Jamais ! On vous prévient par ce court texte des dangers destue-mouches électriques (les insectes volants attirés par une lumière riche en UV s'y électrocutent)installés dans les jardins autour des barbecues. Et, on continue cette leçon d'entomologie pratique envous informant que ces appareils tuent aussi les insectes utiles et ont tendance à attirer les moustiqueschez vous. Et, pour ce qui est d'éviter ce bombardement de bouts et de morceaux de mouche infects etinfectants, remplacez la grille d'électrocution par une grille engluée (et pensez à la laver...).

Page 5: • UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv...• UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv.fr Cédant aux amicales pressions de Dominique Voynet, Patrick Legrand devient conseiller

Courrier de l'environnement de l'INRA n°37, août 1999 143

• PLANETEToxidiversitéDans de nombreux pays, les stocks deproduits phytosanitaires périméss'accumulent : 100 000t dans les paysen voie de développement, 65 000 t enPologne, 23 000t en Ukraine... LaFAO, auteur de ce recensement,signale que la plus grande variété desubstances dangereuses réside enAfrique (20 000t) où de nombreuxaccidents se sont déjà produits, du faitdu mauvais état des conteneursabandonnés en plein air. Il faudrait 80à 100 millions d'euros pour leséliminer, en plus des quelque 25 millions déjà dépensés. Les firmes agropharmaceutiques s'étaientengagées à verser 1 $ (env. 1 ) par kg pour se débarrasser convenablement de ces pesticides ; seule laShell a dépensé 300 000 $ pour supprimer les stocks en Mauritanie.D'après le Courrier de l'environnement n°320, du 7 juin 1999.

• ETATS-UNISChers immigrantsOn estime à 50 000 le nombre d'espèces végétales et animales allochtones qui se sont acclimatées auxÉtats-Unis et qui y provoquent des dégâts directs ou indirects aux écosystèmes naturels ou cultivés.Ces « aliens » mangent ou concurrencent les espèces autochtones ou introduites volontairement. Parmiles animaux, cela va des chèvres marrones qui broutent tout, aux auxiliaires de lutte biologique quiprennent la place des antagonistes indigènes (et se concurrencent entre eux) ou attaquent des proiesnon prévues : cas de la mangouste (Herpestes auropunctatus) et aussi du chat domestique {Félixcatus).Combien tout cela coûte-t-il ? 138 milliards de dollars (ou euros) en déprédations et en « lutte ». Pourautant qu'on sache estimer, par exemple, le prix de la disparition de douzaines d'espèces d'oiseaux etde lézards du fait d'un serpent (Boiga irregularis) introduit accidentellement à Guam. Par an, laFourmi de feu (Solenopsis invicta) coûte 1 000 millions de $, le Termite de Formose (Coptopermesformosanus), autant, les ravageurs des cultures introduits près de 15 fois plus, ceux des golfs etpelouses plus de 1 500, et le célébrissime Bombyx disparate {Lymantria dispar) 11 [une « petite »somme qui déçoit les lymantriologues...].D'après D. Pimentel, 1. Lach, R. Zumiga et D. Morrison, 1999. Environmental and economic costs asociated with non-indegenous species inthe United States, www.news.cornell.edu/relases/jan99/species_costs.html.

NDLR : ces chiffres ont, en tous cas, le mérite d'être parlants pour les décideurs écologiquementmalcomprenants et de faciliter l'octroi de crédits à la surveillance et à la prévention desintroductions.

Page 6: • UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv...• UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv.fr Cédant aux amicales pressions de Dominique Voynet, Patrick Legrand devient conseiller

144 Courrier de l'environnement de l'INRA n°37, août 1999

• ETATS-UNISPercussionsOn doit à quatre élèves ingénieurs de l'université de Delaware une machine à détecter les pastèques(Citrullus vulgaris) pas mûres, pour le plus grand bénéfice des producteurs, distributeurs etconsommateurs - quasiment un bienfait grandissime pour l'humanité cucurbitacicole etcucurbitacivore, selon le communiqué.L'appareil est constitué d'un maillet, mû par un moteur, d'un microphone et d'un ordinateur portable.Frappé par ledit maillet, la pastèque mure (riche en sucres) rend un son particulier (suave ?). Ledispositif coûte moins de 1 100 $ (autant d'euros), soit 5 fois moins que le coût du fret nécessaire àl'aller et retour d'un camion de melons pas tous mûrs, véhiculant un lot refusé.D'après Science Daily du 21 juin 1999, sous le titre « Watermelon Ripeness Sensor Might Promise Huge Savings For Growers Worldwide ».

NDLR : le choix d'un melon reste un sujet de recherche et de conversation (pression du pouce,reniflage, estimation de la densité, label cucurbitologique ?). En tous cas, cela fait bien longtempsqu 'on tape du plat de la main sur une pastèque pour faire entendre qu 'elle est très bonne. Ou, qu 'àl'écoute d'indices analogues, on fait sauter un melon dans la main en le faisant bien claquer (auMaroc, notamment).

• PLANETEZoo au logisObserver les animaux fiers ou féroces ou fuyants ou furtifs sans danger, sans bouger, sans guetter, sanspayer : c'est possible désormais grâce à la prolifération des « web cams » installées dans les réservesde chasse d'Afrique du Sud, les parcs naturels, les zoos, sur les toits des gratte-ciel (que fréquententnombre de rapaces intéressants) et au fond des nichoirs de jardin de pavillon de banlieue (anglais, ofcourse).De toutes petites caméras, reliées à un ordinateur lui-même relié à Internet, prennent une vue toutes les1 à 10 minutes ; cette image périodiquement « rafraîchie » est diffusée sur la Toile et quiconque, munid'un PC branché, peut suivre les activités de rhinocéros ou d'orang-outangs, de mésanges ou defourmis.D'après Environmental News Network (www.enn.com)

NDLR : II semblerait qu'il existe encore réellement une faune non filmée et qu'on peut aller observerces animaux dans un espace nommé nature.

Page 7: • UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv...• UNIVERS patrick.legrand@environnement.gouv.fr Cédant aux amicales pressions de Dominique Voynet, Patrick Legrand devient conseiller

Courrier de l'environnement de l'INRA n°37, août 1999 145

• ETATS-UNISLe $ sans peineEn Caroline du Nord (États-Unis), le Centre d'innovation pour la conservation en agriculture s'estassocié avec des assureurs pour proposer aux agriculteurs une police qui les garantira contre leséventuelles pertes économiques consécutives à la mise en œuvre de techniques favorables à laconservation des ressources naturelles.La prime est - paraît-il - raisonnable parce que... « bien assimilées, ces pratiques ne font pas courir derisques aux agriculteurs » (sic)...D'après Blé Contact, n° l 15, juin-juillet 1999

NDLR : Y en a au moins à qui cela rapportera ! En son temps, l'un des plus grands économiste deFrance disait que « la loterie, c'est l'impôt sur la bêtise ». En l'occurrence les Américains fontmieux : si tu perds, tu paies et si tu gagnes, tu paies.

• LUXEMBOURGLépidoptérismeLe 24 juin au matin, une trentaine de militants deGreenpeace coiffés de bonnets à antennes etmunis de grandes ailes multicolores ont manifestésous une banderole « Donnez une chance auxpapillons » contre les cultures de plantes géné-tiquement modifiées à l'entrée de la réunion desministres de l'Environnement de l'Union eu-ropéenne à Luxembourg.D'après le communiqué de l 'AFP du 24 juin 1999, lu surwww. afp. com/ext/sea/agronomie/

NDLR : une récente étude d'entomologistesaméricains avait montré, au laboratoire, lapossible toxicité du pollen de maïs-Bt sur deschenilles du Monarque, Danaus plexippus,Lépidoptère nord-américain de l'Asclépiade,célèbre pour sa belle livrée et ses longuesmigrations.Pour plus de détails (entomologiques), consulter la page spécialewww.inra.fr/OPlE-lnsectes/epingle.htm

Remerciements

À Harry Ozier-Lafontaine (INRA Antilles-Guyane) et aux membres de l'Association pour la promotion de la langue créole(WOPSO) à Lamentin en Guadeloupe pour la traduction de ÏUrbi et orbi.Aux lecteurs et relecteurs : Danielle Barrés, Thierry Bourdin, Patrick Legrand et Sophie Le Perchée.