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AARON RUSSO – Le But du nouvel Ordre Mondial (ex-ami de Rockefeller) Interview par Alex Jones

Source : https://www.youtube.com/watch?v=1qYuX7yRBPo Aaron Russo : Ce qui s'est passé le 11 septembre, c'est une imposture et la vérité n'a jamais été établie. Le but est de créer un gouvernement mondial où nous aurons tous une puce RFID sous-cutanée et l'argent de chacun sera dans ces puces. C'est Rockefeller lui-même qui m'en a parlé. Il m'a dit : « Aaron, c'est quoi l'émancipation de la femme ? C'est nous, les Rockefeller, qui l'avons financée ! » Ils font tout ce qu'ils veulent, ce que nous voulons ne compte plus. C'est leur agenda, leur plan qui comptent. Ils ont tout l'argent qu'ils veulent, ils ont les machines à fabriquer les billets. Ce n'est pas une histoire d'argent, c'est une histoire de pouvoir et de leur vision pour le monde. George Bush a dit : « démocratie = liberté ». Non ! Démocratie = nouvel ordre mondial ! Je crois que Dieu m'a créé pour que je sois la meilleure personne possible. Tout comme il a créé chacun pour qu'il soit le meilleur. Nous devons défendre ce qui est juste, dans la vie. Si vous ne le faîtes pas, vous n'êtes rien !

REFLEXIONS ET AVERTISSEMENTS :

INTERVIEW DE AARON RUSSO « J'ai juré devant Dieu de m'élever devant toute forme de tyrannie sur l'esprit de l'homme. » Thomas, Jefferson. Le réalisateur primé devenu combattant de la liberté, Aaron Russo était une personne hors du commun. Depuis trois ans et demi il se battait contre un cancer quand il a commencé « Amérique, de la Liberté au Fascisme », qu'il a filmé, réalisé, édité avec l'aide de quelques personnes seulement. Une vie riche de films récompensés, et de défense de la Déclaration des droits et de la Constitution. Quand nous avons filmé cette interview, je l'ai d'abord publiée gratuitement sur le web, en supprimant certains extraits. Voici l'entretien intégral. Ce fut le dernier entretien d'Aaron Russo. Aaron laisse une œuvre importante. Il défendait un cinéma dénonçant l'élite dirigeant la nation et le monde, la Réserve Fédérale privée. L'information qu'il a publiée il y a deux ans est aujourd'hui plus percutante que jamais. « Amérique, de la Liberté au Fascisme », « Mad as hell » et les autres films qu'il a réalisés continuent, comme des ondes sur un étang, à réveiller la conscience d'hommes et de femmes du monde entier. Ce film est dédié à Aaron Russo. Aaron : Je suis honoré d'être interviewé par Alex Jones, un chercheur de vérité qui se bat pour la justice en Amérique.

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Alex Jones : Aaron, quand avez-vous compris qu'il y avait un problème avec le cartel des banques, la Réserve fédérale et le nouvel ordre mondial ? Aaron : Ça a été progressif. J'ai toujours été indépendant, je croyais à l'individualité. Je crois que nous sommes nés pour être uniques et réaliser le potentiel que Dieu nous a donné. Et on n'y arrive qu'en étant libre de se découvrir et de faire des erreurs. Plus je grandissais, plus je réalisais que le gouvernement m'empêchait de faire ce que je voulais. J'avais réussi dans la lingerie féminine. Mon père avait une entreprise de sous-vêtements et j'ai créé les premiers bikinis en 1963. Par la suite, j'ai ouvert une boîte de nuit à Chicago, « The Electric Theatre », le jour-même où Martin Luther King a été assassiné. La ville était en flammes et personne n'est venu à l'ouverture ! Nous étions en 1968, l'année de la Convention démocrate de Chicago et ma boîte de nuit était devenue le lieu de prédilection des hippies qui venaient manifester à Chicago. J'avais un concert, un soir, pour amasser des fonds. Et sans aucune raison, la police a fait une descente. Mon bureau donnait sur la rue et j'ai vu tous ces fourgons se déployer devant mon club. J'étais un gamin inexpérimenté de 23 ans. Je me suis demandé ce que ces fourgons venaient faire là. Puis j'ai vu des flics en sortir et pénétrer dans ma boîte de nuit et j'ai pensé : « Mon Dieu, ils font une rafle ! » J'ai couru sur scène, j'ai interrompu le groupe qui jouait et j'ai dit au public : « C'est une descente de police. Asseyez-vous par terre, présentez vos papiers à la police. Coopérez ! » Au même moment, deux flics derrière moi m'ont flanqué par terre, ils m'ont attrapé et ont commencé à me traîner vers l'extérieur. J'ai crié : « Victoire ! Victoire ! ». J'aimais faire le pitre, à l'époque. J'étais jeune ! Puis j'ai vu les pompiers déverser partout des poubelles. Pendant qu'on me traînait dehors, je me demandais bien pourquoi ils faisaient cela. Je ne comprenais vraiment pas ! Ils m'ont jeté dans le fourgon et au moment où je montais, un des flics m'a empoigné les testicules par derrière et les a serrés très fort. Je suis arrivé dans le fourgon avec une douleur intense. Celui qui montait derrière moi a reçu un coup de matraque du flic qui lui a fendu le crâne, sans aucune raison. Ce gars-là n'avait rien fait ! J'ai eu une vraie prise de conscience. Je me suis dit : «Je croyais qu'on était en Amérique ! » J'ai tout d'abord pensé : « C'est juste Chicago ». Le lendemain, j'avais ma photo dans les journaux avec le titre « The Electric Theatre perquisitionné ! ». L'article expliquait qu'ils avaient perquisitionné la boîte parce que les pompiers l'avaient trouvée pleine d'ordures, que les hippies les avaient agressés... ce qui, bien sûr, était complètement faux ! Une histoire montée de toutes pièces ! C'est clair, il s'agissait d'un coup monté. Pour moi ça a été un coup de massue. Des gens qui mentent sans vergogne et qui font des trucs pareils, je n'en revenais pas ! Ça m'a réveillé. Je suis allé à la télévision pour dire qu'ils avaient menti. Mais ils se fichaient tous de la vérité ! J'étais consterné... Une ou deux semaines plus tard, deux flics sont venus me trouver. Un capitaine et un sergent. Ils m'ont dit : « Monsieur Russo, navrés si vous avez été blessé le soir de la rafle. Mais si vous voulez continuer cette activité, ça vous coûtera 2 000 $ par mois. On perquisitionne une fois par mois et on vous appelle avant de passer. » La police, c'est une vraie mafia. Ils vous offrent le choix entre le plan A, le plan B et le plan de Luxe, chacun relevant d'un tarif différent. Lequel voulez-vous ?! Moi, j'ai opté pour le plan de Luxe. Je leur filais 2 000 $ chaque mois et ils me laissaient tranquille. La fois suivante, ils m'appelaient : « Fausse perquisition, ce soir ! », histoire de faire bonne impression dans le quartier.

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Ce fut ma première grande leçon sur la corruption au sein du gouvernement. Mais je pensais que ça se limitait à Chicago. Je ne me doutais pas que le pays entier était gangrené. Ça m'a alerté sur le mensonge, la tricherie, le vol. Moi qui croyais les gens aimables et honnêtes. J'étais à 1000 lieues de tout ça ! Pour finir, un jour ils sont venus me dire : « Écoutez, nous ne pourrons plus accepter votre argent ». J'ai demandé pourquoi et ils m'ont répondu : « On doit fermer la boîte, c'est bientôt les élections et les vieux, dans le quartier, n'en veulent plus ! » J'ai dû saisir le tribunal car ils voulaient fermer ma boîte. Puis une nuit, il y a eu un « incendie » et la boîte a fermé définitivement. Fin de l'expérience ! Ensuite, je suis allé à New-York où j'ai rencontré Bette Midler, dans une boîte de nuit « l'Improv » où elle se produisait. Elle était fabuleuse ! Par un concours de circonstance, je suis devenu son manager. Sa carrière a aussitôt décollé, nous avions beaucoup de succès. J'ai produit des spectacles à Broadway où j'ai décroché le Tony, puis l'Emmy pour un show TV avec Dustin Offman et Bette. Ensuite, j'ai produit pour elle La Rose, elle a été nominée aux Oscars. Et j'ai enchaîné avec Un fauteuil pour deux. Je ne sais pas si ce fut le meilleur film d'Eddy Murphy, mais je suis fier de l'avoir fait. Pour ma part, j'ai le sentiment d'avoir fait une comédie classique avec Un fauteuil pour deux, une comédie musicale classique avec La Rose et un documentaire classique avec De la Liberté au Fascisme. Je suis fier de ce que j'ai fait en tant que réalisateur. Alex : Aaron, pourquoi vous faîtes cela et quelle est votre philosophie de vie ? Aaron : Il faut aimer ce qu'on fait. Si tu ne t'aimes pas, rien n'a de sens. Et pour s'aimer, on doit se respecter. Et pour se respecter, il faut entreprendre des actions respectables. Pourquoi vivre, si tu ne t'aimes pas ? Si tu es riche mais que tu n'aimes pas ton reflet dans le miroir, où est l'intérêt ? Le plus important pour moi, c'est que j'aime ce que je suis. Je prends des mesures quand elles sont respectables et j'essaie de mener une vie honnête et sincère. Chacun peut moduler son caractère, comme un sculpteur le fait avec de l'argile. On dit que le léopard ne peut pas changer ses taches, mais je n'y crois pas. Je crois vraiment qu'il est possible de forger notre caractère jusqu'à le rapprocher de notre idéal. C'est ce que j'essaie de faire dans ma vie. Je ne suis pas le même qu'il y a 30 ans. J'ai beaucoup changé car je voulais devenir meilleur. Voilà ma philosophie : aimer qui on est, être décent, avoir du caractère, de l'intégrité et de l'honneur. C'est cela qui est important. Vers la fin des années 80, je travaillais dans le négoce de l'or et de l'argent. Je ne l'ai jamais dit devant une caméra, j'étais un négociant important et je bénéficiais d'une déduction fiscale légale sur mon commerce d'argent. Quelques années plus tard, vers 1988 ou 1989, l'IRS a décrété que ce que nous faisions, moi et d'autres personnes, était désormais illégal. Et ils ont rendu cette « illégalité » rétroactive. Je leur ai dit : « Vous entendez quoi, par rétroactif ? Quand je l'ai fait, c'était légal non ? » Ils ont répondu : « Oui, mais nous le rendons illégal rétroactivement ! Alors vous nous devez 600 000 $. » Comment ça ? J'étais en règle ! Comment peut-on changer la loi en remontant dans le temps ? C'est absurde ! On a tous contesté avec un recours collectif en justice... et le juge a validé la décision de l'IRS ! J'ai compris que quelque chose n'allait pas avec l'IRS, pas plus qu'avec le reste du système. Comment peut-on faire une chose rétroactivement ? Les pénalités et intérêts étant une farce, tout simplement parce qu'ils font ce qu'ils veulent ! C'est là que j'ai réalisé que l'Amérique n'est pas celle qu'on m'a enseignée. Précisément parce qu'ils font ce qu'ils veulent et le citoyen n'a aucun moyen de s'opposer.

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Alex : Vous avez fait Amérique, de la Liberté au Fascisme. J'encourage tout le monde à se procurer le DVD. Il a été projeté dans les cinémas, c'est le meilleur film sur la Réserve fédérale, l'IRS et tout le scandale banquier. Nous n'allons pas en parler aujourd'hui. Revenons sur ce que vous disiez hier, que vous n'encouragez pas les gens à ne pas payer, même quand l'injustice est flagrante. Aaron : C'est très simple. Depuis que j'ai fait ce film, Amérique, de la Liberté au Fascisme, les gens me demandent s'ils doivent payer leurs impôts sur le revenu. Je ne conseille jamais de ne pas payer. La Cour Suprême a statué que le 60ème amendement n'autorise pas l'IRS à taxer votre travail et vos revenus. La Cour Suprême est la plus haute juridiction du pays. L'IRS ne prévaut pas sur la Cour Suprême. Toutefois si la mafia vient chez vous et dit : « On veut 200 000 $ par mois, sinon on vous fera du mal ! » alors je ne vous conseillerai pas de ne pas payer. Car vous risquez gros ! Légal ou non, ce n'est plus la question ! Le fait est qu'ils vous feront du mal si vous ne payez pas. Avec l'IRS, c'est pareil. Ils peuvent vous faire du mal, vous jeter en prison, vous torturer. Je ne conseille jamais de ne pas payer. Voyez ce qui est arrivé au député George Hansen. Payez vos impôts. Mais vous savez quoi ? Fermez la Réserve fédérale et vous n'aurez plus à payer ces impôts. En réalité l'IRS n'est qu'un symptôme. Le vrai problème, ce sont l'industrie bancaire et les banquiers de ce pays. C'est la boîte de Pandore qui a conduit l'Amérique à sa perte. Alors oui, payez vos impôts car sinon ils vous feront du mal. J'ai entendu les arguments des Contestataires du fisc. Je les appelle Honesty movement car ils sont honnêtes. Mais le fait est qu'il faut payer. Sinon vous risquez la prison et les tribunaux corrompus si vous ne payez pas. Alors, payez comme si vous aviez affaire à la mafia. Au moins avec la mafia, le gouvernement vous protège. Ici, personne ne vous protège. Les américains vivent dans une matrice et ne comprennent pas comment le pays fonctionne. Si vous demandez à 100 personnes, dans la rue, quel type de gouvernement l'Amérique est censée être, 99 répondront : une démocratie. Mais c'est un miroir aux alouettes. Le terme démocratie n'est pas inscrit dans la Constitution. Ni la Déclaration des Droits. Ni la Déclaration d'Indépendance. Les pères fondateurs de notre pays haïssaient l'idée d'une démocratie. Pour eux, c'était la pire forme de gouvernement. Et je suis d'accord car en démocratie, 51 % du peuple contrôlent 49 % du peuple. Et si vous faites partie des 49 %, alors vous n'êtes pas libres. L'Amérique a été fondée en tant que République Constitutionnelle. Au sein de cette république, 99 % du peuple ne peut pas priver 1 % de ses droits. Vous êtes nés avec ces droits que Dieu vous a donnés et ni le gouvernement ni la majorité ne peuvent les reprendre. C'est le patrimoine laissé par nos pères fondateurs. Mais la manipulation psychologique qu'ils exercent sur nous consiste à nous faire croire que nous sommes une démocratie et que la majorité dirige. Ils veulent que vous gobiez ça. Hitler a été élu ! Et en République Constitutionnelle, la minorité est protégée contre la majorité. Benjamin Franklin disait : « La démocratie, c'est 2 loups et 1 agneau votant ce qu'il y aura au dîner ». Il a également dit : « En république, l'agneau a une arme pour se défendre. » C'est la vérité, l'Amérique n'est pas une démocratie. Mais demandez à des personnes intelligentes quel gouvernement l'Amérique est censée être, ils vous répondront « une démocratie » car ils sont endoctrinés. C'est ce qu'on leur a fait croire. Ils croient que nous avons envahi l'Irak pour promouvoir la démocratie. George Bush nous dit que la démocratie est la liberté. Eh bien non ! La démocratie, c'est le Nouvel Ordre Mondial. La démocratie, c'est l'esclavage. La démocratie n'est pas le synonyme mais le contraire de la liberté. C'est le pire gouvernement qu'on puisse avoir car

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la majorité dirige et le gouvernement peut vous imposer ce qu'il veut par la voie de la majorité. Je me fiche de ce que veut la majorité. Je choisis ma vie et si je ne commets pas d'acte de violence, de vol ou de fraude envers quiconque, je peux vivre comme je veux. Et j'ai le droit de faire des erreurs parce qu'on en tire des leçons et on s'épanouit. Nous sommes sur terre pour être les meilleurs individus possible et réaliser le potentiel que Dieu nous a donné. Nous ne sommes pas sur terre pour que le gouvernement régente notre vie et nos actes, qu'il nous mette dans ces systèmes et ces paradigmes. Non ! Et si vous êtes malade, on vous impose un protocole de soins... c'est absurde ! Soyez des individus, pensez par vous-mêmes, ayez l'esprit critique ! En nous faisant croire, à tort, que nous sommes une démocratie, ils ont fondé en 1913 la Réserve fédérale qui a obtenu le droit de créer la monnaie pour le gouvernement. Avant cela, le gouvernement créait lui-même son propre argent. A présent quand il a besoin d'argent, il doit emprunter à la Réserve fédérale, une banque privée détenue par des particuliers et constituée dans l'état du Delaware. Le gouvernement leur emprunte de l'argent pour son financement et dit : « Il faut maintenant payer des intérêts à la Réserve fédérale ». Comment ça, payer des intérêts ? On impose une taxe sur le travail des américains, ce qui ne s'est jamais fait auparavant, pour payer des intérêts aux banquiers ! Alex : En 1980, Ronald Reagan disait : « Pas un sou de vos impôts sur le revenu n'ira à la Réserve fédérale ». Aaron : Oui. C'était le Rapport « Grace » qui stipulait que pas un centime n'irait à l'infrastructure du pays. Et Reagan l'a cité, ce rapport. En créant cette Réserve fédérale, le gouvernement est devenu dépendant des banques privées pour ses besoins en argent. Et il a commencé à nous taxer. Ensuite en 1935, il y a eu la création de la Sécurité Sociale. Ils nous ont donné un code en précisant qu'il ne s'agissait pas d'une identification et ils ont mis ce code sur une carte. Et avec cette carte de Sécurité Sociale, ils ont commencé à débiter de l'argent de votre salaire. Pour la toute première fois, ils retiraient de l'argent de votre salaire. Et les gens acceptaient, croyant que l'argent était crédité sur leur fonds de retraite. Puis ils en ont fait autant pour l'impôt sur le revenu qu'ils ont également déduit de notre salaire. Maintenant que les gens vérifient leurs impôts, ils les mènent comme des esclaves et ils prélèvent directement l'argent. Le gouvernement ne nous fait pas confiance pour payer nous-mêmes. L'argent est donc soustrait automatiquement car ils savent que les gens ne paieront pas. Avec l'arrivée de la Réserve fédérale, le gouvernement investit dans les banques, il prend l'argent chez les banquiers puis nous impose des taxes pour nous mettre sur les rotules et pour qu'on leur rapporte toujours plus de bénéfices. Grâce à la Réserve fédérale, les banquiers ont quasiment pris le contrôle du gouvernement, qu'il soit républicain ou démocrate, c'est du pareil au même. Ni les républicains ni les démocrates ne parlent de changer la Réserve fédérale, de supprimer les impôts ni aucune des autres galères de américains. J'avais un ami, Nick Rockefeller, de la famille Rockefeller. J'étais candidat gouverneur du Nevada quand il s'est présenté à moi par l'intermédiaire d'une avocate. Nous sommes devenus amis et nous bavardions souvent ensemble. J'en ai appris un paquet, de M. Rockefeller ! Un de ses sujets favoris, c'était le plan ultime de l'industrie bancaire : pas seulement la Réserve fédérale mais aussi

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les banques privées en Allemagne, en Angleterre, en Italie etc. Partout dans le monde, ce sont toutes des banques centrales qui travaillent ensemble. Elles sont dans le Manifeste du Parti Communiste, elles en sont même l'un des points principaux ! On dit que l'Amérique est capitaliste mais en réalité, une banque centrale planifie tout à notre place. L'impôt progressif sur le revenu est un autre point du Manifeste. Les banques et l'impôt, voilà deux points essentiels du Manifeste qui y ont été introduits à cause de la Réserve fédérale ! Le but ultime que poursuit l'industrie bancaire est de créer un gouvernement mondial dirigé par les banquiers. Ils procèdent par étapes. L'euro et la Constitution Européenne est une de ces étapes. A présent ils veulent faire la même chose en Amérique avec l'Union nord-américaine et sa devise, l'Améro. Le programme vise à créer un gouvernement mondial, nous aurons tous une puce RFID sous-cutanée. Notre argent sera dans ces puces et il n'y aura plus d'argent liquide. C'est Rockefeller lui-même qui m'a parlé de leurs projets. Tout l'argent étant sur votre puce, ils pourront en prélever où et quand ils voudront. S'ils décrètent que vous leur devez de l'argent pour les impôts, ils prélèveront cette somme digitalement sur votre puce. Ce sera un contrôle absolu. Et si vous protestez, ils éteindront votre puce sans autre forme de procès et vous n'aurez même plus de quoi vous nourrir. Il s'agit d'un contrôle total sur les gens ! La puce est connectée à une base de données de toutes vos activités. Tout est dedans ! Ils veulent un gouvernement mondial pour tout contrôler, ils veulent nous pucer pour contrôler tous nos avoirs, ils veulent nous réduire à l'état d'esclaves et nous serons leurs serfs. Voilà ce qu'ils ont en tête ! Alex : Il y a plus de 10 ans j'ai publié des documents secrets du gouvernement, documents qui stipulaient que le FBI racontait aux policiers locaux et aux militaires que les détenteurs d'armes à feu, les conservateurs et ceux qui font souvent référence à la Constitution américaine étaient des « terroristes ». En 2009, un policier du Missouri nous a fait parvenir le Rapport MIAC, rédigé par le FBI. La nouvelle a éclaté dans les médias nationaux. Dans ce document secret, le FBI diabolise Ron Paul et ceux qui veulent fermer la Réserve fédérale. Depuis, d'autres rapports secrets ont été publiés, comme le Rapport du DHS (Département Sécurité Intérieur), rédigé lui aussi par le FBI et qui déclare que les anciens combattants constituent la menace terroriste principale aux Etats-Unis, avec les détenteurs d'armes à feu et ceux qui achètent des munitions. Imaginez un peu, ces banquiers privés qui renversent les Etats-Unis et qui racontent en secret à la police que les détenteurs d'armes à feu, les patriotes et les anciens combattants sont LA menace principale ! Cela revient à dire ceci : les américains qui respectent la Constitution et la Déclaration des Droits et qui vont s'élever contre cette tyrannie sont des terroristes !!! Alors que les banquiers eux-mêmes et leurs entreprises sont des criminels qui ont floué la nation. Aaron, pourriez-vous nous expliquer à quels moments vous avez rencontré Rockefeller et comment se déroulaient vos discussions ? Aaron : J'ai rencontré Rockefeller par une avocate que je connaissais. Un jour elle m'appelle et me dit « Un des Rockefeller aimerait te rencontrer ». Je venais de réaliser Mad as Hell (Fou de rage). Rockefeller l'avait vu et il souhaitait me rencontrer. Il savait que j'étais candidat gouverneur du Nevada. J'ai accepté, bien sûr ! Je l'ai tout de suite apprécié. C'est un homme très intelligent. Nous discutions de nos idées, de nos pensées. Il m'a dit, onze mois avant les attentats du 11 septembre,

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qu'un événement allait se produire, mais sans jamais me dire quoi. Et qu'à partir de cet événement, nous allions envahir l'Afghanistan pour construire des pipelines depuis la mer Caspienne. Puis que nous allions envahir l'Irak pour prendre les gisements pétroliers et implanter une base au Moyen-Orient afin d'intégrer cette région dans le nouvel ordre mondial. Et ensuite, que nous irions nous occuper de Chavez, au Venezuela. Et il y a eu le 11 septembre... Il me racontait qu'on verrait des soldats fouillant les grottes au Pakistan, en Afghanistan etc. à la recherche d'individus, qu'il y aurait cette guerre anti-terroriste où il n'y a pas de véritable ennemi, et que tout cela serait un énorme canular qui permettrait au gouvernement de contrôler les américains. Alex : Rockefeller vous a vraiment dit que ce serait un canular ? Aaron : Mais oui ! Il disait : « Ce sera une guerre anti-terroriste » et il se marrait ! Contre qui on se bat ? Pourquoi croyez-vous qu'il y a eu le 11 septembre et depuis... plus rien ?! Vous pensez vraiment que notre sécurité, ici aux Etats-Unis, est si grande que ceux qui ont exécuté le 11 septembre ne sont pas capables de faire tomber un autre avion ? Allons, c'est ridicule ! Le 11 septembre est l’œuvre de notre propre gouvernement et de notre propre système bancaire pour entretenir la peur chez les américains, pour que la population voue ensuite une obéissance servile au gouvernement. Le 11 septembre avait aussi pour objectif de déclencher cette interminable guerre anti-terroriste. C'était le premier mensonge. Le mensonge suivant, c'était d'aller en Irak pour déloger Saddam Husseim et ses prétendue « armes de destruction massive ». Alex : C'était il y a plus de 6 ans maintenant. Onze mois avant le 11 septembre, Nick Rockefeller, qui est avocat, devient votre ami quelques années auparavant et il vous annonce un événement-phare prochain qui déclenchera une guerre anti-terroriste qui n'en finira plus. Une guerre sans véritable ennemi pour qu'on ne puisse jamais déterminer un vainqueur. A-t-il dit que cette guerre s'éterniserait du fait qu'il est impossible d'en déterminer l'ennemi ? Aaron : Pas d'ennemi, pas de vainqueur... le conflit peut s'éterniser ! Ils font ce qu'ils veulent ! Ils ont flanqué la trouille aux américains. Écoutez, toute cette guerre anti-terroriste est une fumisterie, une FARCE ! On a intimidé les gens pour qu'ils ne parlent pas. Et si vous osez en parler, ils vous font passer pour un fou. Mais la vérité doit se savoir et c'est bien pour ça que je vous parle. Le fait est que toute cette guerre anti-terroriste est une tromperie. Oui, il y a bien une guerre en Irak. Parce que nous avons envahi l'Irak. Et des gens se battent, là-bas, et ils se battent réellement ! Mais la guerre contre le terrorisme... c'est une blague ! Le 11 septembre c'est le point de départ de la guerre anti-terroriste, l'événement qui a mis le feu aux poudres. Et tant qu'on n'aura pas découvert ce qui s'est vraiment passé le 11 septembre, et surtout qui en est responsable, tant qu'on aura pas tiré ça au clair, on ne saura jamais rien de la guerre anti-terroriste. Alex : J'aimerais revenir sur ce que vous disiez hier. Vous aviez 30 % des votes, vous veniez de réaliser Mad as Hell après avoir fait de grands films, vous aviez lancé le Parti de la Constitution. Bref, ils vous voyaient mener à bien vos projets. Ils essayaient de vous recruter, allant jusqu'à dire : « On vous recrute et vous serez intouchable. Votre micro-puce sous-cutanée indiquera que vous êtes intouchable ! » Aaron : Oui j'ai été approché. Mais c'est plus subtil que ça. Rappelez-vous, nous étions amis. Il

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venait chez moi souvent, on dînait, on bavardait. Il me parlait d'investissement des entreprises et m'indiquait comment participer. Il me disait qu'ils étaient prêts à m'aider. Il me demandait si je voulais entrer au Conseil des Relations Extérieures (CFR), et m'assurait qu'il me pistonnerait. Autant de combines pour m'encourager et pour m'appâter. Mais je n'ai jamais accroché parce que ce n'était pas mes idées. Je lui disais : « Je t'aime beaucoup, Nick, mais nous ne sommes pas du même bord. Asservir les gens ne m'intéresse pas. » Il rétorquait : « Mais pourquoi t'en faire pour ces gens ? Qu'est-ce que ça peut te faire ? Prends soin de ta vie et de ta famille. Les autres sont insignifiants, ce ne sont que des serfs, des gens ! » Il faisait preuve d'un grand détachement et cela ne me correspondait pas. C'était... froid. Je lui ai dit : « Tu as tout l'argent que tu veux, tout le pouvoir que tu veux, c'est quoi le but de tout ceci ? » Et il m'a répondu : « Le but final, c'est que tout le monde soit pucé, qu'on contrôle toute la société, que les banquiers et une poignée de gouverneurs dirigent le monde ». Je lui ai demandé si au CRF ils pensaient tous comme lui. Et il m'a dit : « Non, la plupart sont persuadés de bien faire ! Ils sont tous plus ou moins socialistes. » Il faut faire comprendre aux gens que le socialisme est un capitalisme et que l'Amérique est devenue socialo-communiste. Alex : Voilà des années qu'Aaron Russo a noté que l'Amérique n'est pas un pays capitaliste à libre marché, mais socialiste. Dans le Newsweek en 2009, on pouvait lire : « Aujourd'hui nous sommes tous socialistes ». Mais ce n'est pas le socialisme qu'on imagine, où le gouvernement vole aux riches pour donner aux pauvres. En fait, ce sont les grandes banques qui depuis toujours ont financé le socialisme. Elles prennent l'argent de la classe moyenne pour asservir la classe ouvrière et accroître la taille du gouvernement. L'idée est d'éradiquer la classe moyenne pour aboutir à une énorme sous-masse d'esclaves incultes incapables de se rebeller contre la tyrannie. Avec une élite restreinte qui contrôle le tout. C'est la nature même de ce nouvel ordre mondial. Ils utilisent un grand gouvernement pour étouffer la compétition, pour contrôler le peuple, pour briser la famille. En somme, pour mettre en place une plantation mondiale ou un état néo-féodal. Aaron : Un soir, nous étions tous les deux chez moi à discuter et Rockefeller s'est mis à rire : « A ton avis, Aaron, c'est quoi l'émancipation de la femme ? » A cette époque, j'avais sur ce sujet des idées reçues : depuis l'émancipation, les femmes peuvent travailler et prétendre aux mêmes salaires que nous, les hommes. Elles peuvent voter etc. Il s'est esclaffé : « Tu es un idiot. Je vais te dire ce qu'il en est. C'est nous, les Rockefeller, qui avons financé l'émancipation de la femme. C'est la Fondation Rockefeller qui en a parlé aux journaux et à la télévision. Et ce pour deux raisons : avant l'émancipation de la femme, on ne pouvait taxer que la moitié de la population... les hommes ! Et le second point, c'est que désormais nous pouvons scolariser les enfants plus tôt et influencer leur façon de penser, ce qui brisera leur famille. Les gamins considéreront l'état, l'école et les responsables comme leur famille, et plus leurs parents. » Voilà les deux raisons principales de l'émancipation de la femme, que jusqu'alors je pensais être une aventure noble. Quand j'ai réalisé les motivations qui avaient sous-tendu l'émancipation de la femme, j'ai perçu tout le mal que ça cachait. Alex : Aaron, savez-vous que dans son livre, Gloria Steinem reconnaît que la CIA avait financé le lancement de Madame Magazine ?

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Aaron : Non, je l'ignorais. Alex : Eh bien, c'est ce que la CIA a fait. Dans le but avéré de taxer les femmes et de briser les familles. Aaron : Sans blague... Nick m'en avait parlé mais j'ignorais que la CIA était impliquée. Alex : Gloria Steinem est fière. Elle dit : « La CIA voulait m'aider à soutenir les femmes ». C'est le règne par la division. Ils s'attaquent à des problèmes bien réels puisqu'il faut reconnaître que les femmes se faisaient avoir à bien des égards. Toutefois l'élite n'a jamais cherché à les aider mais au contraire à les rouler et à éloigner les hommes. Regardez ce qu'ils ont fait à la communauté noire : 10 % d'enfants illégitimes il y a 15 ans, contre 90 % aujourd'hui. Les services sociaux disent aux femmes noires : « On vous donne de l'argent... mais vous ne pouvez pas avoir un homme à la maison ». C'est pour mieux saper la famille. Dans l'ensemble de la population américaine, les enfants illégitimes sont aujourd'hui plus de 50 % ! Aaron : Ces gens-là contrôlent l'argent, alors ils fixent les règles. L'Amérique devient véritablement un pays socialo-communiste. On dit que c'est un pays capitaliste, mais ça ne l'est pas. Comment pourrait-il être capitaliste, alors qu'on a une banque centrale ? C'est rigoureusement impossible ! C'est une économie planifiée. C'est de l'arnaque. Quand ils veulent créer de la richesse, ils impriment des dollars. La voilà, votre richesse ! Mais il ne s'agit pas d'une richesse réelle puisqu'il n'y a pas de production. C'est juste de l'argent injecté dans l'économie, un débordement de crédit qui ne fait qu'enfoncer le gouvernement dans la dette. Alex : Et la Réserve fédérale est un poison pour notre pays ? Aaron : Bien sûr qu'elle est un poison ! Rothschild disait : « Qui fabrique l'argent fabrique les lois ». Or ils fabriquent l'argent ! Pourquoi permettons-nous à ces banquiers privés de fabriquer la monnaie de notre pays ? C'est totalement absurde ! Pourquoi payons-nous des intérêts à ces banques pour qu'elles fabriquent de l'argent... alors que le gouvernement peut le faire sans payer d'intérêts, et sans être contraint à toute cette dette ? Il n'y a aucune réponse. Et aucun politicien n'aborde le sujet. Tout le monde parle de la dette américaine. Mais nous sommes endettés parce que nous empruntons à une association de banquiers qui fabrique notre monnaie ! En réalité, nous n'avons rien à emprunter ! Ils ont échafaudé notre endettement. Nous sommes capables de créer notre argent, l'endosser à l'or pour ne pas en créer trop et ne pas causer d'inflation comme faisaient les pères fondateurs. Au lieu de ça, les banquiers fabriquent l'argent, contrôlent le gouvernement, achètent les politiciens, décident qui monte au pouvoir. Le vote par ordinateur est une fraude, ils font de nous ce qu'ils veulent et ça doit cesser. Mon amitié avec Nick Rockefeller nous permettait d'échanger nos idées et nos philosophies. Il voulait que je me rallie à leur cause et que je devienne membre du CFR. Il m'a offert de nombreuses opportunités dans le monde des affaires, pour que je laisse tomber le combat que je menais. Il me disait : « A quoi ça sert que tu te battes pour les autres ? » Je réussissais dans le milieu du cinéma. J'avais compris ce qui se passait réellement et j'essayais de le dire aux gens. Pour ne plus m'avoir comme agitateur contre eux, ils préféraient que je les rejoigne, tout simplement ! Alors il a tenté de me recruter mais je n'ai pas marché dans leur combine. Alex : Il s'est fâché ?

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Aaron : Non. Une fois, il m'a dit : « Rejoins-nous, tu auras une carte d'identité et une puce sur laquelle il y aura « KMA ». Je lui ai demandé ce que c'était et il m'a répondu : « Kiss My Ass ». Si un flic t'arrête, tu lui montres ta carte ou ta puce et il te laissera tranquille parce que t'es un des nôtres ». Alex : Un des piliers centraux de la tyrannie, c'est quand la classe dominante est exempte des lois qu'elle adopte pour nous tous. On a vu ça à Rome, et aussi avec Hitler. On a entendu Richard Nixon claironner : « Je suis le Président, j'ai le droit d'enfreindre la loi ! » George Bush, Dick Cheney l'ont dit eux aussi. Et ça continue avec Barack Obama : « Je n'accorderai pas de vrais procès aux prisonniers. Ils auront des procès secrets devant une commission militaire de pacotille et ils seront détenus dans des camps secrets. J'ai le privilège de l'exécutif ! » Le même discours, encore et toujours. Voici une histoire parue en avril 2008 dans l'Orange County Register, histoire corroborant exactement ce que disait Aaron de la puce KMA qui aurait pu le mettre à l'abri de tout ennui. Il s'agit de plaques d'immatriculation spéciales qui protègent les fonctionnaires contre les contraventions. Écoutez ça : dans la seule Californie, plus de 996 000 véhicules en sont équipés. Ces véhicules sont exemptés d'assurance, exempts de contraventions pour conduite dangereuse, pour excès de vitesse, pour les feux rouges et les péages grillés etc. Et qui sont les conducteurs de ces véhicules ? Des employés de l'état, des employés fédéraux, la police, des fonctionnaires du gouvernement qui se mettent au-dessus des lois qu'ils nous imposent. Une véritable tyrannie ! Et dans l'ensemble du pays, sauf au Texas où ils ont échoué, ils veulent que la police et les représentants du gouvernement soient au-dessus des lois, les rendre intouchables, les préserver de toute poursuite judiciaire. Le Congrès s'est exonéré de la plupart des lois fiscales et autres qu'ils nous imposent. Ils ne paient pas la sécurité sociale et ils perçoivent une retraite 5 fois supérieure à celle du citoyen. C'est déjà d'actualité ! La puce sous-cutanée et se mettre au-dessus des lois sous couvert de protéger la sécurité nationale, c'est exactement ce qui se cache derrière la Loi sur la sécurité nationale de 1974 et de tout le système de sécurité intérieure. Aaron Russo : Rockefeller m'a dit : « Pourquoi tu te bats pour les autres ? Les gens doivent être dirigés. La Constitution que tu défends ne vaut que pour quelques-uns. Le mieux pour la société, c'est d'être sous le règne sans partage d'une élite ». J'ai répondu : « Je ne pense pas comme toi. Je crois que Dieu m'a créé pour être la meilleure personne possible et qu'Il a créé chacun pour être le meilleur. Et pas pour être votre esclave ou votre mouton. Je ne comprends pas pourquoi vous voulez tout contrôler. » Ceux qui sont au sommet savent pertinemment ce qui se passe. On peut en déduire que la structure de l'élite est compartimentée. Ils sont entre 2 000 et 3 000 au CFR, mais ils sont loin de tous savoir ce qui se passe ! Ils ont rejoint le CFR pour son prestige, parce que c'est bon pour les affaires. Mais ils ne savent pas ce qui s'y passe réellement et tout le mal que le CFR engendre. Le pire, à mon sens, c'est que la vérité n'a jamais été établie sur le 11 septembre. Alex : A ce propos, Rockefeller vous en avait parlé onze mois à l'avance et vous avait laissé entendre tout ce qui en découlerait. Où vous trouviez-vous, le matin du 11 septembre ? Avez-vous pensé à Rockefeller au moment où vous avez vu les Tours s'écrouler ? Aaron : Je me trouvais à Tahiti, au moment de ces attentats. J'ai reçu un appel de mon fils : « Les tours jumelles sont attaquées ». J'étais à Tahiti, c'était en pleine nuit et je dormais. « Elles ont été percutées par un avion ». Là où je me trouvais, il n'y avait pas la télévision. J'ai dû courir à l'autre

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bout de l'île, à l'hôtel où j'ai vu tout ça la première fois. Non, je n'ai pas tout de suite fait le rapprochement avec Nick. Par la suite, quand j'ai réalisé qu'on allait en Afghanistan, en Irak, à mesure que ça se développait, alors oui, j'ai compris. Comment peut-on parler de guerre contre le terrorisme et laisser nos frontières ouvertes ? Si vous étiez le Président des Etats-Unis, ou si j'étais le Président, et que le 11 septembre s'était déroulé comme ils ont voulu nous le faire croire, la première chose qu'on ferait, ce serait de fermer les frontières pour les empêcher d'entrer ! Mais ils ont laissé les frontières grandes ouvertes ! Ce sont les banquiers qui veulent ça, parce qu'ils veulent un gouvernement mondial et une Union nord-américaine. Ils ne veulent pas de frontières ici ! Le 9 septembre était une vaste comédie qui avait pour but de distiller la peur dans la population américaine afin que nous obéissions à ce qu'ils nous imposent. Prenez le passager à la chaussure piégée, Richard Reid. Voilà un type de 2 mètres, moche au possible, puant, et qui gratterait des allumettes pour mettre le feu à sa chaussure, au beau milieu des autres passagers ? C'est débile ! Si vous voulez faire sauter un avion, vous allez aux toilettes, vous fermez la porte... et ensuite seulement vous mettez le feu à votre chaussure ! Vous ne craquez pas une allumette parmi les passagers d'un vol non-fumeur ! Ils veulent nous faire gober ces âneries, c'est ridicule ! Alex : La majorité des britanniques pensent que les attentats de Londres étaient un coup monté de l'intérieur, et tout indique que c'est bien le cas. Aaron : Tout ça, c'est fait pour maintenir les gens dans la peur. C'est absurde ! Cette interminable guerre contre le terrorisme n'existe pas. Pour que les gens se soumettent à tout ce que le gouvernement voudra imposer : vous fouiller, vérifier vos souliers, vous fourguer des cartes d'identité, vous greffer des puces etc. Quand vous serez les serviteurs de l'élite, voilà ce que sera votre vie ! Rétablissez la République en Amérique ! Chassez les banquiers de notre gouvernement ! Le gouvernement doit cesser d'emprunter aux banques et créer lui-même sa monnaie. Notre liberté individuelle nous définit en tant que nation. Si nous ne la reprenons pas, notre liberté, nous resterons leurs esclaves. Je vois des gens comme Bill O'Reilly, à la télévision, et l'emprise qu'ils ont sur les médias. Comme cette fille qu'il a reçue, l'autre soir, de l'Organisation « The World can't Wait ». Cette fille tapait dans le mille. Tout ce qu'elle disait était vrai et O'Reilley n'a rien trouvé de mieux à faire que de la taxer de folle. Ils ne peuvent pas contester, alors ils insultent. Nous allons tout droit vers un monde plein de dangers et de guerres nucléaires potentielles parce que l'industrie bancaire veut faire main basse sur le monde. Le 9 septembre est le point de départ de la guerre anti-terroriste. Cette guerre anti-terroriste nous a entraînés en Irak. On connaît à présent le mensonge sur les circonstances du 11 septembre. Nul ne sait comment le bâtiment 7 est tombé, mais on sait que le 11 septembre est une imposture. Le peuple américain l'ignore, mais de plus en plus de personnes en ont conscience. C'est le premier mensonge. Je ne remonterai pas à la création de la Réserve fédérale, le mensonge originel. Mais le 11 septembre est le premier mensonge de l'état dans lequel on se trouve. C'est le coup d'envoi pour la guerre contre le peuple américain et contre les populations du monde entier. Le 11 septembre est une imposture, une fraude. Ça ne s'est absolument pas déroulé comme on nous l'a dit. Cet attentat nous a donné carte blanche pour envahir l'Afghanistan et l'Irak. L'Irak n'avait pas d'armes de destruction massive. Et ça, c'était le 2ème mensonge. Maintenant, c'est l'Iran. Si vous étiez l'Iran, et que vous voyiez la puissante Amérique envahir votre voisin le plus proche pour s'emparer de son pétrole, vous ne seriez pas inquiet à l'idée d'être le prochain sur la liste ? Les

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américains ne se mettent pas à la place de l'Iran. Et à présent, on renforce notre présence militaire en Irak parce qu'ils veulent intégrer tout le Moyen-Orient à leur nouvel ordre mondial. Saddam Hussein voulait utiliser des euros à la place des dollars. L'Iran veut en faire autant. L'élite veut étendre son pouvoir et va de mensonge en mensonge. Et tant qu'on ne s'attaquera pas à la véritable cause du 11 septembre, qui est censée être la guerre anti-terroriste, on ne résoudra jamais nos problèmes. Qu'on le veuille ou non, tout nous ramène à l'origine du 11 septembre et à cette guerre anti-terroriste. Tant qu'on n'enquêtera pas pour savoir pourquoi le bâtiment 7 s'est effondré, pourquoi l'acier des bâtiments a été évacué si rapidement hors du territoire, pourquoi tant d'incohérences à propos du 11 septembre... tant qu'on ne le saura pas, on ne pourra pas comprendre cette guerre anti-terroriste ni prouver qu'il s'agit d'une gigantesque mascarade. Nick Rockefeller et moi parlions de toutes sortes de sujets. Une des choses dont il m'a parlé, c'est la réduction de la population mondiale. Ils trouvent que la terre est surpeuplée. Oui, elle l'est sans doute... mais ce n'est pas à moi de décider qui peut vivre et qui doit mourir. Pour eux, la population doit être réduite de moitié. Un jour, il m'a expliqué qu'ils se trouvaient face à un véritable problème, le problème israélo-palestinien. Ils caressaient l'idée de déménager Israël en Arizona et d'attribuer un million de $ à chaque israélien pour mener à bien ce projet. C'est pour eux LE problème, un problème qu'ils ne maîtrisent absolument pas. Ils sont très arrogants et peuvent faire tout ce qu'ils veulent. Nous avons donné à ces gens le pouvoir de créer l'argent à partir de rien et grâce à cela, ils ont du pouvoir sur tout. Si vous voulez gagner la bataille, retirez-leur le droit de créer la monnaie. Car c'est de là qu'ils tirent tout leur pouvoir. Ils ont carrément des distributeurs de billets ! Ils peuvent imprimer et faire ce qu'ils veulent, ils possèdent tout ! Nous reprendrons pied si nous émettons l'argent nous-mêmes. Alex : Chacun devra donner des actifs réels pour utiliser, en échange, l'argent que nous imprimons. Aaron : Pourquoi le gouvernement américain emprunte-t-il l'argent aux banques alors qu'il peut le fabriquer lui-même et que ça ne lui coûterait pas un sou d'intérêts ? Personne ne peut répondre. Aucun politicien ne s'est jamais demandé pour quelle raison le gouvernement américain emprunte de l'argent alors qu'il peut le fabriquer sans payer d'intérêts. On le créait bien, jusqu'en 1913 ! Les gens disent que si le gouvernement américain le créait, cela provoquerait de l'inflation. Très bien. Regardons cela. Le gouvernement le fait faire par la Réserve fédérale, ce qui génère la même inflation que s'il le faisait lui-même... avec la dette massive en prime ! Avec la Réserve fédérale, on a l'inflation ET la dette ! Alors que si le gouvernement créait lui-même l'argent, en l'adossant à l'or pour en réguler la quantité, nous n'aurions ni dette ni inflation. Alex : Il n'y avait que 50 % d'inflation entre 1780 et la fin des années 1800. Par la suite, les banques centrales se sont mises à créer la panique pour pouvoir promouvoir la Réserve fédérale. Si on regarde l'inflation de 1913 à 2007, elle a grimpé de façon exponentielle et le dollar vaut maintenant 2 centimes de ce qu'il valait en 1913. L'ancien président de la Réserve fédérale, Alan Greenspan, a doublé la masse monétaire entre 2000 et 2006. Et le nouveau patron, B. Bernanke, veut à nouveau la doubler sur 2 ans et tenir secrets les chiffres de la masse monétaire. Il est clair que la courbe d'inflation monte progressivement et grimpe subitement en flèche. Aaron : Ma seule objection, c'est que de 1780 à 1913, il n'y a pas eu d'inflation. Sauf pendant la guerre civile où Lincoln imprimait de l'argent. Et la valeur du dollar ne bougeait pas. Il n'y a pas eu d'inflation durant ces 100 ans. Les gens connaissaient la valeur de l'argent. Ils pouvaient prendre leur retraite. Ils savaient ce dont ils avaient besoin pour vivre, il n'y avait pas de problème. Ce n'est qu'à l'arrivée de la Réserve fédérale, en 1913, qu'on a créé une inflation et une dette

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massives. Il n'y a pas d'inflation quand le gouvernement émet lui-même la monnaie, à condition qu'elle soit soutenue par l'or. Alex : J'avais entendu dire qu'avec certains événements liés au président Andrew Jackson, il y avait eu des pics à cause de la guerre civile. Parce que Lincoln imprimait trop d'argent. Aaron : C'est exact. Mais autrement, il n'y a pas eu d'inflation en-dehors de cette très courte période. Les gens pouvaient faire des projets. Aujourd'hui, on est obligé de tenir compte de l'inflation et même lorsque les deux parents travaillent, ils n'ont plus les moyens d'entretenir leur famille. Les enfants vont à l'école où on conditionne leurs pensées, on leur donne du Ritalin et un tas de médicaments... le pays est nivelé par le bas. Et tout ça à cause de la Réserve fédérale, qui est responsable avec ces banquiers du sabordage de l'Amérique. Si on veut gagner cette bataille, il faut fermer la Réserve fédérale et ces banques. Et rétablir une monnaie saine pour le pays. Alex : Parlez-nous un peu des familles qui possèdent la Réserve fédérale privée. Vous n'êtes pas spécialiste du groupe Bilderberg mais vous dites que c'est le même système dans le monde entier. Chaque année, ces familles se réunissent et définissent les politiques. Et ça va à l'Institut Royal des Affaires Étrangères (Angleterre) et au CFR (Etats-Unis), qui sont leurs organes de gestion, d'où les familles exercent le contrôle sur les nations. Parlez-nous des familles qui détiennent la Réserve fédérale et de leurs liens avec ces organismes internationaux. Aaron : Je ne peux pas parler de ces familles, je peux seulement parler des faits. Le reste est spéculation et je n'aime pas spéculer. Je connais Rockefeller parce que nous étions amis. Alex : Que dit Rockefeller au sujet de la Réserve fédérale, de ces familles, de Bilderberg ? Aaron : Il a dit que la Fed de New-York est la commande principale de la Réserve Fédérale. Les banques sont encadrées par la Fed de New-York. La Fed de New-York est en fait la Réserve fédérale et les familles qui la contrôlent contrôlent également la Fed de New-York. La Fed de New-York est le moteur principal de la Réserve fédérale. C'est une aile de la Banque d'Angleterre. La Réserve fédérale et la Banque d'Angleterre sont partenaires. La Banque d'Angleterre est privée, la Bundesbank, en Allemagne, l'est aussi. Toutes les banques des pays du G8 sont des banques centrales privées. Que s'est-il passé en Europe ? L'Europe a voté CONTRE la Constitution Européenne, mais elle a quand même été adoptée. Pour l'euro, c'est pareil. Ils se fichent du vote populaire. Ils font ce qu'ils veulent ! Ce que nous désirons ne compte plus. Seul comptent à leurs yeux leur programme, leurs projets, leurs plans. C'est la preuve de la tyrannie qu'ils exercent. Nous vivons dans un monde où le citoyen américain n'a plus la liberté d'agir comme il en a envie. Nous sommes leurs esclaves et ça va de mal en pis. La seule façon de contrer ces gens et de les faire tomber, c'est de fermer la Réserve fédérale. Il doit y avoir un soulèvement, il faut que les gens se battent. Je ne peux pas faire ça tout seul, et vous non plus, Alex. Alex : Il n'en faut pas beaucoup. Ils étaient 5 % très motivés quand ils ont gagné la guerre contre les anglais. Mais je suis d'accord, ça ne suffit pas de dénoncer la corruption. Il faut se mettre en pétard. Aaron : Les gens n'ont pas l'air d'avoir le courage de faire ce qu'il faut. Alex : Je voudrais dire que vous, Aaron, vous avez beaucoup de courage.

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Aaron : Je ne sais pas si j'ai beaucoup de courage. J'ai une conscience et j'ai le sens de la justice. Mes nerfs sont mis à rude épreuve mais je n'ai pas le choix. Si je ne fais pas ce que je crois juste, je n'aurai pas la conscience tranquille. J'ai subi un ostracisme à Hollywood. Les gens de ce milieu ont peur de me fréquenter à cause de ce que je fais et de ce que je dis. Je ne me coule pas dans le moule. Beaucoup, à Hollywood, connaissent la vérité mais ne veulent pas prendre fait et cause pour la défendre. Plusieurs ont vu mon film et savent que j'ai raison. Ils n'osent pas se prononcer parce qu'ils ont peur. Ils croient que les espèces de la Réserve fédérale sont des monnaies sonnantes et trébuchantes, ils mènent grande vie et ils ont peur que ça change. Si les gens n'ont pas le courage de faire ce qu'ils doivent faire, rien ne changera. Espérons que ce que nous faisons, vous, moi et d'autres, poussera les gens à se lever et à hausser le ton. En fait, nous avons un avantage : ils ont besoin qu'on collabore. Sinon, ils ne peuvent pas gagner. Ils ont besoin qu'on accepte leurs programmes. Ils essaient de nous posséder. C'est juste ça, ils essaient de nous posséder. La démocratie, la majorité dit ceci : « Croyez ci, faites ça, la guerre anti-terroriste etc. » Quand on apprendra à ne plus collaborer, alors on gagnera la partie. Ne collaborez pas avec eux ! N'acceptez plus le programme, unissez vos efforts. Vous et moi devrions être candidats à la présidence et à la vice-présidence. Nous devons reprendre ce pays et ramener la liberté. Il faut deux hommes comme vous et moi, des hommes d'état qui croient à la liberté, à Thomas Jefferson, à la Constitution et aux pères fondateurs pour rétablir ce pays. Car en ce moment notre pays est aux mains de gens diaboliques. Le seul moyen pour mettre un terme à tout cela, c'est que des hommes de bien interviennent. Edmund Burke disait que le mal triomphe par l'inaction des bonnes gens. Il faut simplement agir. Le silence plombe la liberté, ne plus avoir peur et faire le nécessaire pour stopper ces banquiers, ces élites, le gouvernement, les membres du Congrès, ce ramassis de menteurs. Ces gens ruinent nos frontières ! Vous imaginez qu'ils sont en train de regrouper l'Amérique, le Canada et le Mexique en un seul pays, l'Union Nord-américaine... et les américains ne le savent même pas ! La presse écrit sur Rosie O'Donnell & Donald Trump se lançant à la figure des noms d'oiseaux alors qu'ils ne disent pas un mot sur cette fusion. La presse nous informe également que Paris Hilton ne porte pas de sous-vêtements. Mais qui s'en préoccupe ? Ça montre bien à quel point les médias sont contrôlés. On fusionne l'Amérique, le Canada et le Mexique en un seul et même pays et vous ne le voyez nulle part dans la presse. Mais... ça devrait défrayer la chronique ! Non, pas un mot là-dessus. Pourquoi ? C'est la preuve que tout est sous contrôle. Ils ne veulent pas que les américains comprennent ce qu'ils sont en train de traficoter. C'est pour ça qu'ils ne protègent pas nos frontières et que nous perdons notre Constitution, ce document garant de notre liberté. Il doit y avoir un soulèvement contre eux, mais pour ça il faut se mobiliser. Il faut que les gens de bien fassent front commun et expriment leur ras-le-bol. Si y regarde de plus près, quand la Réserve fédérale a été créée en 1913, illégalement et sans amendement constitutionnel, en achetant quelques sénateurs lors des vacances de Noël, ils ont délégué à une banque privée le pouvoir le plus important du gouvernement : créer et émettre la monnaie. Et ce faisant, ils ont condamné le pays et détruit le pouvoir d'achat de notre monnaie. Ils ont créé des programmes sociaux qui minent le pays. Alex : Grâce au travail d'Aaron Russo, de Ron Paul et d'autres, les gens commencent à identifier les vrais responsables : les corporations bancaires privées offshore qui se sont lancées dans une

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conquête hostile des Etats-Unis et de toutes les nations de la planète. Et la Réserve fédérale privée est leur tête de pont ici, aux Etats-Unis. Ron Paul a présenté HR 1207, qui a déjà plus de 87 sponsors rien que pour examiner la Réserve fédérale privée. Elle qui a déclaré avec arrogance être au-dessus des lois et des 3 branches du gouvernement, et qu'aucun organe de maintien de l'ordre ne peut enquêter sur elle. C'est d'un ridicule ! Les seuls à se croire au-dessus des lois, c'est eux, cette bande de ploutocrates, cette bande de banquiers polycentriques qui mettent en place ce système néo-féodal mondial. Aaron : Ils ont pris notre gouvernement. Parti démocrate ou républicain, c'est bonnet blanc et blanc bonnet puisque les deux partis sont sous leur contrôle. Peu importe lequel gagne car les candidats aux élections sont oints par eux. Hillary Clinton, John Mac Cain, l'un comme l'autre leur obéiront au doigt et à l’œil. Parce que vous ne gagnez pas aux élections si vous n'avez pas les fonds. Et ils savent à qui donner les fonds. Alex : Le plus important, c'est qu'ils contrôlent les deux partis. Et le public se laisse encore berner et divertir par les deux marionnettes de chaque parti... au lieu d'observer ceux qui les actionnent ! Les révélations se succèdent : « Le sénateur démocrate dit que les banquiers possèdent le Congrès des Etats-Unis, le sénateur Dick Durbin a révélé à radio Chicago cette vérité sur le Congrès, évidente mais peu déclamée ». Puis : « En cette période de crise bancaire causée par d'autres banques, les banques sont toujours le lobby le plus puissant du Capitole et elles possèdent les lieux ». (source : salon.com du 2 mai 2009). Voilà ce sénateur démocrate puissant qui affirme que les banquiers possèdent le Congrès des Etats-Unis. C'est vrai, reconnaissons-le ! Laissons les deux pantins qu'ils mettent pour amuser la galerie, le libéral et le conservateur. Quand on en démasque un, ils le remplacent par un autre. Regardons plutôt ceux qui les manœuvrent. C'est ce que nous disions, Aaron Russo, Ron Paul, moi-même et d'autres. Revenons à la culture Liberté contre Tyrannie. Et cessons de nous focaliser sur la diversion droite/gauche. Vous en avez marre d'Obama, alors ils le remplacent par un républicain. La rhétorique change, mais l'opération se poursuit. Car comme le disait le sénateur démocrate, les banquiers possèdent les lieux. Tout en ayant échafaudé la crise. Et qu'on ne s'y trompe pas : ils l'ont échafaudeé à dessein. Leurs documents du FMI et de la Banque mondiale le reconnaissent. Et c'est à partir de cette crise qu'ils mettent en place la nouvelle Banque du Monde. Time Magazine, Newsweek, Wall Street Journal, Financial Times of London et beaucoup d'autres en font leurs titres : « Et maintenant, place au nouveau gouvernement mondial ! » Ils créent la crise et ensuite ils disent : Bon. Notre combine à la mords-moi-le-noeud craque, alors donnez-nous 12,8 millions de dollars sur les 6 premiers mois pour renflouer les banquiers ». Et maintenant ils disent : « Nous allons établir une Banque du Monde à laquelle vous paierez vos taxes carbone, les banquiers privés vont diriger votre vie ». Et nous, on va payer les taxes carbone contre les émissions de gaz à effet de serre pour deux entreprises appartenant à Al Gore. Et cela est avoué publiquement ! Voilà jusqu'où va l'arnaque ! Nous devons nous réveiller et tenir tête au nouvel ordre mondial ! Je le répète, les banquiers privés offshore possèdent l'Amérique, ils possèdent les deux partis politiques et ils vous attirent dans un duel : Coca version Pepsi, cowboys version indiens. Et vous vous retrouvez partisan dans ce petit combat politique au lieu de garder un œil sur la vraie élite mondiale et sur ce qu'elle met en place. Aaron : L'Amérique était la nation la plus libre au monde. Alors il devenait nécessaire pour ces

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banquiers de s'emparer de ce pays, de nous spolier du droit et de la liberté de porter des armes, puis d'en faire un pays où nous serions leurs esclaves. Car une fois qu'ils auront l'Amérique, le reste du monde sera un jeu d'enfants. Ainsi, en déclenchant un événement pour terroriser les américains par l'idée qu'ils seraient attaqués par des terroristes, vous créez un monde avec un ennemi flou, où vous ne gagnerez jamais la guerre, une guerre de 100 ans contre le terrorisme, une guerre dans laquelle vous êtes engagés pour toujours. Grâce au 11 septembre (1er mensonge), ils ont donné le coup d'envoi de la guerre anti-terroriste (2ème mensonge) et ensuite la guerre en Irak pour les armes de destruction massive (3ème mensonge). De mensonge en mensonge, on s'achemine vers l'Iran et dans la foulée, un renforcement des troupes en Irak. Alex : Arrêtons-nous un instant sur ce qu'Aaron dit ici. La guerre anti-terroriste est en réalité une guerre contre le peuple américain et contre tous les peuples du monde. L'élite entube le public en s'attaquant d'abord à une minorité marginale ou étrangère. On enfreint la Constitution et la Déclaration des Droits car les arrestations secrètes, les camps de concentration de la FEMA et le Military Commissions Act, c'est juste pour les étrangers ! Et maintenant, le gouvernement fédéral est pris la main dans le sac, déclarant que les détenteurs d'armes à feu, les conservateurs, les personnes qui achètent des munitions et les anciens combattants sont la principale menace à la sécurité de la patrie. Quelque part, ce n'est pas faux. Les personnes qui connaissent la Déclaration des Droits et la Constitution, ceux qui savent que le pays est détourné par des banques étrangères constituent bel et bien une menace, pour ces criminels ! C'est ça, le nouvel ordre mondial ! Des corporations privées usurpant le pouvoir des États-nations du monde pour instaurer un néo-féodalisme tyrannique qu'ils appellent corporatisme – ou fascisme ? Mussolini disait que le fascisme aurait dû porter le nom de corporatisme. Et c'est ce qu'il est ! Ils ont créé le socialisme pour contrôler la richesse et la société, pour pomper les bénéfices. Ils socialisent le peuple pour le contrôler. Mais au-dessus de nous, c'est privé ! C'est typiquement de l'esclavage. Aaron Russo a raison : c'est une guerre contre les américains. L'élite a créé la Sécurité intérieure et l’État policier au nom de la lutte contre « des ennemis extérieurs », pour les retourner contre les américains. Comme les rapports du MIAC, du DHS etc. Tout ça, ça a été mis en place pour les américains. Et Aaron Russo a mis le doigt dessus. Aaron : Une chose en amène une autre, et toujours dans le but de convoiter plus de pays, d'étendre leur hégémonie et de s'assurer que le G8 et le dollar contrôlent tout. Ce qu'ils veulent, c'est contrôler le peuple américain et tous les autres peuples, implanter une micro-puce RFID à tout le monde pour en faire les esclaves des banques centrales. Alex : Avez-vous reparlé à Nick Rockefeller après les attentats du 11 septembre ? Aaron : Non. Mais il m'avait dit qu'on allait voir des hommes fouiller les grottes à la recherche d'Oussama Ben Laden et de ses troupes. C'est une imposture, tout est faux ! Alex : Il riait ou il disait cela froidement ? Aaron : Il riait, c'était cynique : « Les gens sont tellement stupides, on peut faire tout ce qu'on veut ! » Alex : Oui, c'est ridicule ! C'est comme ce type qu'ils ont prétendu avoir tué 14 fois ! Ils ne se vantent jamais de l'avoir raté 13 fois ! Le ridicule ne tue pas !

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Aaron : Ben Laden se faisait soigner à l'hôpital américain pour un problème rénal. Ils auraient facilement pu l'attraper ! Alex : Quand nos troupes capturaient des chefs talibans, les généraux ordonnaient de les relâcher. Certains journaux en ont parlé. Pat Tillman s'en est plaint et il s'est fait descendre. Je me suis entretenu avec son frère qui m'a dit qu'ils avaient accusé « al Qaïda » mais en réalité, on lui avait tiré dans le dos ! Aaron : Écoutez, c'est simple, nous avons affaire au diable en personne. Il faut que les américains se réveillent et disent haut et fort : on ne veut plus que le mal infeste notre pays. On veut ramener la décence, la bonté, l'intégrité, l'honneur. On ne veut plus vivre dans un monde pareil. Retirons nos troupes d'Irak. Laissons les pays tranquilles. Cessons de vouloir colporter la démocratie qui est la pire forme de gouvernement qui soit, rétablissons la République, revenons à l'héritage des pères fondateurs ! Nous devons tous nous mobiliser, on ne peut pas tout faire, vous et moi, Alex. Nous pouvons conduire, nous faire entendre des gens. Mais il faut que les américains se rassemblent et disent : « Y en a marre. On est fous de rage ! » et qu'ils mènent le combat. Vous et moi ne pourrons pas y arriver seuls. Nous pouvons donner la direction, mais il faut que les gens nous rejoignent et prêtent main forte si on veut gagner. On doit aussi cesser de collaborer avec le gouvernement, avec leurs lois et leurs règlements. On doit réveiller tout le monde, distribuer vos DVD et les miens et informer les gens sur ce qui se passe. Si vous ne combattez pas la corruption et si vous ne défendez pas ce qui est juste, vous finirez dans la servitude en laissant à vos enfants un monde que vous n'aimerez pas. Comment peut-on faire une chose pareille ? Il faut défendre ce qui est juste, sinon vous ne valez rien. Les gens ont soif de liberté. Il est temps de mettre fin à l'hypocrisie du gouvernement qui nous ment. Beaucoup connaissent la vérité sur ce qui se passe dans notre pays. Vos statistiques sur le 11 septembre le montrent. Mais les gens ont peur de réagir. Il faut qu'ils trouvent le courage de protester et de dire qu'ils savent la vérité. Ils ont installé un climat tel que si vous dites la vérité, on vous prend pour un fou. Si quelqu'un déclare à la télévision que le 11 septembre est un coup monté de l'intérieur, ils le dénigrent et le traitent d'idiot. Ils n'ont pas d'arguments. Vous faire traiter de fou ne signifie pas que vous l'êtes ! Alex : Ils ont une tactique qui consiste à inviter de vrais cinglés et ils prétendent que ces cinglés nous représentent. Aaron : Exactement ! Bill O'Reilly et Sean Hannity sont forts à ce petit jeu. Ils invitent des personnes qu'ils peuvent dominer ! Alex : A votre avis, des gars comme eux... ils ne sont pas stupides, ils savent la vérité. Pourquoi choisissent-ils le camp du Mal ? Aaron : Je pense que c'est en eux, dans leur cœur. Moi aussi j'aurais pu faire ce choix mais mon cœur y a répugné. Alex : Comment pourrait-on, vous et moi, faire un truc comme mettre le virus du SIDA dans le vaccin des Noirs Africains ? Je ne suis pas parfait, mais qu'est-ce qui cloche chez cette élite ? Pourquoi ils s'ingénient à faire le mal ?

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Aaron : Je crois que beaucoup parmi eux pensent bien faire. Je ne parle pas de l'élite elle-même, mais de ceux qui sont dans le système. Comme Nick me l'a dit, c'est une question de pouvoir. Ils sont pleins aux as, ils ont le matériel pour imprimer l'argent. Ce n'est pas une question d'argent mais de pouvoir, de leurs visions du monde et du contrôle qu'ils veulent exercer sur le monde. Vous et moi croyons à l'individualité, nous pensons que l'individu est essentiel. Mais aujourd'hui ce sont les institutions qui dominent, pas le peuple. L'Amérique c'était « Le pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple ». A présent c'est « Le pouvoir des institutions, par les institutions, pour les institutions ». Le peuple passe après les institutions et les corporations. La Réserve fédérale étant la plus grande institution au monde. Si vous demandez autour de vous quelle est la plus grande corporation du monde on vous répondra : Google, Walmart, Exxon etc. Mais la plus grande corporation du monde, c'est la Réserve fédérale. Toutes les autres institutions en dépendent. Alex : Comme dans le jeu du Monopoly, la banque gagne toujours. Elle a une inépuisable réserve d'argent. Ce n'est pas deux joueurs sur un trésor, la banque possède le trésor, le coffre et l'étagère en-dessous. Aaron : C'est parce qu'on leur a permis de fabriquer l'argent. Mais maintenant, il faut l'interdire et retirer à la Réserve fédérale cette prérogative Alex : On doit reprendre les banques aux banquiers privés ? Aaron : Exactement ! Tenez les banques privées à l'écart de la création de la monnaie et vous résoudrez 95 % de vos problèmes. Alex : L'Amérique avait un taux de croissance annuel de 10 %, comme la Chine maintenant, jusqu'à ce que la Réserve fédérale prenne la relève. Depuis, c'est la descente aux enfers. Aaron : De cette façon, ils ont détruit le travailleur américain. Je m'explique. La Réserve fédérale a créé cette inflation massive, ce qui implique que les travailleurs américains doivent gagner plus pour s'adapter au coût de la vie. De ce fait, nous sommes moins compétitifs dans l'économie mondiale car pour ne pas payer si cher nos travailleurs, on va chercher de la main-d’œuvre étrangère. Alex : C'est une guerre contre la classe moyenne. Les banquiers impriment l'argent et font tout pour détruire chaque réservoir privé de richesse ou d'autonomie. Aaron : Oui. Mais à cause de l'inflation qu'ils ont créée, les autres pays nous font concurrence parce qu'eux, ils ne sont pas obligés de surpayer leurs travailleurs comme nous ici. De ce fait, nous ne sommes plus compétitifs et nous avons perdu notre vivier industriel. Autrefois on achetait américain, pas la camelote japonaise. Alex : Que reste-t-il à l'Amérique ? Une force militaire, et l'élite qui nous propose de poursuivre le renforcement militaire. De nous créer des emplois à la Sécurité intérieure, de transformer notre économie, faisant de nous les hommes de main du nouvel ordre mondial. En contrôlant notre économie, ils nous acculent à ça. Aaron : C'est exactement ça. Personne ne fabrique rien, aux Etats-Unis. Nous sommes devenus une économie de services. Nous ne fournissons rien au monde. Il faudrait que tout le monde regarde « De la Liberté au Fascisme ». Ce film montre l'arnaque de l'impôt sur le revenu, de quelle façon Bush a incarcéré des gens sans aucune raison. Il montre la

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corruption du système judiciaire, comment la Réserve fédérale a été créée et comment elle contrôle la société, comment toutes les banques du monde travaillent ensemble via la Banque des règlements internationaux en Suisse, qui est la banque centrale pour toutes les banques centrales. Toutes ces banques qui œuvrent ensemble à la création du nouvel ordre mondial. « De la Liberté au Fascisme » est un film qui apporte une bonne connaissance de base sur le fonctionnement réel du monde. Je voudrais vraiment que tout le monde voie ce film, c'est capital. Au niveau du CFR et de son compartimentage, à mon avis on y trouve beaucoup de gens bien, mais ils n'ont pas idée de ce que représente cette institution. Je suis allé en Allemagne pour recevoir des soins médicaux (j'ai un cancer). Un membre du CFR venait rendre visite à un malade. Nous avons parlé et je lui ai montré le film. Il m'a dit : « Mon Dieu... je vais démissionner ! Je n'avais aucune idée de ce qu'était le CFR ! ». C'était juste un brave gars qui s'était retrouvé dans cette organisation. Beaucoup rejoignent le CFR en pensant qu'il s'agit d'une organisation prestigieuse, pour le business, pour nouer des relations etc. Ils ne peuvent pas se douter qu'il y est question de domination du monde. Que le CFR, la Commission Trilatérale et le Bilderberg travaillent de concert avec les banques pour contrôler les peuples. On ne leur donne aucun détail qui leur permettrait de comprendre. Pour la plupart des membres du CFR, il s'agit simplement d'une organisation prestigieuse favorisant les contacts et les affaires ! Le CFR rassemble les personnalités influentes et puissantes pour s'assurer qu'elles sont bien de leur côté et pas CONTRE eux. Aujourd'hui, on est riche ou on est pauvre. Ils s'activent pour faire disparaître la classe moyenne. Alex : Peut-on dire que c'est une mafia habile qui a pris le pouvoir ? Aaron : On peut l'appeler comme on veut, mais c'est assurément une organisation criminelle. Mais elle a un prestige, elle affiche une certaine classe. Elle impose le respect. Les gens n'y voient pas l'organisation criminelle qu'elle est. Là est leur prouesse ! Alan Greenspan apparaît comme un héro, « le Maestro » ! Alex : Qu'est-ce qui lui a pris ? A la fin des années 60, il a écrit un chapitre du livre d'Ayn Rand où il disait que la Réserve fédérale est infâme, qu'il faut revenir à l'étalon-or, que les banquiers nous volent. Et puis ils arrivent et Alan Greenspan donne l'impression d'avoir conclu un pacte avec Belzébuth. Aaron : C'est exactement cela : un pacte avec le diable. Ils lui ont offert de devenir un des hommes les plus puissants au monde et d'accomplir des choses dont il ne peut rêver. Il est difficile de résister au chant des sirènes, j'ai moi-même été tenté quand ils m'ont abordé. Ils m'ont proposé d'ouvrir une chaîne de boites de nuit, les Baywatch Nightclubs. Ils m'ont fait miroiter qu'on ferait ceci et cela etc. On m'a proposé des affaires, des projets... Mais c'est contraire à ma nature. Ma conscience ne m'autorise pas à faire cela. Les gens me disent que je suis très courageux. Non ! Je ne peux pas faire consciemment du mal aux autres. Je me sentirais trop mal. Alex : Je suis d'accord : si je fais le mal, je me sens mal. Si je fais le bien, je me sens bien. Je ne roule pas sur l'or mais j'ai ce dont j'ai besoin. Voyages, enfants scolarisés, vie confortable. Mais impossible pour moi d'arnaquer les autres pour avoir davantage ! Aaron : L'argent est une chose curieuse. Un jour je discutais avec Michael Eisner et je lui ai dit : « Tu as beau avoir un milliard de dollars, ce ne sont que des dollars ! Et si le dollar s'effondre, qu'est-ce qu'il te reste ? » Tout est libellé en dollars, on pense en dollars, mais le dollar n'a pas de valeur. Un jour, tout retourne à la moyenne. Notre univers financier est une fraude matricielle. C'est pour ça qu'il va s'effondrer. Ils vont essayer de tenir tant bien que mal, ils peuvent moduler les fluctuations du marché, de la bourse. Il n'y a plus de marché libre. Ce n'est plus une société capitaliste à économie de marché.

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Alex : Ils répètent à qui veut l'entendre que c'est un système capitaliste libéral et à côté de ça, ils mènent la guerre financière et politique. Aaron Russo, merci pour cet entretien. Aaron : Je suis content de le faire pour vous ! Alex : Votre site internet ? Aaron : www.freedomtofascism.com Tout ce que j'ai à dire, c'est ceci : reprenez le pays, rétablissez la Constitution, ne laissez plus faire ces banquiers, levez-vous, ne reculez pas devant eux et faites ce que vous devez faire. J'ai des projets et du boulot. Une fois mes problèmes de santé surmontés, on s'en occupera. Alex : Vous avez mon soutien. Aaron : Merci, Alex. Vous avez fait un excellent travail en dévoilant la vérité. Ne craignez pas que ces gens vous tournent en dérision. Si vous pensez que le 11 septembre est une imposture, dites-le. Ne soyez pas impressionné s'ils tentent de vous dénigrer. Alex : Que pensez-vous de ce que Charlie Sheen a fait ? Aaron : J'aime et je respecte ce qu'il a fait. Je l'ai applaudi. Peu de gens ont fait ce qu'il a fait. Je suis vraiment fier du bonhomme. Alex : David Lynch l'a fait. Mais les médias sont rusés et il n'y a eu aucun écho. Aaron : Quelques personnes l'ont fait mais ce n'est pas relayés par les médias qui sont sous contrôle. Alex : James Brolin l'a fait dans l'émission « The View ». Aaron : Oui, j'ai entendu ça. Barbara Walters avait l'air d'avoir une attaque. Mais ça passe à la trappe. Ils ne veulent pas que ça fasse tâche d'huile. Si quelqu'un ose parler, ils étouffent ses propos dans l’œuf. En revanche, ils nous bassinent avec la guerre anti-terroriste et tous leurs mensonges. Parce qu'on a donné à la Réserve fédérale le pouvoir de créer l'argent. Ils contrôlent les médias, ils contrôlent le gouvernement. Ils couchent tous ensemble ! Et nous, nous devons lutter contre cette propagande et c'est vraiment dur. Citoyens, mobilisez-vous. Soyez unis et gardez la tête haute. Faites savoir au gouvernement que vous êtes en rage. Ne coopérez plus avec le gouvernement, faites tout ce qui est en votre pouvoir pour rétablir la liberté et votre individualité. Ne soyez plus un pays dirigé par les institutions pour les institutions. Revenons au modèle avec le peuple, par le peuple, pour le peuple. Par opposition avec les institutions, par les institutions, pour les institutions. Défendez vos droits. Défendez la piété qui est en nous tous. Alex : Merci d'avoir regardé cet entretien historique avec Aaron Russo. De grâce, ne renoncez pas après avoir vu cette interview. Documentez-vous sur la Réserve fédérale privée et sachez qu'elle est la tête principale de l'hydre qu'il nous faut traquer. Sachez qu'on peut combattre les partis politiques. Si on ne s'attaque pas au cœur du problème, rien ne s'arrangera.

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Nous avons cette classe dirigeante de banquiers privés qui émet toute la monnaie. Ils ont commis des crimes effroyables et ils ont l'audace de se prétendre au-dessus des lois. Mesdames et Messieurs, nous n'avons plus le choix. C'est eux... ou nous ! Soit le nouvel ordre mondial est éradiqué du pouvoir, soit le monde connaîtra des guerres, la tyrannie et un état policier cauchemardesque à la merci de ces eugénistes. En mémoire d'Aaron Russo et de ceux qui furent épris de liberté pour l'avenir de nos enfants et pour l'humanité, exigeons des enquêtes sur la Réserve fédérale privée. Harcelons les banquiers. Mettons ces entreprises étrangères criminelles hors du pays et rétablissons notre République constitutionnelle. Ne nous laissons plus divertir par les pantins libéral et conservateur qu'ils nous donnent en spectacle. Intéressons-nous à ceux qui tirent les ficelles, à ceux qui se trouvent derrière ces hommes de paille, aux vrais architectes du nouvel ordre mondial. Et traduisons-les en justice. Si nous les dénonçons, ces bâtards arrogants ne s'en sortiront pas. Et cela transpire de plus en plus dans les médias grand public, qu'ils sont une bande de criminels au-dessus des lois et qu'ils ont détourné notre nation. Ils n'ont que l'illusion d'être au-dessus des lois. Dénonçons ces criminels et traînons-les en justice. Vous êtes la solution. Agissez et rejoignez les rangs de personnes comme Aaron Russo, Ron Paul et bien d'autres. Dieu vous bénisse ! Merci pour votre attention. Et faites connaître les véritables ennemis du peuple que sont la Fed, le nouvel ordre mondial et l'hégémonie des banquiers centraux privés ! En mémoire d'AARON RUSSO, 1943-2007