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14 18 30 02_2016 Utilisation optimale des rayonnements ionisants Optimale Nutzung ionisierender Strahlung dank Audits Tomothérapie hélicoïdale - radiothérapie guidée par l’image Helikale Tomotherapie – bildgeführte Strahlentherapie Nuova serie: il nostro mestiere all’estero Neue Serie: Unser Beruf im Ausland RADIOGRAPHER actuel aktuell attualità

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02_2016

Utilisation optimale des rayonnements ionisantsOptimale Nutzung ionisierender Strahlung dank Audits

Tomothérapie hélicoïdale - radiothérapie guidée par l’imageHelikale Tomotherapie – bildgeführte Strahlentherapie

Nuova serie: il nostro mestiere all’estero Neue Serie: Unser Beruf im Ausland

RADIOGRAPHERRADIOGRAPHERRADIOGRAPHER

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ASTRM actuel 02 / 2016 éditorial | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Editorial 3

Chères et chers collègues,

Il existe dans les Alpes suisses une célèbre station dont le nom se lie chaque début d’année à un grand forum et dont le cœur se transforme pour quelques jours en centre scruté par le monde entier. Ce forum économique mondial ou WEF réunit des chefs d’Etat, responsables politiques, leaders de grandes entreprises, intellectuels, journalistes, représen-tants des milieux universitaires et des ONG, chefs religieux et autres personnalités du monde entier. Même les stars de cinéma viennent y affi cher leur magnifi que sourire ou leur soutien à une cause qui leur tient à cœur.On y débat dans des hôtels douillets, entre deux re-pas et quelques poignées de mains. Les sujets chauds de cette année sont la crise syrienne, les réfugiés en Europe, la montée du terrorisme, l’effondrement du prix du pétrole, l’instabilité boursière et la crainte de krach chinois. Il me semble que le monde va fort mal et, quand en fi n de semaine toutes ces per-sonnalités s’en vont, sans grande révolution, je me demande s’il convient d’être inquiet ou optimiste pour le futur. Vous l’avez deviné, cette station est Davos. Au mois de mai prochain Davos sera, pour nous les TRM, the place to be ! Nous vous y concoctons un programme de Congrès Suisse de Radiologie qui sera digne de l’altitude de la station. Si pour certains Davos n’est connue que pour le WEF, pour d’autres elle l’est surtout pour ses pistes de ski et d’autres encore n’y ont jamais mis les pieds. C’est l’occasion rêvée d’y venir, de s’y impré-gner des tendances nouvelles de notre profession. Nous aussi nous avons nos défi s politiques, sécuritaires et professionnels et c’est ensemble que nous pouvons être optimistes pour l’avenir. Les VIP de la station ce sera nous et je vous assure que nous en repartirons avec plein de projets.

Isabelle GremionMembre du comité central

Liebe Kolleginnen und Kollegen

In den Schweizer Alpen wird ein bekannter Ort zu Jahresbeginn jeweils mit einem grossen Forum in Verbindung gebracht. Die ganze Welt richtet dann ihre Aufmerksamkeit während einiger Tage auf diesen Ort. Am Weltwirtschaftsforum – oder WEF – treffen sich Staatsoberhäupter, Verantwortliche aus der Politik, Chefs von Grossunternehmen, Intellek-tuelle, Journalisten, Vertreter der Universitäten und der NGO, religiöse Oberhäupter und weitere Persön-lichkeiten aus der ganzen Welt. Sogar Kinostars reisen dorthin, um mit ihrem Lächeln zu bezaubern oder ein ihnen am Herzen liegendes Thema zu unterstützen.

In gemütlichen Hotels wird zwischen zwei Mahlzeiten und Händeschütteln diskutiert. Dieses Jahr sind die heissen Themen die syrische Krise, die Flüchtlinge in Europa, die Zunahme des Terrorismus, der Zusammenbruch des Ölpreises, die unsichere Börsenlage und die Angst vor einem chinesischen Crash. Ich habe das Gefühl, dass es schlecht steht um die Welt und frage mich, ob ich besorgt oder optimistisch in die Zukunft blicken soll, wenn dann all dies Persönlichkeiten Ende Woche wieder abreisen, ohne eine grosse Revolution herbeigeführt zu haben. Natürlich haben Sie erraten, dass es um Davos geht. Im Mai wird Davos für uns, die Fachleute für MTRA, dann zum the place to be! Wir bieten Ihnen dort ein Programm des Schwei-zerischen Radiologiekongresses, das sich auf der Höhenlage des Ortes durchaus sehen lassen darf. Einige kennen Davos nur wegen des WEF, während andere den Ort vor allem wegen seiner Skipisten schätzen. Und einige waren noch gar nie dort. Es ist also DIE Gelegenheit, nach Davos zu reisen, um die neuen Tendenzen in unserem Beruf zu entdecken. Auch wir müssen uns nämlich politischen, sicherheitstechnischen und berufl ichen Herausforderungen stellen. Gemeinsam können wir die Zukunft optimistisch angehen. Wir werden dann die VIP des Ortes sein und ich verspreche Ihnen, dass wir mit vielen Projekten wieder nach Hause gehen.

Isabelle GremionMitglied des Zentralvorstands

NewsEn brefCongrès suisse de radiologie 2016 à Davos Article spécialisé

Utilisation optimale des rayonnements ionisants grâce aux audits cliniques

La tomothérapie hélicoïdale – une autre forme de radiothérapie à intensité modulée guidée par l’imageSérie

Nuova serie: il nostro mestiere all’estero Formation

Bulletin des emplois

Agenda / Impressum

NewsKurznews

. . . . . Schweizerischer Radiologiekongress 2016 in Davos Fachbericht

Optimale Nutzung ionisierender Strahlung dank Klinischer Audits

Helikale Tomotherapie - eine andere Form der bildgeführten intensitätsmodulierten Strahlentherapie

SerieNeue Serie: Unser Beruf im Ausland

Fort- und Weiterbildung

Stellenanzeiger

Agenda / Impressum

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ASTRM actuel 02 / 2016 formation | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Fort- und Weiterbildung4

NERVENSACHEMittwoch, 06. April 2016

Stadtspital Waid Zürich, Waidforum

Nervenläsionen werden bei Unfällen wegen den im Vordergrund stehenden anderen Verletzungen häufi g nicht erkannt. Oft sind sie jedoch Schuld an Schmerzen und schränken in vielen Fällen den Patienten lebenslang ein. Diese Abendfortbildung widmet sich der MR-Bildgebung von Nervenläsionen sowie der möglichen Diagnostik und Behandlungen von peripheren Nervenläsionen durch die Osteopathie. In der Osteopathie kann man mit den Händen die «Grundspannung» von Muskeln, Knochen und Gelenken festgestellt und so gestörte Funktionen erkennen.

M. Arnet, Dipl. Osteopathin GDK-CDS, Dipl. Physiotherapeutin FH, Zürich PD Dr. med. univ. R. Guggenberger, USZ

2.5

Mitglieder Sektion Ostschweiz: gratis, Mitglieder SVMTRA: CHF 20.–, Studierende Mitglieder SVMTRA: CHF 10.–, Nichtmitglieder SVMTRA: CHF 220.–, Nichtmitglieder Studierende: CHF 40.–

[email protected] oder Fax: 044 366 26 76, Anmeldungen per Email werden bestätigt

Ort:

Thema

Referenten

CME-Punkte:

Kosten:

Anmeldung:

FORMATION CONTINUE CERTIFIANTE EN RADIOPROTECTIONModule de base 26 et 27 mai 2016 HESAV/FILIERE TRM de LausanneSous l’égide de l’association suisse des techniciens en radiologie médicale (ASTRM), un programme de formation continue en radioprotection, soutenu par l’OFSP, est proposé à tous les TRM de Suisse. Cette formation de remise à niveau, basée sur les compétences de la fi lière d’étude HES, se décline en plusieurs modules:– Un module de base de deux jours (obligatoire pour suivre un ou plusieurs modules spécialisés).– Trois modules spécialisés de 1 jour (Médecine nucléaire, CT, Radiodiagnostic général et interventionnel).Le module de base, qui fait l’objet du présent cours, est organisé en langue française. Ultérieurement, la même formation sera organisée en Suisse alémanique, en langue allemande. De même, les modules spécialisés seront proposés ultérieurement.

– Rappel des bases de radiophysique– Radiobiologie et dosimétrie– Radioprotection– Aspects légaux– Perception et communication du risque radiologique.

Les personnes intéressées à suivre le module de base peuvent tester leurs connaissances à l’aide d’un questionnaire internet sur la plateforme Muchacha, afi n de s’assurer que leurs pré-requis sont suffi sants pour profi ter pleinement du module de base et obtenir la certifi cation. Sur la base du score obtenu, une préparation à domicile leur sera conseillée.Les renseignements sur l’accès à la plateforme Muchacha ainsi que les références bibliographiques peuvent être obtenues au secrétariat de la section romande de l’ASTRM.

TRM au bénéfi ce d’un diplôme suisse ou formation jugée équivalente. Médecins radiologues ou nucléaristes.

La fi nance d’inscription est de CHF 400.- pour les membres de l’ASTRM et de CHF 600.– pour les non membres; elle couvre l’enseignement et la documentation distribuée. L’entretien (repas, hôtel) et les déplacements ne sont pas compris dans ces prestations.

Durant les cours, les accidents sont couverts par l’assureur LAA pour les personnes ayant un employeur. Pour les autres personnes, elles doivent être couvertes par une assurance personnelle.

Le délai d’inscription est fi xé au 6 mai 2016.

Ce cours équivaut à 33 points CME (16,5 en cas de non certifi cation).

Certifi cat suite à un examen écrit à la fi n du second jour.

[email protected]

Présentation

Contenu du module de base

Préparation individuelle avant le module de base

Public

Finance d’inscription

Assurance

Délai d’inscription

Points CME

Certifi cation

Adresse de contact, inscriptions et programme détaillé

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ASTRM actuel 02 / 2016 news | SVMTRA aktuell 02 / 2016 News 5

Bracco devient partenaire de sponsoring offi ciel de l’ASTRMDepuis plusieurs années, Brac-co Suisse SA est sponsor de projet de l’ASTRM et soutient surtout la «Journée des TRM» ainsi que les membres juniors et les membres fraîchement diplômés dans le cadre du fi -nancement de formations

Formation Assistance en radiologie MAB (AUT)

En mars 2016, le nouveau site internet www.astrm.ch sera disponible avec une nouvelle fraîcheur. Sur des tablettes et smartphones, il s’affi chera dé-sormais de manière optimale.

Andreas Bischof quitte la com-mission de développement PEC TRM ES qu’il a présidée et rejoint la commission de for-mation de l’ASTRM. Le comité central a nommé Claudia Wei-bel pour lui succéder au sein de la commission de développe-ment PEC TRM ES.

L’OdASanté a informé l’ASTRM sur la suite du processus du changement du titre demandé par l’ASTRM. Ce processus se présente comme suit:1. L’ASTRM a soumis sa proposi-

tion à l’organe responsable du plan d’études cadre de la fi lière de formation technique en radi-ologie médicale ES, l’OdASanté et l’ASCFS: le changement du ti-tre professionnel en allemand pour dipl. Radiologiefachfrau/-mann HF. La commission de dé-veloppement compétente a ex-aminé cette demande et propose aux deux comités de l’OdASanté et de l’ASCFS de faire avancer le changement souhai-té du titre professionnel.

2. Les deux comités de l’OdASanté et de l’ASCFS statuent sur la proposition de la commission de développement PEC TRM ES.

3. Après l’adoption, l’organe re-sponsable soumet la proposi-tion à la Commission Fédérale des Écoles Supérieures CFES.

4. Sur recommandation de la

Au 1er janvier 2013, la Loi sur les professions d’assistance médicale (MABG) a été mise en vigueur en Autriche. Entre autres, le profi l professionnel des «Assistants en radiologie» a été créé. De ce fait, un nouveau groupe professionnel existe en Autriche, en plus des Technologues en radiologie (RT) qui existent déjà et qui sont au même niveau que les techniciens en radiologie médicale diplômés (TRM) en Suisse. Ce nouveau groupe professionnel couvre des domaines profes sionnels similaires. Cet automne, 20 personnes ter-mineront pour la première fois la formation d’assistant en radiolo-gie MAB dans la région frontalière de Vorarlberg. Puisque dans cette région, il n’y aura – à moyen et à long terme – pas autant de postes à disposition que de personnes

Le site vous plaît-il ou voudriez-vous signaler ce qui ne vous plaît pas? Merci d’envoyer vos réactions à [email protected].

CFES, le Secrétariat d’État à la Formation, à la Recherche et à l’Innovation SEFRI reçoit et traite la proposition de chan-gement du titre.

5. Les changements du titre im-pliquent une adaptation de l’annexe concernée de l’or don-nance du DFE concernant les conditions minimales de re-connaissance des fi lières de formation et des études post-diplômes des écoles supéri-eures (OCM ES) et peuvent seulement être approuvés dans le cadre d’une révision (partielle) de l’OCM ES. Le SE-FRI ajoute la proposition du changement du titre profes-sionnel pour dipl. Radio-logiefachfrau/-mann HF à la prochaine consultation de l’OCM ES.

6. Dans le cadre de l’évaluation de la consultation de l’OCM ES, le SEFRI statue sur le changement du titre profes-sionnel des techniciens en radiologie médicale ES.

ayant suivi la formation, il faut s’attendre à ce que les assistants en radiologie MAB postulent également en Suisse voisine – et ceci probablement surtout pour des postes de techniciens en radi-ologie médicale (TRM) même si avec leur formation, ils ne dispo-sent pas de suffi samment de qualifi cations pour le faire.De ce fait, l’ASTRM se voit obligée de souligner les problèmes de la nouvelle forme de formation. Il faut notamment démontrer pour quel travail les assistants en radio logie MAB ont les qualifi ca-tions nécessaires acquises lors de leur formation et pourquoi ils ne sont pas autorisés à assumer les tâches de techniciens en radiolo-gie médicale (TRM).L‘information complèt vous trou-vez sous www.astrm.ch

continues. Nous sommes heu-reux que Bracco Suisse SA ait décidé d’étendre la collabora-tion avec l’ASTRM. À partir de 2016, la société sera offi -ciellement un partenaire de sponsoring de l’ASTRM. www.bracco.ch

Nouveau site internet

Au revoir, chers fonctionnaires

Changement du titre dipl. Radiologiefachfrau/-mann HF

Est-ce que la collaboration au sein d’un groupe de l’ASTRM vous intéresse aussi ? Veuillez contacter votre section ou envoyer un cour-riel à [email protected]

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ASTRM actuel 02 / 2016 formation | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Fort- und Weiterbildung6

medi | Zentrum für medizinische Bildung | Medizinisch-Technische Radiologie Max-Daetwyler-Platz 2 | 3014 Bern | Tel. 031 537 32 20 | Fax 031 537 31 32 | [email protected]

Strahlenschutz-update: jetzt bin ich kompetenter!Inkl. dosisintensive Untersuchungen (CT und Durchleuchtungen)Kompetenzen / Ziele Die Teilnehmenden (Diplomierte Fachpersonen für Medizinisch-Technische Radiologie) − schützen sich selbst sowie die Patientinnen/Patienten, Klientinnen/Klienten, Drittpersonen und die Umwelt

vor ionisierender Strahlung, indem sie Strahlenschutzmassnahmen sachgerecht durchführen und geltende Richtlinien sowie Vorschriften einhalten und erläutern können.

− sind in der Lage ihr Wissen an involvierte Personen kompetent weiterzugeben.

Kursinhalte− Aktualisierung der Grundlagen: Strahlenphysik, Strahlenbiologie, Strahlenmesstechnik und Dosimetrie − Aktuelle rechtliche Grundlagen (Gesetze, Verordnungen, Richtlinien) − Dosisbegriffe und ihre Bedeutung, Dosisvergleiche − Diagnostische Referenzwerte (DRW) − Angewandter Strahlenschutz insbesondere in der allgemeinen diagnostischen und interventionellen Radiologie, sowie in der Pädiatrie und Computertomografie (CT) − Schutzmittel, Anwendung und Qualitätssicherung − Praktische Messungen (ohne und mit Phantomen) im Röntgenraum − Sachverstand, Aufgaben und Pflichten − Baulicher Strahlenschutz in Röntgenräumen

Kursdaten: StrSch 2016-2: Donnerstag/Freitag, 18./19. und Freitag/Samstag 26./27. August 2016 (4 Tage)Kurskosten: 950 CHF für Mitglieder des Berufsverbandes SVMTRA (1150 CHF für Nichtmitglieder) Zusatzkosten Buch: Roth J., Strahlenschutz in der Medizin. ISBN 978-3-456-84537-1 (ca. 60 CHF) Anmeldung: www.medi.ch/medizinisch-technische-radiologie/weiterbildung/anmelden-kurse/Diese Weiterbildung auf der Basis des nationalen Rahmenlehrplans (RLP) Strahlenschutz ist Teil des Bildungskonzeptes der SVMTRA. Der RLP wird unterstützt durch das Bundesamt für Gesundheit (BAG).

medi | Zentrum für medizinische Bildung | Medizinisch-Technische Radiologie Max-Daetwyler-Platz 2 | 3014 Bern | Tel. 031 537 32 20 | Fax 031 537 31 32 | [email protected]

Weiterbildung „Schnittbildanatomie und Schnittbildpathologie“ 2016 Kompetenzen / Ziele Die Teilnehmenden (Dipl. Fachleute für Medizinisch-Technische Radiologie aller 3 Fachgebiete) - beherrschen die topografische Anatomie in unterschiedlichen Lagen und Schnittführungen um

die notwendigen Protokolle und Sequenzen gezielt zu planen und durchzuführen. - identifizieren Organe, Organsysteme, anatomische und pathologische Strukturen auf CT- und

MR- Bildern. - erfassen die Anatomie und wichtige Pathologien und verknüpfen die Resultate der Untersu-

chungen mit den Indikationen und Fragestellungen. - interpretieren anatomische und pathologische Strukturen in axialen, koronaren, sagittalen und

obliquen Bildsequenzen nativ und mit Kontrastmittel.

Kursinhalte- Thoraxradiologie inkl. Herz und Hals - Abdomen und Becken - Muskuloskelettale Radiologie - Neuroradiologie inkl. Gesichtsschädel - Spezifische Aspekte bei der Bestrahlungsplanung

sowie bei Hybridverfahren PET-CT, SPECT-CT - Klinische Fallbeispiele aus der Praxis

Kursdaten Kurs SB 2016-12: Freitag/Samstag, 14./15. und Samstag, 22. Oktober 2016

Kurskosten: 700 Franken für Mitglieder Berufsverband SVMTRA (900 Franken für Nichtmitglieder)

Anmeldung:www.medi.ch/medizinisch-technische-radiologie/weiterbildung/anmelden-kurse/

medi | Zentrum für medizinische Bildung | Medizinisch-Technische Radiologie Max-Daetwyler-Platz 2 | 3014 Bern | Tel. 031 537 32 20 | Fax 031 537 31 32 | [email protected]

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ASTRM actuel 02 / 2016 news | SVMTRA aktuell 02 / 2016 News 7

Bracco wird offi zieller Sponsoring-partner der SVMTRABracco Suisse S.A. ist seit mehreren Jahren Projekt-sponsor der SVMTRA und unterstützte dabei vor allem den «Tag der MTRA» sowie Juniormitglieder und frisch-diplomierte Mitglieder bei der Finanzierung von Weiter bil-

Ausbildung zur MAB Röntgenassistenz (AUT)

Die neue Website www.svmtra.ch geht im März 2016 online und kommt frisch und aufge-räumt daher. Neu ist diese auf Tablets und Smartphones opti-

Andreas Bischof verlässt die Entwicklungskommission RLP MTRA HF, die er präsidierte, und nimmt Einsitz in der Bildungskommission SVMTRA. An seiner Stelle nominierte der Zentralvorstand Claudia Wei-bel als seine Nachfolgerin zur Wahl in die Entwicklungskom-mission RLP MTRA HF.

Die OdASanté hat die SVMTRA über den weiteren Prozess der von der SVMTRA beantragten Titeländerung informiert. Die-ser sieht folgendermassen aus:1. Die Trägerschaft des Rah-

menlehrplans für den Bil-dungsgang medizinisch-technische Radiologie HF, OdASanté und BGS, hat den Antrag der SVMTRA erhalten, den deutschen Be-rufstitel hin zu dipl. Radio-logiefachfrau/-mann HF zu ändern. Die zuständige Ent-wicklungskommission hat diesen Antrag geprüft und stellt den beiden Vorständen OdASanté und BGS den An-trag, die vorgeschlagene Änderung des Berufstitels voranzutreiben.

2. Die beiden Vorstände OdA-Santé und BGS befi nden über den Antrag der Ent-wicklungskommission RLP MTRA HF.

3. Nach Verabschiedung un-terbreitet die Trägerschaft

Per 1. Januar 2013 wurde in Österreich das Medizinische Assistenzberufe-Gesetz (MABG) in Kraft gesetzt und damit u.a. das Berufsbild der «Röntgen-assis tenten» neu geschaffen. Damit besteht in Österreich neu neben den bisher beste-henden und den dipl. Fachper-sonen für medizinisch-tech-nische Radiologie (MTRA) in der Schweiz gleichgestellten Radiologietechnologen (RT) ei-ne neue Berufsgruppe, die in ähnlichen Aufgabengebieten eingesetzt werden soll. Im Herbst dieses Jahres wer-den in der Grenzregion des Vorarlbergs erstmals 20 Per-sonen die Ausbildung zum MAB Röntgenassistenten ab-schliessen. Da in der dortigen Region mittel- bis längerfristig nicht derart viele Stellen wie Abgänger zur Verfügung stehen

miert dargestellt. Gefällt Ihnen die Seite oder was gefällt Ih-nen nicht? Danke für Ihr Feed-back an [email protected]

den Antrag der Eidgenös-sischen Kommission Höhere Fachschu len EKHF.

4. Das Staatssekretariat für Bil-dung, Forschung und Innova-tion SBFI nimmt den Antrag um Titeländerung auf Emp-fehlung der EKHF entgegen.

5. Änderungen am Titel setzen eine Anpassung des ent-sprechenden Anhanges der Mindestvorschriften für die Anerkennung von Bildungs-gängen und Nachdiplom-studien der höheren Fach-schulen (MiVo-HF) voraus und können nur im Rahmen einer (Teil-)Revision der Mi-Vo-HF genehmigt werden. Das SBFI nimmt den Vor-schlag zur Änderung des deutschen Berufstitels hin zu dipl. Ra dio logie-fachfrau/-mann HF in die bevorstehen-de Vernehmlassung der Mi-Vo-HF auf.

6. Das SBFI befi ndet im Rahmen der Auswertung der Ver-nehmlassung zur MiVo-HF.

werden, ist zu erwar-ten, dass sich die MAB Röntgenas-sistenten auch in der benach-barten Schweiz bewerben werden – und zwar wohl vor-wiegend auf Stellen von dipl. Fachpersonen für medizinisch-technische Radiologie (MTRA), obwohl sie dazu aufgrund ih-rer Ausbildung nicht hinrei-chend qualifi ziert sind.Die SVMTRA sieht sich deshalb veranlasst, vorliegend auf die Pro-blematiken der neuen Aus bildung hinzuweisen. Namentlich soll auf-gezeigt werden, wozu die MBA Rönt genassistenten aufgrund ihrer Ausbildung befähigt sind und weshalb sie nicht befugt sind, die Aufgaben von dipl. Fachpersonen für medizinisch-technische Radiologie (MTRA) zu übernehmen.Die vollständige Information fi nden Sie auf www.svmtra.ch

dungen. Wir freuen uns, dass Bracco Suisse S.A. sich ent-schieden hat, die Zusammen-arbeit mit der SVMTRA aus-zuweiten und ab 2016 offi ziell als Sponsoringpartner der SVMTRA aufzutreten. www.bracco.ch

Neue Website

Bye bye, liebe Funktionäre

Titeländerung dipl. Radiologiefachfrau/-mann HF

Sind Sie auch interessiert an einer Mitarbeit in einer Gruppe der SVMTRA? Melden Sie sich bei Ihrer Sektion oder bei [email protected]

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ASTRM actuel 02 / 2016 formation | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Fort- und Weiterbildung8

COURS SUR LE DÉPISTAGE ORGANISÉ DU CANCER DU SEIN PAR MAMMODu lundi 25 au jeudi 28 avril 2016, HESAV/fi lière TRM de Lausanne

Les cours s’adressent aux technicien(ne)s en radiologie médicale impliqués dans un programme de dépistage du cancer du sein.

La personne doit être au bénéfi ce d’un diplôme de technicien(ne) en radiologie médicale et effectuer régulièrement des clichés mammographiques.

Le programme détaillé (avec formulaire d’inscription) peut être obtenu à l’adresse de contact ci-dessous.

La fi nance d’inscription est de CHF 800.– pour l’ensemble du cours (CHF 1200.– pour les TRM qui ne sont pas membres de l’association); elle couvre l’enseignement et la documentation distribuée. L’entretien (repas, hôtel) et les déplacements ne sont pas compris dans ces prestations.

Durant les cours, les accidents sont couverts par l’assureur LAA pour les personnes ayant un employeur. Pour les autres personnes, elles doivent être couvertes par une assurance personnelle.

Le délai d’inscription est fi xé au 1er avril 2016.

Certifi cat: 110 points CME / Attestation: 37 points CME

Mercredi 11 mai 2016

Le/la candidat(e) ayant suivi le bloc théorique, ayant réussi le test de connaissances, ayant validé son stage et ayant réalisé un portfolio recevra un certifi cat attestant de sa formation.

[email protected]

Programme:

Condition d’admission:

Programme détaillé:

Finance d’inscription:

Assurance:

Délai d’inscription:

Points CME:

Contrôle des connaissances:

Certifi cat:

Adresse de contact:

MTRA-Fortbildungstagung «Ab auf die Insel» 2016Samstag 30. April 2016, Inselspital Bern

Die Radiologie im Fokus der Rheumatologie Unter dem Motto «Ab auf die Insel» erwartet Sie am Samstag 30. April 2016 zum 4. Mal eine abwechslungsreiche, informative MTRA-Fortbildungstagung mit folgenden Haupthemen:

– Rheuma – die Volkskrankheit Nr. 1 der Schweiz? – Die Rheumatischen Zeichen im konventionellen Röntgenbild, im CT-Scan

und im MR-Scanner – Fokus Nuklearmedizin und Rheuma – Erlebnisbericht eine betroffenen Person – Rheuma im Kindesalter – Rheuma aus Sicht der Physiotherapie

Die Tagung ist mit 5 CME Punkten akkreditiert.

Ausschreibung und Anmeldung: www.radiologie.insel.ch

110126_Ab auf die Insel Inserat.indd 2 19.01.16 14:49

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ASTRM actuel 02 / 2016 news | SVMTRA aktuell 02 / 2016 News 9

Bracco diventa partner uffi ciale nello sponsoring dell’ASTRMDa diversi anni, Bracco Svizze-ra SA è sponsor dell’ASTRM per progetti, e sostiene so-prattutto la «Giornata del TRM», oltre ai membri junior ed i neodiplomati nel contesto del fi nanziamento di for-mazioni continue. Siamo or-

Formazione di assistente in radiologia MAB (AUT)

In marzo 2016, il nuovo sito in-ternet www.astrm.ch sarà dispo-nibile in una nuova veste. Sarà possibile consultarlo in maniera ottimale anche su smartphone e

Andreas Bischof abbandona la commissione di sviluppo del piano quadro di formazione TRM SSS che ha presieduto, e prende posto nella commissio-ne per la formazione dell’ASTRM. Al suo posto viene no-minata dal Comitato Centrale Claudia Weibel.

OdASanté ha informato l’ASTRM in merito all’avanzamento del processo di cambiamento di titolo richiesto dall’ASTRM. Questo pro-cesso si presenta come segue:1. L’ASTRM ha sottoposto la pro-

posta all’organo responsabile del piano quadro di studi per la formazione di TRM SSS, all’OdASanté e alla ASCFS per il cambiamento di titolo profes-sionale in tedes co (dipl. Radiologief ach frau/-mann HF). La commissione di sviluppo competente ha esaminato questa richiesta e propone ai due comitati di OdASanté ed ASCFS di fare avanzare la ri-chiesta.

2. I due comitati di OdASanté e ASCFS discutono sulla propo-sta della commissione di svi-luppo del piano quadro TRM SSS.

3. Dopo la delibera, l’organo re-sponsabile sottomette la pro-posta alla Commissione Fede-rale delle Scuole Superiori (CFES)

Il 1° gennaio 2013 in Austria è entrata in vigore la Legge sulle professioni di assistente medi-ca (MABG). Tra gli altri è stato creato il profi lo professionale di «Assistente in radiologia». Quindi in Austria esiste ora un nuovo gruppo professionale che si affi anca a quello dei Tecnologi in radiologia (RT), equiparato in Svizzera a quello di Tecnico in Radiologia Medi-ca (TRM). Questo nuovo grup-po professionale copre dei campi di competenze similari.Quest’autunno, 20 persone termineranno per la prima vol-ta la formazione di assistente in radiologia (MAB) nella re-gione di frontiera del Vorarl-berg. Dal momento che in que-sta regione, a medio e lungo

tablet. Il sito vi piace o volete se-gnalare qualcosa che vorreste vedere migliorato? Grazie per inviare le vostre impressioni a [email protected]

4. Su raccomandazione della CFES, il Segretariato di Stato alla Formazione, alla Ricerca ed all’Innovazione (SEFRI) ri-ceve e tratta la proposta di cambiamento del titolo

5. I cambiamenti di titolo impli-cano un adattamento degli annessi alla Ordinanza del DEFR concernente le esigenze minime per il riconoscimento dei cicli di formazione e degli studi postdiploma delle scuole specializzate superiori (OERic-SSS) e possono essere approvati solo nel quadro di una revisione (parziale) dell’OERic-SSS stessa. Il SEFRI ag-giunge la proposta di cambia-mento del titolo professionale alla prossima consultazione dell’OERic-SSS.

6. Nel quadro della valutazione della consultazione dell’OERic-SSS, il SEFRI decide sul cambiamento del titolo pro-fessionale.

termine, non saranno disponi-bili dei posti di lavoro per tutti questi nuovi professionisti, ci si deve attendere delle candi-dature indirizzate in Svizzera per posizioni di TRM, e questo anche se la loro formazione non dispone di suffi cienti qua-lifi che per poterlo fare.L’ASTRM si vede obbligata di sottolineare questa problema-tica. Occorre infatti assoluta-mente dimostrare che tipo di ruolo può essere occupato dai MAB in campo professionale, a fronte delle loro qualifi che, e perché non possono essere autorizzati ad inserirsi sul mercato al posto dei TRM.L’informazione completa si trova su www.astrm.ch

gogliosi che Bracco Svizzera SA abbia deciso di estendere la collaborazione con l’ASTRM. A partire dal 2016, la società sarà uffi cialmente un partner nello sponsoring dell’ASTRM. www.bracco.ch

Nuovo sito internet

Arrivederci, cari funzionari

Cambiamento del titolo dipl. Radiologiefachfrau/-mann HF

Siete interessati a collaborare in un gruppo dell’ASTRM? Annunciatevi presso la vostra sezione o scrivete a [email protected]

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ASTRM actuel 02 / 2016 bulletin des emplois | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Stellenanzeiger10

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ASTRM actuel 02 / 2016 news | SVMTRA aktuell 02 / 2016 News 11

Zum ersten Mal zeichnet für das Kongressprogramm ein neu gebildetes scientifi c comi-tee verantwortlich. Erfreu-licherweise sind sehr viele ab-stracts insbesondere aus der Romandie eingegangen. Es zeigt sich Jahr für Jahr eine Steigerung, wobei sich die Deutschschweiz und das Tessin noch stärker engagieren müssen, wenn wir den Radio-logiekongress als das Jahres-highlight der SVMTRA weiter-entwickeln wollen. Der Radiologiekongress startet am Donnerstagvormittag mit einer Joint-Session der SGR-SGNM-SVMTRA. Das Thema Neuroimaging in Dementia wird dabei beleuchtet von Ra-diologen, Nuklearmedizinern und Timo Seip, Fachmann für medizinisch-technische Radio-logie. Das weitere Programm der SVMTRA ist bewusst bunt gemischt, um die zahlreichen Abstracteingaben zu honorie-ren. Auch wurde darauf geach-tet, dass sich die Präsentati-onen sprachlich abwechseln; eine beidseitige Simultanüber-setzung ist wie immer organi-siert.Die SVMTRA wird am Donners-tag einen Abend für ihre Mit-glieder organisieren. Informa-tionen dazu werden im März per E-Mail zugestellt. Am Frei-tagabend ist wie immer der so-

ciety evening aller beteiligten Gesellschaften angesagt. Die-ser fi ndet dieses Jahr auf der Schatzalp mit einem Auftritt von Anna Rossinelli statt. Die Tickets sind begehrt, es lohnt sich rasch zu buchen.Melden Sie sich bald an, bis 12. April 2016 profi tieren Sie von der early Registration Fee. Wir freuen uns, möglichst viele Fachleute für medizinisch-technische Radiologie in Davos zu begrüssen!Übrigens: Davos ist ausserhalb der Saison bei den interes-santen Zimmerpreisen einen Besuch wert.

Information und Anmeldung: www.radiologiekongress.ch

Kontakt:Markus WernerGeschäftsfü[email protected]

C’est pour la première fois qu’un tout nouveau comité scientifi que a concocté le pro-gramme du congrès. Il est ré-jouissant de pouvoir souligner que nous avons reçu de nom-breux abstracts, surtout de la Suisse romande. Chaque an-née, on peut constater une augmentation. La Suisse alé-manique et le Tessin devront toutefois encore plus s’enga-ger si nous souhaitons déve-lopper le congrès de radiologie comme événement phare an-nuel de l’ASTRM. Le congrès de radiologie débu-tera jeudi matin avec une joint-session de la SSR-SSMN-ASTRM. Dans ce contexte, des radiologues, spécialistes de la médecine nucléaire et Timo Seip, technicien en radiologie médicale, se pencheront sur le thème de l’imagerie cérébrale en cas de démence. Le reste du programme de l’ASTRM est très varié afi n de pouvoir rendre hommage aux nom-breux abstracts enregistrés.

On a également veillé à alter-ner les langues des présenta-tions; une traduction simulta-née dans les deux sens est comme d’habitude organisée.Jeudi, l’ASTRM organisera une soirée pour ses membres. Des informations y relatives leur seront envoyées par courriel en mars. La soirée des sociétés réunissant toutes les sociétés concernées aura lieu comme d’habitude vendredi soir. Cette année, elle se déroulera à la Schatzalp avec une représen-tation d’Anna Rossinelli. Les billets étant très demandés, il est judicieux de faire rapidement une réservation.Inscrivez-vous bientôt; vous profi terez du tarif préférentiel pour les inscriptions antici-pées jusqu’au 12 avril 2016. Nous nous réjouissons d’ac-cueillir de très nombreux tech-niciens en radiologie médicale à Davos!Bon à savoir: Compte tenu des prix des chambres intéres-sants, cela vaut la peine de vi-siter Davos pendant l’entre-saison.

Information et inscription: www.radiologiekongress.ch

Contact:Markus Wernersecrétaire général [email protected]

Vom 19. bis 20. Mai 2016 trifft sich für einmal nicht die Politprominenz, sondern die Radiologiewelt in Davos.

Pour une fois, ce ne sont pas les célébrités de la politique qui ont rendez-vous à Davos du 19 au 20 mai 2016, mais le monde de la radiologie.

Congrès suisse de radiologie 2016 à DavosSchweizerischer Radiologiekongress 2016 in DavosMarkus Werner

• Michela Mordasini, Kongresspräsidentin SVMTRA

• Isabelle Gremion, Mitglied scientifi c comitee

• Christine Bruguier, Mitglied scientifi c comitee

• Ulrich Anker, Mitglied scientifi c comitee

• Eric Fleury, Mitglied scientifi c comitee

• Sandro Schwerz, Mitglied scientifi c comitee

• Michela Mordasini, présidente du congrès ASTRM

• Isabelle Gremion, membre du comité scientifi que

• Christine Bruguier, membre du comité scientifi que

• Ulrich Anker, membre du comité scientifi que

• Eric Fleury, membre du comité scientifi que

• Sandro Schwerz, membre du comité scientifi que

Scientifi c comiteeScientifi c comitee

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ASTRM actuel 02 / 2016 news | SVMTRA aktuell 02 / 2016 News12

www.radiologiekongress.ch

PRELIMINARY PROGRAMME

THURSDAY, MAY 19, 2016

10:50-11:00 Congress opening, welcome addresses

11:00-12:00 Joint plenary session (SGR-SSR, SGNM-SSMN and SVMTRA-ASTRM) Neuroimaging in Dementia Neuroradiology in Dementia S. Haller, Lausanne/CH The role of PET in Diagnosis and Follow up ofdementiasA. Drzezga, Cologne/DEAdvanced neuroimaging: Beyond morphologyT. Seip, Bern/CH

12:00-12:15 Break/posters/technical exhibition

12:15-13:15 ScientificSessionI:Varia

13:15-14:00 Break/posters/technical exhibition

14:00-15:15 ScientificsessionI:UrogenitalImaging ScientificsessionII:HybridandOncologicImaging ScientificsessionIII:RadiationProtectionandCosts

15:15-15:45 Break/posters/technical exhibition

15:45-16:45 NM Poster Session

16:45-17:30 Poster walking tour with cocktails

FRIDAY, MAY 20, 2016

08:15-09:45 ScientificSessionIII:NewTracers–BasicScience

09:45-10:30 Break/posters/technical exhibition

10:30-11:50 Plenary session SGR-SSR and SGNM-SSMN ImagingandTherapyoftheAcuteThoracicSyndrome Non-invasive imaging of suspected Acute Aortic Syndrome M. Gutberlet, Leipzig/DE Follow-up under conservative treatment or aftersurgeryH. Tengg-Kobligk, Bern/CHNuclearImagingofaorticdiseasesE. Nitzsche, Aarau/CH Principles and indications for endovascularmanagementT. Pfammatter, Zurich/CH

11:50-12:00 Break/posters/technical exhibition

12:00-13:00 Lunch Symposium Cardiac PET and new pharmacological stress testing P. Kaufmann, Zurich/CH

THURSDAY, MAY 19, 2016

10:50-11:00 Congress opening, welcome addresses

11:00-12:00 Joint plenary session (SGR-SSR, SGNM-SSMN and SVMTRA-ASTRM) Neuroimaging in Dementia Neuroradiology in Dementia S. Haller, Geneva/CH The role of PET in Diagnosis and Follow up ofdementiasA. Drzezga, Cologne/DEAdvanced neuroimaging: beyond morphologyT. Seip, Bern/CH

12:00-12:15 Break/posters/technical exhibition

12:15-13:15 Lunch Symposium Bayer (Switzerland) AG Clinical Relevance of Gadolinium Deposition in Brain Tissue V. Runge, Bern/CH

13:15-14:00 Break/posters/technical exhibition

14:00-15:15 PlenarySessionI Rechtliche Grundlagen der Teleradiologie / Bases juridiques de la Téléradiologie M. Mordasini, Bern/CH; E. Rezzonico, Lugano/CH;Y. Jaermann, Vevey/CH; N. Hänsli, Sursee/CHPromotion du métier de TRM / Bekanntmachung desBerufes Fachleute für MTRAS. de Labouchère, Lausanne/CH;J. Rossier, Lausanne/CHWie geht ein Pferd ins MRT? / Comment faire entrerunchevaldansl’IRM?S. Petit, Bern/CHRéseaudeVeilleMétierTRM/BusinessIntelligenceNetzwerk für Fachleute für MTRAP. Vorlet, Lausanne/CH; X. Realini, Lausanne/CH

15:15-15:45 Break/posters/technical exhibition

15:45-16:45 PlenarySessionII Contrôle de qualité en Echographie / QualitätskontrolleimUltraschall J. Künzli, Lausanne/CH; G. Gullo, Lausanne/CH;P. Frossard, Lausanne/CHEX-VIVOMRITheroleoftheradiographerinthemultidisciplinaryresearch–Preliminaryresults/EX-VIVOMRI;dieRollederFachpersonfürMTRAinderinterdisziplinärenForschung–ErsteResultateE. Maturana, Thônex/CH; S. Decker, Geneva/CH Konventionelle Röntgendiagnostik Multifunktionsdiagnostik 3D-Tomographie /Radiodiagnostic conventionnel, diagnosticmultifonctions–tomographie3DL. Rizzo, Basel/CHCTvsIRM:Leclashdesgrandsespritsdanslemondede l’imagerie de l’hypertension pulmonaire /CTvs.MRI:ZusammenpralldergrossenVorreiterinderWeltderBildgebungdespulmonalenHochdrucks J. Lanitis-Handschin, Geneva/CH;M. Bontean, Geneva/CH

FRIDAY, MAY 20, 2016

08:15-09:45 General Assembly SVMTRA-ASTRM

09:45-10:30 Break/posters/technical exhibition

10:30-11:50 PlenarySessionIII Politique professionelle actuelle / Berufspolitisch Aktuelles Y. Jaermann, Montreux/CHOptimierungdesArbeitsplatzesComputertomo- graphie–einPuzzlemitvielenEinzelteilen/OptimisationdelaplacedetravailauCT:unpuzzleavec beaucoup de piècesG. Stadelmann, Basel/CHComparaison des différents types de contrôlesdosimétriqueseffectuésenIMRTstatiqueetdynamique / Vergleich der verschiedenen Dosimetrie-kontrolleninstatischenunddynamischenIMRTA. Guney, Geneva/CHRevision Tarmed 2017T. Jung, Zurich/CH

11:50-12:00 Break/posters/technical exhibition

12:00-13:00 Satellite Lunch Symposium Fasmed

13:00-13:30 Break/posters/technical exhibition

13:30-14:50 PlenarySessionIV Comparison of palliative irradiation with the criteria of a successful treatment according to the Swiss Association for Quality in Palliative Medicine / Vergleich von palliativer Bestrahlung einer erfolgreichen Behandlung nach den Kriterien der Swiss Association for Quality in Palliative Medicine N. Mamboury, Lausanne/CHIRMducouchezlesvictimessurvivantesdestrangulation:évaluationsdecas/MRIderHWSbeiüberlebenden Strangulationsopfern: FallauswertungCh. Bruguier, Lausanne/CHUntersuchungendesMyokards/ExamensdumyocardeE. Müller, Chur/CHRéceptivité des étudiants TRM à l’interprofessionalité,un enjeu à venir pour la profession /Die Aufgeschlossenheit der StudierendenFachleutefürMTRAfürInterprofessionalität,eineHerausforderungfürdieZukunftdesBerufesF. Bouamine, Lausanne/CH; L. Franco, Lausanne/CH;C. Becherraz, Lausanne/CH

14:50-15:30 Break/posters/technical exhibition

15:30-16:15 Plenary Session V Die Fachperson für MTRA bei Kriegseinsätzen im Feldlazarett / Le TRM à l’hôpital de campagne dans les pays en guerre A. Pedergnana, Winterthur/CH

19:15 Society Evening

13:00-13:30 Break/posters/technical exhibition

13:30-14:50 Workshop:ClinicalAuditsonPET/CTinOncology S. Schindera, Basel/CH; K. Strobel, Luzern/CH;M. Wissmeyer, Geneva/CH; M. Gasser, Bern/CH

14:50-15:30 Break/posters/technical exhibition

15:00-16:30 General Assembly SGNM-SSMN

19:15 Society Evening

SATURDAY, MAY 21, 2016

08:00-09:35ScientificSessionIV:Oncology

09:40-10:40 Workshop New Tariff Structure for outpatients (Tarvision) F. Juengling, Basel/CH; J. Prior, Lausanne/CH

10:40-10:50 Break/posters/technical exhibition

10:50-11:10 Plenary session SGR-SSR and SGNM-SSMN Prostate Cancer Howtodiagnoseandtreatprostatecancer M. Sphan, Bern/CHMultiparametricMRItodetectandstageprostatecancerO. Donati, Zurich/CHStaging and restaging of prostate cancer M. Eiber, Munich/DE

12:00-13:00 Revised Directive on Radiation Protection: What is new? N. Stritt, Bern/CH

13:00-13:20 Lunch

13:20-14:30 Plenary Session SGR-SSR and SGNM-SSMN LymphNodeImagingofMaleandFemalePelvicMalignanciesThecurrentcriteriafornodalinvolvementonCT/MRIW. Schima, Vienna/ATDWI-MR:Whatdoesitcontribute?H. Thoeny, Bern/CH Nuclear Medicine: PET and other nuclear medicinetechniquesI. Burger, Zurich/CH

14:30-14:35 Discussion and Closing Remarks

PRELIMINARY PROGRAMME SGNM-SSMN PRELIMINARY PROGRAMME SGNM-SSMN PRELIMINARY PROGRAMME SVMTRA-ASTRM PRELIMINARY PROGRAMME SVMTRA-ASTRM PRELIMINARY PROGRAMME SVMTRA-ASTRM

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ASTRM actuel 02 / 2016 news | SVMTRA aktuell 02 / 2016 News 13

THURSDAY, MAY 19, 2016

10.50 – 11.00 Congress opening, welcome addresses

11.00 – 12.00 Joint plenary session(SGR-SSR, SGNM-SSMN and SVMTRA-ASTRM)Neuroimaging in dementiaNeuroradiology in dementiaS. Haller, Geneva / CHThe role of PET in Diagnosis and Follow up ofdementiasT. van Eimeren, Cologne / DEAdvanced neuroimaging: beyond morphologyT. Seip, Bern / CH

Interdisciplinary Session: Introduction of ClinicalAudits in SwitzerlandClinical audits in radiology as a quality improvementS. Schindera, Basel/CHExperiences of the pilotaudits in Switzerland –the view of the auditorsA. Steiner, Samedan/CH; Y. Kaeser, Uetikon am See/CH;B. Freiwald, Baden/CHExperiences of the pilotaudits in Switzerland –the view of an audited instituteC. Nauer, Chur/CHImplementation of the clinical audits in SwitzerlandS. Schindera, Basel/CH

12.00 – 12.15 Break / posters / technical exhibition

12.15 – 13.15 Lunch Symposium Bayer (Switzerland) AGClinical relevance of gadolinium deposition in brain tissueV. Runge, Bern / CH

13.15 – 14.00 Break / posters / technical exhibition

14.00 – 15.15 Plenary Session IRechtliche Grundlagen der Teleradiologie / Bases juridiques de la TéléradiologieM. Mordasini, Bern / CH; E. Rezzonico, Lugano / CH; Y. Jaermann, Vevey / CH; N. Hänsli, Sursee / CHPromotion du métier de TRM / Bekanntmachung des Berufes Fachleute für MTRAS. de La bouchère, Lausanne / CH; J. Rossier, Lausanne / CHWie geht ein Pferd ins MRT? / Comment faire entrer un cheval dans l’IRM?S. Petit, Bern / CHRéseau de Veille Métier TRM / Business Intelligence / Netzwerk für Fachleute für MTRAP. Vorlet, Lausanne / CH; X. Realini, Lausanne / CH

15.15 – 15.45 Break / posters / technical exhibition

15.45 – 16.45 Plenary Session IIContrôle de qualité en Echographie / Qualitätskontrolle im UltraschallJ. Künzli, Lausanne / CH; G. Gullo, Lausanne / CH; P. Frossard, Lausanne / CHEX-VIVO IRM: le rôle du TRM dans la recherche interdisciplinaire – résultats préliminaires / EX-VIVO MRI; die Rolle der Fachperson für MTRA in der interdisziplinären Forschung – erste ResultateE. Maturana, Thônex / CH; S. Decker, Geneva / CHKonventionelle Röntgendiagnostik, Multifunktionsdiagnostik 3D- Tomographie / Radiodiagnostic conventionnel, diagnostic multi-fonctions – tomographie 3DL. Rizzo, Basel / CHCT vs IRM: Le clash des grands esprits dans le monde de l’imagerie de l’hypertension pulmonaire / CT vs. MRI: Zusammenprall der grossen Vorreiter in der Welt der Bildgebung des pulmonalen HochdrucksJ. Lanitis-Handschin, Geneva / CH; M. Bontean, Geneva / CH

FRIDAY, MAY 20, 2016

08.15 – 09.45 General Assembly SVMTRA-ASTRM

09.45 – 10.30 Break / posters / technical exhibition

10.30 – 11.50 Plenary Session IIIPolitique professionelle actuelle / Berufspolitisch AktuellesY. Jaermann, Montreux / CHOptimierung des Arbeitsplatzes Computertomographie – ein Puzzle mit vielen Einzelteilen / Optimisation de la place de travail au CT: un puzzle avec beaucoup de piècesG. Stadelmann, Basel / CHComparaison des différents types de contrôles dosimétriques effectués en IMRT statique et dynamique / Vergleich der verschie-denen Dosimetriekontrollen in statischen und dynamischen IMRTA. Guney, Geneva / CHRevision Tarmed 2017T. Jung, Zurich / CH

11.50 – 12.00 Break / posters / technical exhibition

12.00 – 13.00 Lunch Symposium Fasmed

13.00 – 13.30 Break / posters / technical exhibition

13.30 – 14.50 Plenary Session IVComparaison d’irradiations palliatives avec les critères d’un traite-ment à succès selon les critères de l’Association Suisse de Qualité en Médecine Palliative / Vergleich von palliativer Bestrahlung einer erfolgreichen Behandlung nach den Kriterien der Swiss Association for Quality in Palliative MedicineN. Mamboury, Lausanne / CHIRM du cou chez les victimes survivantes de strangulation: évalua-tions de cas / MRI der HWS bei überlebenden Strangulationsopfern: FallauswertungCh. Bruguier, Lausanne / CHUntersuchungen des Myokards / Examens du myocardeE. Müller, Chur / CHRéceptivité des étudiants TRM à l’interprofessionalité, un enjeu à venir pour la profession / Die Aufgeschlossenheit der Studierenden Fachleute für MTRA für Interprofessionalität, eine Herausforderung für die Zukunft des BerufesF. Bouamine, Lausanne / CH; L. Franco, Lausanne / CH; C. Becherraz, Lausanne / CH

14.50 – 15.30 Break / posters / technical exhibition

15.30 – 16.15 Plenary Session VDie Fachperson für MTRA bei Kriegseinsätzen im Feldlazarett / Le TRM à l’hôpital de campagne dans les pays en guerreA. Pedergnana, Winterthur / CH

19.15 Society Evening

PRELIMINARY PROGRAMME SVMTRA-ASTRM

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ASTRM actuel 02 / 2016 article spécialisé | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Fachbericht14

Ces dernières années, l’exposition moyenne de la population suisse aux rayonnements ionisants lié aux applications médicales a fortement augmenté. Beaucoup de ces examens et traitements ne sont probablement pas justifi és. Pour améliorer la situation, l’Offi ce fédéral de la santé publique (OFSP) a lancé le projet «Audits cliniques », en collaboration étroite avec l’ASTRM et d’autre sociétés professionnelles médicales.

L’introduction d’expertises ré-alisées par des collègues, ap-pelées aussi peer reviews, de-vrait permettre de réduire le nombre d’examens et de traitements injustifi és utilisant les rayonnements ionisants et d’optimiser les processus et l’utilisation des ressources. Dans le cadre de la phase pi-lote actuellement en cours, les premiers audits ont été réali-sés avec succès dans les do-maines de la radiologie et de la radio oncologie..

«Peer Reviews»Ces dernières années, les tech-niques dans les domaines de la radiologie diagnostique, de la médecine nucléaire et de la ra-dio-oncologie ont connu des développements fulgurants. Les patients profi tent énormé-ment de ces progrès. Cepen-dant, le recours accru à ces techniques entraîne égale-ment une hausse de l’exposi-tion de la population suisse aux rayonnements ionisants. Des connaissances techniques lacunaires, une prise de conscience insuffi sante de la radioprotection, un manque de pratique au sein du person-nel médical ainsi qu’une orga-nisation des processus défail-lants sont autant de facteurs

qui peuvent aussi contribuer à l’augmentation de l’exposition au rayonnement.Les audits cliniques consti-tuent un instrument qui s’est avéré effi cace pour détecter et réduire les applications médi-cales utilisant des rayonne-ments ionisants qui ne sont pas justifi ées et pour optimiser les procédures et les res-sources. Il ne s’agit ni de contrôles de l’assurance-qua-lité au niveau technique, ni d’inspections par l’autorité de surveillance, mais de peer re-views (fr. expertises réalisées par des pairs) au cours des-quelles des représentants des sociétés professionnelles im-pliquées vérifi ent si les proces-sus de travail de leurs collè-gues correspondent à une bonne pratique clinique.Sur le plan européen, la notion d’audit clinique a été inscrite dans la législation dès 1997. Dans la dernière directive de l’Euratom, les Etats membres sont invités à réaliser, d’ici 2018 au plus tard, des audits cliniques selon une procédure établie au niveau national. A ce jour, la transposition de cette directive par les diffé-rents Etats membres est très inégale. La Finlande est la plus avancée ; dans ce pays, tous

Dank der Einführung von so-genannten «Peer Reviews» sol-len ungerechtfertigte Untersu-chungen und Behandlungen mit ionisierender Strahlung minimiert und Prozesse und Ressourcen optimiert werden. Im Rahmen der aktuell lau-fenden Pilotphase wurden Au-ditoren ausgebildet und in den Bereichen Radiologie und Ra-dio-Onkologie wurden die er-sten Pilotaudits erfolgreich durchgeführt.

«Peer Reviews»Die Technologien in den Be-reichen der diagnostischen Ra-diologie, der Radio-Onkologie und der Nuklearmedizin haben sich in den letzten Jahren ra-sant entwickelt. Von diesen Fortschritten können die Pati-entinnen und Patienten enorm profi tieren. Der vermehrte Ein-satz dieser Technologien führt jedoch auch zu einer konti-nuierlichen Zunahme der Strahlenbelastung der Schwei-zer Bevölkerung. Mangelndes Fachwissen, ungenügendes Be-wusstsein für Strahlenschutz, fehlendes Training des medizi-nischen Personals sowie eine suboptimale Betriebsorganisati-on stellen weitere Faktoren dar, die zu einer Erhöhung der Strah-lenbelastung führen können.

Klinische Audits sind ein be-währtes Instrument, um nicht gerechtfertigte medizinische Untersuchungen und Thera-pien mit ionisierender Strah-lung zu erkennen, zu minimie-ren und um Prozesse und Ressourcen zu optimieren. Da-bei handelt es sich weder um Kontrollen der technischen Qualitätssicherung noch um Inspektionen der Aufsichtsbe-hörden, sondern um «Peer Re-views» (dt. Begutachtungen durch Fachkollegen), bei denen Vertreter der involvierten Fach-gesellschaften die Arbeitspro-zesse ihrer Berufskollegen auf gute klinische Praxis überprü-fen.Auf europäischer Ebene wurde das Konzept der Klinischen Au-dits bereits 1997 gesetzlich verankert. In der neusten EU-RATOM Direktive werden alle Mitgliedsstaaten aufgefordert, bis spätestens 2018 Klinische Audits nach nationalen Ver-fahren durchzuführen. Die Umsetzung erfolgte in den verschiedenen Mitglieds-staaten bis heute sehr unter-schiedlich. Am weitesten fort-geschritten ist Finnland, wo sämtliche medizinisch-radio-logischen Zentren bereits mehrmals auditiert wurden. Obwohl die Schweiz selbst kein

Utilisation optimale des rayonnements ionisants grâce aux audits cliniques Optimale Nutzung ionisierender Strahlung dank Klinischer Audits Michael Gasser

Die durchschnittliche Exposition der Schweizer Bevölkerung gegenüber ionisierender Strahlung aufgrund medizinischer Anwendungen hat in den letzten Jahren stark zugenommen. Es wird davon ausgegangen, dass viele dieser Untersuchungen und Behandlungen nicht gerechtfertigt sind. Damit sich die Situation verbessert, hat das BAG in enger Zusam-menarbeit mit dem SVMTRA und anderen Berufs-verbänden das Projekt «Klinische Audits» lanciert.

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ASTRM actuel 02 / 2016 article spécialisé | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Fachbericht 15

EURATOM-Mitglied ist, hat sie sich ebenfalls dazu bekannt, deren Richtlinien zu imple-mentieren.

Steigende Strahlen-belastungIn der Schweiz hat die durch-schnittliche Strahlenbelastung der Bevölkerung aufgrund me-dizinischer Anwendungen in-nerhalb von fünfzehn Jahren (1998-2013) um 40 % zu-genommen [1,2] und liegt momentan bei zirka 30 % der gesamten durchschnittlichen jährlichen Strahlenbelastung. Dieser Anstieg ist vorwiegend auf die massive Zunahme von CT-Anlagen und der Anzahl durchgeführten Untersuchun-gen zurückzuführen. Waren 1994 lediglich 136 CT-Anlagen in Betrieb, so waren es im Jahr 2014 bereits 296. Zwar sind nur 10 % aller in der Schweiz durchgeführten röntgendia-gnostischen Untersuchungen überhaupt CT-Untersuchun-gen, diese verursachen jedoch zirka 72 % der jährlichen kol-lektiven Strahlendosis [2]. Auch bei anderen Anwen-dungen im Hochdosisbereich wurden deutliche Zunahmen beobachtet: Die Anzahl PET/CT-Anlagen ist zwischen 1994 und 2014 von 3 auf 30 und die Anzahl der Beschleuniger in der Strahlentherapie ist zwi-schen 2006 und 2014 von 47 auf 71 angestiegen. Damit nicht gerechtfertigte Untersuchungen und Thera-pien minimiert werden und sich die Qualität und das Er-gebnis der Patientenversor-gung kontinuierlich verbes-sern, sollen zukünftig auch in der Schweiz Klinische Audits durchgeführt werden. Audi-tiert werden sollen Spitäler und Institute, welche Untersu-chungen und Therapien in der diagnostischen Computer-

tomographie, der interventio-nellen Radiologie, der Nuklear-medizin und der Radiotherapie durchführen.

ZuweisungsrichtlinienZu Beginn eines Klinischen Au-dits defi nieren Fachleute für MTRA, Mediziner und Medizin-physiker die Schwerpunktthe-men und legen die genauen Inhalte fest. Während des Au-dits evaluieren ebenfalls Fach-leute für MTRA, Mediziner und Medizinphysiker vor Ort die Praxis ihrer Kollegen und ge-ben ihnen gegebenenfalls Empfehlungen zur Verbesse-rung der klinischen Praxis ab. Wichtige Grundlage für das Audit bildet ein Qualitätshand-buch, welches der auditierte Betrieb im Vorfeld des Audits erarbeitet. Darin sollen unter anderem die personellen Zu-ständigkeiten im Betrieb, die Personalschulungen im Be-reich Strahlenschutz, die Do-kumentation der Strahlendo-sen und die verwendeten Behandlungsprotokolle aufge-führt werden. Technische Audits des BAG in Hausarztpraxen haben in der Vergangenheit gezeigt, dass bei der Zuweisungspraxis Qualitätsunterschiede beste-hen und vielerorts Bedarf an Zuweisungsrichtlinien vorhan-den ist. Diese unterstützen den Zuweiser, dasjenige bildge-bende Verfahren auszuwählen, welches für die jeweilige Fra-gestellung am besten geeignet ist. Um in der ganzen Schweiz eine hohe Qualität der Zuwei-sungspraxis zu garantieren ist vorgesehen, dass Spitäler, radi-ologische Institute und externe Zuweiser zukünftig über Zu-weisungsrichtlinien verfügen und diese auch anwenden. Da die primäre Verschreibung ei-ner Untersuchung häufi g aus-serhalb des auditierten Be-triebs stattfi ndet, soll der Betrieb in seinem Qualitäts-handbuch dokumentieren, wel-che Zuweisungsrichtlinien die externen Zuweiser verwenden und aufzeigen, wie diese Richt-linien eingehalten werden.

les centres de radiologie médi-cale ont déjà été audités plu-sieurs fois. Bien que la Suisse ne soit pas membre de l’Eura-tom, elle a décidé de suivre elle aussi les directives de cette or-ganisation.

Exposition aux rayonnements à la hausseL’exposition moyenne de la population suisse du aux rayonnements ionisants lié aux applications médicales a augmenté de 40 % entre 1998 et 2013 [1,2]. Elle représente actuellement environ 30 % de l’exposition annuelle moyenne totale. Cet accroissement est dû principalement à l’aug-mentation massive du nombre d’installations de tomodensi-tométrie et, par là-même, des examens tomodensitomé-triques réalisés. En 1994, seules 136 installations étaient en service, alors qu’on en dé-nombrait 296 en 2014. Les examens tomodensitomé-triques ne représentent certes que 10 % du total des exa-mens de radiodiagnostic réali-sés en Suisse, toutefois ils contribuent pour environ 72 % à la dose collective annuelle [2]. D’autres applications fai-sant partie du domaine des doses élevées ont également enregistré une hausse signifi -cative. Ainsi, le nombre d’ins-tallations TEP/CT est passé de 3 à 30 entre 1994 et 2014 et celui des accélérateurs de 47 à 71 entre 2006 et 2014. Pour limiter les examens et les traitements injustifi és et pour améliorer en permanence la qualité et l’effi cacité de la prise en charge des patients, des audits cliniques seront dé-sormais aussi effectués en Suisse. Seront concernés les hôpitaux et les instituts qui ré-alisent des examens et des traitements en tomodensito-

métrie diagnostique, en radio-logie interventionnelle, en mé-decine nucléaire et en radio thérapie.

Directives de prescriptionPréalablement à l’audit cli-nique, les TRM, les médecins et les physiciens médicaux en défi nissent les thèmes priori-taires et en fi xent les contenus détaillés. Durant l’audit, des TRM, des médecins et des phy-siciens médicaux évaluent sur place les pratiques de leurs collègues et formulent, le cas échéant, des recommanda-tions visant à améliorer la pra-tique clinique. Le manuel de qualité, établi préalablement par l’établissement, constitue une base importante pour la réalisation de l’audit. Ce docu-ment désigne entre autres les attributions des membres du personnel ainsi que leurs for-mations en radioprotection, et indique les doses de rayonne-ments et les protocoles de traitement. Les audits techniques de l’OFSP réalisés dans les cabi-nets médicaux ont montré par le passé qu’il existe des diffé-rences de qualité en matière de prescription et qu’il serait nécessaire d’édicter des direc-tives dans ce domaine. Ces dernières apportent une aide aux médecins prescripteurs dans le choix de la procédure d’imagerie la plus adaptée à la situation rencontrée. Il est prévu que les hôpitaux, les instituts de radiologie et les médecins qui orientent les pa-tients disposent à l’avenir de telles directives et les ap-pliquent, afi n de garantir dans toute la Suisse un haut niveau de qualité dans la pratique de la prescription. Comme la prescription primaire d’un examen a souvent lieu hors de l’établissement audité, ce der-nier doit documenter dans son manuel de qualité quelles di-rectives de prescription sont appliquées par les médecins extérieurs orientant leurs pa-tients et indiquer comment elles sont contrôlées.

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ASTRM actuel 02 / 2016 article spécialisé | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Fachbericht16

Pour mettre en œuvre les au-dits cliniques en Suisse, l’OFSP a institué un groupe d’experts interdisciplinaire composé de représentants de l’ASTRM et des autres sociétés profes-sionnelles concernées. Au cours de plusieurs ateliers, ce groupe a élaboré le plan de mise en œuvre correspondant. Il a en outre collaboré au pro-jet de dispositions qui seront intégrées dans la révision de l’ordonnance sur la radiopro-tection et formeront la base légale pour la réalisation des audits cliniques.

La phase pilote est en coursDans le cadre de la phase pi-lote actuellement en cours, trois groupes de travail spécia-lisés et interdisciplinaires ont été mis sur pied. Ils ont établi des checklists et des exigences relatives aux manuels de qua-lité en étroite collaboration avec les comités des sociétés professionnelles concernées. Dans le domaine de la radiolo-gie, l’accent est mis sur les processus des examens to-modensitométriques, en mé-decine nucléaire sur les exa-mens oncologiques TEP/CT et en radio-oncologie sur le par-cours détaillé du patient. Afi n de s’assurer que la qualité des audits pilotes corresponde aux normes internationales, leurs

Zur Implementierung von Kli-nischen Audits in der Schweiz hat das BAG eine interdiszipli-näre Expertengruppe aus Ver-tretern des SVMTRA und der anderen involvierten Fachge-sellschaften gegründet. Diese Expertengruppe hat im Rah-men mehrerer Workshops ein Konzept für die Umsetzung er-arbeitet. Zudem wirkte sie beim Entwurf der gesetzlichen Grundlagen mit, die in die revidierte Strahlenschutzver-ordnung einfl iessen und die rechtliche Basis für die Durch-führung der Klinischen Audits bilden werden.

Pilotphase läuftIm Rahmen der aktuell lau-fenden Pilotphase wurden drei themenspezifi sche, interdiszi-plinäre Arbeitsgruppen gebil-det, welche in enger Zusam-menarbeit mit den Vorständen der jeweiligen Fachgesell-schaften Checklisten und An-forderungen an die Qualitäts-handbücher ausgearbeitet haben. Thematisch stehen in der Radiologie die Abläufe und Arbeitsprozesse bei CT-Unter-suchungen im Fokus, in der Nuklearmedizin diejenigen bei onkologischen PET-CT-Unter-suchungen und in der Radio-Onkologie soll der gesamte Pa-tientenpfad auditiert werden. Damit die Qualität der Pilotau-dits internationalen Standards entspricht, wurden die Audit-inhalte durch europäische Fachexperten evaluiert. Zudem wurden im Vorfeld der Pilot-audits Fachleute für MTRA, Mediziner und Medizinphysi-ker verschiedener Fachbe-reiche zu «Externen Auditoren» ausgebildet. In den Bereichen Radiologie und Radio-Onkolo-

contenus ont été évalués par des experts européens. Avant de procéder aux audits pilotes, des TRM, des médecins et des physiciens médicaux de diffé-rentes disciplines ont été for-més comme « auditeurs ex-ternes ». En radiologie et en radio-oncologie, les premiers audits pilotes ont été effec-tués avec succès dès le qua-trième trimestre 2015; d’autres suivront d’ici le printemps 2016. Après la phase pilote, les résultats seront analysés et les contenus des audits examinés puis adaptés. Après la mise en vigueur de l’ordonnance révi-sée sur la radioprotection, les établissements seront infor-més en détail sur le pro-gramme d’audits. C’est proba-blement à partir de ce moment qu’il sera possible de deman-der des audits cliniques obligatoires. Pour élaborer le manuel de qualité, les établis-sements disposeront toutefois encore de deux ans (probable-ment jusqu’en 2019).

www.auditclinique.ch

Kontakt:Offi ce fédéral de la santé pu-bliqueDivision RadioprotectionDr. Michael Gasser, Respon-sable du [email protected]

gie wurden ab dem vierten Quartal 2015 die ersten Pi-lotaudits erfolgreich durchge-führt; weitere werden bis Frühjahr 2016 folgen. Nach der Pilotphase sollen die Resultate analysiert und die Auditinhalte überprüft und angepasst wer-den. Nach Inkrafttreten der re-vidierten Strahlenschutzver-ordnung werden die Betriebe um fassend zum Auditpro-gramm informiert werden. Vo-raussichtlich können ab die-sem Zeitpunkt Klinische Audits obligatorisch veranlasst wer-den. Für die Erstellung des Qualitätshandbuchs werden die Betriebe allerdings noch zwei weitere Jahre (voraus-sichtlich bis 2019) Zeit haben. www.klinischeaudits.ch

Kontakt:Bundesamt für GesundheitAbteilung StrahlenschutzDr. Michael Gasser, [email protected]

Sources / Quellen

[1] Enquête sur l’exposition par le radiodiagnostic en suisse en 1998, 1998, IRA

[2] Enquête sur l’exposition par le radiodiagnostic en suisse en 2013, 2013, IRA (rapport préliminaire)

Thema am Radiologiekongress Die Klinischen Audits sind auch am Schweizerischen Radiologiekongress in Davos ein Thema: Am Donnerstag, 19. Mai, steht von 11 bis 12 Uhr die Inderdisciplinary Ses-sion «Introduction of Clinical Audits in Switzerland» auf dem Programm. U.a. berichtet Adi Steiner, Fachmann für medizinisch-technische Radi-ologie im Spital von Samedan, über «Experiences oft he pi-lotaudits in Switzerland – the view oft he auditors».

Thème lors du congrès de radiologie Les audits cliniques sont éga-lement un thème à l’occasion du congrès suisse de radiolo-gie à Davos: Jeudi, 19 mai, le programme prévoit en effet l’Inderdisciplinary Session «In-troduction of Clinical Audits in Switzerland» de 11h00 à 12h00. Adi Steiner, technicien en radiologie médicale à l’hô-pital de Samedan parlera alors entre autres des «Experiences of the pilotaudits in Switzer-land – the view oft he audi-tors».

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ASTRM actuel 02 / 2016 bulletin des emplois | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Stellenanzeiger 17

Thema am Radiologiekongress Die Klinischen Audits sind auch am Schweizerischen Radiologiekongress in Davos ein Thema: Am Donnerstag, 19. Mai, steht von 11 bis 12 Uhr die Inderdisciplinary Ses-sion «Introduction of Clinical Audits in Switzerland» auf dem Programm. U.a. berichtet Adi Steiner, Fachmann für medizinisch-technische Radi-ologie im Spital von Samedan, über «Experiences oft he pi-lotaudits in Switzerland – the view oft he auditors».

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Grâce à une géométrie d’irra-diation particulière, qui offre la possibilité d’acquérir quoti-diennement des images scan-ner de la position du patient avant chaque traitement et d’effectuer des corrections au niveau du positionnement, cet appareil est idéal pour la ra-diothérapie à intensité modu-lée guidée par l’image de vo-lumes cibles complexes. Les différences, les avantages et les inconvénients ainsi que les fonctions particulières offerts par cet appareil sont décrits ci-après.

Die helikale Tomotherapie ist eine hochentwickelte Bestrahlungstechnik, die sich durch die integrierte CT-Bildgebung besonders für bildgeführte, intensi-tätsmodulierte Strahlentherapie eignet.

La tomothérapie hélicoïdale est une technique de radiothérapie de pointe qui convient particulière-ment à la radiothérapie à intensité modulée guidée par l’image car elle intègre une fonction d’imagerie.

La tomothérapie hélicoïdale – une autre forme de radiothérapie à intensité modulée guidée par l’image Helikale Tomotherapie - eine andere Form der bildgeführten intensitätsmodulierten Strahlentherapie Yvonne Bentele

Durch eine besondere Be-strahlungsgeometrie mit der Möglichkeit, vor der täglichen Bestrahlung eine Computerto-mographie in Bestrahlungs-lage zu akquirieren und Lage-rungskorrekturen durch zuführen ist das Bestrahlungsgerät sehr gut für bildgeführte Strahlen-therapie und die intensitäts-modulierte Radiotherapie auch komplexer Zielvolumina geeignet. Unterschiede, Vor- und Nachteile und die beson-deren Möglichkeiten, die das Gerät bietet, sollen im Fol-genden erläutert werden.

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La tomothérapie hélicoïdale – une autre forme de

© [2015] Accuray Incorporated

Pourquoi développer un nouvel appareil?Les accélérateurs courants présentent quelques limita-tions techniques. Ils sont construits en arc de cercle ce qui signifi e entre autres que l’on ne peut pas traiter très longtemps le volume cible sans changer la position du patient. Une dimension de champ de 40 x 40 cm² est le maximum que la plupart des accélérateurs peuvent offrir avec une distance foyer-iso-centre de 100 cm. Pour de plus grands volumes

Wieso überhaupt ein neues Gerät entwickeln?Die üblichen Beschleuniger unterliegen einigen tech-nischen Beschränkungen. Sie sind nach dem Prinzip des C-Bogens gebaut, das heisst un-ter anderem, dass man sehr lange Zielvolumen nicht ohne Lageveränderung des Pati-enten bestrahlen kann. Grösste Feldgrösse bei den meisten Beschleunigern ist 40 x 40 cm² im Focus-Isozentrum-Abstand von 100 cm. Für grössere Zielvolumen, z.B. die Bestrahlung der Neuro-

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cibles, p.ex. pour la radiothéra-pie neuro-rachidienne on ap-plique des techniques de champs jointifs.L’irradiation de champs mi-nuscules (jusqu’à moins d’un 1cm) ne sont possibles qu’en utilisant du matériel spécifi que comme des cônes, un système de stéréotaxie Brainlab ou un collimateur microlames. En imagerie 3D, on utilise la tomographie hélicoïdale de-puis bien longtemps. Pourquoi alors ne pas coupler un scan-ner hélicoïdal à une radiothé-rapie hélicoïdale? En 1993 déjà, R. Mackie avait publié son idée de mise en pra-tique d’un traitement de radio-thérapie hélicoïdale à intensité modulée à partir de laquelle la tomothérapie a été dévelop-pée. Le nouvel appareil dispose d’un portique circulaire avec un scanner haute énergie inté-gré et une table dont la posi-tion peut être réglée de ma-nière très précise et qui peut être déplacée plus en avant dans l’axe longitudinal que les tables d’un appareil en arc de cercle.

achse, werden Feldanschluss-techniken benötigt.Winzig kleine Felder (bis unter 1cm klein) sind nur mit extra Anbauteilen wie z.B. die Cones der BrainLab-Stereotaxie oder dem Micro-MLC möglich.

Fig. 1: exemple d’un volume cible (VC), qui entoure le canal rachidien. Pour la ROI (Region of Interest) la plus importante, on a prescrit 32,5 Gy de dose globale, pour la plus petite ROI à l’inté-rieur (aussi en rouge) on a pres-crit 39,6 Gy (boost intégré).

Abb 1: Beispiel für ein ZV, welches das Rückenmark umschliesst. Für die grössere rote ROI sind 32,5 Gy Gesamtdosis verordnet, für die innenliegende kleinere (auch rote) ROI sind 39,6 Gy verordnet – der sogenannte integrierte Boost.

ASTRM actuel 02 / 2016 article spécialisé | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Fachbericht

cibles, p.ex. pour la radiothéra-pie neuro-rachidienne on ap-

achse, werden Feldanschluss-techniken benötigt.

Fig. 1: exemple d’un volume cible (VC), qui entoure le canal rachidien. Pour la ROI (Region of Interest) la plus importante, on a prescrit 32,5 Gy de dose globale, pour la plus petite ROI à l’inté-rieur (aussi en rouge) on a pres-crit 39,6 Gy (boost intégré).

Abb 1: Beispiel für ein ZV, welches das Rückenmark umschliesst. Für die grössere rote ROI sind 32,5 Gy Gesamtdosis verordnet, für die innenliegende kleinere (auch rote) ROI sind 39,6 Gy verordnet – der sogenannte integrierte Boost.

Un collimateur multilames binaire (deux possibilités: ou-vert ou fermé, dimensions du champ au choix) a en outre été développé, il est actionné par un système pneumatique ce qui augmente nettement la vitesse de réaction par rap-port à un MLC conventionnel. Il offre ainsi des possibilités accrues en matière de planifi -cation du traitement. Des ré-partitions de dose à fort gra-dient de dose sont possibles pour presque chaque confi -guration tumorale.

IMRT et IGRT – possibilitésLe développement de la tech-nique IMRT permet de calcu-ler des plans de traitement hautement conformationnels même pour des volumes cibles complexes (p.ex. formes concaves ou à proximité de structures sensibles). On peut ainsi traiter simultanément plusieurs volumes cibles, même avec des prescriptions de dose différentes (sous forme de boost intégré). On peut calculer des plans de traitement avec de forts gra-

Schon seit langem nutzt man die Tomographie mit helikalen Schich ten in der 3D-Bildge-bung. Warum also nicht die helikale Schichtbildgebung mit einer helikalen Schicht-bestrahlung verbinden?Schon 1993 publizierte R. Ma-ckie seine Idee für die Umset-zung der intensitätsmodu-lierten Rotationsbestrahlung, woraus dann die Tomothera-pie hervorging.Das neue Gerät hat eine Ring-gantry mit integrierter MV-Computertomographie und einen Tisch, der sehr präzise positionierbar und longitudi-nal weiter verschiebbar ist als die Tische der C-Bogen-Be-schleuniger.Des Weiteren hat man einen binären Multi-Leaf-Collimator entwickelt (zwei Zustände: of-fen und geschlossen, Feld-grösse wählbar), der mit Druckluft bedient wird, so dass die Reaktionsgeschwindigkeit gegenüber klassischen MLCs deutlich höher ist. Dadurch hat man verbesserte Möglich-keiten in der Bestrahlungspla-nung. Dosisverteilungen mit steilen Dosisgradienten in na-hezu jeder Form sind möglich.

L’IMRT – qu’est-ce que c‘est? L‘IMRT est l‘acronyme d‘intensity-modulated radiotherapy, radiothérapie à intensité modulée Il existe différents moyens d‘appliquer ces techniques – ci-après, une brève description de l‘une des techniques les plus utilisées: on calcule plusieurs champs d‘irradiation individuels ainsi que différents faisceaux; la forme du champ et la modulation d‘intensité de la dose sont gérées par le collimateur multilames qui, grâce à une «feuille de route» mobilise les lames les unes après les autres et à des vitesses variables durant le traitement tout au long du champ d‘irradiation (IMRT dynamique).

IMRT – was ist das? IMRT steht für Intensitätsmodulierte Radiotherapie (intensity-modulated radiotherapy)Technische Umsetzungen gibt es verschiedene – eine der üb-lichsten hier kurz erklärt: Es werden mehrere einzelne Bestrahlungsfelder aus verschiedenen Einstrahlrichtungen berechnet, die Feldform und die Dosismodulation werden durch die MLCs realisiert, die durch eine Art «Fahrplan» zeitlich versetzt und in verschiedenen Geschwindigkeiten während der Therapie durch das Bestrahlungsfeld fahren (sogenannte dynamische IMRT).

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IMRT und IGRT – MöglichkeitenDurch die Entwicklung der IM-RT-Techniken ist es möglich geworden, hoch konformale Bestrahlungspläne auch für komplexe Zielvolumina (z.B. konkave Formen oder nahe an Risikostrukturen liegend) zu berechnen. Man kann mehrere Zielvolumen, auch mit ver-schiedenen Dosisverschreibungen gleichzeitig behandeln (soge-nannter Integrierter Boost). Es können Bestrahlungspläne mit steileren Dosisgradienten errechnet werden, dadurch sind geringere Sicherheitsab-stände möglich. Man kann hö-here Gesamtdosen bei gleich-zeitig verbesserter Schonung von Normalgewebe und Risi-koorganen verordnen.Die Vorteile der IMRT-Technik liegen auf der Hand – doch bei diesen komplexen Techniken können kleine Lagerungsun-genauigkeiten grosse Wirkung entfalten, siehe Abb. 2 (Flu-enz): Hat der Patient das Kinn mehr zur Brust gezogen, z.B. durch Spiel in der Maske, wan-dern die dorsalen Lymphkno-ten aus der Dosis raus und da-für der Unterkiefer ins Bestrahlungsgebiet. Wie stellt man sicher, dass die geplante Dosis auch an der

richtigen Stelle ankommt? Sehr wichtig dafür ist präzise Lagerung, suffi ziente Immobi-lisierung des Patienten und die bildgeführte Strahlentherapie.

IGRT – Image guided radiotherapy – Bild-geführte StrahlentherapieBildführung mittels planarer Aufnahmen (z.B. mit dem The-rapiestrahl) ergibt Summati-onsbilder. Knochenstrukturen und eingebrachte Marker sind sehr gut darstellbar, doch die tatsächliche Lage von Organen ist bei Plänen mit sehr steilen Dosisgradienten nicht immer präzise genug dargestellt.Cone-Beam-CT (CBCT) oder helikale CT (kV oder MV) vor der Bestrahlung, liefern einen höheren Informationsgehalt (3D-Bild, Weichteilkontrast). Zu bedenken ist aber auch, dass ein höherer Dosisbeitrag entsteht.Durch die auf Roboterarmen montierten «Anbau-Teile» des On-Board-Imagers, kann es geometrische Unsicherheiten bezüglich der Positionierungs-genauigkeit der Anlage geben.Tomotherapie nutzt die Schicht-bildgebung (normalerweise konventionelle kV-CTs) zur Be-strahlungsplanung und zur Positionierungskontrolle vor

dients de dose ce qui permet de réduire les distances de sécurité. On peut ainsi prescrire des doses totales plus élevées en ména-geant simultanément les tissus sains et les organes à risque.Les avantages de la technique IMRT sont évidents – néan-moins lorsque l’on utilise ces techniques complexes même de petites imprécisions de positionnement du patient peuvent avoir un impact ma-jeur, voir Fig. 2 (fl uence): si le patient rapproche le menton du thorax, p. ex. en raison d’un masque mal ajusté, les gan-glions lymphatiques dorsaux sortent de la zone irradiée, par contre on irradie le maxillaire inférieur. Comment être sûr que la dose planifi ée est délivrée à l’endroit voulu? Il est impor-tant de positionner le patient de manière très précise, de l’immobiliser suffi samment et d’utiliser un traitement de radiothérapie guidé par l’image.

IGRT – image guided radiotherapy - radiothéra-pie guidée par l‘imageLe guidage par l’image à l’aide images planes (p.ex. avec le rayonnement thérapeutique) se heurte à la superposition des plans. Les structures os-seuses et les marqueurs placés sont très faciles à visualiser, cependant l’emplacement réel des organes n’est souvent pas représenté de manière assez précise avec de forts gradients de dose. Par contre, l’acquisition d’images tomodensitométriques cone beam (CBCT) ou hélicoïdales (kV ou MV) avant le traitement donne accès à un nombre plus important d’informations (image en 3D, contraste au ni-veau des tissus mous). Il convient cependant de se rap-peler que cela nécessite l’ap-plication d’une dose plus éle-vée.Les équipements tels que les imageurs embarqués rotation-nels (On-Board-Imagers)

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IMRT und IGRT – MöglichkeitenDurch die Entwicklung der IM-RT-Techniken ist es möglich geworden, hoch konformale Bestrahlungspläne auch für komplexe Zielvolumina (z.B. konkave Formen oder nahe an Risikostrukturen liegend) zu berechnen. Man kann mehrere Zielvolumen, auch mit ver-schiedenen Dosisverschreibungen gleichzeitig behandeln (soge-nannter Integrierter Boost). Es können Bestrahlungspläne mit steileren Dosisgradienten errechnet werden, dadurch sind geringere Sicherheitsab-stände möglich. Man kann hö-here Gesamtdosen bei gleich-zeitig verbesserter Schonung von Normalgewebe und Risi-koorganen verordnen.Die Vorteile der IMRT-Technik liegen auf der Hand – doch bei

Fig. 2: DRR latéral gauche avec préservation de la moelle épiniè-re, contours MLC et niveaux de fl uence en couleur

Abb 2: Links laterales DRR mit eingeblendetem Rückenmark,

MLC-Kontur und farbiger Fluenz

des plans. Les structures os-seuses et les marqueurs placés sont très faciles à visualiser, cependant l’emplacement réel des organes n’est souvent pas représenté de manière assez précise avec de forts gradients

Par contre, l’acquisition d’images tomodensitométriques cone beam (CBCT) ou hélicoïdales (kV ou MV) avant le traitement donne accès à un nombre plus important d’informations (image en 3D, contraste au ni-veau des tissus mous). Il convient cependant de se rap-peler que cela nécessite l’ap-plication d’une dose plus éle-

Les équipements tels que les

Abb. 3: Patient mit zwei künstlichen Hüften.

Links das Planungs-CT, rechts das MV-CT der

Tomotherapie

Fig. 3: patient avec deux hanches artifi cielles. A gauche le scanner de planifi cation, à droite le scanner haute énergie de tomothérapie

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ASTRM actuel 02 / 2016 article spécialisé | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Fachbericht 21

peuvent occasionner des in-certitudes géométriques rela-tives à la précision du système de positionnement.La tomothérapie utilise la to-modensitométrie (habituelle-ment un scanner convention-nel) pour la planifi cation du traitement et pour le contrôle de la position du patient avant

der Therapie die MV-CTs. So entstehen keine Positionie-rungsunsicherheiten durch Ver-zeichnungs-/ Vergrösserungs-effekte durch die Nutzung von Geräten mit anderer Geometrie.Metallische Fremdkörper (Hüft-TEPs, Zahnimplantate) im Pati-enten führen zu Artefakten, was die Qualität der Bildge-

le traitement avec un scanner haute énergie. Cela permet d’éviter les incertitudes géo-métriques par effet de distor-sion/agrandissement occasion-nées par l’utilisation d’appareils disposant d’une géométrie dif-férente. Les corps étrangers métal-liques (prothèses de hanches,

Vorteile der Tomotherapieè Grosses Spektrum in der Bestrahlungsplanung • einfache TomoDirect-Pläne (Stehfelder mit Sliding Beam) s.u. • hochkomplexe Bestrahlungs pläne mit mehreren Zielvolumi-

na sind möglichè Besonders ausgereifte IMRT-Technik • Risikoorgane, die nahe am oder im Zielvolumen liegen,

können geschont werden • konkave und irregulär geformte Volumina sind einfacher

abzudeckenè Sehr kleine Strahlfelder (pencil beam) è Sehr lange Strahlfelder (bis 40 x 160 cm, durch den

permanenten Tischvorschub) • besonders nützlich für mehrere auf der Längsachse hinterei-

nander liegende Zielvolumen (z.B. Knochenfi liae) oder die Bestrahlung der Neuroachse

è Geringe Leckstrahlung, dadurch weniger Ganzkörper be-lastung des Patienten

è Ideal für bildgeführte Therapie • integriertes helikales MV-CT • bessere Bildqualität bei Metallimplantaten • MV-CT auch für Bestrahlungsplanung verwendbar (schnel le Reaktionsmöglichkeit bei Veränderungen im Ziel-

volumen) • sehr genaue Tischkorrekturmöglichkeiten, zusätzlich noch

Rotationskorrektur möglichè Immer gleicher Arbeitsablauf, egal ob einfacher oder kompli-

zierter Bestrahlungs plan.

Nachteile der Tomotherapieè Die komplexen Pläne sind nicht auf andere Beschleuniger

übertragbar und Ersatzpläne sind häufi g nur schwer umzusetzen (bei Gerätedefekten, Wartungen).

è Sehr komplexe Elektronik, dadurch eher störanfälligè Teuer in Unterhalt und Wartung è Keine non-koplanaren Einstrahlrichtungenè Keine Bildgebung während der Strahlentherapieè Kein Atemgating möglichè Im Vergleich lange Behandlungszeitenè Die Qualitätssicherung ist zeitaufwändiger als bei IMRT an

konventionellen Beschleunigern (sowohl die geräte-bezogene als auch die patientenbezogene).

bung bei CBCTs stark beein-trächtigt.Das MV-CT der Tomotherapie stellt das Zielgebiet trotz mas-siver Metalleinbringung nahe-zu ohne Artefakte dar (siehe Abb. 3: Patient mit zwei künst-lichen Hüften, Prostata-Be-strahlung; links das Planungs-CT, rechts das MV-CT)

Avantages de la tomothérapieè Large spectre de possibilités dans la planifi cation du traite-

ment • plan simples TomoDirect (champs fi xes avec sliding beam) voir

ci-dessous • possibilité d’élaborer des plans de traitements extrêmement

complexes avec plusieurs volumes cibles è Technique IMRT particulièrement élaborée • les organes sensibles qui se trouvent à proximité du volume

cible peuvent être épargnés • il est plus facile de couvrir les volumes concaves et irréguliers è très petits faisceaux (pencil beam) è champs d’irradiation très longs (jusqu’à 40 x 160 cm grâce

au déplacement continu de la table de traitement) • est particulièrement utile pour des volumes cibles situés les

uns après les autres dans l’axe longitudinal (p. ex. les métastases osseuses ou la radiothérapie neuro-rachidienne

è Faible rayonnement de fuite, de ce fait exposition intégrale du patient aux rayons X moins élevée

è Iidéal pour le traitement guidé par l’image • scanner hélicoïdal à haute énergie intégré • meilleure qualité de l’image en présence d’implants métalliques • le scanner à haute énergie peut également être utilisé pour la

planifi cation du traitement (possibilité de réagir rapidement lors de modifi cation du volume cible)

• possibilité de corrections de positionnement de la table, en outre possibilité de corrections rotationnelles

è fl ux de travail toujours identique, que le plan de traitement soit simple ou compliqué.

Inconvénients de la tomothérapie

è La complexité des plans ne permet pas toujours le transfert sur d‘autres accélérateurs et les plans de substitution sont souvent diffi ciles à mettre en pratique (lors d‘incidents techniques de l‘appareil, maintenance)

è Eléments électroniques complexes, plus sujets aux défail-lances techniques

è Coûteux sur le plan de l‘exploitation et de la maintenance è Pas de faisceaux non coplanaires è Pas d‘imagerie durant le traitement è Aucune possibilité de gating respiratoireè Durée de traitement plus longue par rapport à un traite-

ment usuel è Les contrôles de qualité demandent plus de temps que ceux

d‘un accélérateur IMRT conventionnel (aussi bien au ni-veau de l‘appareil que du patient)

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klaustrophobische Patienten ist das vorteilhaft und auch Lagerungen mit voluminö-seren Immobilisierungshilfen sind möglich.An der Gantry sind auf beiden Seiten Touchscreen-Bedien-felder, die die erforderlichen Daten anzeigen und an denen man Einstellungen vornehmen kann.Der Abstand vom Focus zur Drehachse des Geräts beträgt 85 cm und der Abstand von der Drehachse zum Detektor weitere 50 cm (135 cm Ab-stand Focus-Detektor).Die Feldgrösse ist durch die Primärkollimation variabel zwischen 5 mm und 50 mm in der Länge und bis zu 40 cm in der Breite (Schlitzkollimator), die maximale Bestrahlungs-feldlänge von 160 cm wird von der Fahrstrecke des Tisches be-grenzt.

implants dentaires) à l’inté-rieur du patient provoquent des artéfacts qui affectent fortement la qualité de l’image du CBCT. Le scanner à haute énergie de la tomothérapie permet de vi-sualiser le volume cible prati-quement sans artéfacts mal-gré la présence massive de métal (voir Fig. 3: patient avec deux hanches artifi cielles, trai-tement de la prostate; à gauche le scanner de planifi -cation, à droite le scanner haute énergie).

Structure et fonctionne-ment de la tomothérapieEn principe, un appareil de to-mothérapie ressemble à un scanner mais il est un peu plus massif. Le Linac (accélérateur linéaire) compact produit des photons de 3MV pour les scanners à haute énergie et un rayonne-ment de 6MV pour le traite-ment. Il est monté sur un por-tique circulaire équipé de contacts par frottement pour l’alimentation électrique et le fl ux de données. Cela lui per-

met d’effectuer une rotation de 360°. Sur le portique, en opposition au Linac, se trouvent 738 cel-lules photomultiplicatrices au Xénon. Ce détecteur offre un Field-of-View (FOV) de 40 cm pour le scanner. Derrière le détecteur on trouve un beam stopper (= capteur de rayons X). Ce der-nier est nécessaire, pour ré-duire au minimum les exi-gences de radioprotection architecturale et protéger les éléments électroniques se trouvant derrière.L’ouverture du portique est de 85 cm, ce qui est relative-ment grand et il est ouvert à l’arrière. C’est un avantage pour les patients légèrement claustrophobes et cela per-met également des position-nements avec des moyens de contention volumineux.Sur chaque côté du portique se trouvent des panneaux de commande à écran tactile, qui affi chent les données né-cessaires et qui permettent de procéder aux réglages. La distance entre le foyer et

Aufbau und Funktionswei-se der TomotherapieGrundsätzlich sieht das Tomo-therapiegerät aus wie ein et-was stämmigerer CT-Scanner. Der kompakte Linac (linear ac-celerator) erzeugt 3MV Pho-tonen für die MV-CTs und 6MV Photonenstrahlung für die Therapie. Er ist auf einer Ringgantry mit Schleifkontak-ten für die Stromversorgung und den Datenfl uss montiert. Dadurch kann die 360°-Rota-tion realisiert werden. Auf der Ringgantry ist gegen-über des Linacs ein Detek-torarray mit 738 Xenon-Zellen montiert. Dieser Detektor er-möglicht für den CT-Scan ein 40 cm grosses Field-of-View (FOV). Hinter dem Detektor ist ein Be-amstopper (= Strahlenfänger) angebracht. Dieser ist erfor-derlich, um die Anforderungen an den baulichen Strahlen-schutz gering zu halten und die dahinter liegende Elektro-nik abzuschirmen.Die Gantryöffnung ist mit 85 cm relativ gross und die Gan-try ist hinten offen. Für leicht

Abb. 4: Schematischer Aufbau Tomotherapie

Fig. 4: Structure schématique d’un appareil de tomothérapie

Abb. 4: Schematischer Aufbau Tomotherapie

Fig. 4: Structure schématique d’un appareil de tomothérapie

Abb. 4: Schematischer Aufbau Fig. 4: Structure schématique d’un appareil

fl ux de données. Cela lui per- La distance entre le foyer et try ist hinten offen. Für leicht

a Linac (6MV Photonen)

b Primärkollimation (5 mm bis 50 mm)

c binärer MLC (64 Lamellen)

d Bildaufnahme detektor (738 Xenon Zellen)

e Strahlenfänge

a Linac (photons 6MeV)

b collimation primaire (5 mm à 50 mm)

c MLC binaire (64 lamelles)

d détecteur d’images (738 cellules de détection au Xénon)

e capteur de rayons X

© 2015 Accuray Incorporated.

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meture rapide des lames (50 millisecondes), ce qui offre de nombreuses possibilités lors du calcul de modulation de dose.

Le rayonnement de fuite des lamelles est de 0,2 % en de-hors du champ et de 0,5 % à l’intérieur du champ ce qui est nettement plus bas que pour les collimateurs multi-lames courants (1 % ou plus de fuite) et permet de réduire l’exposition intégrale du pa-tient aux rayonnements. Pour chaque rotation du Li-nac on calcule 51 projections d’irradiation, chacune cou-vrant un arc de 7° ce qui créé plusieurs milliers de petits champs individuels. Afi n d’assurer l’homogénéité, les trajectoires hélicoïdales se chevauchent durant le traite-ment (pitch – Fig. 5). Le matelas sur lequel le pa-tient est couché est monté sur un socle fi xe (non rotatif). La table peut être déplacée latéralement et longitudina-lement. Le déplacement verti-cal est réalisé par un «mouve-ment de type cobra». Le socle de la table s’élève et la table se déplace en même temps sur le plan longitudinal pour effectuer les ajustements verticaux requis. La table peut être actionnée en partie manuellement, la fonction free-fl oat est égale-ment disponible. Une inter-vention de secours d’urgence après une coupure de courant ou lors de l’interruption du traitement est p. ex. possible en tirant manuellement la table d’examen hors du por-tique et en l’abaissant grâce à un système pneumatique.Le logiciel d’utilisation de la machine est facilement com-préhensible. Il est construit sur la base de fi ches et pour chaque étape de traitement la page à on-glet correspondante doit être remplie. Il n’est pas possible de changer d’interface avant que tout ait été exécuté cor-rectement. Les étapes respec-

Serielle Tomotherapie, eine ParallelentwicklungEtwa zeitgleich mit der Idee der helikalen Tomotherapie wurde auch die «serielle Schichtbe-strahlung» («serial tomothera-py») entwickelt. Die technische Umsetzung war einfacher zu realisieren, das NOMOS Peacock IMRT-System wurde schon im Jahre 1994 in Houston (Texas/USA) eingesetzt.Das NOMOS Peacock kann an handelsübliche Linearbeschleu-niger mit einer C-Gantry ange-fl anscht werden. Es hat einen sehr schmalen, pneumatisch betriebenen Multi-Leaf-Kolli-mator, mit dem die Intensitäts-modulation realisiert wurde. Durch die eingeschränkten Ro-tationsmöglichkeiten der Linacs sind keine 360°-Rotationen möglich (bis zu 340°). Nach je-der Rotation wird der Tisch de-fi niert verschoben. Durch das Zusammenspiel von pneumatischem MLC, Gantry-rotation und dem manuellen Tischvorschub erreicht man eine «Schicht-für-Schicht»-Arc-Therapie – die slice therapy oder eben serial tomotherapy.

Der binär-MLC mit 64 einzeln steuerbaren Lamellen (durch Druckluft; 0,61cm Leaf-Breite

im IZ) teilt das Strahlfeld in 64 rechteckige Einzelfelder.Durch die pneumatische Be-wegung der Lamellen sind sie sehr schnell offen oder ge-schlossen (50 Millisekunden), dadurch hat man in der Be-rechnung der Dosismodulati-on viele MöglichkeitenDie Leckstrahlung der Lamel-len beträgt ausserhalb des Feldes 0,2 % und innerhalb des Bestrahlungsfeldes 0,5 %. Das ist deutlich niedriger als bei den üblichen MLCs (1 % oder mehr Leckage), wodurch die Ganzkörperbelastung der Pati-enten gering gehalten wird.Jede Rotation des Linacs wird rechnerisch in 51 Bestrah-lungsrichtungen mit jeweils 7° Unterschied unterteilt, so dass viele tausend kleine Einzel-felder entstehen. Um die Homogenität zu ge-währleisten, überlappen sich die Spiralbahnen während der Be-strahlung (sog. Pitch – Abb. 5). Die Bestrahlungscouch ist auf einem festen Sockel (nicht drehbar) montiert. Die Tisch-platte ist lateral und longitudi-nal verschiebbar. Die vertikale Verschiebung wird durch eine sogenannte «Kobra-Bewe-gung» realisiert. Dabei hebt sich der Tisch-sockel und die Längsebene verschiebt sich im

l’axe de rotation de l’appareil est de 85 cm et la distance entre l’axe de rotation et le dé-tecteur de 50 cm de plus (dis-tance foyer-détecteur 135 cm).La collimation primaire permet de faire varier la taille du champ de 5 mm à 50 mm en longueur et jusqu’à 40 cm en largeur (collimateur à fente), la longueur maximale d’un champ d’irradiation de 160 cm est limitée par la distance de déplacement de la table.

Tomothérapie en série, un développement parallèleLa «tomothérapie en série» («serial tomotherapy») a été développée à peu près en même temps que l’émergence de l’idée de la tomothérapie hélicoïdale. La réalisation de cette tech-nique a été plus aisée, on utili-sait déjà le système IMRT NO-MOS Peacock IMRT en 1994 à Houston (Texas/USA).Le NOMOS Peacock peut être adapté aux accélérateurs li-néaires classiques en arc de cercle. Il est équipé d’un colli-mateur multilames très mince actionné par système pneu-matique qui permet de réaliser une modulation d’intensité. En raison des possibilités limitées de rotation du Linac, des rota-tions de 360° ne sont pas pos-sibles (jusqu’à 340°). Après chaque rotation, la table est déplacée de manière défi nie. Grâce à l’interaction du colli-mateur multilames, de la rota-tion de l’appareil et du dépla-cement manuel de la table, on obtient un traitement «tranche par tranche», c’est-à-dire une «slice therapy» ou tomothéra-pie en série.

Le collimateur multilames de 64 lamelles à commande indi-viduelle (par système pneu-matique; 0,61cm de largeur à l’isocentre) divise le champ en 64 champs rectangulaires in-dividuels. Le système pneumatique per-met une ouverture et une fer-

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meture rapide des lames (50 millisecondes), ce qui offre de nombreuses possibilités lors du calcul de modulation de

Le rayonnement de fuite des lamelles est de 0,2 % en de-hors du champ et de 0,5 % à l’intérieur du champ ce qui est nettement plus bas que pour les collimateurs multi-lames courants (1 % ou plus de fuite) et permet de réduire l’exposition intégrale du pa-tient aux rayonnements. Pour chaque rotation du Li-nac on calcule 51 projections d’irradiation, chacune cou-vrant un arc de 7° ce qui créé plusieurs milliers de petits

Abb. 5: Tischvorschub per Gantryrotation / Schichtdicke

(Strahlbreite)

Fig. 5: déplacement de la table par rotation du portique/épaisseur de la coupe (largeur du faisceau)

déplacement de la table par rotation du portiqueTischvorschub per Gantryrotation

épaisseur de la coupe (ou largeur du faisceau)Schichtdicke (Strahlbreite)

Pitch

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tives suivantes sont indiquées.La dernière innovation permet de transmettre les paramètres de correction de la position de la table obtenus lors du scan-ner de contrôle directement à la table qui peut également être pilotée du pupitre de la salle de commande. Il est aussi important de dispo-ser d’une surveillance visuelle et acoustique de la salle. En fonction du volume cible, le patient est masqué par le por-tique et échappe le cas échéant à la surveillance des caméras en raison de leur position (laté-rales, de face et à env. à 45°), la 4e caméra, qui montre l’ouver-ture arrière du portique per-met par contre une visualisa-tion (v. Fig. 6).

Système de coordonnées et laserLe système de coordonnées correspond en principe à celui des autres appareils de radio-thérapie, il est stationnaire et son emplacement est défi ni dans la salle, le point d’origine correspond à l’isocentre de l‘appareil. X=axe latéral, y= axe longitudi-nal et Z= axe vertical. L’isocentre de l’appareil se trouve à l’intérieur du portique et ne peut pas être visualisé di-rectement par le laser, raison pour laquelle on a besoin d’un isocentre virtuel. Pour la plu-part des appareils de tomothé-rapie la distance entre l’iso-centre réel et virtuel est de 70 cm sur l’axe longitudinal. Les lasers verts ne peuvent pas être déplacés, ils sont représen-tés par un pointeur en croix dans le portique (important entre autres pour les contrôles de qualité), et visualisent éga-lement l’isocentre virtuel de-vant le portique. Les lasers rouges sont mobiles et permettent de projeter des plans qui diffèrent de l’iso-centre virtuel.La position des lasers rouges est défi nie au cours de la phase de planifi cation du traitement. Les lasers indiquent 2 direc-tions: lors du set up initial, à

savoir lorsque le patient se couche/est positionné sur la table, ils indiquent les posi-tions enregistrées sur le plan de traitement.Si, après l’enregistrement des images on autorise l’appareil à effectuer les corrections re-latives aux valeurs de la table, ces dernières sont transmises à la table et aux lasers. La table apporte les corrections néces-saires et les lasers montrent la nouvelle position. On utilise les lasers rouges comme auxiliaires de réglage lors du set up du patient, ils offrent la possibilité de véri-fi er la bonne exécution de la correction de positionnement.Les deux lasers, aussi bien le vert (fi xe) que le rouge (mo-bile), peuvent être visualisés sur le scanner haute énergie (voir Fig. 7 et 9).

Possibilités de correction de la positionLe déplacement translation-nel classique dans les diffé-rentes directions de la salle est possible, cependant le dé-placement latéral maximum de la table se limite à plus ou moins 2,5 cm.Outre la translation, le logiciel de tomothérapie est capable de calculer l’angle «roll-pitch-yaw» à savoir l’angle de tangage et d’inclinaison qui sont des termes provenant de l’aviation. La fonction «pitch» incline le patient dans l’axe longitudinal – cela signifi e que l’on soulève-rait p.ex. la table au niveau de la tête du patient et que l’on abaisserait la table au niveau de ses pieds. La fonction «yaw» permettrait une rotation du plateau de la table sans inclinaison du pied de la table.La fonction «roll» incline le plateau de la table sur le plan latéral. Optiquement, la cor-rection rotationnelle est affi -chée comme une rotation du patient, c’est cependant le lo-giciel qui corrige le point de départ de l’irradiation selon les données transmises. Ce n’est pas la table mais la répartition

Einklang, um geforderte Verti-kal-Anpassungen auszufüh-ren. Die Couch kann teilweise ma-nuell bedient werden, Free-Float-Funktion ist auch mög-lich. Notbergung nach einem Stromausfall oder Bestrah-lungsabbruch ist z.B. möglich, indem man die Couch manuell aus der Gantry zieht und dann pneumatisch absenkt.Die Software zur Maschinen-bedienung ist einfach ver-ständlich.Sie ist auf der Basis von Kar-teikarten aufgebaut, für jeden Schritt der Behandlung muss die entsprechende Register-karte bearbeitet werden. Ein Wechseln der Oberfl ächen, be-vor alles korrekt ausgeführt wurde, ist nicht möglich. Die jeweils nächsten Schritte wer-den angezeigt.Die neueste Entwicklung ist, dass die beim Lagerungskon-troll-CT ermittelten Tischkor-rekturparameter direkt an die Couch übertragen und auch vom Schaltpult im Bedien-raum aus angefahren werden können. Wichtig ist auch eine aku-stische und optische Raumü-berwachung. Je nach Lage des Zielvolumens wird der Patient weit in die Gantryöffnung hi-neingefahren und ist so u.U. von klassisch positionierten Kameras (seitlich, von vorn und ca. 45°) nur schlecht sichtbar, die 4. Kamera, die von hinten in die Gantryöffnung blickt, deckt dies dann ab (s. Abb. 6).

Koordinatensystem und Laser Das Koordinatensystem ent-spricht prinzipiell dem anderer Bestrahlungsgeräte, es ist sta-tionär und im Raum defi niert, der Ursprung ist das Isozen-trum des Gerätes. X=laterale Achse, y= longitu-dinale Achse und Z= vertikale Achse. Das Isozentrum liegt baulich bedingt innerhalb der Gantry, es kann mittels Laser nicht di-rekt sichtbar gemacht werden.

Deshalb ist ein virtuelles Iso-zentrum erforderlich. Bei den meisten Tomotherapiegeräten ist der longitudinale Abstand zwischen dem tatsächlichen und dem virtuellen Isozen-trum 70 cm. Die grünen Laser sind unbe-weglich, sie zeigen sowohl ein Fadenkreuz in der Gantry (wich-tig u.a. für die Qualitätssiche-rung), als auch das virtuelle Iso-zentrum vor der Gantry an.Die roten Laser sind beweglich, sie können Ebenen projizieren, die vom virtuellen Isozentrum abweichen. Die Position der roten Laser wird während der Bestrah-lungsplanung festgelegt. Sie zeigen zweierlei an: im Ini-tial Setup, also beim Aufl egen/Lagern des Patienten wird die im Bestrahlungsplan einge-speicherte Setup-Position an-gegeben.Gibt man nach der Bildregis-tration die ermittelten Tisch-korrekturwerte frei, werden diese an die Couch und die La-ser übertragen. Die Couch führt die Korrekturen durch und die Laser zeigen die neue, aktuelle Position an. Mittels der roten Laser hat man eine Einstellhilfe beim Setup des Patienten und die Möglichkeit, die korrekte Aus-führung der Positionierungs-korrektur zu überprüfen.Beide Laser, sowohl der feste, grüne, als auch der beweg-liche, rote, sind im MV-CT dar-stellbar (siehe Abb. 7 und 9).

Positionskorrektur-möglichkeitenKlassische translationale Ver-schiebung in den Raumrich-tungen ist möglich, wobei die maximale laterale Bewegung der Couch baulich bedingt auf plus/minus 2,5 cm begrenzt ist.Zusätzlich zur Translation kann die Software der Tomotherapie auch die sogenannten «roll-pitch-yaw angle» errechnen, das sind Gier- und Neigungs-winkel, die ursprünglich aus der Luftfahrt stammen.Pitch neigt den Patienten in der Längsachse – man würde

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de la dose qui est inclinée.Il n’est pas possible de modi-fi er les angles «pitch» et «yaw» avec les tables d’examen con-ventionnelles, on peut calculer les valeurs et au cas, où repo-sitionner le patient. Dans ce cas-là, il est recommandé de faire une nouvelle acquisition d’images.

Préparation pour la tomothérapieIl faut être attentif aux possi-bilités d’adaptation du patient, entre autres à son état général ou à une éventuelle claustro-phobie.La tomothérapie dure en moyenne plus longtemps qu’un traitement

«classique», sa durée dépend tou-jours du volume cible (un VC long et complexe, par exemple un sar-come de la cuisse, peut représen-ter jusqu’à 25 min. de traitement). La salle d’examen est fraîche, le système de refroidissement de la machine et les mouvements des lamelles sont bruyants (néan-moins pas aussi bruyants qu’un appareil IRM).Lors du scanner de planifi ca-tion pour la tomothérapie il est particulièrement important que le plan représente le patient en entier ainsi que tous les moyens de contention dont il a besoin (dans la région à irradier).Il est également important de laisser assez d’espace du côté

also die Couch z.B. am Kopfen-de anheben und am Fussende absenken.Yaw würde die Tischplatte auf weiterhin gerade stehendem Fuss rotieren.Roll neigt die Tischplatte in der Lateral-Ebene. Die Roll-Kor-rektur wird optisch als Dre-hung des Patienten angezeigt, durchgeführt wird sie, indem die Software den Bestrah-lungsstartpunkt um den er-mittelten Wert korrigiert. Es wird nicht der Tisch, sondern die Dosisverteilung gedreht.Pitch und Yaw sind mit klas-sischen Therapietischen nicht einstellbar, man kann die Wer-te errechnen lassen und wenn erforderlich den Patienten neu lagern. Allerdings sollte man dann eine neue Bildakquisition vornehmen.

Tomotherapie dauert im Schnitt länger als «klassische» Bestrahlung, immer abhängig vom Zielvolumen (ein langes, komplexes ZV, beispielsweise eines Oberschenkelsarkoms, kann bis zu 25 Min. Bestrah-lungszeit haben). Der Bestrah-lungsraum ist kühl, die Küh-lung der Maschine und die Bewegungen der Lamellen sind laut (aber nicht so laut wie ein MRT).Beim Planungs-CT für die To-motherapie ist besonders wichtig, dass im Planungs-CT der komplette Patient inklusi-ve aller Lagerungsmittel abge-bildet wird (in der zu bestrah-lenden Region).Ebenso wichtig ist, dass im Datensatz nach dorsal genug Raum ist, um rechnerisch die CT-Couch durch die grössere

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also die Couch z.B. am Kopfen-de anheben und am Fussende absenken.Yaw würde die Tischplatte auf weiterhin gerade stehendem Fuss rotieren.Roll neigt die Tischplatte in der Lateral-Ebene. Die Roll-Kor-rektur wird optisch als Dre-hung des Patienten angezeigt, durchgeführt wird sie, indem die Software den Bestrah-lungsstartpunkt um den er-mittelten Wert korrigiert. Es wird nicht der Tisch, sondern die Dosisverteilung gedreht.Pitch und Yaw sind mit klas-sischen Therapietischen nicht einstellbar, man kann die Wer-

Abb. 6: Überwachungskameras und akustische Raumüberwa-

chung sorgen für die Sicherheit des Patienten.

Fig. 6: Les caméras de surveil-lance et la surveillance acous-tique contribuent à la sécurité du patient.

plus longtemps qu’un traitement laisser assez d’espace du côté

Abb. 7: Koordinaten- und Laser-System

Fig. 7: Système de coordonnées et laser

Isocentre de l‘appareil70 cmisocentre virtuel = laser vertlaser rougepeut être déplacé

Gerät-IZ (70cm)virtuelles IZ = grüner Laser

Roter Laser verschiebbar

«classique», sa durée dépend tou-jours du volume cible (un VC long et complexe, par exemple un sar-come de la cuisse, peut représen-ter jusqu’à 25 min. de traitement). La salle d’examen est fraîche, le système de refroidissement de la machine et les mouvements des lamelles sont bruyants (néan-moins pas aussi bruyants qu’un

Lors du scanner de planifi ca-tion pour la tomothérapie il est particulièrement important que le plan représente le patient en entier ainsi que tous les moyens de contention dont il a besoin (dans la région à irradier).Il est également important de laisser assez d’espace du côté

dann eine neue Bildakquisition vornehmen.

Raum ist, um rechnerisch die CT-Couch durch die grössere

laisser assez d’espace du côté Abb. 8: Grafi sche Darstellung der Rollkorrektur. Die weisse,

waagerechte Linie zeigt den ge-raden Tisch des Planungs-CTs. Die rote Linie stellt die virtu-

elle Tischdrehung durch die Rollkorrektur dar. Tatsächlich ausgeführt wird die Korrek-tur durch die entsprechende

Anpassung der Startposition der Linac- Rotation.

Fig. 8: représentation graphique de la correction rotationnelle. La ligne blanche horizontale montre la table horizontale du scanner de planifi cation. La ligne rouge représente la rotation virtuelle que la table a effectué pour la correction rotationnelle. En fait, la correction est effectuée par l’ajus-tement approprié de la position de départ de la rotation du Linac.

Vorbereitung für TomotherapieEs muss auf die Patienten-compliance geachtet werden. Eventuelle Platzangst und der Allgemeinzustand sind zu be-denken.

Tomo-Couch zu ersetzen (siehe Abb. 8, das graue Viereck un-terhalb des CTs markiert die Couch).Warum?Bei jeder Gantryrotation wird durch den gesamten Pa tien-

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dorsal pour adapter mathé-matiquement le matelas de la table du scanner à celui, plus grand, de l’appareil de tomo-thérapie (voir Fig. 8, le carré gris en-dessous du scanner si-mule le matelas).Pourquoi?Lors de chaque rotation du portique, le rayonnement tra-verse non seulement le patient mais également les moyens de contention et la table d’exa-men. L’atténuation du rayon-nement due aux accessoires de contention (p.ex. aircasts, masques, matelas pour décu-bitus ventral, Breastboard) ainsi que les parties du corps se trouvant devant le volume cible peuvent ainsi être calcu-lés de manière exacte. Il en va de même pour la dose absor-bée par les volumes qui ne doivent pas être traités. La table est mathématique-ment incluse dans les don-nées, les valeurs d’atténuation sont connues et prises en compte par le système de pla-nifi cation.

Astuces pratiques:Choisir un positionnement et des moyens de contention permettant de tout visualiser sur le scanner: il est p. ex. souvent diffi cile de mettre en pratique la position «en cuisses de grenouille» pour le traitement de la région de l’aine – chez les grands pa-tients la position est souvent visualisée de manière incom-plète sur le scanner.Faire calculer un FOVe (Field-of-View étendu) par le logiciel du scanner, ce qui conduit certes à une plus mauvaise qualité d’image mais permet de visualiser l’entier du pa-tient. Au cas où il n’est pas possible de visualiser le patient en en-tier, il manque p.ex. une partie de la face opposée lors de la planifi cation d’une cuisse avec la hanche, on peut bloquer ces faisceaux lors de la planifi ca-tion du traitement. Cela réduit néanmoins les possibilités de planifi cation.

Exemple pratique: traitement du rachis, voir Fig. 9.Dans cet exemple de position-nement, nous avons surélevé les bras afi n qu’ils ne se trouvent pas à côté du rachis dorsal. Cela permet de dégager les angles latéraux et dorsaux pour le traitement. Les angles entre env. 15° – 85° et 275° – 345° ont été bloqués afi n de pré-server les poumons et les bras. Afi n d’inclure la table dans les données, on peut choisir la hauteur de table la plus petite enregistrable afi n d’avoir assez d’espace du côté dorsal.

Planifi cation du traitement pour la tomothérapieComme le système de tomo-thérapie est autonome, les données du scanner de plani-fi cation doivent être impor-tées en format DICOM dans les données de planifi cation. Le contourage du volume cible et des organes à risque peut être effectué avant l’importa-tion dans n’importe quel pro-gramme de planifi cation de traitement de radiothérapie (p.ex. Eclipse/Pinnacle) mais peut également être réalisé di-rectement dans le programme de planifi cation de tomothé-rapie. Après l’importation, on déter-mine une prescription de dose pour le volume cible et les autres doses ainsi que les doses maximales pour les structures à risque (contraintes de dose).

tenquerschnitt und alle Lage-rungsmittel und den Tisch be-strahlt. Die Schwächung durch die Lagerungsmittel (z.B. Air-casts, Maskenhalterungen, Bauchbrett, Breastboard) und die vor dem Zielvolumen lie-genden Körperteile kann so ge-nau berechnet werden. Ebenso die Dosisbelastung für die nicht zu bestrahlenden Volumen.Der Tisch wird rechnerisch in den Datensatz eingefügt, die Schwächungswerte sind im Planungssystem bekannt und werden berücksichtigt.

Praxistipps:Lagerung und Lagerungsmittel so wählen, dass alles abgebildet werden kann:z.B. Froschschenkelstellung für RT der Leistenregion ist häufi g nicht gut umzusetzen – bei grossen Patienten oft nur in-komplett im CT abbildbar. Von der CT-Software ein eFOV (erweitertes Field-of-View) er-rechnen lassen, was zwar zu Ab-zügen in der Bildqualität führt, aber häufi g dann den Patienten komplett darstellt.Ist der Patient nicht ganz abbild-bar, es fehlt z.B. bei geplanter Be-strahlung eines Oberschenkels mit Hüfte ein Teil der Gegenseite, so kann man diese Einstrahlrich-tungen bei der Bestrahlungspla-nung blockieren. Dadurch grenzt man aber auch die Möglich-keiten der Planung ein.Praktisches Beispiel: Bestrah-lung der Wirbelsäule, siehe Abb. 9.

Hier wurde die Lagerung so gewählt, dass die Arme erhöht gelagert sind, also nicht neben der Wirbelsäule. Man hat die seitlichen und dorsalen Winkel für die Bestrahlung frei. Die Winkel zwischen ca. 15° – 85° und 275° – 345° sind blockiert worden, um Lunge und Arme zusammen zu schonen. Um den Tisch in den Datensatz einfügen zu können, kann man am Planungs-CT die mi-nimale Tischhöhe ermitteln, bei der ein Datensatz entsteht, der nach dorsal genug Raum lässt.

Bestrahlungsplanung für die TomotherapieDa das Tomotherapie-System in sich abgeschlossen ist, muss der Datensatz des Planungs-CTs via DICOM-RT-Import ins Planungsprogramm übertra-gen werden.Die Konturierung der Zielvolu-men und der Risikoorgane kann vor dem Import ins To-motherapie-System in einem beliebigen Bestrahlungspla-nungsprogramm (z.B. Eclipse/Pinnacle), aber auch direkt am Tomo-Planungs-System er folgen.Nach dem Import wird eine Dosisverschreibung für die Zielvolumina festgelegt, ge-nauso wie Dosisvorgaben und Maximaldosen für die Risiko-strukturen (sogenannte dose constraints).

Folgende Parameter sind noch festzulegen:è IMRT (meistens) oder 3D-

konformal («TomoDirect» s.u.)è statische oder dynamische

Technik • statisch: mit immer kon-

stanter longitudinaler La-mellenöffnung

• dynamisch: bei Start und Ende wird die Grösse der Lamellenöffnung geän-dert

è Die Feldöffnung in cranio-caudaler Richtung

• das System hat drei kom-missionierte Feldbreiten: 1 cm, 2,5 cm, 5 cm

è der Pitch

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dorsal pour adapter mathé-matiquement le matelas de la table du scanner à celui, plus grand, de l’appareil de tomo-thérapie (voir Fig. 8, le carré gris en-dessous du scanner si-

Lors de chaque rotation du portique, le rayonnement tra-verse non seulement le patient mais également les moyens de contention et la table d’exa-men. L’atténuation du rayon-nement due aux accessoires

Hier wurde die Lagerung so gewählt, dass die Arme erhöht gelagert sind, also nicht neben der Wirbelsäule. Man hat die seitlichen und dorsalen Winkel für die Bestrahlung frei. Die Winkel zwischen ca. 15° – 85° und 275° – 345° sind blockiert worden, um Lunge und Arme zusammen zu schonen. Um den Tisch in den Datensatz einfügen zu können, kann man am Planungs-CT die mi-nimale Tischhöhe ermitteln, bei der ein Datensatz entsteht,

Abb. 9: ZV in der BWS, erhöhte Lagerung der Arme, um diese

gleichzeitig mit einem Teil der Lungen schonen zu können.

Fig. 9: VC dans la colonne dorsale, surélévation des bras, afi n de les préserver ainsi qu’une partie des poumons.

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Il reste à défi nir les para-mètres suivants:è IMRT (la plupart du temps)

ou conformationnelle 3D («TomoDirect» voir ci-dessous)è technique statique ou dy-

namique • statique: avec ouverture

longitudinale constante des lamelles

• dynamique: la taille de la collimation est modifi ée au départ et à la fi n de la séance

è l’ouverture du champ en di-rection cranio-caudale

• le système affecte trois largeurs de champ: 1 cm, 2,5 cm, 5 cm

è le pitch • détermine le déplacement

de la table par rotation du portique divisé par la lar-geur du champ (voir Fig. 5)

èle facteur de modulation • est une mesure du degré

de modulation d’intensité.Sur la base de ces données le logiciel calcule le plan de trai-tement au moyen d’un algo-rithme de planifi cation inverse. Plus le champ est étroit, plus le pitch est petit et plus le fac-teur de modulation est élevé et plus la répartition de la dose est calculée de manière conformationnelle mais plus le temps d’irradiation se pro-longe. Il faut à chaque fois trouver le meilleur compromis pour chaque plan de traite-ment et chaque patient. La visualisation de la réparti-tion de dose en 3D sur les coupes du scanner ainsi que l’histogramme dose-volume permettent au médecin et au physicien de déterminer si le plan de traitement est conforme ou doit encore être optimisé. Une fois terminé, le plan com-prend la vitesse de rotation du portique, la vitesse de dépla-cement de la table et le sino-gramme qui fi xe les séquences d’ouverture-fermeture des la-melles. «TomoDirect» permet d’irradier des champs sans rotation et sans modulation d’intensité (c’est-à-dire des plans confor-mationnels 3D).

Ce programme a été développé afi n de pouvoir aussi traiter des volumes cibles simples en to-mothérapie (p.ex. pour des trai-tements en urgence ou dans le cadre du concept de panne du Linac à bras isocentrique).Ces plans de traitement pour

• gibt den Tischvorschub pro Gantryrotation divi-diert durch die Feldbreite an (siehe Abb. 5)

è Modulationsfaktor • das ist ein Mass für den Grad

der Intensitätsmodulation.Anhand dieser Angaben errech-

net die Software mittels eines Algorithmus zur Inversen Pla-nung den Bestrahlungsplan. Je kleiner die Feldbreite, je klei-ner der Pitch und je grösser der Modulationsfaktor ge-wählt wird, umso konformaler wird die Dosisverteilung be-rechnet, aber umso länger wird auch die Bestrahlungs-zeit. Hier muss für jeden Be-strahlungsplan und jeden Pa-tienten der beste Kompromiss gefunden werden.Die 3D-Dosisverteilung wird in den CT-Schichten angezeigt, ebenso das Dosis-Volumen-Histogramm, damit Arzt und Physiker beurteilen können, ob der Bestrahlungsplan den Vor-gaben entspricht oder weiter optimiert werden muss. Der fertige Plan enthält dann die Gantry-Rotationsgeschwin-digkeit, die Tischgeschwindig-keit und das Sinogramm, welches das zeitliche Öffnungs-muster der Lamellen festlegt.«TomoDirect» ist eine Möglich-keit, Pläne ohne Rotationen und ohne Intensitätsmodula-tion (also 3D-konformale Plä-ne) zu bestrahlen. Das ist entwickelt worden, um auch einfache Zielvolumen am Tomotherapiegerät behandeln zu können (z.B. für Notfallbe-handlungen oder als Ausfall-konzept für C-Bogen-Linacs).Diese Behandlungspläne für einfachere Zielvolumen (bei-spielsweise klassische Mam-matangenten oder Hirnschä-delbestrahlung ohne Boost) sind schnell berechnet und auch schnell appliziert (durch die hohe Dosisleistung der Maschine). Solche Pläne können zwischen 2 und 12 Stehfelder beinhal-ten. Die Gantry steht, der Tisch fährt für jedes Feld einmal durch die Gantryöffnung (so-genannte sliding beam).Bestrahlt man einen solchen Plan, wird auch der Gantry-winkel (eigentlich: Winkel der Strahlenquelle) im Bedienfeld angezeigt.

statique: avec ouverture longitudinale constante

dynamique: la taille de la collimation est modifi ée au départ et à la fi n de la

l’ouverture du champ en di-

le système affecte trois largeurs de champ: 1 cm,

détermine le déplacement de la table par rotation du portique divisé par la lar-geur du champ (voir Fig. 5)

le facteur de modulation est une mesure du degré de modulation d’intensité.

Sur la base de ces données le logiciel calcule le plan de trai-tement au moyen d’un algo-rithme de planifi cation inverse.

Linac à bras isocentrique).Ces plans de traitement pour

der Intensitätsmodulation.Anhand dieser Angaben errech-

wählt wird, umso konformaler wird die Dosisverteilung be-rechnet, aber umso länger wird auch die Bestrahlungs-zeit. Hier muss für jeden Be-strahlungsplan und jeden Pa-tienten der beste Kompromiss gefunden werden.Die 3D-Dosisverteilung wird in den CT-Schichten angezeigt, ebenso das Dosis-Volumen-Histogramm, damit Arzt und Physiker beurteilen können, ob der Bestrahlungsplan den Vor-gaben entspricht oder weiter optimiert werden muss. Der fertige Plan enthält dann die Gantry-Rotationsgeschwin-digkeit, die Tischgeschwindig-keit und das Sinogramm, welches das zeitliche Öffnungs-muster der Lamellen festlegt.«TomoDirect» ist eine Möglich-keit, Pläne ohne Rotationen und ohne Intensitätsmodula-

et plus la répartition de la dose est calculée de manière conformationnelle mais plus le temps d’irradiation se pro-longe. Il faut à chaque fois trouver le meilleur compromis pour chaque plan de traite-

La visualisation de la réparti-tion de dose en 3D sur les coupes du scanner ainsi que l’histogramme dose-volume permettent au médecin et au physicien de déterminer si le plan de traitement est conforme ou doit encore être optimisé. Une fois terminé, le plan com-prend la vitesse de rotation du portique, la vitesse de dépla-cement de la table et le sino-gramme qui fi xe les séquences d’ouverture-fermeture des la-

«TomoDirect» permet d’irradier

Das ist entwickelt worden, um auch einfache Zielvolumen am Tomotherapiegerät behandeln zu können (z.B. für Notfallbe-handlungen oder als Ausfall-konzept für C-Bogen-Linacs).Diese Behandlungspläne für einfachere Zielvolumen (bei-spielsweise klassische Mam-matangenten oder Hirnschä-delbestrahlung ohne Boost) sind schnell berechnet und auch schnell appliziert (durch die hohe Dosisleistung der Maschine). Solche Pläne können zwischen 2 und 12 Stehfelder beinhal-ten. Die Gantry steht, der Tisch fährt für jedes Feld einmal durch die Gantryöffnung (so-genannte sliding beam).Bestrahlt man einen solchen Plan, wird auch der Gantry-winkel (eigentlich: Winkel der Strahlenquelle) im Bedienfeld

Abb. 10: MV-CT, rechts Planungs-CT; das grüne Fadenkreuz zeigt das Geräte-

isozentrum, der grüne Kreis das Field-of-View; roter Laser zeigt das IZ des Bestrah-

lungsplans.

Abb.11: Links MV-CT, rechts Planungs-CT;

der Plan wurde so modifi ziert, dass Geräte-IZ und

Plan-IZ näher zusammenliegen, so kann das komplette ZV im

MV-CT abgebildet werden.

Fig. 10: scanner haute énergie, à droite scanner de planifi cation; le pointeur en croix vert montre l’isocentre de l’appareil, le cercle vert le Field-of-View; le laser rouge montre l’isocentre du plan de traitement.

Fig.11: à gauche scanner haute énergie, à droite scanner de pla-nifi cation; le plan a été modifi é afi n que l’isocentre de l’appareil et celui du plan soient plus proches afi n de pouvoir visualiser l’entier du volume cible sur le scanner.

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des volumes cibles plus simples (par exemple les champs tan-gentiels mammaires classiques ou la radiothérapie du cerveau sans application de doses concentrées (boost)) sont calcu-lés et appliqués rapidement (grâce au débit de dose élevé de la machine). De tels plans peuvent com-prendre entre 2 et 12 champs fi xes. Le portique reste immobile, la table se déplace une seule fois par champ au travers de l’ouver-ture du portique (sliding beam).Lors du traitement avec un tel plan, l’angle du portique (en fait l’angle de la source de rayonnement) est affi ché sur le panneau de contrôle.

Exemples tirés de la pratique Sur la Fig. 10 le laser vert in-dique l’isocentre de l’appareil

et le cercle vert le Field-of-View du scanner haute éner-gie. Les contours en rouge montrent le volume cible. Une partie du volume cible n’est pas couverte par le scan-ner haute énergie ce qui ne permet pas un contrôle exact de la position. Pourquoi?Lors de l’élaboration du plan de traitement, le laser qui défi -nit l’isocentre (laser vert, fi xe) a été placé trop haut sur la face ventrale ce qui oblige la table à se déplacer en position très basse à travers le por-tique. Cela ne pose aucun pro-blème pour l’application du traitement, mais ce n’est pas le cas pour l’imagerie car le Field-of-View ne dépasse par un diamètre de 40 cm autour de l’isocentre de l’appareil.

Aus der Praxis In Abb. 10 zeigt der grüne La-ser das Geräteisozentrum und der grüne Kreis das Field-of-View des MV-CTs. Die roten Kon-turen zeigen das Zielvolumen.Ein Teil des Zielvolumens wird vom MV-CT nicht erfasst, so dass eine exakte Lagekontrolle nicht möglich ist.Warum?Bei der Bestrahlungsplaner-stellung wurde der Isozen-trumslaser (grüner, fester La-ser) weit ventral festgelegt, so dass der Tisch sehr tief durch die Gantryöffnung fährt, für die Applizierung der Bestrah-lung ist das kein Problem, für die Bildgebung schon, da das Field-of-View 40 cm Durch-messer um das Geräteisozen-trum beträgt. AbhilfeMan könnte den Tisch vor dem MV-CT um einen defi nierten Wert anheben, um das kom-plette Zielvolumen abzubilden, was aber immer zu kräftigen vertikalen Korrekturen führt. Des Weiteren ist das manuelle Verändern der Setup-Position eine potenzielle Fehlerquelle.Man kann bzw. sollte den Plan so modifi zieren, dass das Geräteisozentrum näher am Isozentrum des Plans liegt – also die Ausgangslage des Pa-tienten vor dem CT direkt ver-tikal «höher», also näher am Geräteisozentrum eingestellt wird – siehe Abb. 11.

QualitätssicherungFür die Tomotherapie ist wie für jedes Bestrahlungsgerät eine umfangreiche Qualitäts-sicherung vorgeschrieben, die von Mitarbeitern aus der Me-dizinphysik durchgeführt wird. Es werden täglich vor Freigabe der Maschine für die Therapie verschiedene Tests durchge-führt. Nach dem Einschalten der Maschine wird sie aufge-wärmt. Ist die Betriebstempe-ratur erreicht, werden immer gleiche Prozeduren abge-strahlt und die entspre-chenden Soll-Ist-Werte verg-lichen. Beispielsweise muss (bei unserer Maschine) der

Output im Therapiebetrieb bei 878 MU pro Minute liegen, ist die Abweichung grösser als er-laubt, muss nachgeregelt wer-den. Grenzwerte sind von Ac-curay festgelegt. Die systemeigene Software TQA (Tomotherapy Quality As-surance) unterstützt die Phy-siker dabei.Täglich werden auch die be-weglichen roten Laser über-prüft, ob die Nullposition ge-funden wird, und ob die Verschiebungen korrekt aus-geführt werden.Ebenso wird ein Air-Scan ge-fahren, das ist ein Leer-CT (nichts im Field-of-View). Dies dient dazu, den Bilddetektor zu kalibrieren – die HU-Werte für die Luft werden neu ermit-telt und automatisch ausge-glichen (Temperatur- und Luftdruckschwankungen be-einfl ussen diese).Während des Betriebs der Ma-schine (CT-Scan und Therapie) überwacht das Gerät sich selbst mit vielfältigen Sen-soren. Es wird nicht nur der Output gemessen, auch die Temperatur und die Fliessge-schwindigkeiten der Kühlfl üs-sigkeiten (Zufl uss und Ab-fl usstemperatur) und noch viele weitere Maschinenpara-meter. Die Verbindung der Ma-schine zum Server wird stän-dig benötigt und überwacht.Sehr wichtig für die Therapie ist, dass immer die Position der Gantry und des Tisches be-kannt und korrekt sind. Diese Positionen werden auch mitge-schrieben und angezeigt. Glei-ches gilt für die Blendenöff-nung bei dynamischen Feldern.Diese maschineninterne Über-wachung wird dann wiederum von den Medizinphysikern re-gelmässig auf korrekte Funkti-onsweise geprüft. Beispiels-weise werden wöchentlich die Messkammern für die Output-überprüfung mit geeichten Dosimetern gegengemessen. Die Bestrahlungspläne werden vor Therapiebeginn verifi ziert. Hierfür wird ein Dosimetrie-plan erstellt, bei dem das Pati-enten-CT durch das CT des

Une séance de tomothérapie en quelques mots-clés1. Set up du patient = positionnement du patient • sélectionner les données relatives au patient sur l’interface dédié • positionner le patient comme prévu sur le scanner de planifi cation 2. Contrôle de la position au moyen du scanner haute énergie (en option

mais recommandé) • sélectionner la longueur et l’épaisseur des coupes du scanner documen-

tation des UM du scanner (n’est pas enregistré par le système) 3. Enregistrement • recalage entre les valeurs de consigne c’est-à-dire les images du

scanner haute énergie et les valeurs réelles du scanner de planifi cation. • le calcul de correction de la position du patient est affi ché. 4. Correction du défaut de positionnement • les directions de translation et de rotation sont effectuées directe-

ment par l’ordinateur sitôt qu’elles ont été confi rmées • contrôle et documentation de la position de set up et de la position

de départ5. Début de la séance de traitement • contrôle du déplacement de la table et de la rotation du portique • documentation des MU délivrées

Eine Tomotherapie-Fraktion in Stichworten1. Patienten-Setup = Lagern des Patienten • Aufrufen des Patientendatensatzes in der Eingabemaske • Lagern analog des Planungs-CTs2. Lagerungskontrolle mittels MV-CT (optional aber empfohlen) • CT-Range und Schichtdicke festlegen • Dokumentation der MUs vom CT (wird vom System nicht aufgezeichnet) 3. Registration • Match des «Ist», also das aktuell aufgenommene MV-CT, mit dem

«Soll», also dem Planungs-CT • Die errechnete Korrektur der Patientenposition wird angezeigt. 4. Korrektur der Positionierung • die Translationsrichtungen und das Roll werden vom Computersy-

stem nach Bestätigung selbsttätig angefahren • Kontrolle und Dokumentation der Setup-Position und der Startposition5. Start der Therapiesitzung • Kontrolle des Tischvorschubs und der Gantryrotation • Dokumentation der abgestrahlten MUs.

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ASTRM actuel 02 / 2016 article spécialisé | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Fachbericht 29

Comment y remédierOn pourrait effectuer un re-haussement d’une valeur défi -nie de la table avant le scanner afi n de visualiser l’entier du vo-lume cible, ce qui amène cepen-dant toujours d’importantes corrections verticales. De plus, la modifi cation manuelle de la position de setup représente une source potentielle d’erreur.On peut, resp. on devrait modi-fi er le plan de manière à ce que l’isocentre de l’appareil se trouve plus près de l’isocentre du plan– de sorte que la posi-tion de départ du patient avant le scanner soit directement plus «haute», donc plus près de l’isocentre de l’appareil – voir Fig. 11.

Contrôle d’assurance qualitéLes appareils de tomothérapie sont soumis à d’importants contrôles d’assurance qualité tout comme les autres appareils de radiothérapie, ce sont les collaborateurs de physique mé-dicale qui les effectuent. Divers tests sont réalisés quoti-diennement avant de pouvoir utiliser la machine pour les trai-tements. Après avoir mis la ma-chine en marche, on la fait chauffer. Lorsqu’elle a atteint sa température de fonctionne-ment, on effectue toujours les mêmes protocoles de validation et l’on compare les valeurs de consigne aux valeurs réelles correspondantes. Par exemple (pour notre appareil) la dose délivrée en mode thérapeutique doit atteindre 878 UM par mi-nute, si l’écart est supérieur à la norme autorisée, il faut pro-céder à des réglages. Les valeurs limites sont défi nies par Accuray. Le logiciel TQA (Tomo-therapy Quality Assurance), propre au système, est destiné à aider les physiciens. Les lasers mobiles rouges sont également vérifi és quotidiennement afi n de savoir si la position zéro est détectée et si les déplacements sont effectués correctement.On effectue également un «air scan», c’est-à-dire un scanner «vide» (sans rien dans le Field-of-View). Cela permet de cali-

brer le détecteur d’images – les valeurs d’UH pour l’air sont re-défi nies et adaptées automati-quement (les variations de température et de pression at-mosphérique les infl uencent).Durant la période d’activité de la machine (scanner et traitement), l’appareil reste sous autocontrôle grâce à de multiples capteurs. Il ne cal-cule pas seulement la dose délivrée mais également la température et la vitesse de fl ux des liquides de refroidis-sement (température d’entrée et de sortie) ainsi que bien d’autres paramètres de l’appa-reil. La connexion entre la ma-chine et le serveur est nécessaire et surveillée en permanence. Pour le traitement il est très important que la position de la table et du portique soient toujours corrects. Ces posi-tions sont également notées et affi chées. Cela vaut également pour la collimation des champs dynamiques.Le fonctionnement correct de cette surveillance interne de l’appareil est également contrô-lé par les physiciens médicaux. Par exemple des contre-me-sures de la dose délivrée sont effectuées chaque semaine à l’aide d’un dosimètre étalonné. Les plans d’irradiation sont vé-rifi és avant le début du traite-ment. Pour ce faire, on crée un plan de dosimétrie en rempla-çant le plan du patient par ce-lui d’un fantôme de mesures (p.ex. Octavius Array). Toutes les valeurs du plan du patient sont transférées 1:1 dans cet ensemble de données et l’on calcule la répartition de dose attendue dans le fantôme. Ensuite on irradie le fantôme de mesures selon le plan et l’on mesure les valeurs récol-tées. Si les valeurs de consigne correspondent aux valeurs effectives et se trouvent dans des limites cliniquement ac-ceptables, le plan est validé pour le traitement du patient.

Première publication dans MTA Dialog 9/2015

Messphantoms (z.B. Octavius mit Array) ersetzt wird. Es werden alle Werte, die der Pa-tientenplan beinhaltet, 1:1 in diesen Datensatz übertragen und die erwartete Dosisvertei-lung im Phantom errechnet. Danach wird der Dosimetrie-plan auf das Messphantom abgestrahlt und die Dosis-werte gemessen. Wenn die Werte für Soll und Ist inner-halb klinisch akzeptabler Grenzen übereinstimmen, wird der Patientenplan für die The-rapie freigegeben.

Erstabdruck in MTA Dialog 9/2015

Explication des termesDistance source axe = distance de la source de rayonnement à l‘isocentre = axe de rotation de l‘appareil Volume cible = volume à irradierOrganes à risque = Organs at Risk (OAR) = tissus environnants, resp. or-ganes, que l‘on ne doit pas irradier ou uniquement jusqu‘à la dose prescrite Linac = Linear accelerator = accélérateur linéaire; appareil permettant de générer des rayons X de haute énergieRadiothérapie guidée par l‘image = IGRT = Image guided radiotherapy – un contrôle est effectué grâce à un scanner et les corrections du positi-onnement peuvent ainsi être effectuées avant le traitement. Appareil à bras isocentrique en arc de cercle– forme classique d‘accélérateur de particules, bras rotatif en forme de C avec d‘un côté le Linac et de l‘autre un contrepoids Beamstopper = capteur de rayons X (ici un bloc de métal courbé en métal absorbant les rayons X)Claustrophobie = peur des espaces confi nés PME = physicien médical expertIMRT= intensity modulated radiotherapy – radiothérapie à intensité mo-dulée; il est possible de calculer différentes prescriptions de dose dans un seul plan de traitement (p.ex. fonction boost intégrée, préservation v. OAR)

BegriffserklärungenFocus-Achs-Abstand = FAA = SAD = Abstand von der Strahlenquelle zum Isozentrum = Drehachse des Gerätes Zielvolumen = das zu bestrahlende VolumenRisikoorgan = Organs at Risk (OAR) = umliegendes Gewebe bzw. Organe, die nicht oder nur bis zu einer verordneten Dosis mitbestrahlt werden dürfenLinac = Linear accelerator = Linearbeschleuniger; Gerät zur Erzeugung hochenergetischer RöntgenstrahlenBildgeführte Strahlentherapie = IGRT = Image guided radiotherapy – Es wird eine Lagerungskontrolle mittels Bildgebung durchgeführt und die detektierten Lagekorrekturen online, also vor der Bestrahlung, ausgeführt. C-Bogen-Bauweise – Bauform klassischer Therapiebeschleuniger: dreh-bare Gantry in C-Form eine Seite mit Linac, andere Seite mit GegengewichtBeamstopper = Strahlenfänger (hier ein gebogener Block aus strahlab-sorbierendem Metall)Klaustrophobie = Angst vor engen Räumen MPE = MedizinphysikexperteIMRT= intensity modulated radiotherapy – Intensitätsmodulierte Strahlen-therapie; unterschiedliche Dosisverschreibungen können in einem Bestrah -lungsplan berechnet werden (z.B. integrierter Boost, Schonung v. OAR)

Contact/Kontakt:Yvonne BenteleMTRA StrahlenklinikUniversitätsklinikum EssenAbt. für Strahlentherapie

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ASTRM actuel 02 / 2016 série | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Serie30

GrundausbildungDie Ausbildung zur Fachper-son für medizinisch-tech-nische Radiologie MTRA fi ndet in Italien auf Hochschulstufe statt. Sie dauert drei Jahre und führt zum «Diplom Radiolo-gietechnik für bildgebende Verfahren und Radiotherapie». Dieser Abschluss qualifi ziert zum Einsatz in allen Bereichen der medizinischen Radiologie, d.h.:� Traditionelle Radiologie� CT� MRI� Interventionelle Radiologie� Strahlentherapie� Medizinische Physik� Nuklearmedizin� Ultraschall (noch nicht in

allen Zentren, wobei Fach-leute für MTRA standardi-

Formazione di baseLa formazione del Tecnico sa-nitario in Radiologia Medica (TSRM) in Italia, si inserisce nel contesto degli studi di tipo universitario. Questi corsi, del-la durata di tre anni, conferi-scono una laurea, con il titolo di dottore in Tecniche di radio-logia medica per immagini e radioterapia. Il titolo universi-tario permette al TSRM di la-vorare in qualsiasi ambito del-la radiologia medica, quindi:� Radiologia tradizionale� CT� MRI� Interventistica� Radioterapia� Medicina Nucleare� Fisica sanitaria� Ecografi a (non ancora in

tutti i centri, ma il TSRM può eseguire ecografi e standardizzate che com-portano misurazioni)

� Amministratore di sistema per immagini digitali (PACS)

Post formazionePer quanto concerne le possibili-tà di ulteriori opportunità forma-tive post laurea, esistono le se-guenti opzioni:1. Laurea specialistica di due an-

ni (»magistrale”): questa laurea ha un indirizzo di tipo mana-geriale ed abilita il TSRM a par-tecipare a concorsi di dirigenza aziendale. Questo diploma consente anche al TSRM di ac-cedere ai Master di 2° livello.

Mit diesem Interview möchte die Redaktionskommis-sion eine neue Reihe starten, um das berufl iche Umfeld in den Nachbarländern der Schweiz auf-zuzeigen. Den Anfang macht Sonia Cuman, EFRS- Delegierte für die italienischen Kollegen der Federa-zione nazionale dei Collegi Professionali dei Tecnici Sanitari di Radiologia Medica.

Con questa intervista l’intenzione della commissione di redazione è quella di creare un ciclo informativo che consenta una rappresentazione delle realtà professionali nei paesi confi nanti con la Svizzera. La prima intervista è stata realizzata in collaborazione con Sonia Cuman, dele gata EFRS per la Federazione Nazionale dei Collegi Profes-sionali dei Tecnici Sanitari di Radiologia Medica (Italia).

Nuova serie: il nostro mestiere all’estero Neue Serie: Unser Beruf im AuslandErmidio Rezzonico

sierte Ultraschall-Messun-gen vornehmen können)

� Systembetreuer Digitale Bild gebung PACS

WeiterbildungNach dem obigen Abschluss können folgende Nachdiplom-Programme absolviert werden: 1. Der zweijährige Magister-

lehrgang mit Schwerpunkt Management befähigt zur Teilnahme an Stellenaus schrei- bungen für leitende Funkti-onen. Zudem eröffnet er die Teilnahme am Masterstu-diengang.

2. Bachelor und Master: der Bachelor mit folgenden Stu-dienrichtungen ist allen Fachleuten für MTRA mit 3jährigem Diplom zugäng-lich:

a. Mammographie b. Interventionelle Radiolo-

gie c. MRI d. Systemadministration e. Koordination Gesundheits-

berufe

In Italien erhöht ein Nachdi-plom zwar das Prestige und erweitert die fachliche Qualifi -kation, es ist jedoch keine Zugangsvoraussetzung für die verschiedenen Einsatzberei-che. Von Anwärtern auf Orga-nisationsfunktionen wird hin-gegen schwerpunktmässig die Koordinationskompetenz ver-langt (Koordinator, Abtei-

2. Master di 1° e 2° livello: i Master di 1° livello sono aperti a tutti i TSRM con laurea triennale, ed attualmente esistono of-ferte negli ambiti di:

a. Mammografi a b. Radiologia interventistica c. MRI d. Amministratore di sistema e. Coordinatore delle profes-sioni sanitariePossedere un Master post lau-rea al momento in Italia au-menta unicamente il prestigio ed il profi lo di competenze del TSRM, ma non rappresenta una condizione necessaria per lavo-rare nei differenti ambiti. È in-vece obbligatorio il Master in coordinamento per accedere a funzioni di tipo organizzativo (coordinatore – capo reparto): ciò vale non solo per i TSRM, ma

Sanitari di Radiologia Medica. sionali dei Tecnici Sanitari di Radiologia Medica (Italia).

Sonia Cuman, EFRS-Delegierte

Sonia Cuman, delegata EFRS

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ASTRM actuel 02 / 2016 série | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Serie 31

lungsleitung); das gilt nicht nur im Bereich der MTRA, son-dern beispielsweise auch für Pfl ege und Physiotherapie. Der Masterlehrgang ist hinge-gen nur mit erfolgreichem Magisterstudium zugänglich.

Berufsprofi l Für die Fachleute für MTRA steht der Patient mit seinen diagnostischen und therapeu-tischen Bedürfnissen im Mit-telpunkt. Die Arbeit wird durch einen Facharzt (Radiologie) koordiniert. Die Fachperson ar-beitet selbstständig aufgrund der Anweisungen durch den zuständigen Arzt. Es ist ihr momentan nicht erlaubt, Kon-trastmittel per os oder endo-venös zu verabreichen. Die Beziehungen zwischen den Fach leuten werden massge-blich vom jeweiligen Ar-beitsumfeld geprägt.

Wenn die zwischenmensch-liche Ebene gut funktioniert, ist auch unter stark multidiszi-plinären Belegschaften ein Um-gang auf Augenhöhe möglich.

Bei komplexeren Zusammen-hängen spielen Hierarchien weiterhin eine spürbare Rolle, so im Universitätsbereich oder in den grossen Krankenhäu-sern, wo es eher zu einer kla-ren Abgrenzung zwischen den Ärzten und dem nichtärzt-lichen Fachpersonal kommt.

Herausforderungen der Zukunft Meines Erachtens werden wir vor allem in

folgenden Bereichen besonders gefordert sein: 1. Reibungen mit anderen Ge-

sundheitsberufen: «Revier-kämpfe» können z.B. mit Praxi-sangestellten auftreten; wenn Fachleute für MTRA Venen-punktionen vornehmen, fürch-ten diese um ihre angestammte Domäne. Die Angst, MTRA würden sie hier ersetzen wol-len, ist jedoch völlig unbegrün-det.

2. Passivität oder gar persön-licher Widerstand gegen Veränderungen: Oft sträu-ben sich Fachleute für MTRA selbst gegen Entwicklungen und Neuerungen in ihrem Berufsalltag.

3. Ärztelobby: in Italien ge-niessen Ärzte – namentlich Radiologen – ein enormes Ansehen, das sie mächtig und schier unantastbar macht. Sie sind politisch be-stens vernetzt und sind u.a. als Berater des Gesund-heitsministeriums tätig. Das heisst, dass jedes neue Ge-setz, jede Gesetzesreform – zumal zu unseren Gunsten – nur mit Unterstützung der Ärzteschaft verabschiedet werden kann.

Arbeitsmarkt und EntlöhnungGegenwärtig ist der italie-nische Markt für Fachleute für MTRA fast gänzlich gesät-tigt, zudem hat die Wirt-schaftskrise zu einem Be-schäftigungsstopp geführt. Zahlreiche Kollegen sind ar-beitslos und oft werden al-

anche per gli infermieri o i fi -sioterapisti ad esempio.I Master di 2° livello sono invece accessibili unicamente ai TSRM con laurea magistrale.

Profi lo dell’attivitàL’attività del TSRM ruota nella maggior parte dei casi intorno al paziente ed alle sue necessi-tà diagnostiche e terapeuti-che. Le sue mansioni vengono svolte sotto il coordinamento di un medico specialista (ra-diologo), che ne defi nisce le relative autonomie con le op-portune deleghe e disposizio-ni. Al TSRM non è attualmente permesso somministrare mez-zo di contrasto per os o per via endovenosa. I rapporti tra i professionisti sono stretta-mente infl uenzati dalla realtà lavorativa in cui si trovano.

Laddove il contesto lavorativo favorisce anche una buona qualità di relazione interper-sonale è più facile che la mul-tidisciplinarietà del personale preveda un comportamento alla pari tra professionisti.

In realtà più complesse, specie quelle universitarie o dei gran-di ospedali, è più facile assiste-re ad una affermazione del proprio status di medico ri-spetto al personale non medi-co in generale, secondo un or-dine gerarchico stabilito.

Le future sfi de principaliA mio parere esistono tre am-biti principali:1. Attriti creati da altri profes-

sionisti che temono di vede-re invaso il loro campo di azione. Per esempio gli in-fermieri temono che eseguendo la posa del-le vie venose, il TSRM possa sostituirli in ambulatori medici: niente di più falso.

2. La passività o la resi-stenza attiva del pro-fessionista. Spesso so-no infatti gli stessi TSRM ad essere restii ai cambiamenti nel loro quotidiano.

3. Lobby medica: troppo a lun-go in Italia la lobby dei me-dici e, nel nostro caso, dei medici radiologi, è stata troppo sopravvalutata, e ciò la rende intoccabile e po-tente. Qualsiasi legge in Ita-lia anche a nostro favore, deve avere il loro benestare poiché rivestono anche in-carichi politici importanti come consulenti nel Mini-stero.

Mercato del lavoro e contesto salarialeAl momento il mercato dei TSRM è quasi saturo. La crisi che ha coinvolto l’Italia ha purtroppo bloccato anche le assunzioni. Esistono numerosi TSRM disoccupati, persino i TSRM che vanno in pensione ,spesso non sono rimpiazzati. Numerosi i colleghi che intra-prendono le loro carriere pro-fessionali all’estero.In Italia I TSRM che lavorano in enti pubblici, sono soggetti ad un Contratto Nazionale del lavoro, quindi in linea di mas-sima questi professionisti do-vrebbero guadagnare più o meno uguale. Esiste però la possibilità di rivedere (a livello locale, e tramite i diversi sin-dacati), i vari benefi t aggiun-tivi, o la possibilità di passaggi di livello, oppure le retribuzio-ni di straordinari, o le quote orarie spettanti per le reperibi-lità per esempio. Tutto ciò contribuisce ad un aumento del salario per il professionista ma solo grazie a queste con-trattazioni locali. Capita quin-di che le discrepanze tra lavo-ratori nel pubblico , con le stesse funzioni, siano molto ampie.

Meines Erachtens werden wir vor allem in

beitslos und oft werden al-1. Attriti creati da altri profes-sionisti che temono di vede-re invaso il loro campo di azione. Per esempio gli in-fermieri temono che eseguendo la posa del-le vie venose, il TSRM possa sostituirli in ambulatori medici:

2. La passività o la resi-stenza attiva del pro-fessionista. Spesso so-no infatti gli stessi TSRM ad essere restii ai cambiamenti nel loro

trattazioni locali. Capita quin-di che le discrepanze tra lavo-ratori nel pubblico , con le stesse funzioni, siano molto ampie.

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ASTRM actuel 02 / 2016 série | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Serie32

tersbedingte Austritte nicht ersetzt. Eine beträchtliche Zahl von Fachleuten für MTRA fi nden im Ausland einen Job.In Italien gelten für Fachleute für MTRA im öffentlichen Dienst die Tarifl öhne des Ge-sundheitswesens. Auf lokaler Ebene sind jedoch Salär an-passungen mittels Benefi ts, ausserordentlichen Lohnbe-standteilen, Lohnmobilität, Entschädigungen für Über-stunden oder Pikettdienst etc. möglich. Dadurch kann der Verdienst zwar aufgebessert werden, jedoch nur durch di-rekte Verhandlungen mit den jeweiligen Sozialpartnern vor Ort. So entstehen teilweise beträchtliche Lohnunterschie-de zwischen den Angestellten in staatlichen und privaten Einrichtungen. Der private Gesundheitssektor wird durch eigene Arbeitsverträ-ge geregelt, d.h. die Bedin-gungen können zwischen Ar-beitgeber und Arbeitnehmer frei verhandelt werden. Natürlich sind auch in Italien die Fachleute MTRA mit ihrem Gehalt unzu-frieden und fühlen sich unterbe-zahlt; die Kaufkraft ist tief. Der nationale Arbeitsvertrag wurde zuletzt vor sieben Jah-ren einer Revision unterzogen, die damit verbundenen wirt-schaftlichen Einbussen liegen auf der Hand.

FachverbändeIn Italien ist die Eintragung in ein Berufsregister obligato-risch. Diese Voraussetzung zur Arbeitsausübung schützt so-wohl die einzelnen Fachleute für MTRA als auch die Bevöl-kerung im Allgemeinen und die Patienten im Speziellen. Jede Provinz verfügt in der Regel über eine eigene Berufsvereini-gung. Kleinere Provinzen schlies-sen sich zunehmend zu einer

gemeinsamen Organisation zu-sammen. So existiert neben dem «Collegio provinciale» von Varese auch die provinzübergreifende Berufsvereinigung für Mailand, Lodi, Sondrio, Monza Brianza, und Como.Gegenwärtig gibt es 64 Pro-vinzvereinigungen, mit jeweils siebenköpfi gem Vorstand und 4 Rechnungs prüfern. Jeder Vor-stand ernennt einen Präsidenten, einen Vizepräsidenten, einen Ak-tuar und einen Kassier. Alle sind dem Landesverband «Federazione Nazionale dei TSRM» mit Sitz in Rom ange-schlossen. Der Landesvorstand besteht aus sieben Mitgliedern und vier Rechnungsprüfern und wird alle drei Jahre durch die Präsidenten der Provinz-vereinigungen gewählt.Der Landesverband ernennt sei-nerseits einen Präsiden ten, Vi-zepräsidenten, Aktuar, Kassier und mehrere Beisitzer. Alle Fachleute für MTRA, die ei-ner Berufsvereinigungen ange-hören, sind in den Landesvor-stand wählbar. Heute zählt die Federazione nazionale dei TSRM 27 854 Mitglieder.Amtierender Vorsitzender des italienischen Landesverbandes MTRA ist Alessandro Beux.

Weitere Informationen im Internet unter: www.tsrm.org.

Kontakt:Ermidio RezzonicoChef-MTRA, Klinik für diagno-stische und interventionelle Radiologie und NeuroradiologieRegionalspital Lugano [email protected]

Anche la Federazione identi-fi ca un presidente, un vicepre-sidente, un segretario, un te-soriere e dei consiglieri.Tutti i TSRM iscritti agli Albi sono eleggibili, ed i TSRM at-tualmente iscritti sono 27 854.Al momento il presidente della Federazione Italiana è Ales-sandro Beux.Esiste il sito web della Fede razione all’indirizzo: www.tsrm.org, dove reperire ulteriori informazioni.

Contatto/Kontakt:Ermidio RezzonicoTRM capo reparto,Servizio di radiologia e neuro-radiologia Diagnostica ed interventistica Ospedale Regionale di [email protected]

Esiste poi il mondo della sanità privata, basata su un altro contratto di lavoro, altre con-dizioni, che possono però es-sere riviste e contrattate tra dipendente e datore di lavoro.Ovviamente nessun TSRM è contento del proprio salario, il professionista si sente sotto-pagato, ed il potere di acquisto di ciascuno è molto basso.Il contratto nazionale di lavoro non è stato rivisto da 7 anni almeno, con le conseguenze economiche che si possono immaginare.

Associazione professionaleIn Italia tutti i TSRM per poter lavorare, devono essere iscritti ad un albo professionale. Ciò è una garanzia sia per il TSRM, che per la comunità.La sottoscrizione all’Albo av-viene attraverso l’iscrizione ad un Collegio Professionale di TSRM. Ogni provincia in gene-re ha un collegio provinciale. Laddove le provincie abbiano un territorio geografi co limi-tato, si assiste all’aggregazio-ne di più provincie in un unico collegio. Esiste così il collegio provinciale di Varese per es come però esiste il collegio multiprovinciale che riunisce Milano, Lodi, Sondrio, Monza Brianza, Como.I collegi provinciali in Italia so-no in tutto 64, ciascuno ha un consiglio direttivo con 7 con-siglieri e 4 revisori dei conti. Al loro interno sono nominati il presidente, il vicepresidente, il segretario ed il tesoriere.Tutti i collegi fanno capo alla Federazione Nazionale dei TSRM con sede a Roma.Il Comitato centrale della Fe-derazione (7 membri) così co-me i revisori dei conti (4) , so-no eletti ogni tre anni dai presidenti dei collegi provin-ciali.

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35 ASTRM actuel 02 / 2016 agenda / impressum | SVMTRA aktuell 02 / 2016 Agenda / Impressum

HerausgeberinSVMTRA Schweizerische Vereinigung der Fachleute für medizinisch-technische Radiologie, SurseeInserateverwaltung / Administration SVMTRA: Stadthof, Bahnhofstrasse 7b, 6210 Sursee, Telefon: 041 926 07 77, Fax: 041 241 10 32, E-Mail: [email protected]/Layout: WALKER Management AG, Media- Abteilung, Hirschmattstrasse 36, 6003 LuzernTelefon: 041 248 70 11, Fax: 041 241 10 32E-Mail: [email protected]

RedaktionskommissionErmidio Rezzonico (Leitung), Eleonore Butt, Max Hess, Judith Zuberbühler, Géraldine Stadelmann, Marlise Hofmann Stricker

ErscheinungFachzeitschrift: 6-mal jährlich, jeweils am 25. eines geraden MonatsKurs- / Stellenanzeiger: 6-mal jährlich, jeweils am 25. eines ungeraden Monats

Aufl age2400 Exemplare

Annahmeschluss InserateFachzeitschrift: 1 Monat vor ErscheinungKurs- / Stellenanzeiger: 20 Tage vor Erscheinung

Insertionspreise (exkl. MwSt.)Format Geschäftsinserate (4f) Stelleninserate (s/w)4. UG Fr. 2500.– –2./3. UG Fr. 2000.– – 1⁄1 Fr. 1800.– Fr. 1200.–½ Fr. 1000.– Fr. 660.–¼ Fr. 600.– Fr. 400.–

Druck und VersandMulticolor Print AG, Sihlbruggstrasse 105a, 6341 Baar

CopyrightDie Rechte des Herausgebers und der Autoren bleiben vor-behalten. Eine allfällige Weiterverarbeitung, Wiederveröf-fentlichung oder Vervielfältigung zu gewerblichen Zwecken ohne vorherige ausdrückliche Zustimmung der Autoren-schaft oder des Herausgebers ist nicht gestattet.

EditriceASTRM Association suisse des techniciens en radiologie médicale, SurseeRégie des annonces / administration ASTRM: Stadthof, Bahnhofstrasse 7b, 6210 Sursee, Téléphone: 041 926 07 77, Fax: 041 241 10 32, courriel: [email protected]édaction/mise en page: WALKER Management AG, Media- Abteilung, Hirschmattstrasse 36, 6003 LuzernTéléphone: 041 926 07 77, Fax: 041 241 10 32courriel: [email protected]

Commission de rédactionErmidio Rezzonico (direction), Eleonore Butt, Max Hess, Judith Zuberbühler, Géraldine Stadelmann, Marlise Hofmann Stricker

Publicationjournal professionnel: 6 fois par année, généralement, le 25e d’un mois impairCours / Service d’emploi: 6 fois par année, généralement , le 25e d’un mois pair

Tirage2400 exemplaires

Délai de redaction (annonces)Journal professionnel: 1 mois avant publicationCours / Service d’emploi: 20 jours avant publication

Prix des annonces (TVA excl.)format annonces d’entreprises (4c) offres d’emploi (n/b)4ème CV Fr. 2500.– –2/3ème CV Fr. 2000.– – 1⁄1 Fr. 1800.– Fr. 1200.–½ Fr. 1000.– Fr. 660.–¼ Fr. 600.– Fr. 400.–

Imprimerie et disributionMulticolor Print AG, Sihlbruggstrasse 105a, 6341 Baar

CopyrightLes droits de l’éditeur et des auteurs sont réservés. Il est interdit de modifi er, publier ou reproduire les contenus à des fi ns commerciales sans l’autorisation préalable expresse des auteurs ou de l’éditeur.

EditriceASTRM Associazione svizzera dei tecnici di radiologia medica, SurseeAnnunci pubblicitari / amministrazione ASTRM: Stadthof, Bahnhofstrasse 7b, 6210 Sursee, Telefono: 041 926 07 77, Fax: 041 241 10 32, e-mail: [email protected]/impaginazione: WALKER Management AG, Media- Abteilung, Hirschmattstrasse 36, 6003 Luzern Telefono: 041 248 70 11, Fax: 041 241 10 32e-Mail: [email protected]

Commissione di redazioneErmidio Rezzonico (responsabile), Eleonore Butt, Max Hess, Zuberbühler, Géraldine Stadelmann, Marlise Hofmann Stricker

PubblicazioneRivista: 6 volte all’anno, ogni 25 del mese nei mesi dispariCorsi / Ricerca posti di lavoro: 6 volte all’anno, ogni 25 del mese nei mesi pari

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Ultimo termine per gli annunciRivista: un mese prima della pubblicazione, Corsi / Ricerca posti di lavoro: 20 giorni prima della pubblicazione

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Stampa e distribuzioneMulticolor Print AG, Sihlbruggstrasse 105a, 6341 Baar

CopyrightI diritti dell'editore e degli autori sono riservati. È proibito modifi care, pubblicare o riprodurre i contenuti per dei fi ni commerciali senza l'autorizzazione esplicita degli autori o dell'editore.

impressum

agenda Toutes les dates sous www-astrm.ch/manifestations | Alle Termine unter www.svmtra.ch/veranstaltungen

date | Termin thème / lieu | Thema / Ort organisateur | Veranstalter

01.04. – 03.04.2016 CT-Multislicekurs EDUMED

06.04.2016 Nervensache, Zürich SVMTRA Sektion Ostschweiz

09.04.2016 Anatomie und Pathologie in der Schnittbilddiagnostik radiologie24

15.04. – 16.04.2016 Mammadiagnostik-Seminar, Modul II, Zürich Brust-Zentrum AG

21.04.2016 Abendfortbildung SVMTRA Sektion Innerschweiz

22.04. – 24.04.2016 MR-Basiskurs EDUMED

25.04. – 28.04.2016 Cours sur le dépistage organisé du cancer du sein par mammographie incluant la mammographie numérique ASTRM Section romande

30.04.2016 4. «Ab auf die Insel» Fortbildungstagung, Bern Inselspital

19.05. – 21.05.2016 Radiologiekongress 2016 / congrès de radiologie, Davos SVMTRA / ASTRM

26.05. – 27.05.2016 Formation continue certifi ante en radioprotection, module de base ASTRM Section romande

28.05.2016 Anatomie und Pathologie in der Schnittbilddiagnostik radiologie24

10.06.2016 Congrès annuel de la SIFEM ASTRM Section romande

Partner_partenairesDans l’agenda de «l’actuel», on retrouve seulement les manifestations soutenues par l’ASTRM ainsi que celles de partenaires dans le domaine de la formation continue qui remplissent les conditions concernant la différenciation des prix pour les membres/non-membres. Toutes les autres formations continues qui nous ont été signalées sont disponibles sous: www.svmtra.ch/agenda. In der Agenda des «aktuell» werden nur von der SVMTRA unterstützte Veranstal-tungen sowie solche von Fortbildungspartnern, welche die Bestimmungen zur Preis-differenzierung für Mitglieder/Nichtmitglieder erfüllen, aufgeführt. Alle weiteren uns gemeldeten Fortbildungen fi nden Sie unter www.svmtra.ch/agenda.

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