6
Aedes albopictus Aedes albopictus Moustique tigre. Nom binominal Aedes albopictus (Skuse, 1894) Synonymes Culex albopictus Skuse, 1894 (protonyme) Le moustique-tigre Aedes (Stegomyia) albopictus (ac- tuellement Stegomyia albopicta) est un insecte de la fa- mille des Culicidae, originaire d'Asie du sud-est. C'est l'une des cent espèces les plus invasives au monde [1] , étant actuellement présente dans 100 pays sur les cinq conti- nents. 1 Description de l'espèce Le moustique-tigre se reconnait par la présence d'une ligne longitudinale blanche en position centrale sur son thorax noir, visible à l'œil nu. Il doit son nom à ses rayures qu’il porte sur ses pattes et qu'il partage avec les espèces du même sous genre (Ste- gomyia). 2 Cycle biologique Ce moustique se développe majoritairement en zone urbaine. La femelle pond dans les eaux stagnantes et principalement [réf. nécessaire] dans les gîtes anthropiques, c'est-à-dire créés par l'homme, par exemple dans les vases, soucoupes de pots de fleurs, gouttières mal vidées, vieux pneus, récipients en fer ou en plastique abandon- nés, mais aussi dans les flaques d'eau après les fortes pluies [2] . Par des températures comprises entre 25 et 30°C, les femelles pondent en moyenne 74 œufs tous les 3-4 jours [réf. nécessaire] . La moitié des femelles vivent 29 jours à 25° et 32 jours à 30 °C [3] . 3 Comportement C'est une espèce agressive qui pique de jour avec un pic d'agressivité au lever du jour et un autre au cré- puscule. C'est la femelle, une fois fécondée qui pique les mammifères ou les oiseaux pour absorber du sang dans lequel elle trouvera les protéines nécessaires à sa progéniture. Ce n'est pas directement le sang bu sur la précédente victime qui infecte la suivante, mais la salive que le moustique-tigre injecte dans sa victime pour flui- difier le sang. 4 Expansion Aire de répartition du moustique-tigre, en 2007. Depuis il s’est également implanté dans plusieurs départements du sud de la France. Avec l'expansion des transports, l'aire de répartition [4] de ce moustique ne cesse de se modifier, avec des risques sa- nitaires préoccupants [5] , [6] . Depuis quelques décennies, il est en forte expansion à travers le monde, même en zone non-tropicale. Le transport ou le stockage de vieux pneus dans lesquels de l'eau stagne toujours (de par la forme du pneu) semble servir de véhicule principal. En Amérique, on pense que c'est de cette manière qu'il est parvenu à Houston aux États-Unis, d'où il a conquis une majeure partie du continent américain. Le réchauffement climatique pourrait être un facteur d'expansion vers les zones tempérées et plus en altitude. On cherche à comprendre les facteurs génétiques liés à cette possibilité [7] . 4.1 Asie Le moustique tigre est originaire de l'Asie du sud est. Il s’est étendu )à l'Afrique, aux Amériques, et à l'Europe dès les années 1979. Une fois passé un certain stade. Ses 1

Aedes Albopictus

  • Upload
    jack

  • View
    231

  • Download
    6

Embed Size (px)

DESCRIPTION

mosquito

Citation preview

Page 1: Aedes Albopictus

Aedes albopictus

Aedes albopictus

Moustique tigre.Nom binominalAedes albopictus(Skuse, 1894)

Synonymes

• Culex albopictus Skuse, 1894 (protonyme)

Le moustique-tigre Aedes (Stegomyia) albopictus (ac-tuellement Stegomyia albopicta) est un insecte de la fa-mille des Culicidae, originaire d'Asie du sud-est. C'estl'une des cent espèces les plus invasives au monde[1], étantactuellement présente dans 100 pays sur les cinq conti-nents.

1 Description de l'espèce

Le moustique-tigre se reconnait par la présence d'uneligne longitudinale blanche en position centrale sur sonthorax noir, visible à l'œil nu.Il doit son nom à ses rayures qu’il porte sur ses pattes etqu'il partage avec les espèces du même sous genre (Ste-gomyia).

2 Cycle biologique

Ce moustique se développe majoritairement en zoneurbaine. La femelle pond dans les eaux stagnantes etprincipalement[réf. nécessaire] dans les gîtes anthropiques,c'est-à-dire créés par l'homme, par exemple dans lesvases, soucoupes de pots de fleurs, gouttières mal vidées,vieux pneus, récipients en fer ou en plastique abandon-nés, mais aussi dans les flaques d'eau après les fortespluies[2]. Par des températures comprises entre 25 et30°C, les femelles pondent en moyenne 74 œufs tous les3-4 jours[réf. nécessaire].La moitié des femelles vivent 29 jours à 25° et 32 joursà 30 °C[3].

3 Comportement

C'est une espèce agressive qui pique de jour avec unpic d'agressivité au lever du jour et un autre au cré-puscule. C'est la femelle, une fois fécondée qui piqueles mammifères ou les oiseaux pour absorber du sangdans lequel elle trouvera les protéines nécessaires à saprogéniture. Ce n'est pas directement le sang bu sur laprécédente victime qui infecte la suivante, mais la saliveque le moustique-tigre injecte dans sa victime pour flui-difier le sang.

4 Expansion

Aire de répartition du moustique-tigre, en 2007. Depuis il s’estégalement implanté dans plusieurs départements du sud de laFrance.

Avec l'expansion des transports, l'aire de répartition[4] dece moustique ne cesse de se modifier, avec des risques sa-nitaires préoccupants[5],[6]. Depuis quelques décennies, ilest en forte expansion à travers le monde, même en zonenon-tropicale. Le transport ou le stockage de vieux pneusdans lesquels de l'eau stagne toujours (de par la forme dupneu) semble servir de véhicule principal. En Amérique,on pense que c'est de cette manière qu'il est parvenu àHouston aux États-Unis, d'où il a conquis une majeurepartie du continent américain.Le réchauffement climatique pourrait être un facteurd'expansion vers les zones tempérées et plus en altitude.On cherche à comprendre les facteurs génétiques liés àcette possibilité[7].

4.1 Asie

Le moustique tigre est originaire de l'Asie du sud est.Il s’est étendu )à l'Afrique, aux Amériques, et à l'Europedès les années 1979. Une fois passé un certain stade. Ses

1

Page 2: Aedes Albopictus

2 5 VECTEUR DE MALADIES

œufs sont résistants à l'absence d'eau.

4.2 Amériques

En Amérique continentale la première introduction s’estproduite aux États-Unis en 1985 et au Brésil dès 1986[8].Il a ensuite envahi le Mexique où il a été detecté en 1988,premier pays du continent infecté par le DEN-1 et leDEN-3. La route d'invasion est passée par l'Amériquecentrale, le Guatemala, le Honduras, El Salvador, leNicaragua et Panamá (Cuellar-Jiménez et al, 2007) etla mer Caraïbe aux îles Caimán, la Republique Domini-caine, Cuba et Trinidad y Tobago, et en Amérique du Sud, au Brésil il s’est propagé dans 20 des 27 États où deuxgenotipos sont présnets. En Colombie il a été signalé à :Leticia en 1998, Buenaventura en 2001, Cali en 2007 etla côte caraïbe colombienne essentiellement Barranquillaet Cartagena en 2014, et en Argentine en 1998 au nord de(Misiones), zone où il perdure, plus récemment (2009) àCaracas, Venezuela[9].

4.3 Europe

En Europe[10] : ce moustique est arrivé en Catalogne vers2005[11]. Depuis le début des années 1990, il est trèsprésent sur une grande partie de l'Italie où il a été dé-couvert pour la première fois à Gênes dans un dépôt devieux pneus importés[12],[13]. Il est particulièrement abon-dant en Romagne surtout dans les villes de la provincede Ravenne ainsi que dans la région de l'Abruzze et Mo-lise entre Vasto et Termoli. On le trouve également ponc-tuellement dans d'autres pays d'Europe méditerranéennecomme le Monténégro et la Croatie, à Malte[14],[15] et il aété repéré en Allemagne[16], en France et en Belgique en2000 et 2013 [17] et aux Pays-Bas en 2007[18], ou encoreen Albanie[19]. En novembre 2007, il a été repéré pourla première fois au nord des Alpes, dans le canton suissed'Argovie[20].

4.3.1 France métropolitaine

Après quelques tentatives d'installation sur des zonesde stockage de vieux pneus, d'où il avait été éradiqué,il a réussi depuis 2004[21],[22] à s’établir durablementsur la côte des Alpes-Maritimes et en 2006 en Haute-Corse, principalement dans la région de Bastia[23]. Enseptembre 2008, on peut le rencontrer dans le Var, signaléà Saint-Raphaël, Fréjus, Roquebrune-sur-Argens, Toulonet Hyères.Au printemps 2008, il semble également certain qu'ilait été identifié dans la région de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique). Le moustique-tigre est arrivé à Marseille en2010[24].Entre 2006 et 2012 il a colonisé la Corse, les Alpes-Maritimes, le Var, les Bouches-du-Rhône, le Vaucluse,

le Gard, l'Hérault. Il a aussi été détecté en Ardèche,dans l'Aude, les Pyrénées-Orientales, dans le Cantal (Au-vergne), à Marmande (Lot-et-Garonne) et continue deprogresser vers le Nord : il a même été détecté aux portesde Paris[25].Il a également été détecté en Charente-Maritime en2013[réf. souhaitée].En juillet 2014, cette espèce est désormais « implan-tée » dans 19 départements du sud de la France (Gi-ronde, Lot-et-Garonne, Tarn, Haute-Garonne, Pyrénées-Orientales, Aude, Hérault, Gard, Ardèche, Vaucluse,Isère[26], Rhône, Drôme, Bouches-du-Rhône, Var, Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Corse du Sud etHaute-Corse)[27] et en Loire-Atlantique . il a été détec-té en août 2014 en Vendée, et signalé en novembre de lamême année dans le Bas-Rhin.En 2015, le moustique tigre continue son avancée avec20 departements où il est présent et actif, ainsi que 17département où sa présence est ponctuelle[28].Le département de la Savoie, surveillé depuis 2009 a étéclassé au niveau 1 du plan national, il est donc considérécomme implanté et actif dans ce département[29].L'établissement public interdépartemental pour la dé-moustication (EID) est l'organisme public chargé de sasurveillance sur les grandes régions.

4.3.2 Autres pays européens

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ouincomplète. Votre aide est la bienvenue !

4.4 Zones tropicales

4.4.1 Départements français

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ouincomplète. Votre aide est la bienvenue !

5 Vecteur de maladies

5.1 Le Chikungunya

Seules les femelles sont porteuses du virus duchikungunya, car les mâles ne piquent pas. Les mous-tiques se contaminent en absorbant le sang d'un humainmalade. Le virus se multiplie alors dans les cellules del'insecte, en particulier son tube digestif, et finit paratteindre les glandes salivaires après une incubation de 2à 6 jours[30]. Le moustique peut alors contaminer d'autrespersonnes. Des tests contrôlés réalisés à la Réunion ontmontré que si ce moustique est capable de se nourrir

Page 3: Aedes Albopictus

6.1 Cartographie de l'invasion 3

sur de nombreuses espèces (caméléon, poule, rat, chien,chèvre...), l'Homme est choisi dans 70 à 90 % des casdès lors que le moustique a le choix[31].En 2005, une épidémie de chikungunya frappe l'Ile dela Réunion, épidémie durant laquelle le moustique tigres’avère être le principal vecteur de la maladie au détrimentd'Aedes aegypti.Article détaillé : Épidémie de chikungunya à La Réunion.

Une souche particulière du virus du Chikungunya nom-mée E1-226V, apparue après l'épidémie de 2005 se mul-tiplie plus rapidement chez les femelles infectées, ce quiaugmente encore les risques de transmission[32].En juillet 2007, il a été reconnu responsable de la trans-mission du chikungunya en Italie (plusieurs dizaines decas dans la province de Ravenne)[33], ce qui est le pre-mier cas de transmission connue en Europe. Pendant l'été2010, des cas autochtones de dengue et de chikungunyaont été signalés dans les Alpes-Maritimes et le Var.Depuis novembre 2013, une épidémie de Chikungunyasévit dans les Antilles (Petites et Grandes Antilles), laGuyane Française et quelques foyers en Amérique duSud. Au vu de la répartition du moustique Aedès sur le dé-partement américain, il existe une surveillance épidémio-logique active des malades en région tropicale antillaiseet aux États-Unis.Depuis octobre 2014, une épidémie de chikungunya serépand en Polynésie Française, plus de 40 000 cas recen-sés en décembre 2014, dont 95% sur les îles de Tahiti etMoorea. Le chikungunya était absent de Polynésie où sé-vit également et pendant la même période une épidémiede dengue.

5.2 La dengue

La dengue est une maladie transmise par le moustiquetigre[34].En France, deux cas de transmission autochtone dedengue ont été recensés à Nice en 2010, et dans le Varen août 2014[35].

5.3 Autres maladies en zone tropicale

En zone tropicale, cet insecte peut inoculer une trentainede virus, propageant notamment l'encéphalite de SaintLouis

6 Lutte

En France, ces moustiques se retrouvent surtout en milieuurbain, dans les zones habitées, parce qu'ils y trouventde la nourriture pour leurs œufs (en piquant), des eaux

stagnantes pour pondre ainsi que des abris à l’ombre desarbres[36].

6.1 Cartographie de l'invasion

Le Centre national d'expertise sur les vecteurs (CNEV),un laboratoire communautaire de référence, propose designaler toute présence de l'espèce en France sur un siteInternet officiel dédié, le Portail de signalement du mous-tique tigre[37].

6.2 Limiter la prolifération

La lutte anti-vectorielle (LAV) est un des moyens delutter collectivement contre le développement du mous-tique tigre. Elle consiste à supprimer les gîtes larvaires àl'intérieur et à l'extérieur de son habitation ou à faire ef-fectuer, par des professionnels, une lutte contre les mous-tiques adultes (traitement par un insecticide chimique oubiologique)[38].

6.2.1 Larves de moustiques

Le moustique tigre ne se déplace généralement que surune centaine de mètres maximum. Dès lors, si une per-sonnes se fait piquer à son domicile ou dans son jardin, ily a de fortes chances qu'il soit né à proximité[36].Les principales recommandations pour diminuer lenombre de larves de moustiques sont de[36] :

• supprimer les endroits où l’eau peut stagner : petitsdétritus, encombrants, bâches plastiques, pneus usa-gés, déchets verts. À défaut, ces endroits peuventêtre remplis par du sable ou de la terre. Les mous-tiques sont en effet attirés par les eaux stagnantes,dans lesquelles ils viennent se reproduire.

• changer l’eau des fleurs et des plantes une fois parsemaine, supprimer les soucoupes des pots de fleur,ou de remplacer l’eau des vases par du sable humide.

• vérifier le bon écoulement des eaux de pluie et deseaux usées et nettoyer régulièrement gouttières, re-gards, caniveaux et drainages.

• couvrir les réservoirs d’eau avec un voile mousti-quaire ou un simple tissu : bidons d’eau, citernes,bassins.

• couvrir les piscines hors d’usage et évacuer l’eau desbâches ou traiter l’eau : eau de Javel, galet de chlore.

6.2.2 Moustiques adultes

Les principales recommandations pour éliminer les lieuxde repos des moustiques adultes sont d'entretenir réguliè-rement le jardin et espaces verts[36] :

Page 4: Aedes Albopictus

4 7 ANNEXES

• débroussailler et tailler les herbes hautes ainsi queles haies,

• élaguer les arbres,

• ramasser les fruits tombés et les débris végétaux,

• réduire les sources d’humidité, en limitant parexemple l’arrosage.

6.3 Protection humaine

Afin de lutter contre le risque de transmission de mala-dies par cet insecte, le ministère de la santé a émis plu-sieurs conseils, notamment à la suite de la découverte despécimens en France. Le ministère de la Santé conseillenotamment de porter des vêtements recouvrant au maxi-mum le corps.Les principales recommandations pour la protection in-dividuelle sont de :

• porter des vêtements longs et protéger les pieds etchevilles[36] ;

• aménager l’habitat (moustiquaires sur les lits etberceaux, grillage anti-moustiques aux fenêtreset portes, utilisation de ventilation et/ou de laclimatisation)[39] ;

• utiliser des produits répulsifs cutanés[36].

Outre ces précautions de base qui permettent d'éviterd'augmenter le nombre de moustiques, il est égalementpossible de s’équiper de pièges spéciaux pour les mous-tiques tigres (éviter les lampes ultra-violet qui tuent tousles autres insectes nocturnes sans toucher aux moustiquestigres) [40]

6.4 Recherches

Des recherches sont actuellement en cours pour tenter demaîtriser le développement des populations par la tech-nique dite de l'insecte stérile à la Réunion et en Italie. Ils’agit de relâcher des millions de mâles stérilisés (par irra-diation ou transgenèse) qui s’accouplent avec les femellesau détriment des mâles sauvages[41].

7 Annexes

7.1 Filmographie• “Moustique Tigre : The Film” Film d'animation

scientifique de santé publique (Institut de recherchepour le développement)

• Spots de prévention du moustique tigre “Chez vous :adoptez les bons gestes !" : n°1 et n°2 (Opérateur pu-blic français de démoustication / EID Méditerranée)

7.2 Notes

[1] Référence GISD : espèce Aedes albopictus (en)

[2] C. Paupy, « Aedes albopictus, an arbovirus vector : Fromthe darkness to the light », Microbes and Infection, vol.11, no 14–15, décembre 2009, p. 1177-1185 (ISSN 1286-4579, DOI 10.1016/j.micinf.2009.05.005, lire en ligne)

[3] La Recherche no 458, p. 52-55

[4] Knudsen Ab, « Global distribution and continuing spreadof Aedes albopictus. », Parassitologia, vol. 37, no 2-3, dé-cembre 1995, p. 91-97 (ISSN 0048-2951, lire en ligne)

[5] M Straetemans, « Vector-related risk mapping of the in-troduction and establishment of Aedes albopictus in Eu-rope », Euro surveillance : bulletin Européen sur les mala-dies transmissibles = European communicable disease bul-letin, vol. 13, no 7, 14 février 2008 (ISSN 1560-7917)

[6] C. J. Mitchell, « Geographic spread of Aedes albopictusand potential for involvement in arbovirus cycles in theMediterranean basin. », Journal of Vector Ecology, vol.20, no 1, 1995, p. 44-58

[7] Offre de thèse Bases génétiques de l’adaptation du mous-tique tigre Aedes albopictus aux milieux tempérés grâceaux nouvelles technologies de séquençage

[8] Gratz NG (2004). Critical review of the vector status ofAedes albopictus. Med Vet Entomol. 18, 215–227.

[9] Navarro JC, A Zorrilla & N Moncada (2009). Primer re-gistro de Aedes albopictus (Skuse) en Venezuela. Impor-tancia como vector de Dengue y acciones a desarrollar.Bol Malariol San Amb Vol. XLVIX : No.1 : 161-166.

[10] J. F. Reinert, « Generic changes affecting European aedinemosquitoes (Diptera : Culicidae : Aedini) with a checklistof species », European Mosquito Bulletin, 2005 (lire enligne)

[11] Agència de Salut Pùblica

[12] Romi, R. (1995). « History and updating on the spread ofAedes albopictus in Italy. » in Parassitologia (Roma). 37 :99-103.

[13] Sabatini, A., Ranieri, V., Trovato, G. & Coluzzi, M.(1990) Aedes albopictus in Italia e possible diffusion dellaspecie nell’area mediterranea. Parassitologia 32, 301-304

[14] P. Gatt, « First record of Aedes (Stegomyia) albopictus(Skuse) (Diptera : Culicidae) in Malta. », European Mos-quito Bulletin, no 27, 2009, p. 56-64

[15] J. A. Buhagiar, « A second record of Aedes (Stegomyia)albopictus (Diptera : Culicidae) in Malta. », EuropeanMosquito Bulletin, no 27, 2009, p. 65-67

[16] Pluskota, B., Storch, V., Braunbeck, T., Beck, M. & Be-cker, N. (2008) First record of Stegomyia albopicta (Skuse)(Diptera : Culicidae) in Germany. European MosquitoBulletin 26, 1-5.

Page 5: Aedes Albopictus

7.3 Références externes 5

[17] S. Boukraa, FN. Raharimalala, JY. Zimmer, F. Schaff-ner, T. Bawin, E. Haubruge et F. Francis, « Reintroduc-tion of the invasive mosquito species Aedes albopictus inBelgium in July 2013. », Parasite, vol. 20, 2013, p. 54(PMID 24325893, DOI 10.1051/parasite/2013054)

[18] E.-J. Scholte, « First record of Aedes (Stegomyia) albo-pictus in The Netherlands », European Mosquito Bulletin, 2007 (lire en ligne)

[19] J. Adhami, « Introduction and establishment of Aedes(Stegomyia) albopictus Skuse (Diptera : Culicidae) in Al-bania », Journal of the American Mosquito Control Asso-ciation, vol. 14, no 3, 1998, p. 340-343 (ISSN 8756-971X,lire en ligne)

[20] Chikungunya : le moustique a passé les Alpes Libération,26 novembre 2007

[21] Revue : médecine tropicale : 2007 ;67,3, page 310

[22] Schaffner, F., Boulletereau, B., Guiller, B., Guilloteau, J.& Karch, S. (2001) Aedes albopictus (Skuse, 1894) establi-shed in metropolitan France. European Mosquito Bulletin9, 1-3.

[23] De Jong, L., Moreau, X., Dalia, J., Coustau, C. & Thiery,A. (2009) Molecular characterization of the invasive Asiantiger mosquito, Aedes (Stegomyia) albopictus (Diptera : Cu-licidae) in Corsica. Acta Tropica (in press).

[24] L'arrivée du moustique-tigre en France sur Vedura.fr du10 juin 2010

[25] Le Monde du 18 juillet 2012 http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=1200469&xtmc=tigre&xtcr=1

[26] Moustique Tigre : une épidémie à craindre ? PlaceGre'net, 25 juin 2014

[27] Alerte au moustique tigre dans 18 départements, La Dé-pêche du Midi, 16 juin 2014

[28] Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droitsdes femmes - www.sante.gouv.fr, « Moustiques vecteursde maladies - Ministère des Affaires sociales, de la Santéet des Droits des femmes - http://www.sante.gouv.fr », surwww.sante.gouv.fr (consulté le 2 août 2015)

[29] « Le moustique tigre sous haute surveillance », Le Dau-phiné Libéré, 2 juillet 2015 (lire en ligne)

[30] travaux réalisés par Anna Bella Failloux, institut Pasteur.La Recherche no 458, décembre 2011

[31] La Recherche no 458, décembre 2011. Article de DidierFontenille Directeur de Recherche à L'IRD.

[32] Travaux de M. Vazeille et al, PloS One, 2, 11, 2008.

[33] http://www.gouvernement.lu/salle_presse/communiques/2007/09/05sante/index.html

[34] La dengue : comprendre et agir, Institut national de pré-vention et d'éducation pour la santé, 29 juin 2010

[35] Premier cas autochtone de dengue dans le Var, Le Monde,22 août 2014

[36] Dépliant d'information sur le Moustique tigre, ministèrede la santé, juin 2010

[37] Portail de signalement du moustique tigre (Aedes albopic-tus).

[38] , MTES 2011/05/04

[39] Recommandations sanitaires pour les voyageurs - 2012 :Efficacité relative des moyens de prévention disponiblescontre les piqûres de moustiques, Institut de veille sani-taire, 29 mai 2012

[40] « comment se protéger des moustiques tigres », sur http://moustique-tigre.info'', 1er juin 2014 (consulté le 13 juillet2014)

[41] La Recherche no 458 pp 52-55

7.3 Références externes

• Référence Animal Diversity Web : Aedes albopictus(en) (consulté le 1 août 2014)

• Référence Catalogue of Life : Aedes albopictusSkuse, 1894 (en) (consulté le 1 août 2014)

• Référence Fauna Europaea : Aedes albopictus (en)(consulté le 1 août 2014)

• Référence GISD : espèce Aedes albopictus (en)(consulté le 1 août 2014)

• Référence INPN : Aedes albopictus (Skuse, 1894) (+statut + description) (fr) (consulté le 1 août 2014)

• Référence ITIS : Aedes albopictus (Skuse, 1895) (fr)(+ version anglaise (en)) (consulté le 1 août 2014)

• Référence NCBI : Aedes albopictus (en) (consulté le1 août 2014)

• Référence uBio : Aedes albopictus Skuse, 1894 (en)(consulté le 1 août 2014)

8 Liens externes• Portail d'information sur le moustique tigre en

France (Site public / EID Méditerranée)

• Portail de signalement du moustique tigre en France(Ministère de la Santé en France / CNEV)

• Opérateurs publics français de démoustication : EIDMéditerranée, EID Rhône-Alpes, EID Atlantique

• Portail de l’entomologie

• Portail de la parasitologie

Page 6: Aedes Albopictus

6 9 SOURCES, CONTRIBUTEURS ET LICENCES DU TEXTE ET DE L’IMAGE

9 Sources, contributeurs et licences du texte et de l’image

9.1 Texte• Aedes albopictus Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Aedes_albopictus?oldid=117897884 Contributeurs : Jeffdelonge, Kelson, Abraha-

mi, Sebjarod, Fafnir, JPaul, Phe, Phe-bot, Liné1, Domsau2, Ollamh, Taonas, Jef-Infojef, Vincnet, Leag, Kipmaster, Mirgolth, Arséniure-DeGallium, Dereckson, QuasarFr, Gzen92, Néfermaât, Solbot, Milegue, Loveless, TCY, MelancholieBot, Pautard, Michka B, Hexabot,Esprit Fugace, Lamiot, Thijs !bot, Salix, Escarbot, FredD, BOT-Superzerocool, MirgolthBot, Nono64, Salecabot, Sebleouf, FR, VonTa-sha, Salebot, Prométhée, Zorrobot, Gerakibot, TXiKiBoT, Markiw, La Menaz, Chicobot, AlleborgoBot, JLM, Dhatier, Yelle, Cayambe,HerculeBot, WikiCleanerBot, ZetudBot, Mike Coppolano, LaaknorBot, H92Bot, Panzani, LinkFA-Bot, , Luckas-bot, Totodu74, Jotter-bot, Pierre-Olivier83, Küchenkraut, Zorlot, ArthurBot, Almabot, Abracadabra, Xqbot, RibotBOT, Loreleil, JackBot, Coco3700, Darbé,Skull33, Lomita, Orlodrim, TobeBot, Jorune, Terpsichores, Salsero35, Rehtse, ZéroBot, Finoskov, Scientif38, ArzhurB, Sapin88, MerlIw-Bot, OrlodrimBot, Le pro du 94 :), Annonce, Rene1596, Clara06400, Jeanloujustine, LeCardibot, Maelise48emi, Udun, LectriceDuSoir,Fchaix, Addbot, Campus066, Dr invasive, Jordanne kiatoko, InvNat, Kwipédl Cyop, ProméthéeBot, NaggoBot, SpecializedEspe et Ano-nyme : 85

9.2 Images• Fichier:Albopictus_distribution_2007.png Source : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/02/Albopictus_distribution_

2007.png Licence : GFDL Contributeurs :

• Based on landcareresearch.co.nz Artiste d’origine : Gancho• Fichier:Cssed.svg Source : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/66/Cssed.svg Licence : GPL Contributeurs : http://jaanos.

deviantart.com/art/CSSED-Tango-Icon-108721724 Artiste d’origine : Jaanos• Fichier:Taenia_emplumada.jpg Source : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/4/4a/Taenia_emplumada.jpg Licence :

GFDL Contributeurs : Travail personnel Artiste d’origine : Peones45aire

9.3 Licence du contenu• Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0