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agathe lechevalier porte-folio
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ENTRÉE PAR STRATES
projet de diplôme. réhabilitation du
carré de l’Hôpital Necker à Paris.
Aménagement du jardin Necker et de la
cour Laennec.
QUARTIER PYTHON DUVERNOIS
requalification des coins et recoins du
20ème arrondissement. Porte de Bagno-
let.
PASSAGE PIÉTON
création d’un itinéraire pour piétons
à l’occasion de l’évènement «Mots Pu-
blics» dans le quartier St Blaise. Pa-
ris 20ème.
HABITAT VERTICAL
conception d’un appartement pour un
couple, dans un espace intersticiel de
2,60m de largeur, 8m de profondeur et
8,20m de hauteur.
RÉ-HABITER LA BARRE BOREL
projet de piplôme: ré-habiter la bar-
re Borel (paris 17ème)
réhabiliter autrement:d’un logement à
un chez-soi
WORKSHOP AUTOPROGETTAZIONE
workshop Enzo Mari «autoprogettazio-
ne» avec les étudiants de DSAA Design
Produit: produire un nouveau «meuble»
avec les éléments de la table du de-
signer italien
AUBERGE EQUITY POINT
Barcelone:présentation du projet d’im-
plantation d’une auberge de jeunesse
Equity Point (société catalane) à Pa-
ris.
DANS L’ENVERS DU DÉCOR
participation à la scénographie «Expo
Boulle» pour les portes ouvertes de
l’école Boulle. Espace Reuilly, Paris
12ème.
SOMMAIRE
p.3
p.6
p.10
p.16
p.21
p.25
p.40
p.45
NOTÉIPEGASSAPEMÈ 02 SIRAP .ESIALB TS REITRAUQ EL SNAD ”SCILBUP STOM“ TNEMENÈVÉ’L ED NOISACCO’L À SNOTÉIP RUOP ERIARÉNITI NU’D NOITAÉRC
Pa s s a g e p i é t o n
Des bandes apparaissentdans le quartier de la Porte de Montreuil, dans les squares, devant les sorties d'immeubles
Les bandes se connectent aux passages piétons du boulevard Davout (côté HBM)
Les bandes" traversent" la rue, se prolongent sur le trottoir (côté St Blaise) et rejoignent l'entrée
Les bandes vont peu à peu devenir des signes de ponctuation qui vont guider les passants vers le square
Evènement Mots Publics dans le square des Cardeurs
1j-6 le week-end 2 j-4 lundi 3 j-3 mardi 4 j-2 j-1 mercredi et jeudi 5 j-j vendredi soir
Pa s s a g e p i é t o n
Des bandes apparaissentdans le quartier de la Portede Montreuil, dans lessquares, devant les sortiesd'immeubles
1j-6 à partir du samedi
Les bandes se connectentaux passages piétons duboulevard Davout (côté HBM)
2 j-4 lundi
Les bandes "traversent"la rue, se prolongent sur le trottoir (côté St Blaise)et rejoignent l'entrée
3 j-3 mardi
Pa s s a g e p i é t o n
Les bandes vont peu à peu devenir des signes de ponctuation qui vont guider les passants vers le square
4 j-2 j-1 mercredi et jeudi
Evènement Mots Publics dans le square des Cardeurs
5 j-j vendredi soir
Entrée par strates
28 bâtiments éclatés
l'hôpital vu du ciel aujourd'hui
réunification en pôles
des espaces verts DISPERséS
public semi public privé très privé
2008 2012
2008
jardin neckercourlaennec
jardin cribier
progression des espaces paysagers
l 'hopital neck er enfants malades est un vér itable quartier dans lequel i l est a isé de se perdre . i l est aujourd'hui composé de 28 bat iments éclatés . le projet de réhabil itat ion consiste à réunif i er plus ieurs bâtiments en un seul af in de l ibérer un espace central qui deviendra un grand jardin , en ple in coeur de ce pet it morceau de v ille .
un grand jardin central
2012
analyselocalisation des coins intervention
la jardinière
les poubelles
le couloir
faire converger les coins vers le centre
des circulations en périphérie des trajets interrompus
l’environnement
tourisme
restaurants
alimentation générale
laveries
Equity Point est une société catalane qui gère cinq auberges de jeunesse: trois à Barcelone, une à Madrid et une à Marrakech. Aujourd’hui, elle souhaite s’implanter à Paris. Le Bâtiment St Jac-ques, dans le 14ème arrondissement à été prétexte à travailler ce programme d’auberge de jeunesse, qui se veut particulièrement novateur en matière d’ac-cueil tout d’abord, en voulant favoriser les liens entre les voyageurs et les habitants du quartier, mais aussi en matière d’hébergement, en souhaitant combiner le confort d’un hôtel à la convivialité d’une auberge de jeunesse, pour un aménagement ef-ficace, confortable et intelligent.
le jardin
Actuellement, un escalier (contemporain au bâtiment) et un escalier secondaire (ajouté récemment sur la façade Ouest) relient le rez de chaussée au jardin. Dans le but de faciliter la lecture du bâtiment et d’en unifier sa façade, le projet propose un accès plus direct au jar-din: depuis l’intérieur (l’accueil), le sol se prolonge en glissant vers l’extérieur, formant une cour abritée (jusq’au mur de la façade), puis une terrasse, et se ter-mine en escalier jusqu’au sol du jardin.
À partir des éléments de la table créée par le designer italien Enzo Mari, recréer un mobilier en y apportant une matière végétale. Il est formellement interdit de redécouper les éléments indiqués dans la nomenclature!
WORKSHOP DSAA AI & DPM ///AUTOPROGETTAZIONE
Pauline louisAgathe Lechevalier
Maëva AbdelhafidGeoffrey Istace
WO
RK
SHO
P D
SAA
AI &
DP
M///AUTOPROGETTAZIONE 1
longueur section quantitéA 2000 200 x 25 4B 1300 50 x 25 4C 800 50 x 25 8D 700 50 x 25 4E 430 50 x 25 2F 360 50 x 25 4G 280 50 x 25 2W
OR
KSH
OP
DSA
A AI
& D
PM///AUTOPROGETTAZIONE 2
La barre Borel se situe dans le 17ème arrondissement de Paris. C’est un im-
meuble de 11 étages, conçu par l’architecte Raymond Lopez et construit entre
1959 et 1961.
Elle fait partie du GPRU de la porte Pouchet, zone située entre la porte de Clichy et la porte de st Ouen et est
située tout prêt du périphérique.
L’objectif de ce GPRU est de connecter Paris a la banlieue, donc à Clichy et St Ouen. Par conséquent différents
équipements vont s’installer sous le périphérique, puisqu’il est surélevé à plus de 5 mètres au dessus du sol.
La tour Borel doit être détruite, la tour du Bois Lepretre réhabilitée. le GPRU prévoit la construction de plu-
sieurs logements collectifs rue Rebiere afin de reloger les habitants pendant les chantiers.
Devant l’objectif du GPRU de créer de nouvelles liaisons entre Paris et la banlieue, la barre est un barrage phy-
sique aux circulations piétonnes.
existant intervention
La barre est composée de 132 appartements dont 110 appartements de
type T4 et 22 T5. La barre est séparée en 3 tiers qui definissent
trois accès. Le rdc est situé à un mètre au dessus du sol, sur le
sous-sol semi enterré. On doit donc monter 5 marches pour accéder au
hall du rez de chausée, aux escaliers puis aux ascenseurs.
Le premier objectif du projet
est d’établir une liaison, une
circulation. Puisqu’elle est un
obstacle physique, il s’agit de
rendre la barre traversante, en
la dégageant de son sous-sol.
Le glissement sous la barre se fait par un travail de pen-
tes. Depuis la rue Emile Borel, une pente directe nous em-
mene au nouveau rez de chaussée du bâtiment, puis une fois
la barre traversée, une pente plus douce remonte vers le
périphérique et la place Pouchet.
Sous la barre viennent se définir 3 halls, qui
desservent les circulations verticales, et ou
viennent s’implanter des commerces de proximité,
côté rue Emile Borel, sur un axe desservant éco-
les, logements et bureaux.
Ces pentes permettent de rendre accessible le rez
de chausée et par conséquent les ascenseurs et les
escaliers plus directement.
CONSTAT INTERIEUR
Tous les appartements sont des F4 et des F5, quasiment tous iden-
tiques, dont 40% sont sous occupés ou à l’inverse, occupés par
des familles très nombreuses.
Ces appartements ne correspondent plus aux familles actuelles.
L’opportunité qu’offre la régularité de la structure du bâtiment
permet de rendre les appartements traversants, ce qui offre sur-
tout une qualité d’espace et de lumière traversante Est/Ouest.
Par conséquent, les circulations horizontales sont reportées à
l’extérieur, sur la façade, sous forme de coursives.
existant intervention
Les escaliers qui doublent les ascenseurs desservent les coursives. Ils sont partiellement décalés de la circulation principale pour rythmer la façade.
Pour répondre aux nouvelles morphologies des familles, comme les familles recomposées, et aux
nouveaux modes de vies, comme la colocation, différentes typologies sont définies:
30m²
53m²
80m²
110m²
+
Pièces en +
Actuellement il y a 132 logements et le projet propose 162. La barre est donc plus dense encore. Mais il
ne s’agit pas de la «remplir». Ainsi, des respirations sont laissées dans la barre: les pièces en plus.
Il ne s’agit pas d’appartements, mais de pièces supplémentaires que les habitants peuvent louer en plus
de leur logement. Elles peuvent leur permettre d’y installer un bureau, une chambre d’amis, une salle de
jeu... Ces pièces peuvent être partagées par les locataires et peuvent devenir les pièces collectives de
type bureau associatif, laverie...
++
Depuis la coursive, on accède à l’appartement directement dans la cuisine/
séjour, exposé à l’Ouest. Les chambres sont exposées à l’Est, à l’opposé
des coursives qui sont des lieux de passages fréquents.
Ces deux parties sont séparées par la salle de bain, qui devient un sas,
un entre deux.
La cuisine s’y accole, et ces 2 pièces, deviennent l’élément central de
l’appartement, un noyau technique équipé autour duquel s’articule les piè-
ces de vie.
Cet élément, qu’il soit central, ou accolé a une des parois, définit les
accès aux chambres.
S M L XL
cuisine
sdb
cuisine
sdb
cuisine
sdb
On peut donc utiliser l’uni-
té de bain comme un espace
fermé, classique, qui lais-
sera la circulation libre,
ou l’utiliser en position
« grande » par exemple le
dimanche, quand les enfants
dorment encore et qu’ils
ne viendront pas déranger,
voire ouverte sur la cham-
bre, comme une extension de
cette dernière.
S M L XL
+++
4 unités
=plusieurs combinaisons possibles
Une unité est composée de 3 parois,
préfabriquées en atelier et assem-
blées sur le chantier, auxquelles
sont intégrées les wc, les arrivées
d’eau pour la douche… A ces trois
parois viennent s’ajouter 2 parois/
portes dans lesquelles sont inclus
les lavabos. Cer dernières viennent
se fermer contre des rangements pour
clore l’espace, ou se referment sur
elles memes pour définir l’espace de
circulation.
Elle est composée d’un élément fixe conte-
nant tous les éléments electroménagers, et
de deux parties ouvrantes et assez profon-
des pour y intégrer des rangements et un
plan de travail supplémentaire.
La cuisine, accolées aux unités de bains, s’utilise comme
un grand placard. On peut la fermer pour utiliser le sé-
jour au maximum et en faire abstraction. On peut l’ouvrir,
la configuration la plus courante, délimitant un espace
central dédié a la préparation et la prise des repas. Ou
complétement ouverte, pour isoler les espaces de nuit, du
séjour.
Prendre un repas en famille dans la cui-
sine, ou fermer la cuisine et profiter du
séjour quand toute la famille est réu-
nie pour regarder un film. Pendant que
certains regardent la tv, un des enfants
s’installe avec son ordinateur portable
sur le plan de travail de la cuisine…
Les cloisons séparant les chambres pour-
ront être retirées pour profiter d’une
grande chambre quand un des enfants s’en
va, ou réinstallées, quand ils revien-
nent,
Elles pourront etre déplacées pour créer
une pièce plus petite, un bureau, un
dressing, un coin multimédia…
La surface des chambres se poursuit en balcons ou en log-
gias, qui s’ajoutent à la façade, évidée de ses allèges de
90 cm de hauteur, ne laissant que la structure poteau dalle.
Ces éléments se déclinent en différentes épaisseurs pour
faire vibrer la façade.