Presbytère Notre-Dame de la Victoire - Tél : 04 94 19 81 29 - pndv@saintraphael-catho.com

Sauf indication contraire, les messes du dimanche et de la semaine sont aux heures indiquées sur les feuillets disponibles à l’église.

Agenda de la semaineNous recommandons à votre prière notre défunte :

Notre-Dame de la Victoire : Marie-Louise SPITERI

Dimanche 19 avril -Troisième Dimanche de Pâques.17h30 Vêpres et Salut du Saint-Sacrement à la Basilique. 18h30 Messe grégorienne à la Basilique. Baptêmes : Zoé MOÏSELundi 20 avril - Férie.14h30 Prière des mères de famille au plateau Notre-Dame.Mardi 21 avril - Férie10h00 Réunion du CPFR à l’aumônerie des jeunes.Thème : La prière de Jésus.10h - 11h30 Visite guidée de la Basilique.15h00 Réunion du groupe biblique à Sainte-Bernadette.15h00 Messe à la maison de retraite «Hermès». 15h00 Messe au Home Arménien.20h30 Réunion d’information pour le pèlerinage à Turin, salle Don Bosco.Mercredi 22 avril - FérieJeudi 23 avril - Férie. Vendredi 24 avril - Férie.15h00 Reprise du chapelet de la Miséricorde à Boulouris20h00 Cinéparoisse, cinéma Le Vox de Fréjus : «La blessure». Présentation du film et débat à la suite de la projection.Samedi 25 avril - Saint Marc, évangéliste, fête.Baptême : Izya’n Eden FIRMIN-GUION.Dimanche 26 avril - Quatrième Dimanche de Pâques.Pas de Vêpres ni de Salut du Saint-Sacrement à la Basilique. 18h30 Messe lue à la Basilique. Quête impérée pour le Séminaire diocésain.Baptêmes : Manon MEARELLI, Grégoire GUALANDI, Lucas CLARON.

Le cinéparoisse célèbre le centenaire

du génocide arménienVendredi 24 avril à 20h

cinéma Le Vox de Fréjus

au jour même consacré à commémorer le centenaire du Génocide arménien,

la paroisse vous invite à la projection du film « THE CUT » (« La blessure »), drame réalisé en 2014 par Fatih Akin, avec Tahar Rahim , George Georgiou , Akin Gazi ... (date de sortie : 14 janvier 2015). SYNOPSIS : Anatolie, 1915. Le jeune forgeron Nazareth Manoogian est arraché à sa famille par l’armée turque. Il est fait prisonnier et tente de survivre alors qu’il casse des cailloux dans le désert. Il échappe de peu à la mort. Deux ans après, il rentre au village, découvre que sa famille a été décimée. On finit par lui apprendre que ses deux filles sont en vie. Il se lance alors dans une longue odyssée en Mésopotamie. Au fil de son enquête, il découvre qu’elles se sont réfugiées à Cuba. Après avoir bravé mille dangers, Nazareth réussit à prendre le bateau pour se rendre sur l’île. Mais ses filles, dont l’une s’est mariée, ne sont plus là...

Présentation du film et débat à la suite de la projection.

Pèlerinage paroissial à TurinUne réunion d’information pour le pèlerinage

à Turin des 1er et 2 mai aura lieu

le mardi 21 avril à 20h30 salle Don Bosco (et non pas le vendredi suivant comme cela avait été

d’abord annoncé) : précisions sur le voyage, les horaires, les lieux visités, et régler vos paiements si nécessaire. Merci

d’apporter vos cartes d’identité.

Formation organisée par l’A.F.C de Fréjus-St-Raphaëlles 29 et 30 mai 2015 à Saint-Raphaël

Renseignements : bourez@mailoo.org 06 51 55 52 26

Urgent : on rechercheune famille d’accueil sur Saint-Raphaël pour un collégien

Sandrine LOUMI - n° 28 bis chemin de St Pierre07200 AUBENAS - tél. 09 51 84 60 49

Le dernier numéro de «la Voix de Saint-Raphaël»

est à votre disposition à l’entrée de votre égliseN’hésitez pas à prendre plusieurs

exemplaires et à les distribuer autour de vous. (voisins, amis,

membres de la famille)

Prière de la SemainePrière de saint Louis-Marie Grignion de Montfort

Si la puissance et la douceur de la Sagesse éternelle ont tant éclaté dans la création, la beauté et l’ordre de l’univers,

elle a brillé bien davantage dans la création de l’homme, puisque c’est son chef d’œuvre,

l’image vivant de sa beauté et de ses perfections, le grand vaisseau de ses grâces, le trésor admirable

de ses richesses et son vicaire unique sur la terre.

3ème Dimanche de PâquesÉvangile selon

Saint Luc : Lc 24, 35-48

En ce temps-là, les disciples qui rentraient d’Emmaüs racontaient aux onze Apôtres et à leurs compagnons ce qui s’était passé sur la route, et comment le Seigneur s’était fait reconnaître par eux à la fraction du pain. Comme ils en parlaient encore, Lui-même fut présent au milieu d’eux, et leur dit : « La paix soit avec vous ! » Saisis de frayeur et de crainte, ils croyaient voir un esprit. Jésus leur dit : « Pourquoi êtes-vous bouleversés ? Et pourquoi ces pensées qui surgissent dans votre cœur ? Voyez mes mains et mes pieds : c’est bien moi ! Touchez-moi, regardez : un esprit n’a pas de chair ni d’os comme vous constatez que J’en ai. » Après cette parole, Il leur montra ses mains et ses pieds. Dans leur joie, ils n’osaient pas encore y croire, et restaient saisis d’étonnement. Jésus leur dit : « Avez-vous ici quelque chose à manger ? » Ils lui présentèrent une part de poisson grillé qu’Il prit et mangea devant eux. Puis Il leur déclara : « Voici les paroles que Je vous ai dites quand J’étais encore avec vous : “Il faut que s’accomplisse tout ce qui a été écrit à mon sujet dans la loi de Moïse, les Prophètes et les Psaumes.” » Alors Il ouvrit leur intelligence à la compréhension des Écritures. Il leur dit : « Ainsi est-il écrit que le Christ souffrirait, qu’Il ressusciterait d’entre les morts le troisième jour, et que la conversion serait proclamée en son nom, pour le pardon des péchés, à toutes les nations, en commençant par Jérusalem. À vous d’en être les témoins. »

N°

804

sem

ain

e d

u 19

avr

il a

u 25

avr

il 20

15

« Nous croyons en la Résurrection de la chair.

Il est beaucoup question de nourriture dans les apparitions du Ressuscité : du pain rompu à Emmaüs au poisson grillé du Cénacle, Jésus ressuscité mange avec ses disciples et ses apôtres. C’est le moyen qu’utilise le Fils de Dieu pour appuyer sa parole et authentifier l’expérience de la résurrection auprès de ses disciples. Ils vont toucher son corps mais il leur faudra aussi ce signe du repas partagé pour qu’ils croient vraiment en la Résurrection

Loin d’être un détail, ce signe de la nourriture nous rappelle que la Résurrection du Christ rétablit

l’éminente dignité du corps humain et sa place dans le projet de Dieu. Le péché avait introduit

une dissociation entre le corps et l’esprit, une division, une rupture, une lutte

à mort. La Résurrection du Christ vient restaurer l’unité et l’harmonie primitives de la personne humaine,

corps et âme.

« Un esprit n’a pas de chair ni d’os comme vous constatez que j’en ai. »

La Résurrection du Christ n’est pas celle d’un hologramme avec un corps apparent. Il ne s’agit pas

non plus de croire simplement en l’immortalité de l’âme qui survivrait au corps, de manière définitive et séparée. Non, il s’agit précisément de la réunion du corps et de l’âme, dans la gloire de Dieu. C’est ce que nous proclamons chaque dimanche dans le Credo, lorsque nous professons la Résurrection de la chair.

Notre éternité sera pour nous aussi incarnée ! Nous louerons Dieu dans un corps glorieux à l’image de celui du Seigneur Jésus. Nous ne serons pas transformés en anges ou en esprits, comme le laisse entendre la spiritualité New Age, mais nous le louerons corps et âme.

Dieu ne renie pas son œuvre. Il nous a créés corps et âme pour le louer, le respecter et le servir. Il nous invite dès à présent à vivre comme des ressuscités et à considérer notre corps comme ce « temple de l’Esprit Saint » dans lequel la grâce divine habite.

Don Ludovic LEVEL

Réunion d’informationpour le pèlerinage paroissial à Turin

(voir page 4)

Messe en Maison de retraiteMardi 21 avril à 15h à Hermès

Vendredi 24 avril à 15h «Les Jardins de Valescure» Vendredi 24 avril à 15h au Home Arménien

Sortie des servantes de Jésus à DraguignanSamedi 25 avril de 9h30 à 17h30

Inscriptions auprès de Don Augustin jusqu’au 22 avrilTél 06 60 43 64 32 - augustin.azais@gmail.com

Échos de l'Église universelle

fêtée le 24 avrilBienheureuse Marie Elizabeth Hesselblad

Evangile de dimanche prochain (26 avril) : 4ème Dimanche de PâquesÉvangile de Jésus Christ selon saint Jean 10, 11-18

En ce temps-là, Jésus déclara : « Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. Voici pourquoi le Père m’aime : parce que je donne ma vie, pour la recevoir de nouveau. Nul ne peut me l’enlever : je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner, j’ai aussi le pouvoir de la recevoir de nouveau : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père. »

Messe au sanctuaire de Caravaggio

Chartreuse de Pavie

Basilique San Michele de Pavie

Marie Élizabeth Hesselblad naît en 1870 à Fâglavik en Suède, cinquième d’une famille de treize enfants, et reçoit le baptême dans l’Église luthérienne. Elle fait une expérience précoce de la pauvreté ; à 18 ans, elle émigre aux Etats-Unis dans le but de soutenir financièrement sa famille. Elle travaille comme infirmière à l’hôpital Roosevelt de New York. Les malades catholiques l’impressionnent par leur sérénité et leur confiance en l’aide de Dieu. Elle comprend que la croix est au centre de la vie humaine ; elle est révélation ultime de l’amour de notre Père céleste. Sa recherche de la vérité ainsi que sa dévotion à la Mère du Rédempteur

la conduisent peu à peu vers l’Église catholique. En 1900, elle assiste à une procession du « Corpus Christi » et, à cette occasion, elle entend une voix intérieure qui lui dit : « Je suis celui

que tu cherches ». Elle est baptisée en 1902 au couvent de la Visitation, à Washington. Ensuite elle est confirmée à Rome et comprend clairement qu’elle doit consacrer sa vie à l’unité des Chrétiens. Elle est convaincue qu’en écoutant la voix du Christ crucifié, les chrétiens se réuniraient en un seul troupeau sous un seul pasteur (Cf Jn 10,16). En 1904, elle entre au couvent

de Sainte-Brigitte de Suède, à Rome. Ce couvent est un carmel, mais bientôt elle obtient une permission spéciale du Pape

Pie X pour revêtir l’habit des Brigittines. En 1911, elle reconstitue l’« Ordre du Très Saint-Sauveur et de Sainte-Brigitte » à Rome, puis en Suède, en 1923. Elle insuffle à ses filles sa spiritualité eucharistique et mariale, et son amour de l’Église. Sa charité concrète s’exprime au cours de la Deuxième Guerre mondiale en secourant de nombreuses personnes en difficulté, parmi lesquelles de nombreux juifs. Son couvent est rempli de réfugiés, mais malgré sa mauvaise santé et les difficultés matérielles, elle fait confiance à la Providence. Elle meurt en 1957 à l’âge de 87 ans.

Pionnière de l’œcuménisme, son œuvre et son charisme rappellent aux chrétiens d’Europe les racines évangéliques uniques de leur culture et de leur civilisation. Le 11 avril 2000, des luthériens assistaient à sa béatification par saint Jean-Paul II (cf. http://www.abbaye-saint-benoit.ch).

Aujourd’hui, un «génocide causé par l’indifférence générale et collective»« Aujourd’hui encore nous sommes en train de vivre une sorte de génocide causé par l’indifférence générale et collective »,

dénonce le pape François qui déplore un « silence complice », et un « cri étouffé et négligé » des chrétiens victimes de violences.

Le pape s’est adressé aux Arméniens au début de la messe de ce dimanche de la Miséricorde divine, en la basilique Saint-Pierre, dénonçant le silence d’hier sur le génocide arménien et les silences d’aujourd’hui sur la persécution des chrétiens dans le monde.

Il a rappelé son analyse de la situation du monde comme une « troisième guerre mondiale par morceaux », décrivant les violences dont les chrétiens sont victimes : « Nous assistons quotidiennement à des crimes atroces, à des massacres sanglants, et à la folie de la destruction. »

« Malheureusement, encore aujourd’hui, nous entendons le cri étouffé et négligé de beaucoup de nos frères et sœurs sans défense, qui, à cause de leur foi au Christ ou de leur appartenance ethnique, sont publiquement et atrocement tués – décapités, crucifiés, brulés vifs –, ou bien contraints d’abandonner leur terre », a dénoncé le pape d’emblée.

Mais il a aussi évoqué les autres génocides survenus dans le monde depuis le « Grand Mal » qui a exterminé un million et demi d’Arméniens au début du XXe siècle.

A propos de cette tragédie, le pape a averti que « cacher ou nier le mal c’est comme laisser une blessure continuer à saigner sans la panser ! » (cf Zenit.com)

Un pèlerinage « pascal » en LombardieAprès le succès du Piémont l’an passé, l’ABNDV organisait cette

année un pèlerinage en Lombardie. C’est donc Milan, sa région et surtout la richesse de ses saints qu’une belle trentaine de paroissiens de Saint-Raphaël a eu la joie de découvrir. Accompagnés par don Emmanuel, dont l’italien n’a d’égal que sa connaissance des saints de la région, ce parcours nous a fait traverser les siècles à la suite de belles figures connues ou moins connues.

Le départ est prévu dès le lundi saint, mettant le pèlerinage sous le signe de la résurrection et de la joie pascale. Nous commençons par nous recueillir sur le tombeau de Saint Augustin à Pavie, avant d’aller admirer l’imposante façade de la chartreuse de Pavie. Nous arrivons à

nous faufiler juste avant que les portes ne se ferment et pouvons visiter l’intérieur du cloître, avant de rejoindre notre premier logement

dans la maison mère des oblats missionnaires de Rho.Le mardi, nos amis Mauro et Renata nous rejoignent pour

nous guider dans les chapelles qui jalonnent le sacro monte de Varese. Chaque mystère du rosaire est

représenté dans une mise en scène de sculptures grandeur nature. Très impressionnant ! Nous

passons l’après-midi sur les bords du Lac Majeur et découvrons la belle figure de don Isidoro Meschi, prêtre assassiné par un

jeune dont il s’occupait.Le mercredi est notre journée milanaise : le

programme est dense et nous « crapahutons » à travers les rues de la ville. Le groupe commence par

une visite guidée du Duomo, cathédrale imposante qui abrite le baptistère dans lequel Saint Augustin a été baptisé.

Nous célébrons la messe tout près de Saint Charles Borromée, avant de rejoindre la basilique Saint Ambroise pour nous recueillir

un instant auprès du corps de l’évêque de Milan, entouré des saints Gervais et Protais. Les plus courageux continuent à visiter quelques églises à la recherche du mystérieux don Gnocchi tandis que les autres préfèrent se poser un peu autour d’un café.

Les deux jours qui suivent vont nous faire rencontrer deux figures contemporaines qui ont marqué l’Eglise, Jean XXIII d’abord à Sotto «il Monte » son village natal, Paul VI ensuite autour de Brescia. Nous visitons leurs maisons natales et dormons dans ce qui a été le séminaire de Paul VI, nettement réaménagé... C’est toute la richesse de la Providence qui est ici éclairée par le contraste entre ces deux hommes qui se sont succédés à la tête de l’Eglise. Nous nous arrêtons en cours de route dans le village de Sainte Jeanne Beretta Molla, mère de famille qui a sacrifié sa vie pour celle de son enfant. Nous confions sur sa tombe toutes nos intentions familiales ainsi que notre famille paroissiale.

Nous rentrons à Saint Raphaël après une dernière station au sanctuaire de Caravaggio, dont la similitude avec Lourdes est intéressante. Nous sommes heureux de ces jours passés ensemble, de la richesse des figures rencontrées, de l’invitation reçue à grandir à notre tour en sainteté !

Don Augustin AZAÏS

Vie des Paroisses

Quelques pèlerins autour de Don Emmanuel

Eglise paroissale de Concesio

Cérémonie commémorative du génocide arménien Vendredi 24 avril 2015 à 11h30 au Jardin d’Arménie