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Agenda news décembre 2014

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F rères et sœurs bien aimés en

Christ,

Il y a quelques temps, j’étais très

éprouvée dans ma santé. En même

temps, j’avais toutes sortes d’atta-

ques spirituelles venant de l’adver-

saire de nos âmes (des épreuves

liées à des relations avec des per-

sonnes manipulées par de mauvais

esprits).

Plus le temps avançait, plus ces

choses empiraient. Je criais à Dieu,

mais me sentais comme David ou

d’autres serviteurs ou servantes,

qui se trouvent au fond de l’abime,

pauvres, nus, impuissants, face aux

difficultés.

Malgré tout, je prie pour mes enne-

mis. Un dimanche matin, notre

petite (en fait, grande) sœur Car-

men a donné un texte à mon

époux, en lui conseillant de pro-

noncer ces paroles tous les jours,

avant de commencer la journée et

même à plusieurs reprises, dans la

mesure du possible.

Le 4 novembre, le combat était

féroce, mais en tremblant et dans le

jeûne et la prière, j’ai prononcé ces

paroles à plusieurs reprises, men-

tionnées ci-dessous :

Revêtir l’armure (Ephésiens 6

v. 10-18)

Je mets à mes reins, la Vérité

pour ceinture. Je reconnais que

Jésus est la Vérité et que c’est Lui

qui me soutient dans le combat. Je

reconnais que

Jésus m’aide à

être droit, honnê-

te et intègre dans

toutes mes ac-

tions. Je te re-

mercie parce que

ta vérité enlève

au diable tout

moyen d’accusa-

tion contre moi.

Je mets à ma poi-

trine la Justice

comme cuirasse.

C’est Jésus qui

me rend juste

devant Dieu. C’est Lui mon défen-

seur. Je renonce à ma propre justi-

ce et je décide de chercher premiè-

rement Ton Royaume et Ta Justi-

ce, sachant que tout le reste me

sera donné par surcroît.

Je chausse les chaussures de Zèle

que donne Ton Evangile de paix,

afin d’avoir du zèle et non de la

paresse. Je réponds à Ton ordre

d’aller et je vais aller vers les per-

dus, vers les malades et les prison-

niers avec la Bonne Nouvelle de

l’Evangile qui donne la paix avec

Dieu.

Comme bouclier j’élève la Foi que j’ai en Toi et en Ta Parole, afin

d’éteindre toutes les pensées accu-

satrices lancées contre moi par la

bouche d’autrui ou par les pensées

auto-accusatrices venant de l’enne-

mi. C’est par la Foi que je crois

que je suis sauvé. La Foi vient de

ce que j’entends. Je choisis d’en-

tendre Ta Parole et non celle de

l’ennemi.

Je revêts le Casque du Salut, me

rappelant que c’est Jésus qui m’a

sauvé par grâce et non à cause de

mes mérites. Par ce casque, je m’i-

dentifie clairement face à l’ennemi,

lui rappelant de quel camp je fais

maintenant partie. Ce casque sert

de sentinelle afin de filtrer toutes

les pensées voulant entrer dans

mon intellect.

Par-dessus toutes ces armes, je sai-

sis l’Epée de l’Esprit qui est la

Parole de Dieu. En prenant l’Epée,

je réalise que je m’en vais au com-

bat, mais que c’est le Saint-Esprit

Lui-même qui guidera mon bras.

Plus je serre la Parole de Dieu dans

mon cœur, plus l’Epée est grande

et tranchante dans les mains de

l’Eprit.

Je me recouvre tout entier, esprit,

âme et corps, du Sang de Jésus.

Ainsi revêtu(e), je viens mainte-

nant contre toi Satan, afin de dé-

truire tous les plans que tu as for-

més contre moi et contre tous les

miens (nommez les noms des mem-

bres immédiats de votre famille).

Je vous résiste d’une Foi ferme et

vous commande de vous enfuir

loin de nous, dans le nom de Jésus.

Dès l’heure du midi, le Saint-

Esprit commença à agir d’une fa-

çon surprenante.

J’ai vu la main de Dieu écraser les

puissances mauvaises et les mau-

vaises langues se taire. C’était tel-

lement fort, que les gens qui m’en-

touraient, étaient pris par cet Esprit

d’amour, de joie. Ils commencè-

rent tous à sourire, dire des gentil-

lesses et littéralement bénir leur

entourage.

Le même soir, une dame que je ne

connaissais pas, m’a parlé de son

passé et nous avons prié pour la

libération de son âme. Elle s’appel-

le Lynda et je vous remercie de

bien vouloir prier pour elle.

Ma santé va mieux aussi. Je vous

encourage à proclamer ces paroles

citées plus haut, chaque jour, car

elles sont inspirées de Dieu pour

tous les temps, mais encore plus

pour la fin des temps.

Que Dieu vous bénisse

Julie Vanhoenackere, le 5/11/2014

Page 7: Agenda news décembre 2014

N otre délégation composée de

Thierry, Matthieu Allemeersch et moi

-même est entrée pleinement dans la

saison des pluies. Pas plus tard que

cette nuit, les pluies on été abondan-

tes. Une fois de plus il sera difficile

pour les riverains de se déplacer. Les

travailleurs du CEP devront rester à la

maison. Les élèves devront pour la

grande majorité se retrouver en salle

de permanence.

La saison des pluies fait aussi la joie

des animaux aquatiques. L'orchestre

philharmonique des rainettes et des

crapauds se fait entendre à des kilo-

mètres. C'est une colonie qui inves-

tit tous les étangs, les marigots, les

eaux ruisselantes sur les pistes sans

oublier les parcelles devenues

"piscines". C'est une saison qui a ses

inconvénients, mais qui a aussi son

charme de par sa flore et sa faune

humidifiée. Dans tout cela, il faut

s'organiser. Je laisse Thierry A. expri-

mer son ressenti à la fois culturel et

spirituel de l'œuvre de Dieu.

Comme on a coutume de dire, c'est la

même planète mais un autre monde.

Ici en Afrique, beaucoup de choses

restent à faire au niveau des infras-

tructures telles que la route à maca-

damiser, l’évacuation d'eau et bien

d'autres choses qui pourraient amé-

liorer le quotidien de nos amis congo-

lais. Je ne parle pas bien sûr de leur

façon de vivre mais simplement de

structures qui amélioreraient leur

quotidien .

Le peuple congolais est très accueil-

lant et attachant, c'est simplement une

autre façon de vivre et cela, il faut

apprendre et le respecter pour nous

qui sommes européens.

Il est certain que sur place il nous

faut nous organiser à l'heure africai-

ne, nous devons tenir compte de diffé-

rents facteurs tels que la chaleur, les

moustiques, les intempéries etc.

Nous avons tant de choses à décou-

vrir encore.....

En ce qui concerne le spirituel et cela

est le plus important, l'écoute de la

parole de DIEU, c'est autre chose que

par chez nous...

Nous sommes allés dans la périphérie

du CEP pour évangéliser, nous avons

reçu un très bon accueil et nous avons

pu prier pratiquement pour chaque

personne.

C'est quand même autre chose qu’en

Europe.

Thierry et Matthieu

Et oui, nos chers amis sont en pleine

découverte culturelle et sur la manière

dont le Seigneur travaille ici au CEP.

Lors de notre culte en

commun du 23 novem-

bre avec l'assemblée de

la Colombe et celle de

Ngoyo, bien des choses

se sont vécues et parta-

gées dans la foi. Aujour-

d'hui cette commu-

nion prend plus de

forme. Il semblerait

que cette communion d'églises est

en en train de profiler à l'horizon

une fusion entre La Colombe et

l'assemblée d'Israël à Ngoyo.

Concernant l'assemblée de la Co-

lombe au CEP, deux frères mis à

part par le Seigneur, Bat et Ber-

trand, tous deux affermis dans la

foi, sont en train de se lever en Christ

et pour Christ. Le pasteur Noël MIE-

GAKANDA persévère dans l'engage-

ment au sein de la Colombe.

Au vu de l'évolution très objective

de la Colombe, le Seigneur me déta-

che du pastorat de cette belle œuvre

afin qu'elle soit conduite par des

compétences opérationnelles et bien

présentes dans la vision de celle-ci.

Libéré de cette charge, je serai donc

conduit à assurer pleinement le mi-

nistère dans l'apostolat dans ce mer-

veilleux pays quand il me sera pos-

sible de voyager depuis la France au

Congo pour des missions soit à

court ou à long terme.

Il n'est pas impossible, Dieu voulant,

que je puisse visiter à nouveau les

frères et les sœurs de la Colombe et

l'assemblée de Ngoyo pour un appui

fraternel et cohérent pour fin mai, dé-

but juin 2015.

Que la gloire de Dieu soit dans nos

cœurs et dans la Sa maison.

Daniel L.

Page 8: Agenda news décembre 2014

Voilà notre 1er culte petit-déjeuner à

Roubaix. Tous ensemble et plus enco-

re puisque l’église franco-polonaise

était avec nous.

On ne pouvait pas vraiment savoir qui

venait de quelle église, puisque l’im-

plication était à tous niveaux : la pré-

paration du déjeuner, le service, le

déroulement du culte.

Ce culte allait forcément être spécial

puisque…

Paulina :

« Aujourd’hui, c’est

une journée tout à fait

spéciale, qu’il ne faut

pas rater puisque dif-

férents chrétiens dans

différents pays du

monde se réunissent

pour prier et soutenir

les chrétiens qui souffrent parce qu’ils

aiment Jésus. »

Très rapidement, la salle s’est rem-

plie, et l’équipe de préparation et ser-

vice a été un peu dépassée par le nom-

bre. Mais tout à pu être géré.

C’était un moment de profond parta-

ge.

Voici les impressions des uns et des

autres.

Luciano, comment vis-tu ce culte ex-

ceptionnel ?

C’est agréable de déjeuner avec des

frères et sœurs que je ne connais pas

forcément et par la même occasion de

mettre un nom sur un visage et d’é-

changer des moments conviviaux. Et

j’ai l’impression d’être au restaurant

car on vient me servir et on me de-

mande si tout va bien.

Thierry et Gisèle : « Nous avons vou-

lu venir partager ces moments avec

vous »

Eléonore,

pourquoi est-

il important

de faire des

cultes comme

celui-là ?

C’est une

possibilité de

se retrouver

dans un autre

contexte.

L’ambiance est plus conviviale, plus

chaleureuse. On vit de bons moments

de partage.

Angeline et Jacques : « C’est vrai-

ment convivial, ce moment de parta-

ge. Ca permet de vivre un moment

d’évangélisation différent. »

Erika, c’est une première pour toi,

comment vis-tu ce culte ?

C’est une bonne expérience. Tout le

monde est plein d’enthousiasme, plein

de joie… Christ nous a dit « aimez-

vous les uns les autres » et là, nous

sommes à la table de Christ, main

dans la main dans le partage et la

communion.

Marela : « Je me réjouis de voir autant

de monde

et d’être

au servi-

ce. »

Nora, que

penses-tu

de cette

journée ?

Magnifique,

dans la pré-

sence de notre

Seigneur.

L’assemblée

est géniale.

Tout le monde

a le sourire.

Matthieu et

Rita : « C’est

la première

fois que nous vivons un petit-déjeuner

à l’église. C’est formidable de démar-

rer la journée comme ça. »

Page 9: Agenda news décembre 2014

Gilbert, as-tu

une parole

d’encourage-

ment pour nos

ados ?

C’est bien de

les voir gran-

dir dans le

Seigneur,

mieux Le

connaitre,

c’est une grâce pour eux de Le

connaitre si tôt.

Dorine et Jean-François : « C’est tel-

lement convivial ! »

Bernard, quelles sont tes impres-

sions ?

C’est un moment de rapprochement et

de simplicité. Du temps du Seigneur,

il devait y avoir des moments convi-

viaux de cette nature. C’est une occa-

sion pour mieux se connaitre, resser-

rer les liens fraternels. Le Seigneur

doit se réjouir de nous voir comme

ça : échanger des conversations soit

édifiantes, soit de la vie courante.

Maryline :

« Il ne faut

vraiment

pas arriver

en retard, il

y a beau-

coup de

monde… »

Simon : « C’est un moment d’agapes,

de partage et d’échange. C’est bien

parce que, parfois, on manque de

temps pour partager. L’église primiti-

ve devait certainement vivre de la

sorte. »

Adrien : « C’est un temps d’accueil et

Dieu fait au-delà de ce que nous pen-

sons, Il nous surprend. En tout cas, on

a toujours de

l’appétit avec

le Seigneur !

La joie est

dans les cœurs

et ça se voit

sur les visa-

ges. »

Puis le culte a commencé, présenté

par Paulina avec un diaporama d’in-

formation fourni par Portes Ouver-

tes, l’association fondée par Frère

André, dont les actions sont ciblées

partout où l’Évangile ne peut entrer,

partout où des chrétiens sont battus,

emprisonnés, torturés, envoyés dans

des camps de concentration, pour la

simple raison qu’ils confessent le nom

de Jésus.

Les ados, chacun leur tour, sont inter-

venus pour expliquer et parler de cer-

tains pays en particulier, certaines

situations tragiques vécues par nos

frères et sœurs.

Pour finir, les ados et celles qui

avaient dirigé ce culte se sont assis à

une table pour donner des sujets de

prière. Ensemble, nous avons pu por-

ter auprès du Seigneur des personnes

en particulier.

Cette matinée a été un moment fort

dans la vie de l’église locale et aussi

dans la vie de l’Église dans le monde.

Nous avons été en communion les uns

avec les autres qui sont au près mais

aussi avec ceux qui sont loin. Nos

prières sont montées vers le trône de

notre Seigneur de Grâce, sachant qu’Il

souffre bien plus que nous de voir ses

enfants souffrir et mourir.

Comme dit

Amélie : « Nous

disons merci au

Seigneur ! Quel-

le chance nous

avons de vivre

notre foi libre-

ment, de louer

Dieu, de partici-

per à l’église. » ou Emmanuella : « on

prend conscience de la réalité, quelle

est notre part de travail à faire ? »

Joshua et Hélène

Photos Noémie et Naomie

Page 10: Agenda news décembre 2014

Voici le témoignage de Laurène Gri-

maud, la nièce de Daniel et Marie-

Laurence arrivée au CEP depuis 3

mois.

M es pieds ont touché le sol afri-

cain le 14 octobre 2014. J’avais ce

besoin de faire une année sabbatique,

d’aller à l’étranger, découvrir une

nouvelle culture, un nouveau monde

en quelque sorte. Mon chemin a pris

la direction de l’école du CEP (Centre

Eden Préceptorat), à Pointe-Noire,

Congo Brazzaville. J’ai voulu faire du

volontariat pour donner de ma person-

ne, finalement c’est moi qui apprends

jour après jour sur ce pays, et on me

donne tellement …

C’est une expérience unique, et hu-

mainement et spirituellement. J’ai

débarqué ici avec vraiment peu de

connaissance sur Dieu, la bible, et

tout ça. Je viens d’une famille athée et

la religion n’est pas quelque chose

dont on parlait. Mais c’est vrai que

j’ai toujours senti une présence auprès

de moi, c’était inexplicable.

Bien sûr, avant mon entrée au CEP,

j’ai « profité » de ma jeunesse, dépas-

sement des limites, les soirées du sa-

medi soir où tu finis dans des états où

tu n’as plus conscience de rien. Je

savais que ce n’était pas moi tout ça,

et quelque chose ou quelqu'un me

protégeait de toutes ces dérives. C’est

vraiment ici, au Congo et au CEP que

le Seigneur m’a coincé. La famille

Luban avait déjà engendré des semen-

ces de part mon séjour chez eux et du

premier culte auquel j’avais assisté (et

dans lequel j’ai été touchée). Et Puis

Henri et Mado et toute la famille

chrétienne du Cep ont pris la relève

en me laissant libre de mes choix et

convictions. Je me suis beaucoup in-

terrogée, j’ai vécu la vie chrétienne

d’ici, les cultes, la lecture des passa-

ges bibliques, etc. Il y avait quelque

chose qui m’attirait irrésistiblement

dans tout ça. Finalement j’avais peur

que si ce Jésus existe vraiment, il ren-

tre et accède entièrement dans mon

cœur. Mais un jour, j’ai senti ce be-

soin d’avoir cette relation avec Lui,

seulement il me fallait une preuve de

son existence. Alors Je me suis isolée

dans ma chambre et j’ai prié, ça a

bien duré une heure, je me suis livrée

sincèrement et telle que je suis, je l’ai

prié de se manifester. Il l’a fait. J’ai

senti tout son amour, c’était tellement

bon, je ne pouvais rien faire, juste me

laisser porter, il avait contrôle total

sur mon corps. Aujourd’hui je suis

fière d’être son enfant. Prier et être en

communion avec Lui c’est quelque

chose de merveilleux. Je sens sa pré-

sence et il me pousse à en connaître

davantage sur Lui, il nous aime et

nous donne tellement d’amour, que

nous devons être à son image et nous

aussi transmettre cet amour. Je vais

grandir avec Lui, et serai fidèle pour

toutes les œuvres qu’Il me donnera de

faire. Je prie pour qu’il touche toutes

ces personnes formidables à qui il

manque cette chose essentielle, sa

présence.

Laurène G.

Laurène a décidé de prendre son bap-

tême. Il a eu lieu dimanche 30 novem-

bre.

Dieu répond aux prières!

L’Eternité dans leur Cœur

Don Richardson

L’histoire ignorée du christianisme

dans les religions locales des peu-

plades anciennes.

C omment décrire ce livre sinon

que le lecteur va aller de découvertes

incroyables en découvertes extraordi-

naires ?

L’auteur, Don Richardson, mission-

naire canadien, a écrit ce livre à partir

de recherches scientifiques rapportées

par des anthropologues partis aux

quatre coins du globe pour prouver

que les cultures dites « primitives »

étaient dépourvues de croyances mo-

nothéistes.

Quelle ne fut pas leur surprise quand

ils ont du constater que de très nom-

breux peuples avaient gardé la foi en

un Dieu unique, créateur, lui-même

incréé dont ils ne connaissaient pas le

nom tel que nous le trouvons dans la

Parole de Dieu !

En fait, il faut bien reconnaître que

Dieu s’est révélé en tant que créateur

à bien plus de peuples qu’on ne pou-

vait le penser.

Don Richardson relate de nombreuses

histoires très bien documentées où

l’on voit des peuples qui, lorsque les

missionnaires viennent leur parler du

Dieu de la Bible, le reconnaissent

comme faisant partie de leurs ancien-

nes croyances. Certains avaient même

été avertis par des prophéties de la

venue d’hommes blancs avec un livre.

Ces peuples vont vivre un réveil puis-

sant.

La dernière partie du livre va être

consacré au message missionnaire de

Jésus lui-même. Ce message qui nous

replace encore et encore dans ce défi

pour chacun d’être missionnaire là où

nous nous trouvons.

Ce livre nous rappelle finalement, que

l’approche de l’autre pour l’évangile

est plus juste lorsque nous savons l’é-

couter, comprendre ses besoins et ain-

si cibler notre message directement au

cœur comme Jésus savait le faire.

Hélène M.

Page 11: Agenda news décembre 2014

I l y a peu de petites villes aus-

si célèbres dans le monde que celle

qui est juchée sur une colline à envi-

ron 8 kilomètres au sud de Jérusalem.

Si Bethléem n’était pas le lieu de

naissance de Jésus, elle n’aurait au-

jourd’hui que peu d’importance dans

l’histoire d’Israël ?

Parce que c’était la ville de la famille

du roi David. Le livre de Ruth, qui

raconte comment une jeune femme

non juive est devenue l’arrière-grand-

mère de David, se déroule principale-

ment à Bethléem.

Ses associations avec David sont

nombreuses. C’était sa ville natale .

1 Sam 17 : 12 : Or David était fils de

cet Ephratien de Bethléhem de Juda,

nommé Isaï, qui avait huit fils)

C’est là que Samuel l’a oint pour être

roi. (1 Sam 16 : 1-13)

Un poste de Philistins s’y trouvait (2

Sam 23 : 14-16 : David était alors

dans la forteresse, et il y avait un pos-

te de Philistins à Bethléhem...).

C’était la ville d’Elchanan (2 Sam

23 : 14-16 : Asaël, frère de Joab, du

nombre des trente. Elchanan, fils de

Dodo, de Bethléem.)

C’est là qu’avait été enterré Asaël (2

Sam 2 : 32 : Ils emportèrent Asaël, et

l’enterrèrent dans le sépulcre de son

père à Bethléhem.).

Le roi Roboam a fortifié Bethléem à

la fin du Xe s. av. J.-C. (2 Chron 11 :

6 : Roboam demeura à Jérusalem, et

il bâtit des villes fortes en Juda. Il

bâtit Bethléhem, Etham, Tekoa),

Jérémie, Esdras et Néhémie la men-

tionnent tous dans leurs récits. (Jér

41 : 17 ; Esdras 2 : 21 ; Néhémie 7 :

26)

tal) sont venus d’Orient jusqu’à Jéru-

salem en déclarant assez curieusement

qu’ils avaient vu une étoile dans le

ciel qui indiquait la naissance du roi

des juifs.

Cela a rendu Hérode plutôt inquiet et

il s’est renseigné auprès des princi-

paux prêtres et des scribes –les per-

sonnes qui connaissaient bien les

Ecritures –pour savoir où le Messie

devait naître.

La réponse a été prompte, donnée

sans hésitation : « Bethléem, en Ju-

dée » et ils ont cité la prophétie de

Michée comme référence. Pris de pa-

nique et de folie, Hérode a ordonné le

massacre de tous les enfants mâles de

moins de deux ans, pour tenter de tuer

l’héritier légitime du trône. Mais la

famille de Jésus a été informée du

complot et s’est enfuie pour se réfu-

gier en Egypte jusqu’à ce que le dan-

ger soit passé (voir Matthieu 2 :1-18).

Ce récit ressemble à un bon scénario

pour film d’horreur, mais c’est pour-

tant ainsi que les choses se sont pas-

sées.

Et ce n’est pas tout. Avez-vous remar-

qué que Jésus est appelé « Jésus de

Nazareth » et non « Jésus de Be-

thléem » ?

Nazareth est situé au nord, en Galilée.

Bethléem, au contraire, se trouve au

sud d’Israël. Les parents de Jésus vi-

vaient à Nazareth, mais les Romains,

qui représentaient la vraie autorité en

Israël, avaient décidé que le moment

était venu de faire un recensement de

la population et que, par conséquent,

chacun devait retourner dans le lieu

d’origine de sa famille pour être enre-

gistré.

Puisque Joseph était de la maison et

Mais la mention la plus éton-

nante concernant Bethléem se

trouve dans le livre du prophète

Michée, qui la désigne comme

le lieu de naissance du Messie :

E t toi, Bethléem Ephrata,

Petite entre les milliers de Juda,

De toi sortira pour moi Celui qui do-

minera sur Israël,

Et dont l’origine remonte aux temps

anciens,

Aux jours de l’éternité. Michée 5 : 1

Comme tous les prophètes, Michée

savait que le Messie serait un descen-

dant de David. Il n’est donc pas sur-

prenant que le Messie soit né à Be-

thléem, la ville de David. Mais, par

contre, ce qui est étonnant, c’est que

Michée déclare que le Messie existait

avant sa naissance à Bethléem.

Le Targoum de Jonathan, une para-

phrase des Ecritures en araméen da-

tant approximativement du IIe s. de

notre ère, traduit le passage ainsi :

« Celui dont le nom a été mentionné

avant, depuis les jours de la créa-

tion ».

Raphaël Patai, qui a été professeur de

l’Université hébraïque de Jérusalem,

note que « ce concept de préexistence

du Messie est en accord avec le point

de vue général du Talmud qui relève

que « le Saint, béni soit-il, prépare le

remède avant la blessure ».

Ainsi, une première exigence pour

reconnaître le Messie était qu’il devait

naître à Bethléem.

Il semble que Jésus ait bien rempli

cette condition. Les auteurs du Nou-

veau Testament relatent que sa nais-

sance a eu lieu à Bethléem, d’une fa-

çon assez particulière.

Matthieu explique que des

« mages » (en fait des astronomes,

fonctionnaires religieux du royaume

de Babylone ou d’un autre pays orien-

Page 12: Agenda news décembre 2014

de la lignée de David, lui et sa femme

enceinte, Marie, ont dû quitter Naza-

reth pour descendre à Bethléem, la

patrie de David.

Il est assez intéressant de noter que

les Juifs ont fait parvenir à César Au-

guste une pétition réclamant un dégrè-

vement fiscal qui a retardé le recense-

ment pendant un certain temps, de

sorte que la grossesse de Marie est

arrivée à son terme alors qu’ils étaient

encore à Bethléem.

Si quelqu’un soupçonne la famille de

Jésus de s’être arrangée pour qu’il

naisse à Bethléem afin de remplir la

prophétie de Michée sur le lieu de

naissance du Messie, les informations

qui précèdent devraient suffire à mon-

trer clairement que, loin d’être mani-

pulées, les circonstances étaient tota-

lement indépendantes de leur volonté.

Cependant, citons une autre partie de

la prophétie de Michée à laquelle le

Nouveau Testament fait allusion :

l’affirmation que le Messie devait être

préexistant. L’Evangile de Matthieu

rapporte cette conversation avec les

pharisiens :

Jésus les interrogea, en disant : Que

pensez-vous du Christ ? De qui est-il

fils ? Ils lui répondirent : De David.

Et Jésus leur dit : Comment donc Da-

vid, animé par l’Esprit, l’appelle-t-il

Seigneur, lorsqu’il dit: Le Seigneur a

dit à mon Seigneur: Assieds-toi à ma

droite, Jusqu’à ce que je fasse de tes

ennemis ton marchepied ? Si donc

David l’appelle Seigneur, comment

est-il son fils ?

Matthieu 22 : 41-45 (citant le Psau-

me 110 : 1)

En d’autres termes, le Messie est un

descendant de David et pourtant, il est

aussi le Seigneur de David, c’est-à-

dire son souverain ! Jésus a fait une

déclaration similaire quand il a dit aux

pharisiens : « Avant qu’Abraham fut

né, je suis » (Jean 8 : 58).

Abraham ayant vécu presque deux

mille ans avant Jésus, c’est une décla-

ration plutôt stupéfiante. Normale-

ment, quiconque parlerait ainsi serait

considéré comme un désaxé et tout

simplement rejeté comme fou.

Mais en entendant Jésus dire cela,

personne ne l’a traité de fou, n’a écla-

té de rire ou ne l’a ignoré comme

nous le ferions aujourd’hui avec un

paumé divaguant sur la Place de la

République à Paris.

Au lieu de cela, Matthieu rapporte

que personne ne lui a répondu et que,

depuis ce jour, personne n’a plus osé

lui poser de questions. Est-il possible

que, connaissant la signification de

Michée 5 : 1 et du Psaume 110, ils

n’aient eu aucune réponse à offrir ?

Hélène M.

Toutes les Fêtes Juives commencent au coucher du soleil la veille de la date indi-

quée

17 au 24 décembre 2014

La fête des lumières : Voici la célébration du miracle d‘une petite fiole huile qui brûla durant huit jours et continue d’illuminer nos vies jusqu'à au-jourd’hui.

A l'époque du deuxième Temple,

après le partage de l'empire d'Alexan-

dre le Grand, l'armée grecque d'Antio-

chus Epiphane envahit la terre

d'Israël.

Les Grecs persécutèrent les Juifs en

leur interdisant sous peine de mort

l'étude de la Torah. Le Temple de Jé-

rusalem fut saccagé et profané.

De courageux Prêtre (des Cohanim),

les 'Hachmonaïm, ne se résignèrent

pas et se rebellèrent contre l'envahis-

seur.

Menés par Matitiahou, puis par ses

fils, et animés d'une confiance abso-

lue en D.ieu, ils finirent par remporter

une victoire miraculeuse sur la puis-

sante armée grecque le 25 du mois de

Kislev.

Ce premier miracle fut suivi d'un se-

cond : lors de l'inauguration du Tem-

ple après la victoire, il n'y avait plus

d'huile pure pour allumer la Ménorah,

le candélabre à sept branches, et huit

jours étaient nécessaires à la confec-

tion d'une nouvelle huile.

Les Prêtres fouillèrent le Temple de

fond en comble et ne trouvèrent

qu'une petite fiole d'huile dont le

contenu ne pouvait servir à allumer la

Ménorah qu'une seule journée. Ils

décidèrent malgré tout d'allumer la

Ménorah.

C'est là que se produisit le second

miracle : l'huile brûla pendant huit

jours.

C'est pour remercier l’Eternel pour les

bienfaits et les miracles qu'Il nous a

prodigués que les Sages ont institué la

fête de 'Hanouccah.

Les Sages du Talmud ont enseigné

que la lumière de cette fête continuera

à éclairer le Peuple Juif jusqu'à la ve-

nue du Messie et même au-delà !

Page 13: Agenda news décembre 2014

Jeté en prison

en 1977 pour

avoir osé de-

mandé à émi-

grer en Israël,

Natan

(Anatoly)

Sharansky

passa huit ans

au Goulag en

Sibérie. Ce génie en mathématiques

fut finalement libéré lors d’un échan-

ge de prisonniers entre l’Union Sovié-

tique et les Etats-Unis en 1986.

Après avoir longtemps joué un rôle

important en Israël, il vient d’aban-

donner toute activité politique.

Il raconte :

‘Hanouccah approchait. J’étais le seul

Juif dans ma prison, mais quand j’ex-

pliquai à mes codétenus que

‘Hanouccah symbolisait la liberté d’u-

ne nation, la renaissance d’une culture

face à des envahisseurs puissants et

cruels, mes camarades décidèrent de

célébrer la fête avec moi. Ils confec-

tionnèrent même une Menorah en

bois, la décorèrent et trouvèrent quel-

ques bougies.

Le soir, je pus allumer la première

bougie et récitai une courte prière que

j’avais inventée pour l’occasion. On

servit du thé et je décrivis le combat

héroïque des Maccabim pour sauver

leur peuple. Chaque Zek (prisonnier

du Goulag) qui m’écoutait avec atten-

tion ressentait personnellement l’im-

portance de cet épisode. A un mo-

ment, l’officier de garde apparut, pro-

céda à l’appel de tous les détenus pré-

sents mais ne fit aucun commentaire.

Chaque soir, je pus ainsi allumer une

bougie supplémentaire avec ma prière

si personnelle. Puis j’éteignais les

bougies pour les réserver pour le soir

suivant car je n’en disposais pas d’au-

tres. Gavriliuk, le gardien dont la

paillasse se trouvait face à la

mienne, regardait et grommelait :

«N’importe quoi ! Il se croit à la

synagogue ! Et si jamais un in-

cendie se déclarait ?»

La sixième nuit de ‘Hanouccah, les

autorités confisquèrent mon matériel

sous prétexte que le chandelier avait

été confectionné avec du bois volé à

l’Etat. De plus, les autres prisonniers

prétendaient que les risques d’incen-

die étaient énormes.

J’insistai : il n’y en avait plus que

pour deux jours et je promettais de

«rendre à la glorieuse Mère Russie»

ce morceau de bois qui menaçait sans

doute de l’acculer à la ruine… L’offi-

cier de garde hésita, téléphona à son

supérieur – bref mit en branle toute la

bureaucratie soviétique – et reçut la

réponse suivante : «Un camp n’est pas

une synagogue et nous n’autorisons

aucun Zek à prier ici !»

Outré par la sécheresse de cette re-

marque, je déclarai une grève de la

faim. J’ignorai qu’une commission

devait venir de Moscou pour inspecter

le camp, ce qui explique sans doute

pourquoi je fus convoqué, le dernier

jour de ‘Hanouccah, dans le bureau

d’Osin, le commandant.

Cet Osin était un homme énorme,

gonflé, avec des yeux minuscules per-

dus dans une masse de graisse. Tout

ce qui l’intéressait semblait être la

nourriture mais aussi les intrigues et

le pouvoir. Il aimait voir souffrir les

Zeks mais ne perdait pas de vue que

ceux-ci étaient la clé de l’avancement

de sa carrière.

Osin me toisa d’un regard qui se vou-

lait bienveillant pour me persuader de

cesser ma grève de la faim, sans doute

pour ne pas avoir de problème avec sa

hiérarchie. Il me promit de veiller do-

rénavant à ce que personne ne m’em-

pêche de prier.

- Alors quel est le problème ? Rétor-

quai-je. Rendez-moi ma Menorah et

Le Hanouka de Natan Sharansky

laissez-moi allumer les dernières bou-

gies de la fête !

- Qu’est-ce qu’une Menorah ?

- Mon chandelier.

Le problème était que les documents

concernant ce terrible vol de la pro-

priété publique avaient déjà été signés

et Osin ne pouvait se ridiculiser de-

vant tout le camp. Tandis que je re-

gardais ce prédateur, assis de l’autre

côté d’une élégante table vernie, j’eus

une idée amusante : «Pour moi, cette

dernière nuit de ‘Hanouccah est très

importante. Je pourrais allumer les

bougies ici, maintenant, je réciterai

les prières et je cesserai ma grève de

la faim !»

Osin réfléchit un instant puis… la

Menorah confisquée apparut comme

par hasard sur la table. Il ordonna à

Graviliuk d’apporter une grande bou-

gie.

«J’ai besoin de huit bougies !» affir-

mais-je sans sourciller (de fait il m’en

fallait neuf avec le Chamach – mais

j’ignorai à l’époque tous les détails du

rituel). Gavriliuk prit un couteau et

tenta de couper la bougie en huit.

Mais son couteau n’était pas très effi-

cace ; alors Osin sortit de sa poche un

magnifique canif et coupa prestement

huit morceaux de bougie.

«Partez !» ordonna-t-il à Gavriliuk.

Celui-ci ne pouvait qu’obéir, mais il

me jeta un regard furieux.

Je disposai les bougies, pris mon cha-

peau sur la patère à manteau tout en

expliquant à Osin que : «Durant la

prière, vous devez avoir la tête cou-

verte et, à la fin, vous répondrez

Amen !»

Docilement, il mit sa casquette d’offi-

cier et se leva. J’allumai les bougies

en récitant une prière que j’avais moi-

même rédigée en hébreu : «Béni sois-

Tu, Eternel notre D.ieu pour m’avoir

permis de fêter notre libération, la fête

Page 14: Agenda news décembre 2014

Pour l’église

1) Nous remercions le Seigneur pour

ce rassemblement de nos deux églises

et pour la mise en place petit à petit

du cadre dans lequel nous sommes

amenés à travailler ensemble, pour la

Gloire de Dieu, avec les dons et ta-

lents que le Seigneur nous a octroyés.

« Dieu a accordé au moins un talent à

chacun de nous »

Seigneur donne pour certains, la har-

diesse, le zèle de ta maison pour acti-

ver le don reçu de Dieu, pour d’autres

la patience de la mise en place du dé-

partement dans lequel ils aimeraient

glorifier ton nom.... Oui, l’Église est

en chantier et sera toujours en chan-

tier....L’Église est en mouvement..... il

y a une part pour chacun pour honorer

Notre Dieu et être utile dans son œu-

vre.

2) Prions tout spécialement pour Co-

ralie et Emmanuella dans ces temps

de préparation de la fête de

Noël, ce 14 décembre. Elles

ont besoin de tes forces, d’une

intelligence renouvelée pour la

mise en place du spectacle des

enfants et de la coordination

de l’ensemble de cette fête.

Nous prions pour que chaque

enfant soit concentré, et aussi

comprenne à son niveau son

implication dans cette fête de

la nativité de Jésus notre Sau-

veur et Seigneur.

Que cette fête familiale de Noël

soit à ton honneur Jésus et que ta

joie nous remplisse tout au long de

cette journée. Nous prions égale-

ment pour ce partage du repas, en-

semble, dans une communion vraie

et sincère, en faisant bon accueil à

tous ceux qui viendraient nous visi-

ter.

3) Noël, c’est également un temps

propice pour annoncer la bonne

nouvelle de l’Évangile. Le groupe

Gospel dirigé pour Nanou et Ludo

se produira à l’extérieur de nos

églises, les 6 et 7 décembre pro-

chain. Gloire à Dieu pour ces op-

portunités, ces clins d’œil du Sei-

gneur, que la grâce de Jésus les

accompagne et que l’Évangile tra-

verse les cœurs, et se propage de

lieux en lieux.

Merci Seigneur car tu honores les

petits commencements, tu honores

ceux qui osent franchir les obsta-

cles d’une société sans repères.....

Dieu puissant et fort, la suite t’ap-

partient pleinement.... Tu sauras

encore nous surprendre.

4) Prions pour le groupe des Gé-

déons dans le Nord-Pas de Calais,

Merci pour ces hommes, ces fem-

mes qui annoncent l’évangile avec

la parole de Dieu, les nouveaux

testaments. Dieu se révèle par le

fils Jésus, dans la Bible, parole de

Dieu écrite. Nous prions pour que

ce trésor qu’ils déposent, dans les

hôtels, dans les écoles, dans les

hôpitaux, les cabinets médicaux

reçoivent bon accueil et que cette

parole touche des cœurs de lieux en

lieux. Nous croyons à la puissance

de la parole révélatrice dans les

cœurs.

Nous prions particulièrement pour

où nous retrouvons les traditions de

nos pères. Béni sois-Tu D.ieu qui me

permet d’allumer ces bougies. Puisses

-Tu me laisser allumer ces bougies de

‘Hanouccah dans ta ville sainte Jéru-

salem, avec mon épouse Avital !»

Inspiré par le spectacle réjouissant

d’un Osin au garde à vous devant mes

bougies, je rajoutai en hébreu : «Que

vienne le jour où tous nos ennemis –

tous ceux qui aspirent à notre destruc-

tion – se tiendront respectueusement

devant nous, écouteront nos prières et

répondront : Amen !»

Amen ! répondit Osin en écho. Soula-

gé, il reprit son souffle, s’assit et ôta

son couvre-chef. Ensemble nous

avons longuement contemplé en silen-

ce les bougies qui brûlaient. Puis leurs

bouts fondirent et la cire se répandit

joyeusement sur la surface vernie de

la table. Osin se reprit comme s’il se

réveillait brusquement et appela Gra-

viliuk pour qu’il nettoie.

Je retournai à la baraque dans un état

d’extase impossible à décrire. Mes

camarades me servirent du thé et en-

semble nous avons célébré la

«presque» conversion d’Osin : à ce

moment-là, je sus avec certitude

qu’un jour je serais libéré !

Hélène M.

Dimanche 16 novembre, nous avons

pu nous réjouir ensemble de la pré-

sentation d’un bébé dans notre église.

Elle s’appelle Shekina. Sa maman

Solange Yelamoko désirait vivement

mettre sa petite fille sous le regard de

notre Papa Céleste.

Avec le pasteur et les anciens, l’église

toute entière s’est associée à la prière

pour que toute cette famille avec les 2

autres petits garçons, David et Daniel,

que toute cette maison soit sous la

bénédiction de notre Dieu.

Nous les entourons de notre affection

fraternelle.

Hélène M.

Page 15: Agenda news décembre 2014

Jérusalem

La gloire et l’importance de cette ville

sont dues uniquement à DIEU, et cela

pour

7 raisons

1- C’est le choix souverain et unique

de DIEU (2 chroniques 6 : 5 à 6 )

2-1 rois 9 :3. l’Éternel dit à Salomon :

« Je sanctifie cette maison que tu as

bâtie, pour y mettre à jamais mon

nom et j’aurai toujours là mes yeux et

mon cœur. »

3-C’est la ville de Dieu avant d’être la

terre d’ISRAËL, c’est un lieu spécial

choisi par DIEU. Zacharie 8 :2 : « Je

suis jaloux pour Sion d’une grande

jalousie, et je suis jaloux pour Jérusa-

lem d’une grande fureur. »

4-Cette ville s’appelle ville de l’Eter-

nel, Esaïe 60 :14, de laquelle sort la

parole de DIEU (La TORAH) pour

bénir les nations. Esaïe 2 :3.

5-Zacharie 8 :3 : «Ainsi dit l’Eternel,

je suis revenu à Sion, et j’habiterai au

milieu de Jérusalem ; et Jérusalem

sera appelée la ville de vérité, et la

montagne de l’Eternel des Armées, la

montagne sainte.

6-Dieu lui-même dit de Jérusalem :

« C’est mon lieu de repos à toujours,

j’y habiterai car je l’ai désirée » Psau-

mes 132 :14.

7-Jérusalem est l’endroit où a été ac-

compli le plan de Dieu pour le salut

de toute l’humanité. Jean 19 :30 .

Jérusalem est non seulement l’endroit

où le Seigneur Jésus a été crucifié et

ressuscité des morts, mais c’est aussi

l’endroit où il va revenir.

La Bible nous demande de

prier pour la paix de

Jérusalem

Psaumes 122 :6

Pourquoi ?

>Jérusalem reste le nombril du monde

et encore aujourd’hui on voit que

l’épicentre du conflit arabo-

musulman reste Jérusalem : événe-

ments récents au Mont du Temple

tensions à Jérusalem et la crainte d’u-

ne 3ème intifada

*Aucune autre ville n’a vécue autant

de guerres pendant 3000 ans d’histoi-

re, cette ville a été attaquée et assié-

gée et détruite par différents peuples

païens durant 2535 ans (plus de 70

guerres qui ont opposé plus de 17

peuples et nations)

>Pour préparer le chemin du grand

ROI. Zacharie 14 : 4

Concernant les temps messianiques et

la venue de Jésus, Jérusalem sera la

ville Sainte du nouveau Ciel et de la

nouvelle terre.

Jérémie 3 : 17 « En ces jours là on

appellera Jérusalem le Trône de L’E-

ternel. »

>Les nations sont invitées à louer le

Messie YESHOUA avec son peuple.

Je vous invite à venir à Jérusalem

adorer le Seigneur

ESAÏE 62 : 6 à 7 ; ESAÏE 62 : 10 à 12

ESAÏE 62 : 1à 4 ; Psaumes 48 : 1à 9

Prions donc :

Pour la paix de Jérusalem

Pour les frontières d’Israël, les

frontières terrestres, maritimes et

aériennes.

Pour le retour de nos frères et

sœurs juifs disséminés dans le

monde (l’Aliah)

Pour que les Juifs rencontrent

YESHOUA

Pour le peuple Arabe des pays

voisins d’Israël

Pour que la désinformation des

média soit dévoilée, pour que

Dieu révèle toute la vérité

Pour la jeunesse en Israël et pour

l’armée Tsahal

Prions pour le gouvernement

Israélien et aussi pour notre gou-

vernement.

Nicole C.

les épouses des Gédéons qui vont re-

mettre au cours de ce mois de décem-

bre des nouveaux testaments dans les

maisons de retraite de la métropole

lilloise. Seigneur, tu fortifie nos sœurs

dans ce travail d’ensemencement.

5) Nous prions pour la santé spirituel-

le et physique de nos frères et sœurs

dans notre Église, nous prions pour

tous ceux qui passent une période dif-

ficile. Oui, Dieu est aux commandes

de chaque vie et Il veille. Jésus dit «

L’Esprit du Seigneur est sur moi, par-

ce qu’il m’a oint pour guérir ceux qui

ont le cœur brisé, pour annoncer la

bonne nouvelle aux pauvres ; il m’a

envoyé pour proclamer aux captifs la

délivrance, et aux aveugles le recou-

vrement de la vue, pour renvoyer li-

bres les opprimés » Luc 4/18. Sei-

gneur, malgré les difficultés du quoti-

dien, garde tes enfants dans le creux

de ta Main , préserve-les de tout mal,

qu’ils renouvellent leur foi en Toi.

6) Nous te remettons tous ceux qui

souffrent dans le monde à cause de

ton Nom Jésus. Je cite les propos de

l’Archevêque de Moussoul , Amel

Nona en exil à Irbil, confiés à un jour-

naliste italien : « Nos souffrances

actuelles sont un prélude à ce qui

attend dans un avenir proche les

chrétiens européens et occidentaux ».

Soyons de tout cœur et en pensées

avec nos frères et sœurs de l’Orient,

du Maghreb et de tous les pays persé-

cutés (Corée du Nord, Centrafri-

que......). Ils sont pour nous un exem-

ple de foi, de persévérance et d’espé-

rance en Dieu.

7) Prions pour les habitants de la ville

de Roubaix. Seigneur, avec ton Esprit,

passe dans les rues, les maisons, révè-

le-toi à ceux qui te cherchent de tout

leur cœur.

Nous prions pour le Maire Guillaume

DELBAR et son Conseil Municipal,

afin qu’ils prennent des décisions

équitables pour le bien de la ville.

Sois remercié Jésus pour tout ce que

tu fais dans l’invisible, tu travailles

dans les coulisses de cette ville, de la

ville de Tourcoing et dans cette agglo-

mération lilloise.

Marie-Laurence L.

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