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le Mag ÉDITION DÉPARTEMENTALE Le mensuel indépendant et gratuit d’information locale Mars 2013 # 12 Agenda // Sports // Économie // SCA // Tendances // Interview... Votre info au quotidien sur albi-info.fr FRANC-MAÇONNERIE Le Tarn dans la lumière PAUSE GUITARE Interview d’Alain Navarro PARC EXPO La nouvelle dimension SANTÉ Le point sur les dangers de la pilule

Albi Edition Departementale Mars Web

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le MagÉDITION DÉPARTEMENTALE

Le mensuel indépendant et gratuit d’information locale

M a r s2013# 12

Agenda // Sports // Économie // SCA // Tendances // Interview...Votre info au quotidien sur

albi-info.fr

FRANC-MAÇONNERIELe Tarn dans la lumière

PAUSE GUITAREInterview

d’Alain Navarro

PARC EXPOLa nouvelle dimension

SANTÉ

Le pointsur les dangers de la pilule

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Édition départementale - Mars 2013 - Tirage : 20 000 exem-plaires -Imprimé en région Midi-Pyrénées (France) - Mensuel gratuit publié et distribué par : Cité Média - 29, Av. de L’Europe - 81600 GaillacTél. 05 63 41 40 02 - www.castres-info.frDirecteur de la Publication : Patrice [email protected] Rédactrice en chef : Marie-Jo AlibertRédaction : Marie-Jo Alibert, Roxane Nicolas, Yannick Michel, Éric Leboucher.Conception graphique et mise en page : Emilie Marquès.

Service commercial :Caroline Sompayrac - [email protected] Petitjean - [email protected] Henry - [email protected]édits photo : PGCom, Yannick Michel, Lo Bolegason, Scène Nationale, Mairie de Gaillac, Mairie de Castres, Université Jean-François Champollion, blog Franc-Maçons internet, Arpèges et Trémolos, Shutterstock.Crédits photos et Copyright : tous droits réservés textes et images sauf mention contraire.Dépôt légal : à parution. Ne pas jeter sur la voie publique.

édito

Directeur Général : Patrice Gausserand29, Av de L’Europe - 81600 Gaillac Tél. : 05 63 41 40 02 - www.pgcom.frVous voulez communiquer dans castres-info le mag ? Un seul mail : [email protected]

régie :Société de presse RCS Albi : 790 083 315Gérant : Patrice Gausserand29, Av de L’Europe - 81600 Gaillac Tél. : 05 63 41 40 02SARL au capital de 80 000 €

édit ion : Cité Média

Votre actualité nous intéresse :contactez-nous : [email protected]

Sommaire

4 DossierFranc-Maçonnerie : Le Tarn dans la lumière

10 SantéLa pilule a du mal à passer

11 ÉducationFermetures au programme

14 Albi - Pause GuitareInterview d’Alain Navarro

22 Albi - RencontreJ-J. Lapeyre - Le Parc des Expos

24 Albi - Art MartialLes nouveaux samouraïs

26 Albi - SCAUne histoire d’hommes

28 Castres - EmploiReconversion,créatrice d'emploi

44 Gaillac - Les grands travauxLumière sur la ville

50 UAGLe derby

52 Agendas

« Soleil Vert »

On dit que le cheval est la plus belle conquête de l’homme. Il devient au-

jourd’hui la plus belle conquête de nos plats cuisinés. Après Findus, les bou-lettes de chez IKEA, les raviolis Panzani, j’en passe et pas forcément des meilleurs. Mais où va s’arrêter cette mauvaise farce. Pourquoi tant de haine envers cet animal ô combien noble d’autant qu’à l’échelle locale, le Tarn ne compte que trois bou-cheries chevalines. C’est dire l’engoue-ment pour cette viande. Mélanger La Noi-raude avec Tornado laisse un goût amer et sort de tous les codes éthiques, com-merciaux et moraux. A quand l’union du rat et du pigeon ? C’est peut-être déjà le cas, qui sait. Un poker menteur, qui risque de mettre à poil les sociétés impliquées dans cette mal bouffe, où les circuits de distribution pas très clairs poussent sou-vent au crime. Bref…no coment. Un nou-veau scandale alimentaire qui nous rap-pelle le film avant-gardiste des années 70 : Soleil Vert dont l’action se déroule en l’an 2022. On y est ou (presque). Dans ce film, New York baigne alors dans une étrange lumière jaune, qui a détruit la faune et la flore. Très peu de terres sont encore culti-vables et les habitants qui n’ont pas les moyens d’acheter des aliments naturels, à cause de prix exorbitants, mangent un ali-ment de synthèse, produit par la multina-tionale « Soylent »…Blablabla...En fait, on découvre que le « Soleil vert » est fabriqué à partir de cadavres humains. Cet aliment est, dans le discours officiel, fabriqué à partir de planctons, mais en réalité il n’y en a plus... Quarante ans plus tard, la fiction devient réalité avec un gros bémol le che-val ou autre animal remplace l’homme…

Marie-Jo AlibertRédactrice en chef

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Dossier

F ormant une société ouverte qui s’enferme à double tour dans la discrétion, la Franc-maçonnerie

constitue une nébuleuse peu connue suscitant de fait, la curiosité de nom-breux profanes.Cette famille spirituelle parmi d’autres n’en reste pas moins bien ancrée dans notre société en raison d’une histoire vieille de trois siècles, portant des va-leurs qu’elle continue de cultiver, à l’ins-tar de la laïcité -selon les obédiences-, de la tolérance et de l’humanisme.

Qui sont-ils ? Les loges accueillent tous les profils. Les hommes se retrouvent en un même lieu pour tenter de construire un universalisme où spiritualité, ouver-ture d’esprit, bienfaisance, se trouvent réunies dans une même fraternité. « On est tous différents, c’est une formidable

richesse », explique un frère du GO (Grand Orient).

Que font-ils ? Entourés d’un cérémonial désuet et d’un symbolisme prégnant, ils polissent leur pierre et l’apportent à l’édifice. Les grands sujets de société s’invitent au temple et font l’objet d’exposés, les fameuses « planches », dont les conclusions - tout au moins pour le GO - ont pu parfois résonner jusqu’en très haut lieu.Une vision et un état esprit bien marqué qui donne au Tarn une réalité dynamique et toute sa légitimité avec la présence de nombreuses obédiences comme le G.O (Grand Orient), la GLNF (Grande loge nationale française), la G.L (Grande Loge), le D.H (Droit Humain qui est une loge mixte), la GLFF (loge féminine) et Memphis Misraïm (une loge tournée vers les cultes égyptiens). « Depuis la fondation de la première loge, La Française des Arts en 1745, la présence de la Franc-maçonnerie est restée continue tandis qu’ailleurs elle a souvent été interrompue, notamment au moment de la Révolution française et par le Nazisme », précise un historien Paul Pistre. Donc, si l’on résume la franc-maçon-nerie est un lieu spirituel où tout le monde il est beau tout le monde il est gentil. Mais l’envers du décor est sou-vent surprenant voire décevant. C’est le cas notamment à la GLNF qui connaît depuis deux ans une « séparation des pouvoirs ». Une guéguerre nationale sous fond de rumeurs de malversations financières. Explications...

GLNF : Petits couacs entre amis…Entre Jean-Pierre Servel, Grand Maître de la GLNF, et Alain Juillet, Grand Maître de la GL-AMF (dissidente de la GLNF) le bras de fer continu. La guerre entre la GLNF (80 000 frères dont 500 dans le Tarn qui se réunissent une fois par mois dans les temples de Castres, Albi, Lisle sur Tarn et Graulhet) et la GL-AMF (12 600 frères dont une cen-taine dans le Tarn qui sont plus au moins sympathisants) se poursuit en-traînant de fait la création de loges dites libres « une seule loge libre sera ouverte

dans quelques semaines dans le Tarn et comptera 10 frères dont 4 parachu-tés de Toulouse pour former le collège de maître obligatoire » précise un frère. En clair, la mise sous administration judiciaire de la GLNF (ndlr: cette mise sous administration est terminée depuis le mois de décembre dernier) qui était contrôlée par maître Legrand, a conduit

la GLUA (Grande Loge Unie d’Angleterre) à enlever le label international à cette obédience, cette dernière n’a de cesse de vouloir retrouver cette recon-naissance perdue. Un combat

que mène de son côté la GL-AMF qui espère l’obtenir à son tour.

Bref un tableau pas très reluisant si l’on se fonde sur les préceptes humanistes de la Grande Loge Nationale Française.

Diviser pour mieux régnerDans cette guerre de clochers franco-français et de division de territoires où les égos sont peu servis, il est fort à parier que des divisions humaines se-ront à l’ordre du jour... Même si mani-festement, le nouveau Grand Maître de la GLNF Jean-Pierre Servel a fort à faire afin de faire revivre son obédience après trois années de crise intense. Une situation qu’il ne semble pourtant pas redouter. La GLNF, gérée en bon père de famille, a conservé de confortables réserves et le « point mort » de l’obé-dience (le nombre de frères en dessous duquel les engagements financiers ne peuvent plus être honorés) se situerait à 20 000... Bref, tournée vers la revita-lisation de l’obédience, la nouvelle gou-vernance GLNF semble aujourd’hui peu préoccupée par ces initiatives quant à la création d’une Confédération.

Et les frères Tarnais dans tout ça ? Comment vivent-ils cette situation déstabilisante ? Plutôt mal pour cer-tains. Comme bien souvent, le fait de vouloir diviser pour mieux régner en-gendre des discordes morales et donc fraternelles au sein d’un clan pourtant très uni… « Nous allons créer notre propre loge », confirme un frère dissi-dent, avant d’ajouter. « Nous ne sommes plus en accord avec les agissement de cer-tains membres de la GLNF. C’est dom-mage d’en arriver là. Mais c’est comme ça ».

Sources : blog Franc-Maçonnerie internet.

Franc-Maçonnerie

Le Tarn dans la lumièreDes centaines de Tarnais et de Tarnaises sont Francs-Maçons et pratiquent dans plusieurs loges du département. Qui sont-ils ? Que font-ils, quels sont leurs secrets ? Toute la lumière sur ce département qui connaît un dynamisme spirituel bien ancré.

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J par Marie-Jo Alibert

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TARN

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Dossier

Interview d’un frère tarnais de la Grande Loge Nationale Française

“ Croyance et respect de la République ”

Le Tarn est-il une place forte de la Franc-maçonnerie?Il n’y a pas de réponse à cette question. Par essence, la Maçonnerie n’a pas de vocation à être localement forte. Son or-ganisation par Province permet son ad-ministration quotidienne mais toujours sous l’égide de son organigramme pyra-midale. Les fonctions représentatives de chaque Province dépendent plus du charisme de son représentant que du nombre d’adhérents qu’il représente.

Quelle est l’essence de la GLNF? Quelle est la différence avec le GO?L’essence d’une loge n’existe pas et ne doit pas exister. Une loge génère un fond intellectuel qui, ajouté aux travaux des autres loges, donne consistance et puis-sance à l’Obédience dont elle fait par-tie. La différence fondamentale entre la GLNF et le GO est la laïcité. Les travaux de la GLNF reposent toujours sur deux reconnaissances, celle de la croyance religieuse et sur le respect incondition-nel de notre République. Elle bénéficie

également d’une reconnaissance de la Grande Loge Anglaise à l’origine de toutes les Maçonneries. (voir article général).

Y-a-t-il une guerre des loges dans le Tarn ?Les différences Obédiences représen-tent tacitement une Grande Famille: la Maçonnerie.Nous sommes tous animés par les mêmes intérêts. Les Obédiences encou-ragent leurs membres à œuvrer pour le progrès de l’humanité, tout en laissant à chacun le soin de préciser à leur conve-nance le sens de ces mots. Cette déonto-logie appliquée, il ne peut pas y avoir de guerre fratricide.

La Franc-Maçonnerie serait-elle l’antichambre du pouvoir politique? Quelles que soient les croyances ou les courants politiques, les débats sur les grandes orientations politiques et so-ciales sont toujours l’objet de concer-tation dans le sens large du terme. La

Maçonnerie est certainement une com-posante de cette concertation mais n’a pas la prétention, ni même la revendica-tion d’un quelconque pouvoir politique.

Que signifie être Franc-Maçon aujourd’hui?Le Franc-Maçon spéculatif d’au-jourd’hui n’est pas différent de la Franc-Maçonnerie Écossaise de 1598. Elle a conservé la même philosophie, les mêmes rites et les mêmes traditions. Être Franc-Maçon, c’est travailler sur soi-même dans une discipline de ré-flexion ayant comme vecteur commun à tous les membres, la fraternité, l’hu-milité, la fidélité, la philanthropie et la recherche pour le progrés de l’humanité.

Comme Toulouse, est-ce que certains bâtiments ou ouvrages ont reçu quelques inspirations maçonniques dans le Tarn, si oui lesquels?Bien sûr, il ne m’appartient pas de le dévoiler mais beaucoup de signes os-tentatoires sont visibles aux initiés. L’équerre et le compas sont les outils des Francs-Maçons. Leurs représentations sur certains édifices sont des signatures au même titre qu’un artiste signe une peinture.

Quels sont les grands chantiers tarnais réalisés grâce aux Francs-Maçons?Chaque Maçon se doit de travailler dans la déontologie de son initiation. Cette éthique se retrouve partout et en tous lieux. Il n’y a pas de grands chantiers revendiqués. Il n’y a que des Maçons fiers du travail accompli humblement et discrètement.

Quelles sont les originalités du GO et de la GLNF? Le GO débat sur des faits de société. La GLNF travaille la spiritualité d’un monde meilleur.

Le Grand Orient s’ouvre aux femmes

C ôté Grand Orient, pas de GL-AMF, « GLOP » ou autres « GLOUP »… la situation

semble plus sereine. Fort de ses six loges tarnaises, et ses 900 frères dans le dépar-tement, le Grand Orient made in Tarn se réunit quant à lui deux fois par mois à Albi, Gaillac, St-Sulpice et Castres. Mais pour les profanes que nous sommes une question se pose, quelle est la différence entre la GLNF et le GO qui sont les deux gros piliers de la franc-maçonnerie ?

Selon un maître, la grande différence se situe dans sa philosophie. Le GO n’im-pose rien. « Nous avons notre liberté de pensée, d’esprit et de conscience. Nous ne jurons pas sur le grand livre de l’Ar-chitecte de l’Univers contrairement à la GLNF qui impose une croyance en un Dieu révélé. Chez nous toutes les ques-tions métaphysiques sont à l’appréciation de chacun. Dans toutes les loges tarnaises du GO on travaille sur des questions dites à l’étude des loges envoyées par Paris ». En clair, les frères planchent sur des sujets soit symboliques soit sociétaux pouvant servir aux législatifs dans l’élaboration

de projets de lois. L’implication est donc plus profonde au sein de la société. C’est pourquoi nombre de politiques sou-vent de gauche y adhèrent. A ce titre, peut-on dire que la Franc-maçonnerie est l’antichambre du pouvoir politique ? «Certains le disent, même si aujourd’hui, les Francs-maçons sont moins politisés que sous la IIIe République».

Les femmes entrent au GOPeut-on parler de guerre de loges ? «Non, du moins pas révélée». Malgré leurs différences, il n’y a pas de guerre entre ces deux loges d’autant que les gens de la GLNF visitent le GO alors que l’inverse n’est pas possible. «Du coup beaucoup de frères de la GLNF viennent chercher au Grand Orient ce qu’ils ne trouvent pas dans leur loge ».

Quels sont les critères de sélection ? Aucun, il suffit d’être libre et de bonnes mœurs. « La porte est ouverte à tous même si on se méfie toujours de l’oppor-tuniste qui rentre chez nous afin de profi-ter d’un réseau d’influence », continue le frère avant d’ajouter « le GO donne une

grande importance à la laïcité de par son travail et ses activités ».

Et les femmes dans tout ça ?

S’il existe deux obédiences féminines reconnues : le D.H (Droit Humain, loge mixte) et la GLFF réservée aux femmes à Albi, à Castres et à Gaillac, le GO vient à son tour de leur ouvrir ses portes. « La mixité a été votée mais chaque loge du Grand Orient est souveraine ». Une en-trée qui donne à ces messieurs une autre vision de la société. Mais cette ouverture n’est pas encore généralisée puisque que dans le Tarn les femmes ne sont pas ad-mises. Il y a donc encore du chemin à faire.

Les symboles qu’on ne saurait voirLa Franc-maçonnerie apparue au XVIe siècle en Écosse, s’est développée au XVIIIe siècle en Angleterre. Cette « association essentiellement philosophique et philanthropique » laisse au symbolisme une place prédominante en son sein. Certes, un delta, une pyramide, une équerre, un compas ou encore une colonne sont des objets tout aussi communs que prisés par différents organismes ou cultures. Aussi est-il simple aux Francs-Maçons de les disséminer hors les loges, dans le « monde des profanes » sans que ces mêmes profanes n’y prêtent attention. Rien de prosélyte. Justes quelques inspirations.

Les trois points : Les trois points pro-viendraient du com-pagnonnage où ils paraissent avoir symbo-lisé le triangle. L’Union Compagnonnique a conservé l’usage des trois points en triangle, alors que la Fédération Compagnonnique uti-lise les trois points pla-cés en équerre. Enfin, l’association Ouvrière a abandonné la triple ponctuation pour un

point unique après chaque initiale. Parmi les nombreuses inter-prétations possibles on peut aussi penser que les 3 points sont le symbole du comporte-ment maçonnique. S'ils caractérisent la signa-ture, ils rappellent et af-firment également que tout maçon cherche à tendre au juste milieu en toute chose (thèse, antithèse, synthèse). La Loge d’apprenti

est riche en symboles Ternaires qui méritent d’être approfondis in-dividuellement : Les 3 maillets, les 3 marches, les trois piliers, les 3 pas, les 3 ans etc...

Les colonnes : C’est ce qui soutient le temple. Au nombre de trois elles symbolisent la sagesse, la force et la beauté.

Le triangle : une figure qui s’élève toujours vers le haut.

Que signifie être franc-maçon au GO aujourd’hui ? Une liberté de pensée, se battre pour des valeurs républicaines, laïques et sociales. La Franc-maçonnerie influence beaucoup d’organismes comme l’ONU où tout est basé sur le schéma maçonnique.

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TARN

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La Franc-Maçonnerie, pour les profanes...Pourquoi le terme « maçon » ?

La démarche maçonnique vise à trans-former une pierre brute en pierre tail-lée. La pierre brute correspond à tout homme, qui a envie de réfléchir et de participer à la démarche maçonnique, à travers l’initiation que proposent les dif-férentes obédiences.

Pourquoi les membres d’une loge maçonnique sont-ils des « frères » ?Les francs-maçons considèrent que chaque être humain est un autre soi-même : même conscience, mêmes de-voirs, mêmes obligations, mais égale-ment les mêmes droits que soi-même. Le « frère » n’est pas reconnu comme un alter ego («autre moi»), mais comme une conscience autonome d’elle même. La démarche initiatique vise à recon-naître l’autre dans toute son autonomie, mais aussi comme membre de sa propre famille. Pour les maçons, nous sommes

tous les descendants de Noé, donc sym-boliquement tous «frères».

Quels faits de société interpellent les maçons aujourd’hui ?Dans les loges maçonniques, il est stric-tement interdit de débattre de politique et de religion au sens profane du terme. Ce qui peut diviser les « frères » sur les questions politiques ou religieuses est banni. Par contre, il est tout à fait pos-sible de faire un exposé sur un sujet reli-gieux ou politique. Simplement, si ce su-jet est exposé dans une loge, en aucun cas il ne peut y avoir de vote pour ou contre l’exposé qui a été fait par ce « frère ». Un « frère » peut très bien exposer pourquoi il est catholique pratiquant, il sera écou-té de façon respectueuse et intéressée,.La seule règle en franc-maçonnerie est la liberté de penser.

Nous avons, par exemple (au G.O. seu-lement), été auditionnés sur la question du mariage pour tous. On défend plutôt une manière d’aborder le problème.

Les différences entre les logesMemphis Israïm : l’Ordre maçonnique se définit comme ésotérique. Son am-bition est de pratiquer « l’Art Royal » qui vise, de son point de vue, à passer, via le processus initiatique, de l’exté-rieur à l’intérieur, de l’obscurité à la

lumière… L’initiation est vécue comme relevant d’un Principe appelé le Grand Architecte de l’Univers. L’initiation est transmise depuis des temps très reculés aux moyens de rites et de symboles dont les composantes essentielles demeurent intangibles. Ces temps immémoriaux sont symbolisés, par l’Égypte ancienne.

Grande Loge Féminine Française : La Grande Loge Féminine de France, pre-mière obédience féminine au monde, compte aujourd’hui près de 13000 membres, regroupés au sein de 400 loges en France et à l’étranger. Dans le Tarn, elle existe depuis une vingtaine d’année.

Grande Loge : C’est une obédience ma-çonnique différente de la Grande Loge nationale française, avec laquelle elle est parfois confondue dans les médias.

Droit Humain : La Fédération française du « Droit humain » est la première et la plus ancienne fédération de l’Ordre ma-çonnique mixte international « le Droit Humain ». La Fédération française du « Droit Humain » est une association selon la loi de 1901. Elle est implantée en France métropolitaine, aux Antilles (Guyane, Martinique et Guadeloupe), à La Réunion, en Océanie et Polynésie (Nouvelle-Calédonie, Tahiti et Mayotte).Elle pratique le Rite écossais ancien et accepté et travaille sur des sujets symbo-liques et sociaux.

Mais quoi qu’il en soit, « nous ne sommes que des hommes » ■

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Santé Éducation

École

Fermetures au programme

C ’est officiel, suite à la dernière réunion de la commission départementale de l’éduca-

tion nationale, de nombreuses écoles vont subir des fermetures de classes. Sur les 16 prévues 15 sont aujourd’hui confirmées :- Albi (la Négroullière – 2 classes)- Albi (Pasteur – 3 classes)- Viane ; Carmaux (J. Moulin)- Castres (J.M. Buteau, Lambert et Albinque élémentaire)- St-Sulpice (M. Pagnol)- Vabre ; Mazamet (République)- St-Juéry (Marie Curie élémentaire) ; Laboutarié (RPI)

Fermetures dites conditionnelles avant recomptage en juin : Cadalen, Albi-la Viscose, Castres-la Pause, Brusque et

Cambon.

10 ouvertures de classes : Albi (St-Exupéry 2 classes) ; Albi (Camille Claudel) ; Albi Claude-Nougaro) ; Gaillac (La Clavelle) ; Cagnac (Jean Jaurès maternelle) ; Lacabarède ;

Saussenac (RPI) ; Mézens (RPI) ; St-Gauzens (RPI).

Ouvertures conditionnelles avant re-comptage de juin : Sorèze ; Graulhet - En Gach ; Lescure - George Sand ; Palleville. ■

Contraception

La pilule a du mal à passerLes médias en ont fait leurs gros titres: la pilule contraceptive est-elle vraiment dangereuse pour la santé des femmes? Une question à laquelle répond votre magazine. Recadrage.

J par Marie-Jo Alibert

E xplications données par le Dr Corinne Cantegrel. Petite re-mise à niveau...

La contraception hormonale est basée sur le blocage de l’ovulation par des hor-mones de synthèse qui sont de 2 natures différentes: les œstrogènes de synthèse et les dérivés de la progestérone appelés les « progestatifs » de synthèse.Les moyens contraceptifs sont : la pilule, le patch percutané, l’anneau vaginal et l’implant sous cutané.Ces moyens contraceptifs hormonaux sont répartis en 2 familles distinctes se-lon leur contenu hormonal :• Les contraceptifs qui ne contiennent QUE des progestatifs, ce sont les micro-pilules et l’ implant sous cutané .Ces contraceptifs progestatifs purs n’ont aucun effet cardio vasculaire dangereux.• Les contraceptions hormonales qui contiennent l’association œstrogènes de synthèse + progestatifs de synthèse sont représentées par : les pilules contra-ceptives, l’anneau vaginal, le patch percutané.Pour comprendre le rôle des hormones concernées, nous les envisagerons l’une après l’autre :• L’œstrogène de synthèse utilisé est le même dans ces 3 présentations.Au cours des années, depuis que la contraception hormonale existe, les

fabriquants ont réduit le taux hormo-nal de cet œstrogène de synthèse : de 100 microgrammes par comprimé (qui n’existe plus), jusqu’à 15 microgrammes par comprimé.C’est cet œstrogène qui est responsable des lésions d’athérome sur les artères et des troubles de la coagulation, réalisant des caillots dans les artères (ex : infarc-tus pour les artères du cœur, hémiplégie pour les artères du cerveau) et dans les veines (les phlébites).Ce risque est démultiplié lorsqu’il existe des facteurs de risque associés : tabac, hypercholestérolémie, diabète, hyper-tension artérielle…Pour diminuer ce risque, les labora-toires pharmaceutiques ont créé, au fil du temps, des contraceptions hormo-nales contenant des doses plus faibles d’ œstrogènes.

Création de progestatifsDans cette même logique, des labora-toires pharmaceutiques ont mis sur le marché depuis 2 ans , 2 pilules à base d’œstrogènes naturels.• Le 2ème type d’ hormone contenu dans les contraceptions hormonales (pilules, anneau vaginal, patch percutané) sont les progestatifs.Ils sont dérivés pour la plupart d’ une hormone masculine (sécrétée en petite quantité de façon physiologique chez la femme) : la testostérone.Du fait de leur molécule d’ origine, ces dérivés progestatifs peuvent provoquer des effets « masculins » : prise de poids, pilosité, acné, augmentation du mauvais cholestérol.Pour diminuer ces effets négatifs, les fabriquants ont créé différents proges-tatifs, ce qui détermine en fonction de leur date de création les 2ème, 3ème et 4ème génération.Les statistiques ont malheureusement

mis en évidence une augmentation de phlébites avec les contraceptifs de 3 et 4ème génération, alors qu’ils avaient été créés pour avoir une meilleure tolé-rance sur des signes « masculinisants », comme expliqué ci- dessus.Ce risque est évalué à 40 cas de phlébite pour 10000 femmes alors qu’il est de 20 cas pour 10000 femmes avec les 2ème gé-nération et 60 pour 10000 femmes pen-dant… la grossesse (risque moyen de la population 2 à 5 cas de phlébite pour 10000 femmes par an)Le risque artériel est identique quel que soit la génération de contraceptif œstro progestatif.L’honnêteté intellectuelle veut que l’on rappelle que TOUTES les contracep-tions hormonales contenant des œstro-gènes et des progestatifs augmentent les risques cardio vasculaires, même s’ils sont statistiquement très faibles et sur-tout s’il existe une sensibilité à ces ma-ladies par un facteur pré existant : taba-gisme, surpoids, hypertension, troubles de la coagulation...Si l’on parle de risque de santé, L’honnêteté intellectuelle veut que l’on rappelle que le tabagisme tue , en France 70000 personnes par an dont 20000 femmes et que les accidents de la route tuent :3600 personnes.Les bienfaits de la « pilule » restent à souligner, chaque jour des milliers de femmes remercient leur pilule de la dis-parition des douleurs de règles, de règles trop abondantes, des douleurs des seins, de l’acné, de l’inconfort prémenstruel leur permettant une vie sociale, profes-sionnelle, familiale et amoureuse plus libre.Chaque jour des femmes et des hommes s’ épanouissent dans une vie amoureuse et sexuelle loin des risques de grossesse non souhaitée grâce à la contraception et en particulier « la pilule ». ■

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Page 7: Albi Edition Departementale Mars Web

12 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr, castres-info.fr et gaillac-info.fr

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Comptoir Achat d’OrC’est en 2008 que Claudine Rey crée l’entreprise Comptoir Achat d’or à Castres devenant précurseur d’un service alors peu connu mais qui s’est grandement développé aujourd’hui : l’achat d’or. Entretien avec une experte en or.

Parlez nous de votre entreprise ? Pourquoi se lancer dans l’achat d’or ?C’est en 2008 que j’ai perçu l’achat d’or comme un sec-teur porteur et précurseur à une époque où au final il était très peu connu du grand public. Cependant, ce n’est pas un projet dans lequel s’engager à la légère. Sérieux et rigueur sont de mise dans un métier où la confiance compte. Cela est d’autant plus vrai de nos jours face aux nombreuses entreprises, dont certaines, peu scrupuleuses, nuisent à l’image de notre profes-sion. C’est ainsi qu’est née, il y 5 ans déjà la boutique historique de Castres qui est devenue le siège social de notre réseau en Midi-Pyrénées.

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Page 8: Albi Edition Departementale Mars Web

Mars 2013 • 1514 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr

ÉvénementALBIPause Guitare

Mika, Bruel, Solveig et BB Brunes à l’affiche

Tracy Chapman, Iggy Pop, Pete Doherty, Mika, mais aussi Patrick Bruel, Martin Solveig ou

Oxmo Puccino seront au festival Pause Guitare, du 4 au 9 juillet prochains pour la grande messe annuelle de la musique. Avec cette année de nombreuses évolu-tions, mais surtout avec une ligne artis-tique toujours plus rock, le millésime 2013 de Pause Guitare sera assurément historique pour le festival Albigeois ! Avec notamment une réorganisation des espaces due au passage du Tour de France dans la ville le vendredi 5 juillet. Du coup, la Place Sainte-Cécile et le off qui s’y trouvaient se voient mis entre pa-renthèses pour cette édition.

Le site de la grande scène est agrandi, le parc des expos est investi, tout comme le Théâtre des Lices. Les Découvertes auront elles aussi leur mot à dire, avec des spectacles à l’Athanor… Car Pause Guitare maintient le cap du soutien aux

J par Marie-Jo Alibert

artistes en développement !Mais Pause Guitare, ce ne sont pas que des têtes d’affiches ! Les scènes Découverte, les Québécofolies et le Tremplin Découverte se tiendront en-core durant le week-end du festival.

Le hip-hop fait aussi son apparition d’une manière tonitruante, avec le grand Oxmo Puccino, et les stars françaises de Sexion d’Assaut, tout comme une touche colorée et acidulée de pop avec une soi-rée Martin Solveig et Mika, Lilly Wood

& The Prick & Lescop !Toujours plus telle est la devise de ce fes-tival qui résonne au-delà des frontières tarnaises.

Côté scène : le changement c’est maintenant. Pratgraussals : la grande scène de Pause guitareAu coeur du poumon vert d’Albi qu’est la base de loisirs de Pratgraussals, la grande scène avec ses petits lampions, sa pelouse est le point névralgique du festival. Avec une jauge de 10 000 per-sonnes par soir, tout est pensé pour que le festivalier se sente bien et qu’il passe des moments inoubliables !

L’AthanorAcoustique et confort optimal dé-dié aux spectacles jeune public et aux Découvertes, la salle du Gymnase ac-cueille les spectacles l’après-midi à par-tir de 14h30 !Située en plein coeur d’Albi, à coté de ce que sera le futur Grand Théâtre, l’Atha-nor est un havre de paix, nécessaire pour que les artistes jouent dans des condi-tions optimales.Les deux scènes Découvertes : les

Québécofolies et le tamplin s’y tien-dront le samedi et le dimanche avec des artistes internationaux et francophones de tous bords.Quant au lundi et au mardi, ce sont les enfants qui remplaceront les pro-fessionnels et journalistes pour 2 représentations…

Théâtre des LicesNouvelle scène, le Théâtre Municipal, situé lui aussi en plein coeur d’Albi verra des spectacles chansons s’y dérouler en fin d’après-midi. Magnifique Théâtre à l’italienne, la programmation chanson y sera tantôt « classique », tantôt décalée.

L’utilisation du Théâtre cette année peut laisser présager des concerts du même type en 2014 dans le Grand Théâtre.

Le ScénithPour la première fois de son histoire,

Pause Guitare investit le Scénith.Seule la soirée hip-hop du 4 juillet s’y déroulera.En configuration « tout debout », il peut recevoir jusqu’à 4500 festivaliers !

Pratgraussals DécouverteAssurément, la petite dernière de Pause Guitare, est presque la préférée avec sa programmation !Sa genèse ? Partant du constat que les ar-tistes Découverte ne bénéficieraient plus d’une exposition publique en 2013 avec la disparition de la scène des Arcades, il semblait nécessaire de palier ce manque, d’où la création de cette petite scène, où les artistes ne joueront que pendant les changements de plateau de la grande scène.Elle sera un complément de Pratgraussals et fera partie de l’espace payant..

Programmation de la 17e édition Le jeudi 4 juillet : Sexion d’Assaut - Kacem WapalekNicolas Jules - Melissmell

Vendredi 5 juillet : Yves Jamait - Peter Bultink

Samedi 6 juillet :Iggy And The Stooges - Pete Doherty - BB Brunes - Deluxe Hannah - Sing Sing My Darling - Noir CœurGiédré - Marie-Pierre Arthur - Salomé LeclercHay Babies - Benoît Paradis Trio - Les soeurs Boulay - Vincent Vallières - Mathieu Lippé

Dimanche 7 juillet : Crosby, Stills & Nash - Tété - Colline Hill-Tracy Chapman (en attente de

confirmation)Hay Babies - Benoît Paradis Trio - Vincent Vallières - Mathieu Lippé

Oxmo Puccino - Strange enquèteGilles Auguste - Les sœurs Boulay - Olivier Juprelle - Loraine Felix - Scotch & SofaMika.

Lundi 8 juillet :Mika - Martin Solveig - Lilly Wood and The Prick - LescopKestekop - Jell-oOClaude Jardin

Mardi 9 juillet :Patrick Bruel - Raphaël - Benjamin Biolay - Alexis HKGrosso Modo - Pauvres Martins - ChoufLe petit Noof

Billetterie et points de venteARPÈGES ET TRÉMOLOSHôtel Rochegude 28, rue Rochegude 81000 Albi05 63 60 55 90www.pauseguitare.net

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Iggy & The Stooges BB Brunes Peter Doherty

Page 9: Albi Edition Departementale Mars Web

16 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr16 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr

Interview

Alain Navarro : “ une nouvelle page s’écrit ”Directeur d’Arpèges & Trémolos, Alain Navarro nous donne sa vision de cette nouvelle édition de ce festival dont les notes résonnent aujourd’hui au-delà des frontières tarnaises. Quel avenir pour cet événement musical ? Rencontre avec ce découvreur de talents.

J propos recueillis par Marie-Jo Alibert

Qu’elle est l’originalité de cette nouvelle programmation ?C’est l’affirmation de la grande scène sur le site de Pratgraussals qui a fait ses preuves en 2012 ! Que des retours positifs... Les réticents ont été séduits ! Certains nous ont même dit avoir été mieux, assis dans l’herbe qu’ assis toute une soirée sur une coque de gradin ..Plus de têtes d’affiche en 2013 avec les 2°, 3°, 4°, 5° et 7° plus gros cachets de l’histoire de Pause Guitare. Une programmation de qualité qui permettra à chacun de s’y retrouver, sur une ou plusieurs soirées !

Cette nouvelle édition sera-t-elle à la hauteur financièrement parlant ? Cette question est en rapport au manque à gagner de l’an dernier.Nous sommes passés en 2012 d’un bud-get de 1,5 à 2,5 soit une augmentation de66 % et nous avons fini par un déficit de 2 % ! Je pense que tous les chefs d’en-treprises de France et de Navarre rêve-raient d’un résultat pareil !C’est donc avec plein d’optimisme que nous abordons cette édition !

Est-ce que le fait d’augmenter la durée du festival n’est pas trop lourd dans le budget? Si non pourquoi ?Non puisque nous diminuons

exceptionnellement (Tour de France) le nombre de scènes ! Même si le festival augmente en jours, il y aura moins de concerts qu’en 2012 ! Tout bon gestion-naire sait qu’il vaut mieux utiliser un lieu 4 jours que 3... Puisque tout est déjà loué ! Il n’y a que les frais de personnel... Le fait de faire une soirée au Scénith avec Sexion d’Assaut est une soirée qui s’autofinance puisque c’est pas moins de 4500 jeunes qui seront présents ! Ces jeunes nous disent merci d’avoir pensé à eux dans la programmation... Un petit rappel : il s’agit de nos enfants...

Est-ce la solution pour rentrer dans les frais engagés?Bien sûr..

L’an dernier la circulation a été un vrai problème pour atteindre Pratgraussals. Comment va-t-elle s’ articuler cette année ?Nous avons eu de nombreuses réunions en préfecture et en mairie... En plus d’une meilleure gestion des parkings, il a été entendu qu’il y aurait une présence plus importante de la police nationale et municipale afin de permettre une meil-leure fluidité du trafic ! Il y aura aussi en 2013 pas loin de 700 places de parking en plus... Nous sommes en discussion avec le département pour qu’il y ait des navettes bus sur 5 lignes régulières ve-nant de tout le département !

Peut-on imaginer Pause Guitare au Scénith d Albi d’autant que le 4 juillet s’ouvrira là-bas ?Nous ferons le festival «Pause Guitare» au Scénith le jour où on fera des piscines d’été dans des Zéniths !

N’est-ce pas la solution au problème de circulation ?Il n’y aura pas de problèmes de circula-tion en 2013

Qu’elle note donneriez vous à cette nouvelle édition? Y-aura t-il des surprises ?Jacques Martin n’étant plus là , en res-pect je lui laisse cela ! On n’est pas à l’école des fans... Même si le public sait nous dire ce qu’il pense !Et pour le moment en 17 éditions c’est un des meilleurs retours que nous ayons !

Dans un contexte économique difficile, Pause Guitare a-t-il un avenir ? Ou faut il revoir la copie ?En France, l’aide publique est de 33 % sur les festivals ! Sur « Pause guitare « elle est de 16 % ! Je sais que je n’ai rien à at-tendre de plus... C’est clair ! On s’adapte ...Par contre là où le partenariat privé sur les festivals ne représente que 8 %, nous sommes nous à 25 % du budget... La billetterie en France sur les festivals est de 36 % , nous sommes nous à 45 % ! En clair vous l’aurez compris quand le public achète une place à 40 euros, elle coûte en fait 90 euros à Arpèges et Trémolos ! La dif-férence vient des bars, des organismes professionnels, des subventions pu-bliques et surtout du partenariat privé !En période de crise, tant les partenaires privés que le public avons besoin de so-leil ! Nous nous attachons à faire en sorte que ce rendez vous tant attendu par tous, puisse être le plus accessible possible et le plus heureux possible ! Ces moments de vie sont précieux et contrastent telle-ment avec les images que l’on voit tous les jours...Je remercie les 500 bénévoles qui participent à faire que chaque année une nouvelle page s’écrive... ■

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Mars 2013 • 1918 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr

publi-reportage

Lavoine (le 21). Les plus jeunes ne seront pas en reste avec notamment FUN DANCEFLOOR LIVE qui accueillera RÉPUBLIQUE au mois d’avril et l’organisation en Juin de la première édition du festival de musique électro-nique ‘The Cube Festival’.

En bref, une structure qui a su s’adapter à son environnement. Il ne reste plus au final qu’à prendre son agenda et noter dès à présent les grands ren-dez-vous d’Albi Exposition.

Le mot du Président Yvon Matha : Spécial sur la foireUne foire plus économique que jamais…

C’est dans cet esprit et avec une grande conviction que nous nous mobili-sons pour cette édition 2013 de la foire économique d’Albi. Notre force…En une période où il est important de mutualiser les ressources, où il est essentiel de resserrer les liens, La foire économique d’Albi regroupe en un

même lieu activités économiques, industrielles, de com-merces et de services. C’est le rendez-vous unique et an-nuel du tissu économique et institutionnel local. Chacun peut y trouver la réponse technique, pratique et concrète à sa recherche de produits ou de prestations.

Ce qui distingue la foire expos d’Albi c’est le regroupe-ment de « Prestataires du territoire » qui par leur réactivité et leur qualité de service sont à même de comprendre, d’apprécier les besoins de chacun afin de répondre à leurs attentes.La volonté poursuivie lors de la foire est d’avoir une offre diversifiée respectant la dimension « durable » et verte des offres proposées.

Je voudrais également ajouter un point qui devient impor-tant aujourd’hui. Lorsque les toulousains viennent en grand nombre à Albi, ils soulignent la taille humaine de notre ville et je crois que le parc expositions contribue également à cette perception par le fait de réunir non seulement des locaux fonctionnels, (30 000 m2 d’exposition, plusieurs milliers de places de par-king à 100 mètres des entrées) mais surtout par l’accessibilité. Aux portes d’Albi mais tout autant aux portes de Toulouse, la foire écono-mique d’Albi offre une alternative à dimension humaine et relationnelle de qualité.

C’est la dimension complémentaire et essentielle aux consultations sur Internet pour tout ce qui touche l’Habitat , les biens de consommations et le quotidien de chacun.Une extension de 3000 m2 supplémentaires montre notre détermination à être la vitrine tonique des activités économiques de notre territoire et de notre région.

C’est l’occasion de ne pas « perdre du temps » mais de « prendre son temps » pour comprendre, approfondir vos achats et les services liés aux produits qui vous intéressent.La diversité géographique des visi-teurs en 2012, le renouvellement tout autant que la dimension pro-fessionnelle de nos exposants sont les gages de la réussite de cette nouvelle édition 2013. Soyons en ensemble les garants par notre fré-quentation et notre intérêt.

Bonne foire expos 2013 ! ■

Albi Exposition

Le partenaire de vos événements Structure incontournable de la ville depuis plus de 30 ans, Albi Expositions n’a cessé de se réinventer au fil des années pour devenir l’outil par excellence de l’événementiel en Albigeois.

Un hall d’exposition de 5 000 m2, un autre de 2 500 m2, plus de 60 manifestations et quelque 200 000 visiteurs chaque année, les chiffres impressionnent quand on évoque le Parc des Expositions

d’Albi, avec son directeur Jean-Jacques Lapeyre. Équipement dépendant de la ville d’Albi, le parc est géré par la Société d’Économie Mixte, Albi Expo. En tant que telle, précise notre directeur, « nous sommes en charge du développement de plusieurs manifestations clés».

Au service de l’événementiel en AlbigeoisCulture, sports, économie, expositions professionnelles, soirées du Club Affaires du Sporting Club Albigeois, championnat de gymnastique… Le choix d’espaces est varié au moins tout autant que la palette de presta-tions proposées par Albi Expositions. A proximité de Toulouse, se trou-vant à l’entrée de la ville avec une grande capacité d’accueil et un parking, l’équipement possède de nombreux atouts qu’il a su mettre à profit depuis une trentaine d’années, alternant nouveautés et rendez-vous phares qui ont fait sa réputation.

La Foire économique qui en est cette année à sa 46ème édition en est un des exemples. Habitat, bien-être, jardin cet événement, comme le souligne Jean-Jacques Lapeyre, a été pensé « dans une logique de développement économique afin de promouvoir les entreprises de la région et constituer un véritable tremplin à la vente pour tous les participants ». Le Grand déballage Antiquité Brocante, le Salon des Antiquaires ou bien encore celui de l’Habi-tat se sont imposés comme les grands rendez-vous d’Albi Expo.

Le Scénith, outil de promotion de la culture Fort d’un équipement qui a été repensé avec l’arrivée de gradins amovibles, le Scénith est devenu plus modulable et s’adapte désormais à tous type d’événements. « Cela nous a permis de doubler le nombre de spectacles ». Le développement de cette partie du Parc découle aussi d’une demande de la ville d’accroître le nombre de manifestations en direction de la jeunesse. La venue du groupe Sexion d’Assaut en juillet prochain dans le cadre de l’édition 2013 de Pause Guitare constitue un exemple parmi ceux visant à faire de cet équipement une véritable scène ouverte pour la culture sous toutes ses formes.

Les grands Rendez-vous 2013 au Parc des Expositions En plus de la programmation traditionnelle, quelques belles surprises sont à prévoir en 2013 : entre têtes d’affiches et nouveautés. Lancement prévu en mars avec deux icônes de la scène française : Indochine (le 8 mars) et Marc

Contact :Parc des Expositions

81990 ALBI LE SÉQUESTRE

Tél. +33 (0)5 63 49 28 40

Fax. +33 (0)5 63 49 28 41

[email protected]

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20 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr

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10 conseils pour préparer le printempsJean-Claude Collen, fondateur de Cap Vert nous prodigue dix conseils utiles pour préparer son jardin à l’arrivée du printemps.

 On prépare la terre : Bêcher, désherber, aé-rer, préparer le sol afin de rece-voir les planta-tions et divers semis.

 On vérifie si les végétaux sont endormis ou si les bourgeons sont là. Il ne faut surtout pas êtes trop hâtifs pour enlever les toiles d’hivernage car les risques de gelées persistent.

 On taille les végétaux : arbustes fleuris, rosiers, arbres fruitiers, mars est l’occasion de tailler les persistants.

 On privilégie les traitements bio comme par exemple l’huile blanche, qui projetée, sur les troncs asphyxiera les œufs de larves.

 On prépare les plantations en réalisant les compositions que l’on souhaite pour parer son jardin de mille couleurs une fois les beaux jours revenus.

L’hiver, le gel, les sécheresses ont pu abîmer le jardin. On ragrée donc à coup de terre, de terreau et de semences pour combler les zones abîmés et récupérer une pe-louse verdoyante.

 On traite les gazons : On réali-mente nos jardins avec la fumure.

 On vérifie les systèmes d’arro-sage : on libère les arrosages auto-matiques envahis par les feuilles et on enlève les purges hivernales.

 On traite les surfaces miné-rales : on privilégiera un traitement au gaz pour nettoyer les pierres envahies de mousse et autres pollutions.

 On réalise le bouturage. Il est encore temps de préparer les semis de saisons. ■

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Rencontre

Économie

Le Parc des Expositions, dans une nouvelle dimension

Même si l’édition 2013 s’ouvre le jour où la foire de Toulouse ferme, durant 10 jours, la Foire Exposition d’Albi sera une nouvelle fois le plus grand centre commercial du département du Tarn avec 230 exposants dans tous les domaines de consommation de la vie quotidienne. Mais au- delà de cet événement économique, le parc des expositions prend aujourd’hui un nouveau virage.

C ette année encore, la foire d’Albi n’a pas de thème. Une initiative prise par Jean-

Jacques Lapeyre qui souhaite dynami-ser l’activité de cet événement commer-cial en travaillant étroitement avec les acteurs de la vie économique, culturels et sportif de la ville. Le plus grand choix et les conseils des meilleurs spécialistes dans chaque secteur d’activités sont donc donnés au public lors de leur vi-site sur le site albigeois. Alors pourquoi dans ces conditions et malgré une offre alléchante, la fréquentation connaît-elle une baisse de régime ? Est-ce grave docteur ? Pas vraiment comme nous l’explique Jean-Jacques Lapeyre, le prési-dent de la foire. « L’an dernier nous avons connu -30% de visiteurs » confirme t-il avant d’ajouter. « Malgré cette baisse, les commandes ont été au rendez-vous. Notre problème est de trouver l’équilibre parfait entre la foire et le commerce ». En clair depuis son arrivée à la tête de ce grand événement commercial tarnais, le président de la foire économique d’Albi

affiche ses ambitions: pas la quantité mais plutôt la qualité d’achat. Le suc-cès de la dernière édition avec un chiffre d’affaires en nette hausse pour les expo-sants, témoigne de la bonne stratégie adoptée en 2012. « Une foire économique est

faite pour faire des affaires, ce n’est pas un parc d’attraction s», tient-il à préciser en expliquant ce choix. « Quand mon prédécesseur avait organisé une pêche à la truite, nous avions retrouvé une grande quantité de poissons pêchés jetés sur le parking. Cela a un coût: 1700€ de truites ». Dont acte…

Le parc des expositions en pleine évolution

Bref, avec l’arrivée de Jean-Jacques Lapeyre une ère nouvelle s’ouvre sur la foire et le parc des expositions. Si la foire économique, le salon Habitarn, le grand déballage ou encore le salon des antiquaires représentent 50% du chiffre d’affaires, les 50% restant sont réalisés grâce à la location des locaux pour des congrès, et autres réceptions privées. Pour cela le directeur s’est doté de gra-dins amovibles afin de rendre cet espace plus fonctionnel et surtout plus ren-table. « Le parc expo est aujourd’hui un équipement en pleine évolution », précise

Jean-Jacques Lapeyre. « Il fait partie du groupuscule Albi-congrès et accueille plus de 40% de manifestations en plus sur l’année ». Un rythme de croisière intense qui est digne des plus grandes salles na-tionales. Toutefois une question peut se poser. La construction du grand théâtre est-elle un danger pour cet équipement culturel et économique ? Peut-on y voir un concurrent sérieux quant à l’organi-sation de manifestations ?

Selon le directeur ce projet est plutôt un avantage. « En termes de places il n’y a pas photo. Nous sommes homologués pour 4500 places et de 2800 places as-sises. En cela le grand théâtre ne peut pas rivaliser. Maintenant en termes d’offres, je dirais que cette nouvelle structure est plus un truc de prestige et d’image qu’un outil de travail. On ne joue pas dans la même cour » affirme t-il. « Le parc expo trouve d’autant plus sa place car les équi-pements sont adaptés grâce notamment à ma double casquette (ndrl : il est aussi directeur du circuit d’Albi) qui me donne beaucoup de possibilités d’organisation. Les 40 hectares existants me permettent d’organiser par exemple un concert de 10 000 personnes. On a vraiment les moyens de travailler, et avec les bénéfices dégagés on pourra moderniser ce formidable ou-til. Faites moi confiance j’ai des idées plein la tête ».

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Page 13: Albi Edition Departementale Mars Web

Mars 2013 • 2524 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr

Art martial

système de compétition et participent aux différents championnats de Ligue, qualificatifs pour les championnats de France. Le club compte un champion de France et pas moins de 7 cham-pions ou vice champions de Ligue, qui de ce fait sont sélectionnés pour les prochains championnats de France qui vont se tenir à Clermont-Ferrand les 29, 30 et 31 mars prochains. Les athlètes concernés sont : Maxime Duchadeau (champion de France 2012) présélec-tionné en équipe de France, ainsi que Julie Boy, Victoria Carcenac, la seule junior, Robert Carcenac, Samuel Maso, Karim Chellili et Memmeth Ozer. Le club avec son président espère 3 titres de Champion de France pour le Dojo albigeois. Cependant, la tâche n’est pas évidente car le plateau est relevé et les combats ou confrontations sont à éli-mination directe, ce qui nécessite d’être concentré et au mieux de sa forme pen-dant toute la compétition. D’autant qu’il y a 3 ateliers en individuel et 2 par équipes ; sachant que pour être cham-pion de France (individuel) de Yoseikan Budo il faut totaliser le maximum de

points dans les 3 ateliers (Sude Jiaï , Emono Jiaï et Kata). Il ne reste plus qu’à leur souhaiter d’obtenir ces titres et par-ticiper aux championnats d’Europe qui auront lieu en Suisse au mois de mai…et pourquoi pas aux championnats du Monde à Milan en 2014 !

Vous pouvez découvrir toutes les fa-cettes du Yoseikan Budo en vous rendant au Dojo albigeois (Espace Gausserand au Stadium) aux heures d’entraînement que vous trouverez sur le site de l’asso-ciation : www.dojoalbigeois.fr ■

Yoseikan Budo

Les samouraïs des temps modernesGros plan sur le Dojo Albigeois qui regroupe 3 disciplines : Yoseikan Budo, Yoseikan training et boxe thaï.

J par Éric Leboucher

I nstallé depuis quelques mois maintenant au 1er étage de la Ferme Gausserand, sur le site du stadium d’Albi, le Dojo Albigeois

bénéficie de superbes infrastructures où les pratiquants des différentes disciplines trouvent un lieu qui leur est spécifique-ment dédié. Frédéric Taillade, président de l’association ne tarit pas d’éloges sur cet espace et ajoute « la mairie nous permet ainsi qu’à d’autres associations de travailler dans d’excellentes conditions, et je voudrais, ici saluer et remercier les services de la ville ainsi qu’Henri Broncan (manager du SCA) qui a énormément œuvré pour cet endroit et obtenir la salle de musculation dédiée aux rugbymen, entre autres ». Aujourd’hui les 118 licenciés que compte l’association sont répartis entre les 3 disciplines qui la

composent. Si tout le monde connaît la boxe thaï, le yoseikan budo l’est un peu moins, tout comme un dérivé le yoseikan training qui est une discipline de remise en forme musicalisée qui permet de faire travailler tout le corps, et sans souci de traumatologie puisqu’il n’y a pas de coup porté. Un peu d’histoire pour comprendre ce qu’est le yoseikan budo ; Maître Hiroo Mochizuki, un des grands maîtres des arts martiaux (9e dan de karaté, 8e dan d’aï-kido, 8e dan de jujutsu, 7e dan de iaido, 3e dan de judo) crée en 1975 cette disci-pline qui vise à reprendre les techniques de l’ensemble des arts martiaux et qui permet d’allier combat longue distance (armes) et combat courte distance (clés et travail au sol). Pour être complet, il a repris le com-bat à cheval et ainsi retrouvé l’origine des

samouraïs qui combattaient dans toutes ces situations. Cet art vise à l’épanouis-sement personnel avec un apprentissage permanent ; d’ailleurs une des particu-larités très appréciable de la discipline est que les débutants combattent avec les confirmés ; en effet, précise le président « si les débutants ont beaucoup à apprendre, les confirmés les accompagnent mais ap-prennent aussi de ces confrontations, car ils doivent s’adapter à cette non maîtrise et faire évoluer leur technique ». Rien n’est ja-mais acquis et c’est bien là l’attrait principal voulu par Maître Mochizuki.

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Page 14: Albi Edition Departementale Mars Web

Mars 2013 • 27

publi-reportageSporting Club Albigeois

26 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr

D irecteur commercial depuis juillet 2011, Jean-Jacques Veyrac a développé considéra-

blement le portefeuille partenaires (+ 130 partenaires en moins de 2 ans).

D’après vous, qu’est ce qui explique ce nombre croissant de partenaires malgré une conjoncture actuelle défavorable ?Nous avons su développer une offre at-tractive pour nos partenaires via le Club Affaires dont l’adhésion est comprise dans le montant du partenariat. Les chefs d’en-treprises albigeois et toulousains ont très vite compris l’intérêt qu’ils avaient à ad-hérer au Club Affaires. Aujourd’hui, il est devenu le réseau économique in-contournable de l’albigeois. L’effet de la crise il est indéniable, mais justement dans ces périodes compliquées les entreprises ont besoin de com-muniquer et de trouver d’autres leviers de déve-loppement. La prospection au Club Affaires du SCA, qu’elle soit directe ou indirecte, en est un !

Que faire pour adhérer au Club Affaires ?C’est très simple, contactez moi directe-ment au 06.08.53.73.20 et nous trouve-rons la solution la mieux adaptée pour votre entreprise. Dans tous les cas, vous ne le regretterez pas ! ■

Le SCA et son Club Affaires

Une histoire d’hommesA rrivé en Juillet 2011 dans

les valises de Jean-Jacques Castanet, actuel Président

du SCA, Hugues Henry a accepté la Direction Générale avec un objec-tif clair : remettre le club en ordre de marche. Interview d’un homme par qui le changement est arrivé…

Après 7 ans dans le foot comment arrive-t-on au SCA?Ma venue à Albi est avant tout une his-toire de rencontres entre aficionados du ballon ovale. J’ai beau avoir travail-lé dans le monde du foot professionnel mon premier amour est le rugby ! Jean-Jacques Castanet m’a expliqué son projet et m’a invité à l’accompagner sur la finale à Agen. J’ai rapidement senti la ferveur populaire, l’engouement d’une ville der-rière son club : c’était beau, c’était fort. Quelques jours après, j’acceptais avec un grand enthousiasme la direction géné-rale du club.

Comment avez-vous trouvé le club à votre arrivée ?La situation que nous avons trouvée en arrivant n’était pas celle annoncée par l’ancien président du club : des finances au plus bas, une équipe administrative désorganisée… Sur le plan sportif, un nouvel effectif se mettait en place pour faire face aux très nombreux départs. A côté de ce tableau quelque peu néga-tif, j’ai trouvé des hommes motivés et passionnés sur lesquels s’appuyer pour reconstruire le club.

Quels ont été les grands axes de développement ?Dès le départ, il a fallu sortir d’une situa-tion d’urgence. Nous y sommes parve-nus, en restant toutefois dans une situa-tion fragile, tout en mettant sur pieds un plan de développement à moyen terme : Sur le plan organisationnel et commer-cial, je me suis entouré d’un directeur commercial Jean-Jacques Veyrac (photo ci-contre), avec qui nous avons élaboré une nouvelle politique commerciale et marketing. Notre volonté commune était de recréer une relation partenaires jusqu’à présent quasi inexistante, et de considérer chaque partenaire sur un pied d’égalité. Concrètement, nous avons mis en place le CLUB AFFAIRES permettant à tous nos partenaires de se rencontrer et d’échanger lors de soirées business. Dans le même temps, pour élargir notre périmètre d’action, nous avons créée une association regrou-pant des investisseurs venus de toute la France : OVALLIA. Sur le plan spor-tif, nous avons fait le choix avec Henry Broncan de concentrer nos efforts sur la formation et le recrutement des jeunes joueurs.

Aujourd’hui, où en est le Club ? Nous sommes en phase de stabilisation et de pérennisation des actions mises en place. L’augmentation du nombre de partenaires, le succès du Club Affaires nous indiquent que nous avons fait les bons choix. Il ne faut pas relâcher nos efforts, nous devons sans cesse nous re-nouveler pour être attractifs.Au niveau sportif, nous avons cette sai-son l’équipe la plus jeune de la Pro D2. Cela a ses avantages comme ses incon-vénients… notre objectif affiché en début de saison était le maintien nous avons rempli notre contrat. A l’heure qu’il est, nous sommes en pleine prépa-ration de la saison prochaine.

Quelle est votre vision du SCA dans 2 ans ? Je vois un club organisé, stabilisé qui

pourra se maintenir dans le premier tiers du classement. Nul doute que le SCA saura revenir à son plus haut niveau et tenir son rôle de grand club de Pro D2.

Hugues Henry, directeur général

Jean-Jacques Veyrac, directeur commercial

partenaire

du

Page 15: Albi Edition Departementale Mars Web

Mars 2013 • 2928 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

EmploiCASTRESD epuis 1993, la communauté

d’agglomération Castres-Mazamet travaille à accompa-

gner la reconversion du bassin qui était historiquement tourné vers l’industrie textile, la mécanique et l’extraction de granits, pour éviter la perte d’emploi. Fin 2012, 29 339 demandeurs d’emploi étaient inscrits dans le Tarn. En 2012, ce sont 14 069 offres d’emplois qui ont été enregistrées par Pôle-Emploi sur le département, dont 4 979 sur le bassin Castres-Mazamet qui lui, a comptabilisé 11 146 demandeurs d’emploi.

Les jeunes de moins de 25 ans et les se-niors de plus de 50 ans sont, à l’image de la situation du marché de l’emploi na-tionale, les plus fragilisés par ces temps de crise économique. Malgré tout, les acteurs de l’emploi du Tarn Sud se disent mobilisés et solidaires dans cette lutte contre le chômage.

« L’emploi n’est pas une compétence di-recte de la communauté d’agglomération. C’est le développement économique qui l’est. Mais quand on s’intéresse au déve-loppement économique, il y a derrière l’objectif de l’emploi. C’est un enjeu pour la population », souligne la communauté d’agglomération. Pour attirer les entre-prises, la communauté d’agglomération gère seize zones d’activités industrielles. Elle propose des offres foncières et de services, immobilières-locatives ainsi que des offres sur la Technopôle pour intéresser les entreprises et leurs projets.

Attirer les entreprises et leurs projetsLa Technopôle accompagne le dévelop-pement de trois secteurs : la chimie, le numérique et la santé. Plusieurs acteurs industriels, comme Pierre Fabre ou Air Liquide sont implantés au cœur de cette

Technopôle. Ce sont au total une qua-rantaine d’entreprises qui emploient trois mille personnes dans le domaine de la santé. « C’est le lien et l’investisse-ment entre les acteurs du bassin Castres-Mazamet qui permettent de faire évoluer les choses. La CCI, la communauté d’ag-glomération et Pierre Fabre, entre autres font partie de ce réseau d’acteurs », sou-ligne la communauté d’agglomération.

L’autoroute fait également partie des projets : « C’est aussi un moyen de favo-riser l’emploi sur le bassin. Avoir une liaison routière directe vers Toulouse est un élément supplémentaire d’attractivité pour les entreprises ici ». Le développe-ment du réseau de fibre optique est aussi un moyen d’attirer des entreprises, quel que soit leur secteur d’activité, pour leur garantir un service sécurisé de naviga-tion de leurs données.

Outre l’émergence de ces trois secteurs (chimie, numérique et santé), « le bas-sin s’est diversifié sur l’agro-alimentaire et dans d’autres domaines. C’est cette diver-sification qui fait la force de notre tissu économique », souligne Alain Vaissette, responsable du pôle « Création, trans-mission et reprise d’entreprises » et du pôle « Emploi et apprentissage » à la Chambre du Commerce et d’Industrie du Tarn. Ces dernières années, Alain Vaissette a constaté que de plus en plus de porteurs de projets se présentent à la CCI. «Plus la conjoncture est défavorable, plus il y a de porteurs de projets. Nous en recevons 1 200 à 1 300 par an. Les projets sont variés et peuvent aller d’un restau-rant, à des cabinets de conseils en passant par de la prestation de services. Seuls 25% concrétisent leurs projets. Notre rôle, c’est d’accompagner à la création d’entreprises avec le pôle ˝Création, transmission et reprise d’entreprises˝. Nous proposons un suivi personnalisé aux porteurs de projets

La reconversion : créatrice d'emploisLe bassin Castres-Mazamet, historiquement ancré dans les secteurs d’industrie traditionnelle, s’est engagé depuis une vingtaine d’années dans la reconversion de sa population pour éviter la perte d’emploi. En ce contexte de crise économique les acteurs du Tarn Sud se disent solidaires.

J par Roxane Nicolas

Depuis de nombreux mois, la France renoue avec les heures les plus sombres de son his-

toire en matière de chômage de masse. Une situation inquiétante qui n’épargne malheureusement personne, touchant de fait l’ensemble des départements français. Avec un taux de chômage de 11%, le Tarn reste au-dessus de la moyenne régionale qui est de 9,9 % et surtout nationale avec un ratio de 9,6%.

Avec de tels chiffres, il ne fait guère de doute que le département a bel et bien un problème de chômage structurel. Les causes sont multiples et les remèdes relativement inefficaces pour inverser la tendance sur une longue période. Aucun responsable politique n’a, à ce jour, trouvé la solution. Le grand soir de l’emploi n’est pas pour demain surtout dans certaines zones géographiques du département.

Selon Dominique Maréchau, directeur du travail, responsable de l’unité territo-riale, les 11% de demandeurs d’emplois au premier trimestre 2012 seraient es-sentiellement liés à des raisons sociolo-giques et économiques. En clair, et tou-jours selon le directeur, « les personnes au chômage habitant un autre départe-ment viennent chercher du travail dans des villes dites plus grandes donc suscep-tibles de proposer une meilleure offre ». D’où le taux.

Néanmoins, on ne peut baser ce résultat uniquement sur ce constat. Il est évident que la désindustrialisation dans le sud et le problème de la métallurgie dans le nord n’ont pas arrangé les choses. Et si on ajoute à cela une crise économique d’une grande ampleur et son flot de dé-sillusions qui va avec, il est évident que

l’avenir n’est pas tout à fait encourageant comme l’a promis François Hollande qui souhaite « inverser la courbe du chômage dans un an». L’engagement présidentiel risque de se transformer en vœu pieux.

Développement d’activitésAujourd’hui, on constate que le nord et l’ouest du département sont les grands gagnants dans cette guerre à l’embauche. Tous deux bénéficient en effet d’un levier économique qui passe par un développement d’activités avec notam-ment l’installation de centres d’appel et l’arrivée d’industries qui s’implantent au bord de l’autoroute. Une dynamique à laquelle vient se greffer la réalisation d’une couveuse d’entreprises sur Albi. Quant au sud, zone géographique pour le moins isolée par son manque de voies de communication, il profite de l’ap-parition de nouvelles activités avec la E-Santé.

Une lueur d’espoir, mais le sursaut, pour l’heure, se fait attendre. Le rouleau com-presseur du chômage de masse a repris inexorablement sa marche forcée, et rien ne semble, à court terme, en mesure de l’arrêter. Or, il y a urgence.

Les seniors plus touchés par le chômageDans le département la population seniors connaît une augmentation du chômage. En 1 an : - 25 ans : +8,3%, + 50 ans 17,9%.

Pourcentage des demandeurs d’emploi plus faible à CastresSur les sept premiers mois, le pourcentage de demandeurs d’emplois était curieusement plus élevé sur Albi avec un taux de + 8,7 % contre + 4,5% pour Castres. « Le recours au chômage partiel est plus le fait des entreprises du sud que du nord », explique Dominique Maréchau. « Cela est une indication à double tranchant. Le point positif est que dans ce cas l’entreprise a suffisamment d’espoirs pour ne pas engager des pro-cédures de licenciement. Le point négatif, l’entreprise n’est pas sûre de son avenir ».

Page 16: Albi Edition Departementale Mars Web

Mars 2013 • 3130 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

Emploi publi-reportage

Mc Donald’s

1er recruteur de jeunes en FranceEntretien avec Georges Reygnier, gérant des Mc Donald’s de Castres-Mazamet.

Comment une franchise comme la vôtre présente à l’international s’adapte au marché local ? On s’adapte tout d’abord en s’engageant sur le long terme pour l’emploi et pour nos salariés. C’est ainsi qu’en 2011, nous nous sommes engagés aux côtés du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé, à créer 9 000 emplois sur trois ans. Pour moi les chiffres parlent d’eux mêmes. Actuellement, plus de 80% de nos em-plois sont en CDI* et l’ouverture de nouveaux restau-rants participe chaque année à créer 3 000 emplois sur le territoire national. Selon moi, c’est avant tout en s’en-gageant auprès de l’humain que l’on peut réellement s’adapter au marché local.

Quels sont vos engagements pour l’emploi et les différentes problématiques actuelles ? Notre politique suit deux axes majeurs : mixité sociale et égalité des chances. Depuis 2008, nous avons mis

en place des accords d’entreprises favorisant l’égalité homme femme que ce soit au niveau du recrutement, de traitement ou bien encore de l’évolution de carrière.

Quelles sont les perspectives de carrière dans votre enseigne ? C’est peut être là l’atout majeur de notre politique em-ploi. Nous avons développé au fil du temps des pers-pectives d’évolution interne même pour nos employés qui arrivent chez nous avec peu de diplômes. Cela est possible notamment grâce aux formations que nous assurons en interne mais aussi avec la VAE (Validation des Acquis de l’Expérience). Ainsi près de 80% de nos directeurs adjoints et managers de restaurant ont com-mencé leur carrière comme équipiers.

*Estimation sur la base des données sociales d’Enseigne au 31 décembre 2011. ** Étude Synovate 2011. ■

et une formation gratuite intitulée ˝5 jours pour entreprendre.˝»

Avec la mise en place de l’auto-entre-prenariat, il y a eu une augmentation de demandes de conseils auprès de la CCI, aucun chiffre ne leur permet de suivre ce phénomène puisque les auto-entre-preneurs ne sont pas immatriculés au registre du commerce et de l’industrie.

Une situation malgré tout fragileSi la création d’entreprise est le moyen trouvé par certains pour se maintenir en activité, être son propre patron n’est pas toujours synonyme de réussite. En 2012, 160 entreprises du Sud Tarn, principale-ment artisanales, des petits commerces et du milieu du bâtiment ont déposé le bilan, ce qui représente 450 salariés. « Mais tous ne sont pas licenciés parce que déposer le bilan ne signifie pas forcément fermer », explique Patrick Espel, greffier au tribunal de commerce. Malgré tout, 70% de ces 160 entreprises ont fermé.

En février, un rapport de la Banque de France a été présenté à la Chambre du Commerce et d’Industrie d’Albi. En Midi-Pyrénées, les perspectives pour l’emploi salarié industriel sont peu favorables. En 2012, les effectifs de ce secteur ont évolué positivement de 1,6%. En 2013, l’évolution prévue par la Banque de France sera plutôt de l’ordre de -0,1% sur l’ensemble des sec-teurs. Dans le Tarn, l’activité industrielle est « en demi-teinte » et les prévisions restent réservées dans la plupart des secteurs Tarnais. Pourtant, les chiffres d’affaires et investissements sont soute-nues dans la mécanique et le travail des métaux, sauf quand l’activité est liée au BTP. L’aéronautique toulousaine a un faible impact dans le Tarn mais les en-treprises du département recherchent de nouveaux marchés. « Les activités de mégisserie sont soutenues par le cuir stretch. Quant au secteur du textile et de l’habillement, ils s’orientent vers le luxe

ou les produits techniques », souligne le rapport.

Du côté du secteur du Commerce, les chiffres d’affaires ont été dans l’ensemble meilleurs en 2012 que ce qui avait été prévu pour le département. Mais les trésoreries sont toujours faibles notam-ment pour le commerce de gros qui est dans une situation délicate avec une baisse de 70%. Secteur qui a créé peu d’emplois en 2012.

L’Hôtellerie, commerce / restauration est le secteur qui dans le Tarn a eu une bonne saison 2012. Entre autres grâce aux retombées positives du classement de la Cité Épiscopale sur l’activité tou-ristique du département qui permettent de limiter les effets de la crise écono-mique dans ce secteur. C’est aussi ce que révélaient les chiffres de Pôle-Emploi en fin d’année 2012. 73% des offres comp-tabilisées sur le bassin provenaient du secteur tertiaire. Parmi les secteurs qui ont proposés le plus d’offres en 2012 sur le bassin Castrais, on note, le com-merce, la vente et la grande distribution, les services à la personne et à la collec-tivité, l’hôtellerie/restauration ou encore l’industrie. Malgré tout, le rapport de la Banque de France met en avant des in-quiétudes pour 2013.

Quand au BTP en Midi-Pyrénées, c’est une toute autre histoire. L’ année 2013 s’annonce encore difficile. Une baisse si-gnificative des effectifs est attendue dans l’ensemble des branches du bâtiment.

Le rapport conclut sur les entreprises en Midi-Pyrénées : « En 2013, l’évolution sera encore positive mais un sensible ra-lentissement dans les secteurs de l’indus-trie et des services est à prévoir. La situa-tion serait toujours très difficile dans le BTP. Le rythme des créations nettes d’em-plois s’infléchirait sauf dans les Services. Le recours à l’intérim diminuerait forte-ment dans l’ensemble des secteurs ». ■

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Le chiffre :160 entreprises du Sud Tarn ont dépo-sé le bilan. 70% d’entre elles ont fermé. (Patrick Espel, greffier au tribunal de commerce.)

Quelques entreprises qui recrutent : Le groupe italien Comau recherche des ingénieurs et des techniciens mécaniques.

Le centre de relation clients DPI, recrute des téléopérateurs et des chefs de projets.

CGX Aero, au Causse recrute cinq ingénieurs en informatique pour la réalisation de logiciels aéronautiques.

Inter Média Sud a trois postes d’in-génieurs réseau et sécurité informa-tique à pourvoir ainsi que cinq à 6 postes de techniciens de sécurité pour gérer, surveiller le réseau de fibre optique.

Weir Minerals recherche en perma-nence des soudeurs qualifiés.

Le site internet de l’entreprise Pierre Fabre indique qu’une dizaine de postes sont à pourvoir sur le Tarn.

Société Comau, leader mondial dans le domaine des systèmes de production avancés pour la fabrication de caisses complètes et de composants de véhicules.

Page 17: Albi Edition Departementale Mars Web

Mars 2013 • 3332 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

publi-reportage

nous confie un dossier est un dossier qui est revu plu-sieurs fois par nos services avant de le clôturer.

Qu’en est-il du recouvrement judiciaire?E.B : Quand toutes les voies à l’amiable sont épuisées, les échéanciers et les créances non respectés nous devons réagir rapidement. Le client reste cependant le seul à décider d’entamer ou non une procédure en fonction des éléments qu’on lui fournit. S’il décide d’al-ler en procédure, nous étudions le dossier de manière plus approfondie avec tous les éléments pouvant servir à mettre en place une procédure judiciaire de recou-vrement. Nous devenons ainsi des intermédiaires entre le client, les avocats et les huissiers. Nous travaillons en bonne intelligence avec eux afin d’orienter le dossier auprès de ces partenaires chevronnés.

Et concernant la prévention du client et la formation, quels sont exactement les services proposés ? N.B : Concernant la prévention du risque du client, elle apparaît comme un prolongement nécessaire à notre activité. Elle passe notamment par une étude de sol-vabilité pour les entreprises mais aussi la formation. Par exemple, si nos créanciers évoluent dans du B to B (avec d’autres entreprises), ils nous consultent pour s’informer de la solvabilité des entreprises avant d’ou-vrir un compte ou face à des délais de paiements. Nous pouvons aussi rechercher l’ensemble des informations de solvabilité financière des créanciers de nos clients et les analyser. Cela donne d’ailleurs lieu à des formations sur les pistes à suivre pour gérer à l’amiable la relation financière avec le client. C’est toujours délicat de récla-mer de l’argent à ses clients. Surtout car l’on craint que cela mène à des contrariétés dans la relation avec le client, d’autant plus en période de crise. Nous faisons donc avant tout de la prévention afin d ‘éviter de tomber dans du contentieux.

La relance post client est aussi l’un de vos services. N.B : Tout comme pour les précédents (prévention du client et formation), la relance de poste client est une activité périphérique et complémentaire à notre corps de métier. Le principe est simple. Nous faisons pour les entreprises la gestion des factures à date d’échéances en relançant les clients au téléphone au nom de l’entre-prise. Cela nous permet de détecter les retards mais aussi les litiges à venir. Notre avantage dans cette rela-tion, c’est toute notre expérience en termes de conten-tieux qui nous permet d’apporter une réponse profes-sionnelle. Au final, en externalisant la relance du poste client de manière partielle ou durable cela permet d’op-timiser le personnel au sein de l’entreprise cliente.

Si vous deviez résumer, comment expliqueriez-vous votre métier ? N.B : Notre métier c’est avant tout de chercher l’infor-mation et savoir chercher partout comment récupérer les fonds du créancier. Il faut avant tout être de bons

stratèges pour pouvoir évoluer sur un terrain qui est en constant mouvement, tout en restant des médiateurs avant tout. Mais notre métier c’est aussi une évolution perpétuelle. Les difficultés d’encaissement sont de plus en plus nombreuses dans un contexte économique fra-gile où les situations changent et évoluent de plus en plus vite. Ce qui a changé dans notre métier c’est aussi la nécessité de s’adapter constamment, d’être toujours plus rusé.

Au final OPJ aujourd’hui c’est 30 ans d’existence, mais encore ? N.B : Aujourd’hui OPJ c’est une équipe d’une dizaine de personnes notamment 5 en charge du recouvrement et spécialisées dans le juridique, et 5 au service commer-cial et administratif. Nous avons dû nous adapter aux nouveaux modes de communication et aux nouveaux services, ce qui nous a permis de développer de nou-veaux services tels que la formation sur notre corps de métiers, prévention du risque client et les méthodes de recouvrement.

Le mot de la fin ? Au final quel votre atout majeur ? E.B : Notre volonté et notre capacité à percevoir les re-couvrements de créances pour nos clients tout en res-tant souples et efficients pour optimiser les coûts du recouvrement. Tout cela, bien sûr dans un intérêt réci-proque tant pour le créancier, le débiteur et notre entre-prise. Notre métier repose sur la performance constante car notre activité est fonction du résultat. Autrement dit, nous sommes rémunérés seulement lors de l’encaisse-ment. De plus, notre objectif est de ne pas mettre trop de frais chez le client. On cherche avant tout à éviter la procédure et les coûts qu’elle engendre. Et si on va en procédure nous faisons bénéficier nos clients de ta-rifs préférentiels du réseau d’avocats avec lequel nous travaillons.

Et concernant le futur ? N.B : Nous avons toujours des projets de développe-ment notamment en continuant à conquérir de nou-veaux clients. Les mutations actuelles du monde contemporain ont soulevé de nouvelles problématiques et de nouveaux enjeux notamment en matière de re-couvrement. Notre métier consiste donc à s’adapter à ce renouveau continuel pour répondre de la manière la plus pertinente aux besoins de nos clients. ■

Office de Procédure Juridique

L’humain avant tout Créé en 1981, l’Office de Procédure Juridique de Castres est resté aujourd’hui l’un des cabinets de recouvrement les plus anciens de France. Avec toujours les mêmes maîtres mots depuis plus de 30 ans : privilégier les relations humaines avant tout. Nathalie Balzan, l’actuelle dirigeante, et Evelyne Bosc, directrice, reviennent pour nous sur leurs métiers.

Nathalie Balzan, vous êtes la gérante d’OPJ depuis 2006, quelle est l’histoire de votre entreprise ?Nathalie Balzan : L’entreprise a été créée en 1981 par mon père. Il rencontrait alors les petites PME et essayait de les convaincre de passer par notre société afin de gérer les impayés, sur un marché encore émergent. Au départ, le service se faisait à l’amiable. Cependant, voulant conquérir de nouveaux marchés, il a développé un service juridique pour passer de l’amiable à l’étude juridique dès 1999. Mon père fut même un participant dans la création du syndicat des cabinets de recouvre-ment ANCR.

Et la suite... Jusqu’à votre arrivée ? N.B : La suite de l’histoire s’est construite petit à petit notamment grâce à la volonté de mon père et de ses salariés. Nous sommes ainsi devenus un partenaire pri-vilégié des entreprises assurant la liaison entre le client, la créance, leur trésorerie et le service comptabilité. Dès 1997, l’entreprise a développé son marché avec une équipe commerciale qui propose nos services dans tout le sud Midi-Pyrénées et le Languedoc-Roussillon.

Quels sont vos parcours respectifs ? N.B : Je suis arrivée dans l’entreprise en 2000 après un BTS d’assistance de gestion. Je me suis ensuite formée auprès d’Evelyne et de mon père. Arrivée à la direction en 2004, j’ai pris la gérance en février 2006.

Evelyne Bosc : En ce qui me concerne, j’ai une forma-tion BAC +5 spécialisée dans les voies d’exécution no-tamment celles relatives aux décisions de justice. Avec une spécialisation dans le contentieux et l’arbitrage.

Quels sont les domaines de compétences d’OPJ ? N.B : De manière globale, nous intervenons dans un processus complet de la prévention jusqu’au règle-ment du contentieux. De la prévention, à l’amiable en passant par la formation et le recouvrement c’est une solution complète au service des entreprises. Pour info, c’est seulement 15% de nos dossiers qui passent en

procédure. Tout le reste se traite à l’amiable. Quand ils sortent de chez nous, les dossiers sont « essorés », dans le sens où nous cherchons absolument une solu-tion à travers notre portefeuille de compétences. Le but de notre action vise à encaisser au plus vite les fonds du débiteur pour les reverser au créancier de préférence sans passer en procédure.

Concernant le recouvrement de crédit, qui est votre cœur historique de métier, quel est l’intérêt pour une entreprise de faire appel à vos services ? N.B : Tout d’abord, il est nécessaire de noter qu’il existe deux types de recouvrements sachant que le recouvre-ment à l’amiable reste notre priorité.

A savoir? N.B : A savoir que le recouvrement à l’amiable reste une démarche prioritaire, inscrite dans l’ADN de notre entreprise. Les rapports conflictuels sont rares. Nous cherchons avant tout des procédures médiatrices entre débiteurs et créditeurs. Nous ne sommes pas dans l’ac-cusation, ni dans les leçons de morale. Nous cherchons avant tout à faire le point et à orienter des débiteurs souvent dépassés par les événements. Nous sommes conscients des difficultés impulsées par la conjoncture actuelle. Cela a entraîné un bouleversement de l’entre-prise et nous avons dû mettre en place de nouveaux services. Comme par exemple le phoning avec une ex-tension des plages horaires pour joindre les débiteurs le plus rapidement possible.

Nous pouvons aussi mettre en place des échéanciers après avoir analysé les éléments de solvabilité de la personne. Tout est contrôlé en fonction des ressources justifiées du débiteur. On rejauge les éléments de solva-bilité deux fois par an. Dès « retour à meilleure fortune », on adapte l’échéancier en fonction des ressources.

Au final, tout notre travail vise à trouver des éléments de solvabilité avec le débiteur, pour trouver une issue posi-tive à une procédure qui est coûteuse. Nous n’allons pas en procédure si elle n’est pas justifiée. Un client qui

Contact : 47 Chemin du Corporal, 81100 Castres

Pour une information, un conseil, appelez notre ligne directe : 05 63 62 62 20

http://www.opjdsn.fr/

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34 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

publi-reportage

API

Leader local des entreprises de travail temporaire Implantée depuis 6 ans sur le territoire avec deux agences à Castres et Mazamet, Alternative Placement Intérim c’est la force d’un réseau de proximité au service de l’emploi et de ces différents acteurs qui a su s’imposer comme un leader local des entreprises de travail temporaire.

Six ans déjà qu’est née API de la volonté de son dirigeant Laurent Dupont

d’offrir une réponse pertinente au marché du travail tempo-raire local. « La situation éco-nomique actuelle amène le monde du travail à la flexibi-lité, la souplesse, la disponibi-lité et la polyvalence », précise le dirigeant. Pour répondre à ces attentes, ce dernier a fait le choix d’une entreprise qui se concentre sur les dynamiques du marché tarnais. « Les déci-sions sont prises en local ce qui permet une rapidité de service et une relation directe de confiance ».

6 ans au service de l’emploi pour :• Les entreprises : API a développé de nom-

breuses compétences à l’égard des entreprises. Comme le souligne Laurent Dupont : « Nous assurons désormais l’ensemble du processus de recrutement pour trouver le bon candidat pour la bonne entreprise ». De la présélection des candidats à la prestation d’inté-rim et de recrutement en CDD et CDI, API a su inves-tir les domaines de conseil et assistance en ressources humaines. L’entreprise API intervient désormais dans tous les secteurs : industries, transports, logistiques, commerces, bâtiment, tertiaire… avec toujours la même volonté de la double satisfaction de l’entreprise mais aussi du salarié.

• Les salariés : Chez API, comme le souligne Laurent Dupont : « Nous voulons en ces temps de fra-gilité économique, accompagner les gens vers l’emploi et la gestion de leurs carrières. L’emploi temporaire n’est pas seulement un outil de ‘dépannage’ mais nous le considérons véritablement comme un tremplin vers des contrats longue durée ». Les intérimaires chez API

sont avant tout des salariés que l’agence accompagne, y compris dans leur formation. « Nous nous engageons aussi dans la diversité des profils que nous recrutons. Jeunes, sé-niors, hommes, femmes, diplô-més, non diplômés, tous sont les bienvenus chez API, car c’est dans cette parité et cette diversité que réside la valeur ajoutée de nos services» at-teste Laurent Dupont. Conseil, acompte des payes, avantages naissance-congés (depuis

2013), formations, l’entreprise a su développer des ser-vices adaptés aux attentes des salariés.

• Mais aussi la vie locale : De par son impli-cation humaine et financière dans de multiples asso-ciations qu’elles soient professionnelles, sportives ou culturelles mais aussi ses contributions pour le terri-toire, API a réussi à s’imposer comme un moteur de l’économie locale.

En six ans, bien plus qu’un service, c’est donc un vé-ritable engagement pour l’emploi que poursuit API. D’ailleurs, les quelque 215 entreprises et les 1262 sala-riés qui ont fait confiance à API en 2012 ainsi que les 21 000 contrats signés depuis l’ouverture ne diront pas le contraire. ■

Vos deux agences API3, Quai du Carras 81100 CASTRES

Quai Ch. Cazenave 81200 MAZAMET

Tel : 05 63 72 90 90 - Fax : 05 63 72 90 95www.alternative81.fr

page : alternative placement intérim

Laurent Dupont et une partie de l’équipe API.(API c’est aussi : Blandine AURIOL, Cécile ROQUES, Delphine FERRIERES et Karen AZAIS, non présentes sur la photo).

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36 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr Mars 2013 • 37

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Chauffage confort

Savoir optimiser votre installation Réalisez des économies d’énergies avec l’entreprise de Laurent Ranica, spécialiste des systèmes de chauffage depuis plus de 20 ans, qui met son savoir faire à votre service.

Salarié pendant de nombreuses années, Laurent RANICA crée en 2003 la société CHAUFFAGE ET CONFORT. A l’heure actuelle son entreprise

emploie 3 techniciens spécialisés qui bénéficient régu-lièrement de formations pour actualiser leurs connais-sances et se familiariser avec les nouvelles techniques.

Une compétence étendueL’activité de l’entreprise comporte 3 pôles : la concep-tion et la réalisation d’installations, la maintenance, et le dépannage. A coté de l’activé traditionnelle (chaufferie au Fuel ou à gaz) l’entreprise s’est spécialisée dans la mise en œuvre des énergies renouvelables en collabo-ration avec un bureau d’étude thermique. Cette activité en plein développement recouvre à la fois le secteur des équipements solaires, des chaudières à bois et à granu-lés sans oublier celui des pompes à chaleur. La société ne néglige pas pour autant son activité de maintenance

et de dépannage des installa-tions existantes, tout en pro-posant des améliorations à moindre coût, telles que ré-gulation programmable, robi-nets thermostatiques…

Des installations de qualitéFaire appel à Chauffage Confort, c’est aussi bénéficier de professionnels agréés par des marques telles que : Cuenod, Idéal Standart, Atlantic, Bosch... ■

Fournials motoculture

Spécialiste du matériel de jardin depuis 1956De la tondeuse robot au tracteur en passant par le souffleur de feuilles et les sécateurs, c’est une large gamme de produits d’entretien des espaces verts que vous propose l’entreprise Fournials Motoculture.

Entreprise tarnaise et familiale avant tout, Fournials Motoculture trône dans le paysage dé-partemental depuis 56 ans déjà.

Spécialiste du jardin de père en filsL’histoire commence en 1956 avec le grand père, alors forgeron qui, se lance dans l’activité de l’entretien du matériel des espaces verts. La suite nous amène en 1965, à Lescure, où la famille ouvre son premier ma-gasin, dans un secteur encore à l’état de niche. Dans un même temps, l’entreprise développe aussi ses équipes de commerciaux et d’ouvriers. Jean-Bernard, le fils reprend les rennes à 26 ans. Dès lors, l’entreprise accroît son portefeuille de marques, recherchant no-tamment des produits innovants et de qualité comme Honda, présente dans les rayons depuis 1991 et qui reste encore la référence sur le marché. « Nous avons défendu nos marques à 100%, les promouvant auprès de nos consommateurs. De ce fait nous intéressons nos fournisseurs, de par cette capacité à nous vendre et à assurer le service après vente », souligne Simon Fournials qui a rejoint le navire avec son frère Vincent respecti-vement à Saïx et à Graulhet.

Une entreprise qui s’engage pour son environnement La cinquantenaire fourmille de projets s’adaptant sans cesse à

son environnement et proposant de nouveaux produits à ses clients. Stilh, Viking, Honda et Staub : c’est le choix de la qualité qui est fait dans la sélection minu-tieuse des produits. Aujourd’hui le magasin de Saïx pro-pose aussi des remorques. Fournials Motoculture s’en-gage également pour rendre son métier plus propre. Ils mettent un point d’honneur au recyclage. Les produits sont ainsi nettoyés, on trie les déchets (plastiques, fer, huiles) et on récupère les pièces détachées. Ce travail a d’ailleurs donné naissance à une boutique en ligne. En effet, à partir du mois d’avril, Fournials Motoculture lance son site de vente en ligne dédié aux pièces déta-chées d’occasions. « Toutes les pièces seront stockées à Castres et vérifiées par nos experts avant d’être mises en ligne » précise le dirigeant.

Aujourd’hui Fournials Motoculture, c’est 25 employés, 3 magasins de 800m2

avec ateliers et showroom à Lescure d’Al-bigeois, Saix et Graulhet. C’est aussi une palette complète de ser-vices allant de la réparation au SAV en passant par les pièces détachées. « Nous avons un comptoir de pièces détachées avec plus de 18 000 références en stock sur les 3 magasins pour, toujours plus , améliorer la réactivité de notre service », conclut le dirigeant. ■

Où nous trouver • Route de Carmaux 81380 LESCURE

D’ALBIGEOIS - Tél. 05 63 60 76 90

• 22 route de Toulouse. 81710 SAÏX - Tél. 05 63 72 05 15

• 11 boulevard Docteur Pontier 81300 GRAULHET - Tél. 05 63 42 84 40

HorairesDu Mardi au Vendredi : 8h-12h / 14h-19hSamedi : 8h-12h / 14h-18h

EURL CHAUFFAGE CONFORT115 Impasse des orchidées 81290 LABRUGUIÈRE05 63 73 43 17 – 05 63 73 42 [email protected]

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Page 20: Albi Edition Departementale Mars Web

38 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

publi-reportage

logo veka

Les Experts de la maison intelligenteDu conseil à la pose, la société de Jean-Baptiste Armengol vous accompagne pour trouver une menuiserie adaptée à vos besoins. Sans cesse à l’écoute du marché, la société s’est aussi imposée comme un expert de la maison intelligente avec sa gamme de produits Somfy.

Fenêtrier Veka Pamiers, créé par la famille Armengol, il y a maintenant 10 ans, ouvre son ma-gasin castrais en 2011. A sa tête, Jean Baptiste

Armengol et Gérard Marty, deux professionnels che-vronnés des huisseries. Fenêtrier Veka c’est aussi deux équipes de poses pour assurer l’ensemble des travaux et une équipe de commerciaux pour accompagner vos projets. Faisant le choix de s’inscrire dans la force du réseau du fenêtrier qui possède plus de 100 points de vente en France, la société Tarn Menuiseries a su s’adapter à son marché en alliant qualité et recherche perpétuelle d’innovations.

Des professionnels SOMFY « Nos clients veulent pouvoir partir en vacances ou en week-end en étant sereins, c’est ce que nous propo-sons à travers nos produits d’’alarmes », précise Jean-Baptiste Armengol. Faisant le pari de l’innovation, Tarn Menuiseries a développé toute une palette de produits nouvelle génération utilisant la domotique. Comprenez ici que vous pourrez commander vos installations à dis-tance grâce à votre smartphone. Dernière née dans la catégorie, l’alarme IO que l’on peut télécommander de son téléphone. Ainsi, comme le précise le dirigeant : « si

l’alarme se déclenche, le client pourra la contrôler à dis-tance et aura une vidéo de ce qu’il se passe chez lui». Pour ces produits, la société a fait le choix de la qualité SOMFY, le leader du marché des ‘maisons intelligentes’.

Des produits européens et durablesCôté huisseries, le choix s’est porté sur la qualité. Française tout d’abord avec des produits en alumi-nium et volets roulants issus de l’usine de la société à Perpignan. Côté PVC, le choix est européen avec le lea-der Veka, fort de 40 ans d’expérience dans l’extrusion de profilés PVC, et engagé dans la protection de l’envi-ronnement avec 40% de menuiseries issues du recy-clage. « Tous nos produits dans le neuf ou la rénovation sont garantis 10 ans » ajoute Jean Baptiste. La socié-té est également labellisée Quali Bat et tous ses pro-duits sont aux normes des bâtiments basse consom-mation et des maisons passives. Les clients peuvent ainsi bénéficier d’un diagnostic thermique préalable. « Nous faisons ensuite des simulations afin de voir si en changeant tel ou tel élément (fenêtres ou isolation des combles) on va gagner ou non en isolation. Ainsi le client peut déjà voir ce qu’il va économiser mais surtout en combien de temps son investissement va être renta-bilisé par un choix de produits adéquats à ses besoins », conclut notre dirigeant. ■

Venez nous rencontrer : la société exposera lors du 11ème salon logis expo de Castres. L’occasion de découvrir les produits et de profiter de remises exceptionnelles.

Contact : 18 avenue de Mazamet 81090 ValdurenqueTéléphone : 05 63 71 23 77 - Fax : 05 63 37 85 53

GroupeBARTHASImmobilier

www.barthas-immobilier.com

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Bureau de Dourgne3 Av. du Maquis81110 DOURGNE

Tel : 05 63 50 11 13

Siège social1 Av. Jean Chaubet31500 TOULOUSETel. 05 61 80 82 66

Bureau de Soual 1 rue du Vieux Puits

81580 SOUALTel. 05 63.73.14.98

Page 21: Albi Edition Departementale Mars Web

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Mars 2013 • 4140 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

RESTAURANT DES HALLES

Situé idéalement place de l’Albinque, au dessus du marché couvert, le Restaurant Des Halles a ouvert ses portes en 1999. Plongée au cœur de cette brasserie Parisienne qui ravira tous les amateurs de viandes.

Du tartare de bœuf de 300 g à la côte de bœuf de 1 kg pour 2 personnes, en passant par le pot-au-feu et le pied de porc farci, la viande est ici à l’honneur. Quoi de plus naturel pour un ancien boucher, fils de boucher lui-même, de vous servir de la viande de qualité cuite, crue, nature ou en sauce. Les plats sont monstrueusement copieux et les spécialités, servies dans la soupière, à commencer par le traditionnel pot-au-feu. Côté décor le cadre est en harmonie avec le menu proposé : nappes et rideaux à carreaux blancs et rouges, os à moelle por-tant le numéro des tables. Appétits de moineaux, s’abs-tenir ! Mais le Resto des Halles c’est aussi une terrasse sous une tonnelle qui est un paradis aux beaux jours.

Horaires : ouvert le lundi midi, mardi au samedi midi et soir et ferme le dimanche et le lundi soir.

LE MARRAKECHToiles bédouines, canapés brodés, murs colorés, céra-miques et couleurs chatoyantes. Véritable invitation au voyage de l’autre côté de la Méditerranée, Le Marrakech vous accueille dans un décor des Mille et une Nuit. L’invitation au voyage se prolonge aussi dans l’assiette où vous pourrez déguster couscous et autres mets épi-cés de l’orient. En famille ou entre amis dépaysement assuré pour les yeux et pour les papilles. Ouvert depuis 1989, le res-taurant est devenu la référence en termes de cuisine du monde. Tout commence bien sûr par le couscous. Et, en la matière, il y en a pour tous les goûts. A l’agneau, aux boulettes de bœuf, au poulet ou aux merguez, avec ou sans épices, les amateurs seront servis. Du tajine en passant par les bricks ou les pâtisseries orientales, vous retrouverez dans ce cadre typique toutes les saveurs et les épices de la cuisine de là-bas. Point d’orgue du re-pas, vous pourrez déguster votre dessert accompagné d’un thé à la menthe préparé dans la pure tradition ma-rocaine. Il ne reste plus qu’à se prendre à rêver autour d’un repas, d’un voyage au soleil.

Ouvert du mardi au samedi midi et soir. Service tardif.

Pour une soirée entre amis, un repas en amoureux ou un apéro entre collègues, Castres regorge d’établissements typiques pour se détendre et faire la fête. Du Maroc à l’Irlande en passant par le petit Bistrot parisien, la ville regorge d’invitations au voyage. Dépaysement assuré.

THE QUAY : Un petit coin d’Irlande dans la ville de CastresThe Quay, c’est un plongeon au cœur de l’Irlande en plein centre ville de Castres. L’Irish Pub The Quay est la reproduction d’un vrai pub irlandais traditionnel de port de pêche (près de Cork). Sa décoration, un mélange de bois et d’objets de brocantes donne un caractère chaleureux et sympathique à ce pub.

L’authenticité est également de rigueur pour les produits proposés puisque la Guiness y est servie, en pression, respectant les indications de Guiness à Dublin. Tout commence dans les règles de l’art avec une bière qui est stockée dans des fûts en chambre froide pendant au moins trois jours sans aucune manipulation. La suite est assurée par le système de pression Guiness et un tirage en deux fois. Le résultat se trouve dans le verre où la robe brune de la bière se fond délicate-ment dans le noir profond dans sa texture de mousse onctueuse.

Vous aurez également le choix de nombreuses bières de prestige, du cidre irlan-dais en pression et des whiskies qui vous feront voyager des steppes Irlandaise jusqu’aux grands lacs d'Écosse. L’Irish Pub The Quay c’est un décor mais c’est aussi une équipe sympathique qui vous accueillera de 16h à 2 heures du matin, dans une ambiance conviviale et typiquement irlandaise.

Côté animations, l’Irish Pub The Quay a su s’imposer,depuis 2001, comme un lieu incontournable pour les soirées Castraises avec notamment sa traditionnelle fête de la Saint-Patrick et une programmation la plus complète de Castres avec plus de 140 concerts gratuits organisés chaque année. Résolument un petit coin d’Irlande au cœur du Tarn.

Ouvert tous les jours de 16h à 2h00.

En mars, au QuayJeudi 7 Mars

Little Mojo (Pop/Rock)

Vendredi 8 Mars

Memories (Rock à Billy)

Samedi 9 Mars

Dee Jaws (Happy Music - Funk-Soul)

Jeudi 14 Mars

The Gartloney Rats(Chansons Irlandaises)

Vendredi 15 Mars

RazPop (Pop/Rock)

Samedi 16 Mars

Les Casses-Museaux(Chansons festives / des fous furieux bons vivants)

Dimanche 17 Mars

Les Charrettes

(Pop/Rock)

Mercredi 20 Mars

Scène Ouverte

Jeudi 21 Mars

Lolo and the Brigades (Rock à Billy)

Vendredi 22 Mars

AMG (Pop/Rock)

Jeudi 28 Mars

Kif-Kif (Chansons Françaises Festives)

Vendredi 29 Mars

Why Notes (Pop/Rock)

23, rue Frédéric Thomas 81100 CASTRES

Tél. 05 63 71 91 80

Page Facebook : Irish Pub The Quay

Retrouvez la programmation et les photos des soirées

RESTAURANT LE MARRAKECH

14 place de l’Albinque, 81100 Castres

Tél. 05 63 72 47 07

Retrouvez le Marrakech sur Facebook

RESTAURANT DES HALLES

Place L’Albinque 81100 Castres

Tel : 05 63 62 70 70

Page Facebook : Resto des Halles

OÙsortir àCastres

Page 22: Albi Edition Departementale Mars Web

Publi-reportage

Mars 2013 • 4342 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

nos produits » précise d’ailleurs Charline « tant dans le choix des produits que dans les grands classiques du restaurant que sont l’entrecôte beurre maître d’hôtel ou la pomme pont neuf ». Le poisson quant à lui vient de Carcassonne Mericq.

Perfectionniste dans l’assiette mais aussi dans le verre, notre chef cumule les casquettes. Photographe, défenseur d’une cui-sine d’idée et bloggeur culinaire il a ramené de son passage dans les îles une véritable passion pour l’art du rhum arrangé, qu’il propose à ses clients pour mettre toujours plus de soleil dans l’assiette. Rhum café, orange, vanille ou framboise, le chef joue avec cet alcool. « On ajoute du sucre et des fruits qui mas-sèrent et donnent ce goût si particulier au rhum », précise notre expert.

Côté prix, il y en a pour tous les goûts. Du menu du jour, le midi à 12€50 (composé de deux entrées et deux plats au choix ainsi que du fromage et dessert) jusqu’au menu du soir à 25€ (avec mise en bouche, entrée, plat, dessert et rhum), les clients pourront aussi composer sur toute la carte pour 33€. Au final, il ne reste plus qu’à se laisser séduire par les mille saveurs, un choix de nom, résolument approprié. Enfin dernier petit plus de l’établissement et sa capacité de 85 couverts, il possède une terrasse et un bar d’été ainsi qu’une mezzanine pouvant être privatisée pour des événements.

Horaires : Ouvert du mercredi au samedi et les mardis et dimanches midi. Fermés lundi, mardi et dimanche soirs. Service de 19H30 à 22H en semaine. Service tardif jusqu’à 22 heures le week-end.

LE B4Lumière tamisée sur fond de music lounge, canapés et fauteuils pour se détendre ou piste de danse pour s’amuser. Pour prolonger la soirée au restaurant ou juste pour commencer le week-end, le B4, bar d’ambiance du complexe, est le lieu idéal. Il vous accueille tous les vendredis et samedis de l’année de 19h jusqu’à 2h du matin. Côté ambiance, l’humeur est à l’éclectisme, avec de nombreuses soirées à thèmes prévues pour 2013.

LA SALLE DE RÉCEPTION Sur deux étages comprenant un bar avec une mezza-nine, cette salle de réception offrira un cadre atypique et chaleureux à vos événements, séminaires, anniver-saires, repas de travail ou fêtes en famille. Bien plus qu’une simple salle de location, c’est un concept com-plet pour vos soirées qui vous est proposé. En effet, fort de sa présence au sein du complexe, la palette de ser-vices s’est développée. Location de matériel de récep-tion, banquettes, tonneaux atypiques, sono, lumières, frigo, le lieu offre aussi la possibilité de bénéficier des services de traiteur du restaurant. En bref, le lieu idéal pour vos événementiels clés en mains.

LES MILLE SAVEURS

Avenue de la Chevalière 81200 Mazamet

Tél. 05 63 98 23 90

Retrouvez les Milles Saveurs sur Facebook

Les mille saveurs

LE RESTAURANT De sa terrasse d’été offrant une vue imprenable sur le paysage mazamétain, au cadre cosy de sa salle de pierres apparentes, le restaurant vous accueille dans un cadre atypique et chaleureux. Charline Cavailles, sa di-rectrice a su s’entourer de véritables professionnels afin de faire de ce lieu un régal pour les yeux mais aussi pour les papilles. Preuve en est le choix de son chef, Benjamin Rousseau. Ce dernier, après avoir fait ses armes sur l’île de la Réunion, et à la Martinique ; revient en France, à Toulouse pour travailler auprès du chef doublement étoilé Michel Sarran.

Côté carte, « nous changeons la carte au fil des saisons, en privilégiant les produits de saison mais aussi du ter-roir », précise notre chef. Raffinement et imagination sont devenus la signature du chef. Benjamin Rousseau l’at-teste : « ma charpente pour bâtir ma carte évolue toujours dans une même triptyque. Je choisis tout d’abord un produit de qualité, puis sa sauce et enfin sa garniture ». La châtaigne d’Aiguefonde pour la carte d’automne et le fromage vieux cantal de la crèmerie de Mazamet sont des exemples de cette carte, à la fois créative mais aussi classique qui réinvente les produits de saison. « Le made in France occupe une place importante dans le choix de

Fort d’une s u r f a c e de 500m2

comprenant un restaurant, un bar d’ambiance et une salle de réception, Les Mille Saveurs est un espace pensé et dédié à la détente et à la gastronomie. Les pierres apparentes côtoient les ferronneries, les poutres boisées couleur ébène s’entremêlent avec le fer. Résolument un cadre atypique et plein de caractère pour dîner, se détendre ou s’amuser entre amis.

L’histoire de ce complexe créé en août 2009 commence avec un coup de cœur. C’est en 2009 que Jean-Bernard Cavailles découvre ce bâtiment si particulier qui servait il y a longtemps de métairie, idéalement situé au cœur du parc de Molière. Réalisant de nombreux travaux, il conserve néanmoins ce caractère atypique du lieu où se côtoient désormais tradition et modernité. La suite c’est sa fille Charline qui va l’écrire. Après avoir fait ses armes dans le prestigieux lycée hôtelier de Mazamet, elle arrive à la tête de l’établissement.

Voyage au cœur d’un écrin de saveurs niché dans un écrin de verdure.

Page 23: Albi Edition Departementale Mars Web

Mars 2013 • 4544 • Votre info au quotidien sur gaillac-info.fr

Urbanisme

sera converti en salle d’activités fermée. Quant aux anciens locaux de l’Inspec-tion Académique, ils céderont la place à une salle d’arts plastiques: ces locaux seront directement accessibles depuis l’extérieur: un dispositif qui permettra de revoir des animations culturelles et associatives en dehors du temps sco-laire. Le concepteur, le cabinet Arteus, a suivi les principes de l’architecture du-rable et mis un soin particulier pour iso-ler les locaux et préserver un maximum de lumière naturelle (bardage extérieur de bois, ventilation en double flux pour réduire les ponts thermiques, optimisa-tion des impostes vitrées). Au terme des travaux, la plus grande école du dépar-tement devrait aussi l’une des plus mo-dernes et des plus confortables

GendarmerieAnne ma soeur... On en parlait depuis des lustres, mais on ne voyait rien ve-nir. La municipalité avait cédé le ter-rain, mais la décision finale appartenait à l'État qui tergiversait, lanternait. La

population finissait par ne plus y croire, et les familles de jeunes gendarmes par se lasser, ce qui occasionnait un turn over des personnels difficile à gérer pour la Compagnie. Cette fois, ça y est: tout arrive à qui sait attendre. Le projet a été scindé en deux parties: les locaux de la brigade, et les logements. Devant l’insa-lubrité croissante de l’actuelle gendar-merie, la municipalité a proposé d’as-surer l’investissement de la partie des

locaux dédiée aux services techniques.

Quant au Groupe 3F, il a racheté les lo-gements dans le cadre d’un contrat de promotion avec la SEM 81, qui assure la maîtrise d’ouvrage de l’opération.

Gaillac disposera d’une gendarme-rie neuve, adaptée aux services que les personnels doivent rendre auprès d’une population qui atteindra bientôt les 15 000 habitants. Pour les travaux qui concernent la seule brigade, ils portent sur une surface de 1524m2: la construc-tion se fait en matériaux traditionnels, des murs en briques recouverts d’enduit et un toit en terrasse. Le bâtiment est ac-tuellement hors d’eau et hors d’air. La fin du chantier est prévue en juin 2013, et le déménagement de l’ancienne brigade vers la nouvelle pour septembre 2013. L’opération se monte à 2,45 millions d’euros, dont 911 602 assurés par la ville. Au terme du chantier, la gendarmerie comptera 42 logements et une «maison de la convivialité».

Les appartements - 3 T6, 7 T5, 20 T4, 10 T3, et 2 T2 - seront équipés et conformes aux normes d’accessibilité «personnes à mobilité réduite». Le coût de cette par-tie «logements» s’élève à 6, 15 millions d’euros. Ils seront livrés en octobre 2013.

Lycée Victor HugoIl va devenir lycée international, avec 5 langues enseignées (dont le chinois et l’arabe). Sa capacité actuelle atteignait ses limites, mais le lycée, qui a com-porté un collège jusqu’en 1976, dispose de réserves d’espace qui permettaient une extension sur le site. Les prévisions portent sur un effectif de 1200 élèves dans un délai de trois ou quatre ans. La Région a engagé un vaste chantier, qui

Avec la construction de la gendarmerie, la rénovation de la Clavelle-Vendôme, l’extension du Lycée Victor Hugo, les équipements de la ville se mettent à l’heure de l’avenir et aux normes environnementales. Les investissements privés se poursuivent dans le secteur de Piquerouge. Des chantiers à même de stimuler une économie locale qui en a besoin. Quant au plan de circulation, qui avait suscité des controverses, les gaillacois finissent par s’y habituer, par conviction ou par fatalisme.

J par Patrice Gausserand

La Clavelle-Vendôme

Les bons résultats de ce groupe scolaire sont reconnus parmi les parents d’élèves, mais la municipalité voulait rénover les bâtiments, donner plus de confort aux élèves et à l’équipe pédagogique, et cas-ser ce cliché «cité» qui collait à l’école. Le chantier a commencé en février avec le désamiantage de la Clavelle; les services techniques de la ville ont procédé au dé-ménagement des classes, en association avec les professeurs des écoles, pour que les enfants ne perdent pas leurs re-pères, et retrouvent le jeudi matin leur

classe dans l’état où ils l’avaient quittée le mardi soir. Au terme des travaux, qui s’étendront sur plusieurs semestres, le groupe scolaire sera plus fonction-nel, plus «vert» (avec des bâtiments aux normes environnementales HQE qui réduisent la consommation énergétique de 40%) et plus accueillant. Il en coûte-ra 1,5 million d’euros à la ville, le reste des financements (pour un total de 3,8 millions) étant assuré par l'État (35%) et le Conseil général (25%). La réunion des deux bâtiments a servi de fil rouge

à la réflexion des architectes: le groupe scolaire n’aura qu’une seule entrée, qui sera fixée à La Clavelle. L’espace d’accueil des enfants, avec un square placé devant l’école qui prolongera sur l’extérieur un grand parvis, donnera plus d’espace aux enfants comme aux parents. Le pôle administratif, placé au centre, sera entouré des cours de récréation. Elles vont être réaménagées, avec un garage à vélo et des espaces enherbés. Le pré-au, équipé de volets roulants, offrira un espace modulable. Le préau Vendôme

LES GRANDS TRAVAUX

Lumière sur la ville

Nouvelle Gendarmerie

Projet Lycée Victor Hugo

GAILLAC

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Mars 2013 • 4746 • Votre info au quotidien sur gaillac-info.fr

Urbanisme

ou animée par des voitures qui roulent à tombeau ouvert, elle a perdu ce qu’il lui restait de clientèle. Témoins de cette deshérence, les posters décoratifs de l’opération municipale «Parenthèses Urbaines», esthétiquement réussie, mais qui n’en souligne pas moins les nom-breuses «dents creuses» de la rue. Du côté de la rue Portal, l’autre axe com-merçant, la situation n’est guère «flam-bante» (hormis l’incendie du 13 février). Les commerçants font valoir que dans le premier plan de rénovation de la place de la Libération, la rue devait être ou-verte à l’automobile à certaines heures. L’incendie, qui touche quatre magasins, affaiblit un peu plus le potentiel déjà fra-gilisé de la rue.

Sécurité des élèvesLes aménagements piétonniers aux abords du collège Renée Taillefer ap-portent un «plus» de sécurité dans une

zone à forte densité de circulation. Les traverses surélevées installées entre le collège et le Mac Do, puis sur l’avenue Saint Exupéry sont les bienvenues. Elles invitent les automobilistes à ralentir. Les panneaux de danger clignotant à leds compléteront ce dispositif. Malgré le flux intense de circulation aux heures de sortie des classes et des bureaux, la fluidité du trafic aux abords du collège s’est améliorée. Les bouchons et les ma-nifestations d’impatience ont quasiment disparu.

GymkhanaLa rue Mermoz, qui, depuis la cité Catalanis, dessert la zone commerciale de l’hypermarché, du camping et du col-lège Renée Taillefer, offre un exemple rare de complexité. Il faut bac+10 et surtout une bonne dose de concentra-tion pour s’y frayer un chemin entre les quilles et en suivant les flèches de traçage

au sol. Bien viser pour passer entre les potelets, se rabattre à droite à temps (au risque de tomber sur un véhicule de Bougenbus qui arrive dans le même couloir). Pour arriver sur un stop... sans aucune visibilité, avant de s’engager vers le camping des Sources. Il faut avancer précautionneusement le «museau» de la voiture, s’engager au milieu du carrefour pour avoir quelque chance d’y voir un éventuel véhicule. Les miracles du ciel et le bon sens des automobilistes ont fait qu’il n’y a pas eu - encore - d’accident. Jusqu’à quand ? Dans le même ordre d’idée, cet étrange panneau qui depuis le rond-point de E. Leclerc, sur la route de Montauban, interdit de tourner à gauche vers le chemin Toulze, et pro-pose de s’engager vers un îlot direction-nel... qui n’existe pas. Le panneau, lui, existe bel et bien depuis dix ans.

Personne, comme de bien entendu, ne le respecte, car c’est impossible. ■

permettra d’accueillir 1 190 élèves ( il en compte 760 aujourd’hui). Les travaux dureront trois ans, jusqu’en décembre 2015, et leur montant s’élève à 8,5 mil-lions d’euros. La première tranche por-tera sur la construction sur les parties libres, de l’internat, du restaurant et du parking. Le glissement vers les nou-veaux locaux se fera à la rentrée 2014. Dès lors, les entreprises pourront amé-nager les douze salles supplémentaires. Les architectes ont pris la précaution de s’entretenir avec toutes les catégo-ries de personnels pour entendre leurs avis et leurs attentes. En attendant, cha-cun prend son mal en patience (les files devant le self se sont un peu rallongées) conscient qu’au bout du compte, chacun gagnera en confort d’études et de vie dans l’établissement.

PavésLe revêtement de l’axe routier qui tra-verse la place de la Libération suscite toujours quelques remarques, même si le débat est feutré. Les «avis favorables» font valoir que les trépidations natu-relles sont en elles-mêmes une bonne raison de ralentir, plus efficaces qu’un panneau de signalisation.

Les «avis contraires» mettent en avant l’inconfort, les vibrations qu’elles oc-casionnent dans les lombaires et qui peuvent être douloureuses pour des per-sonnes souffrant du dos. Aucun dentier, à l’’heure où nous mettons sous presse, ne s’est encore détaché de la gencive.

Pôle Santé Bien-ÊtreLes travaux prennent forme à Piquerouge pour le Pôle Santé/Bien-Être, nouveau maillon de services qui vient compléter le dispositif commercial.

Sylvain et Jean-Marc Laclau, les pro-moteurs de la zone d’activités commer-ciales, que d’aucuns appellent le «nou-veau centre de Gaillac», ont la patate, et même la Pataterie depuis quelques semaines. Cabinet d’infirmières, de dentiste et d’orthodondiste, ostéopathe, salon de massage spa, salon de coiffure mixte, institut d’esthétique, médecins généralistes et spécialistes (en suspens)...

L’ensemble, équipé pour la fibre optique et accessible aux handicapés, dispose d’un patio intérieur arrosé le matin par les eaux de récupération des toitures. L’ensemble, de 1200 m2, disposera d’un vaste parking, un atout de plus pour

cet ensemble attractif. Quant à la zone commerciale, elle marque un peu le pas, conjoncture oblige: deux enseignes ont fermé à peine ouvertes. Les promoteurs cherchent des repreneurs. Les terrains promus à la construction de maisons in-dividuelles par Tarn Promotion Services (toujours du Groupe Laclau) comptent 43 lots de 400 à 600m2, vendus direc-tement, et 300 lots de 300 m2, cédés à d’autres promoteurs: la zone diversifie son occupation. Sa fonction résiden-tielle complète sa première vocation commerciale.

Mas de RestLes espaces du Mas se garnissent tout doucement, trop doucement au gré de certains. La ferme photovoltaïque donne des espérances, la CUMA Œnologique y a élu domicile, mais il faudra attendre longtemps pour garnir les hectares et atteindre les 800 emplois qu’aurait géné-rés la plate-forme logistique, si Marceau Investissements, devant les complica-tions et les obstacles que rencontrait le projet, n’avait décidé d’aller voir ailleurs. D’autant que la zone d’activités est assez loin de l’autoroute, et que continue de se poser le problème du contournement de la ville par les camions. Le chemin Toulze n’est pas calibré pour un trafic lourd. Biocybèle, qui voulait quitter le parc de Foucaud pour proposer au pu-blic une ferme animalière et des espaces de labours-tests, avait au Mas de Rest un terrain tout disposé à l’accueillir, mais les organisateurs de Nature et Progrès ont préféré l’option graulhétoise pour établir leur foire écologique de la Pentecôte.

Plan de circulationIl a fait couler de l’encre, suscité quelques pétitions et quelques banderoles. La municipalité a fait le gros dos et tenu bon, quitte à le retoucher à la marge ( par exemple en réhabilitant le tourne à gauche de la rue Jean Jaurès vers le bou-levard Gambetta). Une stratégie qui lui donne plutôt raison. Les gaillacois ont fini par s’y habituer et par ranger l’artille-rie des critiques. Certains reconnaissent même que ce plan «a du bon». Il est plus fluide que le précédent. C’est du côté des commerçants de la Madeleine que la pilule n’est pas passée. La rue «sor-tante» connaît une récession commer-ciale très sensible. Désespérément vide

Les pavés

Pôle Santé Bien-être

Mas de RestMas de Rest

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Sac et portefeuille LancasterIssus de la collection Happy Ladies, ce sac et son porte monnaie assorti en cuir grainé mettront de la couleur dans vos tenues. Sobre dans ses lignes épurées, mais avec une touche de fantaisie au niveau de la couleur abricot, ces modèles reprennent les classiques de la maison Lancaster avec notamment le fermoir en forme de cœur qui s’est imposé comme la signature des modèles de la marque. Le sac porté à la main

ou à l’épaule grâce à sa anse constituera l’accessoire idéal pour toutes celles qui aiment les modèles tout en un emprunts d’originalité. De quoi mettre de la couleur dans vos tenues pour patienter en attendant l’été. Résolument un exemple de tout le savoir faire de Lancaster qui par la qualité de ses cuirs choisis avec un soin extrême mais aussi sa capacité à se réinventer à chaque saison, a su s’imposer comme une marque

féminine et intemporelle.

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lin trouvera facilement sa place dans votre intérieur. Élégant, raffiné et fonctionnel, il s’harmonisera aisément à votre décoration existante.

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Lasélectiontendancedu mois

Côté M

ode

Côté déco

Le printemps se fait désirer, les shorts et les tongs sont encore bien rangés au fond du placard. En attendant de pouvoir porter les nouvelles collections, quand la météo nous y autorisera, rien n’empêche de céder aux dernières tendances. Pour madame ou pour repenser la décoration de sa maison avant le retour des beaux jours, zoom sur notre sélection tendance du mois.

Par Yannick Michel

48 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr, castres-info.fr et gaillac-info.fr Mars 2013 • 49

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Pensez aux beaux jours !

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Mars 2013 • 5352 • Votre info au quotidien sur albi-info.fr

est le défi que Pascal Rousseau relève en puisant son inspiration dans un vécu humain, profond et sincère.

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LE RETOUR DU JEUDIJeudi 14 mars à 18 hFoyer, bâtiment Pascal(e)

AmbicAlima, quatuor trilingue

Après Monkomarok, puis son duo avec Lone Kent (déjà accueilli au Retour du Jeudi), Alima s’entoure à présent de 3 musiciens pour nous conduire dans un univers personnel, passionnant, sensible, poé-tique, féminin.

Gratuit

Jeudi 28 mars à 18 hFoyer, bâtiment Pascal(e) Ambic

Le Caravage, spoken trip rock

Ce trio, composé d’un MC, d’une basse et de machines, propose un spectacle brut, dans un

réalisme à portée de main. Une poésie retranscrite depuis le maquis, résistante, engagée, dégagée de tous préjugés esthétiques, pour une recherche de l’inattendu, et appuyée de basses bien lourdes, souvent en complément de synthés tranchants…

Gratuit - www.le-caravage.com

ConcertJeudi 21 mars à 20hScènith

MARC LAVOINE - JE DESCENDS DU SINGE

L’agenda des sortiesMUSIQUE

Mardi 12 mars à 20h30Carmaux - Salle François MitterrandJazz. Musiques de Film

RICHARD GALLIANO / HOMMAGE A NINO ROTA

Compagnon musical privilégié de Barbara, Reggiani et surtout Claude Nougaro, fils spirituel du grand Astor Piazzolla, Richard Galliano est sans aucun doute l’un des plus grands accordéonistes du Monde. Instrumentiste virtuose, superbe com-positeur, capable de toutes les rencontres créatives possibles (Michel Petrucciani, Eddy Louiss, Chet Baker, Bireli Lagrene, Didier Lockwood, Michel Portal…), Richard Galliano a choisi de rendre hom-mage à l’œuvre de Nino Rota.

Durée 1h30. Tarifs : Mini 10 € / Passion 11 € / À l’envi(e) 14 € /Privilège 17 € /Plein 21 €

THÉÂTREMardi 19 et mercredi 20 mars à 20h30Théâtre d’Albi

EN ATTENDANT GODOT

Depuis sa création, on l’a qualifiée de nihiliste, de poétique, de choquante, d’insolite, de féroce, de révolutionnaire et même de classique. Mettre en scène la première pièce de Samuel Beckett, c’est se confronter à une multitude de Godot passés ou possibles, c’est prendre en compte une certaine mémoire, consciente et inconsciente.

Tarifs : Mini 10 € / Passion 11 € / À l’envi(e) 16 € / Privilège 19 € / Plein 23 €.

ARTS CROISES Auditorium Graulhet, Cinelux/St-Juery, Salle Des Fêtes Monesties, Salle Des Fêtes/Valderies, La Halle Rabastens, Salle De Conférence, Centre Culturel Le Rond Point

Cirque 8M3 en tournée au fil du Tarn…

Grand succès de la saison 2009-2010 de la Scène Nationale d’Albi, le spectacle Le jardin de Jean-Paul Lefeuvre et Didier André avait fait l’una-nimité. Les deux aco-lytes reviennent cette saison dans le Tarn pour deux soli présen-tés dans le même terrain de jeu de 8 mètres cubes.

Mini 5 € / Passion 5 €À l’envi(e) 5 € / Privilège 5 € / Plein 8 €

Mardi 26 mars à 20h30 et mercredi 27 mars à 15h. Séance scolaire : Mardi 26 mars à 14h30Saint-Juéry - Salle de l’Albaret

IVRE D’ÉQUILIBRESe mettre en danger. Oser. Franchir ce qui paraît impossible, tout simplement parce qu’on y croit. Tel

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L’agenda des sortiesTHÉÂTRE

Mardi 12 mars à 21hThéâtre municipal

DOM JUAN

Interpréter Dom Juan en solo avec un masque et des marionnettes d’argiles fa-çonnées à vue, c’est vouloir mettre en va-leur la solitude et la folie du personnage...

Vendredi 15 mars à 21hThéâtre municipal

LA FRAMBOISE FRIVOLE DELICATISSIMO

Après Furioso accueilli à Castres en 2008, La Framboise Frivole nous livre avec malice son der-nier opus, Delicatissimo, qui allie à merveille l’hu-mour débridé et la virtuosité de ces deux musiciens inclassables.

Vendredi 22 mars à 21h(séance scolaire à 14h30) Théâtre municipal

LES AMOURS INUTILES

Les Amours Inutiles est la seconde partie d’un diptyque consacré par la Cie MaMuse à Guy de Maupassant. La première partie, Les Beautés Inutiles, créée en 2007 a été jouée

plus de cent fois et continue à être produit.

MUSIQUE Dimanche 17 mars à 17h30Théâtre municipal

ADAM LALOUM

Premier prix du Concours International Clara Haskil en 2009, Adam Laloum joue en soliste, en musique de chambre et accompagne de grands orchestres. Son album consacré à Brahms a été encensé par

la critique.

Dimanche 24 mars à 17hThéâtre municipal

BIG BANG 81

Quand on s’appelle « Big Band 81 », on affiche sa carte d’identité musicale. A travers une évolution constante, cette formation a toujours puisé dans son implantation locale pour aller de l’avant.

Mercredi 27 mars à 15h(séance scolaire 10h)Théâtre municipal

MOLIÈRE DANS TOUS SES ÉCLATS

Miette et Ouane, personnages cocasses et enjoués, vont vous interpréter quelques grandes scènes de Molière. Avec sérieux (juste ce qu’il faut) ils jouent Molière à pois et à carreaux !

LO BOLEGASONVendredi 15 mars à 20h30

DISIZ + Némir + Yass

Vendredi 22 mars à 20h30

Erik Truffaz + Le Tigre des platanes

Jeudi 28 mars à 20h30

Alice Russell

Vendredi 29 mars à 19h Concert O Bar

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L’agenda des sortiesSPECTACLES

11ème Journée internationale des Femmes

1er Mars à 20h30Salle des SpectaclesPrésentation de l’ouvrage « Rebelles » / Création de l’atelier « Paroles de femmes », Danses bretonnes avec Cercle celtique « Breizh en Oc ».

Tarif unique : 5 €

7 marsCinéma Film-débat, les femmes en milieu rural : « Paroles de femmes »

9 mars à 15hEspace socioculturel de BrensHommage à Angelita Bettini del Rio et aux femmes de l’exil : « Paroles d’internées » par les Amis de la poésie. Entrée libre.

9 mars à 20h30Dom VayssetteConcert « L’Émigrante », sur les rives de la Méditerranée, du Portugal à la Grèce.

Tarif : 8 € / réduit : 5 €

13 mars à /20h30Dom VayssetteProjection de « Camps d’internement du Midi de la France. 1939-1944 ». Entrée libre

Vendredi 8 mars à 20h30Salle de spectacles

Frida

Création de et avec Céline Bernat.

Évocation et hommage à l’artiste peintre Frida Kahlo, dont le combat de vie à travers la peinture a fasciné et a laissé derrière lui force et espoir. Grand paradoxe, puisque sa vie de souffrance s’est

achevée à l’âge de 47 ans, dans un grand épuise-ment, avec ces mots : « J’espère que la sortie sera joyeuse, et j’espère ne plus jamais revenir. »

Tout public à partir de 13 ans / Durée : 1h20Tarif : 10 €/ Réduit : 5 € / 2.5 € – de 15 ansBar à vins * et rencontre avec l’artiste après le spectacleInfos & réservations : Service Culture Ville de Gaillac 05 63 81 20 19

ConcertsSamedi 30 mars à 20h30MJC Château Pichery

Rock’n Tarn 2013

“Rock’n Tarn” est un tremplin destiné aux groupes de rock et de musiques actue l l es /ampl i f i ées amateurs. Le lauréat, sera nominé à l’issue d’une série de concerts de sélection dans plu-sieurs villes du dépar-tement, dont Gaillac, et bénéficiera d’un accom-pagnement d’un an en matière de formation, de diffusion dans des salles de concert et des festi-vals et de la réalisation d’un compact disc.

Aussi à la MJCApéro-concert : « Randy H », Vendredi 18 jan-vier, 19h30 / Danse : « Les temps dansent », Samedi 26 janvier, 17h30 / Théâtre : « Minuit et la belle sans visage », Samedi 2 février, 20h30 / Apéro-concert : « Ni Vu Ni Connu », Vendredi 22 février, 19h30 / Théâtre : « En passant » pièce de Raymond Queneau, Vendredi 15 mars, 20h30 / Concert : « Thierry Balin Quartet », Vendredi 12 avril, 20h30.

MJC Gaillac Château Pichery : 05 63 57 03 70

Du 4 au 7 avril Salle de Spectacles

Festival Les P’tits bouchons

Le Festival Les P’tits bouchons revient, avec une programmation encore plus impressionnante, des concerts off chez les vignerons et une atmosphère encore plus détonante !

Jeudi 4 avril à 20h30 : Jacques Higelin et Les Vendeurs d’Enclumes.

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printemps

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Du 16 mars

au 6 avril 2013

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58 • Votre info au quotidien sur gaillac-info.fr

Vendredi 5 avril à 20h30 : Musiques actuelles avec Scarecrow, Wax Taylor et DJ Moule.

Samedi 6 avril à 14h30 : Marcel Kanche, hommage à Léo Ferré

Samedi 6 avril à 20h30 : Manu Katché - batteur de Peter Gabriel et Sting – et Chilly Gonzalès, pianiste. Richard Gotainer, publicitaire-chanteur en clôture.

Dimanche 7 avril à 15h : les acolytes comiques Wally, Vincent Roca et Gérard Morel

Dimanche 7 avril à 20h30 : Deux icônes de la chan-son : Robert Charlebois et Juliette Gréco.

Jeudi 4 avril à 14h30 : Spectacles jeune public (ré-servés aux scolaires) : Balafon & Vendredi 5 avril à 14h30 : Rouge tomate

Festival tout publicBilletterie : Arpèges et Trémolos / Points de vente habituels / Service culture Ville de GaillacProgramme complet et infos : 05 63 60 55 90www.lesptitsbouchons.net / Infos et réservations : Service Culture Ville de Gaillac : 05 63 81 20 19

MUSÉESDu 9 février au 7 avrilMusée des Beaux-Arts

« Pour solde de tout compte »

oeuvres de Claude-Max Lochu

L’univers de Claude-Max Lochu peut paraître inquiétant au premier abord, au premier regard, celui que l’on jette sur les choses en glissant, l’es-prit plein d’agitation et sans quête. Mais loin d’un monde dérangeant, il s’agit bien plus d’un monde interrogateur et du regard original d’un artiste de sa génération, plus enclin à relever les travers de ses contemporains qu’à se contenter d’un art d’illu-sion, d’étonnement provocateur, laissant l’artificiel à d’autres.

Du 2 mars au 2 juinMuséum d’histoire naturelle

Patrimoine & diversité végétale à Gaillac

Au cours de promenades dans le centre ville, de nombreux lieux de l’histoire gaillacoise donnent à voir le patrimoine végétal comme le Parc Foucaud, le square Joffre ou le jardin du Muséum.

Autour de l’exposition :14 mars / de 12h45 à 14h / «Pause Café pause musée». avec Bernard Huet, correspondant des Jardiniers de France, Nicole et Michel Foucault, photographes. Prochainement : Exposition «Regards photographiques d’Eugène Trutat (1840-1910) sur les sciences». Entrée gratuite.

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