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Imaginez que vous avez votre groupe d’amis avec

qui vous faites les quatre cent coups, avec qui vous partagez tous vos secrets et vos déceptions.

Imaginez que vos parents se font toujours muter dans une autre ville et que vous devez les suivre.

Imaginer que du jour au lendemain on vous annonce que vous devez partir pour aller emménager ailleurs.

Que deviendrait votre groupe et votre amitié ? Que deviendraient tes amis ? Je vous laisse le choix de votre personnage et vous

souhaites à tous une très bonne lecture.

* * *

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*Alexandra est une fille très jolie et très studieuse. Elle est très intelligente. Elle est grande et fine, ses cheveux sont longs et lisses de couleurs châtains. Ses yeux sont bruns. Elle n’aime pas trop le sport.

*Coralie est une fille très jolie, elle est de taille moyenne. Elle est très intelligente, ses cheveux sont de couleurs blonds et ils sont longs ondulés. Ses yeux sont bleus. Son passe-temps est la danse.

*Daniella est une fille qui comme toutes les autres est très jolie et très gentille. Elle est un peu possessive et toujours à l’écoute lorsque ses amies ont besoin de se confier. Elle est de taille moyenne, ses cheveux sont longs et de couleur châtain. Ses yeux sont bruns. Elle travaille très bien à l’école mais elle n’aime pas beaucoup le sport.

*Et pour terminer, il y a moi, Morgane, une fille très mince, qui adore écouter et s’amuser avec ses amies. Je suis plutôt du genre à dire ce que je pense. J’ai des cheveux longs bouclés châtains et mes yeux sont de couleurs bruns. Je travaille quand je veux travailler. J’aime bien le sport, d’ailleurs avant je pratiquais la natation.

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Chacune des filles du groupe dont moi étions dans

notre maison et pour être plus précis au même endroit : notre chambre.

Daniella était occupée à brosser ses cheveux, Alexandra occupée à ranger tous ces cd par ordre alphabétique, Coralie était occupée à chanter dans son lit avec pour micro une brosse à cheveux et moi à lire un bouquin.

Nous étions heureuses et nous pensions que notre groupe allait rester uni mais c’est à partir de là que tout à commencer :

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Écrit de mon point de vue :

Nous étions en famille à la maison, nous étions censés fêté Noël mais cette année nous avions décidés de ne rien faire, de rester tranquille à la maison. Moi, personnellement, ça ne me dérangeait pas étant donné que je ne voulais pas quitté mon bouquin. Nous avions quand même décoré la maison.

J’avoue que ma maison était grande, même très grande. On avait un beau terrain où nous pourrions même installée une piscine géante. Le hic car il y en a un c’est que là où nous sommes le soleil n’est que très rarement au rendez-vous. J’étais donc occupée à lire mon bouquin lorsque je fis un bond : ma mère m’appelait en bas des escaliers. Lorsque je fus descendu, j’allais m’asseoir dans le fauteuil qui se trouvait en face de celui de mes parents :

– Euh… Oui ? Osais-je demander. – Nous avons à te parler ! Déclara ma mère. – Qu’est-ce que j’ai encore fait comme bêtise ?

Demandais-je précipitamment. – Rien du tout ne t’inquiète pas ! Déclara mon

père. – Bon, et bien je vous écoute ! Répondis-je.

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– Et bien, ton père et moi avons décidé que déménager nous ferais du bien ! Expliqua ma mère.

– Oh, c’est vrai que la maison à vendre au bout de la rue est superbe ! Déclarais-je en me levant.

– Ce n’est pas là que nous allons ! Nous partons à Miami ! Déclara mon père.

– Quoi ? Demandais-je perdue. – Nous allons à Miami ! Déclara ma mère. – Mais… Essayais-je de dire. – Écoute Morgane, tu as toujours rêvé d’y aller !

Tu te souviens ? La plage, le soleil, etc… S’exclama mon père.

– Oui, je sais mais maintenant j’ai mon groupe ! Déclarais-je.

– Nous ne changerons pas d’avis, nous avons déjà acheté la maison ! Déclara ma mère.

– Mais je n’en ai rien à foutre de tout ça, et mes amies ? Vous n’avez encore une fois pensez qu’à vous ! Ripostais-je avant de m’enfermer dans ma chambre.

J’étais perdue et effondrée. Mon groupe était tout pour moi et j’allais devoir m’en passé pour aller habiter à Miami… Il y a des fois où je me dis qu’il faudrait que je ferme ma bouche. Quelle idée m’était passée par la tête le jour où j’ai dit qu’aller à Miami était mon rêve ?! Ils ont carrément foutu Noël en l’air avec ça.

Le lendemain les cartons étaient déjà dans un gros camion que je regardais par la fenêtre de ma chambre. Ma chambre qui je dois dire était encore remplie de tous mes objets. J’avais vraiment décidé de ne rien emballer. Hélas mon père s’en est chargé après deux heures de patience. L’heure des « au revoir » était arrivée.

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– On s’enverra des e-mails et des cartes ! S’exclama Coralie.

– Ce n’est pas la même chose ! Déclarais-je les larmes aux yeux.

– Oh non, pas question de pleurer Morgane ! Déclara Alexandra.

– On voit que ce n’est pas toi qui t’en va ! Déclarais-je.

– Et ce n’est pas l’heure des petites chamailleries ! Ne t’inquiète pas Morgane, nous économiserons pour venir te rendre visite pendant les vacances ! S’exclama Daniella.

– Si d’ici là je n’ai pas encore déménagée ! Je dois y aller les filles ! Je vous aime ! Déclarais-je avant de monter dans la voiture.

Et oui, ce n’était pas la première que nous déménagions. J’avais toujours eu des déménagements, et ce, depuis toute petite. Le pire c’était à chaque fois lorsque je m’attachais à des personnes.

– Morgane pourrais-tu mettre ta musique moins fort ?! Demanda ma mère.

Pour toute réponse, j’augmentais le volume de mon mp3. Je ne faisais qu’écouter la musique pendant tout le trajet. C’est après deux heures de route, que nous étions arrivés :

– Allons montrer, nos passeports les enfants ! Déclara mon père enthousiaste.

– Vous n’avez qu’à y aller ! Déclarais-je avant de m’asseoir sur un siège.

– Ecoute Morgane, tu auras beau faire la tête, nous resterons sur notre idée ! Déclara ma mère.

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– C’est bien ! Déclarais-je en remettant mes écouteurs à mes oreilles.

Après trente minutes d’attente, on fut tous dans l’avion. Il nous fallait cinq heures de vol pour arriver à destination. Après plus ou moins deux heures, on devait se rendre à l’aéroport le plus proche suite à un début de tempête :

– On aurait mieux fait de rester à la maison ! Déclarais-je.

– ça ne revient pas à quelques heures d’attentes supplémentaires ! S’exclama mon père.

– Pour une fois, je suis d’accord, cela nous fera rester plus longtemps ici ! M’exclamais-je.

– Mais y aller, nous irons jeune fille ! Riposta mon père.

Pour toute réponse, je partais vers un distributeur de biscuits et boissons. Je dus frapper plusieurs fois sur la machine car elle ne fonctionnait pas bien. Lorsque je me retournais, je percutais un garçon et fit donc tomber mon chocolat chaud :

– Oh, désolé ! S’exclama-t-il . – Ce n’est pas de ta faute ! Déclarais-je. – J’aurais dût te laisser de l’espace ! Déclara le

garçon. – Ce n’est pas grave, ça séchera ! Déclarais-je

avant de partir rejoindre mes parents. – Nous pouvons retourner dans l’avion ! La

tempête s’est calmée ! Déclara mon père. – Qu’est-ce qu’il t’est arrivé ? Demanda ma mère. – Rien, j’ai juste bousculé quelqu’un ! Répondis-

je.