Amour Confiance Et Désir

8/16/2019 Amour Confiance Et Désir

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Fred Eroliange

Amour, confiance etdésir

- Collection Romans / Nouvelles -

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Table d es matièresAmour, confi ance et désir.................... ......................................................1

INTRODUCTION...............................................................................2AU COMMENCEMENT....................................................................5LE QUESTIONNAIRE.......................................................................8UNE APPROCHE DE LA SOUMISSION.......................................10MAIS PAS SEULEMENT................................................................20PREMIERS FANTASMES...............................................................22REUSSI.............................................................................................26LE DEPART......................................................................................37

LE SEXSHOP...................................................................................40LA MER EN TEMOIN.....................................................................51UNE RENCONTRE IMPROMPTUE...............................................59UNE SOIREE DECOUVERTE........................................................73LA SURPRISE..................................................................................83AMITIES NON CONVENTIONNELLES.....................................110LE RETOUR AU QUOTIDIEN......................................................11CONCLUSION...............................................................................12

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Amour, confiance et désir

Auteur : Fred EroliangeCatégorie : Romans / Nouvelles

histoire sensuelle et sexuelle d'un couple, dans la reconquête du désir dl'autre

Licence : Licence Creative Commons (by-nc-nd)http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr/

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INTRODUCTION

L’amour.Ce mot s’impose comme une évidence dans l’équilibre de tout un chacunC’est aussi l’objet principal de nos quêtes, humbles humains.L’amour peut faire le bonheur, le malheur, la réussite, la défaite. Il peufaire vivre ou bien mourir, mais il est toujours là.J’entends déjà d’ici quelques êtres circonspects, qui jureront n’avoir jamaété amoureux et ne pas rechercher cela. Ils vont parler de réussite, d’argede possession, de pouvoir. Pour certains d’entre eux, êtres narcissiques,est tout à fait pensable que l’amour d’eux même leur suffisent. Pour majorité, ils le recherchent sans se l’avouer, et cela les empêche de trouvle plein équilibre, et, de façon induite, le bonheur.L’amour a un lien direct avec le bonheur ressenti au quotidien. Nouécarterons volontairement les narcissiques. L’amour permet de se fixer dobjectifs, permet d’avancer, permet de survivre, de vivre.Il faut également noter que l’amour est égalitairement réparti, pour ceu

qui savent le chercher, ou pour ceux qui tombent dessus, par hasard, au gdes aléas incongrus de la vie.L’amour est égalitaire, car force est de constater qu’il n’est pas réservéune élite. Le manutentionnaire a, en effet, autant de chances de trouvl’amour, que le polytechnicien. Peut-être même a-t’il plus de chances, cil est sûr que cet amour est partagé, alors que, potentiellement, lpolytechnicien pourrait tomber sur une personne, certes, agréable regarder, mais attirée par ce qu’il est ou possède, et non pour ce qu’il est.Bref, nous pourrions faire quantités de thèses sur l’amour, mais il est bisouvent mieux de le vivre que d’en parler.Ah oui, j’allais oublier. Quand je traite d’amour, je parle de celui partagpar un couple, qui me semble être la grande majorité des cas. Au-delà deux êtres, cela me paraît effectivement possible, mais n’en ayant pl’expérience, je me garderai bien d’en discourir.

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Le couple est composé de deux êtres humains. Le nature du sexe des deêtres est secondaire, car il est bien entendu que l’amour entre deupersonnes ne se soucie pas des genres.Le cadre est donc posé.

Mais, nous n’allons pas nous arrêter en si bon chemin.En effet nous pourrions traiter de la rencontre et des vibrations depremiers instants et nous arrêter avec l’éternel « et ils vécurent heureuxeurent beaucoup d’enfants ».J’ai, comme beaucoup d’entre nous, vu des Walt Disney et regardé defilms hollywoodiens. Ce ne sera donc pas mon propos.Nous partirons du principe que l’amour est là, trouvé, bien au chaud. Il elà, oui, mais pour combien de temps.Pendant combien de temps encore regarderez-vous l’être aimé avec désirPendant combien de temps encore, aurez vous envie de vous lover contl’épiderme de l’être aimé ?Pendant combien de temps encore ne ressentirez vous pas de désir poune autre personne ? Désir assouvi ou pas.Au bout de combien de temps vous vous endormirez dans une tranquilcertitude, en oubliant les désirs, les plaisirs qui ont fait les premièreheures de votre couple ? Cette même certitude, que nous appelleron« habitude », qui ouate nos désirs, nos envies, nos besoins, pour ne laissque la rengaine du quotidien.Bien sûr, cette rengaine peut-être ponctuellement troublée par des amanMais, à part un peu de renouveau et la sensation de plaire, que gagne-on ?De plus, combien y-a-t-i l de foyers brisés, par des avent uremalencontreusement découvertes par le conjoint ou la conjointe ?

Bien sûr, il n’est pas impossible que vous retrouviez l’amour avec unautre personne. Mais dans ce cas, peut-être n’était ce pas la bonne.Bref, comment garder l’amour partagé dans un couple, au travers du déet du plaisir ?Ce qui suit n’est pas un dictionnaire, ni un guide pour filer le parfaamour, mais un essai, non autobiographique mais tout de même basé sdes faits réels, donnant des voies de prospection érotiques pour mieuvivre le couple au fil du temps.


INTRODUCTION 3


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Par contre, ne pourrait-il pas être également le commencement de…Amour, confiance et désir

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AU COMMENCEMENT

Au commencement, il y avait nous. Nous, pas seuls au monde, mais noamoureux.Elle, dont le soleil aime à venir caresser la peau, délicatement, pour ldonner cette teinte dorée au premier bourgeon printanier.Elle, dont l’épaisse chevelure, ondulante comme autant de rivièrenaissantes, dont les couleurs passent de l’éclat puissant du feu à lprofondeur de la terre.Elle, des lignes concaves pour s’accrocher, convexes pour s’émouvoidemi-cercles parfaits pour s’extasier, ligne droites adossées pousuccomber.Elle, dont j’aime à embrasser la respiration.Elle, dont je me flatte d’être le compagnon.Elle, dont, pour la décrire, s’il me manque les mots, il me reste l’émoi.Au commencement, il y avait l’amour. Se découvrir, se comprendrs’apprivoiser. Donner, recevoir. Toute une phase d’éducation à l’autre.

Au commencement, il y avait faire l’amour. Le matin, le midi, le soir, nuit. Maladroitement, rapidement, souvent sans préliminaires, mafougueusement, comme si nos vies en dépendaient.Au commencement, plus rien n’existait. Le boulot, les amis, la familltout était secondaire.Et après le commencement…Les jours sont passés. Puis les mois. Vinrent les années.La lente plongée dans cette mer du quotidien, a, petit à petit, inondée ndeux vies. Inexorablement. Banalement. Si banalement.Sans nous en rendre compte nous nous sommes dompté, nous avons appla plus petite imperfection de l’autre. Nous avons réintégré les prochesnos vies, et nous avons espacé, sans y penser, les fois ou nous faisionl’amour. Nous avons repris le boulot avec acharnement, dans l’espoir dpromotions ou de primes qui nous permettraient de voir l’avenir un pemieux, car il faut toujours plus.

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Nous nous endormions, petit à petit, dans cet environnement sans surprisSe raconter nos journées.Râler sur les prix, les charges, les taxes.S’émouvoir des informations majeures, jusqu’aux petits faits dive

entendus de ci de là.Nous aurions pu continuer longtemps cette vie prévisible. Le train-trafamilial quotidien. L’espoir de la promotion professionnelle, puis l’attende la retraite, puis …Non.Nous pouvons modifier cet engrenage. Pas pour nos vies professionnellcertes, ni pour le monde.Non. Pour nous deux.Avant de sauver les autres, se sauver nous même de cette lente perdition.Il est vrai que cet état materne notre consommation, notre façon de vivrnotre santé. Oui, mais à quoi bon vivre comme cela, si notre seul objecréside dans l’espoir que nos enfants vivront mieux que nous. Qu’est ce qnous empêche de vivre aussi ? A-t’on besoin d’être riche pour vivreA-t’on besoin de faire parti de l’élite pour s’épanouir et vivrintensément ?Non.Tout n’est pas payant. Tout n’est pas soumis à diplôme. Tout n’est pasoumis à réussite sociale.Et, tout en refaisant le monde avec Elle, un soir ou nous avions bu plus qde raison, nous nous sommes remis à penser à nous.Nous, comme le centre du monde. Nous, comme une famille. Mais ausnous, comme un COUPLE. Oui, un couple, avec ses envies, ses fantasmeses désirs.

Il est vrai que le temps ayant fait son œuvre, nous avions confiance enotre amour et en notre fidélité. En bref, une confiance presque totale.Mais ce presque, pernicieux, inconnu, inavouable, comment le combattreEn le connaissant mieux, en l’imaginant, et en faisant toujours mieux.Afin de nous découvrir plus encore, nous nous sommes donc donncomme objectif, de mettre à plat tous nos fantasmes et notre vécu, mêmles plus inavouables, au travers d’un jeu.


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Ce jeu, devait être assorti d’un apéritif dinatoire, afin de délier les mœuet prendre du plaisir. Qu’importe l’ivresse, le but étant de se lâchetotalement, de délier les réticences, de tordre le cou aux non-dits.Le rendez-vous était fixé.


AU COMMENCEMENT 7


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LE QUESTIONNAIRE

Nous avions, tous deux, posé les thèmes sur des bouts de papiers.Aborder tout.Un planteur pour désinhiber.Une tenue agréable, pour charmer l'autre.Moi, tout en lin noir. Elle, robe longue blanche fendue, et décolletplongeant.Parfait… pour moi, bien évidemment.Un sujet, une carte.Nous mélangeons.Laisser aller le hasard en prenant une carte au milieu du tas.Une carte, un mot, une expression, que chacun doit commenter.Des sujets aussi divers que ‘ta première expérience sexuelle’, ‘l’acte plus osé que tu ais fait en sexe’, à des mots comme ‘fellation’, ‘sodomie‘homosexualité’.Un début de soirée fort sage, chacun de nous commentant chaque sujet

façon attendue.Une première confidence intime et la soirée démarrera.Mais pour cela, il faut laisser l'alcool faire son effet et ainsi perdre sréflexes auto-protecteurs, pour mieux se livrer.Les sujets se sont succédés, avant que nous ne commencions à nous dévêde nos intimités et de nos secrets.Pour être sincère, je ne sais plus qui de nous deux a cédé.Une première confession, qui en amène une autre et nous voilà, toutbarrières en éclat, nous livrant en profondeur.Nous passions de nos anecdotes passées à nos fantasmes les pluinavouables, de façon naturelle.Le fil conducteur qu'étaient les thèmes se perdaient petit à petit, et nonous livrions sans complexe.Nous avons abordé tant de sujets, dont nombres n'étaient pas écrits. De fellation à la prostitution, de la sodomie à l ' homosexualité, d

LE QUESTIONNAIRE 8


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UNE APPROCHE DE LA SOUMISSION

Quelques jours plus tard, mon anniversaire arrivait.J’avais indiqué à Elle, que je m’occupais moi-même de mon cadeau, et qnous le partagerions. Ne sommes nous pas toujours mieux servi que pnous même.Avec bonheur, j’avais commandé dans une boutique sexy en lignquelques dessous pour Elle et moi, un petit jouet pour les moments dsolitude féminins, et une jolie paire de menotte recouverte d’une imitatipoil de guépard ou je ne sais quel autre félin, et j’avais reçu le tout sanqu’Elle s’en aperçoive.Il ne me restait qu’à mettre à température le champagne et préparer lamuses bouches.Mais je n’avais toujours pas le fil conducteur de ma soirée.En allant me promener dans la galerie marchande d’un supermarché, j’ele déclic. Pourquoi ne pas jouer la soirée au poker.La soumission pour le perdant.

Cette idée ne va-t-elle pas faire peur à Elle ? Ne nous posons pas dquestions, c’est ton anniversaire après tout.Mais sait-elle jouer au poker ? Là, je ne crois pas.Nous allons la jouer simplement. Une mise initiale. La possibilité dchanger les cartes indésirables une fois. Une grille avec les différentcombinaisons classées par ordre décroissant de valeur. Des jetons ddifférentes valeurs pour simuler la monnaie. Surtout omettre de parler dbluff pour gagner plus facilement, car j’ai très envie de la soumettre csoir. A chaque renouvellement de la banque, un habit s’envole. Et le finest la soumission au gagnant pour la soirée.Il ne me reste qu’à acheter quelques cartes, mais là, je me dis que pour soumission, une simple paire de menottes, cela paraît peu.Allez trouver des jouets de ce type dans une galerie marchande… Et mêms’il y en avait, je me voyais mal arriver avec de tels objets, pris esandwich entre le caddy rempli de couches et celui rempli de viande.

UNE APPROCHE DE LA SOUMISSION 10


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Le temps presse. Vite, une idée.Je me mets à errer dans les allées du supermarché à la recherche de délivrance. Je passe au rayon papeterie, quasi machinalement, me voyamal acheter des enveloppes ou un bloc de papier A4 pour l’occasion.

Et là, mon regard s’arrête sur les pinceaux pour enfants. Fins, doux. Voiune découverte utilisable.Puis en continuant mon errance, je me retrouve dans le rayon animaux. Lcroquettes pour chiens m’ont semblées être peu adaptées pour la soiréMais un peu plus loin, ma libération.Des colliers pour chiens et chats, des laisses. Voilà ce qu’il me manquapour mener à bien ma nuit de soumission.Vite rentrer, car le temps presse.A peine le temps de finir de préparer, Elle arrive.Les bougies, le champagne, les amuses bouches, et… des cartes.Je vois bien qu’elle ne s’attendait pas à ce que je lui propose une soirbelote.Je lui propose de s’assoir, et après avoir rempli nos flûtes comme il se do je me décide à lui expliquer tranquillement, mais fermement, ldéroulement de la soirée.Tout en lui expliquant, je me dis que si Elle refuse, la soirée va êtrquelque peu bizarre, et qu’il va me falloir improviser.Mais, je découvre avec un certain étonnement qu’elle est ravie par cetidée, et m’indique que si elle gagne, je vais le regretter.Il ne faudrait pas non plus que ça se retourne contre moi… J’ai tout prévpour la suite, et je veux qu’elle soit ma soumise.Nous attaquons la partie.Bien entendu, j’ai bien expliqué les règles, et bien sûr, je n’ai pas parlé

bluff.Mais le début de partie ne se passe pas comme je l’avais prévu. Et là, bluou pas, chance du débutant ou pas, rien n’y fait. Je monte, rien nl’impressionne, et au final, mon bluff se transforme en déculottémagistrale. Elle ne se couche jamais, et son jeu est toujours mieux que mien.Là, je commence à douter de l ’ issue de la part ie . Une donnsupplémentaire. Un brelan direct. Je change pour tenter le full, tout e




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Je ne suis plus concentré du tout.La donne… une paire de seins… de roi pardon… vite finir.Changer trois cartes.Un roi rentre.

Branle… Brelan pardon.Allez, je suis chaud, on part à l’abordage.Elle monte.Mon excitation aussi. Sûr, c’est le champagne, ils y ont mis du bois bandNon ?Je monte fort pour lui faire peur… non, pour en finir vite, car je ne penplus.Elle me suit. Bon, elle a donc du jeu, et je vais me faire rétamer.Tu vas être soumis mec, ce soir, faut te mettre ça dans la tête.Bon tu n’avais pas prévu ça, mais cela peut-être sympa aussi… Mais sseins quand même.Tapis… allons y donc… C’est plus du poker c’est la bérézina. Je t’avapourtant dit de rester concentré, mais non…Elle aussi pose tout.Bon, ben ce soir, tu vas être le dindon.Nous posons nos jeux sur la table.Elle un brelan de valets et moi de… Rois.J’exulte intérieurement… Enfin presque.Je saute du fauteuil, les deux poings en avant, serrés, en criant un granYES.Je suis en caleçon.Pendant le saut, le bouton de mon caleçon sort de sa fente.N’étant plus retenu, mon sexe jaillit comme un prisonnier libéré.

Et là, je suis debout devant Elle, les poings levés, et le sexe à l’air.Je sens que je suis ridicule.Dans un ultime sursaut d’orgueil, je regarde mon sexe, et je la regarde, lui dit : « Lui aussi est heureux d’avoir gagné ».Et là, tout en réinstallant mon sexe dans le repère qu’il n’aurait jamais quitter, j’annonce à Elle que la soirée vient de débuter.A partir de cet instant, je lui indique qu’elle ne dira plus que « oumaître ».




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Et là, elle me répond : « oui maître ».C'est bon d'entendre ça.Et comme prévu, je récupère les ustensiles adéquats, situés à portée dmain.

En tout premier lieu je bande les yeux de Elle avec un foulard épais.Je vérifie qu’elle ne voit rien.Je l’aide à se lever.Je lui susurre d’avoir confiance… hé ! hé ! Hé!Je prends ses bras, les positionne dans son dos, et lui fixe les menottes.Je l’amène vers une chaise en bois, certes un peu froide, mais laissant dos presque nu de dossier.Je l’assoie.Elle a un léger frémissement au contact du bois.Je passe une laisse au centre des menottes et bloque les extrémités de laisse aux pieds arrières de la chaise.Je passe un collier autour de chacune de ses chevilles en prenant les piede la chaise également, de façon à l’immobiliser.Elle est attachée et ne voit rien.A moi de jouer, maintenant.Je suis aux anges. Attachée comme cela, son corps presque nu, elle emagnifique.Je m'arrête quelques instants pour l'admirer. Elle est si belle, et je vaabuser d'elle.J'ai presque des remords. Mais non, profite.Je prends sa coupe de champagne et l’amène près de sa bouche pour lfaire avaler une gorgée. La mettre en confiance.Lui parler à l’oreille pour lui dire qu’elle ne risque rien, mais sur un ton

peu excité, pour l’inquiéter un peu tout de même.Là, sortir les ustensiles avec force bruit. N'ayant pas de chaînes ou autrobjets lourdement métalliques, je les tape contre la table.Je sors le premier objet de supplice : le pinceau.Je m’approche de son corps. J’ai terriblement envie d’elle, mais je dois mcontenir.Je commence lentement à caresser son visage de l’extrémité du pinceaUne sensation de démangeaison et de plaisir l’envahit.




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Son corps se tend, et elle cherche à utiliser ses mains. En vain.Je poursuis par le cou, devant, derrière, lentement.Elle bouge la tête, comme pour bloquer le pinceau.J'insiste, et la regarde tordre son cou.

J'attaque les bras. Les pores de sa peau se hérissent, et quelquesoubresauts me laissent entrevoir qu’elle y prend du plaisir.J'en viens au dos.Entre les deux omoplates.Elle rentre les épaules, puis les écarte avec un soupir.Je descends le long de la colonne vertébrale.Elle se cambre.Je poursuis le long de ses hanches, à l’orée de ses fesses. Elle se cambre maximum que permet son harnachement.Au bout de quelques minutes à jouer de la sorte, je sens qu’elle est trexcitée.Je lui susurre qu’elle est à moi, et qu’elle doit être patiente.Quelques gouttes de champagne.Passons devant, maintenant.Je commence à caresser du pinceau son menton, puis je prends la directidu nombril.Elle se cambre à nouveau en soupirant.Je commence à jouer avec sa peau et ses seins en évitant de mettre pinceau en contact avec ces derniers.Elle bouge de plus en plus sur son siège.Je finis par venir caresser un sein du bout de mon pinceau. Elle gémit bonheur.Je reste quelques instants dessus.

Elle gémit toujours.Je passe à l’autre sein.Quelques instants.Ses tétons sont enflés et son corps est cambré.J'ai envie de les avaler.J’attaque les tétons du bout du pinceau.Elle gémit un peu plus fort.Je vais approfondir.




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Je descends le long de son ventre, m’attarde sur son nombril.Ses gémissements montent crescendo.Je descends sous son nombril, pour atteindre l’orée de son sexe.Je m’y attarde.

Ses gémissements s’intensifient, ses reins se cambrent, et son corps soulève, pour qu’elle soit libérée. Je persiste.Avant que tout ne retombe, je mène le pinceau aux commissures de selèvres.Un sursaut. Un gémissement. Un soulagement.Puis je me décide à attaquer ce clitoris si souvent oublié.Elle se cambre et gémit de plus belle.Je continue. Elle bouge dans tous les sens, et je commence à avoir pequ’elle ne se blesse.J’avance un peu plus mon pinceau pour atteindre le vagin et tourneautour.Elle gémit, et petit à petit je vois qu’elle bouge pour essayer de prendre pinceau en elle.J’ai son sexe sous mon nez, et je peux voir l’excitation engendrée par petit pinceau.L’odeur de son excitation me traverse le corps.Je me décide à la lécher, n'y tenant plus.Tout d’abord, j’attaque le clitoris.Elle se cambre encore plus, mais son gémissement me fait penser que c’eun soulagement.Je commence à jouer de ma langue, en alternant clitoris et vagin.Elle gémit de plus en plus.Je persiste.

La jouissance est proche.Je me retire.Je délie les liens de ses pieds.Je délie la laisse qui tient ses mains aux pieds de la chaise.Je garde la laisse reliée à ses menottes.Je la fait se mettre à genoux sur le fauteuil, et se pencher en avant sur dossier.




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Je passe de l’autre côté du fauteuil, et je lui présente mon sexe, à bouche, comme un amuse bouche supplémentaire.Ayant toujours les yeux bandés, elle ne s’aperçoit de la présence de mosexe, que lorsqu’il frôle sa joue.

Je caresse son visage avec mon sexe, pour arriver à la commissure de slèvres.Elle veut ouvrir la bouche. Je me recule.Elle la referme, et je viens caresser ses lèvres avec mon sexe pendaquelques instants.Soudain elle le prend en bouche, et une douce sensation de chaleum’envahit.Je commence à faire des va et vient, des à-coups, puis lentement jm’enfonce plus profondément.Elle me prend presque tout, mais je sens que si je vais plus loin, cepourrait être gênant.Je recommence mes va et viens.Je commence à être très excité, et je sens que je vais devoir me calmer upeu.Elle commence à vouloir retirer sa tête.Je me retire, et fais le tour du fauteuil.Je prends un collier plus grand et lui passe autour du cou.J’y accroche une laisse.Je lui tire un peu sur le cou, tout en la maintenant cambrée et sa poitrireposant sur le dossier du fauteuil, afin qu’elle m’offre la vue de ses fessbien en arrière.Un spectacle délicieux.Je vois son petit anus bien rond me narguer.

Je sais que c’est un de ses fantasmes, mais peut-être pas ce soir.Je maintiens la laisse tendue, et je lui donne une première fesséedoucement.Elle sursaute un peu, mais ne me dit rien.Une seconde un peu plus forte.Toujours rien.Une troisième qui claque un peu, et la, un sursaut et un gémissement.Je continue un peu, puis je change de fesse. Pas de jaloux.




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Elle a l’air d’aimer cela.Ses fesses commençant à rougir, je m’arrête.Je lui écarte les fesses, et, de ma langue, je commence à tourner autour son anus.

Elle se recule un peu pour me le donner encore mieux.Je m’attarde sur ce point, et commence, par petites pressions espacéesessayer de pénétrer son anus avec ma langue.A chaque fois un soubresautJe m’arrête soudain pour enfoncer un peu plus ma langue, tout en essayade l’écarter un peu. Elle commence à gémir, mais son anus me sembencore étroit pour supporter mon sexe.Je sors ma langue, me lève, la laissant sur sa faim, pour aller chercher tube de gel, et le monsieur précédemment acheté.Lorsque je commence à lui passer du gel, je sens bien qu’elle se rétracte.Je la calme en lui disant que je ne la prendrais pas sauf si elle le désire.Elle se détend.Je badigeonne le monsieur de gel, et je commence à le frotter contre soanus. Au premier contact, il est un peu froid, elle s’avance un peu.Je la recale tendrement, et commence à jouer lentement avec le monsieusur son anus.Elle commence à se détendre vraiment et je peux, petit à petit, l’enfoncerLorsqu’il est bien place, je commence mes va et viens. Elle commenceprendre du plaisir, puis se tend subitement.Je ne bouge plus la main, et le godemiché reste en son antre.A l’aide de la laisse, je la fait se reculer au maximum.Une fois en place, j'enfonce lentement mon sexe dans son vagin.Elle se met à gémir.

Je recommence à m’occuper du monsieur et de son anus en simultané.Quelques instants à jouer à la double pénétration, et subitement, Elaccélère la cadence pour partir dans un orgasme intense.Je me retrouve un peu bête, car je souhaitais poursuivre, et surtout je sutrès excité.Je lui indique que la nuit n’est pas finie et qu’elle est toujours à moi.Elle chuchote: « mmmhhhh, je vais adorer cette soirée ».




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Et moi de répondre : « et moi donc, mais tu as joui sans mon accord, tu vdevoir être punie».Je me retire et retire le godemiché lentement.Je lui retire ses menottes mais laisse le collier.

Je l’aide à s’assoir.Je retire son foulard.Je m’assois sur le canapé en face.Elle me regarde d’un œil coquin. Nous trinquons et buvons une petigorgée de bulles.Soudain elle se lève et se met à genoux entre mes jambes.Elle commence à me sucer longuement, langoureusement.De temps en temps, elle me jette un regard coquin, tout en coulissant smon sexe.Elle continue ainsi jusqu’à ce que je jouisse. Elle prend ma semence ebouche, complètement.Puis elle se rassoit, et reprend sa coupe, comme si de rien n'était.Bon, sur le côté maître, il faut encore que je travaille.La soirée s’est poursuivie plus sobrement, mais nous avons refais l’amodeux fois avant que le jour ne se lève.




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MAIS PAS SEULEMENT.

Les jours passaient mécaniquement, mais nous avions repris une libidconséquente. J’aimais ma femme, j’aimais son corps, et je la désirais, par bonheur, cette sensation était partagée.Nous avions une cave. Une isolation thermique et phonique. Un peu dmoquette, et de décoration. Internet installé. Deux ordinateurs.Pour la décoration, un fauteuil Emmanuelle, un miroir sur toute llongueur du mûr, un miroir de coin sur la hauteur, un éclairage tamisé, ucanapé lit, des chaises une table de salon, et des rideaux de tulle collés amûrs.En bref, c’était un second salon, mais dans lequel nous nous autorisionsfumer. Nous y passions quelques unes de nos soirées, car nous pouviotravailler tout en nous détendant.Cette pièce était un petit nid d’amour. Lorsque l’excitation était trop forpour monter dans la chambre confortable, nous faisions l’amour sur canapé, sur une chaise, à sol.

Cette pièce était sensuelle, et n’était partagée que par nous.Alors que nous discutions de nous, tout en travaillant, nous avons abordésujet de l’âge. Et, force est de constater qu’en vieillissant, nous nrajeunissons pas… C’est là une La Palissade.Je souhaitais pouvoir conserver la beauté de ma femme intacte dans msouvenirs. Une sorte de portrait de Dorian Gray, mais réel.Une photo… Ou plutôt des photos… Osées, sensuelles, mais se souvende nos corps, de nos visages tels que nous étions, plus jeunes.Il ne restait plus qu’à acheter un appareil photo numérique de qualité, poéviter les développements argentiques.Il fût rapidement trouvé.Nous avons commencé une activité, qui ne nous a, encore aujourd’hu jamais quitté. Prendre des photos intimes de nous.Nous avons débuté par des poses en tenue de soirée sexy.

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PREMIERS FANTASMES

Pour notre première soirée « Fantasmes », nous étions partis sur l’idéd’un autre homme.Le triolisme.Elle ayant des appréhensions sur cette première expérience, noudécidâmes de chercher un jeune homme de moins de 25 ans.Internet est ainsi fait que vous avez tous les choix de sites, pour toutes lsexualités, à tout moment. Nous avons donc cherché et trouvé le siadéquat.Comble de bonheur et de chance, nous sommes tombé rapidement sur u jeune, situé suffisamment loin pour ne pas le croiser tous les jours, maassez prêt pour qu’il se déplace.Il avait 22 ans. Parfait.Nous le faisons venir.Un beau garçon, vraiment, à rendre jaloux un honnête homme.Blond, fin, un peu plus grand que moi, le visage angélique et quelque p

poupon de la jeunesse.Nous l’invitons à prendre un verre avec nous, afin de détendrl’atmosphère et de se détendre.L’atmosphère détendue, madame, à ma grande surprise, prend les devantElle lui demande s’il est détendu. Lui répond oui, forcément.Elle lui demande s’il veut se mettre à l’aise. Il répond oui, une nouvelfois.Timidement, il ôte son pull et s’interrompt.Un peu impatiente, Elle l’invite à s’assoir sur le canapé à côté d’elle.Il s’exécute.A peine assis, elle commence, tout en essayant de le détendre, de lumalaxer le sexe au travers du jean. Il reste tendu.Je ne la pensais pas aussi à l'aise et autoritaire. Une vraie tigresse.Le jeune homme reste emprunté, et n’ose trop bouger.Elle me regarde en m’indiquant des yeux qu’il faut que j’agisse.

PREMIERS FANTASMES 22


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Je m’approche en enlevant les boutons de mon pantalon et enlève cdernier.Je me poste debout devant elle et commence à déboutonner ma chemise.Pendant ce laps de temps, elle met sa main dans mon caleçon pour m

caresser.Là, il se lève pour se dévêtir.Je me déshabille, pendant que ma femme me caresse.Il est nu, je suis en caleçon. Il a la peau laiteuse, et est quasi imberbe, suis légèrement plus mat, et beaucoup plus poilu. Nous sommes tous ldeux debout, et Elle est toujours habillée. Certes, une guêpière décolletet une jupe courte sous laquelle se devine la naissance des bas résilles.Je lui prends la main et l’invite à se lever.A peine debout, elle se retrouve entre nous.Je l’embrasse, tout en la serrant contre moi.Elle à la peau douce et chaude.Il se colle dans son dos.La respiration d'Elle s'accélère.Il se met à lui caresser un sein à travers la guêpière.Je cesse de l’embrasser pour la tourner vers lui.Je commence à dégrafer sa guêpière, et il commence à l’embrasser.Je devrais être jaloux de ce baiser, mais c'est tellement beau.Elle est magnifique lorsqu’elle embrasse.Je retire sa guêpière.Je caresse son dos lentement, tout en descendant vers l’orée de sa jupe.plonge sa tête dans son cou, et lui prend les seins maladroitement.Je relève sa jupe, et lui embrasse, lui lèche, lui mordille les fesses.Il continue ses caresses sur ses seins.

Je baisse sa jupe tout en continuant à embrasser son petit cul.J’en profite pour tomber mon caleçon.Je me relève, embrasse Elle dans le cou à mon tour, en glissant une jamentre ses cuisses.Je la sens excitée.Il recommence à l’embrasser, puis la prend par la taille.Je lui caresse les seins, tout en mettant mon sexe contre ses fesses.Elle commence à frémir.


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REUSSI

Quelques jours plus tard, nous voilà à nouveau en recherche d’un hommmais cette fois ci d’au moins la cinquantaine.Quitte à passer un moment de ce type, autant le vivre avec une personnexpérimentée, pour le plaisir. La beauté est accessoire, pourvu qu’il y al’extase.Dans ce type de recherche, il faut être très sélectif, car il y a énormémede demandes.Il y a des bourrins qui, à peine avoir écrit bonjour, nous disent « je veusodomiser ta salope ». Éliminés.Il y a ceux qui cherchent un contact suivi. Le love, pas ici.Il y a ceux qui écrivent avec des fautes à chaque mot. Non.Il y a ceux qui sont loin mais que l’on pourrait loger. Non.Il y a ceux qui veulent venir, mais qui sont un peu complexés par la tailde leur sexe. Non.Il y a ceux qui n’ont pas de moyens de locomotions et qu’il faut alle

chercher. Non.Il y a les hommes mariés, pour qui nous devons être discrets, ou que nodevons appeler pour annoncer qu’il doit venir au boulot de toute urgencNon.Il y a ceux qui veulent un dialogue en webcam à tout prix, sinon ils nviennent pas… Ils ne viennent pas, c’est tout.Il y a ceux qui habitent à côté. Là, non, nous connaissons tout de même dmonde.Et puis il y a celui qui intègre tous les critères.Dialogue cohérent et courtois. Coquin, mais sans en rajouter. A priodisponible. Peut se déplacer sans avoir besoin de le loger. Critèrephysiques acceptés par madame.Banco, nous en tenons un. Il a 60 ans.Il est élu homme de la soirée, à l’unanimité de nous deux.Une petite heure plus tard, il arrive.

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Des cheveux blancs, il paraît bon vivant. Un ventre un peu arrondi, masans plus. De prime abord, il est jovial.Je suis rassuré, ce n’est pas un vieux séducteur.La confiance n’exclut pas l’inquiétude.

Nous nous installons dans le salon.Deux canapés, l’un en face de l’autre. Une table de salon en osier entre.Elle et moi sommes sur un canapé, et lui, sur l’autre, en face de nous.Nous lui proposons de partager un verre avec nous.Il accepte.Un whisky glace pour se mettre à l’aise.Nous commençons à discuter de banalités, puis nous attaquons des sujeplus chauds sur nos expériences respectives. Le monsieur a du vécPlusieurs fois divorcé, il vit seul et ne se contente que de maîtresses dpassage, et une suivie.Nous commençons à dériver sur sa vie, plutôt bien remplie, à l’écouter.Nous sommes à l’aise avec lui.Je vois Elle conquise par sa façon de parler détendue et dénuée de totabou.Je commence à me dire qu’il va séduire ma femme, et ce n’est ce pas jeu.Complètement à l’aise, il commence à féliciter Elle pour sa beauté.Il s’excuse de son âge.Il est fort le bougre.Les verres sont vides.Elle nous propose de nous resservir.Elle prend nos verres et se dirige vers la cuisine.A peine sortie, il me dit :

- « tu as une femme magnifique ».Je lui réponds - « je sais, elle me plaît chaque jour ».Il continue : - « c’est beau votre confiance, j’aurai aimé que l’une de mes femmes mpropose cela ».Je lui réponds :


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- « bien souvent, c’est une question de dialogue, car les femmes, mêmcelles qui paraissent les plus sages, ont des fantasmes ».Et lui de poursuivre : - « Oui, pourtant j’ai toujours aimé dialogué sur le cul avec mes ex d

façon ouverte ». - « Oui, mais parfois, il faut aussi la confiance associée ». - « Oui, je reconnais. ».Madame revient avec les verres sur un plateau.Elle est habillée d’une robe léopard à bretelles fines. Décolleté sur poitrine, et dos dénudé.Cette fois-ci elle n’a pas de bas.La robe est flottante, et arrive à mi cuisse.Je devine qu’elle n’a pas de soutiens gorges, mais a-t-elle mis un string ?Elle pose mon verre, puis le sien.Elle fait le tour de la table en osier pour poser le verre de notre invité.Au moment ou elle se baisse pour poser son verre, il lève son bras polever sa jupe et lui caresse les fesses. - « Tu es vraiment très jolie », dit-il, tout en continuant à la caresser.Voilà une attaque à laquelle je ne m’attendais pas.Elle se relève en rougissant. - « Merci ».Il laisse sa main sur ses fesses.Elle ne bouge pas, et a les joues rougies. - « Tu as vraiment une femme magnifique ».Elle reste immobile, et je la sens à la fois un peu sous le choc de ne pavoir prévue cela, de ne pas avoir de répartie, et excitée.Il persiste :

- « hmmm, tu as un cul !».Elle reste bloquée.Il continue à lui caresser les fesses, et je sens qu’elle ne maîtrise plus dtoutJe propose : - « et si nous trinquions ? ».Madame se dégage de suite en disant : - « oui, trinquons ».


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Elle vient s’assoir à côté de moi.Nous continuons à discuter, mais il ne la lâche plus des yeux.Le dialogue reprend, mais de façon plus timide.Soudain, il veut aller aux toilettes.

La libération.Je l'accompagne pour lui indiquer ou sont ces dernières, puis reviens virejoindre Elle.De suite, elle m’avoue qu’il passe bien, mais qu’il lui fait un peu peur.lui semble un peu trop coquin.Je lui indique que l’on fait comme elle le désire, mais que nous sommensemble et que si cela lui fait plaisir, nous gèrerons.Nous entendons la porte des toilettes se refermer.Elle me fait un signe de la tête pour m’indiquer qu’elle est d'accord.Il revient s’assoir.Nous recommençons notre discussion, qui se détend à nouveau, et au bode quelques minutes, il me demande si cela ne me dérange pas s’demande à Elle de venir plus prêt de lui.Je lui indique qu’elle est capable de répondre elle-même. - « Tu viens ? ». - « J’arrive. » répond-elle.Elle se lève et s’approche de lui.Elle se pose debout devant lui.Il tend les bras pour la saisir pas les hanches. - « mmmhh, que tu es belle ! » dit-il.Il passe les mains sous sa jupe pour saisir ses fesses à pleine mains tout la regardant. - « Tu n’as pas mis de culottes. J’aime » dit-il.

Sa robe relevée sur ses hanches me laissent entrevoir ses fesses à la pefine et légèrement ambrées, et ne me laissent pas de marbre. D’autant plque je la vois, un peu empruntée, un peu femme soumise à un étrangecomme démunie de toute réaction.Il la pousse à s’assoir à côté de lui.Je regarde la scène, intrigué.Ce n’est pas son habitude.


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A peine assise, il lui descend les bretelles de la robe et lui découvre lseins.Elle ne réagit pas.Il est fort.

Il se jette sur un sein et met sa main directement entre ses cuisses.Elle me jette un regard un peu paniqué.Je la rassure du regard.Il laisse le sein de Elle, pour se retourner et me faire signe de venir lrejoindre, avant de repartir sur son sein.Étant plutôt excité par la scène, je lui obéis.Je m’assois à côté d’elle, et commence à dévorer l’autre sein, tout en caressant pour la rassurer.La robe initiale ressemble maintenant à une ceinture, perdue autour de taille.Elle commence à malaxer nos sexes, au travers de nos pantalons.J’en profite pour enlever mon haut, avant de reprendre son sein en bouchIl m’imite.Il reprend son activité.Les mains de Elle commencent à caresser nos torses.Nous la laissons faire quelques instants, puis nous nous levons poul'allonger sur le canapé.Il passe sa tête entre ses cuisses, et de ma bouche je lui titille les seins.J’enlève mon jean et mon boxer dans ce laps de temps.Il fait de même.Il a un beau sexe épilé, bien dimensionné sans être gros.Il la lèche profondément, et la sentant excitée, lâche son sein pour écartses lèvres. Je me lève pour approcher mon sexe de sa bouche.

Elle le prend et commence à s’en occuper avidement.Qu’est ce qu’elle peut sucer divinement. De voir ce visage angéliquengloutir ma virilité est tout à fait somptueux. Qu’elle est belle quand evit le sexe.Je le vois la regarder me sucer, plein d’envie.Elle est excitée.Je me retire.Il cesse de la lécher.


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Nous l’invitons à se mettre à genou au pied du canapé, et il se positionassis sur ce dernier.Elle le prend dans sa bouche à son tour.Je me lève du canapé, me positionne derrière elle et la recule un peu, po

la mettre à ma hauteur.Une fois bien positionnée, je la pénètre profondément.Elle pousse un cri.Je commence mes allers retours lentement.Il prend sa tête entre ses mains.Petit à petit il amène son visage à le prendre un peu plus à fond.Il est coquin, en effet.Je m’enfonce entièrement en elle.Je sens que par l’excitation, elle a du mal à suivre le rythme qu’il luimpose.Elle commence à se rétracter un peu vis-à-vis de lui.Je me retire et vais m’assoir sur le canapé.Il se lève, prend un préservatif, l’enfile et revient s’assoir.Elle est toujours à genou, mais s’est avancée entre mes jambes pour venm’embrasser tout en me caressant, le sexe.A peine est-il assis qu’Elle se positionne entre nous pour me sucer tout le masturbant.Venant d’enfiler son préservatif, je sens bien qu’il a envie de plus.Il lui dit qu’il a envie d’elle.Elle se lève, met ses pieds sur le canapé de chaque côté de ses jambes,commence à s’accroupir pour se rapprocher de son sexe.Elle est tout contre lui.D’une main, elle saisit son sexe, le dirige vers le sien, et commence

l’enfoncer en elle.A ce moment la, elle prend la tête de notre invité, la serre contre spoitrine, et commence à jouer des ses cuisses et de ses hanches poumonter et descendre lentement.Il lui dévore les seins.Qu’elle est belle, son visage détendu par le plaisir. En l’observant fail’amour, je fonds. Sans vraiment m’en rendre compte. Je commence à mmasturber en l’admirant mécaniquement.


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Elle tourne la tête vers moi et me voit l’observer et me caresser.Elle me prend la main, pour me tirer vers elle.Je me lève, me met debout sur le canapé, et m’approche d’elle.Elle commence à me caresser le sexe, puis le prend dans sa bouche.

Je commence à faire des va et vient dans sa bouche, pendant qu’elcontinue de bouger sur le sexe de notre invité.Elle ondule, elle se cambre, tend son corps, puis, le détend. Elle joue avnos sexes et nous la regardons nous démontrer que même un peu soumiselle est maîtresse de nos sens.Elle gémit de plaisir, mais je sens que ce n’est pas tout à fait ça.Il me regarde.Je luis fais signe de la retourner.Il la remonte et la pousse à se tourner.Elle s’installe de dos à lui et reprend son sexe en elle.Je sors du canapé pour me mettre en face d’elle.Elle me regarde, magnifique.Je me baisse un peu et l’embrasse.Elle m’embrasse goulument, tout en continuant ses mouvements.Il bloque ses mouvements en la serrant un peu plus à la taille.Il commence à jouer de ses fesses pour attaquer des allers retours.Elle m’embrasse encore plus fort.Je place ma main sur son clitoris, et je joue avec, tendrement ou pluardemment.Elle cesse de m’embrasser.Je me relève un peu, et voit son visage complètement détendu, ses seins poire tendus droits devant elle, magistraux, qui suivent le mouvement qnotre hôte lui impose. Ses yeux sont fermés. Elle est sublime.

A ce rythme auquel s’ajoutent mes doigts, elle commence à gémir de plen plus fort, et je sais qu’elle s’approche de l’orgasme.Elle pousse ses mains pour se sortir de son sexe, descend du canapé, mpousse à m’assoir, se met à genoux entre mes jambes, et commence à msucer.Il se lève, se met derrière elle et commence à diriger son sexe vers sovagin.Il s’enfonce.


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Elle sursaute.Pendant qu’elle me suce, il se met à la prendre de plus en plus fort.Elle recommence à prendre un grand plaisir.Mais, excité, il fait des allers-retours très rapides… trop rapides. Je se

qu’elle perd son plaisir.En regardant de plus prêt, je vois qu’il tente d’insérer un doigt dans soanus.N’étant pas prévu, je sais qu’elle y est réfractaire.Je la relève de façon qu’il soit obligé de retirer ce doigt intrus.Je lui demande de s’assoir sur le canapé et de retirer le préservatif.A peine allongé, elle se met à le sucer, et je me mets à genou pour prendre en levrette.Nous continuons comme cela quelques minutes.Lui commence à gémir, et commence à s’aider de sa main.Elle commence à gémir aussi.Tous ces gémissements m’excitent.Subitement, il jouit dans sa bouche.Au même moment, elle se met à jouir également.Quelques instants plus tard je me retire pour partir sur ses magnifiqufesses.Tout le monde finit rassasié.Elle un peu surprise d’avoir pris du sperme, à la fois en bouche et sur lfesses, part se doucher.Nous nous rhabillons.Elle revient quelques minutes plus tard.Nous souhaitons à notre invité un bon retour, tout en le raccompagnant.A peine est-il parti, que nous nous installons devant un dernier verre po

un petit débriefing.En conclusion, Elle est satisfaite de ce moment, et moi aussi.Tout va bien, nous nous sommes rassurés.Nous nous apercevons que nous sommes restés nu.Nous nous regardons de façon non équivoque.Nous nous levons et rejoignons la chambre rapidement.A peine suis-je allongé sur le dos, qu’elle se met sur moi et me prend elle.


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Nous faisons l’amour tout en discutant de la soirée.Là, elle me dit qu’elle veut essayer la sodomie, car elle y avait pensdurant cette soirée. Qu’il l’avait excitéElle en avait un peu peur, mais, qui sait, elle pourrait aimer.

- « Veux-tu essayer maintenant ? ».Lui dis-je sans conviction.Et c’est à ma grande surprise qu’elle me répond oui.Nous arrêtons nos mouvements, nous éloignons nos sexes, et je me lèvpour aller chercher le gel.Elle m’attend sur le lit.En me voyant arriver, elle se positionne à quatre pattes sur le lit.Je me mets derrière elle.Quel cul.J’ai à la fois envie de violenter cet anus offert, mais aussi envie de vénérer, tellement l’ensemble est magnifique.Malgré tout, je me décide. Cette vision est trop excitante.Je commence à la lécher tendrement.Petit à petit j’enfonce un peu plus ma langue.Lorsque ma langue l’a un peu détendue, je mets du gel sur mon doigt, commence à en passer un peu sur l’extrémité de mon anus.Petit à petit, je prends une perle de gel, et enfonce mon index un peu plloin.Le frein met du temps à passer, mais une fois passé, tout va bien.Une fois son petit cul bien lubrifié, et mon doigt bien enfoncé, jcommence à détendre le tout de mon doigt.Elle me dit soudain : - « vas-y, j’ai envie de te sentir ».Je sors lentement mon doigt, passe du gel sur mon sexe en érection,

l’approche de son anus.Je pose mon sexe sur son anus et commence à mettre un peu de pression.Elle essaie d’écarter ses fesses de tous ses muscles.Je commence à passer l’orée de son anus, le premier obstacle.Il passe.Le début de mon gland est positionné.J’applique un peu plus de pression, et elle met son visage sur le matelpour amener sa main sur ma cuisse, afin que j’y aille doucement.


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Je remets un peu de gel.Mon gland finit par re-passer le premier obstacle, mais nous arrivons frein.Par contre, elle a très mal, dès que j’essaie de m’enfoncer un peu plus po

passer le frein. Elle a du mal à accepter mon gland.Au bout de quelques minutes, voyant que je ne pouvais pas m’avancer plsans qu’elle ait mal, je me décide à passer cette ligne de démarcation d’coup.Je m’exécute.Elle crie un grand coup et essaie de se sortir. Je la maintiens.Je reste immobile pour qu’elle s’habitue.Elle se calme, et commence à me dire qu’elle sent les battements de mosexe.J’acquiesce, et lui dit que c’est un peu serré.J’ai l’impression que l’on a serré un élastique autour de mon sexe, jussous le gland. Je sens mon sang essayer de passer cet obstacle, par à coupJe sens le frein, petit à petit se desserrer.J’en profite pour m’enfoncer un peu plus.Elle a un peu mal, mais sans plus.Je commence des petits mouvements de va et vient, de façon très doucElle accepte mon sexe.Je m’enfonce petit à petit et elle passe de la douleur aux gémissements plaisir.Et, petit à petit, elle se détend complètement, et la pression sur mon sediminue. Elle commence à bouger d’elle-même, et je la laisse faire.J’arrive finalement à avoir mon sexe complètement en elle et une pressiquasi nulle. Elle se met à bouger de plus en plus vite.

Ses parois se sont complètement détendues, et je me mets à bougeégalement, de plus en plus fort.Progressivement, nous bougeons de plus en plus vite et de plus en plufort.J’ai ses fesses de feu dans mon champ de vision, et ne cesse de regardmon sexe se perdre dans cet endroit si peu fréquenté.Elle gémit de plus en plus fort, pour finir par hurler de plaisir.Je pars en elle en simultanée, dans un orgasme énorme.


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A peine avons-nous joui que j’ai envie de m’allonger pour respirer, maissuis encore en elle, et son anus se retend à peine partie.Nous attendons dans nos positions respectives que notre excitation passeEn débandant, mon sexe se retire automatiquement, et arrivé au niveau

frein, elle pousse un petit cri lorsque le gland sort.Nous nous allongeons.Elle me dit qu’elle a adorée.Je lui réponds que moi aussi.Une petite douche et nous nous couchons, lovés l’un contre l’autre.Quelle soirée divine.Ou nos mènera la prochaine ? N’importe-ou, pourvu que le plaisir l’amour soient au rendez-vous.


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Nos activités professionnelles étaient un peu difficiles à gérer à cetépoque.Entre pressions et manque de reconnaissance par rapport aux efforfournis, nous arrivions parfois à déborder et ramener le boulot à la maisoNous rentrions chacun stressés du boulot.Après quelques petites tensions qui n’ont pas durée, nous avons vicompris que nous devions nous laisser réciproquement notre espace lpremières minutes après la débauche.Une fois tout évacué, nous pouvions commencer à discuter.Ayant pris l’habitude de ne pas s’appesantir sur la télévision, la musiquadoucissant les mœurs, et, un fond sonore détendant les esprits, noudiscutions de nos journées.Ces discussions nous permettaient de comprendre mieux ce que vival’autre, mais nous permettaient également, comme une thérapie, d’évacuePar contre, malgré ces discussions, nous avions parfois des moments ou

pression nerveuse subie la journée, nous enlevait toute libido le soir.L’été venait de débuter.Les vacances d’été n’étaient pas encore tout à fait là.Nous avions un peu d’argent de côté.J’avais envie de respirer un peu.Elle aussi.Nous décidâmes de poser une semaine de vacances très vite, avanl’arrivée du mois de Juillet, et de nous refaire un voyage de noces.A l’époque, Nous n’étions pas très à l’aise financièrement, et ayant au fininvité le minimum, nous avions eu peu en retour.Un voyage, avec hôtel et repas à heures fixes ne nous intéressait pas.Nous nous mettons à chercher sur internet, sur les sites de voyages adernier moment, et pas grand-chose pour soulever notre attention.A force de chercher sur de multiples sites, nous finissons par trouver umaison proche de la mer. Mais pas n’importe quelle mer… L’océa

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Atlantique. Et pas n’importe où. Dans un coin ou les plages de sable fsont à perte de vue, ou s’isoler est facile. En bref un coin que nouconnaissions un peu et qui nous attirait beaucoup.Elle me dit banco. Une semaine de détente totale, pour débuter l’été. E

espérant bien sûr que le temps allait être de la partie.Nous avons fait le nécessaire. Nous partions quatre jours plus tard.Pas de soucis, quatre jours à courir, mais après, la libération.Au cas où le climat ne soit pas clément, nous avions prévu des activités remplacements. Des coins sympathiques à visiter, des endroits ou faire dactivités diverses, des restaurants à faire, etc. Nous avions même pensé aboîtes de nuit et sex-shop.Pour ce dernier, nous n’étions jamais entrés dans un sex-shop, seulemedes boutiques en ligne. C’était une découverte que nous souhaitions fairsans que cela soit une obligation.Dernier jour de la semaine.Débauche.Arrivée à la maison, et préparation des bagages. Nous partons demamatin.Comme de bien entendu, tout est organisé, mais les bagages ne sont pprêts.Nous courrons dans tous les sens. Tu as pensé à ceci ? Tu as pensé à celaTout se fait dans un désordre absolu.Nous allons tout deux nous coucher en étant sûrs d’avoir oublié quelquchose.Le lendemain matin arrive, et nous chargeons le coffre vite fait. Vu quantité de sacs que nous emportons, il est improbable que nous oublioquelque chose.

Vérifier les portes, les fenêtres, et nous voilà parti.A peine fait trente kilomètres, le moment ou nous n’avons humainemeplus envie de faire demi-tour, Elle me demande : - « tu as donné à manger au chat ? ».Là, monte en moi une angoisse. Il a beau être indépendant, vivre sa vie chat, à se balader et ne rentrer que quand il veut, il ne sait pas encoouvrir ses boîtes de croquettes tout seul, ni sa pâtée. J’ai beau réfléchirune réponse toute faîte pour éviter de faire demi-tour, mais, même le fa


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qu’il chasse les souris et les oiseaux ne me vont pas.Je réponds finalement : - « tu ne l’as pas fait ? », presque sûr de la réponse.Et là, demi-tour.

Une fois cet épisode passé, le minou approvisionné et les clés chez voisin, au cas où, nous voilà enfin partis.Comme de bien entendu, nous tombons sur un embouteillage, ce qui nomet en retard sur les heures de récupération des clés. Nous appelons, comme il est de bon ton, quand tout s’enchaîne, il nous faut faire vinkilomètres de plus pour aller chercher les clés chez le propriétaire.Nous arrivons enfin.Une installation sommaire, le principal, et nous nous installons sur terrasse, pour un apéritif bien mérité.Ça y est. Détente.Un téléphone portable sonne.Ne pas répondre, et éteindre les moyens de communication.Là, ça y est, c’est des vacances.Les téléphones portables éteints. Nous en gardons un avec nous, si besoin se fait sentir, mais éteint.Pas de pc, pas de portable, pas de moyens de communications si nous nesouhaitons pas. Le bonheur.Le premier soir, nous nous lavons de tout le stress accumulé depuquelques temps.Nous allons nous coucher assez tôt et faisons l’amour un peu de façomécanique.C’est le début.C’est la fatigue.

Les vacances commencent demain.


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Le lendemain, tous deux à peine réveillés, nous ouvrons les volets. PluNous nous regardons… et oui, la pluie.Petit déjeuner sur la terrasse couverte. Nous regardons la pluie tomber.Bon, cela aurait pu mieux débuter.Nous trainons un peu, et commençons à regarder ce que nous pourriofaire de notre après-midi.Nous sortons tous les documents imprimés. A chaque proposition, l’un ddeux n’est pas motivé. Et puis, vint le sex-shop. Elle est curieuse, je suintrigué. Ce sera une visite au sex-shop cet après-midi. Un peu de routmais cela nous motive tous les deux.Nous voilà partis.Nous garons la voiture pas trop loin, mais pas trop près non plus. Noucommençons à nous approcher de cet endroit mystérieux.

Je ne sais pourquoi nous avions cette appréhension, mais en passant devale sex-shop, nous sommes partis plus loin, pour aller mettre notre nedevant les annonces d’une agence immobilière.Puis, nous nous regardons.Sans dire mot, nous comprenons que nous sommes ridicules.Nous attendons tout de même qu’il n’y ait personne, et nous noudécidons.Plus personne.Marche rapide, et ouverture de la porte.Nous refermons la porte et nous nous sentons soulagé.Nous nous retournons et voyons ou nous sommes. Une demi-seconde dstress et puis nous réalisons que c’est un magasin comme un autre.Un étal de films X à l’entrée, classés par catégorie. Des personnes qregardent ces rayons, sans faire attention à nous.Une zone lingerie, une zone jouets, une zone livres.

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Des portes au fond, pour regarder des films, ou autre chose.A la caisse, une femme.Là, nous nous sentons complètement à l’aise.Nous commençons à faire le tour de la boutique, tranquillement.

Je jette un œil sur les DVDs, et un client commence à me conseiller ufilm. Ma femme est seule au rayon lingerie. Je jette un œil. Il y a dehommes, mais personne ne l’importune.Petit à petit, je suis à l’aise.Je la rejoins au rayon lingerie, et nous commençons à regarder les dessosexys.Nous passons un long moment à ce rayon, et les hommes ou couplepassent, sans prêter attention à nous.Nous sommes complètement à l’aise, maintenant.Après une sélection de quelques dessous sensuels, nous passons au ray jouets.Nous nous laissons tenter par quelques objets originaux, et quelques élixexcitants et autres gels aphrodisiaques.Une poche discrète nous est fournie.Nous voulons sortir du magasin, mais au moment de saisir la poignée, ulégère appréhension nous prend.Allons, du courage.Un regard, puis nous sortons décidés.Personne.Nous allons vite déposer nos achats dans la voiture, et repartons à piefaire une visite de la ville.En partant, nous tombons sur un supermarché et faisons nos courses pola semaine, en espérant que le reste de la semaine sera beau, ou, tout d

moins, un peu mieux.Nous rentrons à la location, mais cette visite nous a réchauffée la libido.Quand nous rentrons, il est presque 20h. Se servir un apéro, rallumer ltéléphones pour appeler la famille et les amis, et manger. Là, nous sommenfin seuls, nous éteignons nos téléphones.Bon, nous voilà avec de nouveaux dessous, de nouveaux jouetsQu’allons-nous pouvoir en faire.Et bien, nous avons de nouveaux jouets, nous allons jouer.


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Nous nous mettons à découper des carrés de papier de formes égaleMoment ludique.Nous divisons les catégories en quantités égales. Chacun a quaranétiquettes à remplir. Tout doit être minuté, sauf s'il y a un objectif préc

réalisable sur une courte durée.Toutes ces étiquettes sont divisées en quatre catégories. Soft pour lui (pde pénétration), soft pour Elle, Hard pour lui (toute pénétration incluse),hard pour elle.Un joker est distribué par personne, qui fait que chacun peut refuser uaction, pour donner lieu à un nouveau tirage.Deux trousses, chacune contenant toutes les cartes pour elle ou pour lui.Le perdant doit réaliser cinq gages, dans le courant de la soirée. Il peut lréaliser d’un coup, rajouter des choses au milieu. Libre à lui.Le perdant tirera les cinq gages d’un coup.Mais le perdant à quel jeu, me direz-vous ?N’étant pas chez nous, nous n’avons pas prévu grand-chose : Un jeu ddés, un jeu de 52 cartes, et un jeu de société beaucoup trop long pour nnerfs et notre libido.Comme nous avons déjà joué la soirée au poker précédemment, nous nosommes dis essayons les dés. Le 421 : non, trop rapide. Le YamtzPourquoi pas. De plus, c’est du hasard complet, donc très peu de tactiqueavoir. Le jeu sera équilibré.Nous débutons la partie.Rapidement, j’arrive à sortir un yamtz (cinq dés de même valeur). Je gèle reste de la partie pour la gagner de peu, mais l’essentiel est de gagner.Elle doit donc satisfaire à cinq gages.Je suis impatient, mais je dois dire, que perdre m’aurait rendu autan

impatient.Avant de débuter le tirage des gages, j'ouvre une bouteille de champagnenous verse deux coupes.Nous nous embrassons tendrement en trinquant à cette soirée.Elle tire la première étiquette et donc le premier gage: « caresse-topendant 2 minutes ».Je suis preneur.Elle tire la seconde : « mets toi à quatre pattes, tu as droit à 20 fessées ».


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Je me frotte les mains.La troisième : « imagine un fantasme avec de la nourriture sur Monsieur,réalise le ».Je savoure.

La quatrième : « Fais une fellation à Monsieur pendant deux minutes ».Je me délecte.Et le final : « Monsieur doit te sodomiser ».Je suis excité. Je sais que le hasard est très souvent malencontreux, mais je n’imaginais pas tout cela, et je ne sais comment cacher ma satisfactionRestons calme, que diable, et profitons.Je l’observe plus profondément.Je sens venir la remarque : ‘Il va avoir ce qu’il veut d’elle, donc, il regarde, quel macho’. A postériori, je peux dire que c’est plus la détente l’esprit par le plaisir à venir. Lorsque nous cessons de penser au quotidienous nous ouvrons.Elle a mis une robe longue et noire qui dessine ses formes, mais je ndevine pas ce qu'elle a mis comme dessous pour la soirée. Je devinseulement les bas résilles.Elle a du mal à démarrer, c'est le premier gage.Nous sirotons un peu de champagne, en dialoguant.Je sens que je n’arrive pas à la mettre à l’aise complètement.J'allume la radio et cherche une musique un peu sensuelle.Un slow. Nous ferons avec.Nous discutons un peu de la soirée.Là, elle se détend, peut-être parce que je suis détendu également.Elle enlève sa robe.Elle arbore une magnifique guêpière noire en dentelles, et petites fleu

brodées. Cette guêpière s'accompagne d'un string en dentelles assorti.Elle se lève et commence à danser pour moi, en faisant rouler ses hanchde droite et de gauche, à l’orientale. Avec ses dessous, la lumière tamisorangée, et sa peau naturellement dorée, c’est une merveille. Je la regarenvouté. Il est des instants ou l’homme est pris entre deux sensationopposées : l’admiration devant une œuvre d’art que l’on ose toucher dpeur de la dénaturer, et l’excitation des sens primaires sexuels. Maispeine quelques instants passés, je me dis que je suis comme tous le


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hommes… je la désire ardemment.Une fois sa danse du feu dans mon corps terminée, elle passe devant moiElle m’embrasse lentement.Mécaniquement, mes mains s’approchent de son corps. Elle me repous

pour aller s’allonger sur le lit.Je me retourne vers elle.Elle me regarde d’un œil coquin et se met à se caresser les seins, puis ventre.Elle se remue sous l’effet de ses propres mains.Je suis à la limite de déboutonner mon pantalon pour me caresser.Une de ses mains descend sur son sexe et disparaît sous son string.Elle commence à relever ses hanches pour me faire profiter un peu miedu spectacle.C’est délicieux.Puis, elle s’arrête.Je n’ai pas pensé regarder le temps, mais les deux minutes ont dlargement passer.Elle se relève et vient devant moi pour m’embrasser sensuellement.Elle prend mon visage pour le plonger entre ses deux seins.C’est fabuleux.Elle me propose de me déshabiller un peu. Je m’exécute.Je retire ma chemise et mon pantalon, pour ne conserver que mon boxer.Elle m’embrasse à nouveau tout en me caressant le torse.Là, je me dégage un peu pour approcher mes lèvres de son oreille.Je lui mordille le lobe et lui susurre : « tu n’as pas été mignonne, je croque je vais te donner la fessée ».Elle sourit.

Elle s’installe à quatre pattes au centre du lit.Je culpabilise un peu de lui donner ce second gage, mais après tout, eln’a pas posée son joker, donc, peut-être en a-elle envie.Je me mets derrière ses fesses bien tendues. Humm, il est bandant ce pecul.Je pose mes mains sur ses fesses, pour la prévenir que je vais débuter.A la première j’y vais doucement. Pas de réaction.


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La seconde sur l’autre fesse (j’ai décidé d’alterner), aussi forte… aucuréaction.Je force un peu plus la troisième. Pas beaucoup mieux. La quatrième lfait le même effet.

Là je me dis que je vais doser un peu plus mes fessées.J’ouvre bien ma main, et m’élance pour une fessée coton, sans êtrviolente non plus.Ma main bien ouverte claque sur ses fesses, et la, elle pousse un petit cri.Une réaction.La suivante est du même acabit.Elle pousse un petit cri qui se finit dans un gémissement.Je poursuis, et à chacune de mes fessées, son petit cri disparaît pour laissplace à un gémissement de plus en plus profond.Ses fesses sont rouges, et l’on devine la trace de mes mains. La dernièarrive. Je la lui donne et elle gémit de plus belle.Là, je lui dis que le calvaire est finit.Elle se relève, se retourne et m’embrasse.Elle me dit : - « c’était excellent, j’ai adoré ».Je suis ravi.Le troisième gage consiste en de la nourriture à déposer sur moi pumanger sans les mains et, la surprise, elle doit l’imaginer.Elle s’éclipse, sûrement pour aller chercher ce qu’il faut.Elle revient quelques instants plus tard, avec un saladier rempli de cerisesAh, je ne m’y attendais pas. J’imaginais la chantilly (quoique noun’aimons pas ça et n’en avons donc pas).Que veut-elle faire avec ces cerises ?

Elle me demande de m’allonger sur le lit, sur le dos, et de ne plus bougerElle retire mon boxer. Je me retrouve nu.Elle me demande d’ouvrir ma bouche, et de tenir la cerise sans la croquerElle en positionne une dans le creux de mon cou.Puis elle en positionne tout le long de mon ventre jusqu’au nombril.Elle lève mon sexe, et en positionne une sous mon sexe.Là, elle me demande de ne plus bouger.Je m’exécute à nouveau, mais pour la bonne cause.


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Je me cambre de plaisir.Elle reprend mon sexe dans sa bouche, et, elle l’enserre fort pour débutde lents mouvement de haut en bas, ou elle décalotte mon sexe amaximum, pour relâcher un peu, et de sa langue me titille le gland

l’entrée du canal urinaire.Je suis dans un autre monde. Je sens monter l’explosion.Elle le sent aussi, et s’arrête.Je me remets doucement.Nous nous asseyons sur les canapés deux minutes pour siroter à nouvequelques gouttes de champagne.Là, je luis dis : - « deux gages d’un coup, très fort ».Elle me sourit, et me dis qu’elle était excitée de me donner cela.Je lui réponds - « et moi donc, de le recevoir ».Pour le dernier gage, qui est tout de même une pénétration anale, je nveux pas débuter sans préparation.Je me lève, me positionne devant elle et l’embrasse.Elle a toujours ses dessous.Je la prends dans mes bras, la serre contre moi, et tout en l’embrassant, soulève du canapé doucement.Elle enroule ses jambes autour de ma taille.Nous faisons quelques mètres et je la dépose sur le lit, en m’allongeant selle.Je l’embrasse et lui caresse les seins.Tout en la caressant, j’approche une main de son sexe.Là, je m’aperçois qu’elle a toujours son string, et qu’il est tremp

d’excitation.Je descends mon visage sur ses seins, joue un peu avec, et continue mdescente sensuelle vers l’antre de toutes mes perditions.De ma langue je m’arrête à l’orée de son sexe, et reste un moment tourner autour.Puis, je me décide à lui enlever son string.Je plonge ma langue directement dans son sexe. Elle se cambre. Je mretire un peu, puis la visite doucement, lentement. Elle est trempée, ma


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son goût est divin. Je me délecte. Aucun goût de gel douche ou de gintime à l’horizon. C’est l’odeur et le goût d’une journée, à laquells’ajoute l’excitation du moment.Je m’attarde sur son clitoris, et me mets à l’aspirer, le mordiller, le frôle

de façon irrégulière. Elle me prend les cheveux, commence à me les tiretout en gémissant.Je me retire, et tout en remontant mon visage vers le sien, je laisse pendmon sexe entre ses jambes.Quand mes lèvres trouvent les siennes, mon sexe est déjà en contact avle sien.A peine le temps de commencer à l’embrasser, qu’elle donne un coup drein et je me retrouve en elle.Je commence à la prendre doucement, puis j’accélère, puis me retire, pureviens doucement, puis accélère, de façon désordonnée.Elle est excitée.Si je persiste ainsi, nous n’aurons pas de cinquième gage.Je me retire, et la positionne en levrette.Le gel lubrifiant est à portée de main.Je la prends en levrette, tout en récupérant le tube de gel.En la prenant, j’ouvre le tube, et commence à lui caresser son petit cul.Son excitation a humidifié son anus et elle est déjà un peu ouverte.Je mets un peu de gel sur le majeur, et commence à pénétrer ce territoirtout en continuant mes allers-retours.Elle se cambre de plus belle.Je remets un peu de gel et vais un peu plus loin.Elle l’accepte.Je m’attarde de plus en plus profondément sur son anus, en n’hésitant pa

le lubrifier.Elle est prête.Je me sors.Le temps que je me passe un peu de gel sur le sexe, elle bouge ses fessd’avant en arrière, excitée.Je suis prêt.Je prends ses hanches d’une main ferme.Je dirige mon sexe vers son petit trou étroit de l’autre main.


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Je m’enfonce doucement.Le passage du gland est délicat.Elle pousse de petits cris de douleur.Un coup sec.

Un cri.Le gland est passéElle se calme et se recroqueville un peu sur elleJe commence à bouger sans m’enfoncer plus.Elle gémit de douleur, mais rapidement, cette douleur se transforme eplaisir, et c’est elle qui se recule de plus en plus, pour que je la pénètplus.Une fois à la butée de mon sexe, elle commence à accélérer le mouvemenElle accélère de plus en plus, et se met à tourner la tête de droite à gaucen criant de plaisir.Au bout de quelques instants, je suis obligé de la canaliser en la prenapar la taille pour ne pas sortir.Elle gémit comme je ne l’ai jamais entenduJe la laisse faire ses allers retours en la contrôlant.Rapidement, elle recommence a voir des mouvements d’excitation troimportants. Je la rattrape, mais rien n’y fait, elle va de plus en plus vite,commence à crier de plaisir.J’essaie de maîtriser, mais ne maîtrise plus rien.Elle jouit en criant et en remuant, tant est si bien, qu’elle arrive à me faime retirer de son anus.Là, excité au possible, à deux doigts de partir, je prends mon sexe dans mmain, me masturbe, et voyant son petit cul offert, lui éjacule dessus saménagement.

Nous nous allongeons l’un à côté de l’autre, elle sur le ventre, moi sur dos.Les vacances débutent bien me dit-elle.J’acquiesce en lui disant : - « on ne peut mieux ».Nous nous couchons repus.Que nous réservera demain.


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Une nuit de sommeil pour récupérer nos sens.Le doux réveil des vacances. Pas de sonneries qui vous extraient à un rêcâlin, ou à une vie de pacha.J’ouvre les volets pour voir si le soleil est au rendez-vous aujourd’hui.Le premier volet à peine entrebâillé, je suis directement ébloui. Je laismon regard s’adapter. Le temps que ma vue se fasse, je sens la chalem’envahir. Le Soleil est au rendez-vous.Parfait.Le ciel est parfaitement bleu, nous allons pouvoir faire notre premiè journée de plage.Nous déjeunons sur la terrasse.Une douche, quelques courses, un repas léger, et nous voilà prêts pour alrendre visite à l’océan.Elle porte un paréo autour de la taille et un tee-shirt à fines bretelles.De mon côté, je mets un bermuda assorti d’un polo.

Nous montons dans la voiture et nous dirigeons vers les plages.Il y a peu de monde. Nous cherchons un parking presque vide. Nous etrouvons un. Certes nous aurons un peu de marche, mais cela devrait nodonner un peu plus d’intimité.Avant de sortir de la voiture, je lui demande de rester assise pouimmortaliser ce départ à la plage.Je me poste devant sa porte et la lui ouvre. Je me positionne pour prendla photo. Elle met un pied au sol, le paréo s’écarte et je m’aperçois qu’en’a pas mis le bas du maillot.Je prends la photo.Nous prenons un sentier au milieu de la forêt de pins. Le sol est de sabchaud, parsemé d’aiguilles de ces mêmes pins. L’odeur de mer, de résinde soleil est enivrante. Nous faisons quelques dizaines de mètres et Elleenvie d’uriner. Elle entre s’isoler un peu en forêt. Je stoppe, prendrapidement l’appareil photo dans le sac à dos, et la suit discrètemen

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J’entends qu’elle a débuté, et me montre en face d’elle pour la prendre photo et me sauve aussitôt.Elle revient vers le chemin. Elle trouve un pin imposant, et commenceposer devant lui.

Je la prends en photo.Elle lève un peu son paréo.Je prends la photo.Elle se retourne et me montre le début de ses fesses.Je prends la photo.Elle se cambre et lève son paréo, en m’offrant ainsi ses jolies fesses.Je photographie toujours.Après cette halte intéressante, nous reprenons le chemin de la plage.Nous arrivons au sommet de la dune. Le vent léger, l’odeur marine, noenvoûte.Nous descendons la dune.Personne à plus de cent mètres à la ronde.Nous nous installons.Dépose des serviettes.J’enlève le polo et le bermuda pour me retrouver en boxer de bain noir.Elle passe son bas de maillot sous le paréo et enlève le paréo et sotee-shirt. Elle garde ses seins nus. Cela me convient. J’ai ses seins en podevant les yeux à la moindre envie de me rincer l’œil.La chaleur est telle que nous allons nous baigner rapidement.Après un long moment à se rafraîchir, et à profiter de la fraicheur salinnous revenons à nos serviettes.De la crème solaire.Une sieste.

Nous nous réveillons.La plage est toujours vide.Nous nous regardons et d’un accord tacite, nous enlevons le maillot. Novoilà nus sur la plage.Je suis un peu stressé et je sens qu’elle l’est aussi. Mais nous restons assnus, à regarder la mer.Quelques personnes passent le long de l’eau, au loin, nues, elles aussi.Nous nous sentons mieux, et nous allongeons.


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La caresse du vent et du sable sur le sexe m’offrent une sensatioexcitante.J’en profite.J’imagine qu’Elle doit ressentir des sensations similaires.

Nous sommeillons ainsi, caressés par les éléments.Un nouveau réveil.Personne à l’horizon.Je me lève et ose aller me baigner nu. L’eau est un peu froide, mais sensation de mon sexe bougeant au gré des flux et reflux est surprenante.Je reste immergé quelques minutes.Je reviens vers la serviette.Elle me regarde revenir, assise, nue.Je m’allonge sur le dos à côté d’elle.Elle me dit que je suis beau nu, et qu’elle m’a prise en photo.Je lui réponds qu’elle est un ange, mais que sa photo sera ratée, le sujn’étant pas photogénique.Je commence à fermer les yeux.Avec la fraicheur de la baignade, l’air vient caresser mon sexe et cetsensation est rafraichissante.Soudain, je sens un souffle d’air chaud.Puis, une sensation de chaleur, d’humidité, et un contact doux autour dmon sexe.Elle me prend en bouche.La sensation est sublime.Mais là, je réalise que nous sommes sur la plage, et j’ouvre les yeux et mredresse sur les coudes d’un coup. Personne.Là, je la vois me donnant un bain buccal, et ainsi ôter le sel marin qui s’e

déposé sur mon sexe durant la baignade.Son corps nu, doré, que le soleil vient faire étinceler, ses cheveux feux, scourbes arrondies, ses fesses offertes au soleil, son regard mutin dans mdirection, la vue de sa langue qui joue avec mon plaisir. C’est divin.Je me détends et commence à profiter.Au bout de quelques minutes exquises, elle retire sa bouche.Aussitôt, je sens une chaleur humide au bout de mon sexe. Elle s’assoit smoi.


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Elle enfonce mon sexe en elle.Je perds mon self-control.Des sensations remontent jusque dans ma nuque.Elle me prend progressivement jusqu’à la garde.

Je suis aux anges.Soudain je réalise que nous sommes sur une plage.Allongé, le soleil dans sa continuité, je ne vois que l’ombre d’unsilhouette magnifique et sauvage jouer de mon sexe. Ma sauvageonne.Encore une vision éternelle.En scrutant les alentours, je vois qu’une personne s’approche le long deplage.Elle le sent aussi, et me dit de me détendre.Je l’écoute.Je me relève un peu et regarde autour.La personne se rapproche.Elle continue ses mouvements.L’homme est tout proche, mais reste malgré tout à une distancraisonnable.Elle tourne son visage pour le fixer.Il reste quelques instants à nous observer, puis s’éloigne.Je me détends.Elle accélère le rythme.Elle jouit.Elle se retire et me demande de partir sur ses pieds.Je me lève, et la regarde nue, et belle comme un ange. Je me masturbpour éjaculer sur ses pieds.La plage est vide, je m’assois à côté d’elle et l’embrasse tendrement.

Elle a le pied blanchi par ma semenceN’est pas cela le bonheur ? Faire l’amour sur une plage de sable fin, peau salée, les corps nus, le bruit de la mer en fond et le soleil en témoin.Nous restons encore quelques minutes à nous détendre, pour ne pas perdune miette de ce soleil régénérateur, puis nous nous décidons à rentrer.La dune est dure à monter, mais l’air et la fraicheur sont présents, puis descente est plus facile mais se fait sans vent, en plein soleil. Il nous tard’atteindre le début de la forêt.


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La fraicheur reprend ses droits à peine sous les pins. Le chemin est un plong, mais nous sommes heureux et nous nous prenons la main tout emarchant d’un bon pas.La voiture.

Le retour.Une douche rapide, et il est l’heure de se préparer pour dîner au restauranElle finit de se préparer, pendant ce temps, je dois réserver une table.Comme nous sommes encore hors saison, peu de restaurants sont ouvermais un de ceux qui nous avait étés conseillés est ouvert.Nous avons une heure devant nous, et il est tout prêt.En l’attendant, j’ajuste ma tenue.Un pantalon à pince en lin noir, une chemise ample en lin crèmpar-dessus le pantalon, et des chaussures en cuir de style oriental. Un puléger, noir, sur les épaules. Les premières couleurs données par le solePas mal.Elle sort de la chambre, et se poste devant moi.Je la regarde avec admiration.Elle a une robe longue et noire en coton, qui épouse son corps, de finbretelles prennent les épaules, un décolleté qui laisse entrevoir la naissande ses seins, les cheveux attachés en chignon, aux extrémités éparpilléeun bracelet d’argent autour de sa cheville droite. Elle est déjà bronzée.Elle tourne sur elle-même, comme dans un défilé, et je découvre son dnu, et la robe fendue sur le côté de la naissance du mollet jusqu’à sa tailleElle est sublime.Comme nous avons un peu le temps, nous prenons une coupe dchampagne.Il est l’heure.

Elle passe des chaussures à talons avec des lacets remontant le long dmollets. Il commence à faire un peu frais, Elle met un châle noir sur lépaules.Nous arrivons au restaurant.A l’intérieur, il est rempli de personnes âgées, toutes prenant leurs desserLe serveur nous installe dans un coin, mais nous demandons à manger terrasse où il n’y a personne.Il accepte.


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Nous nous installons.Le serveur vient nous donner la carte et s’attarde un peu, mangeant mfemme du regard.Elle n’y prête pas attention, et sans aller jusqu’à ressentir de la fierté, ce

m’amuse.Nous commandons.Une entrée, un plat, un dessert et le vin qui va avec.Grands seigneurs.Le repas est excellent, et le serveur est aux petits soins.Rapidement, nous restons seuls clients dans le restaurant.Le repas terminé, nous prenons congé, sans trop de regrets, car malgré urepas excellent, le serveur était un peu trop présent, et nous a grignonotre intimité.Nous prenons la voiture, et je décide de faire un détour par la forêt.La route est déserte.Un petit parking vide, une barrière qui garde un chemin forestier, et je mgare les phares allumés.Je descends et prends l’appareil photo.Elle s’approche de la barrière et s’assoit dessus anticipant mes intentionsElle prend la pose illuminée par les phares de la voiture.Je prends la photo.Elle découvre une jambe.Je prends la photo.Elle s’allonge sur la barrière, une jambe relevée.Je prends la photo.Elle vient s’assoir sur le capot de la voiture.Je prends la photo.

Elle écarte les jambes.Je prends la photo.Elle s’allonge sur le capot.Je prends la photo.Elle est aussi belle de nuit que de jour, et je suis excité par ses poses.Je m’approche d’elle et me place debout entre ses jambes, l’aide à srelever, et l’embrasse avec fougue.Je mets ma main entre ses cuisses


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Elle met sa main sur mon sexe.Nous commençons à nous caresser ainsi.Elle assise sur le capot, et moi debout devant elle.Une voiture s’approche.

Nous stoppons nos caresses.La voiture nous éclaire de ses phares, passe devant nous lentement, s’arrête quelques mètres après.Nous nous regardons, et regagnons la voiture pour démarrer.On ne sait jamais.Nous regagnons la maison.Pendant que je conduis, Elle me caresse le sexe au travers du pantaloMoi, j'insère une main entre ses cuisses.Nous regagnons ainsi la maison, dans un état d’excitation intense.A peine la porte de la maison refermée, nous nous embrassonfougueusement.Quelques secondes, et je l’assois sur la table de la cuisine.Nous continuons à nous embrasser.Je me recule un peu, me mets à genoux, et passe ma tête sous sa robe.J’écarte son string et positionne ma langue entre ses lèvres humides.Je commence à la dévorer sans ménagement.Elle met ses mains autour de ma tête, en faisant épouser à sa robe mforme crânienne.Je suis excité et joue de ma langue rapidement et de façon désordonnépour ne rien oublier, de son clitoris, de ses lèvres et de son vagin.Elle referme soudain ses cuisses.Je comprends qu’elle n’est pas loin de la délivrance.Je me lève, dégrafe mon pantalon, le laisse tomber à mes pieds, et bais

mon boxer.Je me positionne entre ses cuisses, debout, dépose ses mollets sur mépaules, et la prend sauvagement.En même temps, je mets mes mains sur ses seins, pour les lui malaxer avforce.Je bouge mon sexe en elle puissamment, et je commence à enfouir movisage entre ses seins.


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Je baisse les bretelles de sa robe et commence à manger ses seins commun mort de faim.Elle commence à s’approcher de l’orgasme.Je me retire.

Je la lève de la table, pour qu’elle se retrouve debout devant moi, je retourne, et plaque son torse sur la table.Je relève sa robe.Là, je la prends avec force.A chaque fois que je m’enfonce, la table bouge un peu accompagnant ngémissements.Une petite fessée de ci de là.Je continue ainsi jusqu’à l’explosion.Nous partons ensemble, à l’unisson.Je tremble de plaisir. Je me retire.Elle se redresse et m’embrasse.Là, Elle me dit : - « j’adore faire l’amour avec toi ».Et moi de lui répondre : - « moi aussi, j’étais excité, désolé ».Elle continue : - « ne sois pas désolé, c’était excellent ».


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UNE RENCONTRE IMPROMPTUE

Le lendemain, nous voici de nouveau en présence d'un soleil magnifiqueComme la veille, nous nous prenons un petit déjeuner sur la terrasse, punous allons faire quelques courses sommaires, avant de nous prendre urepas rapide et de partir à la plage.Ne pas perdre une miette de ce précieux soleil que nous devronabandonner à la fin des vacances pour un retour en région parisienne.Nous nous garons au même endroit que la veille, et marchons d'un pdéterminé vers la plage, pour une après-midi à se dorer et à se baigner.Nous nous installons sur la plage. Personne à l'horizon.Nous nous mettons directement nus, cette fois-ci.Nous nous allongeons sur les serviettes pour débuter une légère sieste.Le soleil est étouffant, et rapidement, nous n'y tenons plus et noudirigeons vers l'eau.La différence de température entre l'eau et l'air est telle que nous mettodu temps à rentrer dans l'e

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Amour Confiance Et Désir