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Annales PACES - UE8PM - Lundi 30 mai 2016 Cochez A (Admise) si la proposition est juste = VRAI. Cochez B (Bêtise) di la proposition est fausse = FAUX. 1) Les médecins, chirurgiens-dentistes et les sages-femmes qui exercent dans un département sont inscrits au conseil de l’ordre dont ils relèvent. 2) L’inscription à un tableau de l’ordre rend licite l’exercice de la profession sur tout le territoire national. 3) Les médecins, chirurgiens-dentistes et les sages-femmes sont tenus pour exercer leur profession de faire enregistrer leur diplôme auprès du service compétent de l’État. 4) La préparation des médicaments est réservée au seul pharmacien. 5) La vente au détail de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro relève du monopole pharmaceutique. 6) Les quinze professions médicales disposent d’un ordre professionnel. 7) L’exercice de la profession de sage-femme comporte également la réalisation de consultation de contraception et de suivi gynécologique de prévention. 8) Les traitements des maladies congénitales de la ouche, des maxillaires et des tissus attenants relèvent de la pratique de l’art dentaire. 9) Les professions de psychomotricien, opticien-lunetier et audioprothésiste sont des auxiliaires médicaux. 10) Le principe d’économie doit à la fois guider le prescripteur et le pharmacien dispensateur du médicament. 11) Les ordonnances sécurisées sont conservées par le pharmacien pendant 10 ans. 12) La prescription de médicaments stupéfiants est possible sur une ordonnance de médicaments d’exception. 13) Un médecin généraliste peut, sous certaines conditions propres à chaque spécialité pharmaceutique, renouveler une ordonnance de médicament à prescription initiale hospitalière. 14) Le code de déontologie des professions médicales et pharmaceutiques est commun. 15) La prescription des médicaments classés comme stupéfiants indique en toutes lettres le nombre de prise et le dosage s’il s’agit de spécialités. 16) Les médicaments de la liste 1 doivent être détenus par le pharmacien dans des locaux fermés à clés. 17) Le déconditionnement de toutes les spécialités pharmaceutiques est interdit en France. 18) Une sage-femme peut prescrire un médicament classé comme stupéfiant dans les limites de la liste autorisée. 19) L’administration dans l’œil d’un collyre bêtabloquant pour le traitement du glaucome permet de s’affranchir de tout effet indésirable systématique. 20) L’administration d’un médicament par voie sublinguale permet d’obtenir une action thérapeutique plus rapide par rapport à la voie orale. 21) La patch contraceptif contenant des œstro-progestatifs se pose une fois par semaine pendant 3 semaines, ce qui permet une durée d’action contraceptive de 4 semaines. 22) L’administration d’un comprimé par voie orale permet d’obtenir son action locale soit une action systémique. 23) Un médicament ne peut avoir d’action systématique que s’il est administré par voie parentérale. UE8PM MAI 2016 Page 1 sur 4

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Annales PACES - UE8PM - Lundi 30 mai 2016

Cochez A (Admise) si la proposition est juste = VRAI. Cochez B (Bêtise) di la proposition est fausse = FAUX.

1) Les médecins, chirurgiens-dentistes et les sages-femmes qui exercent dansun département sont inscrits au conseil de l’ordre dont ils relèvent.

2) L’inscription à un tableau de l’ordre rend licite l’exercice de la professionsur tout le territoire national.

3) Les médecins, chirurgiens-dentistes et les sages-femmes sont tenus pourexercer leur profession de faire enregistrer leur diplôme auprès du servicecompétent de l’État.

4) La préparation des médicaments est réservée au seul pharmacien.

5) La vente au détail de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro relève dumonopole pharmaceutique.

6) Les quinze professions médicales disposent d’un ordre professionnel.

7) L’exercice de la profession de sage-femme comporte également laréalisation de consultation de contraception et de suivi gynécologique deprévention.

8) Les traitements des maladies congénitales de la ouche, des maxillaires etdes tissus attenants relèvent de la pratique de l’art dentaire.

9) Les professions de psychomotricien, opticien-lunetier et audioprothésistesont des auxiliaires médicaux.

10) Le principe d’économie doit à la fois guider le prescripteur et lepharmacien dispensateur du médicament.

11) Les ordonnances sécurisées sont conservées par le pharmacien pendant10 ans.

12) La prescription de médicaments stupéfiants est possible sur une ordonnance de médicaments d’exception.

13) Un médecin généraliste peut, sous certaines conditions propres à chaque spécialité pharmaceutique, renouveler une ordonnance de médicament à prescription initiale hospitalière.

14) Le code de déontologie des professions médicales et pharmaceutiques est commun.

15) La prescription des médicaments classés comme stupéfiants indique en toutes lettres le nombre de prise et le dosage s’il s’agit de spécialités.

16) Les médicaments de la liste 1 doivent être détenus par le pharmacien dans des locaux fermés à clés.

17) Le déconditionnement de toutes les spécialités pharmaceutiques est interdit en France.

18) Une sage-femme peut prescrire un médicament classé comme stupéfiant dans les limites de la liste autorisée.

19) L’administration dans l’œil d’un collyre bêtabloquant pour le traitement du glaucome permet de s’affranchir de tout effet indésirable systématique.

20) L’administration d’un médicament par voie sublinguale permet d’obtenir une action thérapeutique plus rapide par rapport à la voie orale.

21) La patch contraceptif contenant des œstro-progestatifs se pose une fois par semaine pendant 3 semaines, ce qui permet une durée d’action contraceptive de 4 semaines.

22) L’administration d’un comprimé par voie orale permet d’obtenir son action locale soit une action systémique.

23) Un médicament ne peut avoir d’action systématique que s’il est administré par voie parentérale.

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24) L’épilepsie peut être traitée par l’administration de benzodiazépines parvoie rectale.

25) Les acides faibles tels que l’aspirine sont résorbés au niveau de l’estomac.

26) Comparé à ce qu’il se passe au niveau de l’iléon, la résorption desprincipes actifs bases faibles sera favorisée au niveau du duodénum par untemps de séjour plus long ainsi qu’un pH légèrement basique.

27) Dans la maladie cancéreuse, le traitement de fond des douleurs utilise lavoie sublinguale alors que le traitement d’une douleur aigue paroxystiquese fera plutôt par voie orale.

28) Grâce à leur action systémique, les pansements gastriques permettent detraiter l’ulcère gastroduodénal.

29) La biodisponibilité du tacrolimus est faible car il est un substrat de la P-glycoprotéine présente sur les entérocytes.

30) Le traitement des cancers ne peut pas se faire en ambulatoire par voieorale.

31) Le tacrolimus peut voir sa biodisponibilité réduite lorsqu’il est pris enmême temps qu’un jus de pamplemousse.

32) La prise de médicaments antihistaminiques est à préconiser le soir car lesmanifestations allergiques sont plus importantes le matin au lever.

33) Chez la personne âgée, l’augmentation des capacités métaboliques du foiepeut conduire à une diminution de l’effet thérapeutique et donc àaugmenter les posologies de certains médicaments.

34) Certains anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) utilisés par voie oralepeuvent entrainer des irritations du tube digestif. On conseille donc leurprise avec les repas.

35) La prise d’un médicament avec de l’alcool peut entrainer une majoration des effets indésirables sédatifs.

36) Les pansements digestifs pour le traitement de l’ulcère gastroduodénal doivent être pris 2h après les repas afin d’éviter les interactions médicamenteuses.

37) La maladie de Crohn peut conduire à des modifications de la biodisponibilité de certains médicaments.

38) La pose d’une chambre implantable permet l’administration intraveineuse de médicaments par voie sous-cutanée.

39) Le KENACORT RETARD® est une formulation galénique de corticoïdes destinée à traiter les rhinites allergiques saisonnières par voie intramusculaire.

40) Le traitement du diabète peut se faire par administration d’insuline par voie intradermique.

41) Les pH de tolérance, de stabilité et d’activité sont à respecter pour la formulation des préparations injectables.

42) La voie buccale permet d’obtenir soit une action locale soit une action systémique.

43) Le traitement de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) se fait grâce à l’administration de collyres dans l’œil.

44) L’administration d’antibiotiques (céphalosporines type ROCEPHINE®) peut se faire par voie intramusculaire dans le cas des infections respiratoires ou urinaires graves.

45) Une injection intramusculaire peut se faire dans le muscle deltoïde, le muscle de la cuisse ou bien celui de la fesse.

46) L’adjonction de zinc ou de protamine permet d’allonger la durée d’action des insulines utilisées dans le traitement du diabète.

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47) Le traitement de la crise d’angor peut se faire en utilisant un spray buccalcontenant de la trinitrine (NATISPRAY®).

48) Les inserts sont des formes galéniques qui peuvent être utilisées pour êtreadministrées par voie oculaire.

49) Le traitement de l’asthme peut se faire en utilisant desbronchodilatateurs.

50) La taille des particules contenues dans un aérosol doit être comprise entre3 et 6 μm si on recherche un effet bronchodilatateur.

51) Les aérosols doseurs pressurisés nécessitent une bonne coordinationmain-respiration.

52) La voie cutanée ne permet que d’obtenir une action locale pour letraitement des affections dermatologiques superficielles.

53) Le gel transdermique OESTRODOSE® (œstradiol) permet de soulagercertains symptômes de la ménopause.

54) Lorsque l’on utilise des dispositifs transdermiques, il est important, àchaque renouvellement de patch, de toujours recoller le nouveau patchau même endroit sur la peau afin de favoriser une meilleure compliance.

55) En cas de fièvre ou de forte chaleur, la pharmacocinétique des principesactifs administrés à l’aide de dispositifs transdermiques peut êtremodifiée.

56) Le conditionnement primaire peut donner lieu à des interactions physico-chimiques avec le médicament.

57) Un excipient est encore appelé « véhicule » ou « adjuvant ».

58) Un excipient peut permettre de cibler un principe actif.

59) Les comprimés peuvent permettre une variation aisée de la posologie.

60) Les formes liquides sont indispensables pour les produits hygroscopiques.

61) Une émulsion est toujours constituée de deux phases.

62) Une émulsion peut renfermer un agent édulcorant et un agentaromatisant.

63) La phase continue d’une suspension peut être constituée d’une émulsion.

64) Un médicament générique peut renfermer la molécule originale duprincipe actif ou un de ses sels.

65) Un comprimé est toujours produit stérilement.

66) L’huile d’arachide peut être utilisée pour ses propriétés thérapeutiques.

67) L’acide sorbique est un agent antimicrobien.

68) Le sorbate de potassium est un agent antimicrobien.

69) La première équation de Fick permet de déterminer la vitesse de bio-disposition d’un principe actif à partir d’un comprimé.

70) Un agent tensioactif a toujours des propriétés amphiphiles.

71) Les agents tensioactifs amphotères renferment des charges positives etnégatives.

72) Un agent viscosifiant peut être présent dans une émulsion.

73) Les étapes biopharmaceutiques comprennent la libération de principeactif, la dissolution et l’absorption.

74) Le polyéthylène glycol est toujours considéré comme un excipient.

75) Les étapes pharmacocinétiques comprennent l’absorption, la distributiondans l’organisme, la métabolisation et l’élimination.

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76) La stabilité d’une émulsion est un facteur susceptible de modifier labiodisponibilité d’émulsions administrées par voie orale.

77) La taille des particules, leur état cristallin et leur densité sont des facteurssusceptibles de modifier les conditions de mise à disposition d’un principeactif.

78) Un excipient peut améliorer la biodisponibilité d’un principe actif.

79) Un médicament homéopathique a toujours un index thérapeutique faible.

80) Un principe actif qui est instable ou faiblement stable, ne peut pas êtreformulé sous une forme à libération soutenue.

81) La liaison aux protéines plasmatiques peut être évaluée par le « volumeapparent de distribution ».

82) Un excipient peut être non absorbé au niveau intestinal.

83) Un principe actif peut passer d’une forme cristalline à une autre sousl’influence de certains facteurs extérieurs.

84) Le lactose est un excipient utilisé pour la fabrication de formespharmaceutiques solides pour la voie orale.

85) Les amines et les mono ou disaccharides présentent une incompatibilitéphysico-chimique en solution aqueuse.

86) La bile est riche en acides biliaires, en lécithine et en cholestérol.

87) Un excipient peut être en quantité majoritaire dans une formulation demédicaments.

88) La pepsine est formée au départ d’une pro-enzyme sécrétée par lamuqueuse, le pepsinogène.

89) Le carbonate de calcium est un principe actif.

90) Le carbonate de calcium est un excipient.

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