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A R C T I Q U E S K I T E S

Arctique Kites

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Page 1: Arctique Kites

ARCTIQUES

KITES

Page 2: Arctique Kites

Dep

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urs l’aventure fait rêver. Elle offre u

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onde. Et il faut parfo

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our que le rêve prenne vie. En parta

gean

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exp

ériences, nous esp

érons voir les rêves d’autres se réaliser. A leur tour.

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cette

aventure nous ammène.

Qui

sont-ils?

Rédaction - julien Ondedieu

Photo - julien Ondedieu

Développement - Ludovic Drocourt

Relecture - Elodie Roy

Page 3: Arctique Kites

Dep

uis toujo

urs l’aventure fait rêver. Elle offre u

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reg

ard

sur

le m

onde. Et il faut parfo

is peu p

our que le rêve prenne vie. En parta

gean

t nos

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ériences, nous esp

érons voir les rêves d’autres se réaliser. A leur tour.

portrait

Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent

pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans

lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui rac-

conte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre

et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Por-

trait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent

pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans

lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui rac-

conte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre

et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Por-

trait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent

pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans

lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui rac-

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Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent

pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans

lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui rac-

conte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre

et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Por-

trait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent

pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans

lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui rac-

conte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre

et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent pour ce voyage. Por-

trait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans lequel ils partent

pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui racconte l’état dans

lequel ils partent pour ce voyage. Portrait d’Alexendre et Julien qui rac-

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L’aventure

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L’idée d’une aventure sur la neige tirés par des kites et en autonomie

complète nous est venue sur les bancs de l’université. Nos affaires sont

prêtes. Je le connais par cœur cet endroit, j‘ai observé les cartes pen-

dant des heures et des heures. Entre le village de Kilpisjarvi et le mont

Halti s’étire un immense plateau bosselé de montagnes entre lesquelles

coule une rivière. il n’y a rien d’autre. C’est un grand désert blanc. Un

désert Arctique.

Le bus ralentit, il nous dépose au pied du bureau d’information du parc,

nous nous équipons. Lentement le drapeau qui flote sur le toit s’éloigne

derrière nous, plus bas, et nous montons. Nos peaux de phoque accro-

chent la neige complètement poudreuse, et ses cristaux brillent par-

tout. Dans la pente douce il y a des arbustes autour de nous. Ce sont

les derniers que nous verrons jusqu’à la rivière de Meekonjarvi, dans

quelques jours. Elle doit être gelée comme Saanajarvi, le premier lac

que nous traversons.

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Dessus la neige est sèche, ça me rassure. Nous posons notre bivouac

de l’autre coté. La tente est montée et Alex creuse une tranchée autour

pour piéger le froid. La neige fond dans la petite casserole chauffée

par le bruleur ouvert à fond. Dans cette immensité glacée c’est le seul

moyen d’avoir de l’eau liquide, c’est long.

Nous nous glissons dans nos duvets pour dîner au chaud. Le ciel prend

des teintes pastelles et tout est silencieux, Un peu comme si nous étions

seuls au monde. Et la lumière décline à peine, il est vingt-deux heures

pourtant et nous ne sommes qu’en avril. Alex s’endort et moi je voyage

déjà sur les pentes des prochains jours, trop excité pour m’assoupir.

Dans la tente il fait quinze degrés sous zéro, et à l’extérieur la tempéra-

ture est plus basse de dix degrés.

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C’est dure de sortir des duvets tant le froids est saisissant. Nous levons

le camp. Le soleil brille mais il n’y a pas de vent. Les pulkas glissent dans

les traces de nos skis derrière nous et nous avançons paisiblement. Un

instant le vent se lève et je sors l’anémomètre. Rapidement il faiblit.

Nous tirons les pulkas appuyés sur nos bâtons.

On atteint la cabane de Saarijarvi en milieu d’après-midi. Il n’y a per-

sonne. J’allume un feu dans le minuscule poêle qui occupe un recoin de

la pièce. Les affaires sont suspendues au dessus pour sécher, elle s’im-

prègnent de l’agréable odeur de bois qui s’installe dans notre petit abri.

Ce soir nous passerons une nuit au chaud, sur les planches aménagées

en dortoir confortable. Il y a une brise légère dehors, Alex sort sa voile

et moi mon appareil photo. Quelques clichés plus tard, refroidis, nous

rentrons nous mettre au chaud et nous dînons. Nous nous endormons

les sacs de couchage grands ouverts tant il fait bon.

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A notre réveil le soleil brille illuminant le ciel d’un bleu intense, mais il

n’y a pas de vent. Nous quittons Saarijarvi à un bon rythme. Notre route

s’élève en pente douce sur huit kilomètres en direction du nord-est.

Autour de nous, au loin, de chaque côté de la trace, des centaines de

rennes retournent la neige à la recherche de quelques brins d’herbe ge-

lée, brulée par les flocons. Moi je n’en ai jamais vu plus de dix en même

temps. Un jeune traverse devant nous à toute vitesse, complètement

effrayé. Nous nous continuons.

Nous arrivons au col. La vue derrière nous est magnifique et au loin, de-

vant, on aperçoit la petite cabane de Kuonjarjoki. Nous déjeunons avant

de reprendre la route.

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Il y a une légère brise, l’anémomètre indique huit nœuds, comme j’ai eu

en Alaska. Alex prend les pulkas. Avec ma speed trois de quinze mètres

j’avance. Mais la dix-neuf d’Alex ne suffit pas à le tirer lui et les soixante

kilos de son chargement. Nous faisons plusieurs essais et en essayant

d’autres itinéraires nous multiplions les erreurs stratégiques.

L’après-midi passe et, déçus, nous rangeons les ailes pour faire demi-

tour. La soirée passe rapidement et le soleil décline. Vers vingt-deux

heures nous nous couchons, et les rayons de lumière disparaissent sous

les montagnes qui s’élèvent derrière la cabane.

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Le lendemain nous badigeonnons nos visages de crème solaire, il fait

chaud aujourd’hui. On engloutit les douze kilomètres à presque cinq ki-

lomètres heure de moyenne pour rattraper le retard accumulé les jours

passés.

Nous sommes seuls à la cabane de Meekonjarvi, l’endroit est magni-

fique. L’absence de vent les jours passés nous contraint à changer nos

plans. A partir de demain, nous rebrousserons chemin. Dans la cabanne

Alex s’allonge au soleil et s’assoupit. Je fais monter la température de la

cabane pour prendre une douche, ou plutôt un sauna, j’en profite pour

faire ma lessive. Quatre randonneurs allemands nous rejoignent. Nous

passons l’après-midi à discuter, échangeant une tasse de thé contre

quelques bonbons. Deux polonais arrivent. A tour de rôle, chacun

donne son avis sur l’endroit qu’il souhaiterait faire découvrir, le nord de

l’Europe est un paradis sauvage. Je retiens l’idée d’un nouveau départ

au parc du Sarek un jour. Je leur parle de ma première aventure boréale,

dans le nord-est de la Finlande. Alex leur dit combien il est touché par

cet endroit, par ce mode de déplacement, d’aventure « Ta maison sur le

dos! Tu vas où tu veux, pour t’arrêter ou bon te semble, complètement

libre ».

Je sors prendre quelques photos et je m’aperçois que le vent s’est levé,

je cours à l’intérieur prévenir Alex qui n’en revient pas « T’es sérieux ?

Tu rigoles ? » Il court dehors ! En quelques minutes il est sous sa voile et

glisse à toute vitesse entre les arbustes.

Je m’équipe et nous partons à travers la montagne vers le sud-ouest.

Derrière nous, en traversant les gros nuages qui glissent sur la mon-

tagne, la lumière prend des teintes roses-oranges et le gris est pâle.

Nous filons sur la neige. Espérons que les conditions seront les mêmes

demain.

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Au matin le vent souffle toujours, moins irrégulier que cette nuit où de

temps à autre les rafales faisaient rugir le conduit de cheminé. Nous

nous équipons et nous partons. J’utilise ma dix mètres, Alex monte avec

sa douze mètres. Tout se passe exactement comme nous l’espérions,

nous montons à la force de la voile, le col n’est plus qu’à quelques

dizaines de mètres. Le vent faiblit alors nous sortons les Speed, majes-

tueuses, et nous partons à toute vitesse vers l’ouest. Elles vibrent dans

le vent produisant un son grave et constant. Tout est blanc ou bleu, in-

tensément lumineux. Nous filons. Les dix kilomètres qui séparent le col

de la cabane de Kuonjarjoki sont engloutis en moins de trente minutes,

en un seul bord. La voile est toujours à droite, calée en bord de fenêtre,

survolant la neige à quelques centimètres.

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Mes jambes tremblent par moment comme épuisées. Nous sommes à

la cabane où nous mangeons une double ration et une soupe pour faire

le plein avant de repartir. Toujours avec les plus grandes voiles car le

vent s’est encore calmé. Nous descendons plus au sud et tirons des

bords entre le sommet de Jollanoavi et le creux du plateau. La montée

est avalée à mesure des à-coups agréables de la voile. Le vent faiblit

encore, nous tirons un grand bord dans une descente incroyablement

longue, glissant dans la poudreuse, sans bruit, le paysage étalant sa

beauté tout autour de nous dans la lumière adoucie du soleil déclinant.

A nouveau, le vent s’essouffle. Je décide de continuer à ski, pour avoir

le temps de savourer ce moment. Alex poursuit à la voile. Je multiplie

les pauses, m’allongeant dans le traîneau, les jambes croisées sur son

rebord.

Nous nous installons paisiblement dans la cabane. Nous n’en revenons

pas de cette journée, de ce bord interminable et paradisiaque ce matin.

De la vue magnifique depuis les sommets dans l’après-midi. Des sla-

loms tranquilles entre les rochers écrasés sur le sol par endroits, regrou-

pés. Et de cette descente dans la poudreuse embrassant ce paysage

majestueux. Nous sommes enivrés!

Nous mangeons un couscous au poulet ce soir. Parmi nos plats déshy-

dratés, c’est un des meilleurs. Je m’endors le premier. Alex ne tarde pas

à me suivre.

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En ouvrant les yeux le matin le soleil colore déjà le ciel d’un bleu lu-

mineux. L’immense troupeau de rennes est redescendu dans la plaine

à quelques centaines de mètres de la cabane. Nous l’observons par

les minces vitres pleines de givre de notre petit abri. Pas de signe du

vent. Nous sommes si bien. Nous restons silencieux, allongés. Je prends

quelques photos, Alex lit. Puis le vent se lève et nous repartons, excités

par ce qui nous attend.

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Le vent nous monte aux sommets. Cap au sud-ouest aujourd’hui, alors

nous tirons des bords entre les crêtes et le lac en contrebas. La vue

est particulièrement belle. Les sommets au loin déchirent l’horizon.

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Les nuages tentent un assaut, engloutissant une partie du massif.

Nous nous sommes sous le soleil. Toujours. Seuls au milieu de ces

pentes magnifiques, vierges.

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Le vent se calme. Nous installons notre bivouac sur une plateforme dans

les pentes en dessous de Muurivaara, juste sur la frontière. L’endroit

est magnifique. Alex monte un rempart de neige qui s’élève à près de

un mètre, et derrière lequel s’enfoncent les ancrages solidement fixés.

Parce que le vent peut souffler fort ici. Particulièrement dans ce goulot

formé par les deux montagnes qui nous entourent, où il n’y a pas d’obs-

tacle.

La neige fond dans la popote posée sur le réchaud, ce soir nous man-

geons une fondue savoyarde ! Déshydratée pour le moment, mais bien-

tôt les croutons baigneront dans le fromage fondu, ou presque fondu.

Pas tout à fait savoyarde non plus cette fondue. Et nous nous délec-

tons, emmitouflés dans nos duvets. Sous le couché du soleil et seuls au

monde. Alex s’endort rapidement, heureux. Je peine à trouver le som-

meil, comme pour profiter de chaque instant. Je suis si bien.

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Le givre s’est amassé sur les parois de la tente ce matin. Tout est gelé à part

nos vêtements et un thermos restés au chaud dans nos duvets. Les affaires

sont compactées dans les pulkas et nous partons vers l’ouest. Nous passons

sur le versant de l’autre montagne en suivant la courbe de niveau vers le

sud-ouest. Il fait vraiment froid aujourd’hui alors à la pause déjeuner nous

mangeons bien chaud pour ne pas geler. Les nuages s’amassent au loin. Les

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bruits des motoneiges réapparaissent, le village est à quelque kilomètres.

J’accélère, En moins d’une heure nous avons traversés le lac, descendu la

montagne et nous sommes la route qui traverse Kilpisjarvi, en direction du

buffet à volonté du village. Sept assiettes bien rempli plus tard, nous rega-

gnons la foret d’où nous venons, l’estomac balloté par le relief accidenté de

la piste pour motoneige que nous empruntons.

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Nous dormons à la belle étoile. Alex en rêvait. En sandwich entre deux

ailes, au chaud dans nos duvets. La lune éclaire les arbres, les mon-

tagnes, les rochers couverts de neige. Et nous, au milieu de ce monde

engourdit par le froid. Il est vingt-trois heures, et il fait dix sept degrés

Celsius sous zéro. Je ferme les yeux.

A une heure du matin, le ciel s’irise au dessus de nous. Je réveille Alex.

C’est une petite aurore boréale qui danse discrètement entre les nuages

clairs, avant d’être cachée par l’un d’eux. Il neige à peine. Nous nous

rendormons, abrités sous nos ailes.

J’ouvre l’œil vers dix heures, en même temps qu’Alex. C’était une

grasse matinée aujourd’hui. Et elle n’est pas terminée, nous restons

une heure dans nos duvets à discuter du surréalisme de cette nuit pas-

sée sur un mètre de poudreuse, en équilibre sur nos mate-

las. Dans la continuité exacte de notre petite aventure.

Incroyable pour nous. Aujourd’hui le vent souffle

très fort comme pour nous narguer. Vers onze

heures trente, nous repartons au buffet,

comme pour combler les quelques

espaces libres de notre estomac,

au cas où nous devrions repartir

pour la même aventure.

On s’arrête à cinq as-

Page 39: Arctique Kites

siettes ce midi ! Le bus arrive, et nous nous installons, seuls, au fond du

carrosse confortable qui dans huit heures nous déposera à Rovaniemi,

cinq cents kilomètres plus au sud. On dort, on regarde le paysage et

on dort à nouveau, sans voir le temps passer. Ce soir on fêtera notre

aventure ! Avec Mathieu, le copain qui nous héberge, et les autres, sur

le campus Erasmus de la ville. Demain déjà, nos affaires seront empa-

quetées pour le retour. C’était vraiment chouette tout ça.

Page 40: Arctique Kites

Julien

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Alex

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curiosités

Questions to Mr. Noel D. Broadbent

Questions to Mr. Noel D. Broadbent

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Questions to Mr. Noel D. Broadbent

Questions to Mr. Noel D. Broadbent

Page 44: Arctique Kites

A vous de jouer

Généralités:Kilpisjarvi est le point de départ de notre randonnée. Ce petit village

est desservi toute l’année par un bus qui fait la liaison tous les jours

depuis Rovaniemi, Kaajani et Tromso où vous pouvez atterrir en hiver

et au printemps (vols Finnair, Blue1, SAS, Norwegian…). Pas besoin de

visa pour les Européens en Finlande ou en Norvège. A Kilpisjarvi il y a

un petit supermarché et un magasin de sport où vous pourrez faire vos

provisions, acheter du gaz ou de l’essence pour votre réchaud.

La météo:Nous sommes partis début avril. La nuit il faisait autour de vingt degrés

Celsius en dessous de zéro. La journée la température remontait autour

de moins dix, parfois zéro. Nous avons eu du beau temps tous les jours

avec quelques ondées de temps à autre. Le ciel a pour réputation d’être

plutôt nuageux. Le vent peut varier très vite en force et en direction.

Page 45: Arctique Kites

Les spots de kite:Une fois arrivé au lac de Saanajarvi vous êtes sur le spot. Si le vent est

favorable le terrain vous permet d’aller à la voile trente kilomètre plus

loin, jusqu’à Meekonjarvi. Entre ces deux points il existe une infinité de

solutions.

Attention:Aux rivières cachés par la neige et aux lacs parfois peu gelés. Par en-

droits le vent fait affleurer les rocher sous une très mince couche de

neige. Les pentes sont faibles mais il y avait des plaques à vent en avril.

Le téléphone ne capte que sur certains sommets. Pour la lecture des

cartes Jarvi veut dire lac, joki c’est une rivière, koski désigne un rapide

(tout ça sous la neige bien sûr).

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S’équipeR

Polaire trollveggen (Norrona):Son col très montant, sa matière épaisse, douce et lé-

gère ainsi que les passant pour les pousse à chaque

poignet vous tiendront bien au chaud grace au Po-

lartec Thermalpro choisi pour ses qualités thermique

et sa respirabilité. Tout ça pour seulement 470g se-

lon Norrona (373g sur ma balance).

SPEED 3 (Flysurfer):Elle vole tôt, la version Deluxe sait se faire

oulier quand elle est dans le sac car elle

n’est vraiment pas lourde (moins de trois

kilos pour ses quinze mètres). Et elle est

suffisament stable pour utiliser les deux

mains pour faire autres chose de temps

en temps.

coups de coeur coups de

coups de coeur

coups de coeur coups de coeur co

ups

Page 47: Arctique Kites

Photo de l’ensemble du materiel à insérer ici.

Page 48: Arctique Kites