Arras actualités n°250

P. ARRAS actualitésN° 250 - Novembre 2010

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Arras, la ville la plusattractive pour l’entreprise

L’espace Info Energie à votre disposition

Les anciens mairesen congrès

www.arras.frL e m a g a z i n e d e s A r r a g e o i s

Une villepour tous les âgesUne villepour tous les âges

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Arras ActualitésNovembre 20102

Il est interdit de rouler à vélo sur les trottoirs

L’usage du vélo pour alléger la ville de la circulation automobileest de plus en plus préconisé et facilité avec, notamment, cettepossibilité accordée par le code de la route de rouler à contre-sens des voitures dans les rues en sens unique. Mais ce n’est paspour autant que les cyclistes doivent se croire les rois de la ville !Ils doivent au contraire redoubler de civisme pour inciter le plusde monde possible à se déplacer comme eux ! C’est ainsi qu’ilfaut rappeler qu’il est interdit de rouler sur les trottoirs, ce quimalheureusement se constate de plus en plus et pourrait occa-sionner de graves accidents avec les piétons. Un cycliste roulantsur un trottoir peut être verbalisé d’une amende de 135 euros(90 euros si vous payez sous trois jours). Les zones piétonnessont autorisées aux cyclistes à condition de rouler à une alluremodérée et de laisser la priorité aux piétons. Seuls les enfants demoins de huit ans sont autorisés à rouler à vélo sur les trottoirss’ils le font au rythme du pas de leur accompagnateur.

Il y a cinquante-cinq ans, l’embuscadede Tizi Ouzli

Le 25 novembre 1955, dix-neuf jeunes du 16e bataillon de chas-seurs à pied qui tenait garnison à la citadelle d’Arras ont péridans une embuscade dans les montagnes du Rif, à Tizi Ouzli, aunord du Maroc. Les soldats escortaient une ambulance trans-portant un camarade blessé quand ils reçurent des grenadeslancées par des rebelles et des rafales de fusils mitrailleurs. Lescorps furent rapatriés à Arrasoù les obsèques solennelleseurent lieu le 2 décembre1955. Un vingtième blessé,Henri Charlet, dont le frèreJean-Marie entretient lamémoire de cet événement,devait décéder quelques joursplus tard à l’hôpital. Uneplaque, à l’entrée de la chapellede la citadelle, commémore cetragique épisode de la guerredu Rif qui a coûté la vie à qua-torze rappelés et cinq jeunes qui accomplissaient leur servicemilitaire et les Arrageois se souviennent.

L’AQS se soucie de la prévention routière

L’AQS, association des quartiers sud au centre social Torchy,mène depuis le 25 octobre et jusqu’au 12 novembre une initia-tive qui mériterait d’être copiée par ses homologues sur l’édu-cation à la prévention routière et la prise de conscience qu’ilfaut partager la route. « Moi et mon code » permet non seule-ment aux habitants du quartier d’aller revoir leur code de laroute sur des bornes interactives à disposition à la biblio-thèque Ronville, aux maisons de service Jean-Jaurès et des Pla-tanes, mais cette opération, avec la participation descommerçants du quartier, propose aussi différentes anima-tions. Sensibilisation aux risques, comment rédiger un constatamiable d’accident, et, pour les plus jeunes, savoir passer duvélo au cyclo et au scooter sont, par exemple, des thèmes pro-posés avec le concours de l’Ecole de conduite et de la Préven-tion Routière. Des stages de maîtrise du véhicule sont offertsen prix à différents concours.

Pour pouvoir voter aux cantonales de mars 2011

Les 20 et 27 mars 2011 se dérouleront les élections cantonales pourle renouvellement des conseillers généraux. Pour participer à cescrutin, les nouveaux habitants de la ville, ou les Arrageois qui ontchangé de quartier ou d’adresse, doivent se rendre au service élec-toral de la Mairie avec une pièce d’identité en cours de validité et unjustificatif de domicile (quittance de loyer ou facture d’électricitédatant de moins de trois mois) afin que soit effectuée leur inscrip-tion sur les listes électorales ou leur changement d’adresse qui lesfera voter au bureau le plus proche de leur domicile. Les Arrageoisqui n’ont pas changé d’adresse n’ont aucune démarche à faire etvoteront avec la carte électorale dont ils sont déjà en possession.Les jeunes qui auront atteint leurs dix-huit ans avant le 28 février2011 seront inscrits d’office à condition d’avoir effectué leur recen-sement citoyen l’année de leurs seize ans. Un courrier leur seraadressé confirmant cette inscription. Les nouveaux majeurs de dix-huit ans au 28 février 2011 qui n’auraient pas effectué leur recense-ment doivent accomplir eux-mêmes la démarche d’inscriptionauprès du service électoral. Dans tous les cas, l’inscription doit sefaire avant le 31 décembre 2010 pour pouvoir voter lors des canto-nales de mars 2011. Le service électoral de la Mairie, place Guy-Mol-let, est aussi ouvert le samedi de 9 h à midi.

Manger des huîtres pour Haïti

Née le 30 juin 2010 autour de l’action d’un chirurgien orthopédiquearrageois et de plusieurs infirmiers pour venir en aide aux blessés du

séisme d’Haïti, l’Aima (AideInternationale MédicaleArras) a déjà fourni surplace lits, brancards et maté-riel chirurgical issus dudéménagement de la cli-nique Bon Secours. Avec leRotary club d’Arras estensuite née l’idée de la créa-tion d’un bloc opératoiremobile. Pour financer ceprojet, et à l’approche desfêtes de fin d’année, desdégustations d’huîtres sont

organisées dans le cadre prestigieux des salons de l’Hôtel de Guînesles vendredi 19 et samedi 20 novembre pour le déjeuner à partir de12 h 30 et pour le dîner à partir de 19 h 30. Possibilité aussi d’ache-ter pour emporter entre 11 h et 19 h. L’Aima mène aussi une actionanalogue à celle en faveur d’Haïti auprès de l’hôpital Antsohihy deMadagascar. Les bénéfices de votre régal d’huîtres financeront lesdeux opérations.

Aima, 10 rue Paul-Perrin 62000 Arras

Puisqu’onvous le dit !

Une enquête de l’Insee sur les relationsentre la santé et la vie professionnelle

L’Insee effectue depuis le 4 octobre et jusqu’au 22 décembre uneenquête sur les rapports entre les conditions de travail et la santé.Les personnes interrogées sont sélectionnées par tirage au sort etrecevront la visite d’un enquêteur de l’Insee dûment muni d’unecarte officielle d’accréditation. Elles reçoivent au préalable un cour-rier les informant de cette visite et du nom de l’enquêteur. Dix-huitmille personnes seront interrogées sur tout le territoire dans lecadre de cette enquête commandée à l’Institut national de la statis-tique et des études économiques par le Ministère de la Santé et leMinistère du Travail.

Arras ActualitésNovembre 2010 3

Sommaire - Edito I Actualité

Nous avons, vous allez le voir, appris le mois dernier deuxbonnes nouvelles. Arras, d’abord, a été reconnue par le mensuel économique« L’Entreprise » au premier rang des agglomérations de sataille les plus attirantes pour les investisseurs et les créa-teurs. Les chefs d’entreprises expliquent leur choix par notresituation routière au nord de l’Europe, la fréquence denotre desserte avec la capitale, le fait que nos zones d’acti-vités leur donnent l’impression de vivre à la campagne, maisaussi par notre qualité de vie urbaine et la performance denotre boucle numérique.Ils nous donnent ainsi raison d’avoir anticipé en voulantfaire d’Arras une ville de haute technologie dans un écrinpatrimonial. Les orientations socio-économiques que nousavons prises sont aujourd’hui payantes. De la même manière, un sondage régional cette fois, réalisépar « La Voix du Nord », nous apprend que parmi les habi-tants du Nord-Pas-de-Calais les Arrageois sont les plusattachés à leur terroir qu’ils ne voudraient pas quitter. Lesraisons de cette satisfaction ? La qualité de vie toujours,entre modernisme et verdure, et le grand nombre d’activi-tés sociales, culturelles et sportives offertes. D’ailleurs, nous avons invité cette année plus de six centsnouveaux habitants à notre traditionnelle réception d’ac-cueil. Nous avons vu parmi eux beaucoup de jeunes couplesavec enfants. Arras est en train de se faire une nouvelle jeu-nesse ! Ce n’est pas pour autant que nous oublions nos aînés etvous découvrirez également, à l’occasion de la SemaineBleue, nos actions et nos projets pour que les personnesâgées puissent continuer à vivre au cœur de la ville.Arras est devenue attractive pour tous les âges.

Jean-Marie VanlerenbergheMaire d’Arras

Sénateur du Pas-de-CalaisPrésident de la Communauté

Urbaine d’Arras

Toujours de l’avant

Une nouvellerésidence Pierre Brunet

Première initiativedu Réseau Vivaldi

Le Portugalau Quai de la Batterie

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ÉditorialÉditorial

ARRAS ACTUALITÉS n° 250 Novembre 2010Directeur de la publication :Jean-Marie VanlerenbergheDirecteur de la Communication de la Ville d’Arras :Christophe SerieysDirecteur de la rédaction - Rédacteur en chef : Claude MarneffeReporter photographe : Julien MellinConcepteurs graphiques :Béatrice Couadier - Mathieu LucasClaudine Stiévenard - Christine RousselSortir à Arras :Brigitte JoudPhotogravure et impression : Imprimerie Chartrez - Saint-Nicolas-les-ArrasDistribution : AdrexoFax : 03 21 50 51 79http://www.arras.frE-mail : [email protected]ée de Presse : Anne-Charlotte Derville 03 21 50 50 87Assistante de direction : Caroline Deleval 03 21 50 51 44

Actualité I Environnement

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Le « Grenelle » de l’Environnementa mis en place dans les régions un« plan climat territorial » et le« Pays d’Artois » - onze intercom-munalités et deux cent cinquante-cinq communes, soit 209 470habitants, cinq pour cent de la popu-lation régionale -, a été l’un des pre-miers à lancer ce dispositif.

C’ÉTAIT une volonté de son président,Jean-Marie Vanlerenberghe, et de

Philippe Rapeneau en charge au seinde la Communauté Urbaine d’Arras desquestions environnementales. Ce « planclimat », soutenu techniquement parl’ADEME (Agence de l’Environnement etde la Maîtrise de l’Energie) vise à recher-cher, et surtout à mettre en applicationavec le concours des populations, le plusgrand nombre possible d’initiativesentraînant des économies d’énergie etune baisse des rejets de CO2 dans l’at-mosphère.La Communauté Urbaine n’avait d’ail-leurs pas attendu pour montrer l’exem-ple puisque l’opération de photographiethermique aérienne des habitations afinde sensibiliser les particuliers aux déper-ditions d’énergie entrait tout à fait dansce contexte tout comme l’inauguration,en conclusion du lancement du « plan

climat », d’un espace Info Energie, rueAbel Bergaigne.

Des leviers économiquesLe 30 septembre à l’Atria différents par-ticipants ont aussi réfléchi en ateliers àd’autres propositions et, lors de la miseen commun dans l’auditorium, les ques-tions venues de la salle ne manquaientpas de pertinence. Les plans climat à tra-vers la France entraîneront des choixsociétaux. Là encore Arras fait figure de

précurseur par la maîtrise de son urba-nisme et la création en ville d’une trameverte et bleue. Dans les rails pour troisans renouvelables, « le plan climat doitpermettre de construire une stratégie avecles collectivités et le monde économique quisont des leviers, disait en conclusion Phi-lippe Rapeneau, élu référent environne-ment du Pays d’Artois, mais nous devonstous être impliqués pour changer nos cul-tures et modifier nos comportements. Cha-cun détient une partie de la solution ».

Le « plan climat » est lancé : chacun son rôle à jouer

L’espace Info Energie :maison témoin de l’éco-réhabilitation

LE « plan climat territorial »incite aussi à la création

d’Espaces Info Energie, mai-sons du développement dura-ble, qui, financés par l’Ademeet le Conseil Régional, sontau nombre d’une vingtaine

dans le Nord-Pas-de-Calais.Ouvert déjà depuis quelquesmois, celui d’Arras, à l’angled’entrée de la rue Abel Ber-gaigne, a été inauguré le 30septembre. « Nous sommes enfait dans une maison particu-

lière que nous allons au fur et àmesure réaménager dans lesens des économies d’énergie etdu développement durable auniveau du chauffage, des maté-riaux, de l’isolation, expliquaitJean-Marie Vanlerenberghe.

Il s’agira d’une maison témoinde tous les travaux qu’il est pos-sible de faire en éco-réhabilita-tion. Le chantier sera ouvert auxArrageois afin qu’ils puissentvenir y découvrir ce qui pourraitêtre transposable chez eux »…Pour l’heure, des spécialistesy dispensent des conseils enéconomie énergétique etc’est à cet Espace Info quel’on peut aussi obtenir laphoto thermique aérienne deson habitation. Il peut par ail-leurs être proposé des auditspour des travaux d’éco-réha-bilitation concernant deslogements construits avant1990.

■ ContactNuméro vert, 0 800 62 62 62

www.cu-arras.fr

Au nom du Pays d’Artois, PhilippeRapeneau a lancé le programme.

Symboliquement, c’est un ruban vertque les élus ont coupé lors de l’inauguration.


Forum de l’emploi : objectif 500 embauches

Arras la plus attractive pour « l’Entreprise »

Avec au total cent qua-tre-vingt-quatre expo-sants, le 18e Forum del’Emploi a drainé, le 14octobre à Artois Expo, sixmille visiteurs environdont la moitié avaitmoins de vingt-six ans.

CES jeunes notamment ontpu rencontrer en direct

des employeurs potentielsparmi les cent trente-cinqentreprises qui les atten-daient dans leur box. Lesmétiers de l’aide à la per-sonne et du développementdurable offrent de nouveauxdébouchés. « Notre objectif,cette année, serait de concréti-ser les cinq cents embaucheseffectives », disait à l’heure du

bilan Christian Canel, direc-teur du Pôle Emploi organisa-teur de la manifestation avecde nombreux partenaires,dont la CCI. « Cette journée,

disait à son tour Jean-MarieFontenelle, le directeurrégional de Pôle Emploi, mon-tre notre préoccupation de l’in-sertion des jeunes ».

Le taux d’emploi des moinsde vingt-six ans dans larégion est en effet très endécalage par rapport auniveau national, faisait pour sapart remarquer le Préfet.Mais le Pays d’Artois a desatouts spécifiques : il offre àses jeunes bien plus de for-mations que partout ailleurs(voir article ci-dessus). Mais,remarquait Denise Bocquil-let, adjointe au Maire, « il fautaussi se soucier de répondreaux attentes des plus de cin-quante ans ». Pour JacquesPatris, vice-président de laCUA chargé de l’insertion etde l’emploi, « Arras a besoind’être défendue à l’extérieurpour que viennent de nouvellesentreprises »…

Les Arrageois, les plus heureux chez eux ! Dans son édition du 12 octobre, « La Voix du Nord » a demandé à ses lecteurs où ilsétaient les plus heureux de vivre dans notre région. A Arras, un panel de 400 per-sonnes interrogées par téléphone par un institut de sondage a permis quelquesconstatations statistiques. Au palmarès du taux d’attachement à sa propre zone d’ha-bitat, les Arrageois sont à 55% les habitants du Pas-de-Calais les plus satisfaits de leurenvironnement avec ceux de l’Avesnois et de l’Audomarois. A Arras même, la qualitéde vie est jugée « bonne » à 78%, un résultat nettement au dessus de la moyennerégionale qui est de 63%. 52% répondent même que l’environnement s’améliore,contre 44% de moyenne régionale. Seulement 8% des Arrageois trouvent leur cadrede vie insatisfaisant . Ils sont 23% sur Lille ! A 92% ils sont tout à fait contents ! 88%pensent même que leur environnement est meilleur qu’ailleurs dans la région. Restealors à en convaincre les habitants d’autres zones de la région seulement attirés à 6%à venir s’installer chez nous, sauf Béthune-Bruay intéressés à 14%.

Le mensuel économique « L’Entre-prise » publie chaque année un pal-marès des villes les plus attractives« côté business ».

DANS l’édition d’octobre, et pourl’enquête 2010, Arras tire bien son

épingle du jeu puisque la ville gagne lapremière place au rang des aggloméra-tions de 70 000 à 100 000 habitants. Elleest, précise dans son analyse des résul-tats notre consœur Geneviève Her-mann, « la première des trente plus petitescommunautés répertoriées dans le palma-rès des villes de l’Entreprise ».Interrogé comme « grand témoin » parle magazine, Freddy Décima, le PDG dela société de BTP spécialisée dans l’équi-pement électrique et les télécoms, pré-cise que la qualité d’Arras est « deconserver une taille humaine en offrant tousles avantages d’une grosse agglomération ».Arras dispose d’infrastructures dignesdes grandes villes dans un environne-ment qui donne l’impression « de travail-ler à la campagne ». Le vivier decompétences est également mis en évi-dence dans les résultats de l’enquêteavec soixante-cinq formations propo-sées alors que la moyenne est de vingt-

huit dans les villes de même taille.Grâce à cette particularité, on trouve àArras des collaborateurs sur place. Laproximité du Louvre-Lens, bien sûr, maisaussi l’offre offerte par la mutation de lacitadelle qui pourrait accueillir desentreprises dans un cadre historique,sont évoquées comme d’autres atouts.

La boucle numériquePour les entrepreneurs, rares aussi sontde telles villes qui donnent accès au

très haut débit numérique. « Grâce auréseau en fibre optique, nous pouvonséchanger des gigabits de données ». Leszones d’activités Artoipole et Actiparccontinuent de se développer en bénéfi-ciant d’un désenclavement routier. Leschefs d’entreprises souhaiteraient sim-plement davantage encore de TGV pas-sant par Arras.La Municipalité a donc raison d’êtrevigilante pour éviter une remise enquestion de sa position.

Actualité I Seniors


UN policier en civil s’in-troduit chez une per-

sonne âgée vivant seule pourl’informer que, dans le quar-tier, d’autres vieilles dames sesont fait dérober quelquesliasses de billets qu’ellesconservaient chez elles. « Etvous, Madame, vous êtes sûred’avoir toujours vos écono-mies ? Allons vérifier ensem-ble ! »… Et la brave dameconduit directement le visi-teur à la cachette qu’il est enfait venu repérer et qu’uncomparse viendra vider lelendemain tandis qu’un troi-sième larron attirera l’atten-tion de l’habitante sur laprétendue anomalie d’uncompteur ! Ainsi pratiquentde petites bandes organiséesqui sévissent de plus en plusdans toutes les villes.

C’est ce que montrait unpetit film conçu par la Gen-darmerie et présenté, le 30septembre salle Robespierreà l’Hôtel de Ville, à des profes-sionnels des services sociauxen contact avec les personnesâgées afin qu’ils puissent avoirune action préventive pourles inciter à plus de méfiance.

Cette réunion marquait lelancement à Arras d’un pland’action sécurité des per-sonnes âgées essentiellementmis en place par les trois par-tenaires que sont le commis-sariat de police, la compagniede gendarmerie et le pôlesécurité et prévention de ladélinquance de la Commu-

nauté Urbaine. Des conseilssur les précautions à prendre,que relaieront les travailleurssociaux, ont également étédispensés – comme tout sim-plement installer un entrebail-leur de porte ! – et desréunions d’information pour-ront avoir lieu dans les clubsd’aînés qui le souhaitent.

Gendarmes et policiers ont participéà une première réunion d’information

à l’Hôtel de Ville autour de Claude Feret,vice-président de la CUA chargé de la

Cohésion Sociale et de la Sécurité.

On parlera maintenantde la « résidence Pierre-Brunet »

Un plan d’action contre le volchez les personnes âgées

Ce vilain nom, « technocratique etdésincarné », de V240 doit êtredéfinitivement oublié, mais la« maison de cure », face à l’hippo-drome, continuera d’évoquer lamémoire de celui qui fut le pre-mier adjoint de Guy Mollet. Elledevient « résidence Pierre-Bru-net ».

POUR répondre à un projet mis enplace il y a cinq ans, l’établissement

s’est complètement modernisé. On aremplacé au fur et à mesure, et sansjamais fermer la maison, les bâtimentsanciens, dont certains ont été détruits,par des ailes nouvelles sur des espacesrestés disponibles. La résidence Pierre-Brunet dispose toujours de deux cent

vingt lits, la moitié en unité de soins delongue durée, l’autre en EHPAD, établis-sement hospitalier pour personnesâgées dépendantes. Une nouvelle struc-ture de quinze lits, dénommée « L’Aged’or », est réservée aux patientsatteints de la maladie d’Alzheimer. Ilspeuvent déambuler dans un couloir cir-culaire, lumineux et coloré, dans un jar-din, et participer à des ateliersthérapeutiques. « Nous voulons respecterla dignité de chacun », disait la directricedu Centre Hospitalier, Marie-OdileSaillard.Jean-Marie Vanlerenberghe a remer-cié les équipes de soignants pour leurpatience et leur dévouement pendantles travaux de mutation. « Les murs,disait le Maire, c’est important. Mais cequi est plus important encore, c’est ce quel’on fait dedans. Nous sommes dans unedynamique de qualité pour la prise encharge des aînés. Vous avez une véritableconscience professionnelle au service desplus faibles et des plus dépendants. Lagériatrie est devenue une discipline à partentière ».

Un bâtiment entièrementrénové sur place.

Gendarmes et policiers ont participéà une première réunion d’information

à l’Hôtel de Ville autour de Claude Feret,vice-président de la CUA chargé de la

Cohésion Sociale et de la Sécurité.


Une Semaine Bleueen quarante rendez-vous La Semaine Bleue qui fait chaque annéese pencher la ville sur ses aînés prend toujoursà Arras une dimension importante et,pour l’édition 2010, du 18 au 24 octobre, pasmoins d’une quarantaine d’événements se sontdéroulés dans les maisons de retraite et foyersd’aînés. L’accent est mis sur l’intergénérationnelet ce moment est l’occasion d’un rapprochemententre les jeunes de certains établissementsqui préparent chansons et danses et les anciensqui les reçoivent.

Lors de l’ouverture de la Semaine aux Grandes Prairiesétaient rassemblés tous les clubs d’aînés et des déléga-

tions des maisons de retraite et des centres sociaux. Lesjeunes lycéens en hôtellerie ou service à la personne de Saint-Charles et Savary ont servi le goûter et chanté quelques airs.L’association « Entraide et Responsabilité » avait offert unorchestre qui a fait danser nos aînés.

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Les aînés de la Résidence Soleil ont composé un défilé de« costumes d’antan » avec la complicité des enfants de

l’AGAEM et des élèves des sections coiffure et esthétique dulycée Savary qui leur ont, par exemple, redonné le goût de semaquiller !

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Avec le service jeunesse de la Ville, des jeunes de tous lesquartiers d’Arras s’étaient donné rendez-vous salle Van-

damme pour participer à un concours de pétanque avec lesaînés de la section d’Intergénérations. Ils y ont tellement prisgoût qu’ils proposent de créer ensemble un club !

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Seniors I Actualité

Beaucoup de jeuness’installent à Arras

L’auto a offert à Artois Exposon plus grand salonLE cinquième salon de l’Auto les 8, 9

et 10 octobre à Artois Expo a per-mis aux Arrageois de découvrir sur sestapis rouges les nouveautés qui faisaienten même temps parler d’elle dans lesallées du Mondial. Sur 8 000 m2, avec unchapiteau extérieur, le salon arrageoiss’est positionné comme l’un des plusimportants de la région et il est en toutcas la plus importante manifestation ensuperficie organisée à Artois Expo. Plus

de cent cinquante véhicules étaientexposés et, pour la première fois, unespace était dédié à la moto. Tous lespublics, familial, professionnel ou spor-tif, ont ainsi trouvé satisfaction. Desnouveautés technologiques, comme lavoiture hybride ou cent pour cent élec-trique, ont même eu l’occasion deprouver qu’elles seront peut-êtredemain des atouts pour la préservationde l’environnement.

L’ADAMA 62, l’Association DesAnciens Maires et Adjoints du Pas-de-

Calais, présidée par Jean-Pierre Guilluy,maire honoraire de Fosseux, comptedans son conseil d’administrationquelques anciens élus de l’arrondisse-ment d’Arras. C’est ainsi qu’ils ont sou-haité faire connaître la capitale del’Artois à leurs homologues, anciensédiles de la France entière, à l’occasiondu congrès annuel de leur fédérationnationale, la FAMAF.

Marianne d’OrPendant quatre jours, du 4 au 7 octobre,c’est, avec les accompagnants, plus detrois cents congressistes qu’a accueillisl’Atria. Entre débats et ateliers, et selonles mots de leur président national,Robert Motte, arrivé de Savoie, cesanciens maires, venus de tout l’hexagone,ont été « séduits et surpris par la beautéd’Arras » ! Constitués en associationpour « servir encore » – c’est leurdevise – et apporter conseils et expé-rience à leurs successeurs, les anciensélus entendent toujours participer à la

vie civique et démocratique. Ils luttentnotamment contre l’abstentionnismeaux élections avec la « Marianne d’Or »,distinction décernée aux municipalitésoù l’on vote le plus et qu’Arras a déjàremporté à plusieurs reprises.« Le métier de maire, ça ne s’arrête pas.Vous êtes ceux qui ont tracé la voie aux élus

d’aujourd’hui. Il faut continuer à creuser lesillon », leur disait Jean-Marie Vanleren-berghe à l’Hôtel de Ville. En référence àla réforme territoriale, le maire d’Arrasa évoqué devant ce public aguerri « lanécessité de conserver la commune commelieu de proximité où les élus peuvent agir endialoguant avec les habitants ».

Actualité I Congrès - Salon - Réception


Anciens Maires : une expérience à transmettre

Plus de cent soixante nouveaux foyers,contactés grâce au fichier de la Poste,ont participé à un cocktail de bienvenuele 9 octobre à l’Hôtel de Ville. Le Maireleur a présenté la ville et toutes ses acti-vités. Des brochures de l’Office de Tou-risme encourageaient à la découverte dupatrimoine. L’association Arras Accueil,partenaire présentait ses multiples acti-vités de loisirs. On constatait que beau-coup de jeunes couples viennents’installer à Arras. Ils avaient d’ailleurs puvenir assister à cette réception avecleurs enfants puisqu’un coin garderieavait été aménagé.

Des anciens maires venus de toute laFrance impressionnés par la beauté de la salle des Fêtes.Le président national Robert Motte a signé le livre d’Or.

La foule aussi au salon de l’auto arrageois, mais on levisitait plus facilement que le Mondial parisien !


Mémoire - Santé I Actualité

Le bébé en photo sur les grilles du beffroi a 96 ans !

Les jeunes n’hésitent pas à fréquenterle centre de planification familialeOuvert en 1981 à l’Hôpi-tal pour satisfaire à uneloi de 1972, le centre deplanification et d’éduca-tion familiale, alorsanimé par le docteurMarquis, chef du servicede gynécologie, disposaitdepuis fin 2001 d’uneantenne en ville, boule-vard de Strasbourg.

C’EST celle-ci qui vient dedéménager, depuis le 8

septembre, dans des locauxplus attrayants et spacieux,non loin de là, au 14 boule-vard Carnot, sous la respon-sabilité du docteur AndréPodevin qui s’occupe de cecentre depuis 1987. « Noussommes restés en ville, dit-il, aucœur des déplacements desjeunes, pour continuer à êtrebien identifiés par eux, notrecœur de cible, qui d’ailleursnous connaissent bien et font

confiance à notre sens de laconfidentialité. Ils ont comprisque nous étions un lieu deparole et d’écoute où l’on peutaussi venir parler de violencesfamiliales ou de problèmes rela-tionnels à l’école ou avec les

parents ». Entre le centrehospitalier et l’antenne decentre ville, l’équipe s’estétoffée avec six médecins,quatre conseillers, une sage-femme, trois secrétaires etune aide-soignante.

Le centre, dont l’action estgratuite pour les moins dedix-huit ans et les personnesen précarité, intervient parailleurs dans les établisse-ments scolaires et les foyers.« Nous faisons une véritableéducation à la prévention,explique le docteur Podevin,en incitant les jeunes à lacontraception, à se protéger, àprendre conscience que le sidareste un risque ».A quelques mois de laretraite, le praticien avoueeffectivement une formed’impuissance : vingt pourcent des jeunes filles seule-ment ont une contraceptionefficace et l’on a dû encorepratiquer à l’hôpital l’annéedernière cinquante-huit IVGsur des adolescentes demoins de dix-huit ans. Autotal, six cent soixante opé-rations ont encore eu lieu àArras en 2009.

LORSQUE Catherine Casa-bonne a découvert sur les

grilles de l’Hôtel de Ville, placede la Vacquerie, cet agrandis-sement photographique d’unemaman tenant dans ses brasson bébé dans les ruines de laplace des Héros détruite parles bombes de la GrandeGuerre, elle fut estomaquée !Cette photo-là, elle l’avaitdéjà vue quelque part et lebébé a un air de famille. Bonsang, mais c’est bien sûr, cebébé, c’est son père dans lesbras de sa grand-mère et lamême photo est encadréedans la petite chambre qu’oc-cupe Bernard Delattre,aujourd’hui quatre-vingt-seize ans, à la maison deretraite des Blancs-Monts. Laphoto n’a jamais quitté lafamille et elle fut longtempsen bonne place dans lebureau du grand-père, HenriDelattre, greffier au tribunald’instance.

Comme l’a révélé Cécile Sto-quert dans l’Avenir de l’Ar-tois, elle fait aussi partie – ceque la famille ignoraitjusqu’alors – de la collectionpersonnelle d’un passionnéd’histoire locale, l’archéo-logue municipal AlainJacques. « Il y a deux ans,

explique-t-il, j’ai acheté surinternet, à un collectionneurlyonnais, un lot de photos ayantappartenu au colonel de Bois-sonnade, commandant d’armesde la place d’Arras pendant laPremière Guerre Mondiale ».Parmi ces documents setrouvait notamment une

photo inédite de RaymondPoincaré visitant Arras et cefameux cliché dont AlainJacques était loin de se dou-ter que le bébé était identi-fiable et se reconnaîtraitfacilement malgré son grandâge aujourd’hui !Lorsqu’il s’est agi de réaliserl’actuelle exposition sur lesgrilles du beffroi, pour illus-trer l’histoire de la Place desHéros à travers les âges àl’occasion de son actuellerénovation, l’archéologue aprêté nombre de ses photosqui ont été agrandies.Et c’est ainsi que, récem-ment, un vieux monsieur dequatre-vingt-seize ans aquitté pour une fois sa cham-bre des Blancs-Monts pourvenir voir avec émotion cettephoto, prise fin 1914, qu’il asous les yeux tous les jourset que, maintenant, des cen-taines d’Arrageois et de tou-ristes ont découverte.

Frédéric Leturque, adjoint à la cohésion sociale, et NathalieGheerbrant, conseillère municipale déléguée à la vie étudiante,ont découvert les nouveaux locaux.

Actualité I Associations


« Un avenir à deux » personnalise le mariage

Forum des associations : l’urgence du bénévolatComme tous les deuxans, le Forum des Associa-tions a attiré tout unweek-end des centainesd’Arrageois, de nouveauxarrivants essentiellementqui ont l’occasion dedécouvrir à travers lesstands de cette manifes-tation la diversité desactivités de loisirs queleur nouvelle ville peutleur offrir.

L’ÉDITION 2010 avait pris unaspect particulier en se

déplaçant les 2 et 3 octobre àl’Atria, salle des Tisserands etdes Orfèvres, pour fêter engrand les vingt-cinq ans decette « association des asso-ciations » qui édite, une annéesur deux, un précieuxannuaire où sont collectéestoutes les références de la vieassociative, culturelle, spor-tive et sociale arrageoise.Le Forum des Associations aainsi rassemblé, dans unespace où elles avaient plusleurs aises que dans la salledes Fêtes de l’Hôtel de Villeoù se déroule habituellementcette rencontre, plus de qua-tre-vingts associations. « Nousvoulons les faire découvrir par le

grand public, affirmait RochJullien, le nouveau présidentdu Forum, mais nous souhai-

tons aussi leur amener de nou-veaux bénévoles pour soulagerleur fonctionnement ».

Tous les présidents d’associa-tions vous diront que c’est làeffectivement le problèmecrucial qui peut parfoisremettre en question l’exis-tence d’une structure : lespersonnes qui acceptent d’in-vestir leur temps libre pours’occuper d’une associationsont de plus en plus difficiles àtrouver !

Entraide associativeIl est vrai aussi que la gestiond’une association loi 1901 estsource de soucis administra-tifs avec la contrainte de l’as-semblée générale annuelle oùil faut présenter bilans finan-cier et d’activité et toujours,au quotidien, respecter desréglementations dont on neconnaît pas toujours toutesles exigences.A travers ce Forum, Roch Jul-lien souhaitait donc que lesresponsables d’associationsplus importantes et plusanciennes se rapprochent despetites nouvelles à faibleeffectif pour les épauler, leurdonner des conseils de fonc-tionnement administratif, afinqu’à leur tour elles puissentprendre une vraie place dansl’animation de la ville.

Le stand du Groupement Scientifique d’Arras a passionné lesjeunes.

L’association « Un avenirà deux » a mis en placedes réunions de prépara-tion au mariage aux-quelles sont conviés lesfuturs couples qui ontpublié leurs bans.

« Il nous est arrivé d’avoirjusqu’à une vingtaine de

couples qui répondentprésents », confiait sa prési-dente, Christiane Drelon,lors de la septième du genre,le 19 octobre à la Maison deservices et de proximitéMarie-Thérèse Lenoir. L’ad-jointe à l’Etat-Civil, HélèneLefebvre, qui officie le plussouvent lors des cérémonies,explique d’abord le déroule-ment d’un mariage à la mai-rie, puis les textes du codecivil qui engagent les époux

sont expliqués et commentésà partir d’un montage vidéo.« L’objectif, dit l’adjointe, estde faire prendre conscience quela vie conjugale est quelquechose qui se prépare sur desbases solides et que la réussite

d’une union se trouve dansl’écoute mutuelle. Les textes,qui remontent à Napoléon quia créé en 1792 le mariage civil,sont les fondations d’un contratde solidarité à durée indétermi-née ! ».

L’association « Un avenir àdeux » peut également orga-niser la cérémonie enconseillant des lectures etdes musiques qui ferontqu’un mariage ne ressem-blera pas un autre.

Des couples attentifsà l’engagement qu’ils vont prendre.

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Vie de quartier I Actualité

Comme chaque année,le Maire visitera les dix-huit quartiers

ELLES s’appellent Evelyne, Anne,Geneviève ou Brigitte et ont un

point commun. Comme beaucoupd’autres, en cette soirée du 7 octobre àl’Office Culturel, elles arborent unbadge : Réseau Vivaldi. Il s’agit du lance-ment de cette nouvelle structure d’ani-mation arrageoise qui regroupe desbonnes volontés venues de tous lesquartiers, issues des comités d’habi-tants ou des conseils d’immeublespuisque l’idée a tout naturellementdécoulé du succès, chaque année, del’opération « Immeubles en Fête »devenue « Voisins solidaires ».« Dans le quartier, nous avions voulucontinuer, explique l’une. Nous avonsorganisé des barbecues, mais nous vou-lions aller encore au delà »… Et, surtout,dépasser la notion de quartier, se ren-contrer les uns les autres, venus dusud, de l’ouest, ou du centre ville. L’idéeétait aussi de se dire : pourquoi desimmeubles en fête et de la solidaritéentre voisins une fois par an seulement.Pour que cette attitude devienne per-manente, il fallait créer de la convivia-lité festive au moins une fois dans

chacune des quatre saisons. Ainsi est néle Réseau Vivaldi !

Développer le « vivre ensemble »Sa première manifestation se déroulerale dimanche 21 novembre avec leretour, pour l’automne, de la Fête desChâtaignes dans le bois de la citadelle.Tous les Arrageois y sont conviés. Onramassera des châtaignes, on mangerades marrons grillés. Il y aura des anima-

tions pour les enfants, de petits specta-cles champêtres. « C’est pour toute lapopulation l’occasion de redécouvrir lebois au pied des remparts », disait Fré-déric Leturque, adjoint à la CohésionSociale, qui voit beaucoup plus loin lerôle du Réseau Vivaldi. « Ce projet, ajou-tait-il, a vu le jour grâce à vous, à unegrande mobilisation dans les quartiersaussi. Développer le « vivre ensemble »,c’est le cœur de notre politique munici-pale ».

Première saison du Réseau Vivaldiavec la Fête des Châtaignes le 21 novembre

Tous les porteurs de projetsréunis à l’Office Culturel.

La tournée annuelle des quartierspour le Maire et les équipes muni-cipales, élus et techniciens, a com-mencé le 18 octobre à l’espaceSimone-Veil pour la Cité de l’Eu-rope, et c’est au total dix-huit réu-nions qui seront ainsi assuréesjusqu’en avril 2011.

LORS de chacune de ces réunionssera d’abord présenté un montage

vidéo expliquant l’action de l’actuelmandat en direction du développementdurable. Jean-Marie Vanlerenberghes’y fait interroger sur sa politique et sesprojets par une adolescente représen-tant la ville de demain, celle pourlaquelle nous devons faire en sortequ’elle soit vivable et respirable pourles générations futures.A la Cité de l’Europe, comme on le feradans les dix-sept autres quartiers, on aensuite discuté avec les habitants deproblèmes qui seront certainementrécurrents d’un quartier à l’autre bienque tous les Arrageois, comme l’a

remarqué le Maire, n’aient pas forcé-ment le même regard sur leur ville.Sécurité, circulation, stationnementsont toujours les mêmes préoccupa-

tions et, précisément, au fur et àmesure des mutations urbaines et destravaux, tout est mis en œuvre pourrendre la ville plus facile.

Plus d’une soixantaine d’habitants de laRésidence de l’Europe ont assisté à cettepremière réunion de quartier.

Plus d’une soixantaine d’habitants de laRésidence de l’Europe ont assisté à cettepremière réunion de quartier.

Sport I Equitation - Ju-jitsu

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Le ju-jitsu, l’art d’apprendre à rester calme

EN juillet 2008, Amandine Lassauceallait avoir quinze ans six mois plus

tard lorsqu’elle est devenue, à Lamotte-Beuvron en Sologne, championne deFrance cadet 1 en équitation et sautsd’obstacles, médaille d’or, coupe del’Open de France (voir « Arras-Actuali-tés » n°229 d’octobre 2008).Depuis lors, la jeune Arrageoise a conti-nué de vivre pleinement sa passion.Actuellement en bac pro élevage etvalorisation du cheval, elle est en contratd’apprentissage au « Jump’club » deTilloy-les-Mofflaines, un emploi rému-néré qui lui permet de payer la pension,la nourriture et les soins pour « Rêve deBohème », une jument alezan de cinqans qui, selon son éleveur, fera des pro-diges. Avec 1,73 m au garot, elle sautedéjà 1,35 mètre et son record en puis-sance devrait aller jusqu’à 1,65 m.Car il y a eu du changement ! Papa-maman ont cédé et ont offert à Aman-dine, dix-sept ans maintenant, cemagnifique cheval ! Il est vrai que lajeune cavalière tient elle aussi ses pro-messes côté concours. Elle est devenueen juillet dernier, toujours à Lamotte-Beuvron, vice-championne de Francejunior excellence, toujours dans lesconcours inter-clubs où elle s’était déjà

distingué en 2009 avec une quinzièmeplace.Amandine a néanmoins eu un petit pin-cement au cœur : le cheval avec qui elle agagné, Or du Halo, a été vendu après luiavoir fait remporter la médaille. Mais laconsolation est vite venue avec le

cadeau des parents. « Maintenant, dit-elle, il faut que je l’amène à son meilleurniveau de dressage ». Et c’est une affaire àlaquelle il faut s’atteler chaque jour car,maintenant, Amandine peut concouriren catégorie supérieure, en club 1 éliteet, l’année prochaine, en amateur.

Amandine Lassauce :la championne a son cheval !

Amandine avec la pouliche que lui ont offerte Papa-Maman et sur qui elle comptepour devenir championne.

C’est un art martial ancien,aujourd’hui concurrencé par d’au-tres disciplines qui s’en sont inspi-rées, mais salle Beauffort, chaquemercredi et vendredi à Arras, le ju-jitsu est encore bien vivace.

« L’INTÉRÊT de cette pratique, dit le prési-dent de l’association, Claude

Derepper, c’est qu’on ne développe pasd’esprit de compétition ». Les quaranteadhérents de ce club, dont une dizained’enfants à partir de six ans, viennent

pour apprendre les règles de la maîtrisede soi et des techniques douces dedéfense. Trois enseignants, Patricia Lou-chard et Marc et Christine Guerrero,leur transmettent une gestuelle et desattitudes venues du Japon féodal aux-quelles veille en France aujourd’hui Maî-tre Quero, la référence du club devant leportrait duquel on s’incline avant chaqueentraînement.C’est lui-même d’ailleurs qui vient enpersonne accorder les montées degrade après avoir constaté que l’élève

tendait à la maîtrise. « Le ju-jitsu, expliqueencore le président Derepper, ceinturenoire, quatrième stade, apprend à contrô-ler et concentrer ses énergies par desméthodes de respiration. C’est aussi unexcellent exercice de santé ».Tous les pratiquants vous diront qu’ilapporte beaucoup pour se déstressernaturellement. Et si on le considèrecomme un art de défense, tout est, grâceà cela, dans la perfection et la rapidité dugeste. « Le corps apprend des réflexes, et,moi-même, cela m’a encore rendu servicerécemment », constate Claude Derepperen avouant sa qualité d’adjudant-chef degendarmerie ! L’animateur du club pré-cise aussi que l’on peut débuter le ju-jitsu à tout âge. Lui, c’était à trente-huitans ! Et le club arrageois, portesouvertes chaque mercredi et vendredide 18 h à 21 h salle Beaufort, attendaussi bien les enfants que les adultes.

■ Contact03 21 50 26 19 ou 03 21 58 26 62

http://jujitsuarras.free.fr

Un sport qui peut devenir une technique de défense dès l’âge de six ans.


Chronique I Sport

Novembre : un mois de sportplus que riche pour les ArrageoisQue ce soit en basket-ball, enwater-polo, en rugby ou en football,les rencontres vont s’enchaîner àun rythme effréné en ce mois denovembre 2010. Avec notammentle début de la coupe d’Europe pourles Demoiselles d’Arras.

Les basketteuses d’Arraspays d’Artois ont débutéleur saison par unedéfaite décevante lorsde l’Open de la Ligue, àParis, contre Challes. Un

revers qui mérite un sursautd’orgueil rapide car le calendrier desfilles de Bruno Blier ressemble auxdouze travaux d’Hercule. Les Arra-geoises se déplacent à Venise ce jeudi 4novembre pour le premier match d’Eu-rocoupe. Trois jours plus tard (ledimanche 7 novembre à 16 h), ellesretrouveront leur public pour la venuede Villeneuve-d’Ascq à la halle dessports. Le mercredi 10 novembre, à20 h, Arras retrouvera la coupe d’Europeà domicile avec la venue des Belges deNamur. Les équipières de Leilani Mit-chell auront droit ensuite à undeuxième match le dimanche, à Charle-ville-Mézières. Elles souffleront quelquepeu avant la venue, à la halle des sports,de Calais (samedi 20 novembre à 20 h).Place ensuite au match retour contreVenise (mercredi 24 novembre à 20 h àla halle). S’enchaîneront ensuite deuxdéplacements à Mondeville (samedi 27novembre) et à Namur (mercredi 1er

décembre). Avant la venue de Tarbes àArras le dimanche 5 décembre. Aveccinq matches à domicile, championnat etcoupe d’Europe, les Arrageois vont pou-voir retrouver l’ambiance rose de lahalle des sports.

En water-polo, aprèsquatre matchs à domi-cile, Arras attaquera sonpremier déplacement dela saison à Valenciennes(samedi 6 novembre).

Les hommes d’Eddie Her-mant retrouveront ensuite leur aire dejeu avec la venue de Choisy-le-Roi(samedi 13 novembre à 20 h à Desbin).Long déplacement ensuite pour les équi-piers de Patrick Kedro qui se rendrontà Saint-Jean-d’Angély (samedi 20 novem-bre) avant de finir leur mois de novem-bre à domicile contre Noisy-le-Sec(samedi 27 novembre). Le RCA a biendébuté sa saison avec deux victoires lorsdes deux premières journées. Il entend

confirmer, au cours de ce mois un peuplus compliqué, sa bonne passe actuelleet approcher au plus vite l’objectif fixé, àsavoir une place dans les quatre pre-miers.

Les rugbymen du RCAmènent la danse dansleur poule de Fédérale 2.Quatre matchs, quatrevictoires en cette find’octobre et une place

de leader que seul Gennevillierstente de contester actuellement. Leshommes d’Alexis Konieczny etMickaël Nogent auront également unmois de novembre (et de début décem-bre) consistant avec la venue du PUC(dimanche 7 novembre à 15 h à Gri-maldi), celle d’Orsay (le 28 novembre à15 h) puis de Beauvais (le dimanche 5décembre à 15 h). Un seul déplacement,le plus long de la saison, emmènera leséquipiers de Vincent Berthelet àRennes. Ce sera le dimanche 21 novem-bre.

Enfin, en football, lesféminines ont biendébuté leur saison avectrois victoires, un nul etune défaite au compteur.Le niveau de la division 2

est plus élevé et les filles deRené Devienne et Jean-Pierre Marro-chini se sont bien acclimatées aux exi-gences physiques et techniques de cettedivision. Battues par Vendenheim pourle match au sommet, les équipières deJulie Caillerez souhaitent rebondir à

quelques semaines de la trêve desconfiseurs. Elles accueilleront Grave-lines le dimanche 7 novembre pour underby toujours très alléchant. Elleseffectueront ensuite le long déplace-ment jusque Dijon (dimanche 14novembre), avant d’enchaîner unedeuxième sortie dans le Bas-Rhin à Bis-chheim (dimanche 21 novembre).Retour à Pierre-Bolle début décembrepour le troisième derby de la saisonface à Leers (dimanche 5 décembre à 15h).En CFA 2, les garçons d’Arras-Footballont quelque peu relevé la tête après undébut de saison catastrophique. Rey-nald Dabrowski a remplacé StéphaneTousart à la tête de l’équipe, MickaëlBellatrêche a retrouvé une place sur leterrain et Arras est toujours qualifié encoupe de France dont le sixième tours’est disputé ce dernier week-end d’oc-tobre. Mais c’est en championnat qu’Ar-ras a un besoin urgent de points. Leséquipiers du capitaine Delépineaccueillent ce samedi Lesquin (6novembre 18 h à Degouve), avant derendre visite aux Lilas (samedi 13novembre). Après un éventuel septièmetour de la coupe de France, qui marquel’entrée des équipes de Ligue 2, ledimanche 21 novembre, Arras recevraun des leaders actuels, Chambly (samedi27 novembre à 18 h au stade Degouve).Il sera alors temps de prendre la routede Prix-les-Mézières pour disputerl’avant- dernier match de l’année 2010(dimanche 5 décembre à 15 h).

BASKET-BALL

WATER-POLO

RUGBY

FOOTBALL

Clin d’œil I


« Art et passion » pour les enfants hospitalisés

Des footballeurs du RC Lens ont fait la dictée

Arras-Accueil vous attend en famille

Un prochain rendez-vous en novembre les 19, 20 et 21.

Artiste peintre, Violette Jouvenel a pris l’habi-tude depuis deux ans de réunir d’autres profes-sionnels de la palette pour une exposition « Artet passion » salle des Fêtes de l’Hôtel de Ville. Les2 et 3 octobre, dix-sept peintres ont ainsi attiréplus de six cents visiteurs qui ont pu discuter aveceux de leur technique et de leur inspiration. Desœuvres originales étaient présentées comme cefauteuil sur lequel se profilait à l’acrylique lafaçade de l’hôtel de ville. Cette exposition devaitaussi servir de promotion à un second rendez-vous, les 19, 20 et 21 novembre, où les artistessollicités par Violette Jouvenel offriront cette foisà la vente une sélection de leur production auprofit d’actions et d’animations pour les enfantshospitalisés.

Avec ses sept cents adhérents, Arras-Accueil est l’une desassociations les plus importantes en nombre de la ville, etelle ne demande qu’une chose, encore grandir, selon le prin-cipe qui l’a fait naître d’accueillir les nouveaux habitantspour leur faire découvrir Arras et leur proposer des activi-tés de loisirs. C’est ainsi que chaque année à la rentrée uncocktail permet à toutes les familles de se retrouver et auxnouveaux habitants de se créer des contacts amicaux etdes relations sociales. La salle des Fêtes de l’Hôtel de Villeétait bondée le 8 octobre au soir pour entendre les deuxco-présidentes, Thérèse Vermeersch et Marie-LucieMuylaert, s’épancher sur leur amour pour leur patrimoineet énumérer les multiples activités qu’offre Arras-Accueil« pour ne pas rester seul devant son écran ».

Contact : 03 21 23 64 60.

Les élèves de la classe de CM2 d’Alexandre Baumann, àl’école Oscar-Cléret, sont sages comme des images etquelque peu fébriles. Les voilà, les voilà ! Razak Boukari etAla Eddine Yahia, deux joueurs du RC Lens, entrent dans laclasse. Ils sont venus dicter un texte spécialement écrit par leromancier Marc Lévy. « Difficile ! Il faudra lui dire qu’il écrit pourdes enfants », concède l’instit’ en orthographiant quelquesmots sur le tableau. Mais l’essentiel est passé. Il s’agit depuishuit ans, à travers cette opération nationale nommée la dic-tée d’Ela (European Leucodystrophies Association), de sensi-biliser et de mobiliser les écoliers sur une action desolidarité autour des maladies issues d’anomalies des glo-bules blancs. Par la suite, à Oscar-Cléret, on organisera uncross au profit de la recherche. A Gambetta, où un autrefootballeur du RC Lens, Toifilou Maoulida, a mené la mêmeopération auprès de quatre-vingts élèves de sixième, on avaitrécolté l’année dernière 1 500 euros au porte à porte. Aucollège Mitterrand, et pour la quatrième année consécutive,c’est la championne olympique de canoë-kayak MarieDelattre qui s’était déplacée.

Le maintien à domiciledes personnes âgées

Ce fut une révélation du récent Forum de l’Em-ploi : les métiers du service à la personne intéres-sent de plus en plus les nouvelles générations.Avec différentes animations des lycées Savary etSaint-Charles, la Semaine Bleue a permis enmême temps de constater l’ampleur et le succèsde ces formations où les jeunes peuvent avoirl’assurance d’une carrière. Les débouchés vont sedévelopper en direction, principalement, des per-

sonnes âgées dans une volonté de leur permet-tre de rester chez elles malgré des difficultésd’autonomie. Le CCAS, et différentes associationsqui se multiplient, offrent des prestations à domi-cile dont le coût peut être amoindri par certainesallocations. Suivons l’itinéraire du maintien àdomicile des personnes âgées, de la demanded’une aide personnalisée au passage des auxi-liaires de vie, parfois même la nuit s’il le faut.

DOSSIER

« Tout faire pour que lerestent chez elles le plus

DOSSIER

LA clef pour rester chez soi quand onne peut plus assumer certains gestes

indispensables à la vie quotidienne, c’estl’APA, l’Allocation Personnalisée d’Au-tonomie. Elle est accordée aux plus desoixante ans par le Conseil Généralselon certains critères, mais c’est à laMairie qu’il faut s’adresser pour consti-tuer le dossier.Une infirmière et un agent administratifse rendent au domicile du demandeurpour évaluer sa situation de dépen-

dance selon un barème qui va de 1 – ladépendance complète – à 6 où l’on asimplement besoin, par exemple, dequelques heures de ménage. « Nousessayons de savoir par un signalement duvoisinage ou de l’entourage qui pourraitavoir besoin de ce dispositif, remarqueMonique Wattrisse, coordinatrice duservice au CCAS, mais ce sont bien sou-vent des enfants éloignés qui se rendentsubitement compte de la situation envenant voir leurs parents ». Lorsquecette allocation est accordée, c’est à lapersonne de choisir l’organisme quiassurera le nombre d’heures d’aidedéfinies, le CCAS, une association spé-cialisée ou une société privée. Les ser-vices apportés vont du lever à latoilette, des courses et à la préparationdes repas au coucher, selon le degré dedépendance. Le CCAS dispose de deux équipesd’aide à domicile dénommées serviceprestataire et service mandataire, la dis-tinction ne définissant en fait que l’or-ganisation administrative du paiementdes heures assurées. Au total, soixante-huit personnes sont sur le terrain. Ilexiste aussi un service de soins à domi-

cile sur prescription médicale, doncremboursés par la Sécurité Sociale.Le CCAS offre aussi, à partir desoixante ans et cette fois sans critèresde dépendance aucun, la possibilité dese faire livrer chaque midi un repaschez soi – entrée, plat, fromage et des-sert – pour sept euros cinquante.Trente mille repas ont ainsi été servisen 2009. Des organismes privés assu-rent la même prestation. Pour huiteuros soixante-quinze par mois, unepersonne âgée dépendante peut par ail-leurs demander l’installation d’une téléassistance, un boîtier qu’elle actionneraen cas de chute ou de malaise, relié à uncentral qui appelle aussitôt un voisin quia confié son numéro ou un membre dela famille. Là encore c’est en Mairie qu’ilfaut faire la demande.

Aidavie se développeDépendant aussi du CCAS, le servicede soins à domicile, basé à la résidenceSoleil et coordonné par une infirmière,prend en charge jusqu’à quarante litsqui représentent une véritable hospita-lisation à domicile. « Tous ces servicessont appelés à se développer, affirme

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Arras Actualités

Nicole Canlers, conseillère municipaledéléguée aux Personnes Agées, car lesgens vivent de plus en plus vieux avec desenfants qui eux aussi ont pris de l’âge etne peuvent plus s’occuper d’eux. Il n’estpas rare de voir une dame de quatre-vingt-dix ans avoir un fils de soixante-dix ! »…L’élue constate aussi que le CCAS doitde plus en plus s’occuper de personnesâgées en situation desurendettement parcequ’elles ont voulu aiderleurs enfants. « On ne saitpas toujours que, parfois,des mutuelles ou descaisses de retraite peuventaccorder une aide une foispar an ».A Arras existe aussi denombreuses associations d’aide auxpersonnes âgées comme Aidavie quivient de fusionner avec l’AAGM, l’Asso-ciation Artésienne de Gardes Malades.Elle fait intervenir sur la ville d’autreséquipes apportant des services ana-logues à ceux du CCAS. L’association,qui emploie pour sa part deux centsauxiliaires de vie ou aide soignantes,met ainsi en place un nouveau service

es personnes âgéeslongtemps possible »

de garde itinérante de nuit. « Nous vou-lons développer nos qualités de surveil-lance de la personne dépendante enagissant surtout dans un esprit de préven-tion », dit sa directrice, SylvieNoclercq. A terme cinq voitures rayon-neront ainsi la nuit à Arras et à trentekilomètres alentour. « Le service de jour,explique encore la directrice, se termine

à vingt heures, ce qui faitque nous sommes obligésde faire manger et de cou-cher trop tôt certaines per-sonnes. Désormais ellespourront par exemple allerau lit plus tard ! ».Aidavie s’occupe aussi,sur prescription médi-cale, d’une cinquantaine

de lits pour des soins infirmiers ou destoilettes à domicile. « Nous travaillons,dit la responsable, en partenariat et enparfaite entente avec les infirmières libé-rales qui n’ont plus toujours le temps d’as-sumer des soins de nursing ». Toutes lesprestations de maintien à domicile,remboursées en tout ou en partie parl’APA, certaines assurances, mutuellesou caisses de retraite, peuvent aussi

faire l’objet d’une déduction fiscale.Enfin, à Arras, dans les proches années,différents programmes immobiliersviseront, comme celui de l’îlot auxOurs, au maintien des personnes âgés àdomicile par des appartements appro-priés à la dépendance. Les quarantelogements de la résidence Soleil dontles salles de bains viennent d’êtrerefaites, comme les résidences Bron-gniart ou Duflot, ont été précurseurs.En 2011 naîtront sur le site de l’an-cienne clinique Bon Secours une qua-rantaine de logements en béguinage.Un autre projet d’une soixantaine delogements adaptés verra le jour TourVerlaine. « Tout est ainsi fait à Arras pour que lespersonnes âgées puissent rester le pluslongtemps possible dans leurs meubles etleurs souvenirs », conclut FrédéricLeturque, adjoint à la CohésionSociale. Et cela devrait nous faire d’ex-cellents centenaires !

Claude Marneffe

La mise en placed’un service de nuitdevenait nécessaire

■ ContactTél. 03 21 50 51 21

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1) On peut se faire livrer un repas à domicile, mais aussiobtenir l’intervention d’une aide ménagère pour le préparer.

2) L’aide au lever et au coucher est essentielle.3) L’un des premiers véhicules d’Aidavie- AAGM qui assurera un

passage de nuit auprès de certains aînés.4) Une des premières prestations : le ménage.5) La télé-alarme est une des armes principales du maintien à

domicile.6) Stéphanie Palmowski et Sylvie Noclercq sur le stand

d’Aidavie au Forum de l’Emploi où l’on a découvert quebeaucoup de jeunes étaient intéressés par les métiersde l’assistance à la personne.


Culture I Exposition - Théâtre

Des artistes ont exprimé Pablo NerudaLes mots de PabloNeruda, le grand poètechilien au message univer-sel, flamboyant de liberté,prix Nobel de Littératurequi a toujours proclamédans ses vers sa bataillepour les Droits del’Homme, amoureux de laFrance où il fut ambassa-deur et qu’il a idéalisée,s’étaient installés pendanttrois semaines dans lasalle des Fêtes de l’Hôtelde Ville.

CETTE exposition qu’Arrasa eu l’opportunité,

unique dans la région, de pou-voir accueillir avait la particu-larité d’illustrer l’œuvre dupoète par des peintures etsculptures d’artistes interna-tionaux. « Et cette expositionest expansive, disait, en la pré-

sentant, François-XavierMuylaert, adjoint à la Cul-ture. Elle s’enrichit, dans chaqueville, d’artistes locaux ». Il s’agis-sait ici de Mireille Desideri

et de Jean-François Robi-quet. « Les mots de Nerudasont éternels, s’accordaient àdire dans leur interventionl’attaché culturel de l’ambas-

sade du Chili à Paris, venuspécialement, et le commis-saire de l’exposition, Tito Gon-zalez. Neruda a été la voix deson temps à travers ses poèmes.Elle est devenue une voix pourtous les temps ».Lors du vernissage, le 11octobre, Jean-Marie Vanle-renberghe a dit tout son atta-chement au Chili, sans y êtrejamais allé, parce que c’est unpays qui, en Amérique Latine,« a été une exception démocra-tique faisant de lui un traitd’union avec l’Europe ». PabloNeruda, poursuivait-il, a mon-tré que la littérature pouvaitêtre un moyen d’entrer enpolitique « en considérant quel’essentiel est dans le quotidienpourvu qu’on le transfigure ».« Je veux vivre dans un mondehumain, disait le poète. Seule-ment humain ».

Beaucoup de monde pour le vernissage d’une exposition qui afait découvrir l’univers poétique et artistique de Pablo Neruda.

« Beaucoup de bruit pour rien » :un mal pour un bien !ALERTE ! Alerte ! Le public est encore

dans le hall du théâtre en ce débutde soirée du 14 octobre qu’il faut éva-cuer. Tout le monde dehors à se deman-der ce qu’il va se passer. On vous tiendraau courant tempère la régisseuse.Elle vient informer la petite foule que lesdécors, atteints de gigantisme et faisantappel aux murs d’images vidéo, ontbrûlé. La scène est noyée. Et on ne saitencore quel malheur. Impossible dejouer. Du « remboursez » au « on va bienvoir comment ça va se passer », les réac-tions sont diverses et significatives.Ce couple qui s’injurie. Lui aurait préféréaller au cinéma et il est encore temps.Elle veut attendre l’occasion de discuteravec la troupe. Elle est enseignante etdoit étudier avec ses élèves « Beaucoupde bruit pour rien », la pièce de Shakes-peare qui devait être jouée. « On vousdonnera un dossier pédagogique ». Celadevient aussitôt son surnom, dans lepublic énervé, amusé, dubitatif. Un guita-riste aviné saisit l’occasion de quelquesairs.

Le théâtre à la rue !Et bientôt voici les comédiens en cos-tumes Shakespearien sur la place duthéâtre pour quelques extraits du spec-tacle s’interrogeant entre eux sur leurjeu comme dans une ambiance de répé-

tition. Un spectateur « ramène tascience », assis sur un pliant que l’on adistribué, comme des couvertures desauvegarde, affirme que Shakespeare etles autres, à l’époque, ça se jouaitcomme ça, dans la rue. « Le théâtre enintérieur, on l’a inventé pour faire payer lesgens ! ».Le spectacle, finalement, improvisé auquart de tour et au fil à plomb commesait le faire la troupe des 26000 cou-

verts qui nous avait déjà proposé l’an-née dernière salle Léo Lagrange dugrand n’importe quoi, est un vraimoment d’euphorie.Et c’est à souhaiter que, partout oùpasseront ces drôles de fous qui onttransformé les spectateurs en acteurs,arrive semblable mésaventure quioblige à un spectacle auquel on ne s’at-tendait pas !

Claude Marneffe


Exposition I Culture

Un pont japonais entre le musée et le théâtre

L’automne sera portugais à lagalerie du Quai de la Batterie, àl’Hôtel de Guînes. Le maître deslieux, Luc Brévart, est parvenu,grâce à la notoriété internationalequ’a apportée au lieu la biennaledu livre d’artiste, et avec la béné-diction de l’ambassadeur du Por-tugal en France s’il vous plaît, às’assurer la présence d’œuvresmajeures des plus fameux plasti-ciens actuels du pays du fado.

LA première étape de cette saisonportugaise nous fait découvrir, au

rez-de-chaussée de l’Hôtel de Guînes,les œuvres saisissantes de FranciscoTropa. Dans la pénombre et le silencesont reconstitués à même le sol, dans lebronze immuable, deux squelettes.Réflexion sur la mort qui fige à jamaisl’histoire d’un homme et libère sonesprit dans l’univers. La mort, angoisserégénératrice qui surgit sur les paroisde notre imaginaire, et dans les nuits dela mémoire, comme les tentacules deces araignées disproportionnées proje-tées sur les murs de la pièce.

Nature morte et road movieA l’étage au dessus, dans ce qu’il estconvenu maintenant d’appeler la sallebleue, Maria Loura Estevao proposeun étrange banquet. Sur une tablelongue comme la cène sont amalgamésdans des coupes dorées, mirobolantes

et triviales à la fois, les reliefs d’unegabegie de nourriture, fruits, légumes,volailles écharpées, viandes gavées, toutdoré comme les coupes qui les contien-nent. Une manière esthétisante de revi-siter la nature morte, obsédantecomme l’appel de la mère invitant àvenir se mettre à table. Car c’est d’en-fance et de souvenirs dont nous parlel’artiste en même temps dans uneœuvre vidéo, subjuguant « road movie »où une silhouette dessinée court sur laroute pour s’en retourner au pays.Enfin, dans l’atelier, la jeune Joana Tra-visco, en résidence au Quai de la Batte-

rie, maîtrise tout en délicatesse la gra-vure comme des feuilles d’automnesoustraites à l’humus. Dans la galerie de« L’Ecurie », Isabel Baraona dessinedes poupées explosées de couleurs,fantasmagoriques hallucinations.Au Quai de la Batterie, cet automne, lePortugal apparaît comme un pays desmerveilles de la nouvelle créationcontemporaine.

Au Quai de la Batterie, le Portugal est un régal

■ Première étape portugaiseJusqu’au 14 novembre.

Hôtel de Guînes, du mercredi au dimanchede 14 h à 18 h et sur RDV. Entrée gratuite.

Le banquet de Maria Loura Estevao.

LES institutions culturelles ont désor-mais pris l’habitude de se donner la

main pour amener un public plus impor-tant encore sur un événement. Et c’estainsi que le Théâtre, en partenariat avecle Musée, a organisé le 21 octobre dansle quartier des Arts une soirée entre leJapon d’hier et d’aujourd’hui qui a com-mencé par une visite guidée de l’exposi-tion de laques au Palais Saint-Vaast,suivie de la découverte d’une installationcontemporaine de Cécile Le Prado,dans le cloître. Les participants ontensuite gagné le hall du Théâtre pourdéguster quelques spécialités de la cui-sine japonaise avant de terminer la soi-rée salle Reybaz où les attendait l’un desDJ les plus connus de Tokyo que l’onavait réussi à faire s’arrêter à Arras, deretour de Londres. En quelques heures,théâtre et musée nous ont fait passer duJapon séculaire au Japon visionnaire etont ainsi réussi, sur la passerelle de l’ex-pression artistique, à réunir un mêmepublic entre classicisme et avant-garde !

L’un des DJ les plus célèbres de Tokyo est passé par Arras, invité de la programmationdu Théâtre.

La photo a une adresse

Le service culturel de l’Universitéd’Artois a présenté en octobre àl’espace culturel de l’IUFM uneexposition avalisée par la CitéInternationale de la Bande Dessi-née et de l’Image d’Angoulême surle thème des « Anges et superhérosdans la bande dessinée ».

DEPUIS les années trente les« comics » et les « fantasy », puis

plus tard les « mangas », transcendentl’homme ordinaire en héros qui accom-plit des missions de superhomme etl’exposition démontrait, à travers denombreuses planches commentées, quecette métamorphose était inspirée de la

mythologie des anges gardiens, ces êtreseux aussi supranaturels intervenant pourlutter contre les forces du mal et ame-ner la justice. Les superhéros sont venusdes anges et, d’ailleurs, la cape de Super-man ne fait-elle pas penser aux ailes d’unange et n’a-t-on pas surnommé ce hérosl’ange de Métropolis ?Avec cette exposition, qui montrait aussipour la première fois des planches origi-nales de Fantax, l’Université d’Artois etl’IUFM confirment leur volonté de parti-ciper à la vie culturelle locale. Il est dom-mage alors que l’éloignement du lieud’exposition et le peu de visibilité de sonaccès aient fait échapper un public qui yaurait trouvé un évident intérêt.

Une culture jazz s’est développée àArras au fil du temps avec diffé-rentes associations et un festivalannuel a par ailleurs révélé quetout un public était passionné d’ac-cordéon.

LE directeur du Théâtre, Jean-MichelLejeune, a montré l’habileté de vou-

loir réunir tous ces amateurs en pro-grammant le 18 octobre dans le veloursde la salle à l’italienne le quintet deDaniel Mille, cet accordéoniste Djangod’or du meilleur espoir en 1995, prixGus Viseur et Victoire de la Musique enjazz instrumental en 2006.Et ces deux heures de concert furentune véritable réjouissance musicale. Lamusique de Daniel Mille a des errancesbohèmes pour construire un universdans lequel l’oreille se love chaleureuse-ment. On est littéralement aspiré parl’équilibrisme instrumental des cinqmusiciens. Pas une seconde on ne se lais-serait distraire tant la fluidité de ce jazzest captivante, rassérénante, et souventinventive et surprenante. Il y a des lan-gueurs, mais elles ne sont jamais mono-tones. Chaque artiste prenddélicatement sa place dans ce jeu de

construction musicale finalement trèsstructuré.Il y a, chez Daniel Mille, un savoir-faire dela mise en valeur du partenaire, pianofrémissant d’Alfio Origlio, cuivres gou-layants de Julien Alour, contrebasseentêtée de Jérôme Regard, et AndréCeccarelli, ce grand petit bonhomme

de batteur à la touche d’une innocentefraîcheur. Il est dans la vie d’un specta-teur des moments de bonheur esthé-tique dont on se souvient longtemps,longtemps après que le rideau ne soittombé sur le souvenir. Ce concert arra-geois du Daniel Mille quintet sera deceux-là…

Le jazz de Daniel Mille, c’est du miel !

Le collectif Incarnat continue de fairevivre la photo artistique à Arras et deuxde ses membres les plus emblématiques,Patrick Devresse et Martial Rossignol,ont présenté en octobre leurs récentstravaux dans la galerie de l’Office Cultu-rel, Grand’Place, devenue le haut lieuarrageois de l’expression de cet art.Patrick Devresse proposait un reportagesur les parcs d’attraction, réalisé dans lesud de la France, avec une vision coloréeet amusée de ces paradis enfantins. Mar-tial Rossignol présentait une série deportraits en noir et blanc et il donnaitégalement à son travail une dimensionde plasticien en masquant certainsaspects des visages de cellophane poursusciter une interrogation.

Légende


Culture I Concert

Les superhéros de la BDdescendent des anges !


Civisme I Jeunesse

Jeux de rôles :tout un week-end à être un autre !

Le collège Diderot a prisl’initiative d’organiser le5 octobre une journée desensibilisation à lacitoyenneté qui a notam-ment permis aux élèvesde découvrir les peinesqu’ils encourraient s’ilsvenaient à se livrer, dansl’enceinte de l’établisse-ment ou à l’extérieur, àcertains actes d’incivi-lité.

« SIX cents jeunes qui arri-vent dans un quartier rési-

dentiel jusqu’alors peu habituéà une telle fréquentation dedouze-quinze ans, cela peu setraduire par certains pro-blèmes au quotidien et nousavons reçu quelques plaintesde riverains bien qu’il ne faillepas non plus rendre nos élèvesresponsables de tous les dés-agréments subis », résume leprincipal adjoint, FrançoisGéneau.

Etre responsableAvec les professeurs d’édu-cation civique, l’administra-tion de l’établissement anéanmoins réagi en faisantrencontrer, par petitsgroupes, pendant une jour-née, les classes de cin-

quième, quatrième et troi-sième avec des éducateursde la Protection Judiciaire dela Jeunesse, des policiers, desmédiateurs et animateurs duservice jeunesse de la Villeou du bus info au droit de laCommunauté Urbaine.Les élèves se sont ainsi suc-cédé autour de quatre ani-mations où ils ont aussi

appris la bonne conduitedans les transports scolairesou assisté à la reconstitutiond’une audience du tribunalpour enfants. Ils sont repar-tis conscients désormais queleur âge ne leur donnait pastous les droits et qu’une par-tie de sonnettes, de menuslarcins ou des insultes à l’en-contre d’un chauffeur de bus

pouvaient avoir des suitesjudiciaires.Mais le but essentiel d’unetelle opération est surtoutd’amener les adolescents àcultiver d’eux-mêmes uneattitude citoyenne et res-ponsable sans qu’il y aitbesoin d’un rappel aux puni-tions ou condamnations pré-vues par la loi.

Devenir citoyen s’apprend aussi au collège

Les collégiens ont notamment pu assister à la reconstitution d’un procès du Tribunal pour Enfants.

C’EST le dimanche en fin d’après-midi qu’il fallait les voiraprès deux jours et deux nuits blanches passés à se pren-

dre pour un autre et à s’inventer mille destins inédits ! Maisles amateurs de jeux de rôles sont de tels passionnés que lafatigue avait laissé place sur les visages à une sorte de bon-heur extatique !Le Cénacle, association arrageoise de jeux de rôles, créée pardes étudiants, proposait ainsi du 22 au 24 octobre en nonstop à l’Office Culturel son quatrième tournoi qui a rassem-blé plus d’une centaine d’amateurs. Ce fut aussi pour le publicl’occasion de venir découvrir ce qu’était un jeu de rôle oùl’on peut, par exemple, reconstituer des batailles historiquesen déplaçant jusqu’à quarante mille figurines !Quant au jeu de rôle grandeur nature, c’est le joueur luimême qui devient acteur de son personnage, en costumemédiéval ou en armure, et qui commente l’évolution de l’ac-tion qu’il imagine au fur et à mesure. Pour ce week-end qui afait d’Arras une place forte du jeu de rôles dans la région, lesorganisateurs avaient convié différents spécialistes, créateursde scénarios et de personnages, à venir présenter leur uni-vers.

Un groupe de joueurs participant à une mise en scène qui peutles emmener jusqu’au bout de la nuit.


• Résidence Baudimont

• Résidence Pierre Bolle

• Centre Ville Boulevards

• Centre Ville Places

• Résidence de l’Europe

• Goudemand -

Saint-Michel

• Hippodrome

• Jardins - Acacias

• Jean-Jaurès - Cheminots

• Les Blancs Monts

• Les Hautes Fontaines

Résidence Saint Fiacre

• Les Hochettes

• Méaulens

bd de la Liberté

• Mont Saint Vaast

• Résidence Saint-Pol

• Rietz Saint-Sauveur

• Ronville/Réaumur

Griffiths/Devillers

• Saint-GeryNo

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Brocante d’Arras-Ouest :les dernières affaires à faire !

Le premier petit-déjeunerdu centre social – NEC

Plus de quatre-vingtspersonnes ont participéen quatre services aupremier petit-déjeunerorganisé par le centresocial Nord-Est-Cen-tre, le 13 octobre auVan d’Or. « Nous avonsprofité de l’opportunitéde la Semaine du Goûtpour montrer à nos adhé-rents, petits et grands,comment préparer unpetit déj’ équilibré avecjus de fruits, produits lai-tiers, pain, confiture, mais

volontairement pas de chocolat », expliquait Elodie Provin, direc-trice du Centre. Stagiaire pour six semaines, Mélissa Ferron,élève en terminale de « service de proximité et de vie locale »qui ouvre à toutes les carrières sociales, a mené le projet encontactant de nombreux commerçants pour obtenir des parte-nariats. Elle regrettait n’avoir obtenu satisfaction qu’auprès d’unseul interlocuteur, la cueillette « Chapeau de paille » à Beaurainsqui a fourni des pommes.

On est venu en famille apprécier un petitdéjeuner comme on devrait en prendre chaquematin à la maison.

Chouquettes, meringues, gâteaux festifs, madeleines, ilsaiment bien ça à l’AQS, et la semaine du goût était plutôtsucrée ! « Mais on a adapté les recettes pour des desserts diété-tiques », précise Jean-Charles Waillez, l’un des animateurs.Et puis les participants aux différents ateliers, plusieurs parjour, ont, par exemple, aussi appris la technique du poissonen papillote… Il s’agissait en fait de montrer aux mamansque l’on peut faire de bonnes choses chez soi sans avoirrecours à un matériel de cuisine onéreux. Le produit et lapetite touche maison suffisent ! Et c’est facile !Cette semaine du goût du côté du centre social Arras-Suds’est terminée par un petit-déjeuner en famille qui a rassem-blé plus de trois cents personnes le 17 octobre au restaurantuniversitaire, rue des Voituriers. Une trentaine de bénévolesa assuré préparation et service. L’association Ben An Cirq’était présente pour initier les quatre-douze ans à l’acrobatieet la jonglerie et les parents se sont adonnés à des jeux desociété.

A l’AQS,on est plutôt bouche à sucre !

La brocante du comité des fêtesd’Arras-Ouest est toujours la der-nière de la saison, et c’est certai-nement l’une des raisons de sonsuccès.

« LES exposants sont des habitués quiviennent vendre ce qu’ils veulent éviter

d’avoir à stocker jusqu’à l’année prochaine.

Il y a donc des affaires à faire et nous avonsla cote. On a encore pris une vingtained’inscriptions le matin même », expliquaitMarie-Andrée Geeraert, la présidentedu comité des fêtes qui a organisé cemarché aux puces le 10 octobre avec unpetit groupe de bénévoles le long desrues Péguy et du 8 mai, des GrandesPrairies à Voltaire.

Cent soixante exposants étaient au ren-dez-vous et la foule a suivi les étals mal-gré un temps menaçant. Le comité desfêtes s’est réuni pour définir d’autresprojets : c’est ainsi que l’on envisage unpetit événement place Courbet pourNoël « ou peut-être même à l’occasion dela galette des rois, confie la présidente,personne n’y pense plus à cette fête-là ! ».

Mercredi 10 novembreKoto Violon et défilé

de kimonosProposé par le club Soroptimist d’Arras,

dans le cadre de l’exposition « L’Or du Japon »organisée par le musée d’Arras.

Musée des Beaux-Arts d’Arras,salle Bonaparte, 20 h. Tarif : 25 euros.

Vendredi 12 novembreConférence

Par Peter Barton, historien, producteur de film etauteur de plusieurs ouvrages sur la Première

Guerre mondiale. Au cours de son intervention,il présente son dernier ouvrage intitulé « Arras »consacré à la Bataille d’Arras du printemps 1917.

Conférence proposée par l’Office de Tourisme.Carrière Wellington, 18h30.

Du 12 au 26 novembreExposition

« A la rencontre de l’Asie »Japon, Chine, Vietnam, Cambodge, Thaïlande,

cette exposition est réalisée en partenariat avecdeux O.N.D (N.C.D.P et Craft Link ).

Bibliothèque de quartier Ronville. Entrée gratuite.


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La médiathèqueà l’heure du soleil levant Jusqu’au 21 novembre, le Musée proposeune exposition consacrée à la techniquede la laque japonaise utilisée pour déco-rer meubles et objets usuels. Après lethéâtre, la médiathèque s’associe à l’évé-nement en organisant sur une journéed’animation thématique différents ate-liers. Les enfants apprendront à confec-tionner un kimono à base de collage dedifférentes matières ou à réaliser deskokeshi, petites poupées en tissu qui seportent en broche ou en pendentif (de14 h à 17 h, à partir de 8 ans). Un atelierd’initiation à la calligraphie japonaise oùils apprendront à dessiner des idéo-grammes au pinceau et à l’encre leur estégalement destiné (à partir de 15 h,toutes les vingt minutes). Enfin lesadultes pourront découvrir le jeu de go,le plus ancien jeu de stratégie combinatoire où chaque pierre représente un soldatqu’il faut encercler (à partir de 14 h 30).

Samedinovembre 6

Les etnovembre11 15 Le retour

des fils d’Indra Des toiles murales brodées main serontcomme il y a deux ans exposées à la Mai-son Diocésaine. Deux cent soixante-cinqpetites mains indiennes composent cesœuvres et font ainsi vivre mille cinq centspersonnes. Les brodeuses ont retrouvédes techniques ancestrales. Elles illus-trent par leurs motifs toute l’histoire del’Inde. Différents thèmes sont abordés etl’exposition est aussi l’occasion de redé-couvrir Pondichéry où sont basés lesateliers et qui fut un comptoir françaisjusqu’en 1955.

Toile brodée par appliques Cavaliers (Départ) - Art Moghol, fresque XVIe siècle

Le Festival international duFilm, un événement européenDésormais reconnu, et subventionné, par l’Union Européenne, grâce à sa préoccu-pation de faire découvrir, et peut-être distribuer, des réalisations d’un cinémaémergent, le Festival International du Film d’Arras propose sa onzième éditionavec des avant-premières choisies pour séduire un large public et des inédits quipourront être les succès de demain. Des invités seront également à l’affiche, queles spectateurs pourront facilement rencontrer. Dans le cadre d’une rétrospectivede son œuvre, le réalisateur polonais Jerzy Skolimowski présentera une versionrestaurée de Deep End, son film culte. Anna Karina, la tête d’affiche de la nouvellevague, parlera de sa carrière. Olivier Assayas sera également à Arras pour la pro-jection intégrale de son film sur le terroriste Carlos. Pierre Schoendöerffer vien-dra, avec Jacques Perrin, présenter la version numérisée de « La 317e section ». Etbien d’autres invités passeront par le Cinémovida et le village du festival, agrandiGrand’Place : Manuel Poirier, le réalisateur de « Western », présidera le jury oùl’on retrouvera aussi Marie Rivière, l’égérie de Rohmer. Lever de rideau le 5novembre à 20 h au Casino avec l’avant-première du nouveau film de FrançoisOzon, en sa présence, et celle de l’imprévisible Fabrice Luchini !

Le programme complet du Festival est intégré à votre livraison de ce présent numérod’Arras-Actualités. Sinon : www.plan-sequence.asso.fr

Du aunovembre5 14


Retrouvez l’agenda complet sur www.ville-arras.fr/culture

Dimanche 14 novembreSalon international du chat

Organisé par l’association des Chats de France.Artois expo, de 10 h à 18 h 30. Tarif : 5,50 euros.

Dimanche 14 novembre« L’Ecole d’Arras »

Visite guidée par Beatrix Hodent.Musée des Beaux-Arts d’Arras, 15 h 30.

Entrée : 4,50 euros.

27 et 28 novembre Marché africain

avec les élèves de Robespierre Des jeunes du lycée Robespierre mènent depuisplusieurs année des échanges de solidarité avec

le Burkina Faso où ils se sont plusieurs foisrendus pour participer à la construction

d’écoles. Pour la quatrième fois, et dans le but definancer leurs actions, ils organisent un véritablemarché africain où l’on pourra acheter des pro-duits artisanaux directement arrivés de ce pays.

Hôtel de Ville, salle Robespierre, de 10 h à 18 h.

Du 19 au 21 novembre Salon Terroirs Vins et Saveurs

Salon gastronomique proposé par la Chambrede Commerce et d’Industrie d’Arras.

Artois Expo, de 11 h à 20 h. Le vendredi 3 euros,les samedi et dimanche, 4 euros.

Mardi 23 novembreSpectacle de danse

Danse classique, orientale et modern-jazz.Pour réaliser le projet humanitaire

en destination de l’Asie.Casino, 20 h 30. Entrée : 7 euros / adulte

et 4 euros / enfant (-10 enfants)

Les 25 et 26 novembre« Under Macbeth »

D‘après William Shakespear.Saison du Théâtre d’Arras.

Théâtre à l’italienne, jeudi à 20 het vendredi à 20 h 30. Tarif : 18 euros.

Du 26 novembre au 24 décembre Marché de Noël

Patinoire ouverte tous les jours jusqu’au 4 janvier(fermeture exceptionnel le 25 décembre), nom-

breuses animations pour les enfants : heure duconte, ateliers d’arts créatifs et de cuisine, usine

du Père Noël, Saint Nicolas (le 6/12 à 17 h 30) etPère Noël. Pour les adultes : ateliers culinaire avecJean-Pierre Dargent, démonstrations de recettes,rendez-vous jazz, exposition et travail d’artistes,

Grand’Place. Du lundi au vendredi : de 12 h à 19 h 30(sauf vendredi 24/12 de 10 h à 17 h), samedis : de

10 h à 21 h , dimanches : de 10 h à 19 h 30, samedi18 et dimanche 19/12 : nocturnes jusqu’à 22 h.

Opéra-Opérette en fête,un mini festival ! Opéra et opérette ont – c’est indéniable – leurpublic dans l’Arrageois et, l’an dernier, pour unepremière anthologie au Casino de morceauxchoisis du genre, on avait dû refuser quatrecents places ! Avec d’autant plus de regrets queles bénéfices du spectacle sont destinés àapporter quelques plaisirs à des enfants à qui lavie n’a pas réservé que du bonheur. C’est doncune initiative qui plaît et les deux Lions clubsarrageois – Arras Beffroi et Arras en Artois –ont décidé de la répéter. En proposant cette foisdeux représentations ! Et en prenant la précau-tion de varier le programme sur les deux joursafin que les fans absolus d’art lyrique puissent prendre un pass pour les deux specta-cles comme pour un mini festival ! Samedi 20 novembre• Première partie : Emma Pierce (soprano) et Edouard Dumetz (pianiste) pour desextraits de Puccini, Haendel, Gounod, Donizetti ; orchestre d’Harmonie et Canta-rella avec la soprano Emma Pierce pour des airs de Bellini et Verdi (Le Trouvère,Aïda).• Deuxième partie : Opérette en fête avec Nathalie Rosen, Mathilde Jacob(soprano) et Jean-Marie Truffier (baryton), avec leurs musiciens et les douze dan-seuses de « A tous temps dance ». Vingt-quatre morceaux au programme. Dimanche 21 novembre• Première partie : Florence Alayrac (mezzo) et Artavazd Sargsyan (ténor) avecl’Orchestre d’Harmonie pour des extraits de la Traviata de Verdi, de Don Giovannide Mozart, de La Périchole et La Belle Hélène d’Offenbach, de Carmen de Bizet, etle O Sole Mio d’Eduardo Di Capua. • Deuxième partie identique à celle de la veille.

Casino, samedi 20, 20 h ; dimanche 21, 16 hPrix des places : 12 euros ; 10 euros le pass deux représentations.

Une entrée gratuite pour le Salon des Saveurs sera remise avec chaque entrée achetée.Locations à l’Office de Tourisme, Flandres Artois Tourisme et à La Voix du Nord.

Les etnovembre20 21

Vendredinovembre 19Mundus imaginalis,

Carolyn Carlson au Musée Attachée depuis plusieurs années à la région, la grande chorégraphe américaineCarolyn Carlson a conçu une pièce appelée à être uniquement interprétée dansles musées et célébrant la rencontre de la peinture avec la danse. « Mundus imagi-nalis » est une création habitée par les arts visuels qui met en interaction lesœuvres d’un musée avec l’univers chorégraphique. C’est pourquoi les danseurs pas-sent deux jours entiers à construire un spectacle approprié au musée dans lequel ilsse trouvent. La chorégraphie, évolutive, est chaque fois unique. Les tableaux et lessculptures prennent vie et corps avec des références aux artistes qui ont montrédans leurs œuvres une influence de la fluidité gestuelle de la danse. Carolyn Carlsons’est toujours par ailleurs définie comme une artiste visuelle inspirée par les

œuvres plastiques et pictu-rales et par l’atmosphère deslieux et des énergies qu’ilsdégagent. Musée des Beaux-Arts, 20 h 30.

Tarifs : 8 euros place assise ; 4 euros place debout. Durée duspectacle : une heure. Les réser-vations sont ouvertes à l’accueil

du Musée.


Retrouvez l’agenda complet sur www.ville-arras.fr/culture

FootballCFA2

Arras FA – Lesquin USTerrain Brabant, 18 h.

Samedi 6 novembre

Basket-ballLigue Féminine

Arras-Pays d’Artois – Villeneuve d’AscqHalle des sports Richard Tételin, 16 h.

Dimanche 7 novembre

FootballDivision 2 Féminine

Arras Fa – Gravelines USTerrain Pierre Bolle, 15 h.

Dimanche 7 novembre

RugbyFédérale 2

Rugby club d’Arras – PUCStade Grimaldi, 15 h.

Dimanche 7 novembre

Water-PoloNationale 1

Racing Club d’Arras – Choisy-le-RoyPiscine Desbin, 20 h.

Samedi 13 novembre

Basket-ballLigue Féminine

Arras-Pays d’Artois – CalaisHalle des sports Richard Tételin, 20 h.

Samedi 20 novembre

Water-PoloNationale 1

Racing Club d’Arras – Noisy-le-SecPiscine Desbin, 20 h.

Samedi 27 novembre

FootballCFA2

Arras FA – Chambly FCTerrain Brabant, 18 h.

Samedi 27 novembre

RugbyFédérale 2

Rugby club d’Arras – OrsayStade Grimaldi, 15 h.

Dimanche 28 novembre

Agenda sportifwww.arras.fr/sport

Titouan Lamazou et les femmes du monde

Cité Nature propose du 19 novembre 2010 au 19 jan-vier 2011 une exposition de photos réalisées par lecélèbre navigateur Titouan Lamazou sur les condi-tions de vie des femmes à travers le monde. Cettecollection de portraits a été présentée, à Paris, auMusée de l’Homme, et à Sao Paulo, au Brésil. TitouanLamazou sera souvent Arrageois pendant la durée deson exposition : bien sûr présent au vernissage, levendredi 19 novembre à 18 h, il reviendra le vendredi3 décembre, à l’invitation cette fois du Lions ClubArras en Artois, pour une conférence dont les béné-fices seront intégralement reversés à l’associationLysistrata, une association de solidarité internationalede femmes engagées dans leur libération. La confé-rence débutera par la projection d’un film de cin-quante-deux minutes où le navigateur photographeexplique comment il a réalisé ses trois cents portraits,puis, dans un débat, il apportera son témoignage surles réalités qu’il a pu constater dans ses voyages surles conditions de vie de la femme dans différentessociétés humaines.

Vendredi 3 décembre, 18 h 30 : visite de l’exposition ;19 h 30, cocktail-collation ;

20 h 15 : projection du film, conférence-débat. Entrée : 18 euros. Réservations à Cité Nature ou à l’Office de Tourisme.

Le vendredidécembre 3

Projectionsde vidéos d’artistes Le Théâtre propose une soi-rée spéciale de diffusion devidéos d’artistes plasticiensextraites du catalogue de lamaison de distribution d’artvidéo « Heure exquise » quiest une vidéothèque regrou-pant plus de trois milletitres. Trois œuvres ont étéchoisies autour d’un thème,celui de la présence ducorps dans l’œuvre artis-tique. Simple case of vision :L’auteur se pose la questionsur ce qu’est une vision nor-male et sur la façon dont nous percevons le monde. Sweet love : Des enfants seuls derrière une vitre, provocateurs, arrogants, joueurs.On rentre dans leur univers imaginaire et leurs histoires à se faire peur. La vitre lesdéforme et crée un masque qui permet de rentrer dans leur monde. Le rythme estsaccadé et rapide comme l’énergie des enfants. Se faire des amis : Une série de séquences vidéos réalisées avec des animaux. Unprojet issu d’un questionnement sur le rapport humain-animal à travers diversessituations de rencontres, de contacts ou de cohabitation. Le désir d’une harmonieentre tous les êtres vivants, mais aussi l’imprévisible animalité de l’homme.

Théâtre, salle André Reybaz, 20 h (durée totale 50 mn). Entrée : 6 euros

Mardinovembre 23


• CINEMOVIDA……08 92 68 75 14(0,34 centimes la minute)

Grand’Place - http : //www.cinemovida.com

Mercredi3 novembreFair Game (drameavec Naomi Watts, SeanPenn, Khaled Nabawy).

Mercredi 10 novembrePotiche (comédie avecCatherine Deneuve,Gérard Depardieu,Fabrice Luchini).

Mercredi 17 novembreRed (thriller, comédieavec Bruce Willis, Mor-gan Freeman, HelenMirren).

Mercredi 24 novembreHarry Potter et lesreliques de la mort -partie 1 (fantastiqueavec Emma Watson,Daniel Radcliffe, HelenaBonham Carter).

Mercredi 1er décembreRaiponce (animation).

Mercredi 8 décembreLe monde de Narnia :l’Odyssée du Passeurd’aurore (aventure -fantastique avec Geor-gie Henley, SkandarKeynes, Ben Barnes).

Mercredi 15 décembreSkyline (science fictionavec Eric Balfour, ScottieThompson).

Mercredi 22 décembreMon beau-père etnous (comédie avecRobert De Niro, BenStiller).

Mercredi 22 décembreLes Emotifs anonymes(comédie avec IsabelleCarré, Benoît Pœl-voorde, Lorella Cra-votta).

Mercredi5 janvierLa Guerre des pères(comédie avec ForestWhitaker, America Fer-rera, Carlos Mencia).

CINEMA www.arras.fr/culture

Retrouvez dès le mardi matin les programmes du Cinémovida sur www.ville-arras.fr

• PLAN-SÉQUENCE JEUNE PUBLIC……03 21 15 54 39Tarif unique : 3,80 euros

Grand’Place - http : //www.arras.fr/jeunesse

Capelito (Huit courts-métragesd'animation).A partir de 2/3 ans. Séances à 14 h

les 17, 20 et 21 novembre.

Trois amis mènent l’enquête (Film d’animation).A partir de 4 ans. Séances à 14 h,

les 24, 27 et 28 novembre.

Jasper pingouin explorateur Film d’animation.A partir de 4 ans. Séances à 14 h,

les 1er , 4 et 5 décembre.

La flèche bleue (Film d’animation).A partir de 4 ans. Séances à 14 h, les 8, 11et 12 décembre.

Allez raconte ! (Film d’animation).A partir de 5/6 ans. Séances à 14 h, les 15,18 et 19 décembre.

Le cycle « Littérature et Cinéma » estproposé par le service culturel de l’Uni-versité d’Artois, Plan-Séquence et Ciné-movida à Arras. Il vous propose dedécouvrir de grands classiques de la lit-térature anglo-saxonne à travers leursmeilleures adaptations cinématogra-phiques. Le verbe et l’image sont iciassociés pour le plus grand plaisir duspectateur. Chaque film est présenté parGuillaume Winter, enseignant à l’UFR deLangues d’Arras.

Du silence et des ombresde Robert Mulligan Mardi 23 novembre à 20 h.

Oliver Twistde Roman Polanski Mardi 14 décembre à 20 h.

Littérature et Cinéma

« Ciné-concert »Accompagnement musical par le JeuneOrchestre Symphonique d’Arras et l’En-semble instrumental d’Arras dirigés parFabrice Bihan Pierre et le loup le mardi 10 novembre, à 14 h 30.

15SAMU

18POMPIERS

17POLICE

0 825 81 28 22CENTRE ANTIPOISON

03 21 71 33 33MÉDECIN DE GARDE

06 07 10 90 82SERVICE SÉCURITÉ CUA

URGENCESURGENCESANIMAUX

www.arras.fr/vie-municipale/bloc-notes

• DOCTEURS VÉTÉRINAIRES

Mme Dupont 10 rue Abel Bergaigne……03 21 51 68 68M. Dupont-Minne 78 avenue Lobbedez……03 21 71 19 64M. Fabri-Simonis 78 avenue W. Churchill……03 21 71 16 40M. Lemal-MM Rasir-Vandewyncke10 boulevard de la Liberté……03 21 71 08 21M. Coronas 25 cours de Verdun……03 21 71 33 48Mme Charlet 133 avenue John Kennedy……03 21 71 02 15

• CHENIL ……03 21 55 46 10avenue Jules CatoireDu lundi au samedi de 13 h 30 à 18 h.• SPA ……03 21 60 09 74rue Laennet - ZI Est - Tilloy-les-Mofflaines

AVIS AUX LECTEURSLes pages blocs notes ne paraîtront plus qu’une fois tous les deux mois.Retrouver toutes ces informations sur le site de la ville

www.arras.frB

loc

No

tes

Novembre -

Décembre 2010

Jours d’hiver (Film d’animation).A partir de 7/8 ans. Séances à 14 h, les 22,25 et 26 décembre.

Les Aristochats (Film d’animation).A partir de 2/3 ans. Séances à 14 h, les 29,déc. 1er et 2 janvier.


Novembre - Décembre 2010 I Bloc notes

Vendredi : 10 h - 12 h / 14 h - 20 hSamedi : 10 h - 12 h / 14 h - 17 h 30

• MÉDIATHÈQUE RONVILLE

Centre Torchy - rue du Docteur Baude……03 21 07 18 39Mardi : 14 h 30 - 17 h 45Mercredi : 10 h - 12 h / 14 h 30 - 18 h 15Vendredi : 14 h 30 - 18 h 15Samedi : 14 h - 12 h 15 et 14 h à 17 h

• CITÉ NATURE

……03 21 21 59 5925 boulevard SchumanOuvert du mardi au vendredi de 9 h à 17 h. Lesamedi et dimanche de 14 h à 18 h. Fermé les lun-dis et jours fériés.

• OFFICE CULTUREL

……03 21 15 09 19……03 21 15 09 20 (fax)61 Grand’PlaceE-mail : [email protected]

• OFFICE DE TOURISME

……03 21 51 26 95……03 21 71 07 34 (fax)Hôtel de Ville place des HérosE-mail : [email protected] internet : http://www.ot-arras.frRéservations groupes……03 21 48 39 63 ……03 21 51 76 49 (fax)Ouvert le lundi de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h. Dumardi au samedi de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h. Ledimanche de 10 h à 12 h 30 et de 14 h 30 à 18 h 30.

• THEÂTRE D’ARRAS

……03 21 71 66 16 (Billetterie)……03 21 71 76 30 (Administration)7, Place du ThéâtreE-mail : [email protected]

• MUSÉE DES BEAUX-ARTS

……03 21 71 26 4322 rue Paul DoumerOuvert tous les jours de 9 h 30 à 12 h et de 14 hà 17 h 30. Fermé le mardi. Fermé les 11 novem-bre et 25 décembre. Tarif : 4 € tarif plein, 2 € tarifréduit.

• CONSERVATOIRE

……03 21 71 50 446 rue BeffaraE-mail : [email protected]étariat ouvert lundi, mardi et jeudi de 10 h 30 à12 h et de 14 h à 18 h 30 ; mercredi de 9 h à 18 h 30et vendredi de 14 h à 18 h 30. Samedi de 9 h à 13 h.

ENVIRONNEMENTwww.arras.fr/environnement

• SOS VOIRIE - ECLAIRAGE PUBLIC

……03 21 50 50 23E-mail : [email protected]

• SERVICE DÉGRAFFITAGE

……03 21 50 50 65E-mail : [email protected]

• POINT INFO DECHETS

Pour toutes questions relatives auxdéchets, contactez nous au 03 21 21 88 20ou à [email protected] Pour les Déchets d’Activités de Soins à Risques Infectieux (DASRI), contactez le 03 21 21 88 20.

• DÉCHETTERIES

- zone des trois Fontaines, avenue de l’Ermitage à Saint-Laurent-Blangy

- avenue de l’Hippodrome à Dainville- rue des Planquettes à AchicourtOuvertes du lundi au samedi de 9 h à 17 h 30.

Dimanche de 9 h à 12 h. Fermeture les jours fériés.

- Centre social Alfred Torchyrue du Docteur Baude, cité GriffithsLe mardi de 9 h à 12 h, le mercredi de 8 h à 12 het le jeudi de 9 h à 12 h et de 17 h à 18 h.- Centre social Léon Blumavenue de l’HippodromeDu lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 13 h 40 à 18 h.

- Vente par correspondance de cartes de restaurationPour cela, il suffit d’adresser votre demande enMairie d’Arras - Service Éducation - BP 70 913 -62022 Arras Cedex, en joignant un chèque ban-caire ou postal libellé au nom du Trésor Publicet en indiquant nom, prénom de l’enfant, école fréquentée, nom, prénom, adresse des parentset nombre de cartes désirées.

• SERVICE JEUNESSE……03 21 50 51 56• AQS……03 21 07 71 31• AGAEM……03 21 55 96 92• CENTRE SOCIAL ARRAS OUEST

……03 21 59 41 37• CENTRE SOCIAL NORD EST CENTRE

……03 21 58 15 00Maison Amoureux, 3 rue du Crinchon

• La BASE DE LOISIRS des Grandes Prairies accueille les enfants et les jeunes de 2 ans 1/2 à18 ans pendant les vacances scolaires, et de 2 ans1/2 à 13 ans les mercredis en période scolaire.

……03 21 51 52 05• MAISON DES JEUNES DU COCLIPASaccueille les jeunes à partir de 7 ans les mercredis, samedis, dimanches et pendant les vacances scolaires

…03 21 55 96 69 ou 06 68 86 87 63

ÉDUCATION-JEUNESSEwww.arras.fr/education

www.arras.fr/jeunesse

• INSCRIPTIONS RESTAURATION SCOLAIRE

Pour toute délivrance d’une carte personnalisée,

se munir de la taxe d’habitation 2009- Mairie d’Arras Service Éducation - Rez-de-chausséeDu lundi au mercredi de 8 h à 12h et de 13 h à17 h, le vendredi de 8 h à 12 h et de 13 h à 16 h.Fermeture le jeudi et le dernier mercredi du mois.

CULTUREwww.arras.fr/culture

• MÉDIATHÈQUE PALAIS SAINT-VAAST

20 rue Paul Doumer……03 21 71 62 91- Action culturelle……03 21 71 39 04- Histoire locale fonds ancien……03 21 71 39 05Section adultes et discothèqueMardi : 10 h - 17 h 45Mercredi : 10 h - 12 h / 14 h - 18 h 15Jeudi : 13 h 30 - 17 hVendredi : 10 h - 12 h* / 14 h - 18 h 15Samedi : 10 h - 12 h 15 / 14 h - 17 h*discothèque fermée le vendredi matin

Section jeunesseMardi : 14 h - 17 h 45Mercredi : 10 h - 12 h / 14 h - 18 h 15Jeudi : 13 h 30 - 17 h Vendredi : 14 h - 18 h 15Samedi : 10 h - 12 h 15 / 14 h - 17 h

Bibliothèque de documentation localeMercredi : 10 h - 12 h / 14 h-18 h 15Vendredi : 14 h - 18 h 15Samedi : 14 h - 17 h

• MÉDIATHÈQUE VERLAINE

Pôle Culturel - rue Charles Péguy……03 21 23 43 03Mardi : 14 h - 18 hMercredi : 10 h - 12 h / 14 h - 20 hJeudi : 13 h 30 - 17 h

CIRCULER À ARRASwww.arras.fr/circulation

• POINT INFO STATIONNEMENT

……03 21 71 94 63Hôtel de Ville, place des HérosDu mardi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h. Le samedi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h.

• PARKING CENTRE EUROPÉEN

……03 21 71 57 38Le samedi, une heure de stationnement gratuit.Ouvert du lundi au jeudi de 6 h à 0 h 15 ; le vendredi et le samedi de 6 h à 1 h, le dimanche etjours fériés de 6 h 45 à 0 h 15.

• PARKING GRAND PLACE SOUTERRAIN

……03 21 58 26 10Le samedi, une heure de stationnement gratuit.Ouvert du lundi au jeudi de 7 h à 20 h ; le ven -dredi et le samedi de 7 h à 21 h, fermeture le dimanche et jours fériés. Tarifs : 1 heure : 1,10 € -Forfait journalier 24 h : 10 €.

• PARKING PALAIS SAINT VAASTStationnement payant tous les jours de 9 h à 12 het de 14 h à 18 h, sauf dimanche et jours fériés. 1 heure : 1,30 €. Abonnement mensuel : 40 €

• STATIONNEMENT JOURNALIER

Zone jaune (2 h maximum) 10 minutes : 0,20 €

- 2 heures : 2,40 €

Zone verte (2 h maximum) 30 minutes : 0,50 €

- 2 heures : 1,80 €

Arras Ville Propre0 800 86 92 49


Bloc notes I Novembre - Décembre 2010

SOCIALwww.arras.fr/social

• CENTRE COMMUNAL D’ACTION SOCIALEToute personne peut se présenter dans l’annexede son quartier pour toutes demandes d’aide sociale légale (RSA, APA, placement en maison de retraite…) et facultative (réduction cartes de cantine, cartes de bus, réductions pour les centres de loisirs…)Mairie d’Arras place Guy Mollet……03 21 50 50 50Les annexes :- Quartier Sud……03 21 55 27 63Maison de services Jean Jaurès, avenue Jean JaurèsLes mardis et jeudis de 8 h 15 à 11 h 45 et de 13 h 30à 16 h 45 et le vendredi de 8 h 15 à 11 h 45.- Quartier Ouest……03 21 59 55 29Maison de Services Marie-Thérèse Lenoir Rue Charles PéguyDu lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 h et de13 h 30 à 16 h 45 (accueil public).

• PORTAGE DE REPAS À DOMICILE

Pour les personnes de plus de 60 ans : 7,50 €En s’inscrivant au 03 21 50 50 12 • ENTRAIDE ET RESPONSABILITÉ

1/2 rue Hoffbaüer, de 16 h à 17 h.Le 1er mercredi du mois pour les questionssociales ; le 2e mercredi du mois pour les pro-blèmes relatifs aux aides à la santé et à la préven-tion; le 3e mercredi du mois pour les problèmesde logement et le 4e mercredi du mois, un «écri-vain public» vous aide à rédiger vos courriers auxadministrations, notamment en matière juridique.

• Service de Médiation FamilialeUDAF62……03 21 71 21 5516 boulevard Carnot 62000 [email protected]

• Maison de l’Emploi et de la Formationdu Pays d’Artois125 rue Méaulens ……03 21 58 15 50Du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 h 30 et de13 h 30 à 17 h 30 (16 h 30 le vendredi).

• HÔTEL DE POLICE……1718 boulevard de la Liberté B.P. 908Ouvert 7 jours / 7 et 24 h / 24

• POLICE MUNICIPALE…03 21 23 70 70Hôtel de Ville, place des Héros

• SERVICE DES OBJETS TROUVÉS

……03 21 50 69 36Place Guy MolletDu lundi au jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h,17 h le vendredi.

• CRÈCHE COLLECTIVE MAURICE LEROY

Rue des Bleuets……03 21 23 46 45

• CRÈCHE FAMILIALE CENTRE LÉON BLUM

Av de l’Hippodrome……03 21 71 44 08

• RELAIS ASSISTANTES MATERNELLES

Foyer Soleil, 4 rue du Rivage……03 21 50 27 92Mardi de 13 h à 18 h. Jeudi de 9 h à 14 h.

Sur rendez-vous les autres jours.

• PETIT SQUARE

Lieu d’accueil d’enfants de 0 à 4 ans accompagnés

d’un parent ou d’un référent, anonyme, gratuit

dispose d’un lieu d’accueil :

- Tour CézanneLundi, mardi et jeudi de 14 h 30 à 17 h 30.

• ATELIER PETITE ENFANCE

……03 21 23 64 79Activité gratuite

- Foyer Soleil, salle de gymnastique1er étage

Lundi de 9 h 30 à 11 h.

- Halte-garderie Alfred TorchyMardi de 9 h 30 à 11 h.

- Halte-garderie Léon BlumLundi de 9 h 30 à 11 h.

• COORDINATION PETITE ENFANCE

……03 21 50 50 50 poste 6944

• CONSULTATIONS D’ENFANTSPAR LE SERVICE DE LA PROTECTIONMATERNELLE ET INFANTILE

Lundi, de 8 h 30 à 11 h, à l’Espace Petite Enfance,Maison de Services M.T. Lenoir ; Mardi, de 13 h 30à 16 h, à la Résidence Soleil, Grande Rue duRivage ; Mercredi, les 1er et 3e du mois, de 8 h 30à 11 h, à l’école Pierre Baudel, rue du Vercors ;Vendredi, de 8 h 30 à 11 h, au centre social LéonBlum, avenue de l’Hippodrome et les 1er et 3e dumois, de 13 h 30 à 15 h au centre social Jean Jau-rès, avenue Jean Jaurès.

MARCHÉSwww.arras.fr/vie-municipale

• PLACE DES HÉROS

Mercredi matin.

• PLACE MARC LANVIN

Jeudi matin• PLACE DES HÉROS - GRAND’PLACE

PLACE DE LA VACQUERIESamedi matin• PLACE VERLAINE

Dimanche matin

LA MAIRIEÀ VOTRE SERVICE

www.arras.fr/vie-municipale

• PLACE GUY MOLLET …03 21 50 50 50http : //www.arras.fr E-mail : [email protected] lundi au vendredi, de 8 h à 12 h et de 13 h à 17 h (fermeture à 16 h le vendredi).Le service de l’État Civil vous accueilledu lundi au vendredi de 8 h à 12 h et de 13 h à 17 h (fermeture à 16 h le vendredi). Le samedi de 9 h à 12 h.Les demandes de passeport biométrique sontenregistrées à la Maison de services M.T. Lenoir(rue Charles-Péguy) du lundi au vendredi de13 h 30 à 17 h 30, le mardi jusqu’à 19 h.

• CIMETIÈRE D’ARRAS

Ouvert du 1er octobre au 31 mars de 8 h à 18 h.Du 1er avril au 30 septembre de 7 h 30 à 19 h.

PETITE ENFANCEwww.arras.fr/social

Les haltes-garderies ont pour mission d’accueillirles enfants âgés de 1 mois à 4 ans pour une duréene pouvant excéder 20 heures par semaine. Vingtenfants peuvent être accueillis en même tempsdans chaque halte-garderie.

• HALTE-GARDERIE LÉON BLUM

Centre social Léon Blum, 39 avenue de l’Hippodrome ……03 21 71 60 96Lundi, mercredi de 13 h 45 à 18 h 15. Mardi, jeudi

et vendredi de 7 h 45 à 18 h 15.

• HALTE-GARDERIE MÉAULENS

Près du Foyer Soleil……03 21 71 07 75Du lundi au vendredi de 7 h 45 à 18 h 15. .

• HALTE-GARDERIE ALFRED TORCHY

Centre social Alfred Torchy, 29 bis rue duDocteur Baude……03 21 23 64 79Lundi, mardi de 13 h 45 à 18 h 15. Mercredi, jeudi

et vendredi de 7 h 45 à 18 h 15.

• HALTE-GARDERIE VERLAINE

9 rue Racine……03 21 23 36 98Du lundi au vendredi de 7 h 45 à 12 h 15

et de 13 h 45 à 18 h 15.

• DÉCHETTERIE MOBILE

……03 21 21 88 20ou [email protected] Square Cousteau, rue du Temple,

les vendredi 19 novembre et 17 décembrede 12 h 30 à 17 h 30.

- Pierre Bolle, place de Bourgogne,les mardi 30 novembre et mercredi 29 décem-bre de 12 h 30 à 17 h 30.

• RECYCLERIE

Le Cercle des Objets……03 21 71 80 13Rue Henri Becquerelle - Zone des TroisFontaines - Saint-Laurent-BlangyLe mercredi de 13 h 30 à 16 h 30 et le samedi de 9 h à 12 h.

POLICEwww.arras.fr/vie-municipale

• HÔTEL DE POLICE……1718 boulevard de la Liberté B.P. 908Ouvert 7 jours / 7 et 24 h / 24

SANTÉwww.arras.fr/vie-municipale/bloc-notes

• POINT ECOUTE HENRI DARRAS……03 21 23 00 2140 boulevard de Strasbourg


Novembre - Décembre 2010 I Bloc notes

SPORTwww.arras.fr/sport

• TENNIS

……03 21 23 28 68Base de Loisirs des Grandes Prairies

• POINT D’ACCÈS AU DROIT (PAD)……03 21 73 85 62Place des Écrins à Saint-Nicolas-lez-Arras(ligne bus n° 3) [email protected] pourrez être accueilli, écouté, informé etorienté gratuitement vers des interlocuteurs privilégiés que sont les avocats, notaires, huissiers,conciliateurs de justice, l’Aide aux Victimes (AVIJ 62) …

- MÉDIATEUR DE LA RÉPUBLIQUE• Alain Ramecourt- PAD sur RDV au 03 21 73 85 62de 9 h à 12 h et de 14 h à 16 h les lundis 8 et 22novembre, 6 et 20 décembre et 3 et 17 janvier. -Hôtel de Ville sur RDV au 03 21 50 50 50 de 9 hà 12 h et de 14 h à 16 h les lundi 15 et 29 novem-bre, 13 et 27 décembre et 10 janvier.Et aussi sur [email protected]• Jean Carnel- Préfecture du Pas-de-Calais, rue FerdinandBuisson sur RDV au 03 21 41 27 35 et06 12 43 61 43 de 9 h 30 à 12 h et de 14 h à16 h 30 le mardi 9 et lundi 22 novembre, 6 et 20décembre et 17 janvier. - Maison de Service M.T.LENOIR, quartier Saint-Pol sur RDV au 03 21 5955 29 de 9 h 30 à 12 h les lundis 15 et 29 novem-bre, 13 décembre et 10 janvier.- MÉDIATIONS FAMILIALESUDAF (Union Départementale desAssociations Familiales)Tous les mardis matin de 8 h à 12 h (informa-

tions) et le dernier vendredi du mois de 8 h à12 h et de 14 h à 16 h (consultations) avec prisede RDV au PAD au 03 21 73 85 62.- CIDFF D’ARRASCentre d’information sur les Droits desFemmes et des Familles) Permancencestous les mardis et jeudis de 13 h 30 à 16 h 30 et les 2e et 4e vendredis du mois de 13 h 30 à16 h 30 avec prise de rendez-vous au PAD.- AIDE AUX VICTIMES ET INFORMATION

JUDICIAIRE (A.V.I.J.62)……03 21 71 62 00http : //www.avij-62.fr [email protected] gratuit du lundi au vendredi au PAD de la Com-munauté Urbaine d’Arras à Saint-Nicolas-lez-Arras.PLATE FORME TÉLÉPHONIQUEDEPARTEMENTALE D’ACCÈS AU DROIT……0810 205 004 (prix d’un appeldepuis un poste fixe)ou 03 21 15 70 20 (solution plus avanta-geuse si vous appelez d’un téléphone porta-ble ou si vous avez un abonnement avecappel restreint)Du lundi au vendredi de 8 h à 12 h et de 14 h à 18 h.- CHAMBRE DÉPARTEMENTALEDES HUISSIERS…… 03 21 71 32 01 Permanence au 1 rue du Collège à Arras, le mardi de 10 h à 12 h et de 15 h à 17 h.- CHAMBRE DÉPARTEMENTALE

DES NOTAIRESPermanence téléphonique le mardi de 14 h à

18 h - N° vert 0800 33 56 87 (appel gratuit). Permanences les jeudi 18 novembre et 16 décembrede 14 h à 17 h au PAD à Saint-Nicolas-les-Arras.- ORDRE DES AVOCATSDU BARREAU D’ARRASPermanences gratuites des avocats au PADde la Communauté urbaine d’Arrasà Saint-Nicolas-lez-Arras les lundi 8 et 22 novembreet les 6 et 20 décembre de 9 h à 12 h.Le nombre de consultations étant limité à 15, les numéros d’ordre sont à retirer à partir de 8 h 30.- CONCILIATEUR DE JUSTICEPAD de la Communauté Urbaine d’Arras à Saint-Nicolas-lez-Arras•Michel Grenier, tous les mercredis à partir de17 h, sur rendez-vous.•Pierre Vallin sur rendez-vous.•Gérard Bouchend’Homme sur rendez-vous.• Virginie Hubau sur rendez-vous.Hôtel de Ville place des HérosDe 14 h à 16 h. • Pierre Vallin, mercredi 17 novembre et 15 décembre.• Gérard Bouchend’Homme, mercredi 1er décembre.

Sainte-Catherine local des permanences,pré-fabriqué salle des fêtes. Dès 14 h. • Se rapprocher de la mairie.- PIG HABITAT INDIGNE ET PRÉCARITÉÉNERGÉTIQUE• Permanences à la CUA les 9 et 23 novembreet 14 décembre ; en mairie porte 128 les 16novembre ; 7 et 21 décembre (14 h - 17 h 30).

• MÉDECIN DE GARDE

……03 21 71 33 33En cas d’absence de votre médecin traitant (lesoir, le week-end et les jours fériés, contactez lecentre de réception et de régularisation desappels libéraux qui vous indiquera le médecin degarde de votre secteur géographique.

• PHARMACIE DE GARDE

www.servigardes.frCe service sera complété par un dispositif d’appeltéléphonique au 0825 74 20 30.

• CENTRE HOSPITALIER D’ARRAS……03 21 21 10 10boulevard Besnier

• CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET

GRATUIT ……03 21 21 14 24situé au niveau des Consultations Ext. duCHA - Boulevard Besnier - Arras• Dépistage anonyme et gratuit (VIH-Hépatites-Syphilis…)• Réponse aux demandes d’informations• Conseils en matière de préventionMardi avec RDV de 16 h 30 à 18 h 30; Jeudi avecRDV de 13 h à 15 h et vendredi sans et avec RDVde 13 h 30 à 17 h 30.

• CENTRE DE SOINS SPÉCIALISÉ ENTOXICOMANIE……03 21 21 10 51CHA - Rue Auguste Dumand - Espace L. Weiss

• PAS-DE-CALAIS ALZHEIMER

Centre Hospitalier Boulevard Besnier Arras……03 21 71 35 28Permanence téléphonique : tous les joursau 03 21 71 35 28 (répondeur)

Permanence accueil : 1er et 3e samedi du mois de 9 h 30 à12 h, maison des sociétés, rue Aristide Briand.

• PRÉVENTION ALCOOLOGIE……03 21 21 19 96Rue Auguste Dumand. Espace Louis Weiss.

• RÉTINA FRANCEPermanences les 16 novembre et 24 décem-bre à la maison des sociétés, rue AristideBriand, de 14 h 30 à 16 h 30. Contact :Nadine Gingembre au 06 76 49 73 03Informations pratiques et juridiques afin d’aiderles personnes atteintes de déficience visuelle àmieux vivre leur handicap.

• CENTRE DE PLANIFICATION

ET D’ÉDUCATION FAMILIALE

……03 21 24 40 30- 17, boulevard de StrasbourgLundi : 13 h - 18 h - Mardi : 13 h - 18 hMercredi : 9 h -18 h - Jeudi : 13 h - 18 h Vendredi : 13 h - 18 h. (Fermé pendant lesvacances scolaires, se rapprocher du CHA).

……03 21 21 17 60- boulevard Besnier, au CHA……03 21 21 17 60Du lundi au vendredi de 8 h 30 - 18 h.

• EPILEPSIE-FRANCEPermanence le 2e mardi de chaque mois, de14 h à 17 h 30, à la Maison des Sociétés.

Du lundi au samedi de 9 h à 21 h. Le samedi de 9 h à 20 h.Le dimanche de 9 h à 13 h et de 15 h à 19 h.• CENTRE MÉDICO-SPORTIF

……03 21 23 35 862 boulevard du Général de Gaulle• PISCINE GEORGES DAULLÉ

……03 21 07 16 674 rue Rouault.Période scolaire• Lundi : 12 h - 19 h 45• Mardi : 17 h 30 - 19 h• Mercredi : 9 h 30 - 11 h 45 / 14 h 15 - 16 h 45• Jeudi : 17 h 30 - 20 h• Vendredi : 12 h 14 h / 17 h 19 h 45• Le samedi et le dimanche : fermeture* Sortie obligatoire des bassins 15 mn avant l’heure

de fermeture * Port du bonnet obligatoireAquagym• Lundi (petit bain) de 18 h 15 à 19 hVacances de Noël• Fermée les samedi et dimanche. Ouverte tous lesjours de 8 h 30 à 11 h 45 et de 14 h à 18 h 30.Fermée les vendredi 24 et 31 décembre.

• PISCINE ELIE DESBIN …03 21 58 00 33Rue Bocquet FlochelPériode scolaire• Lundi : fermeture hebdomadaire• Mardi : 11 h 45 - 14 h / 16 h 30 - 19 h• Mercredi : 9 h 30 - 11 h 45 / 15 h 30 - 18 h• Jeudi : 11 h 45 - 14 h / 16 h 30 - 19 h 30• Vendredi : 16 h 30 - 20 h• Samedi : 8 h 30 - 11 h 45 et 15 h 30 - 18 h• Dimanche : 9 h 30 - 12 h 30* Sortie obligatoire des bassins 15 mn avant l’heure

de fermeture. * Port du bonnet obligatoireAquagym (reprise le 21 septembre)• Mardi (petit bain) de 17 h 45 à 18 h 30

Vacances de Noël• Samedi 18 : de 9 h 30 à 12 h et de 14 h 30 à 18 h• Dimanche 19 : de 9 h 30 à 12 hFermée pour organisation du meeting Landron du 20 décem-bre au 2 janvier inclus. Reprise le mardi 4 janvier 2011.


Tribune I Novembre 2010

La Majorité Municipale Le groupe « ARRAS en Mieux »

Les Verts / L’Echappée Belle Le Front National

Ne nous é-gare-ons pas.....!

On entend parler de la possibilité de créer une « gare européenne » dans larégion, et Arras est candidate pour l'accueillir. Pourquoi pas ? Renforcer lesgares existantes en ville plutôt que d'en ouvrir au milieu des champs, c'estune option que nous soutenons. Mais attention à ne pas inverser les priori-tés.D'abord, une gare européenne pour quoi faire ? A quoi serait-elle connec-tée ? On entend qu'il faut désengorger Lille, certes, mais quel intérêt lesThalys auront-ils à s'arrêter à Arras ? L'enjeu pour notre ville est déjà deconforter les liaisons à grande vitesse vers Paris.Développer la gare d'Arras nécessite avant tout d'améliorer les liaisonsferroviaires entre Arras et la région : vers Lille via Douai, vers Lens etBéthune, vers Cambrai, vers le Ternois... Aujourd'hui, le train régional ren-contre un vrai succès, mais pour qu'il soit une alternative à la voiture, desefforts sont encore à faire : doubler certaines lignes, augmenter la fré-quence, proposer à la fois des trajets directs entre Arras et les villes impor-tantes, et des relations de cabotage desservant toutes les gares. Dès que letrain est plus intéressant que la route, c'est gagnant pour les habitants del'arrageois et de la région, et c'est gagnant pour le climat.Développer la gare d'Arras, c'est permettre d'y accéder par diffé-rents modes de transports alternatifs à la voiture individuelle.L'avenir est dans l'intermodalité : pouvoir passer d'un mode de transport àun autre pour se déplacer plus facilement. Au niveau de la Communautéurbaine, il s'agit de mieux desservir notre territoire : une liaison en site pro-pre type tramway vers l'ouest en passant par la citadelle et l'hôpital, étudierla réutilisation de la halte ferroviaire d'Achicourt pour relier la gare au sud,ouvrir des parkings vélos des 2 côtés de la gare...Les projets d'ampleur, ou rêves de grandeur, ne doivent pas nous faire per-dre de vue que le développement durable passe par la réponse auxbesoins quotidiens des habitants, et que notre collectivité doitinvestir pour leur permettre de se déplacer mieux et autrement.

Laure OLIVIER / Alain [email protected]

Un projet ferroviaire pour faire d’Arras une capitale européenne

Pourquoi Arras ne deviendrait-elle pas la grande gare TGV régionale eteuropéenne pour desservir dans deux ans le Louvre-Lens ? Nous avons lesterrains, neuf hectares idéalement situés à côté des voies existantes et queRéseau Ferré de France pourrait nous concéder.Et nous avons la volonté. Il existe surtout une belle opportunité que nousne voulons pas laisser passer. En 2012 ouvrira le Louvre-Lens et Arras pour-rait ainsi devenir la plate-forme régionale des TGV transfrontaliers, une véri-table gare européenne. Grâce aux infrastructures existantes, cetteréalisation ne demanderait qu’un investissement modeste.Arrivés à Arras, les voyageurs venus de Londres, de Bruxelles ou d’ailleursvisiter cette antenne régionale qui mettra chez nous le grand musée françaisà portée des pays européens qui sont nos proches voisins, pourraient êtreacheminés vers Lens par un tram-train. Il serait aussi plus facile pour les visi-teurs parisiens du Louvre-Lens d’arriver à Arras plutôt que de faire ledétour par Lille qui les obligera à rebrousser chemin.De nombreux avantages apparaissent donc en faveur de ce projet qui don-nerait à notre agglomération une nouvelle dimension régionale, pournotamment rivaliser sur le terrain économique avec la métropole lilloise. Ilcorrespond bien à la volonté qui a toujours été la nôtre de développer lacapitale de l’Artois et c’est pourquoi nous venons d’entamer toutes lesdémarches pour nous positionner sur ce terrain.Nous appelons tous les Arrageois eux aussi soucieux de voir leur ville pren-dre de l’essor à nous soutenir dans ce dossier. Nous savons bien que c’esten prenant la première place dans l’offre des communications que notreville en arrivera à occuper aussi une place de choix au carrefour de l’Europedans tous les autres domaines, de l’expansion industrielle et économique àl’influence culturelle et politique.

L’aménagement ailleurs qu’en centre-ville

En réalisant un nouveau collège Diderot, avenue de l’Hippodrome, leConseil Général du Pas-de-Calais a libéré un espace stratégique et idéalpour l’aménagement du secteur situé entre les Blancs Monts, Baudimont etla Résidence de l’Hippodrome.Lors des dernières élections municipales, notre liste avait proposé d’utilisercet espace vaste et verdoyant pour procéder à une réunification de cesdeux quartiers.A proximité d’une zone commerciale importante et en voie de développe-ment, l’implantation d’un béguinage et d’une maison de services permettraitd’accueillir une population attachée à l’ouest d’Arras et en recherche delogements financièrement accessibles.Ainsi s’installerait une véritable mixité sociale dont beaucoup parlent maisne participent pas à sa réalisation.Ce serait également l’occasion de repenser les axes de circulation en yincluant les modes de déplacement doux.Si la réflexion actuelle de la majorité municipale se porte, avec beaucoup dedifficultés et d’incohérences, sur le devenir économique des espaces libéréspar le départ de nos armées, elle pourrait aussi inclure le devenir de l’habi-tat et de la vie d’une partie importante de notre ville.

Le groupe ARRAS EN MIEUXAlain Fauquet, Karine Boissou, Bertrand Alexandre,

Colette Vilette, Jean-Pierre Ferri, Françoise Duforets, Bertrand [email protected]

Une centrale électrique à contre courant

Le moins que l’on puisse dire c’est que le projet d’implantation d’une cen-trale électrique à Monchy au bois au sud d’Arras fait débat. C’est unesociété Suisse implantée en France et associée à EDF, qui projette cet inves-tissement de 300 millions d’euros. La production d’énergie, ça rapporte !Comme toujours, il est difficile de se faire une vraie idée sur les intérêtslégitimes d’une telle implantation. Il faut indiquer que cette centrale va pro-duire de l’électricité avec du gaz. Du gaz acheté à je ne sais quel pays. Entout cas son fonctionnement participera à l’accélération de la disparitiondes énergies fossiles et produira une pollution non négligeable par gaz àeffet de serre même si ceux ci sont moins importants que ceux dégagés parune centrale au fuel ou au charbon. Chose étonnante, de nos jours ou l’onest sensé promouvoir une consommation et un développement durable.Alors l’arrivée de la centrale a-t-elle suffisamment fait l’objet d’études et deconcertation ? A-t’on besoin d’électricité supplémentaire ? Je pense que lesélus ne peuvent s’en remettre au seul dossier de presse de la société maîtred’ouvrage pour expliquer le bien fondé de cette centrale. L’appât du gain(emplois et impôts) ne doit pas cacher les effets négatifs Ils ont à l’égarddes citoyens un devoir d’explication et de clarification des projets qu’ilssoutiennent.Espérons que le dialogue l’emportera et qu’une décision satisfaisante seraprise.

Jean-Marc MAURICEconseiller municipal – conseiller régional Front National

mail : [email protected] – Tel : 06 77 20 11 81


Novembre 2010 I Permanences des élus

Permanences et coordonnées sur www.arras.fr

CONSEILLERS DE LA MAJORITÉ

Zohra OUAGUEF - [email protected] à La Personne et InsertionSur RDV en mairie ✆ 03 21 50 51 86.

Marylène [email protected] RDV en mairie ✆ 03 21 50 51 87.

Danièle [email protected] - Conseillère déléguée de la CUASur RDV en mairie le jeudi matin.✆ 03 21 50 50 81 (service logement)

ou 03 21 50 51 86 (pour tout autre problème).

Jeannine [email protected] Public, Cadre de Vie et Exécution BudgétaireSur RDV le mardi matin et le jeudi toute

la journée en mairie. ✆ 03 21 50 51 82.

Nathalie [email protected] Etudiante et UniversitéSur RDV le mercredi de 10 h 30 à 12 hen mairie. ✆ 03 21 50 51 85.

David [email protected]ôle de gestion, nouvelles technologies,commission des impôts directsSur RDV le samedi 13 novembre de 9 h 30à 11 h 30 en mairie ✆ 03 21 50 51 87.Nicole [email protected] Agées et Personnes HandicapéesSur RDV en Mairie ✆ 03 21 50 51 86.

Hugues MORTIER [email protected] Juridiques, Commission d’Appel d’Of-fres et Assurance, Commission de Sécurité etd’Accessibilité - Conseiller délégué de la CUA

Sur RDV le mardi en mairie. ✆ 03 21 50 51 87.

Philippe [email protected] charge des conseils consultatifs de quartierSur RDV le premier jeudi de chaquemois de 9 h à 10 h en mairie.

✆ 03 21 50 51 82.

Mickaël [email protected] municipalVice-président de la CUA, délégué à la Promo-tion de la Santé

Sur RDV le vendredi 26 novembre de 14 h à 16 h, aucentre social Jean Jaurès. ✆ 03 21 50 51 82.

Claude [email protected] municipal, Vice-Président de la CUAchargé de la Cohésion Sociale et de la SécuritéPermanence le mercredi 24 novembre

de 9 h 30 à 11 h 30 au CSAO, 39 avenue de l’Hip-podrome. ✆ 03 21 50 51 82.

Jean-François [email protected] municipal, Vice-Président de la CUAchargé des transportsSur RDV en mairie. ✆ 03 21 50 51 82.

Jacques [email protected] municipal, Vice-Président de la CUAchargé de l’emploi et de l’insertion.Sur RDV en mairie. ✆ 03 21 50 51 82.

Dominique [email protected]Équipements CulturelsSur RDV en mairie ✆ 03 21 50 51 85.

Yves [email protected] Militaires et Patriotiques, Vice-Président de la CUASans RDV le mardi de 10 h à 11 h en

mairie. ✆ 03 21 50 51 85.

Claire [email protected] EnfanceSur RDV en mairie ✆ 03 21 50 51 86.

Marc [email protected] SportifsSur RDV en mairie. ✆ 03 21 50 51 82.

Véronique [email protected] marchés publics et excécution budgétairePermanence le 9 novembre de 10 h à 11 hen mairie. ✆ 03 21 50 51 87.

Matthieu [email protected] CulturelSur RDV le lundi de 9 h à 12 h, en mai-rie. ✆ 03 21 50 51 82.

Alain FAUQUET Arras en MieuxPermanences à l’Hôtel de Ville lesamedi de 10 h à 12 h, bureau 23 ou surrendez-vous. Contact : 03 21 21 60 15.

Denise BOCQUILLET [email protected] Humaines Conseillère déléguée de la CUAPermanences de 10 h à 12 h, les 10novembre à la Maison Colucci, 17

novembre au Foyer Pierre Bolle, 24 novembre auFoyer Amoureux et 1er décembre au local desaînés de l’Hippodrome. ✆ 03 21 50 51 83.

ADJOINTS

Frédéric LETURQUE [email protected]ésion Sociale et Renouvellement Urbain,Vice-Président de la CUAPermanences les jeudi 4 novembre et 2

décembre de 9 h à 11 h 30 en mairie✆ 03 21 50 51 86 ou 06 08 74 89 75.

Philippe [email protected], Patrimoine et ConstructionsDurables, Conseiller Régional, Vice-Présidentde la CUA

Sur rendez-vous en novembre. ✆ 03 21 50 51 87.

Annie [email protected] RDV le jeudi de 9 h 30 à 12 h en mai-rie ✆ 03 21 50 51 82.

Hélène [email protected] Civil, Elections et Relations InternationalesSur RDV en mairie ✆ 03 21 50 50 15.

Thierry [email protected]

Domaine PublicSur RDV en mairie le mercredi de10 h 30 à 12 h ✆ 03 21 50 51 82.

Thérèse [email protected] Verts et à la PropretéSur RDV en mairie le mercredi de 14 h à17 h ✆ 03 21 50 51 82.François DESMAZIÈ[email protected] www.desmaziere.com

Finances et Administration ElectroniqueSur RDV en mairie les samedi 20, 27novembre et 4 décembre de 9 h 30 à11 h ✆ 03 21 50 51 87.Evelyne [email protected] RDV en mairie ✆ 03 21 50 51 85.

Alexandre [email protected] et Vie EtudianteSur RDV en mairie ✆ 03 21 50 51 85.

François-Xavier [email protected] et Tourisme Conseiller délégué de la CUASur RDV en mairie ✆ 03 21 50 51 85.

Nadine [email protected]êtes et CommercesSur RDV en mairie ✆ 03 21 50 51 85.

Jean-Marie [email protected] d’Arras, Sénateur du Pas-de-Calais, Président de la Communauté UrbainePermanence le jeudi 25 novem-

bre de 9 h à 11 h au Centre social Alfred Torchy.Contact : 03 21 50 51 82.

CONSEILLERS DE L’OPPOSITION

Bertrand ALEXANDRE Arras en MieuxPermanences à l’Hôtel de Ville lesamedi de 10 h à 12 h, bureau 23 ou surrendez-vous. Contact : 03 21 21 60 15.Bertrand LOUCHART Arras en MieuxPermanences à l’Hôtel de Ville lesamedi de 10 h à 12 h, bureau 23 ou surrendez-vous. Contact : 03 21 21 60 15.

Colette VILETTE Arras en MieuxPermanences à l’Hôtel de Ville lesamedi de 10 h à 12 h, bureau 23 ou surrendez-vous. Contact : 03 21 21 60 15.Jean-Pierre FERRI Arras en MieuxPermanences à l’Hôtel de Ville lesamedi de 10 h à 12 h, bureau 23 ou surrendez-vous. Contact : 03 21 21 60 15.

Françoise DUFORETS Arras en MieuxPermanences à l’Hôtel de Ville lesamedi de 10 h à 12 h, bureau 23 ou surrendez-vous. Contact : 03 21 21 60 15.Alain SELLIER é[email protected] à l’Hôtel de Ville, bureau22, le jeudi de 9 h 30 à 11 h 30 et surrendez-vous. Contact : 06 82 11 21 62.Laure OLIVIER é[email protected] rendez-vous à l’Hôtel de Ville,bureau 22. Contact : 06 85 92 66 30.

Jean-Marc MAURICE Front NationalPermanence les lundis de 15 h à 18 h àl’Hôtel de Ville, bureau 21 ou sur ren-dez-vous. Contact : 06 77 20 11 81.

Karine BOISSOU Arras en MieuxPermanences à l’Hôtel de Ville lesamedi de 10 h à 12 h, bureau 23 ou surrendez-vous. Contact : 03 21 21 60 15.

Martine [email protected] des quartiers (FTU, CH…)Sur RDV en mairie ✆ 03 21 50 51 86.

Documents

Arras actualités n°250