Marie-Laure DRILLET

Artiste peintre

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Sommaire

MARIE-LAURE DRILLET, artiste peintre, Bordeaux

Présentation de l’artiste .......................................................................................................3

«Ma famille extraordinaire» ........................................................................................ 4 - 7

«Faire durer l’amour» ...................................................................................................8 - 11

«Si doux mensonges» ................................................................................................ 12 - 15

«Désaccordées» .......................................................................................................... 16 - 19

Travaux divers .............................................................................................20 - 23

Interview ..................................................................................................................................24 - 25

Articles de presse ........................................................................................................ 26 - 29

Evènement ........................................................................................................................... 30

Prochaines expositions ...................................................................................................... 31

Formation artistique 1996 à 1997 Master of Art, CNBDI, Angoulème

1990 à 1996 Ecole des Beaux Arts de Nantes, DNAP

Expositions importantes2014 « Ma Famille Extraordinaire » # Bordeaux

2013 « Deux ailes, une île » avec Raphaële Goineau # Paris 2012 « Faire durer l’amour » # Besançon 2012 « Faire durer l’amour » # Bordeaux

2010 « Si doux mensonges » # Bordeaux 2010 « Désaccordées » # Marmande

2010 « Quand je serai grande » # Bordeaux 2008 « 50 artistes » # Paris

2008 « Galerie Olala » # Bordeaux

2012 Résidence d’artiste - ESSAIM de JULIE Saint-Julien Molin Molette /

Techniques

Acrylique, collage

Quelle main ? 40 x 150 cm 2006

Photo de couverture © Rémi Lagouin

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Ma famille extraordinaire... 2014

Attention à ne pas réveiller maman ! 70 x 100 cm Y’a tellement de bonnes choses ! 80 x 80 cm Pécheurs en eau douce 80 x 80 cm

Nos parents... ils s’aiment toujours 50 x 50 cm

On peut pas vous aimer comme elle 40 x 40 cm

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Du 5 au 26 juin 2014 Bibliothèque du Grand Parc à BordeauxAlliant peinture et collages Marie-Laure Drillet nous livre à travers ses toiles des univers narratifs et drôles. S’amusant à dépeindre notre vie quotidienne, elle sil-lonne les relations amoureuses, explore les facettes de la féminité en se jouant de nombreux clichés. Son travail est une ode à la couleur, plein d’humour et d’autodéri-sion, parfois un brin impertinent et décalé sur la féminité. Pour cette exposition elle a créé spécia-lement des portraits, improbables, dé-routants, étonnants, inattendus, comme le sont presque toutes les familles fina-lement, loin des stéréotypes ordinaires, c’est-à-dire en un mot «extraordinaires».

Les petits anges 150 x 150 cm

Mes parents ils sont trop forts 30 x 30 cm

Hummm ça sent bon chéri ! 30 x 30 cmStand de tir 80 x 80 cm

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Faire durer l’amour... 2012

Faire des choses ensempble 100 x 100 cm Etre discrète mais distinguée 110 x 110 cm

Avoir des aventures décevantes 100 x 100 cm

Se souvenir de l’émotion du début 80 x 80 cm

Du 6 au 16 mars au Marché de Lerme à Bordeaux

Comment faire durer l’amour... C’est la

question que s’est posée Marie-Laure

DRILLET et à laquelle l’artiste tente de ré-

pondre dans cette exposition qui compte

plus de 35 toiles. Enfin une notice de

l’amour qui dure... ?

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Passer nos vacances en zone blanche 80 x 80 cm

Respecter son sommeil 110 x 110 cm

Faire son intéressante 100 x 100 cm

Penser à hier soir 30 x30 cm

Avoir une nounou 80 x 80 cm

Inviter mes copines 110 x 110 cm

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Si doux men-songes... 2010

Mon Chéri... tu m’as trop manquéJe réfléchis... et je reviens

Chacun chez soi... c’est ça le paradis !Ca va aller...

Quand je serai grande, j’aurai UN grand amour !Chéri je t’aimerai toujours...

Plus que des titres de tableaux, faciles et tendres, ces petites phrases, intention-nellement voilées d’un baume adoucis-sant, incarnent les héros de Marie-Laure Drillet. Ils sont plein d’empathie, ces per-sonnages, et tellement légers... A peine leurs faux sourires nous préviennent-ils du fragile équilibre du bonheur, que déjà on s’amuse de la grave vérité qui se cache dans l’ombre de leurs fossettes. De si doux mensonges...Si l’artiste observe avec humour la nou-velle solitude des connexions inache-vées, c’est sans inquiétude: l’ironie des décors semblables laisse présager des temps meilleurs. Marie-Laure, comme toujours, nous offre le début de l’his-toire… comme si elle en connaissait l’air et la chanson.

Chacun chez soi c’est ça le paradis 100 x 90 cm

Chéri, ces voyages avec toi sont si excitants

130 x 130 cm

Chacun chez soi c’est ça le paradis 100 x 100 cm

La sécurité 15 x 15 cm

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Du 4 au 17 octobre au Garage Moderne à BORDEAUX

Il me regarde ou bien ? 50 x 50 cm Chéri, tu aimes mes pieds ? 24 x 30 cm Ca va aller... 40 x 80 cm Quand je serai grande je saurai exactement ce que je veux 24 x 30 cm

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Désaccordées... 2010

Tu joues ? 33 x 46 cm Pour mieux te garder 33 x 46 cmLa visite médicale 150 x 150 cm

Je ne peux plus le supporter 20 x 20 cm

Qu’il est pénible ! 20 x 20 cm

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JF cherche JH

80 x 130 cm

T’étais où ?

80 x 130 cm

Etre une femme 100 x 100 cm

Etre une femme 20 x 20 cm

Etre une femme 15 x 15 cm

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Et puis...

Après minuit je préfère le noir 240 x 150 cm Attache-moi à toi 180 x 150 cm

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Vous aussie devenez une vraie femme 40 x 40 cm

Devenez un homme moderne 30 x 30 cmA ta ble ! 30 x 30 cm

Délicieux 40 x40 cm

Distingué... et séduisant ! 30 x 40 cm

Quand je serai grande tu seras toujours ma copine

30 x 30 cm

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Inte

rvie

wQu’est-ce qui vous a amené aux arts plastiques ?

Enfant je vivais à Saint-Pierre et Miquelon, une toute petite île. Mon objectif était de venir étudier en France. J’aimais dessiner mais je ne peux pas dire qu’il s’agissait d’une passion à cette époque, c’est venu petit à petit, laborieusement. Il n’y avait ni bac A3 ni beaux-arts là-bas, je suis donc partie en métropole, grâce à une bourse, à 17 ans, et j’ai étudié dans un lycée où j’avais 4 heures d’arts plastiques par semaine. A partir de là, je n’ai plus eu qu’une idée en tête, entrer à l’école des beaux-arts, rêve que j’ai eu la chance de réaliser.

Comment travaillez-vous les matières ? Y a-t-il une recherche de matériaux au préalable par rapport à un thème défini à l’avance, ou au contraire, ce sont les matériaux qui vous inspirent une thématique ?

Ça dépend des fois. Quand j’ouvre des magazines comme les ‘Modes et Travaux’ des années 60, les images me donnent des idées. En revanche, quand j’ai un projet de tableau, ou d’expo, et que je n’ai pas de visuels, je fais appel à des modèles que je mets en scène. Je mélange facilement les genres, de l’ancien avec du récent, du moment que les expressions sont bonnes, ainsi que les positions, par rapport à mon idée de narration. La pratique amateur et la transmission sont-elles liées à votre démarche artistique ? Non seulement c’est très agréable mais c’est très important pour moi de transmettre. Je donne tous mes secrets et n’ai aucune réserve dans la transmission de mon savoir, de ma technique. J’ai du plaisir à expliquer mon travail, à partager mes facéties. Quand les personnes repartent de mes ateliers émerveillées par ce qu’elles ont accompli je suis très satisfaite. J’aime quand ils continuent une fois rentrés chez eux et me montrent la progression de leur travail. J’aime aussi me confronter à leur problématique personnelle, leur donner du recul, les aider dans leur démarche artistique personnelle.

Vous sentez-vous libre dans vos créations, avez-vous des barrières ou des contraintes ?

Je crée librement. Ensuite libre à moi de d’exposer mes peintures ou pas... par exemple quand je considère un tableau inapproprié dans un lieu. Lorsque je crée des tableaux érotiques par exemple, il m’arrive de m’autocensurer selon l’endroit ou j’expose. Je sélectionne, mais c’est aussi le travail de l’artiste de faire des choix sur ce qu’il veut montrer et où. Quels messages voulez-vous que les visiteurs des expo-sitions retiennent ? J’espère que chacun s’approprie ce que je donne à voir. Pour connaître mon point de vue, si l’image amène un doute, les titres sont très éloquents quant à la direction que je veux donner. Ensuite, mes tableaux vivent tous seuls. Chacun regarde mon travail avec son vécu et il arrive qu’on voit des choses très différentes que celles que j’ai voulu dire. De mon côté le message est toujours bienveillant, drôle et inattendu... Echos à la vie qui passe, aux rencontres et aux passions, déchirements et envies folles ressortent de manière criante à travers ses toiles. Nos regards sont suspendus face à tant de minutie. Cette exposition itinérante nous offre des formes artistiques à la fois oniriques et de réalités crues. Tantôt rétro, tantôt si proche de notre quotidien, Marie-Laure Drillet nous confie, tout en délicatesse, ses doutes et ses représentations du monde d’aujourd’hui.

D’où viennent vos inspirations et ce style qui vous est propre ? Aux beaux-arts, j’ai eu la chance d’apprendre de nombreuses techniques et puis j’ai fait un an de multimédia. Ces deux compétences, artistique et numérique, me sont très précieuses aujourd’hui. J’ai réalisé, pendant cette dernière année d’études, des écrans animés pour lesquels j’ai du concevoir des ‘fonds’, un peu ésotériques, avec des décors extraordinaires, qui venaient enrichir ma production multi-média de façon très créative. C’est en quelque sorte le numérique qui m’a amenée à la peinture. J’ai travaillé pendant 4 ans d’ailleurs dans ce domaine avant de me consacrer à mon ‘art’ en 2001. Au départ, je n’avais pas grand-chose à raconter, je me suis concentrée sur le côté graphique, sur la technique, et puis le sens est arrivé au fur et à mesure que ma vie personnelle s’enrichisssait.

Êtes-vous amenée à travailler par cycles, par théma-tiques ? « Etre une femme...» et surtout «quelle femme être», c’est la question principale que je me pose; par rapport aux rêves qu’on a quand on est petite fille et à ce que la vie nous réserve. Toutes mes expositions sont thématiques. Je passe en général deux ans sur un sujet que j’ai choisit. J’essaye de faire le tour d’une question avec du recul et de l’humour bien sur.

Camille Monmège

Etre une femme 20 x 20 cm

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« Pour faire durer l’amour », « être une femme », ou encore « entretien d’embauche » sont autant de titres d’œuvres réalisées par l’artiste plasticienne Marie-Laure Drillet à découvrir dans le hall d’entrée de la Caravelle pour la première exposition de la saison culturelle. Le point com-mun de ces tableaux réalisés à différentes époques réside à la fois dans leur fabrication (peinture, collage, couleurs chaudes) et dans l’histoire qu’ils narrent. Ils racontent en effet des moments de vie, des bribes du quotidien, des émotions… « Tout n’est pas autobiographique mais la vie personnelle enrichit le travail », précise Marie-Laure Drillet. Il en res-sort de beaux et grands tableaux aux univers ludiques, poé-tiques et drôles. L’artiste cherche à raconter des histoires, c’est d’ailleurs ce qu’elle recommande aux personnes néo-phytes ou confirmées à qui elle apprend les techniques lors d’ateliers qu’elle anime au garage moderne à Bordeaux. De belles histoires souvent engagées à voir, en entrée libre, à la Caravelle, jusqu’au 11 octobre.

Agnès Prébost Sud-Ouest, Septembre 2014

Cécile Laforest, La Dépêche du Bassin, Septembre 2014

Dans la presseMARCHEPRIME

Monsieur aime ................

beaucoup les femmes ..

180 x 150 cm

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28 29 Sud-Ouest, Mars 2013 Août 2013

Sud-Ouest, Juillet 2013 Sud-Ouest Juin 2014

Sud-Ouest, Août 2013

OLORON Explosion de couleurs à la galerie RévolCela est suffisamment rare pour être souligné : l’exposition « Être humains », présentée à la galerie Révol depuis hier et jusqu’au 31 août prochain, donne à voir le fruit du travail de deux artistes, au lieu d’un seul à l’accoutumée. C’est Jean-Louis Boucon, sculpteur céra-miste à Nay, qui a soumis l’idée d’une exposition à quatre mains : « Quand j’ai vu cette belle salle, je me suis dit que c’était dommage

que les travaux s’articuleraient bien avec les miens ». La personne en question, c’est Marie-Laure Drillet, artiste plasti-cienne originaire de Saint-Pierre-et-Miquelon et installée à Bordeaux. « La galerie Révol est généralement un endroit où les gens exposent seuls donc ça part d’une super intention. Jean-Louis Boucon connaissait mon travail par le biais du festival Festiv’arts qu’il organise à Arros Nay », explique Marie-Laure Drillet. Travail de la terre et collages : Sous la voûte de l’ancienne chapelle, plusieurs visages de personnages et autres statues difformes côtoient des tableaux aux couleurs vives où se mêlent peintures et collages. Jean-Louis Boucon s’inspire de photographies et de divers objets pour créer, avec des logiciels graphiques et ses mains, des formes intrigantes qui ont trait à des visages ou des corps humains. Marie-Laure Drillet, elle, propose un travail intitulé « Faire durer l’amour ». Elle rend compte sur ses toiles, avec humour et autodérision, de situations du quotidien.

SAINT ANDRE DE CUBZAC

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Prochaines expositions

« Les Gourmandes » Au Théâtre Le Liburnia, du 12 mai au 12 juin 2015 ......... LIBOURNE

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Evènement Marie-Laure ouvre son atelier au public

Le week-end avant Noël Au premier étage du Garage Moderne

1 RUE DES ETRANGERS 33300 BORDEAUX TRAM B DIRECTION CLAVEAU # ARRET ACHARD

L’artiste vous accueillera avec du thé chaud et vous présente son travail passé et en cours.

L’occasion de promos exceptionnelles !

Au Tarasloft . Fin d’année 2015 ....................................... BRUXELLES

Laboratoire d’analyses 48 avenue de la Libération. Fin d’année 2015

.......................................................................................... BORDEAUX

Vernissage le mardi 12 mai 2015 à 18h30 Après «Faire durer l’amour...» où elle mettait subtilement en scène ses bons conseils et... leur contraire, Marie-Laure Drillet nous régale de nouveaux portraits de femmes, pleins d’humour et d’autodérision. A la fois pertinent et impertinent... Une regard décalé et haut en couleur sur la féminité. www.marie-laure.com

atelier : Le Garage Moderne 1 rue des étrangers 33300 Bordeaux

site : http://www.marie-laure.com

mail : mld@marie-laure.com

tél : 06 62 28 26 45

FB : http://www.facebook.com/marielauredrillet

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Photo © Rodolphe Cellier 2014