Arts du mythedownload.pro.arte.tv/archives/fichiers/01928925.pdfArts du mythe Chaque épisode de cette nouvelle collection consacrée aux arts premiers présente une œuvre emblématique,

Arts du mythe La nouvelle collection consacrée aux arts premiers

Une série proposée par Ludovic Segarra

chaque samedi, du 3 juillet au 7 août 2004, à 20.15 dans « Art et Culture »

Arts du mythe Chaque épisode de cette nouvelle collection consacrée auxarts premiers présente une œuvre emblématique, le mytheauquel elle est liée, son usage, son histoire et le regard que l’onporte aujourd’hui sur elle, ici ou là-bas.

Objet de curiosités, longtemps dédaignés, puis considérés comme de simplesdocuments ethnographiques, les œuvres dites “primitives” sont désormaisélevées au rang de véritables objets d’art. Au moment où se construit à Paris,quai Branly, le futur musée consacré aux arts premiers (ouverture prévue en2006), la collection Arts du mythe propose de découvrir chaque semaine uneœuvre emblématique. Au départ, il y a un objet que l’on découvre dans unmusée. Un objet mystérieux que l’on tente de comprendre en voyageant dansson histoire, à la recherche de son origine. L’objet sort de son statut d’objet demusée : il devient le passeur vers un autre système d’explication et de relationau monde. Quel regard les artistes occidentaux portent-ils sur cet objet ? Quenous apprend-il sur les hommes qui l’ont fabriqué ? Peut-on le rapprocherd’autres objets de la même famille ? Quelle a été l’histoire de ses acquisitionssuccessives ? Au terme du voyage, on redécouvre l’objet éclairé par cettemultiplicité de regards posés sur lui…

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ARTE France - Direction de la Communication8, rue Marceau 92130 Issy-les-Moulineaux

Contact presse Céline Chevalier / Nadia Refsi / Rima Matta01 55 00 70 41 / 23 / 40 / [email protected] / [email protected]

dossier de presse en ligne sur www.artepro.com plus d’infos sur www.arte-tv.com

Sommaire

> Vièle mongole à tête de chevalsamedi 3 juillet à 20.15

> Coiffe blanche Kayaposamedi 10 juillet à 20.15

> Masque à transformation Kwakwaka’wakwsamedi 17 juillet à 20.15

> Poulie de métier à tisser Dogonsamedi 24 juillet à 20.15

> Peinture sur écorce de la Terre d’Arnhemsamedi 31 juillet à 20.15

> Crâne Iatmulsamedi 7 août à 20.15

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samedi 3 juillet > 20.15

Viè l e mongo le à t ê t e de cheva l Réalisé par Philippe TruffaultCoproduction : ARTE France, Program 33 (2004- 26 mn)

Le « Morin Khuur » est une vièle à deux cordes dont le manche setermine par une tête de cheval. Elle est l’emblème de la Mongolie. Cellequi est présentée dans cet épisode fait partie des collections dudépartement d’ethnomusicologie du Musée de l’Homme. Tout dans sondécor évoque le cheval, l’immensité des steppes, la grandeur du ciel,autant d’éléments qui témoignent de la puissance des esprits. Pardessus tout, la vièle mongole sublime le lien qui unit les Mongols aucheval, leur compagnon de vie dès la plus tendre enfance. Il est aucentre de la légende qui raconte la naissance de l’instrument, qui en

imite les allures, nous plongeant par cette sonorité envoûtante dans l’immensité dessteppes de Mongolie.Mönkhsükh, jeune joueur de l’Altaï, raconte cette jolie légende, chantée parTuvshinbayar, un musicien d’Oulan-Bator. Comme en témoignent également les artisansqui fabriquent ces vièles, le Morin Khuur est aujourd’hui dans la culture mongole un traitd’union entre tradition et modernité. Ethnomusicologues, Lucie Rault, responsable de lacollection des instruments de musique du Musée de l’Homme, et Alain Desjacques,résidant en Mongolie, en donnent un éclairage à la fois sensible et distancé, alors queVincent Segal, en violoncelliste curieux des sonorités du monde, s’approprie cesharmonies avec une spontanéité surprenante.

Fiche techniqueDirection de la collection ............Ludovic SegarraRéalisation .........................................................Philippe TruffaultImages.....................................................................Delphine Deloget / Cécile Truffault

Michel Souris / Jean-Claude MocikSon................................................................................Eric MunchMontage................................................................Tatiana Andrews / François LabatMixage.....................................................................Franz Parissy

Une coproduction ..................................ARTE FranceUnité de Programme / Thierry GarrelChargée de programme / Marianne Lévy-Leblond

Program 33Producteur délégué / Fabrice CoatProductrice exécutive / Barbara Hurel

Avec le soutien du CNC

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C o i f f e b l a n c h e K a y a p o Réalisé par Philippe TruffaultCoproduction : ARTE France, Program 33 (2003- 26 mn)

Ce film présente une parure de plume des Kayapos, indiens de laforêt amazonienne : la coiffe blanche ou coiffe de l’aigle harpie, mèrede toutes les coiffes.Gustaaf Verswijver, grand spécialiste des Kayapos en Europe, aconstitué les plus importantes collections de parures de plumesparmi lesquelles cette coiffe blanche conservée au Musée Tervurenen Belgique. L’ethnologue nous explique l’importance de cette coiffeet nous emmène au cœur de la mythologie Kayapo et des pratiquesqui lui sont associées. En occident, l’art de la plume se conjugue à la mode, au panache, auraffinement, à la légèreté et nous emporte vers d’autres cieux…

Fiche techniqueDirection de la collection ...........Ludovic SegarraRéalisation........................................................Philippe TruffaultImages ...................................................................Gustaaf Verswijver / Jean-Claude Mocik /

Michel Hazard / Michel Souris Son...............................................................................Laurent MalanMontage...............................................................Tatiana Andrews / François LabatMixage....................................................................Franz Parissy

Une coproduction .................................ARTE FranceUnité de Programme / Thierry GarrelChargée de programme / Marianne Lévy-Leblond



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Masque à t r ans fo r ma t i on Kwakwaka ’wakwRéalisé par Marie-Dominique DhelsingCoproduction : ARTE France, Ludovic Segarra Productions, C.N.R.S.Images / media, Réunion des Musées Nationaux (2001 – 27 mn)

Dans la société Kwakiutl de la Colombie Britannique (Canada), lesmasques font partie du patrimoine symbolique d’un noble ou d’un chef.Masques et autres accessoires de danse sont fabriqués par des artistesprofessionnels qui connaissent les mythes se rapportant à l’origine desblasons des grandes familles et les secrets des sociétés initiatiques.Les masques apparaissent lors des représentations à la fois religieuseset théâtrales qui caractérisent les grandes cérémonies d’hiver,marquées par la présence des esprits parmi les hommes. Le masque présenté dans ce film est un masque à transformation,littéralement “masque qui s’ouvre”, représentant un aigle. Le goût des

Indiens de la côte nord-ouest pour les “machines” théâtrales s’exprimait dans laconception de ce type de masques fabriqués pour provoquer un effet de surprise etd’émerveillement auprès du public réuni dans la maison cérémonielle. Des imagesexceptionnelles filmées en 1914 par Edward Curtis figurent ces métamorphoses.Après des acquisitions successives par des musées américains, cette œuvre fut vendueà Claude Levi-Strauss en 1942. Le masque fait aujourd’hui partie des collections duMusée de l’Homme.

Fiche techniqueDirection de la collection............Ludovic SegarraRéalisation.........................................................Marie-Dominique DhelsingImage........................................................................Pierre BoffetySon................................................................................Philippe RichardMontage................................................................Paul RambaudMixage ....................................................................Elizabeth Commo

Une coproduction..................................ARTE FranceUnité de Programme / Thierry GarrelChargé de programme / Luciano Rigolini

C.N.R.S. Images / mediaDirection de productionCatherine Balladur

Réunion des Musées NationauxBéatrice de Boisseson

Ludovic Segarra Productions

Avec la participation du CNC et le soutien de la Procirep

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P o u l i e d e m é t i e r à t i s s e r D o g o nRéalisé par Ludovic Segarra et Philippe TruffaultCoproduction : ARTE France, Program 33, Ludovic SegarraProductions, CNRS Images / media (2004- 26mn)

Dans la culture des Dogon, au Mali, le tissage est un élémentfondamental de la cosmogonie. Tisser, c’est construire la parole,l’articuler, créer le sens. Dans le métier à tisser construit à l’imagede l’univers, la poulie est au centre, suspendue à l’horizon dutisserand, rythmant le travail de son grincement, première parole.Celle de cet épisode représente deux jumeaux, mâle et femelle,unis par la tête, être primordial. Rapportée dans la mouvance desmissions de l’ethnologue Marcel Griaule, sa patine témoigne de son usage, ses courbesirrégulières du travail de l’artiste qui l’a produite, et c’est sans doute ce qui l’a renduebelle aux yeux du collectionneur danois René Rasmussen. Hélène Leloup, galeriste, etKaba Bassirou, marchand d’art, évoquent cette ambiguité de l’attrait pour les artsafricains, entre fascination esthétique et commerce plus ou moins scrupuleux. MiquelBarceló, célèbre peintre catalan séjournant souvent dans les falaises du pays dogon,analyse les lignes chaotiques de la poulie.Notre poulie retourne au Mali pour la durée dufilm : rétablie sur son axe, installée sur le métier à tisser de Daouda Karembé, elle nousinvite à un voyage fascinant dans la mythologie dogon, avec pour guides Youssouf TataCissé, ethnologue malien et Amahiguéré Dolo, sculpteur dogon.Son histoire nous ramène à la nôtre, histoire conjointe de la France et de l’Afrique del’Ouest.

Fiche technique

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Coproduction......................ARTE FranceUnité de Programme /Thierry GarrelChargés de programme /Marianne Lévy-Leblond / Luciano Rigolini

CNRS Images / médiaDirection de production / Catherine Balladur




Direction de la collection.................Ludovic Segarra

Réalisation..............................................................Ludovic Segarra Philippe Truffault

Images.........................................................................Claude DelhayeDavid Helft Jean-Claude Larrieu

Son ....................................................................................Christian Bonnin Jean Minondo Abdoul Salam Bâh

Montage ....................................................................Tatiana Andrews François Labat

Mixage .........................................................................Franz Parissy


Pe in tu re su r éco rce de l a Te r re d ’A r nhemRéalisé par Marie-Dominique DhelsingCoproduction : ARTE France, CNRS Images / media, Réunion des Muséesnationaux, Ludovic Segarra Productions (2002 – 27 mn)

Cette peinture sur écorce, représentant un kangourou, est l’une des plusanciennes conservée en France, dans les collections du Musée de l’Homme.L’art des Aborigènes d’Australie est l’une des plus anciennes traditionsartistiques ininterrompues dans le monde, mais reste l’une des dernières às’être imposée sur la scène internationale. Des témoignages archéologiques laissent supposer que les peinturespariétales aborigènes ont été réalisées il y a 50.000 ans dans les escarpementsde la Terre d’Arnhem, précédant les peintures rupestres paléolithiques

d’Altamira et de Lascaux en Europe. Sur des plaques d’écorces d’eucalyptus, les peintres aborigènes produisent unereprésentation, une conception née de l’esprit : “le Temps des Rêves”. Les Esprits “Mimi” de la mythologie australienne ont imprégné les parois rocheusespeintes, les peintures corporelles, les peintures sur écorces... Ainsi la peau de la terre, lapeau de l’homme, la peau végétale saupoudrée de pollen sont liées, dans le cycle desmétamorphoses, par le même souffle.

Fiche techniqueDirection de la collection ...........Ludovic SegarraRéalisation........................................................Marie-Dominique DhelsingImage.......................................................................Pierre BoffetySon...............................................................................Alberto Crespo-OcampoMontage...............................................................Paul RambaudMixage....................................................................George Lafitte

Une coproduction .................................ARTE FranceUnité de Programme / Thierry GarrelChargés de programme / Luciano Rigolini/ Marianne Lévy-Leblond


Réunion des Musées NationauxBéatrice de Boisseson


Avec la participation du CNC et le soutien de la Procirep et la l’Angoa-Agicoa

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samedi 7 août > 20.15

C r â n e I a t m u lRéalisé par Ludovic Segarra et Philippe Truffault Coproduction : ARTE France, Program 3, CNRS Images / media, Ludovic SegarraProductions (2004- 26 mn)

En Papouasie Nouvelle Guinée, chez les Iatmul, la tête est considéréecomme le contenant de toute la substance de l’être. Aussi conserve -t-on le crâne des ancêtres, qui une fois nettoyé est surmodelé puis peintà l’image du défunt. Le crâne surmodelé de cet épisode fait partie descollections océaniennes du Musée de l’Homme. Il a été rapporté parl’expédition de La Korrigane, qui fit le tour du monde de 1934 à 1936 etrapporta des milliers d’objets. Par la finesse de sa facture, mais aussi parce qu’il évoque le mystère dela mort, cet objet nous impose le respect. Milan Stanek, ethnologue, apartagé le quotidien des Iatmul pendant plusieurs années. Yves Le Furqui a choisi d’exposer ce crâne lors d’une exposition consacrée à l’artfunéraire au Musée des Arts d’Afrique et d’Océanie détaille cetteconception des Iatmul qui associe les tourbillons du fleuve et toutes lesformes aléatoires à la résidence des esprits. Les images du cinéaste Hermann Schlenker, restituent le rituel d’un

surmodelage, sur les rives du fleuve Sépik.Ainsi sont dévoilées les différentes facettes de ce crâne, renvoyant aussi à notre propreconception de la mort et de la mémoire des défunts.

Fiche techniqueDirection de la collection ...........Ludovic SegarraRéalisation........................................................Ludovic Segarra / Philippe TruffaultImage.......................................................................Etienne de Grammont / Jean-Claude Larrieu / Michel SourisSon...............................................................................Christian Bonnin / Jean Minondo / Eric MunchMontage...............................................................Tatiana Andrews / François Labat / Paul RambaudMixage....................................................................Franz ParissyUne coproduction .................................ARTE France

Unité de Programme / Thierry GarrelChargés de programme / Luciano Rigolini / Marianne Lévy-Leblond


Program 33Producteur délégué / Fabrice CoatProductrice exécutive / Barbara HurelLudovic Segarra Productions


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Les réalisateurs

L u d o v i c S e g a r r a1972 DES ENFANTS, DES HOMMES - 45 minutes – Production SCOPCOLOR1973 Courts Métrages sur la Révolution Agraire pour le Gouvernement Algérien1974 MITHILA – co-réalisation avec G. LUNEAU – 52 minutes, co-production L.S.P/

SERVICE DE LA RECHERCHE DE L’ORTF1975 BHOUTAN, un petit pays possédé du ciel – 55 minutes, co-production : L.S.P /

INA1976 KOUMEN – 54 minutes, co-production L.S.P / INA1977 BOROBUDUR, Voyage initiatique – 47 minutes, co-production L.S.P / A.21978 LE PELERINAGE D’AMARNATH – 26 minutes, co-production L.S.P / A.21979 BARDO-THODOL, le livre des mots tibétain – 52 minutes, co-production L.S.P

/ A.21980 ILE DE RE – 45 minutes, co-production L.S.P / INA1981 CHILAM-BALAM, Prophéties Maya – 52 minutes, co-production L.S.P / INA1982 LES IMMEMORIAUX – 67 minutes, co-production L.S.P / A.21983 GANGA-MAYA – 97 minutes, co-production L.S.P / A.2

1983 à 1987 réalisation de plusieurs Films avec Pierre DUMAYET dans les collections LIRE C’EST VIVRE pour Antenne 2 et LA PEINTURE DU XIXème siècle , pour le musée d’Orsay et TF1

1988 LE CHEMIN DE DAMAS – 100 minutes, co-production L.S.P / FR3 et LA SEPT1989 TBILISSI, Avril 1989 – 26 minutes, co-production L.S.P / A.2 et les studios

Géorgiens1990 SOLOVKI – 65 minutes, co-production L.S.P / A.21990 L’ASIE CENTRALE, ETATS D’URGENCE – 56 minutes, dans la collection : «

Histoires d’Actualité » produite par la S.F.P1991 Ecritures de scénarii : FARIZADE et LA FOUILLE

Co-production de 2 longs métrages avec les Studios de TBILISSI :« LES LOCATAIRES 1er Prix, Festival de MontpellierLA-BAS CHEZ MOI 1er Prix Festival de Berlin

1992 SAINT-PETERSBOURG, 1ère partie « Le Rêve de l’Europe » - 60 minutes1993 SAINT-PETERSBOURG, 2ème partie « Du Rêve à la Réalité » - 62 minutes films

co-produits avec France 3 et la Télévision RUSSECo-production d’un long métrage avec les Studios de TBILISSI : EUXSélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs, Cannes.Co-production d’un film de J. DOILLON : « UN HOMME A LA MER

1994 TIBET, Histoire d’une tragédie –55 minutes, co-production L.S.P / FR31995 NOVGORD, L’IMAGE BRISEE : 1ère partie

NOVGORD, LE DEVOILEMENT DE L’IMAGE : 2ème partieCo-production avec France 2

1996 Ecriture d’une soirée thématique sur POUCHKINE pour Arte1997 SUR LES TRACES DU BOUDDHA – 56 minutes, co-production avec France 21998 DALAI-LAMA (portrait) – 54 minutes, co-production avec Canal+

depuis 1999 Ecriture de la mémoire ouvrière de l’île Seguin, ainsi qu’une adaptation pour lecinéma du récit de Paul Gauguin : Noa Noa

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Licenciée en Lettres Modernes, (Paris VII, optionCinéma).Diplômée en 1989 de la Section Réalisation(Film/Radio/Télévision) de l’I.N.S.A.S. (InstitutNational Supérieur des Arts du Spectacle),Bruxelles. (Mémoire de fin d’études sur le film sur l’art ).Formation en Nouvelles Technologies de l’Imageà Atelier II / Ensad - Paris en 1994.Atelier Scénario de long-métrage - FEMIS en2001/2002.

Professeur à l’École Supérieure des ArtsDécoratifs de Strasbourg depuis 2003.

Mène en parallèle une activité de plasticienne(photos, performances, installations vidéos).

Auteur- réalisatrice de films documentaires,parmi lesquels :

Parcours d’un peintre, Geneviève Lassus(1977-1989)Documentaire, 16’, 1989 (primé à la “DeuxièmeBiennale Internationale du Film sur l’Art”, CentreG. Pompidou)Diffusion La Sept

Philippe Favier, Saint-Étienne,le 28 Septembre 1990Documentaire, 1990 Diffusion festivals (“La Mondiale” Québec,“Troisième Biennale du Film sur l’Art”)

L’Automne de Notre PrintempsDocumentaire, 26’, 1991 (sur le metteur enscène de théâtre de marionnettes géorgien,Rézo Gabriadzé)Diffusion La Sept

Toxicos sous ordonnanceDocumentaire, 52’, 1996 (Politiques de santéeuropéenne pour les usagers d’héroïne)Mention Spéciale du Jury au 4e Festival VidéoPsy d’Auxerre 1997Diffusion ARTE (dans le cadre d’une soiréethématique sur la toxicomanie) et Planète

ParisDocumentaire, 52’, 1999 ( découverte de la villeà travers quelques personnes ayant un regardsingulier, dans le cadre de la collection “L’écumedes villes / Diffusion Paris Première

Opus 53 Renaud GagneuxDocumentaire de 58’, 2000 (Portrait ducompositeur lors de la création de son concerton°2 pour violoncelle et orchestre)Diffusion Muzzik

A également réalisé divers sujets pourdes collections et des magazinesculturels :

Jean-Marc BustamanteDocumentaire 13’, 1999Portrait du photographe plasticien dans le cadrede la collection “Contacts” pour ARTE et le CNP,(sélection Festival International Vidéo Liège2000)Diffusion ARTE

Ralph SteadmanErnest Pignon-ErnestRoland ToporFrançois SchuittenQuatre films sur des dessinateurs, 13’ chacun,(collection “Graph’”) 1992/93Diffusion ARTE

Louis Stettner, photographe sous le ciel deParisGeorges Rousse, rétrospectiveGarouste à La SourceTrois sujets de 6’ chacun, 1995 ( “Aux Arts etCaetera”)Diffusion Paris Première

AnastasiaMichalisDeux portraits de 13’ chacun, 1998(dans le cadre de “Portrait d’une génération”)Diffusion La Cinquième 1998 / 99

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M a r i e - D o m i n i q u e D h e l s i n g

P h i l i p p e Tr u f f a u l t

Réalisateur, habite Paris. Pas d’école de cinéma, a commencé au début desannées 70 avec des courts métrages expérimentaux et invendables. Puisfilms en tous genres, animation, industriels, mode, et courts métrages pourdépenser tout. À partir de 1980, vidéo, télévision, bidouillée ou pas, sur toussupports. Clips, documentaires, génériques, films médicaux, industriels.Beaucoup de séries de programmes courts (“Une minute pour trouverCanal”, 75x1’ 1984-1987 sur Canal +, “Wolf Pacifier” 35 x 30” 1986 A2,Lexique de La Villette (11x1’), “Les Idiomatics” (300x1’), Agenda de la RATP(10x3’). Des choses plus longues aussi, pour les uns et les autres. Filmscourts et bandes-démo pour la Villette, l’Ina, la Sécurité Routière (animation,3D, images réelles). Habillage de chaînes de télévision en France et ailleurs.Particulièrement direction artistique de l’antenne de La sept de 1988 à 1992(habillage général, auto-promotion, programmes courts, mise en placed’émissions régulières tel “Le dessous des cartes”). Mise en place del’habillage d’Arte (génériques, infos, auto-promotion). Après : habillaged’émissions variées pour Arte, France Télévision, ARD, ZDF, Vox… 1993-94,série sur l’exposition Barnes sur France 2 et France 3 (15x2’), émissions“MusicArchive” et “Snark” (sur l’animation et le cinéma expérimental) surArte, émissions “Nimbus” (sciences), “L’Atelier 256” (arts plastiques),“Lignes de Mire” (médias) sur France 3, reconstitution de la PremièreSéance de Cinématographe. En 1995 : “Un film Lumière par jour” sur France2 (365x1’), “10 films pour 100 ans” pour les salles de cinéma (10x2’),émissions en direct pour Arte (“La tour Eiffel”, “Les extra-terrestres sontparmi nous”, “Fête de la musique”…), journées thématiques sur Canal +.Soirées thématiques Arte, films institutionnels (INRS, Archives du film,Musée d’Orsay), habillages divers. En 1997, mise en place ‘habillage etantenne de chaînes câblées (du projet de chaîne MK2TV, Histoire). 1997“L’école des escrocs” (documentaire), “La main”, “Les secrets du Nil” (60x2’sur l’Égypte au Louvre), “L’invasion des Hommes Citrouilles”, 1998 Canal +“Cyberflash”, “Viva Apocalypsa !”. 1999 La Villette “Tics et tactiques pourapprendre” (12x2’), France 2 “Eurêka, j’ai encore tout faux” (4x52”). 2000France 3 “Ionesco en miettes (“Un siècle d’écrivains”), “Direct !”, (re-création théâtrale) 2001 “L’empire des nombres”. Réalisation de nombreuxDVD (cinéma contemporain Arte, MK2, Truffaut, Haneke, Kurosawa, Argos,Scorsese, William Klein…), “La fabuleuse histoire du Père Noël” (France 5)Classic Archive (78 émissions pour Mezzo et France 5), Mythologies (20x13’série sur la mythologie grecque), Court-circuit (magazine de courtsmétrages sur Arte). En cours, des conceptions de DVD variés (Rivette,Chabrol, Stevenin, Chaplin, Ozu…), quelques soirées Thema, un film surLes temps modernes (de Chaplin), un sur Berlioz, un autre avec du billardet une surprise.

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Documents

Arts du mythedownload.pro.arte.tv/archives/fichiers/01928925.pdfArts du mythe Chaque épisode de cette nouvelle collection consacrée aux arts premiers présente une œuvre emblématique,