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Volume 23, numéro 1 printemps 2012 Association des Brochu d’Amérique Le Fleuron L’info-Brochu À lire dans ce numéro Invitation «Cabane à sucre» 1 Mot du président 2 The Word of the President 3 «Des Brochu ont connu la vie de 4 Pionniers en Abitibi» Des Brochu qui se démarquent 7 Projet de Rollande Brochu 8 Réservation à la cabane à sucre 9 Trajet pour la cabane à sucre 10 Promotion nouveau membre 11 Renouvellement de cotisation 12 Les Brochu de Montaigu (5) 13 Avis de décès 16 Le coin de la généalogie 17 Brochu de France 18 Collaborateur au Fleuron 18 Publicité 19 Ce qu’est l’Association 20 Vos administrateurs 20 Édition et mise en page Lucille Brochu Ont collaboré au bulletin Michel Brochu Danielle Brochu Lucien Brochu Janine Brochu Desjardins Rollande Brochu Larouche Noëlline Brochu Janet Gallant Brochu Brochu de France Les opinions émises dans les articles publiés n’engagent que leurs auteurs INVITATION À LA CABANE À SUCRE L’INVERNOIS LE 17 MARS 2012 Inscriptions débutant à 10h. Repas servi à volonté à midi. Dégustation de tire d’érable à 14h. Possibilité de diverses activités : Randonnée de traineau à chiens Sentiers dans la nature Visite de la bouilloire (fabrication du sirop) Vaste stationnement, produits d’érable en vente sur pla- ce et possibilité d’animation durant le temps des sucres. Votre place sera réservée dès réception de votre chèque. Réservez tôt, car les places sont limitées. UNE RÉPONSE EST REQUISE AVANT LE 10 MARS 2012. Voir les détails et le plan aux pages 9-10 et 11 du pré- sent Fleuron.

Association des Brochu d’Amérique Le Fleuron

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Page 1: Association des Brochu d’Amérique Le Fleuron

Volume 23, numéro 1 printemps 2012

Association des Brochu d’Amérique

Le Fleuron L’info-Brochu

À lire dans ce numéro Invitation «Cabane à sucre» 1 Mot du président 2 The Word of the President 3 «Des Brochu ont connu la vie de 4 Pionniers en Abitibi» Des Brochu qui se démarquent 7 Projet de Rollande Brochu 8 Réservation à la cabane à sucre 9 Trajet pour la cabane à sucre 10 Promotion nouveau membre 11 Renouvellement de cotisation 12 Les Brochu de Montaigu (5) 13 Avis de décès 16 Le coin de la généalogie 17 Brochu de France 18 Collaborateur au Fleuron 18 Publicité 19 Ce qu’est l’Association 20 Vos administrateurs 20

Édition et mise en page

Lucille Brochu

Ont collaboré au bulletin

Michel Brochu Danielle Brochu Lucien Brochu

Janine Brochu Desjardins Rollande Brochu Larouche

Noëlline Brochu Janet Gallant Brochu

Brochu de France

Les opinions émises dans les articles publiés n’engagent que leurs auteurs

INVITATION À LA CABANE À SUCRE L’INVERNOIS

LE 17 MARS 2012

⇒ Inscriptions débutant à 10h. ⇒ Repas servi à volonté à midi. ⇒ Dégustation de tire d’érable à 14h. ⇒ Possibilité de diverses activités :

♦ Randonnée de traineau à chiens ♦ Sentiers dans la nature ♦ Visite de la bouilloire (fabrication du sirop)

Vaste stationnement, produits d’érable en vente sur pla-ce et possibilité d’animation durant le temps des sucres. Votre place sera réservée dès réception de votre chèque. Réservez tôt, car les places sont limitées. UNE RÉPONSE EST REQUISE AVANT LE 10 MARS 2012. Voir les détails et le plan aux pages 9-10 et 11 du pré-sent Fleuron.

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Bonjour à vous tous et à vos familles, Nous sommes déjà à l’orée du printemps. On se rapproche donc des plaisirs de la cabane à sucre. Je sais que plusieurs de nos membres ont régulièrement accès à différentes caba-ne à sucre familiales. C’est pourquoi, cette année, nous vous avons choisi un endroit dont l’ambiance se rapproche de nos cabanes d’antan et de la nourriture vraiment typique de celle de nos grands-parents. N’hésitez donc pas un instant à venir en famille ou entre amis à la cabane à sucre L’Invernois qui, comme le nom le dit, se situe dans la paroisse d’Inverness, près de Thetford-Mines. Je n’ai pas besoin d’insister beaucoup pour vous convaincre que le recrutement est la garantie de la santé et de la relève de notre Association. La fierté qui nous carac-térise, devrait nous motiver à faire un petit effort supplémentaire pour solliciter de plus en plus de descendants et de descendantes de Brochu à se joindre à nous. J’aimerais aussi vous rappeler que la mise à jour de la généalogie de notre grande famille est une priorité de notre Association. Ainsi, il ne faudrait pas hésiter à me transmettre tous les événements qui pourraient être colligés dans le dictionnaire gé-néalogique des Brochu d’Amérique afin d’assurer la conservation et le développe-ment de notre patrimoine familial. Je termine en vous mentionnant que tous les membres qui nous ont fait parvenir leur adresse courriel recevront une copie du présent bulletin via le courrier électro-nique. Cette décision à été prise lors de la dernière rencontre du C.A. et vise à véri-fier l’intérêt des membres en cours d’année. Au grand plaisir de vous parler à la cabane à sucre.

Michel Brochu

UN MOT DU PRÉSIDENT

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Hello to all of you and your families,

We are already on the verge of spring; therefore, we are closing in on the Sugar Shack pleasures and fun. I realize that many of our members have regular access to different, family-oriented, Sugar Shacks. That is why, this year, we have chosen, a place for you, whose atmosphere is comparative to the Sugar Shacks of yesteryear, including the food, really typical to that of our grandparents time. Therefore, do not hesitate to come with your family members and friends, to L’Invernois Sugar Shack, which, as the name says, is located in the Inverness parish, near Thetford-Mines. I don’t have to stress the fact in order to convince you that recruitment is the guar-antee to the health and success of our Association. Also, I would like to remind you that the update of our Family Genealogy is a pri-ority of our Association. Thus, you should not hesitate to send to me, your occur-ring events and activities that could be collected into our Brochu Genealogical Dic-tionary, to ensure the conservation and development of our family heritage. I will conclude by mentioning to you that every member, who provides us with their e-mail addresses, will receive a copy of our Association bulletin via electronic mail. This decision was taken at the last Board meeting, and we’d like to find out the member’s thoughts, on such a decision, during the year. It will be my pleasure to “meet and greet” you at the Sugar Shack.

Michel Brochu

THE WORD OF THE PRESIDENT

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Des Brochu ont connu la vie de pionniers en Abitibi

Parmi les pionniers de l'Abitibi, nous retrouvons les frères Brochu, Al-bert, Léopold et Élisée, qui ont fait le trajet Québec-Amos par train à peine sortis de l'adolescence, au début des années 20. Ils ont quitté la terre paternelle qui bordait le fleuve Saint-Laurent, en face de l'île d'Or-léans où s'était installé l'ancêtre Jean Brochu, venu de France au 17e siècle. À l'instar de leur ancêtre, les frères Brochu ont quitté leur village pour vivre une vie de pionnier dans une région toute neuve qu'était l'Abitibi, laquelle leur avait été présentée comme une terre promise, l'avenir y apportera des nuances. Ma soeur Janine Brochu a voulu rendre hommage à la vie de bâtisseur de notre père, Léopold, en lançant en juillet 2011, son livre intitulé «BROCHU de Saint-Michel-de-Bellechasse à Amos». En voici un ex-trait:

"... Au début des années 70, lors d’une balade en auto, je crois reconnaître la voix de papa à la radio répondant aux questions d’une journaliste. Je téléphone chez mes parents qui me confir-ment avoir eu la visite d’une journaliste qui fait un reportage avec des pionniers d’Amos, témoins du début de l’Abitibi. L'enregistrement de ce reportage fait découvrir le contexte de sa vie vers 1922.

Léopold a vécu plusieurs expériences avant de s'établir sur une terre comme cultivateur. Il avait une terre mais ne restait pas tout le temps dessus, il fallait gagner de l'argent. À partir de l’âge de 15 ans, en 1922, jusqu’au temps où il s'est marié, en 1939, avec Marie-Louise Lamon-tagne, une fille de son village natal, il a beaucoup voyagé sur le territoire de l'Abitibi jusqu'à la Baie Ja-mes, avec les géologues et les arpenteurs. Les moyens de transports étaient rudimentaires. Il y avait le train, la voie d'eau et la voi-ture tirée par un cheval lorsqu'il y avait un chemin. L'hiver, il travaillait dans les chantiers ou dans les mines où l'ouvrage ne s'ef-fectuait pas avec les moyens d'aujourd'hui, c'était à la petite pelle." − Il n’y avait pas de machinerie, on sortait la pierre avec une espèce de

« cabastran »; percer les trous, je te dis qu’un gars qui virait ça toute la la journée, le soir y avait gagné ses piastres, raconte-t-il. Il nous restait 40 cents de l’heure pour les mines. Dans ce temps-là, c’était le gros sa-laire. Dans mon village natal, une personne pouvait travailler pour 1$ par jour, on était bien fier ...

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− Il y a des gens qui ont passé leur vie dans les mines, surtout les immigrants européens. Ils

travaillaient sur les chemins de fer ou dans les mines. Il y avait des accidents de travail et aucune loi ne les protégeait. On en retrouvait peu dans les chantiers.

− Tout était dur dans ce temps-là. Les Indiens aussi appelés à cette époque les Sauvages

avaient l’air d’aimer cela vivant de chasse et de pêche, dans ce temps-là ce n'était pas le gouvernement qui les établissait. Mais probablement qu'ils trouvaient cela moins difficile dans ce temps-là qu'aujourd'hui, je crois qu'ils ont reculé... On s’entendait bien avec eux d’abord qu’ils pouvaient cacher leurs femmes (rires), c’était ça qui les inquiétait le plus…

− J'ai parcouru des longs trajets à pied. J’en ai fait pour être quatre jours sans remarcher, le

plus long trajet que j'ai fait à pied dans l’Abitibi a été de 72 milles au cours d'une journée, à travers les bois. C’était pour descendre à la messe de minuit et aller passer Noël à Amos… J'étais à Louvicourt, dans ce temps-là c'était la forêt. Nous étions deux. Nous n'avions pas peur de nous perdre, cela faisait assez longtemps que nous étions dans le bois et nous avions une boussole, nous étions comme des indiens.

− J’ai déjà couché dans le bois, mais je n’étais pas perdu. C’était une erreur que j’avais fai-

te… J’avais couché sur un sapin, il y a eu un orage électrique la nuit… Nous n'avions qu’à attendre que la clarté revienne pour pouvoir nous orienter de nouveau. On s'était trompé d'un mille.

− Quand nous étions dans des territoires plus éloignés, comme la Baie James, le ravitaille-

ment se faisait avec des petits avions qui montaient là à toutes les semaines. Là-bas, on fai-sait juste marcher et marquer des noms de pierres qu’on rencontrait, avec des prospecteurs. Suivant chaque sorte de pierres, cela leur donnait une idée où trouver le minérau. C’est arrivé une fois que l'avion de ravitaillement nous a manqués. On est pas sûr que c’était bien l’avion qui s’était trompé ou si c’était notre équipe qui s’était trompé de lac. On ne l’a pas entendu, on est reparti sans provisions… Au bout d’une semaine, l’avion est revenu au mê-me endroit pour constater que les provisions étaient restées là … Durant cette semaine-là, on a rien eu à manger, on s'est nourri avec de l'écorce d'épinette bouillie, cela garde en vie mais il ne faut pas travailler trop fort ... C'était en plein hiver et on n'avait pas quoi tendre des collets autour. Dans le coin de la Baie James, c'était toujours désert. On couchait dans des tentes. On ne se trouvait pas pire que les Indiens qui restaient dans des tentes eux aussi. Si l'on vit comme cela depuis le début de l'hiver, on s'habitue. C'était dur quand même, sor-tir d'un sac de couchage l'hiver quand il fait près de 50 degrés sous zéro, on ne trouvait pas cela bien chaud...

− On avait aussi à faire du portage. On marchait tous les jours. On faisait 30 milles par jour.

À chaque mille, on marquait, on marchait à coup de 15 milles avant de prendre une pause, après quoi, on descendait un mille plus loin, on marquait encore. On a fait tout l’Abitibi de même. C’était encore curieux, dans le bois, on rencontrait des blancs de temps en temps : des chasseurs, des blancs qui s’étaient sauvés de la guerre; ils s’étaient habitués dans le bois et ils restaient. Dans ce temps-là, on rencontrait des Indiens quasiment tous les jours.

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− C'était une vie de solitude, mais pas vraiment dans le fond, si l'on savait s'adapter. C'était

comme s’adapter à l’Abitibi, quand on est arrivé, c'était difficile lorsqu'il faisait 50 degrés en bas de zéro, dans un petit camp en bois rond. C’est arrivé de temps en temps qu’on se faisait griller sur un bord et qu’on gelait sur l’autre, on n’avait pas le courage d’aller se coucher . Fallait rester près du poêle pis chauffe…

− Il n'y avait presque pas d’enfants dans les années 20. Les premières familles qui arrivaient

étaient des jeunes couples. Ce dont ils souffraient le plus, c’était des mouches noires, des maringouins… et les froids d'hiver.

− Nos parents étaient éloignés et les moyens de transport étaient restreints. Mais on était si

occupé qu'on avait pas le temps de s'ennuyer. Après notre arrivée à Amos, on a été six à sept mois avant de leur écrire… eux autres nous cherchaient partout. Ils ne savaient pas où on était. Nous autres, on déménageait assez souvent qu’on trouvait que ça ne valait pas la peine de leur écrire et leur dire où nous restions, dans une semaine on sera peut-être partis de là… Un jour, le curé nous a reconnus à l'église et nous a remis une lettre de notre mère à laquelle nous avons répondu.

− Malgré la vie rude à laquelle a été soumis Léopold à la fin de son adolescence et à laquelle

il s'est adaptée avec courage et détermination, il ne semble pas regretter sa jeunesse, et dit avec sa philosophie:

− Je regarde ça aujourd’hui, je remarque que les jeunes ne semblent pas plus heureux que

nous l'étions dans ce temps-là; ils se fatiguent avec tous les loisirs qui s'offrent à eux et ne sont peut-être pas plus satisfaits que nous l'étions. Dans la nature, c’était toujours du chan-gement, les arbres, les oiseaux, les animaux qui passaient, les bêtes sauvages. On voyait toutes sortes de choses à tous les jours."

À suivre ….

Lucille Brochu Éditrice du Fleuron [email protected]

Note : En conclusion, nous verrons dans le prochain Fleuron été 2012, un résumé de la vie en Abitibi de Léopold Brochu et Marie-Louise Lamontagne ainsi que leur implication sociale. Je souhaite que ceci inspirera d’autres Brochu à raconter leur histoire, que ce soit de l’Abitibi, de l’Ontario, de l’Ouest canadien où ceux qui ont émigré aux États-Unis.

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Radio-Canada dévoilait, le 9 janvier der-nier à l'émission «C'est ça la vie», une initiative originale de Rollande Brochu-Larouche. Depuis deux ans, des artistes-peintres de la Société des arts Harricana produisent bénévolement des oeuvres sur des tuiles de plafond à l'Hôtel-Dieu d'Amos, afin d'égayer le séjour des pa-tients qui y reçoivent des soins. Ce projet a débuté en 2009. «Mon mari a été hos-pitalisé et il m'a fait remarquer qu'il n'y avait rien à regarder au plafond. Mon père, qui avait été hospitalisé 15 ans au-paravant, m'avait aussi dit qu'il trouvait

le temps tellement long qu'il avait eu le temps de compter les petits points noirs sur les tuiles du plafond», raconte-t-elle.

Il lui est donc venu cette idée de faire des toiles pour ensuite les donner à l'hôpital. Pas pour les accrocher au mur, mais bien au plafond, puisque les patients passent souvent le plus clair de leur temps étendus dans leur lit. «J'avais rencontré un médecin qui m'avait suggéré de le faire en pé-diatrie...» Avec l'accord de la direction de l'hôpital et la collaboration de la Société des arts Har-ricana, le projet a débuté en pédiatrie. Chacune des chambres avait déjà un thème, les toiles ont respecté celui-ci. Dix artistes ont participé à cette première phase, produisant un total de 16 oeu-vres sur des tuiles de 2 par 4 pieds qui ont été exposées puis accrochées dans les chambres de la pédiatrie, les salles de travail et d'accouchement.

Cette année, la phase 2 a été réalisée dans le département de médecine interne où les gens peu-vent faire de longs séjours. Une quinzaine d'artistes ont embarqué dans le projet et réalisé un total de 21 toiles sur des tuiles de plafond, de 2 par 2 pieds et de 2 par 4 pieds, avec des thèmes de leur choix.

Des Brochu se démarquent ...

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À droite : Toile de Rollande Brochu-Larouche et sa fille Josée

La phase 3 du projet est commencée et cette fois-ci, les toiles au nombre de 38, seront installées au plafond des chambres de l'étage de la chirurgie. «Déjà 22 artistes ont donné leur nom et parti-cipent au projet. Par la suite on voudrait en faire pour mettre ailleurs dans le centre hospitalier et dans le centre d'hébergement (CHSLD)», laisse planer Rollande Brochu-Larouche.

Soulignons que celle-ci a été nommée présidente de la Société des arts Harricana en septembre dernier. Nous la félicitons pour cette nomination et souhaitons que son initiative à l'Hôtel-Dieu d'Amos fasse boule de neige dans d'autres établissements de santé. On peut visionner l'enregistrement de l'entrevue, de l'émission «C'est ça la vie», à l'adresse sui-vante: http://www.youtube.com/watch?v=BVSNUuSq2Vs ou sur Tou.TV, émission du 9 janvier 2012, L'art à l'horizontal.

Un gros merci à mes deux soeurs, Janine Brochu-Desjardins pour son livre «Brochu de Saint-Michel-de-Bellechasse à Amos» ainsi qu’à Rollande Brochu-Larouche pour son initiative de toiles de plafond pour l’hôpital d’Amos. Lucille Brochu, vice-présidente et éditrice du Fleuron.

Note : Le Conseil d’administration des Brochu d’A-mérique aimeraient rendre hommage à Rollande Brochu-Larouche pour son beau projet. Merci à tous ceux qui nous ont exprimé, par cour-riel, leurs appréciations du reportage.

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LES BROCHU SE SUCRENT LE BEC L’Association des Brochu d’Amérique organise, à nouveau, cette année, une activité de cabane à sucre. À cet effet, nous avons réservé la cabane à sucre L’Invernois, située sur la route 267, entre Plessisville et Inverness. Cet endroit dispose d’un maximum de 150 places réservées uniquement pour vos familles et vos amis. Nous vous en avisons très tôt afin que vous puissiez contacter votre clan familial au grand complet (parents, enfants, frères et sœurs, oncles et tantes, amis) et vous donner la priorité sur les non-membres qui seront sollicités un peu plus tard. L’activité se tiendra le SAMEDI, le 17 mars prochain. L’inscription débutera vers 10 h. Un copieux repas vous sera servi à volonté à midi. Pour avoir déjà réservé cette cabane, nous pouvons vous assurer que leur cuisine est excellente et les plats chauds sont très abondants. Sans oublier le sirop d'érable 100 % pur, qui ravira tous les palais. La dégustation de la tire d’érable aura lieu à 14 h. Entretemps, vous pourrez profiter de la musique d’ambiance traditionnelle et d’une balade en traineau à chien pour vous détendre et admirer le paysage enchanteur. Les coûts pour cette journée incluant le repas à volonté, la tire, les taxes, plusieurs prix de présence et surprises pour les enfants est de :

♦ 20$ par adulte membre, son (sa) conjoint(e) et ses enfants de 12 ans et plus à la maison. ♦ 22$ par adulte non membre et leurs enfants de 12 ans et plus à la maison. ♦ 9$ pour tous les enfants de 6 à 11 ans ♦ Gratuité pour les plus petits accompagnés de leurs parents.

Puisque le nombre de places est limité, votre réservation doit nous parvenir le plutôt possible mais avant le 10 mars 2012. Pour plus de renseignements, vous pouvez rejoindre Michel au 418-628-2739 ou via courriel : [email protected] Je vous invite aussi à visiter le site de l’Invernois pour plus de détails et le trajet: http://www.invernois.com/ N.B. : Vous devez apporter vos consommations et le pourboire est laissé à votre discrétion. __________________________________________________________________________________________

POUR VOTRE RÉSERVATION À LA CABANE À SUCRE

Nom et prénom: _______________________________________ No. membre: _____________ Adresse: __________________________________________ Code postal__________________ Téléphone__________________ Adresse courriel_____________________________________

MEMBRE adulte, conjoint(e) et enfants de 12 ans et plus : Nombre ____ X 20$ = ______ NON MEMBRE adulte, conjoint(e) et enfants de 12 ans et plus : Nombre ____ X 22$ = ______ Enfants de 6 à 11 ans : Nombre _____X 9$ = ______ N.B. : S.V.P. nous mentionner le nom de toutes les personnes qui vous accompagnerons et l’âge de vos enfants pour les prix de présence.

Faire votre chèque à l’ordre de : L’Association des Brochu d’Amérique

4405 des Platanes, Québec (Qc), G1G 5J1

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ACTIVITÉ «CABANE À SUCRE» le 17 mars prochain

Conseil pour se rendre à la cabane. Que vous veniez de l’ouest ou de l’est par la route transcanadienne (#20), je vous propose fortement de prendre la sortie #253 (Villeroy). Par la suite, vous pourrez vous diriger vers le sud-est pour une quinzaine de kilomètres sur la 265 jusqu’à la route 267 que vous prendrez à votre gauche pour environ 12 kilomètres. Si vous prenez d’autres trajets, vous devez connaître la région ou faire confiance à votre GPS surtout si vous arrivez de l’Est.

PLAN : La cabane à sucre est situé au point A (bulle) sur cette carte. COORDONNÉS : L'Invernois enr. Bernard & Raymonde Dion 640, chemin Dublin Inverness, Québec, G0S 1K0 Téléphone : (418) 453-7750

Au menu, à part la belle tire blonde sur la neige, le repas comprend :

• Soupe aux légumes, et soupe aux pois

• Steak de jambon cuit dans le sirop et aussi dans le beurre

• Œufs cuits dans le sirop et aussi dans le beurre

• Oreilles de crisses (Grillades de lard)

• Fèves au lard

• Ragoût à l'ancienne (au poulet, boulettes et pattes de lard)

• Patates au four et rôties

• Salade de chou

• Salade verte

• Crudités

• Fromage et raisins

• Pain de ménage Nos desserts:

• Beurrés de crème et sucre d'érable "mitons"

• Crêpes spéciales de la maison

• Tourbillons printaniers "genre pets de sœurs"

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PROMOTION NOUVEAU MEMBRE À l’occasion de notre activité de cabane à sucre 2012 et compte tenu que nous serons déjà à la fin du mois de mars, nous vous offrons la possibilité d’inviter votre parenté à devenir membre de l’Association pour 75% du coût habituel de la cotisation de l’année en cours, soit $15 au lieu de $20. Ce qui leur permettra, en plus, d’économiser 2$ par personne lors de leur réservation pour cette activité.

Formulaire d'adhésion promotion cabane à sucre 2012

Je désire joindre l'Association des Brochu d'Amérique pour l’année 2012 Régulier : 15.00 $ (promotion cabane à sucre) À vie (paiement unique) :300.00 $ Nom: _____________________________________Année naissance : _______ Adresse: ____________________________Ville:_________Code postal:______ Téléphone: _______________ Courriel:_______________________________

Quelques informations sur votre famille : Nom du père: ___________________________ de la mère: _____________________________ Où habitent-ils ? _______________________________________________________________ Où se sont-ils mariés ? __________________________________________________________ Nom du grand père: ______________________ de la grand-mère:________________________ Où habitaient-ils ? ______________________________________________________________ Où se sont-ils mariés ?___________________________________________________________ Je vous rappelle que vous trouverez de nombreux renseignements concernant l’histoire, la généa-logie et le patrimoine des Brochu dans le site Internet de l’Association : http://www.abacom.com/brochu/ De plus, nous vous invitons à vous joindre à la page facebook intitulé : MY LAST NAME IS BROCHU administrée principalement par Jean-Michel Brochu de Saint-Amable en Montérégie. Bien entendu, vous pouvez nous faire parvenir l’adresse électronique de tous ceux qui veulent faire partie de notre banque d’envois. NOM ET PRÉNOM DES PERSONNES QUI VOUS ACCOMPAGNERONT À LA CABA-NE À SUCRE sans oublier l’âge des enfants.

Nom et prénom Âge de l’enfant # de membre

Page 12: Association des Brochu d’Amérique Le Fleuron

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Renouvellement de cotisation Cette note s’adresse à ceux et celles dont la carte de membre est échue depuis janvier 2012. Je vous rappelle que le coût est de 20$ pour une année et de 50$ pour 3 ans. Vous pouvez devenir membre à vie pour un montant de 300$. Nous comptons sur votre appui pour poursuivre les actions de l’Association et la sauvegar-de du patrimoine des Brochu. Merci d’apporter une attention immédiate à la présente. Au nom de tous les membres du Conseil d’administration, je vous prie d’accepter l’expres-sion de mes sentiments amicaux. Danielle Brochu 418-839-5295 ou [email protected] ______________________________________________________________________________ Renouvellement pour l’année 2012 et les suivantes : Nom et prénom : # de membre :____________ Adresse : Tél :_____________________________ Ville : Code postal : Adresse courriel : __________________ Cotisation annuelle: 20$ 3 ans: 50$ Membre à vie: 300$_________

Faire votre chèque à l’ordre de : Association des Brochu d’Amérique

144, rue Saint-Jacques Saint-Romuald (Québec) G6W 2Z5

___________________________________________________________________________

NUMÉROS DE MEMBRE MEMBERSHIP NUMBERS

Note : Cette liste a été mise à jour en date du 2 février 2012.

23 37 79 91 97 113 136 221 224 238 267 269 281

289 295 298 299 327 340 353 377 392 397 398 447 449

452 478 485 547 557 563 571 573 578 583 599 614 632

636 644 646 657 658 659 678 679 682 686 701 704 705

708 709 712 738 747 755 756 762 765 779 783 788 796

808 809 812 813 814 815 816 817 819 820 821 822 823

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Dans les articles précédents nous avons d’abord rappelé succinctement les faits qui ont marqué l’histoire de Montaigu depuis sa fondation jusqu’au XVII e siècle. Puis nous avons décrit à larges traits le milieu social des mon-tacutains et leurs conditions de vie à l’époque où la famille de l’ancêtre Jean habitait cette petite ville du Poitou. S’agissant maintenant d’en connaî-tre davantage sur cette famille, deux sources d’information s’offrent à nous : les registres de catholicité des paroisses de la ville où cette famille a vécu et les greffes de notaires qui pourraient avoir pratiqué dans cette ville à la même époque. Sources : Les registres de catholicité de Montaigu

Sous l’Ancien Régime, c’est-à-dire jusqu’à la Révolution1, Montaigu a compté jusqu’à sept insti-tutions qui ont tenu leurs propres registres d’état civil : trois paroisses -- Notre-Dame s’étant fu-sionnée à St-Jean-Baptiste-- deux hôpitaux et deux communautés religieuses. Ceux de ces regis-tres qui ont échappé aux vicissitudes des temps et des hommes sont conservés aux Archives dé-partementales de Vendée à La Roche-sur-Yon. En voici la description :

1- paroisse Saint-Jean-Baptiste actes les plus anciens : B2 : 1640

lacunes : B : avril 1641-octobre 1652 M : mars 1655-juin 1659 BMS : 1791; NMD : 1793; M : an II.

2- paroisse Saint-Jacques BMS 1737 – 1790, sans lacunes

3- paroisse Saint-Nicolas actes les plus anciens 1680 lacunes : BMS : 1681- janv. 1682 BMS : sept.- déc. 1717 BMS : fév. 1737 – avril 1764 BMS : oct. 1766 - 1781

4- Église collégiale3 sépultures : de 1787 à 1788, sans lacune

5- Communauté Saint-Sauveur sépultures : de 1785 à 1789 lacunes: 1788

6- Hôpital sépultures : de 1762 à 1784 lacunes: 1764 & 1766

7- Hôpital militaire et ambulant décès de l’an IV (1795), sans lacune 1. Depuis 1792, c’est la commune de Montaigu qui est chargée de tenir les registres d’état civil. 2. BMS, i.e. Baptêmes-Mariages-Sépultures, consignés dans les registres dits de catholicité; NMD, i.e. Naissances-

Mariages-Décès, consignés dans les registres de l’état civil. 3. On désigne de ce nom une église qui, sans être cathédrale, possède néanmoins un chapitre de chanoines.

Les Brochu de Montaigu (5)

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Le lecteur aura remarqué qu’aucune de ces collections n’est complète ; les moins lacunaires étant celles des paroisses de Saint Jean-Baptiste et de Saint-Nicolas. Quant aux registres qu’ont pu te-nir les autres institutions, il ne reste malheureusement que des fragments plus ou moins nom-breux. Ces lacunes qu’on observe dans les registres de Montaigu, comme celles que présentent d’ail-leurs ceux de nombreuses autres communes de cette région, sont attribuables à plusieurs facteurs, tels les guerres, les mauvaises conditions de conservation, l’incurie des hommes, etc. Si on se reporte à l’époque, il faut bien voir aussi que la tenue de l’état civil n’avait été confiée au clergé qu’assez récemment par l’ordonnance d’août 1539, connue sous le nom d’Édit de Villers-Cotterêts. Et encore, ce texte limitait-il le devoir des curés à la simple inscription des naissances des enfants qu’ils baptisaient. C’est l’ordonnance de Blois qui, quarante ans plus tard, en 1579, soit à peine 60 ans avant la naissance de l’ancêtre Jean, étendra cette obligation aux mariages et aux sépultures, En 1667, l’ordonnance de Saint-Germain-en-Laye est venue prescrire une tenue obligatoire des registres en deux exemplaires, l’une pour la paroisse, l’autre devant être déposée chaque année au greffe du bailliage. Rien d’étonnant à ce que ces dispositions légales aient été, dans les premiers temps de leur mise en vigueur, très inégalement observées dans le royaume. On en voit un exemple dans la note que le curé Minguet a intercalée entre les actes du 15 septembre 1657 et du 9 mai 1658 où il rapporte que pendant la durée d’un procès qui opposait la ville et la paroisse Saint-Jean-Baptiste de Mon-taigu

….depuis le mois de mars de l’an mil six cens cinquante et six jusques au mois de décembre de l’an mil six cent cinquante et huict [la paroisse] a été desservie par plusieurs prestres qui n’avoient point inséré dans ce papier les noms des personnes qui ont receu le st baptesme dans l’église de la dite ville et parois-se; pour à quoy suppléer, je, prestre, curé de la dite ville et paroisse, soussigné, ay autant que j’ai peu, ramassé leurs mémoires et certificats que j’ay inséré dans ce papier, et, quoy que j’aye tasché d’y appor-ter tout le soing que j’ay peu, et d’observer l’ordre des articles, il se pourra toutesfois rencontrer quelque transposition, ou mesme quelque omission »

Sur un tout autre plan, les registres sont aussi un reflet des coutumes sociales de l’époque. La considération dont jouissait alors la noblesse, par exemple, se voit dans le traitement particulier qu’on accorde à ses membres. Si la teneur de l’acte de baptême d’un enfant, comme celle des actes de décès d’un artisan ou d’un simple péquin s’en tiennent à l’essentiel, négligeant même parfois de préciser le nom de la mère ou de l’épouse, il en va bien différemment quand il s’agit d’un noble ou d’un enfant de sa progéniture. Le rédacteur se complait alors à rappeler tous les titres honorifiques, les fonctions qu’il exerce, les terres qu’il possède, etc., (voir l’acte ci-après). Dans le cas du mariage de deux descendants de familles nobles, chaque intervenant se voyant accorder le même traitement, l’acte s’allonge en conséquence, et les signatures, souvent de taille arrogante, remplissent parfois une page entière à elles seules. Les curés de l’époque semblent également avoir considéré le registre de catholicité comme un journal, puisqu’ils y notaient les évènements importants de la vie paroissiale, tels la visite de l’é-vêque, une messe d’actions de grâces et chant du Te Deum pour célébrer une victoire des armées du Roi, une catastrophe naturelle, un jugements de cour sur des litiges impliquant la fabrique, etc. Toutes choses qui n’ont rien à voir avec l’état civil proprement dit, mais qui venaient marquer des temps forts dans le train-train quotidien des paroissiens. Voici, par exemple, le récit que nous

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fait le curé Douteau de la bénédiction d’une cloche :

Le douzième de juillet mil sept cent quinze a été faite dans léglise de cette paroisse de St Jean de Montai-gu par Mgr l’illustrissime et révérendissime évesque de Luçon dans le cours de sa visite de cette mesme paroisse, la cérémonie de la bénédiction d’une cloche du poids de cinq cent cinquante livres destinée au service divin dans lad. Paroisse, bénie le premier septembre mil sept cent neuf, rompue dès la mesme an-née pour estre mal conditionée, et enfin refondue cette année par Mre Pierre Charpentier, mtre fondeur, laquelle a été nommée Angélique-Marie par haut et puissant Seigneur Mre Armand Gabriel de Crux, che-valier, seigneur marquis de Crus, Montaigu, Vieillevigne, Rocheservière, Targé, Ste Maxire et autres lieux, parain, et par haute et puissante dame Angélique-Marie Damaris, Éléonore de Turpin Crissé, mar-quise de Crux, épouse dudit seigneur marquis de Crux, maraine, en présence de Mrs les doyens, chanoines du chapitre de la Collégiale de Montaigu et autres ecclésiastiques du voisinage, et de haut et puissant seigneur Mre Samuel Leclerc, chevalier seigneur marquis de Juigny et de haute et puissante dame Louise-Henriette de Crux, marquise de Juigny, épouse dud. Seigneur marquis de Juigny, de tous les principaux habitants et de nombreuses assemblées de la ville et faubourg et lieux circonvoisins. P. Douteau, curé de Montaigu.

On trouve aussi, à l’occasion, certains actes d’un intérêt particulier qui nous donnent quelque éclairage sur les usages de l’époque; celui par exemple de l’inhumation, le 29 octobre 1685, d’un certain Jean Payreau

……tailleur, aagé d’environ cinquante ans, auquel on ne vouloit point accorder la sépulture catholique parce que ledit Payreau estoit adonné au vin, et estant le plus souvent saoul, et qu’il n’avoit pas satisfait au debvoir pascal, ayant mesme tesmoigné ne vouloir se corriger n’y recevoir les sacremens; néanmoins le dit Paireau estant tombé dans une espèce d’apoplexie ou desbordement d’humeurs, estant sans co-gnoissance, on lui a administré le sacremen de l’extrême onction; et, suivant l’advis des catholiques du lieu, et sur un billet de Mr le Doyen, on luy a accordé la sépulture, mais sans cérémonie, sans son de clo-ches, sans cierges allumés, mais en disant à basse voix les prières et offices des morts. J. Pache, curé de Montaigu.

Ou cet autre, du baptême d’un enfant trouvé, le 2 mars 1714

…..a été baptisé par moy, Prêtre, curé soussigné, un garçon trouvé exposé le mesme jour sur un pied d’arbre, au portail des dames religieuses de cette ville, dont le père et la mère et le jour de la naissance sont inconnus, auquel enfant a été imposé le nom de François Duchesne……P. Douteau curé de Montai-guété

Au nombre des artisans et commerçants dont les registres d’état civil font mention, on relève des marchands d’étoffes, des maîtres tailleurs, un « débitant de tabac » [sic], des maréchaux ferrants, des perruquiers et même une coiffeuse, des tisserands, des menuisiers, un cloutier, des vitriers, des serruriers, des tailleurs de pierre, des maçons, un chapelier, des voituriers, des traiteurs, des boulangers, des bouchers, un ferblantier, un maître à danser. Comme la ville est encerclée par la campagne, elle compte aussi des meuniers, des laboureurs, des journaliers et des domestiques. En général les hommes travaillent, surtout la terre; les femmes vaquent aux travaux du foyer. À suivre......... Lucien Brochu

« Le parc du centre-ville de Montaigu, aménagé autour des ruines de l’ancien château »

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BROCHU, MARCELLE (1929-2011) Au Centre de santé et de services sociaux de la Mitis, le 21 décembre 2011, à l’âge de 82 ans et 3 mois est décédée madame Marcelle Brochu, demeurant à Price, épouse de feu monsieur Henriot Bourdages, fille de feu monsieur Cléophas Brochu et de feu madame Marie Morin. Les funérailles ont été célébrées le 30 décembre 2011 en l’église Saint-Rémi de Price. Elle laisse dans le deuil ses enfants Line (Roch Lessard), René (son amie Manon), Jacques (Manon Anctil) et Marc; ses petits-fils Jonathan et Étienne; son frère André (feu Gilberte Bourdages), ses sœurs Lucienne, Jeannine (Gilbert Roy), Simone (feu Louis-Bill Pelletier); sa belle-sœur Carmen Bourdages (Aimé Levesque). Elle était aussi la sœur de feu Alfred (feu Yo-lande Bourdages), feu Henri (feu Jacqueline Côté), feu Hector, feu Louis-Zénon et le belle-sœur de feu Joseph (feu Irène Deschênes), feu Gisèle (feu Henri Michaud), feu Angéline (feu Cyrice Cormier), feu Electa (feu Alcide Blais). Elle laisse également dans le deuil ses neveux, nièces, cousins, cousines et tous ses amis(es). Marcelle était une cousine de notre ancien président Robert Brochu de Repentigny, membre #445 de l’Association des Brochu d’Amérique.

Nos sincères condoléances aux familles éprouvées par la perte d’un être cher.

AVIS DE DÉCÈS

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Je viens de recevoir l’avis de décès suivant : Manon Brochu (1962-2012) De l`Épiphanie, le 22 janvier 2012, à l`âge de 49 ans, madame Manon Brochu nous a quitté. Elle était l’épouse de Michel Lavigne. Outre son époux , elle laisse dans le deuil sa fille Caroline(Miguel) ainsi que Patrick(Jessica) et Annie(Frédéric), ses frères et soeurs, neveux, nièces, parents et amis. Nous transmettons nos plus sincères condoléances à la famille. NOTE IMPORTANTE : Y a-t-il quelqu’un qui pourrait me dire le nom du père et de la mère de Manon parce que, tout simplement, il y a un chaînon manquant dans le Dictionnaire généalogique des Brochu d’Amérique (DGBA) pour établir son ascendance ?. C’est l’occasion pour vous de faire un petit effort généalogique pour la conservation de notre patrimoine familial. Merci à l’avance. Michel Brochu 418-628-2739 Vous pouvez me transmettre toutes vos informations, soit par téléphone ou par cour-riel dont l’adresse est mentionnée ci-dessous : [email protected]

LE COIN DE LE GÉNÉALOGIE

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Merci aux Brochu de France pour cette magnifique photo. Nous vous transmettons également nos meilleurs vœux pour l’Année 2012

_____________________________________________________________________________ DEVENEZ JOURNALISTE-COLLABORATEUR POUR LE FLEURON

Vous avez un talent pour écrire? Vous voulez partager l’histoire de votre famille, vos expérien-ces, vos voyages, vos loisirs, vos passe-temps, etc.? Vous voulez écrire au sujet de votre parenté? Le Fleuron peut combler vos désirs. Vous êtes particulièrement invités à partager vos recherches généalogiques, vos anecdotes et faits pouvant intéresser tous les cousins et cousines. Pour contribuer à notre journal, communiquez avec Lucille , l’éditrice du bulletin et soumettez-lui votre projet. Merci beaucoup de partager avec nous. Vos administrateurs. Par courriel : [email protected] ou Michel Brochu : [email protected] ou à l’adresse : L’Association des Brochu d’Amérique

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Printemps 1665 – printemps 1667 : deux années déterminantes dans la vie de Jean Brochu. À la lumière de travaux de recherches et de documents d’archives, l’auteur retrace l’odyssée vécue par notre ancêtre depuis son engagement militaire jusqu’à son installation définitive à Saint-Jean, I.O. �Vous pouvez vous procurer le document, de l’auteur Lucien Brochu, sur l’ancêtre Jean Brochu dit Lafontaine, auprès de l’Association des Brochu d’Amérique ; Michel Brochu, téléphone : 418-628-2739 ou courriel : [email protected] Coût : 7.00$ plus frais d’envoi de 2.00$

ASSOCIATION DES BROCHU D’AMÉRIQUE

LUCIEN BROCHU

JEAN BROCHU dit LAFONTAINE 1665-1667 DOCUMENT «JEAN BROCHU DIT LAFONTAINE»

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Ce qu’est l’Association des Brochu d’Amérique Société privée, à but non lucratif, l’ABA a été fondée le 12 novembre 1988, puis incorporée le 30 no-vembre suivant. Ses principaux objectifs sont de réunir les descendants de Jean Brochu et de Nicole Saulnier, de renforcer les liens familiaux et d’honorer la mémoire des anciens par la diffusion de la gé-néalogie et de l’histoire des Brochu. Tous les descendants de Brochu, où qu’ils se trouvent dans le monde, sont invités à joindre l’ABA. Quelque 825 d’entre eux l’ont ralliée, depuis sa fondation. On peut y adhérer par trois modes de cotisa-tion : 20$ par année; 50$ pour trois ans; $300 pour la vie. Articles promotionnels Une collection de neuf volumes présente la généalogie agnatique des quelques 50 lignées de Brochu d’Amérique issues de l ‘union des ancêtres Jean et Nicole, soit depuis 1669 jusque vers 1990. Cette imposante compilation est l’œuvre de feu Renaud-D. Brochu, le fondateur de l’Association, lequel a aussi établi l’ordre de ces lignées. On peut se procurer, soit la collection complète de ces ouvrages pour 200$, soit celui des volumes qui est consacré à la lignée de son choix pour 30$ chacun. L’association offre également des reproductions de ses armoiries, imprimées en quatre couleurs sur papier antique 9X12 ($5. l’unité) ou présentées sur épinglettes de ¾’’ émaillées en trois couleurs ($5. l’unité). Fanions ($8. l’unité) et drapeaux de l’ABA sont aussi offerts. Pour toute information relative à ces volumes ou à ces objets, on voudra bien s’adresser à Michel Brochu. Tout le courrier doit être adressé à l’Association des Brochu d’Amérique, 4405 Des Platanes, Québec, (Qc), G1G 5J1 On peut rejoindre les Brochu par leur site Web, à l’adresse suivante : http://www.abacom.com/brochu

Administrateurs de l’ABA: lignée Téléphone Adresse courriel Michel Brochu, président 22 418-628-2739 [email protected] Lucille Brochu, vice-présidente 48 418-837-5744 [email protected] Pierre Brochu, trésorier 20 418-837-6379 [email protected] Guy Brochu, secrétaire 18 418-627-1292 [email protected] Danielle Brochu, administratrice 43 418-839-5295 [email protected] Jean-Louis Brochu, administrateur 43 514-521-8666 Lucie Brochu, administratrice 48 450-662-0611 [email protected] Noëlline Brochu, administratrice 48 450-933-3029 [email protected] Lucien Brochu, membre émérite 11 418-835-9785 [email protected] Jocelyne Brochu, site Internet 22 [email protected]

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