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7 parutions annuelles : Avent/Noël, Carême, Pâques, Ascension/Pentecôte, Vacances, Rentrée, Toussaint

AVENT - NOEL 2018 N° 133

Editorial Jésus, Lumière de Noël ……………………………………………… Vie paroissiale Envoyés en mission …………………………………………………. L’ « Oratoire », groupe de jeunes de 12 à 16 ans ……………….. L’entrée en catéchuménat à Basse-Wavre ……………………….. Résultats de notre enquête ………………………………………….. Semaine de prières pour l’Unité des Chrétiens …………………... Composition de l’Equipe d’Animation Paroissiale (EAP) ………... Vie du sanctuaire Le cortège aux lumières du 8 décembre …………………………. Le chapelet, une prière de notre temps ? ………………………… Les souvenirs de la châsse Notre-Dame de BW …………………. Prières Prière à l’Immaculée Conception ……………………………………. Que signifie la couronne de l’Avent ? ……………………………... T’accueillir ……………………………………………………………………………. Noël …………………………………………………………………… La nuit de Noël …………………………………….............................

Méditations Synode des jeunes : lettre des pères synodaux aux jeunes …... L’Avent, un temps d’attente ……………………………………….. Noël à Jérusalem …………………………………………………… Les gouttes de l’amour …………………………………………….. La famille …………………………………………………………….

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EDITORIAL

Jésus, Lumière de Noël

Noël pointe à l’horizon et l’humanité chrétienne clame déjà le Divin Messie ! Sans trop de peine, on s’aperçoit que Noël correspond sur le plan du calendrier au premier jour du solstice d’hiver. Progressivement, la nuit cède le pas au jour et les ténèbres à la lumière.

Par ailleurs, facilement on se rappelle quelques lumières particulières qui, selon les Ecritures, brillent dans la nuit de Noël. Citons à titre d’exemples celle d’une étoile-signe (Mt 2,2) et celle de l’éclat des

anges rencontrant les bergers et exprimant la joie du ciel (Lc 2,9).

Mais en cette fête, souvenons-nous également de la véritable lumière de Noël : celle vers qui l’étoile conduisait les bergers, celle au sujet de qui les anges composaient leur hymne ?

En célébrant Noël, ne perdons pas de vue cette vraie lumière

qui porte le nom de Jésus, c’est-à-dire « Dieu sauve », ou Emmanuel, qui signifie « Dieu - avec - nous ».

C’est en effet lui la lumière éternelle offerte et envoyée par le Père plein de bonté et de miséricorde à tout le « peuple qui marchait dans

Sens de la liturgie Les vêtements du culte ………………………………………………..

Braises de foi De jolies guirlandes ………………………………………………….... Un peu d’humour …………………………………………………………. Lu pour vous

Maman, lâche-moi …………………………………………………… Contacts paroissiaux …………………………………………………… Des pages s’écrivent …………………………………………………….

Agenda des prochaines semaines …………………………………...

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les ténèbres ». Jésus nous donne des lumières pour avancer vers lui et ainsi échapper à l’emprise du mal, du péché et de la mort. Célébrer Noël, c’est donc essentiellement pour nous chrétiens accueillir l’Emmanuel, nous laisser rejoindre dans son expérience d’amour afin d’éclairer notre intelligence et de connaître la vérité. « Je suis la lumière du monde, dira-t-il lui-même. Qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie » (Jn 8,12).

Puisse cette fête nous faire saisir notre pauvreté, notre aveuglement et notre dépouillement, afin de mettre dans nos cœurs le désir ardent de nous ouvrir à la Lumière des Nations « Lumen Gentium ».

A toutes et à tous, Joyeux Noël et très bonne année 2019 !

Père Blaise Mbongo

VIE PAROISSIALE Envoyés en mission

Le dimanche 21 octobre, journée de la Mission Universelle, notre paroisse a été envoyée en mission, tant à la basilique qu’à la chapelle St Damien, chacun en son domaine et selon ses talents et capacités.

Ce dimanche également, dans notre paroisse ainsi que dans toutes les paroisses du Brabant wallon nous avons commencé une démarche intitulée « Tous disciples en mission – L’audace d’une conversion ». La démarche proposée se poursuivra jusqu’en octobre 2019.

La lettre pastorale publiée par Mgr Jean-Luc Hudsyn servira de toile de fond pour cette démarche. En voici un bref aperçu rédigé par le chanoine Eric Mattheeuws, adjoint de Mgr Hudsyn.

Pourquoi en Brabant wallon cette démarche d’Eglise en 2018-2019 ?

Pour répondre à l’appel du pape François qui nous invite à une « conversion pastorale et missionnaire ».

Parler de mission n’est pas toujours bien compris. La lettre pastorale de Mgr Hudsyn nous invite à vivre avec intelligence et joie cet appel répété du pape : être de vrais disciples missionnaires.

L’Ecriture nous montre bien que ces deux termes sont liés : leur être-avec les disciples met les disciples en partance. Encore faut-il vivre cette mission à la manière du Christ.

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Nous voilà donc appelés à tourner notre regard vers lui : comment vivait-il sa mission ? dans quel état d’esprit ? à travers quelles attitudes ?

Ressuscité, il continue à s’entourer de semeurs d’Evangile.

C’est la raison d’être de l’Eglise : être baptisé, c’est être envoyé comme un ambassadeur du Christ. Une mission où chacun peut trouver sa place car elle comporte de nombreuses facettes.

Elle est un appel à évangéliser la pastorale, à ouvrir les portes de nos communautés.

Elle fait de nous des signes parlants de ce Dieu qui dit à chacun : « Je veux que tu vives ! »

La mission est un envoi au service de la société : dans le débat et le dialogue avec d’autres, chercher les chemins d’une vraie humanité. Pour tous et pour tout humain.

La lettre se termine en insistant sur deux attitudes-clés. - La gratuité : semer l’Evangile sans calculer, dans l’amitié ; être là

où le Christ est souffrant, sans se décourager. - La foi du regard : discerner dans l’autre les traces de l’Esprit-Saint

déjà à l’œuvre ; être des éveilleurs, des sourciers qui révèlent l’eau vive qui sourd en chacun.

Tel est l’enjeu de cette année : nous laisser convertir et envoyer par ce Dieu qui a tant aimé ce monde.

Cette lettre pastorale est disponible au Vicariat du Brabant Wallon. Vous la trouverez également sur le site internet du Vicariat tousdisciples.be

Le dimanche 20 octobre 2019, l’année se clôturera par une rencontre vicariale présidée par le Cardinal Jozef De Kesel.

L’« Oratoire », groupe de jeunes 12-16 ans

Environ un vendredi par mois, des jeunes de 12 à 16 ans de la paroisse St-Jean-Baptiste/St Antoine de Wavre et de la paroisse Notre-Dame de Basse-Wavre se réunissent pour un temps de détente, de réflexion et de prière.

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Ils s’y retrouvent dès la sortie des cours dans les locaux de la paroisse St Jean-Baptiste, avec quelques animateurs dont un prêtre. Un temps de détente conviviale (jeux de société, foot, collation, échanges informels) leur est d’abord proposé. Suit alors un temps de réflexion, de témoignages et d’échanges sur un thème choisi par les animateurs, et qui permet aux jeunes d’approfondir leur foi, d’échanger sur leur expérience et de poser leurs questions. Thèmes abordés : par exemple, les sacrements, le service, l’amitié, l’affectivité, se préparer à Noël…

Cela continue avec un souper fraternel préparé par un des

animateurs, qui permet de prolonger l’échange de façon plus informelle. Tandis que certains rangent, d’autres jeunes préparent le temps de louange et de prière d’environ 30 minutes qui va clore la rencontre. Quelques chants accompagnés à la guitare, un texte biblique, un commentaire et un bon temps de silence permettent à chacun des jeunes de prendre un vrai temps avec le Seigneur. Cela se termine vers 21h30.

Quelques points particuliers à cet «oratoire » : les jeunes viennent quand ils peuvent, mais ne sont pas tenus d’être présents du début à la fin. Cela permet de les toucher plus largement, notamment via le moment de détente du début. Certes, ces rencontres sont longues, mais elles permettent ainsi à chaque moment d’être vraiment de qualité. Et avec le temps, la confiance au sein du groupe grandit et la qualité des discussions s’accroît également. Enfin, pourquoi mettre cela sous le patronage de saint Dominique Savio ? Tout d’abord en raison de l’inspiration de saint Jean Bosco, qui a créé ce type de rencontre. Et puis, quel meilleur exemple proposer à nos jeunes que celui de ce jeune saint, élève de Don Bosco, qui a été un apôtre du Christ au milieu de ses camarades de classe ? (Pour info, ces 2 saints ont une relique dans notre châsse)

Tous les jeunes de notre paroisse de cette tranche d’âge sont invités à rejoindre l’ «Oratoire » pour y vivre des moments de détente, de réflexion et de prière et ainsi, d’une certaine manière, prolonger leur parcours de foi commencé voici quelques années.

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Bienvenue à toutes et tous. Animateurs Emmanuel de Ruyver, prêtre (St Jean-Baptiste – Wavre) Elodie et Philibert Goulet, laïcs (St Jean-Baptiste – Wavre) William Mager, laïc (St Jean-Baptiste – Wavre) François Gobert, laïc (Notre-Dame de Basse-Wavre)

Entrée en catéchuménat à Basse-Wavre

Frères et sœurs dans le Christ, nous avons eu une joie particulière le samedi 27 octobre au début de l'Eucharistie de 18h et le 4 novembre

au début de celle de 10h30. Nous avons célébré l'Entrée en Catéchuménat de deux personnes adultes, Teuta et Alain. Leurs cœurs labourés par des expériences de vie très diverses, ont accueilli la semence de la Foi chrétienne ; réveillés (ressuscités) par cette grâce, ils se sont remis à dialoguer consciemment avec Dieu notre Créateur et notre Père ; ils désirent répondre à son Appel de le laisser revisiter leur passé et leur présent afin que sa Miséricorde Divine achève son œuvre d'Amour et de Salut. L'Entrée en Catéchuménat est cette première rencontre

publique où Teuta et Alain se sont ouverts à l'Eglise de leur intention, de leur désir d'enraciner et de nourrir leur Foi dans Sa Foi, d'être soutenus par elle et en elle jusqu'à l'heure du Baptême sacramentel. Le Rituel de l'Initiation Chrétienne des Adultes prévoit au seuil de l'église, en début d'une célébration Eucharistique, une salutation particulière du prêtre envers les candidats, leur parrain ou marraine, leur accompagnateur chrétien ; les candidats ensuite expriment leur désir, leur demande d'entrer et de cheminer dans la Foi de la Grande Famille de Dieu dont les membres vivent du Christ en sa Résurrection. La Signation de leur front marque leur mise en route en Eglise à la suite du Christ en son Mystère Pascal vers le Père pour une communion d'éternité. Le Rituel dit ensuite ceci : '' Dès cette célébration, les catéchumènes, que l'Eglise enveloppe déjà comme siens dans son amour et sa vigilance, lui sont unis et appartiennent déjà à la Maison du Christ ; l'Eglise les nourrit de la Parole du Christ et leur procure les richesses de sa Liturgie ...''

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Frères et Sœurs dans le Christ, le Seigneur nous a redit au cours de ce rituel son besoin de notre soutien et témoignage fraternels ; gardons précieusement Teuta, Alain, ainsi que leur proche famille, dans notre ''cœur de prière et d'affection''.

Père Jean-Baptiste

Les résultats de notre enquête

Dans l’avant-dernier numéro de « La Passerelle », afin de « tenir notre lampe allumée », nous vous demandions de répondre à une enquête nous permettant de mettre en évidence vos rubriques préférées.

Le tiercé gagnant issu du dépouillement des résultats est le suivant : 1. Tout ce qui concerne la vie paroissiale et celle du sanctuaire 2. Etincelles 3. Prières et méditations

En 2007, nous vous avions déjà consulté sur vos préférences et le classement était totalement différent. On y retrouvait, dans l’ordre, les témoignages, les prières et méditations, la vie paroissiale et du sanctuaire.

Votre préférence pour la vie paroissiale et du sanctuaire a été plébiscitée en masse, cette rubrique étant mentionnée dans toutes les réponses. Certes, comme l’ont commenté plusieurs réponses, l'établissement d'un classement sur 5 rubriques ne signifie pas que les autres sont inintéressantes et suivant l'âge du lecteur, le classement peut être différent. Aucune des rubriques proposées n’a reçu la côte 0, c’est-à-dire ne représentant aucun intérêt.

Nous pensons que ce nouveau classement est significatif. Dans la vie d'une paroisse, il n'y a pas que le culte qui permette aux personnes de se retrouver, de partager et d'avancer ensemble sur leur chemin de foi.

Au travers des articles qui vous sont proposés dans le cadre de la vie paroissiale et du sanctuaire, c’est probablement une manière de se retrouver, de partager, d'avancer ensemble et peut-être de prendre part aux services/activités proposé(e)s, au-delà des parcours individuels de chacun, pour que la paroisse soit un lieu de vie, de joie et de rayonnement

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Ajoutons à cela que le sanctuaire de Basse-Wavre, s’il fait partie de la

basilique, n’est pas seulement paroissial, mais plus largement Vicarial et rayonne bien plus loin encore. Lieu vivant où celles et ceux qui y viennent trouvent de quoi nourrir leur recueillement et leur foi, découvrent des pistes de réponse à leurs problèmes et questions et peuvent enraciner leur prière. Vous trouverez peut-être dans la Passerelle, une occasion de participer aux pèlerinages qui y sont organisés soit par votre présence ou par des échos.

Merci à tous pour votre participation à notre enquête. A l’avenir, et dans la mesure de nos possibilités, nous essayerons de répondre mieux encore à vos attentes, mais n’oublions pas que ce journal est aussi le vôtre. Pour qu’il se nourrisse et réponde à vos aspirations, votre participation est indispensable. C’est vous qui faites notre « Passerelle ».

Le comité de rédaction

Semaine de de prière pour l’Unité des chrétiens

Une invitation est lancée à chaque communauté de notre Unité Pastorale à aller à la rencontre des autres communautés. Chaque jour, du vendredi 18 au vendredi 25 janvier, des temps de prière, de réflexion et de partage, suivis de la possibilité d'un moment de convivialité vous seront proposés sous le thème :

"Tu rechercheras la justice, rien que la justice !" (Deutéronome 16, 18-20).

Vendredi 18 – 20 h - chapelle St-Damien (Quatre Sapins, av. Molière, 22)

"Que le droit jaillisse comme les eaux"

Samedi 19 – 17 h – basilique de Basse-Wavre

"Quand vous parlez, dites 'oui' ou 'non' "

Dimanche 20 – 16 h - église de Limal "Le Seigneur est bienveillant et miséricordieux"

Lundi 21 – 20 h - église protestante (av. Belle Voie, 15 - Wavre) "Contentez-vous de ce que vous avez"

Mardi 22 – 20 h - église St-Antoine (chaussée de Bruxelles, 65 – Wavre)

"Pour annoncer la Bonne Nouvelle aux pauvres"

Mercredi 23 – 20 h - église de Bierges

"Le Seigneur de l'univers, c'est son nom"

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Jeudi 24 – 20 h - église protestante évangélique de Wavre (rue Provinciale,

243 – Bierges) "Femme, ta foi est grande !"

Vendredi 25 – 20h – église St Jean-Baptiste de Wavre

"Le Seigneur est ma lumière et mon salut"

L’Equipe d’Animation Paroissiale (EAP), au « service » de la cohésion de la communauté paroissiale, a soin d’harmoniser, de réconcilier, de faciliter la communication. Elle travaille à ce que les personnes, les groupes, les équipes et les services soient partie prenante de l’annonce de l’Evangile, qu’ils s’enracinent dans la prière et la célébration, qu’ils vivent la solidarité avec le plus grand nombre.

Actuellement, l'EAP est composée des prêtres Blaise Mbongo, Jean-Baptiste Pina et François Kabeya ainsi que de Anne Bouchez (assistante paroissiale), Vincent Brasseur, Manon Kizizié, Ludovic Namurois.

VIE DU SANCTUAIRE

8 décembre : Fête de l’Immaculée Conception Le Cortège aux lumières

Le samedi 8 décembre, à l’occasion de la Fête de l’Immaculée Conception, un nouveau parcours de la procession aux flambeaux, entourant la statue pèlerine de Notre-Dame, vous est proposé.

La procession partira de la basilique Notre-Dame de Paix et de Concorde après un envoi de tous les pèlerins « randonneurs » et parcourra les rues de Basse-Wavre (rue du Calvaire, Passerelle Calvaire/ Rivage, rue du Rivage, rue du Tilleul, av. du Centre sportif, chée d’Ottembourg, chée de l’Herbatte, chée du Tilleul et av. de la basilique) pour rejoindre la basilique où une Eucharistie festive en l’honneur de Notre-Dame sera célébrée.

Pendant le parcours, le Chemin de Marie sera prié et médité.

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Le "Chemin de Marie" est composé de 12 stations qui relatent des épisodes-clés de la vie de Marie au travers de récits bibliques entrecoupés de prières et chants.

19h : rendez-vous à la basilique ; 19h15 : chapelet prié et médité, à la basilique, pour les non-marcheurs ; 20 h : accueil des marcheurs et messe à la basilique.

Bienvenue à tous, jeunes et moins jeunes à cette procession au travers de rues de Basse-Wavre. Nous vous y attendons nombreux pour inaugurer ce nouvel itinéraire qui évite de devoir rejoindre le point de départ en voiture ou co-voiturage.

Il n’y aura pas de messe à la basilique à 18h ni de soirée d’adoration à la chapelle St Damien.

Le chapelet, une prière de notre temps ?

Comme chaque année, le mois d’octobre, mois du Rosaire, mais également le mois de mai, mois de Marie, le chapelet a été prié et médité chaque jour devant le sanctuaire de Notre-Dame. Ce qui est également le cas chaque dimanche de l’année.

La participation à cette prière est très variable d’un jour à l’autre, mais généralement plus faible d’année en année. On comptait, ce mois d’octobre, de 2 à 6 participants à l’exception du chapelet organisé et préparé par une paroisse de l’UP de Wavre. Les autres dimanches de l’année

ne voient pas plus de monde… Peut-être un peu plus lorsque le chapelet est suivi d’une adoration au St Sacrement avec intentions de prières, les premiers dimanches du mois. Pourquoi ? Il n’y a sans doute pas de réponse unique et générale, mais ce constat peut susciter certaines réflexions :

- Quand les hommes ont un problème ou bien quand ils cherchent un sens à leur vie, ils ne pensent pas au chapelet pour les aider à trouver une solution. Beaucoup mettent tous leurs espoirs dans la science, les richesses matérielles, la notoriété, les réseaux sociaux...

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- On entend parfois : le chapelet c’est "Trop long", "Trop répétitif, je m’y endors ou suis distrait", "Trop monotone", "Ça n'attire personne", "Ça n'intéresse pas les jeunes", "C'est dépassé" ...

- Si l'on s'endort au milieu, ce n'est pas grave ? Thérèse de Lisieux a confessé qu'elle a toujours eu beaucoup de mal, tout au long de sa vie de religieuse, avec le chapelet, et elle disait que durant son oraison, deux heures par jour au Carmel, elle dormait la plupart du temps. Et elle en plaisantait, en disant : « Je ne m'en soucie pas, car je pense que les parents aiment autant leurs petits enfants quand ils dorment dans leurs bras que quand ils bredouillent à leurs côtés. »

- Jean-Paul II, dans son document Rosarium Virginis Mariae, une lettre apostolique qui date de 2002, souligne que c'est une prière très adaptée à la nature humaine, parce que nous avons besoin de répétition. Il dit très justement que de nos jours on va chercher dans la méditation orientale, le bouddhisme, l'hindouisme… des techniques très avancées qui jouent toujours, elles aussi, sur le modèle de la répétition, de la mémoire, de l'invocation.

- Y a-t-il encore un sens à prier le chapelet à l’ère du numérique et d’internet ? Cette prière est-elle adaptée au monde contemporain ? Brancher ses écouteurs pour écouter de la musique tout le monde le fait. Mais sortir son chapelet pour se brancher sur le Christ, qui ose ? Difficile d’imaginer chose pareille quand il est question de répétition régulière et parfois machinale de cinquante « Je vous salue Marie ». Par son aspect très concret le chapelet est une prière accessible et très humaine. On trouve également, dans d’autres traditions religieuses, des invocations ou des méditations répétitives, comme certains mantras, mais ces derniers possèdent une forme d’impersonnalité qui n’existe pas dans le christianisme, où la prière s’adresse toujours à quelqu’un. Dans le chapelet de la spiritualité chrétienne, il y a quelqu’un qui peut rejoindre leur quête, en leur permettant d’aller plus loin qu’un simple temps de relaxation. (Sr Marie-Aimée Manchon)

- Un chapelet est une prière à Dieu que l'on confie à Notre-Dame. Prier Marie, ce n'est pas prier Dieu. On prie Dieu pour qu'il exauce nos prières, mais on prie Marie pour qu'elle prie Dieu avec nous. Marie a en effet la pleine confiance de Dieu et sa prière est très puissante.

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La question qui a initié cet article, à savoir la participation « limitée », concernait essentiellement le chapelet « collectif » et ne remet pas en cause cette prière. Mais, peut-être, faut-il s’interroger sur les moments de la journée où elle est proposée. Ne faudrait-il pas élargir l’organisation de cette prière à d’autres groupes ?

Mais bien sûr le chapelet peut être prié à chaque moment de la journée et dans tous les endroits, ce qui lui donne plus de souplesse dans sa méditation. Par ailleurs, il existe de nombreuses manières de prier, seul ou en groupe et aucune de ces formes n’est à privilégier, car chacune reflète la manière personnelle d’entrer en contact avec Dieu, avec ou sans intercession particulière.

Guy

« Le chapelet souffre d’une image de prière répétitive, alors qu’il est sans doute la prière populaire la plus usitée dans le monde catholique.

Demandée par la Vierge Marie elle-même lors de ses apparitions, la prière du chapelet est la prière des humbles. »

Pape François

La châsse de Notre-Dame de BW raconte ses souvenirs

Pour illustrer la suite de mes souvenirs, j’ai fait placer un détail de la gravure de 1628, montrant les anges m’apportant à Basse-Wavre. Ce qui en réalité n’est pas juste puisque cet événement se produisit en l’an 1050 ; je n’existais pas encore alors et c’est la première châsse qui aurait dû être représentée. A peine née, j’ai déjà eu cet honneur.

C’est ma plus ancienne représentation et elle est fidèle.

Quand on me regarde, on voit une châsse dorée en métal, mais on ignore qu’en réalité, je

suis un coffre entièrement en chêne, y compris mon couvercle. Pour ma confection, on a fait appel à un bon menuisier qui a fait un travail de qualité car je n’ai pas besoin de vermifuge, malgré mes 390 ans. Mon coffre de bois est entièrement recouvert de plaques de cuivre doré, finement et artistiquement décorées, munies à l’arrière

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d’innombrables vis traversant les parois de chêne et maintenues par des écrous. Tout est d’époque et j’en suis très fière ; personne n’a eu l’audace de me transformer ou de me moderniser. Quand on m’ouvre et qu’on retire le coffre aux reliques, on voit mes parois intérieures hérissées de vis et d’écrous, faisant penser au dos d’un hérisson. J’ai la forme d’un parallélépipède rectangle muni d’une toiture à 2 versants. Mes 4 côtés sont ornés de 14 médaillons ovales, avec encadrements d’argent, montrant en relief l’origine du sanctuaire de Basse-Wavre et les premiers miracles. Ces scènes, alternant avec des anges en forme de cariatides, sont accompagnées de petits textes gravés expliquant chaque image. Les pignons sont ornés de médaillons avec bustes représentant saint Benoît, patron des moines bénédictins de Basse Wavre, et sa sœur, sainte Scolastique. En 1628, lors de ma fabrication, on a réalisé un coffre en bois, ayant la forme d’un parallélépipède, muni d’une serrure et d’un anneau avec ferrure, afin de pouvoir placer un cadenas. Ses dimensions correspondent exactement à mon intérieur.

Destiné à contenir les précieuses reliques, ce coffre a été divisé à l’intérieur en 6 compartiments, par des parois de bois, tout étant capitonné et recouvert de somptueux tissu rouge. En 1628, on y a placé les reliques sauvées lors des guerres de religion : les reliques de la Vraie Croix, de la vie du Christ et de Notre-Dame, de Palestine, des ossements de divers saints et 2 morceaux de la châsse qui m’a précédée.

A partir de 1628, j’ai alors commencé ma vie de reliquaire qui, je dois vous l’avouer, a été très variée, très intéressante et très enrichissante. J’ai vu des multitudes de pèlerins et fidèles de toute condition qui sont venus s’agenouiller devant moi et prier la Reine de Paix et de Concorde, aussi bien des grands de ce monde, souverains et évêques, que d’humbles personnes remplies de foi en Dieu et de confiance en sa Sainte Mère. J’ai beaucoup voyagé, mais contrairement à vous qui lisez mon histoire, cela ne m’a pas fatiguée et je n’ai pas vieilli, car pour mes déplacements, je me laisse tout

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simplement porter sur un brancard. Rien de plus simple…enfin pour moi ! N’oubliez pas que je pèse quand même une centaine de kilos ! Je pesais moins en 1628. Je vous raconterai cela d’ici peu, ainsi que certains voyages particuliers dans des véhicules hétéroclites, inhabituels pour moi.

La Châsse de Notre-Dame de Basse-Wavre « Interviewée » par Gérard Van Haeperen (à suivre…)

PRIÈRES

Ô Marie, ton peuple en fête Te vénère

Immaculée, préservée depuis toujours de la contamination du péché. Accueille l’hommage que je T’offre au nom de l’Eglise qui est à Rome et dans le monde entier.

Savoir que Toi, qui es notre Mère, Tu es totalement exempte du péché, nous apporte un grand réconfort.

Savoir que sur Toi le mal n’a aucun pouvoir, nous emplit d’espérance et de force dans la lutte quotidienne que nous devons soutenir contre les menaces du malin.

Mais, dans cette lutte, nous ne sommes pas seuls, nous ne sommes pas orphelins, parce que Jésus, avant de mourir sur la Croix, T’a donnée à nous comme notre Mère.

Bien que pécheurs, nous sommes donc tes enfants, les enfants de l’Immaculée, appelés à cette sainteté qui resplendit en Toi, par la grâce de Dieu depuis le commencement.

Animés de cette espérance, nous invoquons aujourd’hui Ta protection maternelle pour nous, pour nos familles, pour cette ville, pour le monde entier.

Que la puissance de l’amour de Dieu, qui T’a préservée du péché originel, par Ton intercession libère l’humanité de tout esclavage spirituel et matériel, et fasse vaincre, dans les cœurs et dans les événements, le dessein de Salut de Dieu.

Fais qu’en nous aussi, tes enfants, la grâce l’emporte sur l’orgueil, et que nous puissions devenir miséricordieux comme notre Père céleste est miséricordieux.

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En ce temps qui nous conduit à la fête de la Nativité de Jésus, enseigne-nous à aller à contre-courant : à nous dépouiller, à nous abaisser, à nous donner, à écouter, à faire silence, à nous décentrer de nous-mêmes, pour laisser un espace à la beauté de Dieu, source de la vraie joie.

Ô notre Mère Immaculée, prie pour nous ! Amen. » Pape François

Que signifie la couronne de l'Avent ?

La couronne de l’Avent avec les bougies a été inventée par un pasteur de Hambourg, en Allemagne au 19ème siècle. Chaque matin, il allumait un petit cierge de plus et, chaque dimanche, un grand cierge. La coutume n’a retenu que les grands. Ces bougies symbolisent les grandes étapes du salut avant la venue du Messie : La première est le symbole du pardon accordé à Adam et Ève. La deuxième est le symbole de la foi des patriarches en la terre promise. La troisième est le symbole de la joie de David célébrant l'alliance avec Dieu. La quatrième est le symbole de l'enseignement des prophètes annonçant un règne de justice et de paix. (Geneviève Pasquier)

T'accueillir

Seigneur, En ce temps de l'Avent

Je veux me préparer à t'accueillir. Aide-moi à marcher dans la joie et la confiance

Sur le chemin qui mène jusqu'à toi. Inspire-moi les gestes de partage

De pardon et de paix Pour annoncer autour de moi

La Bonne Nouvelle de ta venue parmi les hommes.

Sylvie Candès Noël

Il nous arrive un navire, Il porte une charge précieuse, Des troupes d'anges s'y trouvent,

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Il a un grand mât.

Le navire nous arrive chargé, C'est Dieu le père qui l'a envoyé, Il nous apporte un grand secours,

Jésus, notre sauveur.

Le navire nous arrive doucement, Il touche au bord ; Il a ouvert le ciel, Et nous envoyé le fils.

Marie a conçu De sa chair et de son sang Le petit enfant prédestiné. Il fut le vrai Dieu.

Le voici homme et couché dans le berceau, Le cher enfançon,

Sa figure rayonne comme un miroir : Qu'il soit loué !

Marie, mère de Dieu, A toi nos louanges ! Jésus est notre frère, Le cher petit enfant.

Je voudrais embrasser l'enfant Sur sa bouche gracieuse, Et si j'étais malade, pour sûr, Cela me donnerait la guérison.

Marie, mère de Dieu, Tes louanges se chantent partout ! Jésus est notre frère, Il te donne une grande dignité.

Jean Tauler théologien, mystique et prédicateur - Recueil de Cantiques, 1543

La nuit de Noël

La nuit ne serait jamais que nuit si le cri d’un tout-petit ne l’avait désarçonnée. Les ténèbres ne seraient jamais que ténèbres si la lumière ne s’était risquée à les découdre.

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Le malheur ne serait jamais que malheur si un visage n’en avait partagé la lourdeur. Noël, une mémoire qui enfante l’histoire Une promesse ourlée à la détresse Une parole à l’aplomb du monde Pour ouvrir une faille Pour éclairer la paille Pour inciter aux semailles Dieu en l’humain est toujours possible pour qui accueille sa fragilité comme un berceau !

Francine Carrillo (pasteure protestante)

MÉDITATIONS

Lettre des Pères synodaux aux jeunes

À l'issue du synode sur les jeunes, la foi et le discernement vocationnel, voici la lettre des pères synodaux adressée aux jeunes. C’est vers vous, jeunes du monde, que nous, Pères synodaux, voulons nous tourner, pour vous adresser des paroles d’espérance, de confiance et de consolation. Ces jours-ci, nous nous sommes réunis pour écouter Jésus, « le Christ éternellement jeune », dont la voix révèle vos propres voix, vos cris d’exultation, vos plaintes… vos silences aussi !

Nous connaissons vos quêtes spirituelles, vos joies, vos espérances vos douleurs, vos angoisses, vos inquiétudes. Nous désirons aussi vous adresser une parole : nous voulons contribuer au développement de votre joie, pour que vos attentes se transforment en idéaux. Nous sommes sûrs que vous êtes prêts à vous impliquer, avec votre joie de vivre, pour que vos rêves se réalisent concrètement dans votre vie quotidienne, et dans notre histoire humaine.

Que nos faiblesses ne vous découragent pas, que les fragilités et les péchés ne fassent pas obstacle à votre foi. L’Église est votre mère, elle ne vous abandonne pas, elle est prête à vous accompagner sur de nouveaux chemins, dans les hauteurs, là où le vent de l’Esprit souffle plus fort, chassant les noirs nuages de l’indifférence, de la superficialité et du découragement. Lorsque le monde, que Dieu aime au point de lui avoir donné son Fils

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Jésus, est replié sur les biens matériels, sur le succès immédiat, sur le plaisir, lorsqu’il broie les plus faibles, aidez-le à se réveiller et à tourner son regard vers l’amour, la beauté, la vérité, la justice.

Pendant un mois nous avons cheminé ensemble, avec quelques-uns d’entre vous et beaucoup d’autres qui se sont unis à nous par la prière et l’affection. Nous désirons maintenant poursuivre ce chemin dans toutes les parties du monde, là où le Seigneur nous invite à être disciples missionnaires.

L’Avent, un temps d’attente...

Si tu viens n’importe quand, dit le renard au Petit Prince, je ne saurai jamais à quelle heure m’habiller le cœur... »

Le renard de Saint-Exupéry attendait la visite du Petit Prince et voulait donc s’y préparer, attendre, espérer. Dans le même sens, un proverbe africain dit : « le meilleur jour de la fête, c’est la veille ». Or nous sommes dans le temps de l’Avent, le temps de l’attente pour l’Eglise. Celui qui veille, celui qui est de garde, il est debout ; celui

qui attend les invités s’agite ; celui qui prépare un examen révise ; celui qui s’apprête à partir en voyage prépare l’itinéraire et son bagage. Attendre, cela n’a donc rien à voir avec le repos ou le fait de ne rien faire. Pourtant il y a des croyants qui attendent passivement que Dieu vienne à Noël. C’est si beau, chaque année de jouer les enfants naïfs, de rêver, de faire semblant de croire que Dieu naît comme ça, dans la chaleur, dans la tranquillité, dans l’opulence, dans l’insouciance, dans l’euphorie d’une douce nuit de Noël un peu irréaliste.

Il y a aussi des chrétiens qui attendent passivement que Dieu règle les problèmes de l’humanité, car, croient-ils, c’est à lui Dieu, d’agir. Et ceux-là ne prennent pas position car ils croient, à tort, que le chrétien ne doit pas faire de politique.

Il y en a aussi qui, résignés devant les difficultés, confondent ainsi la douceur de l’Evangile et le manque de courage ; ils ne disent rien car il ne faut pas se faire remarquer. Ils oublient que notre baptême nous

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engage à lutter contre le mal de toutes ses forces même si cela provoque des tensions.

Attendre, oui, c’est une attitude dynamique ; et pourtant il y en a qui croient qu’ils ont la vérité et sont déjà sur le bon chemin sans effort ni volonté de leur part. Avoir de telles attitudes risque bien de faire de leur vie de croyant un bain de tiédeur, de transformer l’attente chrétienne en un sommeil tranquille, de rendre fade tout ce qui touche à la foi au Christ, d’utiliser l’Evangile comme un paravent qui justifie toutes les paresses, les situations intolérables et les compromissions.

Or attendre, comme le dit le prophète Joël, c’est l’attitude du guetteur qui hurle à pleine bouche : « ne dormez pas ! » Oui, ne dormez pas, sinon jamais le Christ ne sera présent au monde, jamais le Royaume de Dieu ne sera réalité. Attendre en ce temps de l’Avent, c’est donc l’attitude de celui qui n’hésite pas à se jeter dans la mêlée pour hâter la venue d’un monde plus juste. Attendre le jour où le Christ va revenir, c’est se dépêcher vers celui qui est en difficulté, c’est prendre le temps d’écouter celui qui a besoin de vider son sac ou qui en a trop gros sur le cœur, c’est accepter de donner au moins un peu de son superflu pour celui qui n’a même pas le minimum nécessaire.

Attendre le jour du Christ, c’est maintenir, à travers les difficultés du « vivre ensemble », l’idée de bienveillance, l’idée que l’autre, quel qu’il soit, est mon frère.

Attendre, c’est préparer ; c’est donc briser sans répit tout ce qui emprisonne l’être humain.

Attendre le Christ c’est se mettre en situation d’Avent en livrant en chacune de nos vies une lutte sans merci contre toutes les graines de péché qui germent, s’enracinent et ne demandent qu’à grandir en chacun de nous.

En fait, attendre le Christ en vérité, c’est me livrer totalement à la lumière de l’Evangile, c’est me tourner vers Jésus le Christ et laisser sa Parole s’épanouir en moi et me transformer.

Attendre, c’est aussi être prêt à accueillir l’imprévu. Le peuple juif attendait un Messie, roi, prophète et grand prêtre… et c’est un enfant pauvre, un homme à la parole originale libératrice et forte qui arrive. Aujourd’hui, attendre c’est accueillir et ainsi faire Eglise ; accueillir

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l’étranger dans nos communautés, mais aussi les jeunes et une musique inhabituelle.

Attendre, c’est accueillir pour un baptême ou un mariage ceux que l’on ne voit pas bien souvent à l’église, accueillir une famille en deuil et témoigner de l’espérance chrétienne.

C’est ainsi qu’il nous faut attendre Noël, dans une attente active. A force d’attendre ainsi le jour de Dieu, un matin du monde notre prière sera exaucée Et ce jour-là, on pourra, j’espère, dire de moi, dire de vous : « Heureux es-tu, heureux êtes-vous ».

Alors d’ici Noël, avec le Petit Prince, « Habillez-vous le cœur ».

Père Pierre Tézenas

Noël à Jérusalem

Noël à Jérusalem, Près d´un mur que l´on croyait perdu Un homme à genoux est là, il pleure à côté de moi, Et lève les yeux en remerciant le ciel

Noël à Jérusalem, Les pieds nus aux portes des mosquées Ils sont des milliers qui viennent pour y déposer leurs peines, Le visage à terre jusqu´à la nuit tombée

Ces mains qui prient au même instant ici, N´ont-elles pas la même ferveur Les hommes auraient-ils oublié aussi Que c´est Dieu qui fait battre leur cœur

Noël à Jérusalem, C´est aussi l´enfant de Bethléem Et le pèlerin guidé par l´étoile du berger, Qui cherche la maison de sa nativité

Noël à Jérusalem, C´est le monde au pied de l´Eternel Qui vient implorer son nom et lui demander pardon, De s´être égaré loin des chemins du ciel

Pourtant il suffirait de voir un jour, S´élever dans une prière Le cœur de trois hommes éperdus d´amour Pour changer la face de la terre

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Noël à Jérusalem, Près d´un mur que l´on a retrouvé Un homme à genoux m´a dit : Tout est changé dans ma vie, Car Jérusalem est de nouveau sur terre

La première ville bénie, À qui le Seigneur a dit, Je ferai ici mon plus merveilleux Noël, À Jérusalem Enrico Macias

Les gouttes d’Amour

Ne vous imaginez pas que l’Amour, pour être vrai, doit être extraordinaire. Ce dont on a besoin, c’est de continuer à aimer. Comment une lampe brille-t-elle, si ce n’est par l’apport continuel de petites gouttes d’huile ? Qu’il n’y ait plus de gouttes d’huile, il n’y aura plus de lumière. Mes amis, que sont ces gouttes d’huile dans nos lampes ? Elles sont les petites choses de la vie de tous les jours : La joie, la générosité, les petites paroles de bonté, l’humilité et la patience, simplement aussi une pensée pour les autres, notre manière de faire silence, d‘écouter, de regarder, de pardonner, de parler et d’agir. Ne cherchez donc pas l’Amour au loin ; Il n’est pas que là-bas, il est en vous. Entretenez bien la lampe et vous le verrez. Mère Térésa

La famille

La famille, c’est avant tout le nid de la vie. Puis, c’est là que l’enfant grandit, que naissent ses premiers pas, Ses premiers tracas, ses premières joies. Puis, l’enfant veut s’échapper, voir plus loin, respirer. Alors, il explore, il construit, il apprend, il sait que sa famille l’attend, il sait qu’il a ce trésor inespéré d’avoir une famille et d’être aimé. Alors il peut aller vers demain

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soutenu par l’amour des siens. La famille est un joyau de tant de valeur qu’elle vaut tous les trésors. Sylvie Brise

SENS DE LA LITURGIE

Poursuivant ce que nous avons entamé dans le dernière Passerelle à propos des origines et de la signification des signes qui traversent et constituent notre liturgie, dans cette édition, nous nous intéresserons aux vêtements du culte.

Les vêtements du culte

Plus que des vêtements destinés à habiller, encore moins – actuellement, du moins - des ornements d’apparat, les vêtements liturgiques manifestent une fonction ; celle du ministre qui les revêt, vis-à-vis de l’Assemblée mais aussi de l’Action sacrée qui va se jouer. A l’image des objets (que nous aborderons dans une prochaine édition), les vêtements participent à la beauté et à la dignité de la liturgie sans toutefois la supplanter ; destinés à accompagner les gestes du célébrant ils en accentuent la visibilité et la beauté. Cet article a pour but de découvrir quel sens donner aux principaux vêtements liturgiques en usage aujourd’hui.

L’aube

Du latin alba « vêtement blanc », l'aube est un habit blanc qui part du col et descend jusqu'aux chaussures. Son nom vient du latin alba qui signifie blanc. Tout naturellement, l'aube symbolise la pureté du cœur avec laquelle il convient sans cesse de servir le Seigneur.

C’est le vêtement que reçoivent tous les baptisés le jour de leur baptême. Saint Paul déclare aux chrétiens : Vous tous qui avez été baptisés dans le Christ, vous avez revêtu le Christ. (Ga 3, 27) Le blanc, c'est la couleur du vêtement du Christ après sa résurrection (Jn 20, 12). Revêtir le Christ et la vie, c'est ce que signifie la remise d'un vêtement blanc au nouveau baptisé. C'est le symbole de la renaissance dans le Christ annoncée à Nicodème

(Jn 3, 3). Ce signe peut également être d'usage lors d'autres célébrations.

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L’étole

Du latin stola ou du grec stolè : « vêtement de dessus ». C'est une pièce de tissu longue mais étroite. On la met sur l'aube. Elle passe sur la nuque et pend par devant à la manière d'une grande écharpe. Elle peut être ornée, généralement aux deux extrémités. Le plus souvent, on y brode deux croix.

L'étole est portée par le diacre, le prêtre et par l'évêque. Le prêtre la porte droite, pendant par devant à la manière d'une grande écharpe tandis que le diacre la porte en sautoir sur l'épaule gauche, c'est-à-dire qu'elle est posée sur l'épaule gauche et attachée sur le côté droit au niveau de la ceinture.

L’étole est l’habit sacerdotal, car son port est requis pour toute action sacramentelle. Elle est signe du ministère.

L'étole, tout comme la chasuble, change de couleur en fonction du temps liturgique ou en fonction de la fête célébrée.

La chasuble

« La casula » le mot viendrait de casa : « maison ». En effet, la chasuble, qui enveloppait complètement celui qui la portait, évoquait une maisonnette ou une tente. C’était, aux premiers siècles, un vêtement de dessus à l’usage profane ; pour les cérémonies liturgiques, une casula spéciale était utilisée. Peu à peu, elle devint le vêtement propre au clergé, sans être réservée à tel ou tel ordre. Ce n’est qu’assez tardivement que la chasuble devint l’ornement réservé aux évêques et aux prêtres pour la célébration de la messe.

C'est une grande pièce de tissu percée d'un trou en son centre pour permettre d'y passer la tête. La chasuble - qui permet d’identifier le célébrant principal des autres concélébrants - est ce vêtement très ample que le prêtre célébrant met par-dessus tous les autres ornements (aube et étole). Un vêtement comme la chasuble est rarement un vêtement personnel, puisqu’elle est faite le plus souvent en fonction d’un lieu, donc sa taille et sa forme doivent pouvoir convenir à différentes statures d’hommes. Revêtu de la chasuble, le prêtre « endosse » le Christ, en la personne

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de qui il agit. La chasuble fait partie de ces ornements qui changent de couleur avec le temps ou la fête liturgique célébrée.

La mitre et la crosse La mitre est la coiffe particulière réservée aux évêques. Elle leur rappelle qu’ils sont appelés à faire « briller l’éclat de la sainteté » dans leur vie. L’évêque est le pasteur de son Église particulière et la crosse est son bâton de pasteur. Par ce signe : il doit prendre soin du troupeau que le Seigneur lui a confié avec l’aide de l’Esprit Saint.

à suivre …

BRAISES DE FOI De jolies guirlandes

J'ai toujours été sensible à la blancheur et la beauté de la neige. La veille de notre mariage, c’était en décembre. Je rêvais qu'il fasse tout blanc ce jour-là. En m'éveillant, surprise : la pelouse était recouverte, pour la première fois de l'hiver, d'une fine couche de neige. Juste le temps de m'envoyer un petit clin d'œil du Ciel, après quoi elle a vite fondu. Dans la Bible, deux textes utilisent cette belle image pour exprimer la pureté à laquelle aspire l'âme, devant Dieu :

"Mais tu veux au fond de moi la vérité ; Dans le secret, tu m'apprends la sagesse, Purifie-moi avec l'hysope, et je serai pur ; Lave-moi et je serai blanc, plus que la neige." Psaume 50,8-9

"Venez donc, et discutons, dit Yahvé. Quand vos péchés seraient comme l'écarlate, comme la neige ils blanchiront ; quand ils seraient rouges comme la pourpre, comme laine ils deviendront." Isaïe 1,18 Un jour, revenant de 8 jours de retraite, je reçois une carte postale,

représentant un beau paysage enneigé. Le message dit ceci : " Tu reviens de retraite toute fraîche, comme ce paysage ! ". Mon cœur est en fête ! Cela me rappelle une anecdote racontée par ma belle-mère. Il s'agit de la réflexion de sa petite fille, lorsqu'en se levant, elle vit pour la première fois le jardin sous la neige : "Oh, robe de baptême ! "Oui, comme l'a dit Salomon, dans sa sagesse : "Qu'en tous temps tes vêtements soient blancs et que l'huile ne manque pas sur ta tête." Qo, 9,8.

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La parabole de l'invité qui n'avait pas revêtu la tenue de noce nous le rappelle (Mt22, 11-14) : on ne peut participer au festin, si l'on n'a pas revêtu d'abord le vêtement blanc de la conversion. Oh, Seigneur, lorsque je paraîtrai devant toi en haillons, je n’aurai plus peur, puisque tu me revêtiras de l’habit de noces, autrement plus blanc que celui de la laine dont était cousue, par ma maman, ma robe de mariée !

Aujourd’hui il gèle à pierre fendre et il a neigé. Des toits, tombent des fils blancs entrelacés : ce sont toutes les toiles d’araignée poussiéreuses, recouvertes de neige. Sans la neige, on les aurait à peine remarquées, ou alors, on les aurait trouvées très laides ! La neige les a transfigurées, telle la grâce de l’Esprit Saint venue révéler nos misères, non pour les accentuer ou les juger, mais pour les embellir, en faire de belles guirlandes, si nous acceptons humblement et en vérité d’en être revêtus, comme d’un manteau immaculé, celui de l’amour de Dieu.

Claire

UN PEU D’HUMOUR

Monsieur le curé, je me pose une question : qu'est-ce qu'elle faisait comme métier, la Vierge Marie ? - Elle était mère de famille, mon petit René. - Alors pourquoi a-t-elle mis Jésus à la crèche, comme mon frère et moi.

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Un homme marche sur une plage de Californie et rencontre Dieu. Devant son incrédulité, Dieu décide de lui montrer un miracle : « pour te prouver que tu n’as pas une hallucination quel miracle veux-tu que j’accomplisse ? » L’homme y pense un peu et dit : « J’aimerais que tu construises une autoroute jusqu’à Hawaii parce que j’ai peur de voyager en avion ». Dieu répond que cela ne peut se faire, c’est impossible technologiquement à cause de la profondeur de l’océan et la distance séparant Hawaii de la Californie. Alors Dieu demande à l’homme de faire une autre proposition. L’homme y pense un peu et dit, tout enthousiaste, qu’il aimerait comprendre les femmes. Dieu lui répond alors : « Est-ce que tu veux ton autoroute à 2 ou 4 voies ? » Moralité : rien n’est impossible à Dieu !

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Le père Eugène va bientôt passer l'arme à gauche, et Monsieur le curé est à son chevet pour lui donner l'extrême onction. Le curé lui dit à l'oreille :

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- "Avant de mourir, dis ta foi en Notre Seigneur Jésus Christ et renie le démon !" Mais le père Eugène se tait ! Le curé lui demande : - Allons père Eugène, quand on quitte ce monde, il faut se préparer et renier le mal pour rejoindre le seigneur aussi pur que possible... Pourquoi ne veux-tu pas renier le Démon ? Alors le vieux, d'une voix chevrotante : - Tant que j'sais pas chez qui j'vas aller, j'veux vexer personne !

LU POUR VOUS

"Maman, lâche-moi ! " car je vais vers le Père

Les parents ploient souvent sous le fardeau de la culpabilité de n'en avoir pas fait assez pour leurs enfants, et les enfants sous celui de n'avoir pas pu répondre aux attentes de leurs parents. La relation entre parents et enfants s'en trouve alors affectée par des manipulations et des chantages extrêmement toxiques. Dans ce livre Anne Merlo nous rappelle l'œuvre de libération que le Christ est venu accomplir dans nos vies. Il veut nous affranchir des fausses obligations envers nos parents afin d'être rendus capables à notre tour de lâcher nos enfants... les enfants n'ont pas besoin d'avoir une mère parfaite ; Jésus vient libérer les femmes des rôles dans lesquels elles se sont enfermées depuis longtemps... Ce livre est en quelque sorte un livre sur la libération des femmes. Elle donne un éclairage intéressant sur l’identité masculine et féminine.

Anne Merlo, femme chrétienne, (dont 2 enfants sont décédés) aborde l'être humain dans sa totalité : corps, âme, esprit. Elle donne un éclairage psychologique, sous le regard de Dieu et cela permet de remettre de l'ordre dans les relations. Elle a écrit d'autres livres : " Tu n'as plus à craindre le malheur" (son témoignage de vie) "Je t'aimerai quand même" (ou comment s’aimer quand même en couple) et plus récemment : "Comment aimer » (relation de couple et sexualité). Anne Merlo aux éditions "Première partie" - 16 euros

Nous gagnons notre vie par ce que nous recevons, mais nous faisons notre vie par ce que nous donnons.

Winston Churchill

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CONTACTS PAROISSIAUX Père Blaise Mbongo – Curé et recteur du sanctuaire

tél. 010.22.71.80 et 0479.23.15.12 - bmbongo2000@yahoo.fr Père Jean-Baptiste Pina – Vicaire

tél. 0479.53.38.15 - jeanbaptistepina@gmail.com Frère François Kabeya – Vicaire

tél. 0470.65.27.83 - kabeyafrancesco@yahoo.fr Anne Bouchez - Assistante paroissiale

tél 010.24.53 44 - 0476.42.74.12 (mardi, jeudi et vendredi de 10h à 16h) durieux.anne@yahoo.fr

Secrétariat – rue du Calvaire n°2 - permanence d’accueil du mardi au vendredi de 10 à 12h et samedi de 11 à 12h - tél 010.22.25.80

secretariatndbw@gmail.com www.ndbw.be www.facebook.com/paroissenotredamedebassewavre

EUCHARISTIES basilique : dim à 10h30 et 18h ; lun, mer, ven, sam à 18h - mar, jeu à 9h

chapelle St Damien : dim à 11h chapelle de Stadt :1er sam mois à 17h

DES PAGES S’ECRIVENT, D’AUTRES SE FERMENT

Nous vous partageons les joies et les peines qui ont marqué notre communauté depuis la parution de la Passerelle 131 – Rentrée 2018.

Qu’ils soient accueillis comme des cadeaux de Dieu

Amandine DELAITTE 16/09 Madeline DELAITTE 16/09

Que leur amour témoigne de la tendresse de Dieu

Audrey PATINY et Cédric MOENS 27/10 Delphine DAVREUX et Werner de GHELLINCK 15/09

Qu’ils soient dans la Paix et en pleine communion avec Dieu

André COUTISSE, rue Adelin Colon, 1300 Wavre Didier DURAY, av de l’Eperon, 1300 Wavre Christine HOTTELET, 1331 Rosière Franz LEBLANC, rue de Nivelles, 1300 Wavre Jean-Pierre DEVLESAVER, rue des Drapiers, 1300 Wavre Marcelle DUFOUR, née JAVAUX, chée d'Ottembourg, 1300 Wavre Tiziano PLACUCCI, Clos du Relais, 1300 Wavre Marie-Claude VLEESHOUWER, Place Polydore Beauffaux,1300 Wavre Liliane MEUNIER, née SIMON, Pré des Querelles, 1300 Wavre Willy CRENIER, Venelle de la Réserve, 1300 Wavre

Pierre PLUVINAGE, 1350 PERWEZ Maurice GENARD, av des Sorbiers, 1300 Wavre

29/11 26/11 23/11 05/11 02/11 29/10 26/10 13/10 11/10 08/10 26/09 25/09

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AGENDA DES PROCHAINES SEMAINES

- Dimanches 2 décembre, 6 janvier 2019, 3 février 2019 et 3 mars 2019 : chapelet (prié et médité à 15h devant la chapelle mariale, comme chaque dimanche) suivi du Salut au Saint-Sacrement.

- Samedi 8 décembre - Fête de l’Immaculée Conception : à 19h, départ du cortège de lumières (nouveau parcours) ; à 20 h Eucharistie festive à la basilique. Pas de messe à 18h. (voir p 9). Pas d’adoration du soir à la chapelle.

- Samedi 8 et dimanche 9 décembre : Marché de Noël au profit de Wavre-Solidarité (Foyer Saint Jean Baptiste à Wavre) : de 9h à 18h – avec restauration le midi et dégustation de pâtisseries l’après-midi.

- Soirées d’adoration à la chapelle st Damien : samedis 12 janvier 2019 et 9 février 2019 de 20h30 à 23h. Pas de soirée d’adoration le 8 décembre.

- Dimanche 16 décembre : - à 12h, dîner de Noël à la salle Maria Pacis, avec les enfants de la catéchèse. Inscription avant le 12 décembre. - à 16h, Concert de Noël, interprété par des chœurs wavriens et l’école de carillon, au profit de Wavre-Solidarité, à l’église Saint Jean Baptiste.

- Mercredi 19 décembre : à 20h, à la basilique, célébration communautaire de la réconciliation.

- Lundi 24 décembre : messes de la Nativité à 18h, à la basilique, messe des familles ; à 18h, à la chapelle St Damien ; à minuit, à la basilique.

- Mardi 25 décembre : à 10h30 et 18h, à la basilique, messes de la Nativité. - Mercredi 26 décembre, 14h30 : célébration de Noël avec eucharistie à la

basilique pour les personnes souffrantes, isolées, âgées ou handicapées des paroisses de Basse-Wavre, St Jean-Baptiste/St Antoine suivie d’un goûter convivial à la salle Maria Pacis.

- Mardi 1er janvier 2019 : à 10h30, à la basilique messe à l’occasion de la fête de la Vierge Marie, Mère de Dieu et de la Journée mondiale de prière pour la paix. Pas de messe à 9h.

- Temps de prières, de réflexion dans notre paroisse à l’occasion de la semaine de prières pour l’Unité des chrétiens : le 18 janvier 2019, à 20h, à la chapelle St Damien et le 19 janvier 2019, à 17h, à la basilique. (voir p 8)

- Samedi 2 février 2019 : à 20h, à la basilique, messe de la Présentation de Jésus au Temple suivie d’une dégustation de crêpes à la cure. Pas de messe à 18h.

- 6 mars 2019 : Mercredi des Cendres – début du Carême. Imposition des Cendres lors de la messe de 20h, dans la basilique. Pas de messe à 18h.

Notez déjà : - le 24 mars 2019 : récollection paroissiale à « La Foresta », 3054 Vaalbeek.

- du 2 au 8 juillet 2019 : pèlerinage paroissial à ND de la Salette et alentours.