Avouez le moi donc, Monsieur

Avouez le moi donc, Monsieur

Vos yeux me sont, Monsieur, un bien doux rendez-vous, Parmi tous ces regards inoffensifs ; mais sous

Le vôtre si brûlant, je m’embrase aussitôt, M’embrase aussitôt,

Cette chaleur cachée est un joli défaut.

Mais elle trahit, Monsieur, vos profondes pensées ; Dites-moi simplement, toutes peurs dépassées,

Sans compliquer les mots, ce légitime désir; Avouez-le moi donc que vous m’aimez, sans fuir.

Depuis que nos chemins, Monsieur, hardis, se croisent,

Sur la place de la Comédie s’apprivoisent, Chaque matin mon cœur sans frein vous a suivi

Sans oser vous parler, tout à vous asservi ;

Quand vous me regardez, Monsieur, je suis surprise, De cette intensité que vous avez conquise.

Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

Qui effleure et berce le secret de mon âme.

Vous m’observez, Monsieur, et vous m’émerveillez Je vous confie mon cœur, car vous me proposez

Le choix entre liberté ou intimité; Mais vous aimer est ma plus grande liberté.

Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

Avouez le moi donc, Monsieur

Vos yeux me sont, Monsieur, un bien doux rendez-vous, Parmi tous ces regards inoffensifs ; mais sous

Le vôtre si brûlant, je m’embrase aussitôt, M’embrase aussitôt,

Cette chaleur cachée est un joli défaut.

Mais elle trahit, Monsieur, vos profondes pensées ; Dites-moi simplement, toutes peurs dépassées,

Sans compliquer les mots, ce légitime désir; Avouez-le moi donc que vous m’aimez, sans fuir.

Depuis que nos chemins, Monsieur, hardis, se croisent,

Sur la place de la Comédie s’apprivoisent, Chaque matin mon cœur sans frein vous a suivi

Sans oser vous parler, tout à vous asservi ;

Quand vous me regardez, Monsieur, je suis surprise, De cette intensité que vous avez conquise.

Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

Qui effleure et berce le secret de mon âme.

Vous m’observez, Monsieur, et vous m’émerveillez Je vous confie mon cœur, car vous me proposez

Le choix entre liberté ou intimité; Mais vous aimer est ma plus grande liberté.

Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

Avouez le moi donc, Monsieur

Vos yeux me sont, Monsieur, un bien doux rendez-vous, Parmi tous ces regards inoffensifs ; mais sous

Le vôtre si brûlant, je m’embrase aussitôt, M’embrase aussitôt,

Cette chaleur cachée est un joli défaut.

Mais elle trahit, Monsieur, vos profondes pensées ; Dites-moi simplement, toutes peurs dépassées,

Sans compliquer les mots, ce légitime désir; Avouez-le moi donc que vous m’aimez, sans fuir.

Depuis que nos chemins, Monsieur, hardis, se croisent,

Sur la place de la Comédie s’apprivoisent, Chaque matin mon cœur sans frein vous a suivi

Sans oser vous parler, tout à vous asservi ;

Quand vous me regardez, Monsieur, je suis surprise, De cette intensité que vous avez conquise.

Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

Qui effleure et berce le secret de mon âme.

Vous m’observez, Monsieur, et vous m’émerveillez Je vous confie mon cœur, car vous me proposez

Le choix entre liberté ou intimité; Mais vous aimer est ma plus grande liberté.

Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

 

Avouez le moi donc, Monsieur

Vos yeux me sont, Monsieur, un bien doux rendez-vous, Parmi tous ces regards inoffensifs ; mais sous

Le vôtre si brûlant, je m’embrase aussitôt, M’embrase aussitôt,

Cette chaleur cachée est un joli défaut.

Mais elle trahit, Monsieur, vos profondes pensées ; Dites-moi simplement, toutes peurs dépassées,

Sans compliquer les mots, ce légitime désir; Avouez-le moi donc que vous m’aimez, sans fuir.

Depuis que nos chemins, Monsieur, hardis, se croisent,

Sur la place de la Comédie s’apprivoisent, Chaque matin mon cœur sans frein vous a suivi

Sans oser vous parler, tout à vous asservi ;

Quand vous me regardez, Monsieur, je suis surprise, De cette intensité que vous avez conquise.

Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

Qui effleure et berce le secret de mon âme.

Vous m’observez, Monsieur, et vous m’émerveillez Je vous confie mon cœur, car vous me proposez

Le choix entre liberté ou intimité; Mais vous aimer est ma plus grande liberté.

Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

 

Avouez le moi donc, Monsieur

Vos yeux me sont, Monsieur, un bien doux rendez-vous, Parmi tous ces regards inoffensifs ; mais sous

Le vôtre si brûlant, je m’embrase aussitôt, M’embrase aussitôt,

Cette chaleur cachée est un joli défaut.

Mais elle trahit, Monsieur, vos profondes pensées ; Dites-moi simplement, toutes peurs dépassées,

Sans compliquer les mots, ce légitime désir; Avouez-le moi donc que vous m’aimez, sans fuir.

Depuis que nos chemins, Monsieur, hardis, se croisent,

Sur la place de la Comédie s’apprivoisent, Chaque matin mon cœur sans frein vous a suivi

Sans oser vous parler, tout à vous asservi ;

Quand vous me regardez, Monsieur, je suis surprise, De cette intensité que vous avez conquise.

Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

Qui effleure et berce le secret de mon âme.

Vous m’observez, Monsieur, et vous m’émerveillez Je vous confie mon cœur, car vous me proposez

Le choix entre liberté ou intimité; Mais vous aimer est ma plus grande liberté.

Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

Avouez le moi donc, Monsieur

Vos yeux me sont, Monsieur, un bien doux rendez-vous, Parmi tous ces regards inoffensifs ; mais sous

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Cette chaleur cachée est un joli défaut.

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Depuis que nos chemins, Monsieur, hardis, se croisent,

Sur la place de la Comédie s’apprivoisent, Chaque matin mon cœur sans frein vous a suivi

Sans oser vous parler, tout à vous asservi ;

Quand vous me regardez, Monsieur, je suis surprise, De cette intensité que vous avez conquise.

Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

Qui effleure et berce le secret de mon âme.

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Le choix entre liberté ou intimité; Mais vous aimer est ma plus grande liberté.

Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

Avouez le moi donc, Monsieur

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Cette chaleur cachée est un joli défaut.

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Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

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Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

 

Avouez le moi donc, Monsieur

Vos yeux me sont, Monsieur, un bien doux rendez-vous, Parmi tous ces regards inoffensifs ; mais sous

Le vôtre si brûlant, je m’embrase aussitôt, M’embrase aussitôt,

Cette chaleur cachée est un joli défaut.

Mais elle trahit, Monsieur, vos profondes pensées ; Dites-moi simplement, toutes peurs dépassées,

Sans compliquer les mots, ce légitime désir; Avouez-le moi donc que vous m’aimez, sans fuir.

Depuis que nos chemins, Monsieur, hardis, se croisent,

Sur la place de la Comédie s’apprivoisent, Chaque matin mon cœur sans frein vous a suivi

Sans oser vous parler, tout à vous asservi ;

Quand vous me regardez, Monsieur, je suis surprise, De cette intensité que vous avez conquise.

Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

Qui effleure et berce le secret de mon âme.

Vous m’observez, Monsieur, et vous m’émerveillez Je vous confie mon cœur, car vous me proposez

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Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

Avouez le moi donc, Monsieur

Vos yeux me sont, Monsieur, un bien doux rendez-vous, Parmi tous ces regards inoffensifs ; mais sous

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Cette chaleur cachée est un joli défaut.

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Sans oser vous parler, tout à vous asservi ;

Quand vous me regardez, Monsieur, je suis surprise, De cette intensité que vous avez conquise.

Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

Qui effleure et berce le secret de mon âme.

Vous m’observez, Monsieur, et vous m’émerveillez Je vous confie mon cœur, car vous me proposez

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Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

Avouez le moi donc, Monsieur

Vos yeux me sont, Monsieur, un bien doux rendez-vous, Parmi tous ces regards inoffensifs ; mais sous

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Cette chaleur cachée est un joli défaut.

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Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

Qui effleure et berce le secret de mon âme.

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Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

Avouez le moi donc, Monsieur

Vos yeux me sont, Monsieur, un bien doux rendez-vous, Parmi tous ces regards inoffensifs ; mais sous

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Cette chaleur cachée est un joli défaut.

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Sur la place de la Comédie s’apprivoisent, Chaque matin mon cœur sans frein vous a suivi

Sans oser vous parler, tout à vous asservi ;

Quand vous me regardez, Monsieur, je suis surprise, De cette intensité que vous avez conquise.

Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

Qui effleure et berce le secret de mon âme.

Vous m’observez, Monsieur, et vous m’émerveillez Je vous confie mon cœur, car vous me proposez

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Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

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Avouez le moi donc, Monsieur

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Cette chaleur cachée est un joli défaut.

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Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

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Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

Qui effleure et berce le secret de mon âme.

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Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

Avouez le moi donc, Monsieur

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Cette chaleur cachée est un joli défaut.

Mais elle trahit, Monsieur, vos profondes pensées ; Dites-moi simplement, toutes peurs dépassées,

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Sur la place de la Comédie s’apprivoisent, Chaque matin mon cœur sans frein vous a suivi

Sans oser vous parler, tout à vous asservi ;

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Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

Qui effleure et berce le secret de mon âme.

Vous m’observez, Monsieur, et vous m’émerveillez Je vous confie mon cœur, car vous me proposez

Le choix entre liberté ou intimité; Mais vous aimer est ma plus grande liberté.

Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

Avouez le moi donc, Monsieur

Vos yeux me sont, Monsieur, un bien doux rendez-vous, Parmi tous ces regards inoffensifs ; mais sous

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Cette chaleur cachée est un joli défaut.

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Depuis que nos chemins, Monsieur, hardis, se croisent,

Sur la place de la Comédie s’apprivoisent, Chaque matin mon cœur sans frein vous a suivi

Sans oser vous parler, tout à vous asservi ;

Quand vous me regardez, Monsieur, je suis surprise, De cette intensité que vous avez conquise.

Le soleil de ma vie, c’est de vous cette flamme, De vous cette flamme,

Qui effleure et berce le secret de mon âme.

Vous m’observez, Monsieur, et vous m’émerveillez Je vous confie mon cœur, car vous me proposez

Le choix entre liberté ou intimité; Mais vous aimer est ma plus grande liberté.

Si vos yeux sont libres, Monsieur, je n’ai qu’un rêve ; De passer dans vos bras, ma vie sans que s’achève L’amour, je vous le jure, de vous comme vous êtes,

Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

Avouez le moi donc, Monsieur

Vos yeux me sont, Monsieur, un bien doux rendez-vous, Parmi tous ces regards inoffensifs ; mais sous

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Cette chaleur cachée est un joli défaut.

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Sans oser vous parler, tout à vous asservi ;

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Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

Avouez le moi donc, Monsieur

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Et faites donc, Monsieur, de ce que je suis vos conquêtes. 

Avouez le moi donc, Monsieur

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