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Conditions d’entrée: * Être issu de 3ème générale ou professionnelle (Avoir un CAP pour entrer en BP) y a des horaires à respecter comme dans tous les autres métiers. Mes horaires sont : 09h00 ; 12h00 / 14h00 ; 19h00. Pour exercer ce mé- tier, il faut suivre un CAP puis un BP (niveau BAC). Il restera ensuite à trouver un travail… *********** Je m’appelle Pierre, je suis en CAP mécanique 2ème année. J’ai choisi l’école par alternance car je peux y apprendre le métier que j’aime. Ce métier est la mécanique parcs et jardins, c’est-à-dire l’entre- tien et réparation de tondeuses, trac- teurs, tronçonneuses, taille-haies….. Ce métier n’est pas très difficile, les pièces ne sont pas trop lourdes. Comme dans tout métier, il faut res- pecter les consignes de sécurité. Ce métier a des horaires plus ou moins fixes 9h00-12h00 et 14h00-18h00. En stage, je répare des machines, je n’ai pas peur de me salir. Je me déplace aussi chez les clients avec mon pa- tron. Le travail est plus important Je m’appelle Florine, je suis en CAP Fleuriste 2ème année. J’ai intégré la MFR de Samer car je sou- haitais découvrir l’alternance stage/ école. Je voulais savoir de quoi j’étais capable en stage (ce que je pouvais faire de mes 10 doigts), je voulais développer ma créativité et avoir une meilleure moyenne. A la MFR, je m’y sens très bien car les moniteurs sont très agréables, il y a une bonne am- biance, j’aime beaucoup. En stage, je suis capable de faire ce que l’on me demande, comme faire des composi- tions, décorations de fleurs, faire un peu de commerce… En fleuristerie, il avant l’été. Il est varié car on ne ré- pare pas tout le temps les mêmes ma- chines, Quand je ne comprends pas, je demande à mon maître d’apprentis- sage et il m’explique. Ce métier est p a s s i o n n a n t . . . Deux années de formation: *13 semaines par an en centre de formation *Le reste en entreprise Témoignages de deux apprentis... Débouchés et poursuite d’études: *Insertion dans le monde du travail ( salarié, gérant, création d’entreprise) * Intégrer un Bac pro en mécanique *Intégrer une classe de BP fleuriste ou un BM *Statut de la formation *Formation par apprentissage: l’apprenti est un salarié, la grille de salaire est fonction de l’âge et de l’avancement dans la formation Maison Familiale de Samer Adresse e-mail: [email protected] www.mfrsamer.com Pour inscription ou renseignement: 03-21-33-53-29 Pour rester compé- titive, l’agriculture em- bauche toujours plus de salariés pour des postes qualifiés. Ainsi, malgré un effectif en baisse, la main d’œuvre familiale recule au profit du salariat. Les salariés agricoles repré- sentent 17.5% du total des actifs permanents. Il faut savoir que l’agriculture fait travailler 85000 per- sonnes dans le Nord-Pas de Calais. Des structures comme les groupements d’employeurs ou les ser- vices de remplacement émergent et génèrent une nouvelle forme de travail: l’emploi partagé, amélio- rant les conditions de tra- vail. Depuis 2004, l’emploi en groupements d’em- ployeurs est en hausse de 7% par an en moyenne (Etude MSA 2013). Par ailleurs, ne disposant pas, parfois du matériel ou des compé- tences indispensables pour la réalisation de certains travaux, les exploitants recourent davantage aux entreprises de prestation de service. Depuis 2000, le nombre de ces entreprises, tout comme leurs effec- tifs, ont plus que doublé (Chiffre MSA, 2014). Une partie du travail sur les exploitations est égale- ment externalisée vers les CUMA: 14% d’entre- elles sont employeuses de main d’œuvre sala- riée, essentiellement en CDI (Etude MSA 2014) Pourquoi une de- mande d’ouverture du TA en Apprentissage? Depuis long- temps, nous constatons que de nombreux jeunes arrêtent leur formation après une classe de CA- Pa, BPA voire en fin de première Bac Pro. Ces jeunes ne se sentent plus à la hauteur pour termi- ner ou commencer un cursus scolaire en Bac Pro. Le TA (Technicien Agricole) permet de rac- crocher des jeunes démo- tivés par le système sco- laire traditionnel. C’est une formation plus pro- fessionnelle, mieux adap- tée à ce type de public et favorisant ainsi la mon- tée en qualification d’un public de niveau V pour une meilleure inser- tion professionnelle. De plus, le TA donne la capacité à l’instal- lation. Nous avons démontré depuis 2009 que le TA était une formation viable qui correspondait aux besoins des jeunes et du milieu professionnel. Par contre, le contrat d’apprentissage est plus intéressant pour le monde professionnel que le contrat de Profession- nalisation. Le fossé s’est encore agrandi depuis le changement de politique du FAFSEA qui priorise les formations de moins d’un an et a contrario la nouvelle politique de dé- veloppement de l’appren- tissage de l’Etat et du Conseil Régional Nord Picardie. L’insertion des sta- giaires de la MFR de Samer Nous réalisons tous les ans une enquête à la fin de la formation, une à un mois et une der- nière à 5 ans. Au mois d’octobre dernier, excep- tionnellement nous avons recontacté les 55 élèves qui ont quitté la classe de 2ème année TA depuis sa mise en place en 2009. En voici les ré- sultats: 13 se sont instal- lés exploitants agricoles, 27 sont salariés dans le milieu agricole, 5 sont aides familiaux, 1 sans emploi et 9 salariés hors agricole. Preuve est faite que notre TA (Technicien Agricole) offre une réelle porte de sortie dans le monde du travail. Rédaction: Dhalleine Gladys Dans ce numéro: Projet d’ouverture de la formation Technicien Agri- cole (TA) par apprentis- sage (niveau Bac) 1 Une certification à la MFR pour moins de pollution dans les fermes 2 Des artistes fleuristes en concours 2 Voltige équestre pour les élèves de 4ème 2 Les voyages forment la jeunesse! 3 Les élèves de la MFR de Samer accueillis à l’Assem- blée Nationale 3 Des aides pour l’apprentis- sage Témoignages de deux apprentis... 4 4 Avril 2016 Projet d’ouverture de la formation Technicien Agricole (TA) par apprentissage (niveau Bac)

Avril 2016 Projet d’ouverture de la formation Technicien ... · * Être issu de 3ème générale ou ... peux y apprendre le métier que j’aime. Ce métier est la mécanique

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Conditions d’entrée:

* Être issu de 3ème générale ou

professionnelle

(Avoir un CAP pour entrer en BP)

y a des horaires à respecter comme

dans tous les autres métiers. Mes

horaires sont : 09h00 ; 12h00 /

14h00 ; 19h00. Pour exercer ce mé-

tier, il faut suivre un CAP puis un

BP (niveau BAC). Il restera ensuite à

trouver un travail…

***********

Je m’appelle Pierre, je suis

en CAP mécanique 2ème année. J’ai

choisi l’école par alternance car je

peux y apprendre le métier que

j’aime. Ce métier est la mécanique

parcs et jardins, c’est-à-dire l’entre-

tien et réparation de tondeuses, trac-

teurs, tronçonneuses, taille-haies…..

Ce métier n’est pas très difficile, les

pièces ne sont pas trop lourdes.

Comme dans tout métier, il faut res-

pecter les consignes de sécurité. Ce

métier a des horaires plus ou moins

fixes 9h00-12h00 et 14h00-18h00. En

stage, je répare des machines, je n’ai

pas peur de me salir. Je me déplace

aussi chez les clients avec mon pa-

tron. Le travail est plus important

Je m’appelle Florine, je suis

en CAP Fleuriste 2ème année. J’ai

intégré la MFR de Samer car je sou-

haitais découvrir l’alternance stage/

école. Je voulais savoir de quoi j’étais

capable en stage (ce que je pouvais

faire de mes 10 doigts), je voulais

développer ma créativité et avoir une

meilleure moyenne. A la MFR, je m’y

sens très bien car les moniteurs sont

très agréables, il y a une bonne am-

biance, j’aime beaucoup. En stage, je

suis capable de faire ce que l’on me

demande, comme faire des composi-

tions, décorations de fleurs, faire un

peu de commerce… En fleuristerie, il

avant l’été. Il est varié car on ne ré-

pare pas tout le temps les mêmes ma-

chines, Quand je ne comprends pas, je

demande à mon maître d’apprentis-

sage et il m’explique. Ce métier est

p a s s i o n n a n t . . .

Deux années de formation:

*13 semaines par an en centre de

formation

*Le reste en entreprise

Témoignages de deux apprentis...

Débouchés et poursuite

d’études:

*Insertion dans le monde du

travail ( salarié, gérant, création

d’entreprise)

* Intégrer un Bac pro en

mécanique

*Intégrer une classe de BP

fleuriste ou un BM

*Statut de la formation

*Formation par apprentissage:

l’apprenti est un salarié, la grille

de salaire est fonction de l’âge et

de l’avancement dans la formation

Maison Familiale de

Samer

Adresse e-mail:

[email protected]

www.mfrsamer.com

Pour inscription ou

renseignement:

03-21-33-53-29

Pour rester compé-

titive, l’agriculture em-

bauche toujours plus de

salariés pour des postes

qualifiés. Ainsi, malgré un

effectif en baisse, la main

d’œuvre familiale recule

au profit du salariat. Les

salariés agricoles repré-

sentent 17.5% du total des

actifs permanents. Il faut

savoir que l’agriculture

fait travailler 85000 per-

sonnes dans le Nord-Pas

de Calais. Des structures

comme les groupements

d’employeurs ou les ser-

vices de remplacement

émergent et génèrent une

nouvelle forme de travail:

l’emploi partagé, amélio-

rant les conditions de tra-

vail. Depuis 2004, l’emploi

en groupements d’em-

ployeurs est en hausse de

7% par an en moyenne

(Etude MSA 2013).

Par ailleurs, ne

disposant pas, parfois du

matériel ou des compé-

tences indispensables pour

la réalisation de certains

travaux, les exploitants

recourent davantage aux

entreprises de prestation

de service. Depuis 2000, le

nombre de ces entreprises,

tout comme leurs effec-

tifs, ont plus que doublé

(Chiffre MSA, 2014). Une

partie du travail sur les

exploitations est égale-

ment externalisée vers

les CUMA: 14% d’entre-

elles sont employeuses

de main d’œuvre sala-

riée, essentiellement en

CDI (Etude MSA 2014)

Pourquoi une de-

mande d’ouverture du

TA en Apprentissage?

Depuis long-

temps, nous constatons

que de nombreux jeunes

arrêtent leur formation

après une classe de CA-

Pa, BPA voire en fin de

première Bac Pro. Ces

jeunes ne se sentent plus

à la hauteur pour termi-

ner ou commencer un

cursus scolaire en Bac

Pro. Le TA (Technicien

Agricole) permet de rac-

crocher des jeunes démo-

tivés par le système sco-

laire traditionnel. C’est

une formation plus pro-

fessionnelle, mieux adap-

tée à ce type de public et

favorisant ainsi la mon-

tée en qualification d’un

public de niveau V pour

une meilleure inser-

tion professionnelle.

De plus, le TA donne

la capacité à l’instal-

lation.

Nous avons

démontré depuis

2009 que le TA était

une formation viable

qui correspondait

aux besoins des jeunes et

du milieu professionnel.

Par contre, le contrat

d’apprentissage est plus

intéressant pour le

monde professionnel que

le contrat de Profession-

nalisation. Le fossé s’est

encore agrandi depuis le

changement de politique

du FAFSEA qui priorise

les formations de moins

d’un an et a contrario la

nouvelle politique de dé-

veloppement de l’appren-

tissage de l’Etat et du

Conseil Régional Nord

Picardie.

L’insertion des sta-

giaires de la MFR de

Samer

Nous réalisons

tous les ans une enquête

à la fin de la formation,

une à un mois et une der-

nière à 5 ans. Au mois

d’octobre dernier, excep-

tionnellement nous

avons recontacté les 55

élèves qui ont quitté la

classe de 2ème année TA

depuis sa mise en place

en 2009. En voici les ré-

sultats: 13 se sont instal-

lés exploitants agricoles,

27 sont salariés dans le

milieu agricole, 5 sont

aides familiaux, 1 sans

emploi et 9 salariés hors

agricole.

Preuve est faite

que notre TA (Technicien

Agricole) offre une réelle

porte de sortie dans le

monde du travail. Rédaction: Dhalleine

Gladys

Dans ce numéro:

Projet d’ouverture de la

formation Technicien Agri-

cole (TA) par apprentis-

sage (niveau Bac)

1

Une certification à la MFR

pour moins de pollution

dans les fermes

2

Des artistes fleuristes en

concours

2

Voltige équestre pour les

élèves de 4ème

2

Les voyages forment la

jeunesse!

3

Les élèves de la MFR de

Samer accueillis à l’Assem-

blée Nationale

3

Des aides pour l’apprentis-

sage

Témoignages de deux apprentis...

4

4

Avril 2016

Projet d’ouverture de la formation Technicien Agricole

(TA) par apprentissage (niveau Bac)

Depuis le 26 novembre, les

agriculteurs sont obligés de passer

le Certiphyto, un certificat indivi-

duel pour les produits phytophar-

maceutiques, qui atteste de leurs

connaissances sur l’usage des pes-

ticides. Ils ont 2 jours pour ap-

prendre à réduire leur utilisation

de pesticides sur leurs cultures car,

pour 2025, les agriculteurs français

ont l’obligation de diviser par deux

celle-ci, afin de moins polluer. Dif-

ficile à entendre, quand on sait que

les temps sont durs et qu’il faut du

rendement. Alors comment faire

pour continuer à travailler, tout en

polluant moins? C’est Mr Gambart

René, moniteur de la MFR, qui est

chargé de leur apprendre.

« Certains viennent ici et ne savent

pas que des produits sont dange-

reux, aussi bien pour leurs voisins

que pour eux. »

Evidemment, on ne cultive

pas plus propre du jour au lende-

main. « C’est un travail progressif.

Cela passe par un choix de se-

mences tolérantes aux spécificités

de la région, par un retour à une

rotation de cultures. » Pour ce con-

seil, René Gambart explique qu’il

faut alterner les cultures d’au-

tomne et de printemps. « On peut

aussi revenir au binage. Il existe

aujourd’hui des bineuses avec ca-

méra pour que ce soit moins usant.

»

Il y a aussi les produits

plus naturels, malheureusement

parfois trop coûteux. « Tout le

monde ne peut pas s’offrir des

larves de coccinelles par exemple. »

Le Pas-de-Calais est dans le rouge

en ce qui concerne la qualité de

l’eau et de l’air. Sans leur Certi-

phyto, les agriculteurs ne peuvent

désormais plus acheter de produits

à la monte avec un parcours à faire

pour apprendre à diriger le cheval.

Un deuxième groupe a découvert la

voltige: s’allonger, se mettre debout

Sur le thème de l’animal et

des loisirs, les élèves de 4ème ont

été accueillis à l’écurie des As à

Saint-Martin-Choquel par Mme

Spriet Aude et Mme De-

vulder Mélanie.

Ils ont pu travail-

ler l’approche de l’animal

en le brossant, le lustrant

avant de lui poser la selle

et autres accessoires. Un

premier groupe s’est initié

sur le cheval… Les élèves étaient

assez à l’aise, certains ont vaincu

leur peur… De véritables volti-

geurs en herbe.

Une certification à la MFR pour moins de pollution dans les fermes

Voltige équestre pour les élèves de 4ème

nuel est aussi celui de l’innovation.

Les élèves ont créé une poubelle en

matériaux recyclables et l’ont fleurie

en élaborant une sphère représen-

tant le monde.

Tous les apprentis de cette

même section ont aussi participé à

un concours d’emballage. Des visites

chez des grossistes se font régulière-

ment afin de suivre la tendance en

art floral et ainsi développer l’esprit

créatif de nos jeunes.

Les apprenties en CAP

Fleuriste 2ème année ont réalisé

deux journées de démonstration flo-

rale dans la galerie marchande

d’Auchan afin de faire connaître

leur formation. Elles ont élaboré

diverses compositions ainsi qu’une

p i è c e

montée

florale.

Les élèves en BP Fleuriste

1ère année ont participé au Con-

cours du Travail Manuel organisé

par le Rotary

Club à la mai-

rie de Boulogne

-sur-Mer. Une

maquette a été

réalisée sur le

thème: « La

COP 21: l’es-

poir du change-

ment clima-

tique ». Le prix

du travail ma-

Des artistes fleuristes en concours

Page 2 L’écho des mulots

Sur l’année 2015, 213 personnes ont été

formées pour le

Certiphyto

Les classes de CAPA et de

1ère BAC PRO ont pris la route vers

la Normandie. Les élèves ont logé

dans un gîte tenu par des Anglais à

Commes. Ils ont découvert le Mémo-

rial de Caen et les plages du débar-

quement, le Mont St-Michel et sa

baie. Ils ont visité une chèvrerie et

la célèbre distillerie Calvados Père

Magloire à Pont L'Evêque.

 la même période, les

classes de CAP Fleuriste et Méca-

nique 1ère année ont quitté la

France pour rejoindre l’Angleterre.

Les apprentis ont logé dans une au-

berge de jeunesse à Brighton. Ils ont

fait un jeu de pistes dans la ville de

Brighton ( Palais Royal…), ils ont

visité les serres et jardins bota-

niques de Wisley, le SS Great Bri-

tain, un paquebot à vapeur britan-

nique de 3 300 tonnes et la Tour

Cabot composée d'un escalier en

spirale et de deux plateformes

panoramiques donnant sur la

ville de Bristol.

Les élèves sont revenus

enchantés, la tête pleine de sou-

venirs...

présider une séance dans l’hémi-

cycle, dans lequel le groupe a aussi

eu l’opportunité de s’installer

quelques instants. Ils ont traversé

la magnifique Galerie des Fêtes, la

Salle des Conférences servant de

lieu de lecture et de rencontre pour

les député(e)s, le Salon des Ma-

riannes accueillant trente-deux

bustes en terre cuite et le Jardin

des Quatre Colonnes. Les élèves ont

été très intéressés et ont bien cerné

En mars dernier, les élèves

de 4ème et seconde ont été accueil-

lis par le conseiller de Mr Cuvillier

à l’Assemblée Nationale à Paris. A

travers une visite guidée, les élèves

ont découvert cette grande institu-

tion démocratique où les députés

votent les lois et contrôlent l’action

du gouvernement. Ils ont eu la

chance de voir le Vice-Président

traverser la Salle des Pas Perdus

sous une haie d’honneur avant de

la mission des

députés sou-

cieux de légifé-

rer conformé-

ment à la triple

ex igence

que pose

notre de-

vise répu-

bl icaine :

l i b e r t é ,

é g a l i t é ,

Les élèves de la MFR de Samer accueillis à l’Assemblée Nationale

Page 3

Les voyages forment la jeunesse !

Au cours de cette année, diffé-

rents voyages d’études ont été organi-

sés par cycle de formation. Ces ate-

liers itinérants font partie intégrante

de la formation. Les visites sont choi-

sies pour répondre à un besoin cultu-

rel, historique, économique et social et

apporter un enrichissement personnel.

Les élèves prennent des notes,

des photos… pour rédiger un compte-

rendu. L’idée est que l’apprentissage

ne s’arrête pas avec la fin du voyage

mais que l’ensemble soit réexploité au

retour. Voici quelques récits.

Les classes de 3ème ont décou-

vert Orléans et ses alentours. Les

jeunes ont été accueillis dans une au-

berge de jeunesse à Orléans-la Source.

Ils ont visité la cathédrale d’Orléans

avec ses vitraux retraçant la vie de

Jeanne d’Arc, le château de Chambord

avec ses nombreuses cheminées et son

escalier particulier, le zoo de Beauval,

le plus beau de France, les magni-

fiques grottes de Foulon, la cave et les

vignes du Clos St-Fiacre.